Le pastoralisme et la transhumance, en plus d’être un moyen de subsistance pour les communautés pastorales constitue un mode de vie, une réalité économique et une identité culturelle qu’il faille absolument sauvegarder pour prémunir ces communautés de certains bouleversements et pertes de repères auxquels elles ne sont pas préparées. La suppression de la transhumance risque d’accentuer la vulnérabilité de ces éleveurs et favoriser des comportements déviants au sein de la communauté des jeunes pasteurs.