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Financement agricole
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Stratégie d'insertion des jeunes dans les métiers liés aux filières agricoles
Le secteur agricole au Niger présente deux facettes contradictoires : le pays est marqué par des crises alimentaires récurrentes tandis que l’agriculture reste l’un des piliers de l’économie nigérienne. Ce paradoxe s’explique par la fragilité d’un grand nombre d’exploitations agricoles en lien avec les difficultés quotidiennes auxquelles elles sont confrontées : dégradation des ressources naturelles, problème d’accès au foncier, au financement, aux intrants et aux équipements, faiblesse du conseil agricole et difficulté de valorisation de productions. -
Appui aux chaines de valeurs agricoles dans les régions de Zinder et Diffa
La stratégie « le droit à une vie meilleure », adoptée par le Parlement danois en mai 2012, place la croissance verte comme l’une des quatre priorités de l'engagement international du Danemark. En adéquation avec cette stratégie et les politiques nationales Nigériennes, le nouveau programme (Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique basé sur l’Agriculture, PECEA, 2014-2019) se propose d’aller davantage vers la stimulation du secteur privé impliqué dans la transformation / commercialisation des produits Agricoles. Les initiatives et les capacités des acteurs des chaînes de valeurs (CdV) seront renforcées pour développer la production de valeur ajoutée créatrice de croissance et d’emplois. Cette phase de formulation du PECEA succède à une phase préparatoire d’études dites préalables1. Le présent document concerne la composante « Appui aux chaînes de valeur ». Son élaboration a privilégié une forte participation des acteurs clefs du secteur privé agricole ainsi que des PTF. Cette approche a été concrétisée par des ateliers (avril et juin 2013) permettant le partage des documents. -
Nourrir l'Afrique : stratégie pour la transformation de l'agriculture africaine 2016-2025
La présente Stratégie vise à intensifier les efforts antérieurs, et non à faire double emploi avec ceux-ci, à travers la mise à l’échelle des interventions en cours et couronnées de succès sur le continent, tout en développant davantage les capacités requises des acteurs, tant publics que privés, intervenant dans l’ensemble du système, de façon à pérenniser les impacts positifs de ces interventions. Le Groupe de la Banque africaine de développement est bien placé pour jouer un rôle particulièrement important dans une telle transformation, à travers la présente Stratégie, en agissant comme catalyseur de tels efforts, notamment à travers l’utilisation, entre autres atouts, aussi bien de son levier financier pour mobiliser les investissements nécessaires que de son pouvoir de mobilisation pour amener les différents partenaires autour d’une même table et renforcer l’obligation de rendre compte. -
Déclaration de Malabo sur la croissance et la transformation accélérées de l'agriculture en Afrique pour une prospérité partagée et de meilleures conditions de vie
Lors de la vingt-troisième session ordinaire de la Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement de l'Union africaine tenue à Malabo en Guinée Équatoriale, des engagements ont été pris pour mieux développer le Secteur agricole du continent. -
Convention de collaboration entre le Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA) dans les régions de Tahoua et Tillabéri et la Direction des Etudes et de la Programmation (DEP/MAG)
Le Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA) dans les régions de Tahoua et Tillabéri s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie de Développement accéléré et de Réduction de la Pauvreté (SDRP) qui elle-même à intégré l'Initiative ''3N'' les Nigériens Nourrissent les Nigériens. -
Partenariat entre organisations de producteurs et entreprises : leçons à tirer d'expériences récentes en Afrique de l'Ouest et de l'Est
Les partenariats entre organisations de producteurs (OP) et entreprises sont promus comme un modèle de structuration des filières pour intégrer plus équitablement et durablement les petits producteurs et productrices. Différents modèles de partenariat entre OP et entreprises de l’aval (transformation agro-alimentaire et commercialisation) sont actuellement expérimentés en Afrique de l’Ouest et de l’Est: contrat d’achat ou de fourniture d’intrants; systèmes d’agriculture contractuelle plus ou moins intégrés; co-entreprises où l’OP et l’entreprise prennent des parts au capital. Ces partenariats présentent de fortes opportunités, en particulier pour les petits producteurs et productrices et leurs organisations. Mais ils présentent aussi des risques et les cas d’échec sont encore fréquents. Les enseignements tirés de la capitalisation de 4 expériences récentes (Bénin, Burkina Faso, Sénégal et Kenya) peuvent apporter des éléments de réflexion pour améliorer la conception et la mise en œuvre de partenariats véritablement «gagnant-gagnant» entre OP et entreprises. -
Évaluation sous-régionale de la chaine de valeurs oignon/échalote en Afrique de l'Ouest
La présente étude de la chaîne de valeurs commanditée par le Projet Agribusiness and Trade Promotion (ATP), aborde essentiellement le commerce de l'oignon et de l’échalote en Afrique de l’Ouest. Le but de l'étude a été de : 1) identifier les principaux acteurs qui interviennent dans la chaîne et la nature de leurs activités ; 2) évaluer les principales contraintes et opportunités ; et sur la base de cette évaluation, 3) proposer les investissements ciblés que le projet ATP pourrait effectuer à court terme en vue d’éliminer efficacement les principales contraintes tout en maximisant les opportunités, et de manière à assurer le développement cohérent et mesurable de la chaîne de valeurs. -
Rapport sur la revue des expériences de récépissés d'entreposage et de warrantage pour le financement de l'agricultuure en Afrique de l'Ouest
L’économie de la quasi - totalité des pays de l’Afrique de l’Ouest repose en grande partie sur l’agriculture qui contribue énormément au PIB et emploie la majeure partie de la population active. Malgré le rôle moteur qu’elle peut jouer dans le développement économique des pays, il y a une réticence généralisée des institutions financières à financer les activités de production et d’investissement des acteurs des différentes chaînes de valeur agricoles, surtout les producteurs. En effet, le secteur agricole est considéré comme très risqué à cause des aléas climatiques dont il dépend et surtout des risques de coordination économique. Tous les acteurs sont convaincus de la nécessité de trouver de nouveaux mécanismes innovants de financement qui sécurisent à la fois les interventions des institutions de financements et les revenus des producteurs. -
Gestion des risques agricoles par les petits producteurs. Focus sur l'assurance récolte indicielle et le warrantage (partie 1)
En août 2010, un atelier régional de validation des résultats de l'étude de faisabilité pour la mise en place d'un mécanisme d'assurance récolte dans la zone UEMOA s’est tenu au siège de la Banque ouest-africaine de développement (BOAD) à Lomé. Cette étude devait permettre d’identifier et caractériser les différents risques dans la zone UEMOA, de définir un ou des mécanisme(s) d’assurance récolte pour la zone, d’évaluer le potentiel d’application de ces mécanismes, d’identifier les conditions de succès et de proposer une stratégie d’implantation.Des participants du Niger ont suivi cet atelier, dont des membres d’organisations paysannes. Dommage que ces « délégués » n’aient pas pu faire de restitution de ces travaux et des éléments ce pourrait être utile pour le Niger. Cela reste une affaire à suivre ! -
L’usage de la bonification d’intérêt pour les crédits agricoles
Le 15 janvier 2013, dans le cadre de son Groupe de travail sur le « financement de l’agriculture », Inter-réseaux Développement rural a organisé, avec l’Agence Française de Développement (AFD), un après midi de présentation et de débat autour du rapport intitulé « Etude sur l’usage de la bonification d’intérêt pour le développement des crédits agricoles » et réalisé par le bureau d’études HORUS Developpement Finance en 2012. Cette étude sera publiée prochainement par l’AFD. 23 personnes ont participé aux échanges animés par François Doligez, membre du Conseil d’administration d’Inter-réseaux. Cette note reprend les éléments principaux de cette rencontre. -
Compte rendu de réunion de pilotage : Du 03 mai 1990
Le Comité de Pilotage du Programme Spécial National FIDA-NIGER, créé par Arrêté nO 52/MAG/E du 19 Novembre 1987, s'est réuni le 03 Mai 1990 à 9 h 00 dans la Salle de Conférences du Ministère de l'Agriculture et de l’Élevage sous la Présidence de Monsieur le Secrétaire Général Adjoint du Ministère de l'Agriculture et de l’Élevage. -
Rapport d'analyse des offres relatives à "exécution des travaux de construction des Barrages de KASSAMA, TOUMBALA et BAKATCHIRABA dans la zone d'intervention du PADAZ (AOI n° 001/2005/PADAZ DU 04 AOUT 2005 Lancé le 04 108/2005, Dépôt le 31/10/05 et Ouvert le 01/11/2005
Suite au message poriant non objection de la Banque Africaine de Développement (BAD) en date du 13 Février 2006 (OCAR.1/FX/XB/06/02/0037 du 13 FEV. 2006), celle-ci demandait à la Commission Ad hoc la reprise de l'analyse des offres relatives au Lot n° 2 (Barrage de Toumbala suivant AOI N°001/AOI/2005/PADAZ du 04 AOUT 2005, ouvert le Mardi 01 Novembre 2005 et analysé en novembre/décembre 2005). La sous-commission technique, chargée de l'analyse des dites offres a été convoquée le 20 Février 2006,par le Président de la Commission Ad hoc en vue de la reprise de l'analyse et ce, conformément aux observations de la BAD.