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Petit ruminant
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La sous-alimentation chez les ruminants : ses effets sur la digestion
La relation négative entre les quantités ingérées et la digestibilité des aliments chez les ruminants est bien connue. Mais elle est loin d’être systématique lorsque les animaux sont sous-alimentés. Des expérimentations récentes ont permis de le montrer, puis d’analyser les facteurs contribuant parfois à des baisses importantes de digestibilité lorsque le niveau d’ingestion est fortement réduit. -
Élevages au pâturage et développement durable des territoires méditerranéens et tropicaux : connaissances récentes sur leurs atouts et faiblesses
Les élevages de ruminants sont d’importants fournisseurs de denrées alimentaires. Ils contribuent de manière quasiment exclusive aux 883 millions de tonnes de lait produit (FAOSTAT, 2019), dont 81 % proviennent des bovins et 15 % des buffles. En revanche, les bovins et les buffles ne fournissent que 22 % des 337 millions de tonnes de viande, les plus forts contributeurs étant la volaille (39 %) et le porc (33 %). -
Sensibilité et Prévention des Conflits (SPC) dans les projets de développement du secteur élevage en zone pastorale sub-saharienne : marchés à bétail
Un marché à bétail est une aire où sont regroupés des animaux vivants afin d’être vendus (généralement ruminants et ongulés, mais par extension toutes autres espèces domestiques terrestres). Un marché à bétail est donc un lieu d’échange commercial d’animaux domestiques, dont les caractéristiques physiques et fonctionnelles doivent être définies clairement, car elles constituent une base indispensable non seulement pour l’analyse de l’impact environnemental et social, la prévention et la sensibilité aux conflits, mais également pour l’analyse de la rentabilité économique et sociale, et l’organisation du fonctionnement assurant la pérennité de l’ouvrage. -
Étude morpho-biométrique du mouton soudanais Kababich et du mouton Balami élevés au Centre Secondaire d’Élevage Ovin (CSEO) de Déréki au Niger
Cette étude a été conduite au centre secondaire d’élevages ovins de Déréki sur 217 moutons de race Kababich (importée) et 203 moutons Balami (race locale). L’objectif général est de contribuer à la caractérisation de ces deux races pour leur meilleure gestion. Il s’agit spécifiquement de mener une étude comparative de leurs traits physiques par des mesures corporelles et une évaluation qualitative. Au plan qualitatif, sur 217 Kababich, seulement 25% des animaux ont une robe uniformément blanche, contre 100% pour les 203 Balami. Les Kababich possèdent 19% de couleur fauve tachetée de blanc, 19% de couleur blanche tachetée de fauve, 17% de couleur brun fauve, 7% de couleur fauve clair tachetée de blanc, 4% de couleur blanche tachetée de fauve claire et 9% de couleur fauve pure alors que la couleur fauve est absente chez les Balami.