Contenus
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Sensibilisation sur la campagne de vaccination annuelle des animaux domestiques (audio haoussa)
Document audio de sensibilisation sur la campagne de vaccination annuelle des animaux domestiques (bovins, ovins, caprins et camelins) . -
Déparasitage des animaux domestiques (audio haoussa)
Document audio sur le déparasitage des animaux domestiques. -
Respect de délai avant consommation de la viande (audio haoussa)
Cet audio fait état du délai que doivent respecter les éleveurs avant l'abattage de leurs animaux suite à une campagne de déparasitage ou de vaccination. -
La maladie de la rage au Niger (audio haoussa)
La rage est une maladie virale qui touche le système nerveux central des mammifères (chiens, chats, certains animaux sauvages), dont celui de l’homme. Le virus est particulièrement présent dans la salive et le cerveau des animaux infectés, le plus souvent des chiens. Il est généralement transmis par la morsure d’un animal malade. Les chauves-souris représentent également un réservoir important du virus dans certaines régions. -
Médicament vétérinaire (audio haoussa)
Ce vocal a pour objectif de sensibiliser les éleveurs sur le danger de certains produits vétérinaires vendus dans les marchés et chez les vendeurs ambulants. -
Médicament vétérinaire (audio zarma)
Ce vocal a pour objectif de sensibiliser les éleveurs sur le danger de certains produits vétérinaires vendus dans les marchés et chez les vendeurs ambulants. -
Maladie de la grippe aviaire : mesures à prendre en cas de contamination (audio zarma)
En cas de contamination des volailles contactez vite le service vétérinaire le plus proche de vous. -
Maladie de la grippe aviaire : comment prévenir cette maladie? (audio zarma)
Pour se protéger contre la maladie de la grippe aviaire, il faut mettre en place des gestes barrières : − Ne pas introduire des volailles venant d’ailleurs ou les mettre en quarantaine avant l’introduction dans le poulailler ; − Ne pas tuer et préparer des volailles à proximité de son élevage et toujours prendre en compte le sens du vent pour éviter que celui -ci aille vers l’élevage ; − Éviter ou empêcher que les oiseaux sauvages soient en contact direct avec les volailles, l’eau et la nourriture ; − Ne pas laisser des personnes visiter votre élevage ou venir à proximité, il faut empêcher également le contact des volailles avec des personnes ou des enfants ; − Se laver fréquemment les mains à l’eau et au savon surtout après avoir touché des oiseaux ; − S’assurer que toute personne ayant touché des oiseaux morts se lave les mains au savon ; − Laver les vêtements, les chaussures, les véhicules et les cages à l’aide de savon ou de désinfectant ; − Bruler et enterrer les oiseaux morts ou infectés à 2 mètres de profondeur et il faut porter des gants et un masque. -
Maladie de la grippe aviaire : comment les volailles attrapent - elles cette maladie? (audio zarma)
Le virus se transmet d'un oiseau malade à un autre oiseau sain par contact direct. Le virus peut être transporté par des oiseaux sauvages, par des volailles qui viennent d’élevages contaminés, par les hommes ou les outils, et aussi par le vent et les poussières. -
Maladie de la grippe aviaire (audio zarma)
La maladie de la grippe aviaire, ou influenza aviaire, constitueune menace pour les éleveurs de volaille. Cette maladie est apparue au Niger en 2006. Depuis, elle réapparait plus ou moins régulièrement. Ainsi, en début 2022, une épizootie a sévi dans les régions de Niamey, Dosso et Tillabéri, et a causé la mort de 90 000 sujets de volaille. En décembre 2022, des foyers de la maladie ont été identifiés dans la Région de Tahoua et à Niamey et environ 10 000 volailles ont dû être abattues. -
Production de la luzerne (audio zarma)
Émission radio en langue sur les techniques production de la luzerne. -
Maladie de Newcastle (audio haoussa)
Émission radio sur l’aviculture au Niger. Dans cette émission, il ressort que l’aviculture est pratiquée par un nombre important de nigériens surtout par les femmes en zone rurale. Cependant, cette filière rencontre des problèmes liés à la santé du volaille. -
Maladie de Newcastle (audio zarma)
Émission radio sur l’aviculture au Niger. Dans cette émission, il ressort que l’aviculture est pratiquée par un nombre important de nigériens surtout par les femmes en zone rurale. Cependant, cette filière rencontre des problèmes liés à la santé du volaille. -
Maladie de la variole aviaire : la vaccination (audio zarma)
La vaccination existe pour les poules pondeuses et les reproducteurs. Elle se réalise avec deux injections, la primovaccination au 26ème jour et le rappel à la neuvième semaine de vie. La vaccination doit avoir lieu avant l'exposition au virus. Il faut s’adresser aux vétérinaires (SVPP) ou à leurs auxiliaires d’élevage. Les produits sont disponibles à leur niveau mais les flacons sont de 500 ou 1000 doses en général selon les fabricants. -
Maladie de la variole aviaire : comment reconnaitre la maladie et la prévenir? (audio zarma)
La forme cutanée : (de la peau) reste la plus répandue et la plus rencontrée dans les élevages de volailles notamment chez les poulets, pigeons et dindes. La forme diphtérique : es symptômes varient en fonction de la sévérité des lésions Comment la prévenir ? La clé de la lutte contre la variole aviaire c’est la prévention et la vaccination pour maîtriser la maladie et empêcher sa propagation : • Le maintien d’une hygiène irréprochable dans un poulailler est essentiel : nettoyage régulier et désinfection ; • Programme de biosécurité pour empêcher le personnel et l'équipement contaminés de l'extérieur de pénétrer dans les poulaillers ; • Contrôler le cannibalisme en réduisant l'intensité lumineuse de l'environnement ; • Eviter de mélanger des volailles de différents âges ; • Les volailles infectées doivent être mis en quarantaine ou abattues ; • Il est conseillé de donner des anti-stress après chaque vaccination qu’elle soit dans l’eau de boisson ou injectable. -
Maladie de la variole aviaire (audio zarma)
La variole aviaire est une maladie virale fréquente des oiseaux domestiques (poulets, dindons, pigeons). Elle est nommée Ziguawan en Zarma et Waké en Haussa. Il s’agit d’une maladie se propageant lentement qui est caractérisée par la formation de lésions cutanées sur les parties non couvertes de plumes tels que la tête, le cou, les pattes et les pieds (formes cutanées) et/ou de lésions de la partie supérieure de l’appareil respiratoire. Cette maladie est due à un virus du genre Avipoxvirus. -
Pourquoi pratiquer l'embouche ovine pour la Tabaski? (audio haoussa)
Émission radio produite par le RECA sur l'embouche ovine destinée à la vente pour la fête de Tabaski au Niger. De la sélection à l'alimentation en passant par la durée d'embouche, le conseiller explique dans cet audio comment réussir son élevage de bélier pendant cette période. -
Pourquoi pratiquer l'embouche ovine pour la Tabaski? (audio zarma)
Émission radio produite par le RECA sur l'embouche ovine destinée à la vente pour la fête de Tabaski au Niger. De la sélection à l'alimentation en passant par la durée d'embouche, le conseiller explique dans cet audio comment réussir son élevage de bélier pendant cette période. -
Identification des dégâts causés aux cultures : par les maladies, les animaux nuisibles et les carences minérales
L’objet de ce fascicule est d’aider les agriculteurs/-trices de zones isolées à prévenir et enrayer les maladies et les plaies qui peuvent affliger leurs cultures. Ces agriculteurs/-trices n’ont peut être pas accès aux conseillers agricoles ou à d’autres experts qui pourraient diagnostiquer la cause des dégâts causés aux cultures et pourraient proposer des mesures immédiates pour stopper les ravages ou conseiller sur les moyens de prévention à prendre à l’avenir. -
CORAF et UEMOA rendent les filières coton, maïs, bétail-viande, aviculture et aquaculture plus compétitives
A la suite de l’accord de coopération signé en 2006 entre le Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles (CORAF) et la Commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), des priorités de recherche agricole ont été identifiées et définies dans la zone UEMOA. Sur cette base, les deux institutions ont procédé à la signature d’une convention d’un montant de 1 500 000 000 de francs CFA pour la mise en œuvre d’un programme collaboratif qui cadre avec les objectifs de la Politique Agricole de l’Union (PAU) et avec ceux du deuxième Plan Opérationnel (2014-2018) du CORAF. Ce programme régional d’appui à la recherche agricole, est financé par la Commission de l’UEMOA eu égard au rôle stratégique du secteur agricole dans l’économie des Etats membres à travers l’alimentation des populations, la création d’emplois, la réduction de la pauvreté en milieu rural, la promotion d’une agriculture durable et l’atteinte des objectifs de la PAU. -
Principales caractéristiques du site maraîcher de Bourbourkabé (Communauté urbaine de Niamey) : atouts et contraintes
Le site maraicher de Bourbourkabé, situé à une quinzaine de kilomètres de Niamey, a été étudié selon la méthode de diagnostic rapide avec un entretien semi structuré. Il ressort des discussions avec les producteurs que l’exploitation est individuelle avec une coopérative de producteurs qui n’est pas très bien organisée. Le site dispose d’atouts non négligeables comme la garantie de marché pour leurs produits avec la proximité de la ville de Niamey, l’existence de deux types de sources d’eau d’irrigation et le professionnalisme des producteurs. Cependant, ils rencontrent de contraintes à la production (phytosanitaires, approvisionnement en intrants, faiblesse de l’appui conseil…) et des contraintes organisationnelles (inefficacité de la coopérative des producteurs). A toutes les contraintes soulevées, des propositions de solutions ont été faites par les producteurs afin de les guider, le moment venu, à établir un plan d’action. -
Les centres de collecte de lait au Niger, pour une dynamique territoriale au service des éleveurs
Affiche sur la filière lait local en bref au Niger. -
Mémento irrigation
Ce guide s’inscrit dans les orientations de la transition écologique et prend en compte l’évolution du cadre réglementaire ainsi que les nouveaux enjeux de la politique de l’eau. Il intègre également les nouvelles données agronomiques (adaptation au changement climatique, apparition de nouvelles variétés et progression des performances) et techniques (développement de nouveaux outils d’aide à la décision. -
Documentation des solutions d’irrigation du Type 2 -PARIIS-NE : utilisation du pompage solaire avec distribution par réseau semi-californien
Le présent classeur a été préparé par un groupe restreint émanant du GNPC et de l’UGP/PARIIS NE. Le groupe restreint s’est appuyé sur les résultats de l’atelier national animé par le PST2 du 07 au 09 mars 2022 et en particulier sur ceux des ateliers régionaux consacrés à la formation des membres des PMA sur les solutions d’irrigation. Les travaux en groupes organisés lors de ces ateliers régionaux ont permis de collecter et renseigner la documentation nécessaire pour la solution d’irrigation du TYPE 2. Le Type 2 correspond aux Systèmes d’irrigation privée à petite échelle pour les particuliers ou de petits groupes de producteurs, impliquant la présence d’équipements de pompage et la distribution de l’eau par différents types de canalisations ou de conduites. La superficie pour le type 2 au Niger est comprise entre 1 et 10ha. Ce classeur de solution d’irrigation comporte quatre parties à savoir : • PARTIE I : la dimension institutionnelle, • PARTIE II : la dimension technique, • PARTIE III : la dimension financière et enfin • PARTIE IV : la dimension renforcement de capacité des acteurs pour mieux assurer le fonctionnement et la pérennisation des infrastructures d’irrigation. -
Techniques d'élevage de carpes
Pour produire des carpes (alevins, poissons de consommation ou géniteurs), il faut réaliser les travaux par étape et dans un certain ordre. Avant de les détailler dans ce chapitre, les principales étapes sont expliquées brièvement. Avant de commencer la construction d'une ferme piscicole propice à l'élevage de carpes en milieu rural, il faut identifier un site. Rappelons que l'identification du site est un facteur clé pour la réussite de tout élevage de poissons. Notons que l'élevage de carpes est également appelé carpiculture. -
Techniques d'élevage de poulets
La poule appartient l’ordre des galliformes. C’est l’ordre des oiseaux aux formes lourdes au bec et aux pattes robustes). Les galliformes forment un des groupes d'oiseaux les plus importants pour la société humaine et la recherche. Ce sont des oiseaux terrestres, non-migrateurs à l’exception des espèces de plus petite taille et capables d’effectuer des vols à courte distance. La taille peut varier de 13 cm chez la caille chinoise à 117 cm chez le paon et le dindon, mais la plupart sont de taille moyenne et semblables à la poule domestique. Les pattes sont robustes avec quatre orteils armés d’ongles solides, le pouce repose au sol, le bec est court et solide, adapté aux régimes alimentaires. La majorité des espèces présentent un dimorphisme sexuel très marqué, en taille ou en apparence. La volaille est tout oiseau élevé ou chassé pour un but économique. ( Poule, canard, dindon, pintade, oie. -
Manuel de Culture du Manioc
Le manioc (Manihot esculenta Crantz) est un aliment de base pour de nombreuses populations, notamment dans les pays tropicaux et subtropicaux. Cela est dû au fait que cette plante est facilement cultivable, peu exigeante en intrants et que sa récolte s’étale sur une longue période, facilitant ainsi un accès régulier des populations à cette matière première. De plus, c’est un aliment très énergétique, fournissant 159 kcal d’énergie alimentaire par 100 g de portion comestible. Comme la plupart des produits agricoles, l’eau constitue la majeure partie de la racine de manioc (60 à 70 % de la portion comestible, c’est-à-dire la chair de la racine épluchée). La matière sèche restante (30 à 40 % de la portion comestible) est majoritairement (90 à 95 %) composée de glucides, de protéines (1 %), de lipides (0,3 %), de fibres (1 %) et d’éléments minéraux (0,9 %). S’y ajoutent des quantités minimes de vitamines (A, B, C), de calcium, de phosphore et de fer. Les glucides contenus dans le manioc sont essentiellement constitués d’amidon, l’amylose, l’amylopectine. La forte teneur en amidon fait du manioc un aliment très énergétique. La racine de manioc est plus riche en glucides que les tubercules de pomme de terre, d’igname, de patate douce ou de taro, mais elle est plus pauvre en protéines. Néanmoins, les feuilles de manioc sont très riches en protéines (autour de 30 % par rapport à la matière sèche) ; elles contiennent notamment de la lysine et de la leucine mais sont pauvres en acides aminés soufrés dont la méthionine. Elles contiennent également des caroténoïdes. -
Impacts potentiels du changement climatique sur les rendements du mil et du sorgho cultivés dans les communes rurales au Niger
Le changement climatique constitue une menace majeure pour les populations de l’Afrique de l’Ouest, en général et du sahel, en particulier. Le Niger est, pleinement, concerné par cette situation qui se traduit par une grande variabilité pluviométrique et une forte récurrence de sècheresses depuis les années 1970s. Cette étude analyse l’impact du changement climatique sur les rendements du mil et du sorgho dans les Communes rurales de Balleyara, Dan Issa, Dogo, Harikanassou, Illéla, Magaria et Mokko, au Niger. Deux variétés de mil (HKP et SOMNO) et une de sorgho (Caudatum) ont été testées. -
Manuel de culture légumes feuilles
Au Cameroun, plusieurs plantes sont cultivées pour leurs feuilles. Quatre espèces sont particulièrement consommées. Il s’agit de : - L’amarante blanche, à feuilles vertes (Amaranthus blitum), localement appelée fonlon, - La corète potagère (Corchorus olitorius), localement appelée keleng-keleng ; - La morelle noire (Solanum scabrum), localement appelée zom, ou djama-djama. Ces légumes-feuilles, riches en vitamines et en sels minéraux, constituent un apport nutritionnel important. Certains apportent des nutriments particuliers. La corète potagère est riche en acide folique, l’amarante en acides aminés soufrés et la morelle noire en protéine -
Fabrication de cossettes et de farine de patate douce
La patate douce est appréciée dans beaucoup de régions d’Afrique orientale. Elle résiste à la sécheresse, elle est robuste et peut se cultiver dans des zones marginales, contribuant ainsi à l’amélioration de la sécurité alimentaire. Les jeunes feuilles et les cordes peuvent servir de légumes ou de fourrage pour le bétail. La variété à chair orange est riche en bêta-carotène, qui renforce le système immunitaire. -
Manuel de production d'alevins du silure africain : heterobranchus longifilis
Ce manuel propose donc une technologie qui permet la réalisation et l'utilisation en routine d'une unité fiable de production d'alevins de 10 g de Heterobranchus longifilis, selon le principe de l'élevage intensif en structures hors-sol, fonctionnant en circuit ouvert ou en circuit fermé. Nous allons le voir plus loin, l'une ou l'autre option sera prise en compte en fonction de la disponibilité en eau. -
Les sautériaux : un mur de la fatalité sans ombre
Les sauteriaux forment une catégorie de criquets réputés incapables de changer de forme ou d'habitudes de vie sous l‘effet du groupement des individus. La définition que l’on peut en donner est donc plus négative que positive. Le terme même est emprunté au patois moribond de I ‘Ouest français pour désigner tous les criquets non grégariaptes, sédentaires, d'importance économique secondaire. Ils ont toujours été distingués des grandes espèces de type locuste (Criquet migrateur, Criquet pèlerin, Criquet nomade...) qui ont frappé I ‘imagination des hommes depuis la plus haute antiquité par les rassemblements considérables de larves ou d'ailés dévastant périodiquement les cultures. La définition des sauteriaux contient cependant beaucoup de termes approximatifs ou inexacts, reflet lidèle de I ‘indifférence ou de I ‘ignorance de I ‘homme Si ces espèces ne possèdent que peu d'aptitudes pour la grégarisation, c'est-à-dire la faculté de revêtir des formes complémentaires et réversibles, l'une qualifiée de solitaire et l'autre de grégaire, elles s'avèrent en revanche capables de déplacements à grandes distances et prennent parfois une importance économique préoccupante. Leurs mœurs sont mal connues par suite de leur relative discrétion : peu de phénomènes de foules, nombre élevé d'espèces évoluant dans des milieux anthropisés ou naturels, dégâts peu spectaculaires, pullulation ns localisées. -
Manuel de zootechnie des régions chaudes : les systèmes d'élevage
Ce livre est l'aboutissement d'un long projet (6 ans depuis1987) et d'un travail d'équipe. Ce n'est ni un manuel scientifique ni un traité complet d'élevage en pays tropicaux. De tels ouvrages sont nombreux, mais il manquait au contraire un manuel d'initiation et de vulgarisation vraiment axé sur les systèmes d'élevage. Le sujet en est l'élevage tropical et méditerranéen. Mais la démarche est celle de "l'approche systémique" : il s'agit d'aborder l'élevage d'une région dans son aspect global (milieu-cheptel-éleveurs) et de reconnaître le rôle central de l'éleveur (au sens large, groupe domestique et villageois), en tant qu’ingénieur et pilote" du système d'élevage. La 1ère partie de ce livre développe donc cette manière d'approcher, d'étudier les élevages (chapitres 1 à 5). -
L'olivier de lapperine, indicateur des changements environnementaux à long terme dans l'Air : cas du massif de Bagzane, Air-Ténéré
L'objectif de ce travail est d'apporter les élements nécessaires à la mise en place d'un suivi à long terme permettant de caractériser l'effet des changements climatiques sur la végétation montagnarde du massif saharien de l'Air. L'indicateur biologique choisi pour cette étude est Oléa. europaea subsp. Laperrinei, considéré comme une sous-espèce de l'olivier domestique (Baali-Cherif et Besnard, 2005). -
Manuel de culture de goyavier
La goyave est l’une des meilleures sources de vitamine C et de fibres alimentaire. La goyave contient presque cinq fois plus de vitamine C que l’orange. La vitamine C contribue à la formation des tissus, à l’absorption du fer par l’organisme et à un certain nombre de réactions physiologiques. Elle accélère la cicatrisation des lésions cutanées et prévient la formation de furoncles. Les fibres qu’elle contient empêchent la constipation et contribuent à la prévention des cardiopathies en abaissant le taux de cholestérol sanguin. La goyave contient également d’importantes quantités de vitamine A et présente une teneur adéquate en minéraux, en potassium et en magnésium. Les goyaves sont plus nutritives que nombre de fruits importés, comme les pommes. La goyave contient des antioxydants qui protègent les cellules et réduisent les risques des maladies cardio-vasculaires. Les jeunes feuilles fraiches sont utilisées en pharmacopée pour stopper les diarrhées, juste en les mâchant. Bouillies et prises en infusion, elles sont aussi une source importante de vitamine C. il existe deux types de goyaviers, sur la base de pulpe, qui sont entre autre les goyaves à pulpe blanche (bonnes pour les confitures) et les goyaves à pulpe rouge. -
Manuel de culture du gombo
Le gombo est une plante qui résiste à la chaleur. Il aime la pleine lumière et le soleil. Il se développe bien dans les sols profonds, bien drainés et riches en matières organiques. Le gombo a un système racinaire pivotant. Un bon arrosage permet d’avoir de bons rendements. La production du gombo ne nécessite pas la mise en place d’une pépinière. Le gombo est adapté aux conditions tropicales. Il peut pousser partout au Cameroun. -
Manuel de culture de choux
Les sols favorables à la culture du chou doivent être bien drainés et de préférence limoneux avec une profondeur allant de 20 à 60 cm. Un pH voisin de 6 est bénéfique à la culture. Le chou s’épanoui bien à une température optimale de 15 à 20°C, lorsque les pluies sont bien réparties à raison de 250 à 300 mm durant la période de croissance. Le chou requiert une humidité relative minimale de 60 % ; -
Culture du Bananier Plantain
En agronomie, la multiplication du matériel végétal de bonne qualité reste un défi constant chez les producteurs qui voudraient accroître leurs exploitations. Le plus souvent, quand le matériel est disponible, il n’est pas sain. Ce problème s’est aussi posé avec le bananier plantain. Une des solutions a été trouvée par la production des plants sains en utilisant des techniques de laboratoire avancées c’est le cas de la bio technologie. Mais les plants produits par cette méthodes bien que de bonne qualité, sont très coûteux (1 500 et plus). En réponse donc des méthodes moins efficaces ont été mises au point. On les étudiera en détail. -
Guide de l'élevage du mouton méditerranéen et tropical
Herbivore de l’ordre des ruminants, le mouton ou Ovis aries Linnaeus 1758 (en anglais sheep) est un des plus anciens animaux domestiques. Il est répandu dans tout le monde, avec des effectifs élevés, montrant par là des facultés d’adaptation aux climats divers et un intérêt universel. C’est un petit ruminant avec la chèvre, le lama, l’alpaga et le guanaco. Il valorise l’herbe qu’il broute, même lorsqu’il s’agit de végétaux riches en fibres. Sa taille plus petite que celle des bovins est à la fois un inconvénient et un avantage. C’est un inconvénient quand on désire disposer de beaucoup de viande à la fois. C’est un avantage pour les pays chauds là où la chaîne de froid est inopérante. Une carcasse suffit aux besoins d’une famille avec très peu de gaspillage. Par ailleurs, une famille pauvre peut plus facilement se séparer d’un mouton que d’une vache. -
L'élevage du mouton
Synthèse, réalisée par le SECAAR, de "Elevage du mouton en zone tropicale humide" - Institut d'élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux (IEMVT). -
L'élevage des chèvres
II est facile de trouver la nourriture de la chèvre. En tant que ruminant, elle sait très bien tirer profit d'un fourrage, même s'il est de mauvaise qualité. Elle réussit à brouter là où les vaches n'auraient pas eu assez d'herbe. Mais attention la chèvre est aussi délicate : elle n'apprécie pas le fourrage moisi ou entrain de pourrir mais aime recevoir une nourriture variée et pas trop humide. -
MANUEL EN AGRICULTURE CULTURE DU MAIS
De son nom scientifique Zea mays, le maïs est la troisième céréale la plus cultivée dans le monde après le blé et le riz. Dans le monde, il joue un rôle très important dans l’alimentation humaine et animale. Au Cameroun par exemple, sept (7) personnes sur dix (10) mangent le maïs sous de formes variées. Avant d’entreprendre une opération de culture de maïs, il faudrait d’abord s’assurer que l’on dispose des semences en quantité suffisante. Pour la culture pure du maïs, il faut en moyenne 20 à 25 Kg de semences par hectare. En association avec une autre culture, cette quantité est diminuée de moitié. Au Cameroun, plusieurs variétés ont été mises au point par l’IRAD (Institut de recherche Agricole pour le Développement), notamment les CMS (Cameroon Maïze Sélection) adaptées aux zones forestières de basses et moyennes altitudes ; les CHC (Cameroon Highland Composite) adaptées aux zones de hautes altitudes de l’Ouest du pays et les CHH (Cameroon Highland Hybride) qui sont des hybrides des hautes terres de l’Ouest. -
MANUEL CULTURE LEGUMES FEUILLES
Au Cameroun, plusieurs plantes sont cultivées pour leurs feuilles. Quatre espèces sont particulièrement consommées. Il s’agit de : - L’amarante blanche, à feuilles vertes (Amaranthus blitum), localement appelée fonlon, - La corète potagère (Corchorus olitorius), localement appelée keleng-keleng ; - La morelle noire (Solanum scabrum), localement appelée zom, ou djama-djama. Ces légumes-feuilles, riches en vitamines et en sels minéraux, constituent un apport nutritionnel important. Certains apportent des nutriments particuliers. La corète potagère est riche en acide folique, l’amarante en acides aminés soufrés et la morelle noire en protéines -
MANUEL DE CULTURE DU GOYAVIER
La goyave est l’une des meilleures sources de vitamine C et de fibres alimentaire. La goyave contient presque cinq fois plus de vitamine C que l’orange. La vitamine C contribue à la formation des tissus, à l’absorption du fer par l’organisme et à un certain nombre de réactions physiologiques. Elle accélère la cicatrisation des lésions cutanées et prévient la formation de furoncles. Les fibres qu’elle contient empêchent la constipation et contribuent à la prévention des cardiopathies en abaissant le taux de cholestérol sanguin. La goyave contient également d’importantes quantités de vitamine A et présente une teneur adéquate en minéraux, en potassium et en magnésium. Les goyaves sont plus nutritives que nombre de fruits importés, comme les pommes. La goyave contient des antioxydants qui protègent les cellules et réduisent les risques des maladies cardio-vasculaires. Les jeunes feuilles fraiches sont utilisées en pharmacopée pour stopper les diarrhées, juste en les mâchant. Bouillies et prises en infusion, elles sont aussi une source importante de vitamine C. il existe deux types de goyaviers, sur la base de pulpe, qui sont entre autre les goyaves à pulpe blanche (bonnes pour les confitures) et les goyaves à pulpe rouge. -
Elevage des oies
Les oies appartiennent à un groupe d’oiseaux de la famille des anatidés dans lequel on trouve aussi les cygnes et les canards. L’oie est un oiseau de basse-cour dont le mâle se nomme « jars » et le petit « oison ». Les oies peuvent vivre pendant 25 ans. -
Pharmacopée de l'Afrique de l'Ouest
Dans de nombreux pays du monde, les connaissances médicales traditionnelles ne sont transmises que de bouche à oreille, avec très peu ou pas de documentation. Cependant, depuis la fin du XXe siècle, en raison de la réalité de l’immense potentiel de la médecine traditionnelle et de la demande croissante des détenteurs de savoirs endogènes pour un partage équitable des avantages tirés de la commercialisation de leurs produits, il y a eu des appels pour la documentation et la protection des connaissances médicales traditionnelles. À la lumière de cela, dès 1986, la quatrième Conférence internationale des autorités de réglementation pharmaceutique, tenue à Tokyo, a invité l’OMS à établir une liste des plantes médicinales et à définir des spécifications internationales pour les plus utilisées. Par la suite, plusieurs États Membres de l’OMS ont fait des efforts pour fournir des médicaments à base de plantes sûrs et efficaces à leurs populations. -
Le succès d’un verger repose aussi sur des plants sains
En Suisse, l’approbation/la certification des arbres fruitiers n’est pas encore ancrée dans les habitudes, bien qu’elle constitue l’unique garantie d’avoir des plants exempts de virus et de phytoplasmes. Comme la certification est facultative en arboriculture fruitière, l’offre en plants certifiés dépend de la demande. Les virus et phytoplasmes peuvent provoquer des dommages économiques plus ou moins graves selon l’année, l’espèce fruitière et la variété. Ces pertes à la récolte ont été calculées avec le modèle ARBOKOST développé par Agroscope. Une virose réduisant le rendement de 15% seulement peut se traduire par une perte de 50000fr./ha dans une culture de Golden Delicious établie depuis quinze ans. -
Rapport de session d'écoute dans les villages et auprès des leaders dans les régions sahéliennes du Niger, du Burkina Faso et du Mali
Dans le cadre du Programme de Renforcement de la Résilience et d’Adaptation aux Extrêmes Climatiques et Désastres (Building Resilience and Adaptation to Climate Extremes and Disasters -BRACED- Programme) de l’Agence de Coopération Britannique (DFID), CRS en tant que chef de file d’un consortium, avait soumis en novembre 2013 une note conceptuelle pour le projet SUR1M (Scaling Up Resilience for 1 Million people), un projet se proposant de couvrir 30 communes situées dans le bassin versant du fleuve Niger, en zone du Sahel. Treize de ces communes sont situées au Niger, dix au Burkina et 7 au Mali. La note ayant été approuvée en décembre 2013, CRS a lancé une enquête en mars 2014 pour recueillir les points de vue des bénéficiaires potentiels du projet et des leaders des communes ciblées. -
Exigences pour une production dʼagrumes biologiques réussie
Manuel de formation sur les exigences pour une production d’agrumes biologiques réussie. -
Atelier présentation et formation sur l’agroécologie: TAHOUA
Présentation à Tahoua sur la transition agroécologique et le conseil agricole au Niger par le Prjet ACOTAF. -
La culture de la banane biologique
Selon la Fédération internationale des mouvements d’agriculture biologique (IFOAM), l’agriculture biologique est un système de production qui préserve la santé des sols, des écosystèmes et des personnes. Elle s’appuie sur des processus écologiques, la biodiversité et des cycles adaptés aux conditions locales, plutôt que sur l’utilisation d’intrants aux effets néfastes. L’agriculture biologique combine la tradition, l’innovation et la science au profit de l’environnement commun et favorise des relations équitables et une bonne qualité de vie pour toutes les personnes concernées. -
Mauvaises pratiques de production de bananes
Manuel de formation sur les mauvaises pratiques de production de bananes ainsi que les pratiques d'amélioration. -
Pastoralisme et violence en Afrique du Nord et de l’Ouest
Cette étude examine l’évolution géographique et temporelle des violences impliquant des pasteurs en Afrique du Nord et de l’Ouest. L’analyse repose sur plus de 36 000 événements violents survenus entre janvier 1997 et avril 2020, dans lesquels 206 groupes pastoraux ont été impliqués. Elle dresse ainsi un état des lieux des dynamiques des violences pastorales à l’échelon régional au cours des 20 dernières années. Une compréhension fine du rôle des pasteurs dans les violences est essentielle pour renforcer l’efficacité des politiques de stabilisation. Déjà répandues dans la région, les violences pastorales se sont étendues et intensifiées, comme en témoigne l’augmentation rapide du nombre d’événements violents et de victimes au cours des dix dernières années. De nombreux groupes ethniques sont impliqués, notamment les Peul et les Touareg. Le Nigéria et ses périphéries ainsi que le Sahel central sont les deux foyers principaux à partir desquels se propagent les violences régionales. -
Problèmes d'environnement dans les programmes de lutte de l'USAID contre les locustes et les sauterieaux
L'US Agency for International Development (USAID) ct un certain nombre d'autres pays donateurs ont aidé les pays d'Afrique ct du Proche-Orient dans leur lutte contre les locustes et les sauteriaux pendant la période d'invasion des années 1986-89. Dans cette lutte, ce furent surtout des insecticides qui furent utilisés pour réduire immédiatement la population acridienne. Le présent document relate les efforts de protection de l'environnement accomplis et accomplir par I'USAID lors de toute application d'un programme recourant aux pesticides. -
Interdépendance des filières laitières ouest-africaine et française : pistes de réflexion pour une relation durable
Alors que l’impact de la concurrence extérieure sur le développement de la filière laitière ouest africaine est un débat de longue date parmi les acteurs du développement international, Afdi initie depuis 2015 des travaux sur ce sujet1. Constatant que l’analyse développée par les ONG et la recherche se concentre globalement sur le commerce de produits laitiers entre l’Union européenne et l’Afrique de l’Ouest, Afdi propose, à travers cette note, d’analyser plus spécifiquement les interdépendances entre les filières laitières française et ouest-africaine afin de renforcer leurs complémentarités. Ce document contextualise les enjeux commerciaux entre les filières, analyse les initiatives des principaux exportateurs français et propose une série de recommandations. -
Au cœur de la marginalisation des femmes en milieu rural nigérien : l’accès à l’eau agricole
La question des droits économiques des femmes s’inscrit dans le cadre plus large des droits de la personne humaine. Aujourd’hui, un dispositif juridique solide la consacre à l’échelle internationale. Et la plupart des États l’ont inséré dans leur droit positif. Le Niger s’est inscrit dans ce mouvement. Il a ratifié les principaux outils existant en la matière. Les plus importants d’entre eux sont intégrés dans sa Constitution comme pour leur donner un caractère fondamental. Il s’agit principalement de la déclaration universelle des droits de l’homme et de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples. -
Mouvement coopératif et organisation du monde rural au Niger : bilan, perspectives et propositions pour l'avenir
Cet article est une contribution à la connaissance du mouvement coopératif nigérien : ses péripéties et son rôle dans l'organisation des paysans. Il tire sa substance d'une série d'entretiens que nous avons eus avec les agents de la Direction de l'Action Coopérative du Ministère du développement rural et ceux de l'Union Nationale des Coopératives (UNC)qui ont accepté volontiers de nous fournir la documentation de base de cette étude. -
Lutte biologique et biocontrôle : un besoin de clarification
La lutte biologique et le biocontrôle sont des concepts de protection des cultures qui ont des points communs mais qui ont également leurs spécificités. La première est connue depuis les années 1880, alors que le second est apparu dans les années 2010 dans le paysage français. Depuis quelques années, on constate régulièrement une confusion dans les termes et dans les interprétations de ces concepts qui ne sont pas de même nature : la lutte biologique est définie par des stratégies et le biocontrôle par des produits. Ce papier vise donc à répondre à un besoin de clarification : il contribue à distinguer les périmètres et les contenus de ces concepts, à pointer certains rapprochements abusifs et à proposer des clarifications sémantiques. Il passe en revue les termes anglophones et francophones relatifs à la lutte biologique et au biocontrôle à l’échelle européenne. Le papier discute enfin du rôle et de la pertinence des deux concepts dans la protection agroécologique des cultures. La lutte biologique par conservation y occupe une place centrale, car elle relève d’une approche systémique et préventive des risques liés aux bioagresseurs des cultures. Si certains produits de biocontrôle sont prometteurs pour la prévention des risques liés aux bioagresseurs, beaucoup d’autres s’inscrivent dans une démarche curative, similaire à celle de l’utilisation des pesticides chimiques de synthèse, avec les mêmes types de retombées commerciales pour l’agro-industrie. -
Culture sur butte : pourquoi et comment ?
La culture sur butte connaît en réalité plusieurs origines intellectuelles, si l’on peut dire ce qui explique en partie qu’il en existe différents types. La première, que nous apprécions tout particulièrement chez DEFI-Écologique, est en réalité l’application concrète d’une connaissance du fonctionnement du sol, notamment à travers les mycorhizes qui y évoluent. -
Comment l'Intelligence Artificielle transforme l'Agriculture
En 34 ans de publication, Spore s’est installée dans le paysage agricole comme une référence au service d’une transformation durable. Dans ce dernier article Tendances, nous revenons sur l’héritage légué par le magazine phare du CTA et son évolution d’un simple bulletin technique à une publication exhaustive en ligne et sur papier. -
Importance socio-économique de l’élevage de la chèvre rousse de Maradi et sa contribution dans l’économie des ménages producteurs
Une analyse socio-économique a été menée au niveau des éleveuses de chèvres rousses dans de 360 ménages, repartie dans sept villages (deux au Nord, deux au Sud, deux à l’Ouest et un à l’est) de la région de Maradi. La taille moyenne des ménages enquêtés est de 9,25 ± 3,25 individus. L’enquête a montré que 37,5%, 60%, 2,5% des ménages enquêtés ont respectivement comme activité principale l’élevage, l’agriculture et le commerce. 47% pratiquent l’élevage de la chèvre rousse pour la commercialisation des animaux, 13% spécialement pour des raisons alimentaires. 68% des ménages utilisent le lait frais pour autoconsommation et l’activité rapporte 32.401,25 FCFA par ménage et par mois. Le revenu annuel moyen par ménage (uniquement par les recettes d’élevage) est d'environ 388.815 FCFA. -
Le haricot mungo, Vigna radiata (L.), une alternative à l’association sorgho-niébé pour la diversification des cultures en conditions soudano-sahéliennes ?
La diversification des cultures est un des leviers qui pourraient contribuer à stabiliser, voire améliorer, les rendements dans les régions soudano-sahéliennes contraintes par des conditions climatiques semi-arides et des sols très faiblement fertiles. Elle peut permettre aussi d’atténuer les risques liés aux marchés. Cette diversification peut être mise en œuvre par la pratique des associations et des rotations ainsi que par l’enrichissement de celles-ci avec de nouvelles espèces. Pendant trois années d’expérimentation, nous avons comparé sept espèces, dont quatre légumineuses y compris le haricot mungo, cultivées seules ou en association avec le sorgho. Le haricot mungo est apparu comme une espèce très bien adaptée aux conditions semi-arides du Burkina Faso. Parmi les sept espèces testées, c’est celle qui a produit le plus de grains, entre 0,8 et 1,8 t ha 1 en culture pure et entre 0,35 et 0.9 t ha 1 en association avec le sorgho. Nos résultats confirment aussi le gain de rendement de la culture de sorgho associée avec les légumineuses par rapport à la culture pure. Vingt-cinq producteurs du centre nord du Burkina Faso ont testé le haricot mungo dans leurs parcelles et apprécié sa productivité et sa rusticité. Ils ont obtenu un rendement moyen de 0,7 t ha. Toutefois, l’absence de marché, par comparaison au niébé, reste un frein à sa diffusion. -
Insémination artificielle bovine sur chaleurs naturelles dans des élevages traditionnels extensifs en périurbain de Niamey
La présente étude a été menée sur une période de 6 mois dans des élevages traditionnels périurbains de Niamey (Niger). Il s’agit de la mise en œuvre d’un protocole d’insémination artificielle (IA) sur chaleurs naturelles dans les élevages traditionnels périurbains de Niamey (Niger). Ce travail comprend deux parties : la synthèse bibliographique et l’expérimentation. -
Conditions de production défavorables pour le manioc
Le présent document est porte sur les conditions de productions défavorable pour le manioc. Il propose à cet effet, les bonnes pratiques agricoles à mettre en place pour avoir un meilleur rendement. -
Apiculture biologique
Selon la Fédération internationale des mouvements d’agriculture biologique (IFOAM), l’agriculture biologique est un système de production qui préserve la santé des sols, des écosystèmes et des personnes. Elle s’appuie sur des processus écologiques, la biodiversité et des cycles adaptés aux conditions locales, plutôt que sur l’utilisation d’intrants aux effets néfastes. L’agriculture biologique combine la tradition, l’innovation et la science au profit de l’environnement commun et favorise des relations équitables et une bonne qualité de vie pour toutes les personnes concernées -
Réduire l’usage des pesticides au Togo et au Mali par l’adoption de démarches participatives et l’intégration des savoirs locaux
Dans les systèmes agraires des zones soudano-sahéliennes d’Afrique de l’Ouest, les enjeux de gestion durable des ressources naturelles et de la biodiversité font émerger des défis de conception et d’adaptation de systèmes agroécologiques par les exploitations agricoles familiales. Quelles démarches d’agronomes sont pertinentes dans ces contextes pour accompagner les agriculteurs dans cette transition et en particulier la gestion agroécologique des ravageurs des cultures ? Quels outils des démarches cliniques en agronomie peuvent être mobilisés et adaptés pour l’écoute et l’accompagnement des paysans et paysannes non seulement au niveau individuel mais aussi à l’échelle des territoires ? Pour répondre à ces questions, nous présentons une étude de cas issue de l’expérience d’AVSF pour l’intégration des savoirs locaux dans une démarche de réduction de l’utilisation de pesticides : la Région des Savanes au Togo, ainsi que la mise en perspective dans une autre expérience : le Cercle de Kita au Mali. -
La Formation Agricole Participative (FAP)
Le présent document présente la méthodologie FAP, de façon descriptive pour les professionnels qui souhaitent adopter ce même abordage dans leurs zones d’intervention, mais aussi de façon critique, en mettant en relief les forces et les limites de cette méthodologie, de façon à les aider à adapter au mieux la FAP selon leurs contextes de travail. -
Situation typique de production de miel
Manuel de formation sur la production du miel. -
Renouvellement arboricole et régénération des palmeraies dans la région d’Agadez
Dans le bassin de production de Timia, la production d’agrumes connaît une progression ces dernières années, si on tient compte des quantités commercialisées qui passent de 253 tonnes en 2013 à 551 tonnes en 2018). Cela liée surtout à la progression des superficies emblavées. Cela est lié à la rentabilité de cette culture malgré certaines insuffisances en techniques de production. Les conditions d’une amélioration de la production et de la rentabilité existent vue l’engagement des producteurs et les disponibilités en terres, en eau et en technologies nouvelles. Cependant, le souci principal des producteurs demeure : comment mieux vendre les agrumes aujourd’hui et demain? Dans les nouvelles zones de production, à savoir Tabelot, Dabaga, Tchirozérine et Ingall (Carte 1), la production est embryonnaire, compte tenu du niveau technique faible des producteurs et de l’insuffisance de l’eau d’irrigation durant une partie de l’année. Dans la Commune Urbaine d’Agadez, un type nouveau de producteurs a fait son apparition, notamment des fonctionnaires et des commerçants, avec des superficies assez importantes et une ambition pour faire une production améliorée et variée. -
Production de l’oignon semence : résultats du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) Campagne saison sèche-froide 2021-2022
Dans le cadre de la conduite du conseil de gestion à l’exploitation familiale, 31 producteurs ont été suivis pour la production des semences d’oignon. Tous ces producteurs suivis font également de l’oignon bulbe. Tous les producteurs suivis sont des hommes et leur moyenne d’âge est de 47 ans. L’oignon est une plante bisannuelle, elle a besoin de deux saisons pour produire des graines ou semences. Lorsque l’on sème une graine, la première saison, elle donne un bulbe comestible. La deuxième saison, après repos et plantation, le bulbe grossit et éclate en plusieurs bulbes qui donnent une ou plusieurs tiges florales, lesquelles donneront des graines. -
Définition des mesures de sécurisation foncière des périmètres irrigués au Niger
L’étude sur la procédure de sécurisation foncière des AHA constitue aujourd’hui l’une des « soupapes de sécurité » attendues par nombre d’acteurs du développement rural, dans la mesure où elle contribuera à établir formellement les statuts des terres aménagées et à garantir les conditions de réalisation d’investissements importants et pérennes sur les périmètres irrigués. Si les termes « périmètre irrigué », « périmètre aménagé » et « AHA » sont invariablement utilisés l’un pour l’autre, le concept le mieux approprié dans le cadre de la présente étude est l’AHA, en ce sens qu’il a reçu une définition légale3, mais surtout qu’il rend plus globalement compte de la situation des terres mises sous aménagement par l’État à des fins agricoles. Mais il faut distinguer ces grands AHA des petits périmètres aménagés dans la plupart des cas par des projets et ONG, mais souvent aussi par l’État, pour la petite irrigation à des fins de production maraîchère. Le statut juridique de ces petits périmètres est hybride, dans le sens où souvent la terre est « prêtée » par son propriétaire aux exploitants-maraîchers, ou des fois mise à la disposition de la structure intervenante par l’autorité coutumière locale. Dans tous les cas, le statut foncier de ces espaces est précaire. -
Manuel d’utilisation du Grilloir-Fumoir QUALISANI conçu et fabriqué à l’attention des producteurs de viande de porc grillée et des productrices de poisson fumé et fumé-séché
Ce manuel a pour but de mettre à la disposition des transformateurs/trices, des informations nécessaires pour un bon usage et un entretien adéquat de l’équipement. -
L'alimentation de la poule
Lorsque notre élevage de poules grandit, on est rapidement confronté au problème de la nourriture qu’il faut donner. L’aliment complet ne se trouve pas partout et coûte cher. Voici des idées qui devraient vous permettre de composer vous-même votre aliment. Vous adapterez le mélange en fonction de ce que vous trouverez dans votre région. -
Contribution à l’analyse des stratégies d’autofinancement de la Fédération des Coopératives Maraichères du Niger - Niya (FCMN – Niya)
Au Niger, l’importance des organisations paysannes (OP) a beaucoup accru avec la loi coopérative de 1996, régissant le système coopératif qui a facilité leur émergence et leur développement. Nées dans un contexte complexe, caractérisé par le retrait de l’Etat du secteur agricole et la réticence des institutions financières (IF) à les financer, les organisations paysannes rencontrent des difficultés financières majeures. Cette situation causée par les contraintes liées à l’activité agricole elle-même et la méfiance des IF, entraîne une forte dépendance des OP des partenaires financiers extérieurs. C’est dans ce contexte qu’évolue la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-Niya). Créée en 1996, à l’initiative de 11 coopératives maraîchères, la FCMN-Niya est aujourd’hui forte de plus de 140 coopératives et unions de coopératives. Toutefois, à l’instar des autres organisations paysannes du pays, elle se trouve confronté au problème du financement de ses activités. -
Effet des feuilles sèches de neem et de ricin sur les nématodes à galles (Meloidogyne javanica) de la tomate au champ
Les feuilles sèches de neem (Azadrichta indica A. Juss) et de ricin (Ricinus communis L.) ont été utilisées en incorporation au sol, en comparaison au produit nématicide, Nemacur (fénamiphos), pour le contrôle au champ des nématodes à galles Meloidogyne javanica de la tomate. Ces deux espèces végétales à effet nématicide, incorporées sous forme de fragments de feuilles séchées, à la dose de 10 tonnes/ha, ont permis de réduire les populations des nématodes à galles et d’améliorer la croissance et le rendement de la tomate. Le taux d’accroissement du rendement par rapport au témoin a été de 25,71 % pour le neem et de 73,79 % pour le ricin. De plus, le ricin a eu un effet nématotoxique comparable à celui du fénamiphos dansla réduction de l’indice de galles. -
Biopesticides et bio rationnels
Metarhizium anisopliae ; M. acridum sont des champignons qui poussent naturellement dans les sols et causent des maladies chez une gamme variée d’insectes en agissant comme un parasite ; ils appartiennent ainsi aux champignons entomopathogènes. Les isolats qui infectent les criquets sont parmi les souches les plus spécifiques. L'un des plus intéressants appartient à la classe des Ascomycètes : il s’agit de Metarhizium anisopliae pv acridum connu comme agent pathogène sur plus de 8 ordres d'insecte. -
Bulletin pastoral 1er décade septembre 2023
La Situation pastorale au cours de la première décade de septembre 2023 est caractérisée par un développement progressif du cycle végétatif du tapis herbacé. Ce dernier présente une physionomie variable. Ainsi, le stade phénologique des herbacés varie du tallage à l’épiaison en zones pastorale et agricole. Il varie de l’épiaison au début de grenaison pour les graminées et de la floraison à la formation des gousses pour les légumineuses sur plusieurs endroits. -
Note conceptuelle sur un programme de réponse intégrée à la problématique des « conflits entre éleveurs et agriculteurs au Niger » liés à la transhumance
La transhumance permet l’occupation, sur un temps limité, des pâturages ce qui assure leur régénération, la diversification des espèces, leur assainissement, la réduction des risques de feux de végétation et a fortiori la fertilité des sols. Malheureusement, celle-ci est dangereusement menacée. En 2020, le CICR estimait que cette mobilité au Niger n’était plus qu’à 36,5 pour cent normale, 41,5 pour cent limitée et déjà 22 pour cent hautement perturbée3. Les défis auxquels elle fait face ont trait à la pression de plus en plus accrue sur les ressources naturelles, au changement climatique, à l’expansion du désert du Sahara vers le Sud, (touchant fortement le territoire nigérien), à la multiplication des conflits de plus en plus violents et à la faible couverture du pays en structures décentralisées d’accompagnement des éleveurs qui effectuent régulièrement la transhumance transfrontalière. Une nouvelle tendance négative s’observe aussi pour limiter les entrées des troupeaux par des quotas d’animaux par saison (ex. le Benin). Tout ceci exacerbe davantage le problème de mobilité pastorale. -
Analyse technico–économique des Aliments densifies sur les performances de croissances des boucs roux de Maradi au Niger
Une étude portant sur l’influence des aliments densifiés sur la performance de croissance des boucs roux de Maradi a été conduite entre juillet 2016 à septembre 2016. Quarante deux (42) boucs ont été répartis au hasard en six lots de sept individus. Chaque lot correspond à un aliment ou traitement préparé à partir des ingrédients broyés et les individus représentent les répétitions. Les animaux sont logés dans des cages individuelles. La période d’adaptation et de collecte des données étaient respectivement de 14 et 56 jours. Cinq aliments (T1, T2, T3, T4, T5) qui se distinguaient sur la base du type du fourrage grossier et de son pourcentage entrant dans la formulation, étaient comparés à un aliment témoin (T0) préparé à partir de la formulation paysanne. Les résultats obtenus indiquaient que T0, T3 et T1 étaient les meilleurs avec des GMQ respectifs de 78,3 g/j, 51,8 g/j et 50,9 g/j. Les indices de consommation (IC) sont de 7,1 pour T0, 10,3 pour T3 et 10,6 pour T1. Sur le plan économique, T0 offre un bénéfice net de 1373 FCFA par animal suivi de T1 avec 1316 FCFA par animal et T3 avec 1311 FCFA par animal. Cette expérience montre bien que les tiges de sorgho peuvent concurrence. -
Étude sur l’état des lieux des réseaux et plateformes nationaux et régionaux existants en matière d'agroécologie, de formation en agriculture durable ; cartographie des initiatives et organisations impliquées ; et propositions pour le renforcement d’un réseau d’acteurs de l’agroécologie en Afrique de l’ouest
L’objectif global de cette étude est de disposer d’une base de données des réseaux et plateformes nationaux et régionaux, d’avoir une bonne connaissance des caractéristiques desdits réseaux et plateformes et de leurs capacités à accompagner la CEDEAO dans la mobilisation régionale des acteurs pour l’agroécologie et dans le plaidoyer en faveur de la prise en compte de l’agroécologie et de l’agriculture durable et écologiquement intensive dans les politiques nationales et régionales d’investissement agricoles et de sécurité alimentaire. -
Panorama des meilleures pratiques de montage et de mise en œuvre des projets d’adaptation dans l’agriculture
Ce panorama vise à restituer les leçons apprises et les bonnes pratiques dans la conception, le montage, la mise en œuvre jusqu’à la capitalisation des projets pilotes soutenus par le programme GCCA+ AO. Ceci afin de soutenir les futurs porteurs de projets et aboutir à une meilleure prise en compte de l’adaptation à chaque étape du cycle du projet. -
Le couplage de l'approche SMART-VALLEYS et SRI
Le Smart-valleys est une approche de développement de bas-fonds pour des systèmes de production rizicole en Afrique sub-saharienne, basée sur une démarche participative, durable et à faible coût. Elle a été développée par le Centre du riz pour l’Afrique (AfricaRice) et ses partenaires de recherche, en 1997 et 2001 au Ghana et au Nigeria, puis à partir de 2012 au Bénin et au Togo. -
L'irrigation photovoltaïque : pour soutenir la sécurité alimentaire éprouvée par les changements climatiques
Cette fiche présente non pas une technique spécifique, mais l’approche globale de mise en œuvre d’un « système d’exploitation » dans son ensemble. Dans ces conditions, elle présente les caractéristiques suivantes : • Sur la base des exemples en Mauritanie et au Sénégal, elle présente un modèle de petits périmètres de sécurité alimentaire, réduits et peu coûteux pour des zones rurales ou périurbaines où les populations souffrent de pauvreté et d’insécurité alimentaire, soumises à un climat difficile et des ressources en eau souterraine limitées (pour les zones éloignées du fleuve Sénégal). • Puis elle propose des éléments pour guider la mise en place de projets de même type, dans d’autres régions ou pays (un modèle de principe, des concepts technico-économiques, une approche pour une étude faisabilité, et des conditions à prendre en compte pour une mise à l’échelle.) -
Étude sur les mécanismes de financement de la transition agroécologique dans la CEDEAO : Rapport d’études de cas
La présente étude a pour objectif Programme Agroécologie de la CEDEAO (PAE) et à l’ARAA-CEDEAO un état des lieux des mécanismes de financement de la transition agroécologique dans la CEDEAO et des recommandations relatives à de possibles contributions du FRAA dans le financement de la transition agroécologique. L’étude est organisée en 4 phases : (I) Cadrage, (II) Inventaire, (III) Etudes de cas et (IV) Synthèse. Le présent rapport restitue les travaux réalisés par les Consultants au cours de la phase d’études de cas. -
Étude sur les mécanismes de financement de la transition agroécologique dans la CEDEAO : Rapport d’inventaire
L’objectif de l’inventaire des pratiques agroécologiques (AE) était de caractériser les pratiques et les (éventuels) besoins financiers qui en découlent. Pour structurer cet inventaire des pratiques allant dans le sens d’une transition agroécologique (TAE), nous avons croisé des critères agroécologiques simples de gestion et d’organisation de la production issus des 13 principes, avec les grandes catégories de systèmes de production à l’échelle de l’Afrique de l’Ouest, telles que définies par la FAO. L’identification et la caractérisation des pratiques agroécologiques par système agricole a permis d’identifier, sur base théorique, les besoins de financement qui en découlent. -
Formation et renforcement des capacités des acteurs de la chaîne de valeur
Un pesticide est toute substance ou association de substances qui est destinée à repousser, détruire, ou combattre les organismes nuisibles. On distingue plusieurs pesticides qui sont fonction de la cible à combattre. -
Analyse de la chaine de valeur arachide en République du Niger
L’étude de la Chaine de Valeur (CV) arachide au Niger a été réalisée à la demande de la Délégation de l’Union Européenne au Niger pour établir un diagnostic de référence sur ses performances économiques, sociales et environnementales en appliquant la méthodologie du projet Value Chain Analysis for Development (VCA4D). -
Analyse de la chaîne de valeur du niébé en République du Niger
La filière niébé présente un attrait pour de nombreux acteurs. Le niébé est au cœur des systèmes de culture pluviale associé au Niger et il est présent dans l’ensemble des régimes alimentaires du pays. Ses multiples sous-produits (fanes et coques) ainsi que les nombreux produits transformés en font une production majeure du Niger. Le tonnage retenu pour l’année de référence 2022 est d’approximativement 2 725 000 tonnes. Ce tonnage reflète les valeurs d’une année normale excédentaire en termes de pluie, ce qui est le cas depuis 2 ans (2021/2022 et 2022/2023). La saisonnalité de cette production et ses problèmes de conservation impactent fortement sa disponibilité en période de soudure et ce qui crée une forte dynamique de flux durant la période de post récolte engendrant une orientation vers l’exportation, élément majeur de cette filière. -
OCDE-ilibrary
L’OCDE publie ses recommandations, analyses et données sur OECD iLibrary pour éclairer les responsables publics, les chercheurs et les analystes sur ce qu’il y a de mieux à faire dans leur pays. Les ouvrages, périodiques et contenus statistiques d’iLibrary servent de point de départ à des projets de planification internationale ainsi qu’à des travaux de recherche étayés par cette plateforme primée et soumise à des normes rigoureuses et fiables. « OECD iLibrary est un outil précieux pour les sociologues qui ont besoin de statistiques solides et harmonisées à l’échelle internationale sur un large éventail de thématiques économiques et sociales… Il est particulièrement intéressant, pour les chercheurs, de pouvoir consulter les archives des publications et les prévisions établies depuis 1967. » – Bobray Bordelon, Université de Princeton, États-Unis. -
Secrétariat du Club du Sahel et de l'Afrique de l'Ouest
Site d'information sur la sécurité alimentaire, les systèmes alimentaires, l'insécurité et l'urbanisation au Sahel et en Afrique de l'Ouest. -
Programme d’Appui au Développement de l’Élevage PRADEL Kiyo Arziki Niger
Les populations du Niger en général et les éleveurs en particulier restent confrontés à une insécurité alimentaire importante. Dans le même temps la problématique de l’amélioration des revenus et des emplois se pose avec acuité dans un contexte d’explosion démographique et d’importance des effets des changements climatiques. Le sous-secteur de l’élevage dispose d’un énorme potentiel de développement mais connait les mêmes contraintes et fait face aux défis (productivité, santé, alimentation, etc.). Le PRADEL, qui vise à contribuer à réduire l’insécurité alimentaire et à contribuer/consolider les emplois et les revenus des populations liées à l’levage, reste donc pertinent tant dans sa conception et que dans sa mise en œuvre par rapport aux besoins du groupe cible. -
Suivi des activités de la CRA dans le cadre du Projet Pôles Ruraux
La mission s’est déroulée du 13 au 20 décembre 2021 avec deux agents du RECA et les conseillers de la Chambre Régionale d’Agriculture d’Agadez. La mission a visité 7 sites de formation de jeunes agriculteurs et agricultrices, 6 sites de conseil de gestion à l’exploitation agricole (CGEF) et un site de démonstration oignon. Elle s’est entretenue avec les conseillers agricoles de la CRA, les formateurs et animateurs des structures privées partenaires (ONG ou GSC) et des producteurs ou productrices. -
Adaptation de l'agriculture au changement climatique au Sahel : profils agronomiques de quinze cultures dominantes au Sahel
Le présent document fait partie d’une série d’études publiées par le projet Résilience africaine et latino-américaine au changement climatique (ARCC) visant à répondre aux besoins d’adaptation au changement climatique en Afrique de l’Ouest. Dans le cadre des études ARCC pour l’Afrique de l’Ouest, le présent document fait partie de la sous-série portant sur l’Adaptation de l’agriculture au changement climatique dans le Sahel. L’ARCC a également produit une sous-série sur le Changement climatique et les ressources en eau d’Afrique de l’Ouest, le Changement climatique et les conflits en Afrique de l’Ouest et le Changement climatique au Mali. -
Guide de culture du manioc
Le présent guide de culture fait partie d’une série en cours de production, à l’intention des vulgarisateurs, par le Consortium africain pour la santé des sols (ASHC). Cette série comporte également des guides des systèmes de culture banane-café, maïs-légumineuses, sorgho et mil-légumineuses, et des systèmes de riz. Cependant, ce guide est consacré au manioc cultivé en monoculture ou en association. -
Le Nénuphar blanc des étangs : un précieux allié pour conserver les zones humides sahéliennes
Pour tout propriétaire de bassin d’agrément, le Nénuphar est l’espèce à posséder absolument pour la beauté de ses fleurs. Faisant l’objet d’une sélection rigoureuse, il fournit des variétés qui rivalisent en couleurs, en taille des fleurs, en facilité de culture. Mais combien de détenteurs de cette jolie fleur savent que les nénuphars possèdent de nombreuses vertus, que tout ou presque se consomme dans la plante et qu’en Afrique le Nénuphar blanc des étangs fait l’objet de toutes les attentions en raison des découvertes sur les vertus de cette plante aquatique ? -
Guide de formation sur la conservation du poisson et le marketing
Le présent guide de formation élaboré dans le cadre de l’Étude de Développement des Oasis en République du Niger (EDOS) est un outil destiné aux agents de développement intervenant dans le milieu rural pour leur permettre de de mieux appuyer les acteurs de la pêche (coopértives, pecheurs et mareyeurs/euses) pour une plus grande efficacité dans la conduite des opérations de pêches et de commercialisation du poisson. -
La croissance du bovin Azawak au Niger : influence de facteurs de variation non génétiques et estimation des paramètres génétiques
L’étude porte sur les zébus Azawak de la station de Toukounous qui constituent le noyau améliorateur à partir duquel le progrès génétique est diffusé dans les troupeau villageois. L’effectif du cheptel de la station s’élève à 700 têtes de bovins. Pour ce qui est de la production de viande, la sélection s’opère sur les caractères de croissance, poids et gain sur la base d’un testage sur la descendance. -
Aperçu de l'assistance au Niger
L’insécurité alimentaire reste très répandue au Niger, en particulier dans les zones touchées par l’activité des groupes armés, où la violence et les déplacements qui en résultent limitent la production agricole et l’accès aux marchés. En conséquence, près de 3,3 millions de personnes au Niger ont probablement été confrontées à des niveaux d'insécurité alimentaire aiguë—Crise-IPC 3 ou pire—pendant la saison maigre de juin à août, lorsque la nourriture est la plus rare, selon une analyse du Cadre Harmonisé datant du mois de mars.1 La détérioration des conditions économiques a aggravé l'insécurité alimentaire aiguë de nombreux ménages dans tout le pays. Plus précisément, les sanctions économiques prises à la suite du coup d'État du 26 juillet, notamment par la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et l'Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), ont contribué à l'augmentation des prix des denrées alimentaires de base dans tout le pays et ont perturbé la chaîne d'approvisionnement humanitaire, entraînant des retards dans l'acheminement de l'aide humanitaire, selon le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR). La fermeture des frontières avec les pays de la CEDEAO après le coup d'État, qui est restée en vigueur en octobre, a provoqué de nouvelles pénuries de denrées alimentaires et de produits de base, selon le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations Unies. -
Fiche technique sur la transformation du lait local en yaourt brassé
À Niamey, la capitale du Niger, le yaourt brassé se distingue comme le produit laitier le plus couramment fabriqué parmi les unités de transformation laitières. Cette popularité témoigne de son attrait auprès des consommateurs locaux. C'est pourquoi, dans cette note, notre attention est spécifiquement orientée vers la fabrication du yaourt brassé à partir du lait local. Nous allons décrire le matériel nécessaire, les matières premières utilisées, ainsi que les différentes étapes de sa fabrication à petite échelle. -
Norme CODEX pour les laits fermentés
Le lait fermenté est un produit laitier obtenu par la fermentation du lait, lequel peut avoir été fabriqué à base de produits obtenus à partir de lait avec ou sans modification de composition, dans la limitation des dispositions de la Section 3.3, par l’action de micro-organismes appropriés et résultant dans la réduction du pH avec ou sans coagulation (précipitation isoélectrique). Ces levains (micro-organismes) doivent être viables, actifs et abondants dans le produit à la date de durabilité minimale. Si le produit subit un traitement thermique après la fermentation, l’exigence portant sur la viabilité des micro-organismes ne s’applique plus. -
Etude sur le crédit agricole dans trois villages de la région de Maradi (Niger)
La nécessité d'augmenter sensiblement les capitaux et crédits disponibles pour l'agriculture dans les pays en développement est d'ores et déjà un fait, établi, comme en témoignent les plans élaborés en vue d'assurer à l'agriculture, grâce aux sources internationales, un financement élargi. -
Irrigation advisory system : pratiques et outils pour améliorer l’efficacité de l'irrigation en agriculture et s'adapter aux changements climatiques
L’Irrigation Advisory System (IAS), ou système de conseil en irrigation, renvoie à un ensemble de mesures à mettre en place pour améliorer l’efficacité de l’irrigation. Ce système se décline à travers la formation des agriculteurs à des compétences techniques en matière de pratiques agroécologiques afin de réduire les besoins en eau des cultures et la mise en place d’un système de conseil en irrigation qui permet de fournir aux agriculteurs des recommandations spécifiques en matière d’irrigation pour une sélection de culture. -
Recherche et étude génétique de la resistance de l’aubergine africaine (Solanum aethiopicum L, spp Kumba) aux acariens phytophages
Les légumes de type africain, qui pendant longtemps ont été considérés comme secondaires, sont de nos jours progressivement pris en compte aux niveaux national et international. Ceci s’explique par leur valeur nutritive dans l’alimentation des zones rurales et le risque réel d’érosion génétique dont ils sont aujourd’hui menacés. Les aubergines africaines regroupent plusieurs espèces dont Solanum macrocarpon,S. anguivi et S. aethiopicum. Cette dernière, appelée jaxatu au Sénégal, est très répandue en Afrique sous diverses formes variétales, et porte différents noms vernaculaires suivant les ethnies et les pays. -
Fiche technico-économique poules pondeuses
La production d’œufs de consommation est une chaîne de valeur en pleine expansion dans la région de Zinder. La production locale est fortement soumise à la concurrence des œufs en provenance du Nigeria même si le marché pour la vente d’œufs de qualité saine existe. Les aviculteurs sont exposés aux risques sanitaires très élevés pouvant décimer en quelques jours leurs élevages. Un bon choix des poussins d’un jour, couplé à une bonne prophylaxie et à une couverture rigoureuse des besoins alimentaires des pondeuses, permet de garantir de bons revenus. -
Les fourrières
« La fourrière est un service public de police rurale destiné à sécuriser les animaux égarés et à prévenir tous risques de nuisance liés à leur présence en dehors du parcours qui leur est traditionnellement réservé. » Extrait de l’article 46 de l’ordonnance n° 2010-029 relative au pastoralisme. Quelles sont les conditions d’implantation et de gestion des fourrières ? Comment les animaux sont-ils mis en fourrière et gardés ? -
Les puits pastoraux
L’implantation et la gestion des puits pastoraux, ainsi que l’accès à ces puits sont souvent sources de conflits entre les éleveurs ou entre les éleveurs mobiles et les populations sédentaires. L’accès à l’eau conditionne l’accès aux pâturages environnants : les puits pastoraux sont donc des aménagements stratégiques pour l’élevage. Les modalités d’implantation des puits pastoraux, ainsi que l’accès à ces puits sont prévues dans différents textes de loi. -
La circulation des animaux
Le bétail peut circuler toute l’année (y compris pendant la saison des pluies), sur tout le territoire nigérien, en empruntant les pistes de transhumance, les couloirs de passage et les aires de pâturage. Les pistes de transhumance, couloirs de passage et aires de pâturage sont classés dans le domaine public de L’État et doivent être inventoriés par les Commissions foncières. Les éleveurs bénéficient en commun de leur usage. Il est interdit d’occuper les espaces pastoraux. L’occupation ou l’empiètement sur ces espaces peut être puni d’un emprisonnement de 15 jours à 3 ans et/ou d’une amende de 10 000 FCFA à 100 000 FCFA. -
La sécurisation des terres pastorales
Du fait de la pression foncière, la superficie des terres réservées à l’élevage a fortement diminué ces dernières années. Or l’élevage est une activité importante au Niger au niveau économique et cet élevage est souvent mobile. Cela implique de disposer d’espaces pour accueillir les animaux. Différents travaux montrent que les espaces pastoraux sont parfois occupés par d’autres activités (habitation, lotissement, champ). Quelles dispositions sont prévues par le dispositif juridique nigérien pour sécuriser les espaces pastoraux ? -
Une ferme avicole qui peut réussir ?
L’histoire de cette ferme nous a été racontée par son promoteur et la voici. Mr Dan Dibi est un commerçant de Zinder qui a l’habitude de se rendre au Nigeria pour ses affaires. Il était impressionné par les grands complexes avicoles privés du Nigeria et s’est senti interpellé par le fait que c’était le Nigeria qui ravitaillait le Niger en œufs et en volaille. Il a donc décidé de se lancer lui-même dans la production d’œufs et de volaille pour approvisionner le marché de Zinder. -
Maladie de NEWCASTLE
Au Niger, l’aviculture est pratiquée par la majorité de la population rurale et notamment les femmes. Elle permet d’obtenir des revenus réguliers pour des milliers de ménages, revenus leur permettant de faire face à de nombreuses dépenses tant pour l’alimentation que pour la santé ou l’éducation. Mais l’élevage de volailles se heurte à une maladie terrible et régulière appelée maladie de Newcastle. La maladie est fréquente au Niger et entraine des mortalités importantes des volailles surtout en milieu rural. Elle est aussi appelée Koatou en Zarma et Dan killo en Haoussa. -
La Maladie de la Rage au Niger
La rage est une maladie virale qui touche le système nerveux central des mammifères (chiens, chats, certains animaux sauvages), dont celui de l’homme. Le virus est particulièrement présent dans la salive et le cerveau des animaux infectés, le plus souvent des chiens. Il est généralement transmis par la morsure d’un animal malade. Les chauves-souris représentent également un réservoir important du virus dans certaines régions. -
Note sur l’activité d’embouche pour la radio
Au Niger, les producteurs et les productrices connaissent et pratiquent l’activité d’embouche. Cependant, il nous a semblé important de reprendre certains conseils pour avoir de meilleurs résultats ou éviter de mauvaises surprises. -
Visite d’un professionnel de l’embouche ovine à Kilakam
L’équipe technique de la CRA a visité le mardi 16 mai 2018, un professionnel de l’embouche ovine à Kilakam dans la commune de Goudoumaria. En rappel, l’embouche est une technique d'élevage intensif des bovins ou ovins maigres afin de les engraisser en un temps relativement court (3 à 7 mois) et les vendre sur les marchés. -
La pratique de l’embouche ovine : un choix de rations alimentaires
Cette note d’information présente, d’une manière générale, la pratique de l’embouche au Niger. L’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a travaillé sur un projet d’amélioration de l’alimentation des animaux avec l’appui du PPAAO. Pour réussir l’embouche, il y a un certain nombre de facteurs à prendre en compte. -
Guide de bonnes pratiques de production des fruits et légumes
Il est difficile d’estimer l’importance de l’horticulture au Burundi du fait du manque de données récentes. En 1994 le secteur horticole représentait 0,4% du PIB Burundais en 19943, soit le double de la filière Coton. L’estimation la plus récente (2005)4 donne une production de 250.000 t/an de légumes frais et 85.000 t /an de fruits frais. Avec une valeur dépassant 60 millions de dollars, les fruits et légumes se classent en quatrième position des productions agricoles du Burundi, après la banane (banane plantain et banane dessert), le haricot sec, et la patate douce. Les légumes les plus populaires aux Burundi sont la tomate, l’oignon, le chou, la carotte, le petit pois, le piment, les haricots verts et différents types de courges. Une variété de légumes à feuilles – comme les feuilles de manioc et les épinards – complètent la liste des légumes de base présents dans les régimes locaux ruraux et urbains. -
Une expérience de warrantage de l’oignon dans la Région de Tillabéri
Le warrantage, appelé aussi crédit de stockage, est un système de crédit agricole qui consiste, pour une OP et/ou ses membres, à obtenir un prêt en mettant en garantie un produit agricole susceptible d’augmenter de valeur. Par la mise en garantie de son stock de produits à la récolte, le producteur dispose de liquidités lui permettant de mener après la récolte une activité génératrice de revenus (embouche, culture maraîchère, petit commerce, etc.). Il faut noter que ce crédit donne les moyens aux petits producteurs d’éviter le bradage des produits (vente au prix le plus bas), tout en leur permettant de conserver leur récolte jusqu’à ce que l’oignons commencent à se raréfier et les prix à grimper. A ce moment, ils débloquent leurs produits pour vendre, remboursent le prêt et empochent la différence. -
Résultats technico-économiques des producteurs d’oignon en conseil de gestion selon la quantité d’engrais chimique utilisée dans la région de Tahoua (campagne 2022 – 2023)
L’objectif de cette note est de comprendre si la quantité d’engrais utilisée a une influence sur les résultats technico-économiques de la production d’oignon à partir des résultats issus du suivi des producteurs en conseil de gestion aux exploitations familiales (CGEF) dans la Région de Tahoua. Pour rappel, le CGEF a été démarré dans la région de Tahoua au cours de la campagne sèche irriguée 2018 - 2019 par la Chambre Régionale d’Agriculture. Le CGEF est conduit sur le terrain avec l’implication des organisations de producteurs (OP) qui assurent la collecte des informations technico-éconmiques auprès des producteurs individuels. -
Guide pratique d'analyse financière d'une entreprise agricole : théorie et application à la pisciculture
Le document traite de l’analyse financière de l’entreprise agricole ou agroalimentaire. Il aborde l’analyse financière dans sa vision rétrospective et dans sa vision prévisionnelle. Dans le premier cas, deux principales méthodes ont été développées à savoir la méthode des marges ou l’approche budget d’entreprise (incluant les charges opérationnelles, les charges de structure, les charges directes et indirectes, les marges brute et nette, et le profit) et la méthode des résultats d’exploitation (consommations intermédiaires, valeur ajoutée, Résultat brut d’exploitation, résultat net d’exploitation). L'analyse financière prévisionnelle concerne les investissements, c’est-à-dire des activités ou des projets que l’on prévoit faire dans le futur. Dans ce cas, le document présente les techniques pratiques de réalisation des comptes (de trésorerie, de production, d’exploitation, etc.) ainsi que les indicateurs d’appréciation des projets tels que la valeur actualisée nette (VAN), le taux de rentabilité interne (TRI), le délai de récupération, le ratio bénéfice/coût, l’indice de rentabilité et le taux d’enrichissement relatif. -
Étude sur les activités d'adaptation réalisées et en cours entre 2006 et 2019
Projet, « Régionalisation de l’Adaptation à Base Communautaire au Niger » dénommé ABC-Maradi, est mis en œuvre dans le cadre du Programme d’Action National pour l’Adaptation (PANA) aux changements climatiques. Il est financé par le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) à travers le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Le projet ABC est la suite logique du projet PANA « Renforcement de la résilience au secteur agricole » mis en œuvre sur la période 2010-2014. Le Niger voudrait expérimenter une mise à l’échelle et la diffusion aux niveaux national et régional des pratiques d’adaptation qui ont donné de bons résultats dans le cadre du PANA Résilience. -
Acceptabilité et consommation de la spiruline dans la communauté urbaine de Niamey
La croissance démographique, les changements climatiques et les bouleversements économiques conduisent obligatoirement à une crise alimentaire (DOUMANDJI et al., 2011). Ce phénomène est observé surtout dans les pays démunis sous forme d’une malnutrition due à une faible disponibilité des aliments de haute qualité nutritionnelle indispensable à la santé. Aussi, cette situation entraîne plusieurs maladies pouvant fragiliser à vie, voire détruire l’organisme humain. En effet, selon le rapport de la FAO, FIDA, UNICEF, PAM et OMS 2021, la prévalence de la sous-alimentation a augmenté, passant de 8,4 % en 2019 à 9,9 % environ en 2020.Environs 22 % (149,2 millions) d’enfants de moins de 5ans endurent de retard de croissance, 6,7 % (45,4 millions) souffrent d’émaciation et 5,7 % (38,9 millions) de surpoids. En Afrique, 59,6% de la population sont en insécurité alimentaire, dont 33,7 % de cas modères et 25,9% sont sévères. -
Pratique et gestion de la Régénération Naturelle Assistée (RNA)
Cette technique consiste à repérer, sélectionner, entretenir et protéger dans les champs au moment du défrichement un à trois rejets issus des souches vivantes des différents arbres et arbustes existants dans les champs et la préservation des jeunes pousses de certains arbres appréciés. ➢ Ces rejets épargnés poursuivent leur croissance avec un entretien régulier. Du fait que les rejets sont issus des souches, le producteur a, au bout de trois à quatre ans, des arbres dans son champ pouvant significativement atténuer l’érosion éolienne et hydrique et protéger ainsi les cultures. ➢ La densité d’arbres et arbustes varie de 80 à 150 pieds à l’hectare. -
Caractéristiques de quatre variétés d'arachide
Ce document présente des variétés de l'arachide et les produits dérivés dans la région de Maradi. -
Production laitière et croissance du zébu Azawak en milieu réel : suivi et évaluation technique à mi-parcours du projet d'appui à l'élevage des bovins de race azawak en zone agropastorale au Niger
Le présent travail réalisé en zone agropastorale s'articule autour de deux parties : la première, qui est une synthèse bibliographique, traite des généralités sur le zébu Azawak (ethnologie et paramètres zootechniques); la deuxième est une présentation de la zone d'étude. Elle expose ensuite les objectifs du projet d'appui à l'élevage des bovins de race Azawak au Niger, la méthodologie utilisée pour réaliser cette étude, puis, après avoir présenté et discuté les résultats, avance des recommandations pour une meilleure opérationnalité de la prestation afin de donner un espoir réel pour l'intensification de l'élevage au Niger. -
Promouvoir les programmes d’achats d’aliments dans des contextes de pauvreté rurale généralisée : le ciblage des petits exploitants dans le cadre du PAA Afrique au Niger
L’objectif général de cette étude de cas est de présenter l’approche adoptée par le PAA Afrique dans le contexte nigérien ainsi que les décisions qui ont été prises au niveau du programme pour adapter les achats locaux au contexte local et qui ont permis de parvenir aux résultats obtenus. Son objectif est également de décrire les défis associés qui se sont présentés. -
Étude du cadre juridique et institutionnel relatif aux unités de gestion des eaux
Au Niger, « Etat le plus sahélien des pays du Sahel », les ressources en eau constituent un facteur primordial de développement socio-économique. On observe que les consommations et les pollutions augmentent et les précipitations se réduisent. Les potentialités en eau de surface sont estimées à quelque 32 milliards de m3, tandis que les réserves en eau souterraines sont-elles évaluées à environ 2000 milliards de m3. -
Programme d'hydraulique villageoise et agricole dans le département de Tahoua et Agadez (Niger)
Cette étude avait pour but d'évaluer les ressources en eau souterraines des 6 vallées de l'Air (Teloua, Tchirozérine, Amdigra, Abardhok, Tabelot, Afassas) et expérimenter des équipements permettant d'améliorer l'exhaure et la distribution de l'eau d'irrigation afin de valoriser les potentialités agricoles de cette région. -
Résultats définitifs de la Campagne Agricole d'Hivernage 2014 et perspectives alimentaires 2014-2015
La campagne agricole d’hivernage 2014 a démarré à partir de la troisième décade du mois d’Avril. Ce qui à permis d’effectuer des semis partiels de mil au niveau de 384 villages des régions de Dosso, Maradi et Tahoua. A la suite des précipitations enregistrées, les semis se sont poursuivis jusqu’à la troisième décade de juillet dans les régions d’Agadez, Diffa et Zinder. Les régions de Dosso, Maradi, Tahoua et Tillabéri ont bouclé leur semis dans la deuxième décade de juillet et celle de Niamey dès la troisième décade de Juin. Comme en 2013 la campagne agricole d’hivernage 2014 a accusé un retard sur le plan du parachèvement des semis dû aux longues périodes de sécheresse ou retards de semis dans les régions d’Agadez, Diffa et Zinder. -
Évaluation des impacts des activités du Projet ALP - Dakoro (Niger)
Projet pilote, l’initiative Adaptation Learning Program (ALP) ou Programme d’Apprentissage sur l’Adaptation au Changement Climatique, est mis en œuvre pour une durée de cinq ans (2010-2014) à l’échelle de quatre pays subsahariens : Ghana, Kenya, Mozambique et Niger. Cette phase est conçue et mise en œuvre par Care et ses partenaires dans le but de « Renforcer la capacité des ménages vulnérables en Afrique sub-saharienne à s’adapter à la variabilité et au changement climatique à travers une approche d’adaptation à base communautaire (ABC) ». Le projet ALP est financé par DFID, DANIDA, Finlande et la Coopération Autrichienne de développement. Le projet ALP a pour objectif d’être le pionnier dans la vulgarisation, la compréhension pratique et la documentation de l’Adaptation à Base Communautaire (ABC) tout en approfondissant sur la compréhension et le traitement de la vulnérabilité différentielle des femmes rurales pauvres. -
Etude sur le modèle économique et de gouvernance pour la gestion des dix (10) Sites d'Apprentissage Agricole (SAA)
L’objectif global de l’étude est d’élaborer un modèle économique et de gouvernance pour la gestion des dix (10) Sites d’Apprentissage Agricole (S.A.A) à raison de deux (2) pour chacune des cinq (5) régions retenues selon une répartition de deux communes d’implantation par région comme suit: 1) Agadez (Arlit et Timia) ; 2) Diffa (Diffa et Mainé Soroa) ; 3) Tillabéri (Sakoira et Say) ; 4) Tahoua (Madaoua et Bagaroua ; et 5) Zinder (Kantché et Gouré). -
Programme d’Appui au Développement Agricole Durable dans la région de Dosso
Inscrit dans la mise en œuvre de l’I3N qui vise à renforcer les capacités nationales de productions alimentaires, d’approvisionnement et de résilience face aux crises alimentaires et aux catastrophes naturelles, le programme s’est concentré dans les domaines de compétences du MAG/EL, en particulier sur les deux premiers axes de la stratégie de l’I3N. Malgré la difficulté de mesurer le niveau d’impact du programme, notamment en raison de l’insuffisance du système de suivi/évaluation sectoriel, les interventions menées ont contribué significativement au développement des cultures irriguées et des filières agricoles. Par ailleurs, on note que certaines innovations sur le foncier ou l’aide financière à l’installation des jeunes agriculteurs, stimulées par le programme, seront rapidement mises à l’échelle. Comme le relève le rapport d’évaluation finale, l’intervention du programme a contribué significativement au développement agricole durable dans la Région de Dosso. -
Rapport de l’Atelier de lancement au Niger du Projet « Des Arbres pour Reverdir l’Afrique »
L’atelier de lancement du Projet Des Arbres pour Reverdir l’Afrique a permis de rassembler les acteurs clefs du domaine d’utilisation des sols, portant sur le partage des éléments du cadre logique du projet, les problématiques, itinéraires et réflexions relatives en Gestion Durable des Terres (GDT). Le but visé à long terme, par le projet, est d’inverser le processus de la dégradation des terres en Afrique par l’adoption à grande échelle de l’agroforesterie. L’objectif de lancement de l’atelier a été d’une part, de communiquer et partager les informations et les connaissances sur le projet ; et d’autre part, de favoriser l’évaluation économique neutre de la GDT ainsi que le renforcement des capacités en vue de conduire des actions éclairées et concertées. -
Le commerce du bétail en Afrique de l'Ouest
Le module d'animation et de formation sur le Commerce du Bétail en Afrique de l'Ouest a été conçu pour aider les acteurs clefs impliqués dans la production et la mise en marche du bétail à réfléchir sur les défis posés, et à en débattre et à prendre des décisions informées. -
Plan d’Action National de Gestion Intégrée des Ressources en Eau,PANGIRE Niger
L’objectif global du PANGIRE est de définir le cadre national de gestion des ressources en eau et de servir d’outil opérationnel pour la mise en œuvre de la Politique nationale de l’eau, tout en permettant de mieux intégrer les actions projetées des différentes stratégies et programmes sectoriels et intersectoriels de l’eau. -
Changement climatique : un défi de plus pour l’agriculture en Afrique Perspectives 2050 pour la sécurité alimentaire et la productivité agricole
Une étude commanditée par la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) et réalisée par le Cirad conduit à de sérieuses interrogations sur la capacité de l’Afrique subsaharienne à relever le double défi de nourrir sa population future - que tout le monde s’accorde à prédire en forte augmentation - et procurer des revenus décents à ses agriculteurs. La perspective ainsi offerte, d’ailleurs assez pessimiste, pourrait encore être assombrie par les prévisions communément faites sur l’impact du changement climatique sur la production agricole. Tout cela appelle une réflexion approfondie sur les mesures à prendre par anticipation et qui ne relèvent pas pour l’essentiel du domaine technique mais des politiques agricoles, dans le but de réduire les risques supportés par les producteurs et d’accroître leurs investissements. -
Productivité agricole : des motifs d’inquiétude ? (I) Les concepts
Pour renforcer la sécurité alimentaire mondiale et augmenter les revenus et l’emploi dans les pays en développement, la plupart des experts et des décideurs politiques appellent à accroître, de manière durable, la production et la productivité de l’agriculture. La nécessité d’augmenter la production fait quasiment consensus. Mais quelles sont exactement les raisons qui incitent à améliorer la productivité agricole? Les inquiétudes exprimées à son égard (ralentissement de la croissance des rendements, impact négatif sur l’environnement ou encore réduction du nombre d’exploitations) sont-elles justifiées ? Compte tenu de l’ampleur du sujet, FARM a décidé d’y consacrer deux numéros de Notes. Le premier (Notes no 7) explore le concept de productivité agricole, ses déterminants et ses limites. Le second (Notes no 8) examinera les principales préoccupations liées à la productivité agricole et mettra en perspective les débats qu’elle suscite. -
Assurance du bétail pour la prévention et la relance au sortir des crises pastorales
Au milieu des années 2000, le Gouvernement de Mongolie en mis en place, en partenariat avec la Banque Mondiale, un outil assurantiel pour le bétail pour limiter l'impact d’événements climatiques extrêmes répétés (liés au froid). -
Banque, réserves nationales et régionales d'aliment du bétail
Plusieurs types de ressources sont utilisés pour l'alimentation du bétail au Sahel. A-delà des paturages herbagers (sur les parcours ou récoltés et stockés comme foin ou pailles), on peut distinguer trois catégories d'aliments du bétail : 1) les résidus agricoles consommés dans les champs ou alors récoltés et stockés (chaumes de céréales, fanes de légumineuses), 2) les feuilles de ligneux et autres fruits, 3) les sous produits agro-industriel ( sons, tourteaux, farines, basses). -
Déstockage stratégique : conditions pour le renforcement de la résilience au moyen d'interventions sur les marchés du bétail
Cette notr se propose d'approfondir les questions associées au déstockage stratégique ou commercial. Néamoins, cette introduction des différentes approches de déstockage illustre deux points importants : (1) le déstockage stratégique n'est adapté qu'à la situation de crises à déclenchement lent, comme par exemple les sécheresses, dont les signes avant-coureurs sont perceptibles bien en amont de la phase d'urgence; (2) les actions de déstockage stratégique ne sont pertinentes qu'en amont de la phase d'urgence, ce qui correspond en zone sahélienne à la période avant les mois de mars-avril suivant un hivernage trop sec. -
Amélioration de production des paturages
L’amélioration des ressources fourragères porte sur les masses de fourrage produites, sur la qualité fourragère et/ou sur le calendrier de la mise à disposition des fourrages. Les voies d’amélioration des ressources fourragères diffèrent entre les terres de parcours et les terroirs cultivés avec un potentiel d’amélioration et des options techniques d’autant plus diversifiées que le climat est plus humide. L’amélioration des productions fourragères sur les terres de parcours est souvent associée à des aménagements antiérosifs dont la gestion post-aménagement soulève des problèmes de droit d’usufruits qu’il faut adresser avant l’aménagement. -
Poulet local « Kolonto » et sécurité alimentaire à Gaya
Cette étude a été initiée pour caractériser la rentabilité économique de l'élevage du poulet local « Kolonto » dans le département de Gaya. Une enquête a été menée dans 15 localités des 6 communes du département de Gaya. Les résultats ont montré que 29 % des éleveurs de poulets locaux « Kolonto » sont des femmes. Le prix du poulet local « Kolonto » varie entre 4 à 8 USD selon 50% des producteurs. Ce gain économique, lié à la vente du poulet local, permet aux producteurs de faire face aux dépenses familiales et de répondre à leurs besoins en matière de soins de santé. Ainsi, l’élevage du poulet local « Kolonto » contribue grandement à la sécurité alimentaire des ménages et à la résilience des communautés. Cependant, l'élevage de l'écotype de poulet « Kolonto » se situe entre de nombreuses contraintes dont la principale est celle des maladies (59,3%). Il est clair que le développement de la filière passe nécessairement par un renforcement de la surveillance des maladies aviaires, combiné au suivi vétérinaire et à l'encadrement des producteurs. -
Guide national de mise en place et d'animation de dispositif d'innovations paysanne en élevage (DIPE)
Le dispositif d’appui conseil post indépendance, entièrement exécuté par les services de l’Etat est essentiellement orienté vers les cultures de rente et le contrôle des épizooties qui ravageaient le cheptel. Le transfert de technologies en direction des producteurs a été assuré par des structures étatiques de formation (centres de perfectionnement technique, centres de promotion rurale, centres de multiplication de bétail). -
Influence des conditions socio-économiques et culturelles sur la dynamique des écosystèmes sahéliens: Cas de zones reverdie (Warzou) et dégradée (Maïssakoni) du département de Mayahi
Le présent document est le résultat d’une étude effectuée dans le cadre d’un projet de recherche entre le CRESA et le Centre de Résilience de l’Université de Stockholm intitulé : « les dimensions humaines derrière le reverdissement du Sahel : une étude comparative des dynamiques socio-écologiques dans les zones dégradée et reverdie du Niger ». Les sites concernés par la présente étude sont situés dans la commune rurale de Sherkin Haoussa (Département de Mayahi. Il s’agit de Warzou, site reverdi et de Maissakoni, site dégradé. L’objectif principal est d’étudier l'influence des conditions socio-économiques et culturelles sur la dynamique de ces deux zones. Pour atteindre cet objectif, des enquêtes de terrain ont été menées à l'aide d'un guide d'entretien et des fiches d'enquête individuelles. Soixante (60) paysans issus des deux villages ont été enquêtés. Cette étude fait suite à l'étude sahélienne menée en 2006, qui a démontré qu'au Sahel on est en train d'observer un phénomène de reverdissement surtout dans des zones à forte densité humaine contrairement à la dégradation continue que l'on pense. -
Fabrication de Wagassi
Le wagassi est une forme de fromage issu de la transformation du lait cru de vache. -
Fixation des dunes en milieu semi-aride (système oasien du Manga)
La fixation des dunes est une opération qui consiste à stabiliser le sable mouvant à travers des techniques simples mécaniques et biologiques. -
Culture fourragère de dolique (Dolicos lablab)
Le dolique appelé aussi pois dolique ou pois d’Egypte est une plante herbacée annuelle à port volubile ou semi –dressé. De son nom scientifique Lablab purpureus (L.) Sweet, le dolique appartient à la famille des Fabaceae. Les feuilles sont trifoliées de forme triangulaire semblable aux feuilles de Vigna unguiculata (L.) Walp ou niébé. Elle est fortement appréciée par les ruminants et possède une bonne valeur nutritive. -
Alimentation de la volaille en élevage traditionnel amélioré
Au village, les poules qui ne reçoivent qu’un peu de son et, plus rarement quelques poignées de mil, sont obligées d’équilibrer cette ration en consommant des criquets, des termites, des vers de terre et des crustacés disponibles. Aussi, pour être adéquate, leur ration alimentaire doit comporter des ingrédients d’origine végétale et des ingrédients d’origine animale. -
Les thrips sur l’oignon et les méthodes de lutte
Début 2023, dans une grande partie de la Région de Tahoua, et en particulier la vallée de Tadiss, les cultures d’oignons ont été ravagées par les thrips. Selon les producteurs, les dégâts de ce ravageur commencent à être observés habituellement vers la fin du mois de février et début mars (début de la saison chaude). Cette année, une pullulation des thrips a été observée dès le début du mois de février alors que la saison chaude n’avait pas encore démarré. Les pertes ont été très importantes et ont même obligé de nombreux producteurs à récolter leur oignon avant maturité. -
Rapport de mission Appui-conseil agricole paysans (ACAP)
Cette note est basée sur les présentations et explications données par les producteurs et productrices rencontrées à Dindi. Les entretiens sur le fonctionnement du CEP et des ACAP se sont déroulés en présence de plus de 100 personnes (hommes et femmes) et une vingtaine de personnes ont fait la visite du CEP pluvial sur le terrain (photo ci-dessus). Les commentaires du RECA et de la CRA sont spécifiés à chaque fois. L’intérêt de toutes ces personnes du village pour le CEP et les GACAP est manifeste. Pour eux, ces activités sont importantes. Ils attendent d’ailleurs la phase alphabétisation qui doit suivre. -
Formation - atelier sur l'approche ELD en lien avec l'initiative ELD (« Economics of Land Degradation »)
ELD est une initiative lancée en 2011 par la Commission européenne, le Ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et la Convention des Nations Unies pour la Lutte contre la Désertification (CNULCD). Elle est appuyée par un vaste réseau de partenaires et vise à opérer, à l’échelle mondiale, une transformation dans la compréhension de la valeur économique des terres productives et à familiariser davantage les parties prenantes aux arguments socioéconomiques, l’objectif étant d’améliorer la gestion durable des terres. Le calcul de la valeur des terres est une tâche complexe. C’est pourquoi l’Initiative ELD offre des outils et méthodes d’évaluation éprouvés qui aideront les parties prenantes à établir la rentabilité des terres et de leur utilisation à travers une évaluation économique globale, et à prendre en compte les résultats qui en découleront dans le processus décisionnel. -
Formation sur la production des semences améliorées
L’objectif global de cette formation est de renforcer les compétences des techniciens/ciennes à former les producteurs/trices de coton sur la multiplication et la diffusion des semences améliorées certifiées du coton et des cultures de rotation prenant en compte le genre afin d’accroître la productivité agricole et le revenu des producteurs/trices.