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Production de biomasse en 2023 : analyses et perspectives 2024
Ce document présente une évaluation de la qualité de la saison de production de biomasse sur le Niger. L’analyse met l’accent sur les zones pastorales et agropastorales, et fait un état de la production de biomasse à la fin de saison de croissance de l’hivernage 2023. -
Effet des fertilisants sur la productivité de trois variétés de gombo(Abelmoschus esculentus L. Moench.) de la région de Zinder (Niger)
Au Niger, le Gombo représente l’une des plus importantes cultures maraichères. L’objectif de cette étude était d’évaluer l’impact de cinq types de fertilisants sur la productivité de trois variétés du gombo de la région de Zinder. L’étude a été conduite pendant la campagne agricole 2020-2021 en deux essais repartis sur deux périodes : la première pendant la saison de pluie (Juillet à Octobre 2020) et la deuxième en saison sèche froide (octobre 2020 à Janvier2021). Le dispositif adopté est un split-plot avec trois répétions et cinq traitements de fertilisants dont deux types de composts (Fumier de bovin et Fiente de volaille bien décomposés), deux fertilisants minéraux (NPK et Urée) et un témoin qui consistait à aucun apport de fertilisants. Les données collectées à travers 15caractères agronomiques et morphologiques du gombo ont été analysées avec le logiciel XLSTAT version d’essai 2021. Il résulte de cette étude que les fertilisants ont eu des impacts sur la productivité des variétés du gombo. La meilleure production en biomasse et en fruits a été obtenue avec la Fiente de volaille suivie de NPK et Compost pour toutes les variétés étudiées. En effet, la fiente de volaille a augmenté de plus 70% le poids des fruits chez la variété longue. Donc la fiente de volaille et le compost pourraient constituer une bonne alternative aux engrais minéraux. -
Rapport sur la situation pastorale 1989
La situation pastorale du Département d'Agadez a suivi au cours de ces trois années (1987-88-89) d'importantes fluctuations. En 1987 la situation pastorale a été très médiocre. Par contre les grandes quantités de pluies enregistrées pendant l'année 1988 ont permis une importante production de fourrage. Cela permis aux éleveurs transhumants de remonter vers le Nord pour l'habituelle cure salée. Cette année la situation pastorale est bonne dans le Tadress, le long de certaines vallées dans l'arrondissement d'Arlit et le Nord de Tchirozérine. Par contre le pâturage est médiocre dans l'Irhazer. -
Production de biomasse en 2022, analyses et perspectives pour 2023
Ce document présente une évaluation de la qualité de la saison de production végétale sur le Niger. L’analyse met l’accent sur les zones pastorales et agropastorales, et fait un état de la production de biomasse à la fin de saison de croissance de l’hivernage 2022. -
C'est quoi la biomasse?
Le terme biomasse comprend une grande diversité de matières organiques, d’origine végétale ou animale, parfois insoupçonnées. La plupart sont en fin de vie et peuvent être transformées pour produire de l’électricité, de la chaleur ou du carburant. Il s’agit d’un gisement d’énergie local, renouvelable et propre. Une exploitation durable et équilibrée des gisements de biomasse (tout en préservant la durabilité des ressources) contribue considérablement à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et au développement pérenne d’une économie locale. -
Production de biomasse en 2020 : analyses et perspectives pour 2021
Dans l’ensemble la saison des pluies 2020 a été positive au Niger et la végétation a largement profitée des pluies abondantes et régulières qui ont été enregistrées. Cet hivernage favorable fait suite à une période de soudure particulièrement difficile du fait de la mauvaise performance de la saison en 2019. En début de saison 2020 (Juin-Juillet), plus de 94% des sites sentinelles ont rapporté un épuisement généralisé du pâturage (cf. bulletin N°33 de surveillance pastorale sur le Niger). -
La Grande Muraille Verte : état de mise en œuvre et perspectives à l'orée 2030
La Grande Muraille Verte est une initiative panafricaine de restauration et de gestion durable des terres dans la région sahélo-saharienne ayant pour objectif de lutter contre la dégradation des terres et la pauvreté. L’idée de la création de l'initiative a été envisagée pour la première fois en 2005 lors de septième session de la conférence des chefs d’état et des gouvernements membres de la CENSAD qui s’est tenue à Ouagadougou les 1 et 2 juin 2005 – par l'ancien président du Nigéria, le chef Olusegun Obasanjo, et a été fortement soutenue par le président du Sénégal, Abdoulaye Wade. En 2007, l'Initiative a pris de l'ampleur lorsque la Déclaration 137 VIII de l'Union Africaine a été adoptée, approuvant la décision sur la mise en œuvre (UA 2007) (ci-après dénommée GMV). -
Effets d’acacia senegal (L.) Willd. sur le rendement du niébé (Vigna unguiculata) au Niger, Afrique de l’ouest
L’agriculture nigérienne est une agriculture de subsistance avec peu d’apport de fumure organique et minérale (Ibrahim, 2010). La consommation d’engrais minéraux au Niger est extrêmement faible ; en moyenne, elle est de l’ordre de 20.000 t sur 5,35 millions d’hectares soit 4,3 kg ha cultivé et par an (RECA, 2010). Cet état de fait trouve son explication dans l’inaccessibilité de cet intrant et la pauvreté de la population. Pourtant, même s’ils sont accessibles, les engrais minéraux seuls ne suffisent pas, sur le long terme, à maintenir la fertilité des sols ou augmenter le rendement des cultures (Bado2002). En effet, nombreuses études ont montré leurs effets négatifs à long terme sur la dégradation chimique des sols, entraînant de ce fait une réduction de rendement (Koulibaly et al., 2010). Face à cette situation, les systèmes de cultures plus durables à faibles intrants et les processus naturels doivent être exploités. -
Rapport d’activités de suivi des sites restaures de l’observatoire et des sites du projet Badaguichiri
Aux termes de ces travaux, il se dégage que les sites restaurés de Projet de Badaguiri et de l’observatoire ont produit des données intéressantes cette année aussi bien en termes de diversité floristique que d’un point de vue de la production de biomasse. En effet, Dans l’ensemble des relevés effectués un total de 156 espèces été recensé dont 122 espèces sur les sites du projet Badaguichiri et 118 espèces sur l’observatoire. Les familles les plus représentées sont les Poaceae et les Fabaceae pour l’ensemble des sites. Les espèces dominantes sont Pennisetum pedicelatum, Schoenefeldia gracilis et Cymbopogon giganteus sur l’ensemble de l’observatoire et Pennisetum pedicelatum, Panicum laetumet Schoenefeldia gracilis sur les sites du Badaguichiri. La biomasse moyenne produite sur l’observatoire est de 1,28tMS/ha et sur les sites du projet Badaguichiri la biomasse moyenne produite est de 1,80 tMS/ha dont une moyenne de 3,18tMS/ha sur les nouveaux sites de Badaguichiri. -
Rapport de mission de l’état de référence du Bassin Versant de Badaguichiri - Flore et végétation
Cette étude vise à accélérer la finalisation du document de la situation de référence de la zone d’intervention du PGBV/B à travers la collecte et l’analyse des données plus précisément, il s’agit de : collecter les données relatives au taux de recouvrement des espèces ligneuses, la biomasse, la diversité biologique (l’abondance et fréquence des herbacées) et, analyser et consolider les données collectées eu vue d’établir une situation de référence. La zone d’étude correspond à au bassin versant de Badaguichiri apparaissant de fait comme une extension de l’observatoire de Tahoua-Keita-Tillabéri Nord. -
Evaluation désagrégée de l’impact des changements climatiques au Niger sur les risques de dégradation des terres, les rendements agricoles et la production de biomasse herbacée
Le présent rapport porte sur l'évaluation désagrégée de l’impact des changements climatiques au Niger sur les risques de dégradation des terres, les rendements agricoles et la production de biomasse herbacée