La relation négative entre les quantités ingérées et la digestibilité des aliments chez les ruminants est bien connue. Mais elle est loin d’être systématique lorsque les animaux sont sous-alimentés. Des expérimentations récentes ont permis de le montrer, puis d’analyser les facteurs contribuant parfois à des baisses importantes de digestibilité lorsque le niveau d’ingestion est fortement réduit.