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Rapport provisoire: étude sur la recherche de débouchés pour l'écoulement du stock de niébé de l'OPVN
Le gouvernement du Niger a obtenu de l'association internationale de développement ( IDA ) , le financement du projet de développement des exportations et exportations agro-sylvo pastoraux -
Le marché hebdomadaire de Dabaga
De par sa situation géographique, Dabaga est le carrefour des routes de l’Aïr arrivant à Agadez : les pistes des deux principaux bassins de production (Timia et Tabelot) de l’Aïr profond se croisent à Dabaga. C’est par ces pistes que sont transportées les productions maraichères pour alimenter les comptoirs de commercialisation de la ville d’Agadez. Dabaga est aussi un site de grande production des produits maraichers grâce à ses ressources en eau. De plus, plusieurs autres sites, et pas de moindres, gravitent autour de Dabaga parmi lesquels on peut citer Boghol, Indoudou, Assa, Tassalam-Salam, Intatat, Tédéné, Egandawel, Mardane. Malgré cela, le marché de Dabaga, qui s’anime tous les samedis, ne draine pratiquement pas de produits maraichers en quantité. -
Note d’information semestrielle sur les flux et prix des produits agricoles au niveau des centres de collectes rédigée par la CRA Zinder avec l’accompagnement de l’URGP- ProDAF Zinder
La Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder accompagne les cadres de concertation dénommés « Hadin Gwiwa » (HG) au niveau des marchés de Zermou, de Gassafa et de Baban Ruwa dans le suivi des flux et des produits à travers l’identification au niveau de chaque marché d’un collecteur membre du HG qui assure la collecte des produits phares à chaque jour du marché. Le travail de collecte (suivi, estimation, calcul, archivage) se fait à travers la transmission de fiches de collecte au niveau de chaque marché à la fin de chaque mois. Puis les fiches remplies sont remontées par les conseillers agricoles de la CRA pour analyse. Voici l’analyse des données sur les 3 centres de collectes pour le semestre 1 de l’année 2020. -
Instabilité des marchés agricoles et stratégies paysannes au Niger
Cet article met en évidence la rationalité des choix opérés par les agriculteurs d'une des régions les plus pauvres d'Afrique. Au Niger, les aléas climatiques sont à l'origine d'une très forte instabilité de la production agricole, génératrice d'une instabilité des revenus en partie seulement compensée par les mouvements inverses des prix. La structure des marchés explique que l'évolution des prix ne joue pas comme une assurance de revenu, mais au contraire comme une source supplémentaire d'instabilité. Face à ces risques les paysans choisissent leur plan de production de façon à s'assurer la réalisation d'un revenu minimum. Cette recherche de sécurité est liée à une moindre productivité et à un comportement autarcique, tandis que la prise de risque implique une participation plus grande à l'économie de marché. Il s'en déduit des actions de politique économique pour le développement.