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Reproduction
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Etude de la biologie reproductive de Tithonia diversifolia (Hemsl.) Gray (Asteraceae) : Espèce non indigène invasive en Côte d’Ivoire
La biodiversité est aujourd’hui confrontée à d’énormes problèmes de dégradation. L’une des causes principales est l’invasion par les espèces exotiques ou non-indigènes. En effet, ces espèces introduites dans des régions différentes de leurs régions d’origine sont directement impliquées dans la disparition d’espèces autochtones. C’est le cas de Tithonia diversifolia (Hemsl.) A. Gray (Asteraceae) en Côte d’Ivoire. Il importe de penser à la conservation de la diversité biologique en luttant contre ces vecteurs de dégradation. Sachant que cette lutte repose sur une meilleure connaissance de l’espèce, nous nous sommes fixés pour objectif de connaître les caractères d’invasion. Nous avons étudié la biologie reproductive de T. diversifolia en évaluant son succès de floraison, de fructification et son pourcentage de germination. Le succès de fructification est déterminé par le rapport du nombre de fleur produite et la quantité de graines par peuplement. Le pourcentage de germination a été comparé entre différents traitements in situ et ex situ. Le succès de fructification moyen est de 92,54%. -
L'élevage du mouton
Synthèse, réalisée par le SECAAR, de "Elevage du mouton en zone tropicale humide" - Institut d'élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux (IEMVT). -
Critères d’appréciation des reproducteurs en systèmes d'élevage traditionnel du zébu Azawak dans les zones d’Abalak, Filingué et Niamey (Niger)
Pour relever le défi de la satisfaction des besoins mondiaux en produits d’origine animale, il s’avère nécessaire de poursuivre les efforts d’intensification des productions en accord avec les contextes agroécologiques et socio-économiques. Une telle intensification nécessitera sur le long terme une amélioration génétique des races locales. Pour assurer l’adéquation de ce progrès génétique avec le contexte d’élevage et l’adhésion des éleveurs aux schémas proposés, la connaissance des critères de sélection tels qu’employés par les éleveurs est primordiale. L’objectif de cette étude est de caractériser les critères d’appréciation, pour la sélection ou la réforme, des reproducteurs Azawak (Figure 1) en systèmes d’élevage traditionnel au Niger. -
Écologie de la reproduction de Dendrocygna viduata Linnaeus, 1766 (Dendrocygne veuf) dans la vallée du fleuve Niger
L’étude est menée sur les sites d’Ayérou, Kandadji et Kokorou où subsiste encore une importante population de Dendrocygna viduata. L’objectif de cette étude est de comprendre l’écologie de la reproduction (paramètre mesurable et non mesurable) de Den drocygne veuf dans la vallée du fleuve Niger, afin de capitaliser les connaissances en vue d’une gestion écologique durable de cette espèce et de son habitat. La méthodologie appliquée consiste d’abord à la recherche systématique des nids sur les sites. Ensuite, les nids détectés seront numérotés par un code alpha numérique par ordre de détection puis localisé à l’aide d’un GPS, la position et diverses données seront collectées telle que le nombre d’œuf, la végétation observée autour des nids (espèce, hauteur, recouvrement %), le diamètre interne et externe du nid. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 2 : Gestion améliorée des troupeaux - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées. Module 2.1 : maladies courantes et diverses - Le premier niveau de la formation du « Vulgarisateur en santé et production animale » a permis aux apprenants de reconnaitre les maladies courantes à travers leurs symptômes. Ce fut également l’occasion pour eux, d’aborder de manière sommaire, les moyens qui permettent de lutter contre ces maladies. Ce deuxième niveau de formation qui vise le renforcement des connaissances et compétences de ces apprenants sur les maladies courantes est axé sur leurs modes de transmission, de contamination et de propagation, sur la prophylaxie médicale de chacune d’elles et sur leurs conséquences négatives. Module 2.2 : gestion de la reproduction - Dans ce chapitre intitulé gestion de la reproduction certains contenus développé au niveau 1 seront approfondi ou complétés. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 2 : Gestion améliorée des troupeaux - VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées. Module 1.3 : les maladies courantes et diverses ; les maladies animales sont causées essentiellement part : des virus ; des bactéries (le terme bactérie est un nom vernaculaire qui désigne certains organismes vivants microscopiques présents dans tous les milieux) ; des parasites. Module 1.4 : la gestion de la reproduction ; la gestion de la reproduction allant dans les sens d'une amélioration de la productivité du troupeau est une préoccupation majeure des éleveurs transhumants dans nos pays (Burkina, Togo, Bénin). -
10em session ordinaire du conseil d'administration du centre national de lutte anti-acridienne (CNLA)
La situation acridienne a été relativement calme sur l'ensemble des airs de reproduction et de grégarisation du Criquet pèlerin ainsi que dans le Sahel des pâturages. Toutefois,les prospections de novembre et décembre ont mis en évidence une augmentation des effectifs acridiens consécutives à une concentration, une une multiplication et une grégarisation, qui ont conduit à la formation de groupes solitario-transiens et de bande. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande / Elevage naisseur des petits ruminants
Au Niger, on note une proportion de la population pratiquant l’élevage de reproduction des petits ruminants entre 70 et 85% dont les femmes sont attirées par celui des caprins. L’élevage naisseur de petits ruminants, est pratiqué sous forme l’extensive, semi-extensive et l’intensive. C’est un élevage de reproduction ou de multiplication par monte naturelle car pour l’instant, l’insémination artificielle n’est pas encore pratiquée sur ces animaux. La taille des élevages varie entre cinq (5) et vingt (20) têtes par troupeau chez ces transhumants mais peut-être de 5 à 15 têtes chez les agro éleveurs sédentaires. Les contraintes majeures liées à l’élevage de reproduction des petits ruminants sont les maladies telles que la peste de petits ruminants et la fièvre aphteuse, aussi la réduction progressive des ressources fourragères, la cherté des résidus de culture et les sous-produits agricoles et agroindustriels. -
Technique de reproduction du lapin : fiche technique
Cette fiche technique offre des conseils pour gérer la reproduction dans un élevage de lapins -
Manuel de formation pour l'insémination artificielle chez les caprins
Ce manuel présente des techniques d'insémination artificielle mobilisables en élevage caprin -
Quand commence l’araignée rouge et où la trouve–t-on au Niger ? Zarma Document 3
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa). Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions. L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut. Les éléments en langue Haoussa : - 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ? - 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ? - 3. Quand commence l’araignée rouge où la trouve–t-on au Niger ? - 4. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ? Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge Haoussa Document 3
Araignée rouge ou acarien rouge : Tetranychus spp (éléments vocaux en langue Haoussa). Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions. L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut. Les éléments en langue Haoussa : - 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ? - 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ? - 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge - 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ? - 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ? Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture.