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Évaluation du potentiel et des contraintes de la petite irrigation au Niger -- renforcement des capacités d’élaboration d’un plaidoyer et de dialogue politique des organisations paysannes
Ce document est une synthèse du rapport d' évaluation du potentiel et des contraintes de la petite irrigation au Niger : renforcement des capacités d’élaboration d’un plaidoyer et de dialogue politique des organisations paysannes . il traite des points ci-dessous:
-- Investissements, charges d’exploitation et résultats économiques;
-- Risques économiques, maîtrise de la production et de la commercialisation a traité des points ci-dessous:
-- Financement de la petite irrigation;
-- Sécurisation foncière et marché des terres;
-- Ressource en eau et potentiel irrigable;
-- Renforcement des capacités des Organisations paysannes. -
Entretien des infrastructures hydrauliques de petite irrigation: Note de synthèse
Cette note afirme que selon la FAO, chaque année, les surfaces aménagées sont abandonnées à cause du mauvais entretien des infrastructures.
Les petits périmètres n’échappent malheureusement pas à cette loi. C’est pourquoi, cette problématique doit être mise en débat dans toutes ses composantes auprès de l’ensemble des acteurs concernés. -
Mise en place de champs écoles et production de compost.
Ce document aborde la question de la fertilité des sols, qui constitue une des préoccupations paysannes. Il est donc urgent de restaurer et de régénérer la la fertilité des sols en mettant un accent particulier à la production de compost pour le maraîchage. -
Eléments d'un plan de formation - La mise en marché collective de l’oignon au Niger pour le bénéfice de la FCMN et ses coopératives participantes
Ce document de référence a été développé pour aider à encadrer la formation des membres et de leurs représentants locaux. Il cible les objectifs pédagogiques à attendre et ce, selon les différentes clientèles. -
Carte des acteurs – PromAP Composante 1
Ce document présente les acteurs du PromAP par composantes. -
Négocier les conflits d’intérêts liés à l’exploitation de l'eau
Ce document cadre avec le programme RUIG et les besoins du PADEL et du FSIL relatifs à la prise en compte des demandes touchant à l’exploitation des eaux de surface et de subsurface des vallées de Foga et Maouri. -
Protégeons nos enfants des pesticides -- Guide visuel d’animation
Ce guide visuel présente comment réduire l’exposition des enfants aux pesticides; comment identifierque les enfants sont exposés aux pesticides, la description des effets négatifs des pesticides sur la santé et pourquoi les enfants sont plus exposés; il aborde aussi ce qu'il faut faire pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides .
Il aide à partager l’information au sein de la communauté pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides. -
Guide et recommandations pour la réalisation d'un bon diaporama Powerpoint
Cette présentation borde les techniques de réalisation et de présentation d'un bon diaporama. -
Comment lutter contre le Striga et les foreurs de tige du maïs ?
Cette fiche technique offre quelques conseils pour lutter contre le striga -
Fabrication d’une farine de manioc de haute qualité
Fiche technique pour la transformation du manioc en farine -
Système de Riziculture Intensive (SRI)
Fiche technique montrant comment pratiquer la riziculture intensive -
L’agriculture intelligente face au climat, une solution gagnante pour relever le défi de l’insécurité alimentaire et la lutte contre la désertification au Sahel et en Afrique de l’Ouest !
Note aux décideurs
La menace climatique se précise et risque de perturber l’agriculture ouest africaine. En effet, à l’horizon 2050, sans mesures d’adaptation, les rendements des céréales baisseront de 10 à 50 % en Afrique soudano sahélienne.
Si les politiques publiques agricoles au Sahel et en Afrique de l’Ouest se fixent comme cible de restaurer 10% des superficies agricoles par an avec des techniques climato-intelligentes, le coût des investissements nécessaires se chiffreraient entre 50 à 170 millions de dollars par an. Selon les pays, le retour sur investissements est évalué entre 50 et 70%.
Il est donc urgent d’agir. -
Pratique des haies vives dans la Région de Zinder - Note n°1
Déjà handicapés par une pression foncière croissante et une dégradation continue des terres, les producteurs nigériens font face à un défi supplémentaire : adapter leurs pratiques aux changements climatiques. Pour cela, un ensemble de techniques dites « AIC » (adaptation aux changements climatiques) est préconisé dans de nombreux rapports et documents. Parmi ces techniques, une large place est donnée aux techniques agroforestières comme la régénération naturelle assistée, la mise en place de bandes enherbées, de brise-vents et de haies vives. Ces techniques ont différents buts dont celui de réduire les effets de l'érosion causée par le vent ou les fortes pluies, en introduisant des barrières physiques dans les champs. -
Pratique des haies vives dans la Région de Zinder : Note n°2
Les haies vives sont des techniques agro-forestières et d’agriculture intelligente face au climat (AIC), mises en œuvre par les producteurs pour la délimitation foncière, la protection des cultures contre le vent et les animaux ou pour la production (bois, fourrage, etc.). La CRA a rédigée cette note sur ces techniques pour permettre une meilleure connaissance des pratiques locales existantes. Les haies vives qui ont fait l’objet de cette note ont été retrouvées sur les sites maraichers des communes de Droum, Dogo et Gouna. Les espèces ligneuses principalement utilisées pour leur installation sont Euphorbia balsamifera, Jatropha curcas, Commiphora africana, Prosopis juliflora et Acacia ataxacantha. -
Récupération de terres : Le site de Guidda pour tirer des enseignements. Note de travail
Le site présenté est sur un plateau situé dans la Commune de Hamdalaye à 45 km de Niamey sur la route de Filingué, après Hamdalaye. La plaque routière porte le nom de Guidda. Il comprend des réalisations du Programme d’Actions Communautaires (PAC) -
Guide pratique du maraîchage au Sénégal
La dernière partie de ce document contient une série de fiches techniques relatives à la production de quelques vingt-trois espèces maraîchères couramment cultivées au Sénégal.
Ces fiches techniques sont certainement les fiches qui ont été le plus ‘’utilisés'' au Niger. De nombreux documents sont directement tirés de ces fiches, encore aujourd’hui. -
Conseiller en maraîchage / visite du site de Tabalak (Région de Tahoua)
Du 12 au 16 avril 2016, une équipe composée de deux chercheurs de l’INRAN et d’un ingénieur du RECA a effectué une mission de suivi pour la surveillance de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) à Tabalak, Tahoua ville, Konni et Doguéraoua dans la région de Tahoua, et Gaya dans la région de Dosso (activité menée sur financement du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest / PPAAO).
La mission a rédigé le compte rendu des visites des sites maraîchers en trois parties : (1) une note spécifique présentant les observations réalisées sur la présence de Tuta absoluta, objet principal de cette mission, (2) une note « conseiller en maraîchage » pour les sites d’Agagar et Tabalak et (3) une note « conseiller en maraîchage » pour le site de Tadis / Tahoua et Doguéraoua). Les notes de la série « conseiller en maraîchage » présentent les observations réalisées sur le terrain et les entretiens avec les acteurs rencontrés, ainsi que des analyses et commentaires de l’équipe réalisant le suivi. -
Alternariose sur oignons à Gotheye
Le périmètre irrigué du groupement féminin Wafakeye de Gotheye compte 12 ha cultivés par 113 femmes en bordure du fleuve Niger. L’oignon représente 80% des cultures. En janvier, l’oignon a subit des attaques sévères des feuilles, celles-ci se dessèchent à partir des extrémités.
L’attaque a commencé dans les pépinières et s’est étendue rapidement sur les planches d’oignons à proximité. Les productrices dont les parcelles sont atteintes sont obligées d’arracher leurs oignons même s’ils ne sont pas à maturité, sinon la récolte est détruite. C’est donc très grave. Ces attaques sont fréquentes depuis au moins 10 ans. -
Note technique pour la culture du chou
Nous avons consulté une dizaine de fiches techniques sur la culture du chou, de différents pays, et les recommandations des sociétés productrices des variétés en vente au Niger. Il existe des variations importantes sur les itinéraires techniques possibles. Dans cette note nous avons choisi de partir de la fiche technique sur le chou incluse dans le « Manuel Technique de l'irriguant privé » du projet PIP2 (juin 2008) et de donner aux conseillers maraîchers des éléments de réflexion sur l’itinéraire technique pour les aider à mieux adapter leurs conseils à la situation des producteurs et productrices. -
Reconnaître les ravageurs au stade larvaire : araignée rouge, mouche blanche, puceron, thrips.
Lors des formations des animateurs et conseillers en maraîchage sur la protection phytosanitaire, les ravageurs sont abordés les uns après les autres. Pour chaque ravageur, il est examiné les différents stades : larves, pupes ou nymphes et adultes. Lors du suivi des animateurs, il est apparu des difficultés à identifier les ravageurs les plus petits, notamment aux stades larvaires. Or, identifier précocement les ravageurs est très important pour intervenir rapidement surtout pour les ravageurs ayant une très forte capacité de multiplication. C’est le cas de l’araignée rouge, la mouche blanche, les pucerons et les thrips. Le premier est un acarien, les trois autres sont des insectes. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur le moringa au Niger
Au cours d’entretien avec les revendeurs des produits maraîchers du « petit marché » de Niamey en début décembre, ceux-ci ont expliqué que cette année le prix du moringa n’avait pas baissé après la fête du Ramadan car le moringa était « attaqué », ce qui entraine une baisse de la production. -
ALERTE / Tuta absoluta a refait son apparition sur les tomates
En février 2013, les premières attaques de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) avaient été signalés dans des parcelles du village de Bourbourkabé situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. Par la suite, il est apparu que ce nouveau ravageur était également présent dans les régions d’Agadez, Niamey et Tillabéri. Les dégâts enregistrés par les producteurs ont été très importants dans de nombreuses localités. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur les agrumes au Niger
A 100 km au sud de Niamey, dans une ferme isolée (20 km de la route bitumée), les orangers sont malades. Cette maladie attaque différents agrumes. Les orangers, citronniers et pomelos sont considérés comme très sensibles. Les tangelos, dont la production est très importante au Niger, sont considérés comme sensibles à moins sensibles. -
Suivi de demi-lunes forestières dans la commune de Guéladio : la nécessité de changer de pratiques pour améliorer les résultats
Cette note est écrite après des visites sur plusieurs sites de récupération des terres de la commune de Guéladio, visites réalisées entre 2012 et 2016. Elle sert à présenter un cas et à poser des questions. La commune de Guéladio se situe dans la région de Tillabéri, sur la piste qui relie Say à Kobadjé. -
Note sur les travaux d’aménagement des terres du village de Makaouraci dans la commune rurale de Wacha (Zinder)
Le Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible au Climat (PASEC) vise à accroître la résilience de la communauté face aux risques climatiques et à améliorer la productivité agricole. Pour les travaux d’aménagement des terres, le PASEC cible pour ses interventions les populations vulnérables afin d’améliorer leurs revenus et leur sécurité alimentaire en périodes de soudure1. En 2018, ce projet a financé ces travaux dans le village de Makaouraci (commune de Wacha) à travers le Sous Projet Intégré Communautaire d’Agriculture Intelligente face au Climat (SPIC-AIC) élaboré par la commune et mis en oeuvre avec l’appui des services techniques de la région. -
Lutte intégrée contre les nématodes parasites des cultures maraîchères
Dans les pays du Sahel, les nématodes parasites des cultures constituent un facteur limitant à la production maraîchère. Pour minimiser les pertes de rendements qu’ils occasionnent, les producteurs ont à leur disposition plusieurs méthodes de lutte. Mais aucune d’elles n’est efficace si elle est utilisée individuellement. D’où est né le concept de lutte intégrée. -
Association canne à sucre au maïs en système irrigué
La canne à sucre et le maïs sont deux des plus importantes cultures irriguées du Département de Gaya au Niger. Les productions de ces cultures fluctuaient entre 120 à 160 mille tonnes pour la canne à sucre et 2 à 3 mille tonnes pour le maïs. Dans le Dallol Maouri, les méthodes culturales observées sont très variables. -
Point sur le dispositif e-Extension Informations et conseils agricoles aux producteurs
(+) Le Smartphone et WhatsApp ont entrainé une véritable « révolution » pour le conseil agricole à distance tant pour les conseillers que pour les producteurs. Ils permettent au Dispositif e-Extension d’être en liaison directe et permanente avec des centaines de producteurs, de conseillers agricoles et de sites de production. Cette année, les producteurs, membres des groupes WhatsApp mis en place par le dispositif e-Extension, se sont réellement appropriés ces outils pour des échanges directs et un conseil de producteur à producteur. -
Conservation farming
La formation aux techniques de Conservation Farming s’adresse aux producteurs adultes qui ont acquis un savoir et un savoir-faire agricole traditionnel. Ces producteurs ne viennent pas à la formation avec zéro connaissance. Il sera alors utile d’être très modeste et de parler de la technique sans trop entrer dans les détails technico-techniques qui, souvent, sont bien maîtrisés par les producteurs. La formation sur le Conservation Farming se veut très pratique et non théorique. C’est pourquoi elle sera autant que possible séquentielle, principalement pour des auditeurs producteurs amenés à mettre en œuvre le CF : c’est-à-dire découpée en petits modules de quelques heures répartis sur la saison (des modules peuvent être regroupés et dispensés à la suite). Le présent guide se veut un outil de formation des producteurs : il propose de façon simple ces modules pour leur déroulement auprès des producteurs. -
Renforcer les capacités des réseaux d’organisations agricoles par l’analyse de l’évolution du prix des céréales locales au Burkina, Mali et Niger durant la période 2001-2010… et ses incidences sur le warrantage au Niger.
Cette étude analyse l’évolution des prix des céréales au Burkina, au Mali et au Niger afin de contribuer à la détermination de points d’alerte susceptibles d’aider les OP dans la prise de décision. Plus spécifiquement, le document met en cause quelques idées reçues, notamment celle la plus couramment utilisée pour la gestion des stocks céréaliers au Sahel : les prix seraient bas à la récolte pour augmenter jusqu’à la soudure. Partant de cette hypothèse, il est fréquemment recommandé aux OP de stocker à la récolte et de déstocker six ou huit mois plus tard, pour profiter d’une période de vente, soi-disant plus favorable. Ainsi, le système du warrantage qui repose sur ce principe est souvent conseillé aux producteurs comme étant une opportunité de commercialisation. Cependant, les producteurs ne sont pas certains de « gagner » à tous les coups, contrairement à d’autres acteurs. La lecture et une véritable « étude » de ce document sont absolument à conseiller à tous pour sortir des idées toutes faites ou évidentes, et mieux conseiller les producteurs pour une bonne valorisation de leurs récoltes. -
Etude de cas du warrantage au Niger (septembre 2014)
Niger est un pays dont les grands produits vivriers sont le mil, le niébé et l’arachide. Il produit aussi environ 75.000 de riz par an, mais dépend surtout des importations. En outre, il faut remarquer que le Niger est le deuxième producteur d’oignon en Afrique de l’Ouest après le Nigeria, et le plus grand exportateur dans la région. Les variations saisonnières des cours de marché sont en moyen plus prononcées pour les oignons (beaucoup plus de 100% sur les prix de récolte) et le niébé (autour de 50%), mais relativement modestes pour les céréales et les arachides et assez minime pour le riz. La plupart du crédit warranté impliquant des produits agricoles locaux au Niger est le warrantage communautaire. On trouve aussi une quantité significative d’entreposage en tierce détention qui est discuté brièvement. -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles suivantes, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
Récupération de terres : tranchées forestières… une évolution intéressante
Le site visité est sur un plateau situé dans la commune de Hamdallaye à 35 km de Niamey sur la route de Filingué, 4 km après Hamdallaye en arrivant sur le plateau, à gauche de la route. C’est un site de récupération de plusieurs centaines d’ha. -
Quelques repères pour cerner la spécificité et les différentes dimensions de ce que l’on appelle une « exploitation familiale »
Cette note est tirée d’un document de l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) intitulé « Ce qu’ont appris les exploitation familiales des membres de l’APESS » rédigé par Loïc Barbedette en mars 2013. -
Installation des haies vives pour la protection des jardins à Yoreizé koira
Par définition, les haies vives défensives sont composées de buissons, des plantations denses et alignées d’arbres ou d’arbustes à branches nombreuses et impénétrables dans un but de délimitation, de défense ou de protection. Le village de Yoreyzé Koira est situé à une cinquante de kilomètres de Niamey sur la route de Namaro et sur la rive droite du fleuve Niger. La haie vive a été introduite dans la commune rurale de Namaro dans les années 90 par les Japonais à travers un projet financé par Japan International Cooperation Aency (JICA). Ce projet a incité des producteurs à clôturer leurs parcelles de culture maraîchère ou fruitière, et à installer des haies vives sur les dunes pour lutter contre l’érosion éolienne. -
Note conceptuelle pour le stage d’insertion professionnelle des étudiantes de l’UAC (ENEAM) dans les structures du MEF et du MPD
Le Girls’ Day, est une initiative démarrée depuis les années 2001 en Allemagne par le Ministère fédéral de l’éducation et de la recherche ainsi que le Ministère fédéral de la famille, des personnes âgées, de la femme et de la jeunesse grâce à de nombreux partenariats au sein des entreprises et institutions. Réalisée chaque année, il s’agit d’un jour d’orientation professionnelle pour les filles qui met l’accent sur les professions dominées par les hommes. Il a retenu très rapidement l’adhésion de plusieurs pays en Europe et en Asie. C’est en 2014 que cette initiative a été réalisée pour la première fois en Afrique en Ethiopie puis plus tard en 2016 en Egypte. En 2014, une première expérience sectorielle a eu lieu aussi au Bénin avec le projet eau de la GIZ sur le thème : « la mixité professionnelle dans le secteur eau et assainissement à l’intention des jeunes filles scolaires ». Cette année ce sont les étudiantes de l’ENEAM qui vont à la découverte des professionnels de la politique économique du Bénin. -
Note de présentation du microprojet d’équipement du groupement féminin Kila Kil de Diffa pour la transformation du poivron - perspectives d’appui et d’accompagnement
Le document du microprojet commence par la phrase « la transformation du poivron est une activité prometteuse ». C’est sans doute vrai car c’est écrit dans tous les rapports sur la filière poivron de la région de Diffa… depuis des années. Il est également régulièrement signalé que la transformation en poudre reste marginale, la majorité du poivron produit chaque année dans la région est vendue séchée (5.000 à 8.000 tonnes de poivron sec suivant les sources) et la plus grande partie prend la direction du Nigeria pour y être transformée… en poudre. Cette part modeste de poivron transformé en poudre ravitaille le marché local de Diffa et aussi les villes de l’ouest jusqu’à Niamey. -
Note d’information sur le développement de la pisciculture à Maradi
La pisciculture se développe de plus en plus à Maradi, en emboitant le pas à Niamey et Dosso, et surtout à la suite de l’essor croissant de cette activité au Nigeria voisin. Depuis quelque temps, le service de l’Environnement s’intéresse à cette activité effectuée par des particuliers ou des groupements dans leurs jardins. -
Note sur les activités de la CdV arachide
La région de Zinder avec une capacité moyenne de production de 100.000 T d’arachide par an (soit 40% de la production nationale) était le premier « bassin arachidier » du pays, doté de deux unités industrielles de production d’huile (Magaria et Matamèye). Le développement d’autres productions oléicoles au niveau mondial, les changements climatiques (déjà) et des problèmes parasitaires ont contribué à une chute de la production arachidière et à la fermeture de ces unités industrielles dans les années 90. Actuellement, le Niger importe 80% de sa consommation d’huile, essentiellement de l’huile de palme des pays asiatiques. Toutefois, à partir de la fin des années 2000, on assiste à un retour de la culture d’arachide dans les systèmes de production, au regard des efforts de recherche variétale et d’une demande du Nigeria de plus en plus importante. A signaler qu’il n’existe pas d’étude récente sur la filière arachide au Niger. Selon les résultats du diagnostic des CdV réalisé par la CRA et le RECA en août 2015, une période de baisse de production a été encore enregistrée durant les 4 dernières années au niveau du principal bassin de production (Département de Kantché) de la région de Zinder. La production annuelle de la région en 2015 s’élève à 121 412 tonnes. -
Note sur le groupement de femmes transformatrices d’arachide en huile et tourteaux de Godo (Kantché)
La localité de Godo fait partie des bassins de production d’arachide de la région de Zinder et la majorité des femmes y exerce la transformation d’arachide en huile et tourteaux comme activité génératrice de revenu (AGR). En 2011, dans le cadre de la mise en œuvre du PASR1, la CRA a mené à Godo des séances de sensibilisation et d’information sur l’accès aux subventions. Le groupement de femmes Tatali de Godo a soumis un projet d’équipement en presses, décortiqueuses, broyeurs, bruloirs, moulin et abri. -
Les microprojets des GF avec une activité dite de transformation des produits agricoles
Cette note concerne uniquement les dossiers de microprojets (MP) présentés par des groupements féminins et contenant une activité dite de transformation des produits agricoles, soit au total 10 MP plus un dernier concernant la construction d’un magasin de stockage (soit 11 MP sur un total de 45 pour la région et le financement 2010). Cette note est destinée à aider les responsables de la CRA et les autres acteurs impliqués dans la définition, la rédaction, l’analyse et la sélection des futurs microprojets. Les cas présentés pourront servir aux prochaines formations des équipes chargées de la sélection et celles chargées de faire l’analyse technique et financières des dossiers. -
Chronique de la commercialisation du poivron rouge sur le marché de Diffa au cours du premier semestre 2015
Première culture de rente au niveau régional avec une production annuelle moyenne de 11.000 tonnes de poivron sec, le poivron de Diffa a souffert des effets directs de l’agression barbare dont est victime la région de Diffa. En effet, après l’interdiction de la vente du poisson, c’est autour du poivron de subir une mesure d’interdiction de commercialisation pour éviter que la vente du poivron finance la secte islamiste. C’est pourquoi aucun sac de poivron ne doit être transporté ou vendu au niveau de la région. Tous les marchés de la région sont en « stand bye » en ce mois de février 2015. -
Capitalisation d’expériences sur le développement de la petite irrigation privée pour des productions à haute valeur ajoutée en Afrique de l’Ouest.
En Afrique de l'Ouest les forages manuels sont pratiqués depuis de nombreuses décennies. Depuis les années 1960, Richard Koegel, de la FAO, en a introduit le concept au Niger. Par la suite, dans les années 1970 et 1980, vont se succéder au Niger et Nigeria, des expériences sur le développement de méthodes de forage manuel à faible coût. Ces techniques de forage vont prendre leur essor dans les années dans les années 1990 au Niger. -
Haies Vives Défensives pour une Protection Ecologique et Durable
Les haies vives défensives sont des plantations denses et alignées d’arbres ou d’arbustes à branches nombreuses et impénétrables destinées à protéger les jardins, les vergers et les champs des paysans. Elles peuvent être mono ou plurispécifiques. Elles se réalisent de préférence dans la zone soudano-sahélienne et la vallée du fleuve Niger avec une pluviométrie moyenne de 400 à 500 mm par an sur sols sablo-limoneux à argileux. -
Guide pratique du facilitateur champs écoles paysans
Les approches classiques de la vulgarisation agricole se sont révélées au cours des années souvent inefficaces à répondre aux préoccupations essentielles et réelles des agriculteurs. Ces approches ont faiblement impliqué les producteurs ruraux dans les différentes actions à entreprendre. Les champs écoles paysans (CEP) constituent une excellente approche de l’apprentissage participatif sur le terrain. Ils mettent l’accent sur l’observation, la discussion, l’analyse, la prise de décision collective, la présentation et la mise en oeuvre d’actions collectives et individuelles appropriées. Ils prennent leurs racines dans la science de l’écologie et associe les connaissances locales et extérieures pour donner les moyens aux paysans d’identifier les actions à mener. Efficaces et plutôt moins chers, ils encouragent les communautés à valider et à adapter certaines technologies au contexte local, à améliorer la sécurité alimentaire et la génération de revenus et à donner aux paysans les moyens de trouver des solutions à leurs problèmes. -
De l’eau pour le maraîchage : expériences et procédés
Cet ouvrage propose une méthode pour guider les maraichers dans l’évaluation de leurs besoins et de leurs contraintes et les aider à choisir un système d’irrigation adéquat. Chacune des questions destinées à guider le choix est approfondie et illustrée dans les chapitres suivants. Le premier chapitre explique comment calculer les besoins en eau des cultures. Le deuxième chapitre présente les systèmes de distribution de I ’eau dans les champs et leurs avantages et inconvénients respectifs. Le troisième chapitre présente les différents systèmes de pompage qui sont ensuite comparés, notamment sur le plan économique. Enfin sont définies des notions plus complexes qui permettent de bien comprendre les mécanismes du pompage. Des fiches de présentation de matériels et une bibliographie permettront à ceux qui veulent en savoir plus de s’orienter dans leur recherche d’information. -
Prévision climatique saisonnière pour une meilleure planification de la campagne agro-pastorale
Situé dans la zone sahélo-saharienne de l’Afrique de l’Ouest, Le Niger a une économie largement tributaire de l’agriculture et de l’élevage qui malheureusement dépendent essentiellement de la pluviométrie qui connait une forte variabilité spatio-temporelle. Cette variabilité déjà préoccupante est exacerbée par le changement de son climat dû au réchauffement climatique quasi-constant de ces dernières décennies engendrant l’occurrence de plus en plus fréquente des phénomènes hydro- climatiques extrêmes. La prise en compte de l’information climatique dans les décisions de production est fondamentale dans ce contexte de variabilité et de changement climatique. De ce fait, le partage des prévisions climatiques saisonnières avec les producteurs revêt un caractère prioritaire pour l’adaptation des communautés aux effets néfastes du climat et le renforcement de leur résilience. CARE Niger et AREN sont les deux partenaires du consortium qui mettent en œuvre cette composante avec l’appui de la DMN et du CRA. Ils ont conçu ce pagivolte pour faciliter l’accès et la compréhension des informations climatiques pertinentes relatives aux prévisions de la qualité des saisons des pluies et des paramètres agro-météorologiques permettant de cerner le profil de la saison pour une meilleure prise de décision dans la planification des activités de la saison des pluies pour les agriculteurs et les éleveurs. -
Les champs écoles des producteurs pour les petits éleveurs
Le secteur de l’élevage représente environ un tiers du produit intérieur brut (PIB) agricole mondial et croît plus vite que la plupart des autres secteurs agricoles. Son expansion a été principalement stimulée par une combinaison de croissance démographique, d’urbanisation et de hausse des revenus dans de nombreux pays en développement, ce qui a accru la demande en viande, lait et oeufs. La consommation de produits de l’élevage devrait encore augmenter au cours des prochaines décennies, offrant des opportunités pour le développement du secteur et permettant la réduction de la pauvreté et l’amélioration de la sécurité alimentaire. Cependant, le rythme rapide de ces changements risque de marginaliser les petits éleveurs. Les risques pour les ressources naturelles et la santé humaine doivent également être abordés afin d’assurer un développement durable. Dans ce cadre, la FAO a intégré, au cours des deux dernières décennies, des Champs-écoles des producteurs (CEP) axées sur l’élevage dans plusieurs projets et programmes, et a contribué à renforcer les capacités de nombreuses parties prenantes au développement (ONGI, ONG, instituts de recherche, etc.) concernant l’approche CEP au profit des petits éleveurs dans les régions en développement. -
Le Blanc de Gothèye, l’autre oignon du Niger
Le Niger, le pays des oignons … L’oignon est la première culture maraîchère au Niger. La production annuelle est estimée à 500.000 tonnes, classant le Niger au deuxième rang des producteurs ouest-africains. Le Niger est le premier exportateur d’oignons de la CEDEAO. Le Niger exporte sa variété la plus connue, le Violet de Galmi, dont le goût, la tenue dans les sauces et les aptitudes à la conservation ont conquis tous les pays de l’Afrique de l’Ouest. Mais le Niger est aussi le pays des oignons par le nombre de ses « écotypes », c'est-à-dire de nombreuses variétés d’oignons. -
Le poivron, chaine de valeur principale de la région, un accompagnement continu de la CRA de Diffa
La Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa a commencé à fonctionner en 2008. Depuis cette date, elle a été impliquée dans les différents programmes qui ont concerné l’appui à la filière poivron. Cette note fait le point des différentes actions mises en place depuis 2006 dans la région de Diffa qui ont concerné la production de poivron. Le poivron rouge est la culture « locomotive » de la vallée de la Komadougou (150 km de long de Tam au Lac Tchad) avec plus de 6.000 producteurs et apporte des revenus pour environ 40.000 personnes. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 8 à 10.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron rouge de Diffa est une épice. Il se consomme en poudre principalement comme condiment. Il s’agit en fait d’un poivron piquant ou d’un piment doux, un « paprika ». C’est une culture récente, introduite vers 1956 du Nigeria et qui s’est réellement développé que dans les années 90. -
Pour une agriculture intelligente face au changement climatique au Sénégal: Recueil de bonnes pratiques d'adaptation et d'atténuation
Ce travail est le résultat d’une analyse multicritère d’expériences de lutte contre la variabilité climatique, la sécheresse et la désertification, et la dégradation des terres d’une part, et d’adaptation au Changement Climatique au Sénégal d’autre part. Il est réalisé sur l’initiative de la plateforme nationale de dialogue science politique pour l’adaptation de l’agriculture et de la sécurité alimentaire au changement climatique (C-CASA) pour le renforcement des capacités et la prise de décision bien informée pour l’adaptation au changement climatique. Ce travail a reçu l’appui technique et financier du Programme CCAFS (www.ccafs.cgiar.org). Il est conçu pour servir aux acteurs de terrain, dans le domaine de l’adaptation au changement climatique, de guide sur les technologies et les outils d’adaptation aux impacts du changement climatique dans le secteur de l’Agriculture et de la sécurité alimentaire. Le manuel repose sur : les expériences vécues par les acteurs aussi bien institutionnels que du monde paysan; les recommandations issues des rapports du Groupe inter gouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) ; le manuel des procédures d’évaluation des impacts des changements climatiques et des stratégies d’adaptation ; les résultats de «projets de développement et de recherches appliquées». -
Créer une haie vive
Une haie est composée de buissons, arbustes, arbrisseaux ou arbres plantés serrés, dans un but de délimitation, de défense ou de protection. C’est une clôture vivante caractérisée par une faible largeur et une faible hauteur : on la taille pour limiter son développement. Il ne faut pas confondre la haie-vive avec le brise-vent, la bande boisée, ou le rideau-abri, plus larges et plus hauts et dont les arbres ne sont pas taillés. -
La maladie du rabougrissement de l’arachide : observations sur champ
En Afrique deux maladies virales peuvent entrainer une baisse de production, il s'agit du rabougrissement de l'arachide et de la rosette de l'arachide. -
Comment produire le compost à l’air libre avec la paille ?
L’initiative d’élaborer ce manuel de formation est du Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS). A travers le projet de Capitalisation des actions d’amélioration durable de la fertilité des sols pour l’aide à la décision au Burkina (FERSOL), le CILSS a entrepris de capitaliser les expériences des organisations paysannes en matière de fertilisation des sols au Burkina Faso. Il a bénéficié pour cela de l’appui financier de l’Union Européenne. Ce manuel de formation peut être utilisé par les paysans formateurs ou les animateurs endogènes des organisations paysannes, ou par les agents techniques des Associations, ONG et services étatiques. Il est recommandé que l’utilisateur de ce manuel ait un minimum d’expérience en technique d’animation et qu’il soit formé sur ce manuel. Ce manuel a été rédigé en français facile pour qu’il soit facilement compris et utilisable par tous. Nos vifs remerciements à tous les participants aux ateliers de capitalisation participative. Il s’agit des producteurs porteurs d’expériences, des représentants des organisations paysannes, des services techniques, de la recherche, des ONG et des Associations. Ils sont venus de toutes les régions du Burkina Faso. Leurs contributions et témoignages ont constitués le contenu de ce présent document. -
Importance socio-économique de la culture du niébé
Cette note est tirée de la thèse intitulée « Déterminants et effets socio-économiques de l’adoption des variétés améliorées de mil et de niébé dans les exploitations agricoles des régions de Tillabéry et Zinder (Niger) » soutenue par Monsieur M. OUMAROU HALADOU Issoufou en mars 2018. Université Abdou Moumouni. En Afrique, les rendements moyens varient considérablement de 500 à 550 kg/ha en fonction des variétés utilisées, du degré d’utilisation d’engrais et de pesticides, du système de culture en association ou culture pure et des conditions agro-climatiques. L'Afrique représente environ 95 % de la production mondiale du niébé, 80 % de la part de l'Afrique étant produite en Afrique de l'Ouest. Avec une part estimée à 50 % de la production mondiale de niébé, le Nigeria est le plus grand producteur (et consommateur) du monde de niébé, suivi par le Niger. -
Récupération de terres, visite de deux sites sur le plateau de Guelielh
Une note de travail sert à présenter un cas et à poser des questions, c’est donc une note provisoire qui sera reprise avec les éléments complémentaires qui pourront être récupérés. Cette note est écrite après plusieurs visites sur les sites entre 2015 et 2018. Le contenu de cette note n’engage que l’équipe technique du RECA et de la CRA Tillabéri. Les sites de « récupération des terres » visités sont sur un plateau se trouvant sur la commune de Youri (Région de Tillabéri), à l’Est de la route goudronnée au niveau du marché de la commune. La photo satellite ci-dessous indique quatre types d’aménagement réalisés entre 2014 et 2016. Ces quatre sites de récupération représentent une surface totale d’un peu plus de 350 ha. -
Document de démarrage équipe chaine de valeur Proposition : Liste brute des filières (chaînes de valeur) à analyser Commentaires 3 / filière sésame
Dans le cadre du démarrage des études préalables rentrant dans le cadre de l’identification de la deuxième phase de l’appui au secteur agricole de la coopération danoise, une étude sur les chaînes de valeur est en cours. L’objectif de cette étude est de mener une analyse des chaînes de valeur du secteur agricole afin de proposer des axes d’orientation pour la formulation du nouveau programme. Les produits permettront d’alimenter la rédaction du document du programme d’appui et de description des composantes. Le RECA a commencé la rédaction de notes pour chacune des chaînes de valeur qui ont été retenues lors de la réunion de cadrage de l’étude, à partir de son expérience et de celle des Chambres d’Agriculture. -
Document de démarrage équipe chaine de valeur Proposition : Liste brute des filières (chaînes de valeur) à analyser Commentaires 4 / filière arachide
Dans le cadre du démarrage des études préalables rentrant dans le cadre de l’identification de la deuxième phase de l’appui au secteur agricole de la coopération danoise, une étude sur les chaînes de valeur est en cours. L’objectif de cette étude est de mener une analyse des chaînes de valeur du secteur agricole afin de proposer des axes d’orientation pour la formulation du nouveau programme. Les produits permettront d’alimenter la rédaction du document du programme d’appui et de description des composantes. Le RECA a commencé la rédaction de notes pour chacune des chaînes de valeur qui ont été retenues lors de la réunion de cadrage de l’étude, à partir de son expérience et de celle des Chambres d’Agriculture. -
Gestion des boutiques d’intrants agricoles
Ce module a été conçu par l'ONG Afrique verte Niger avec l'appui financier de l'union européenne pour guider toute organisation de producteurs dans la gestion des intrants agricole. -
Guide d’exportation « cuirs et peaux »
Le Projet de Développement des Exportations et des Marchés Agro-Sylvo-Pastoraux (PRODEX) est une initiative du Gouvernement du Niger financée par la Banque Mondiale à travers l'IDA (crédit N° IDA 45520) pour un montant de 40 millions USD. L’objectif de développement du PRODEX est d’accroître la valeur de certains produits commercialisés par des producteurs soutenus par le projet. Les filières cibles du projet sont l’oignon, le niébé, bétail viande cuirs et peaux, le sésame, la gomme arabique et le souchet. Les cuirs et peaux du Niger, pour peu qu’ils aient été sélectionnés, sont compétitifs sur le marché sous régional le plus important, celui du Nigéria, en raison de leur qualité et de la proximité. -
Guide méthodologique d’implantation des centres de collecte du lait cru au Niger
Au Niger, la promotion du lait local est au centre des politiques et stratégies nationales de développement, telles que la Stratégie de Sécurité Alimentaire Nutritionnelle et de Développement Agricole Durable (SSAN/DAD) (dite « Initiative 3N ») et la Stratégie de Développement Durable de l’Elevage (SDDEL 2012 - 2035). L’élaboration d’un guide d’implantation des centres de collecte du lait cru au Niger permet aux utilisateurs d’avoir un outil officiel approuvé par le Ministère de l’Agriculture et d’Elevage, répondant à deux finalités : capitaliser la démarche éprouvée d’implantation de centres de collecte, testée dans le cadre du PSEAU à Hamdallaye, puis de Nariindu-Aprolan à Kollo et aujourd’hui de DIRRECT à Birni N’Gaouré et Nariindu 2 à Namaro ; harmoniser les approches dans un contexte de multiplication des interventions sur la filière lait local. Nous osons espérer que ces politiques contribueront à l’atteinte de l’objectif « Faim zéro » des Objectifs de Développement Durable (ODD) prônés par les Nations Unies d’ici à 2030. -
Guide de bonnes pratiques phytosanitaires pour la production de tubercules et de feuilles de manioc (Manihot esculenta) en pays ACP
Le document « Guide de Bonnes Pratiques Phytosanitaires » (fruit ou légume) détaille toutes les pratiques phytosanitaires liées au (fruit ou légume) et propose essentiellement des substances actives soutenues par les fabricants des pesticides dans le cadre de la Directive Européenne 91/414 et devant respecter les normes Européennes en matière de résidus des pesticides. Au stade actuel ces substances actives n’ont pas été testées en pays ACP par le PIP pour vérifier la conformité avec les LMR européennes.Les informations données sur les substances actives proposée est donc et sera adaptée en continu selon les nouvelles informations que rassemblera le PIP. Il est évidemment entendu que seules les formulations légalement homologuées dans leur pays d’application sont autorisées à l’usage. Chaque planteur aura donc le devoir de vérifier auprès de ses autorités réglementaires locales si le produit qu’il souhaite utiliser figure bien sur la liste des produits homologués. -
Note sur la disponibilité des semences améliorées dans la région de Maradi pour la campagne 2019
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Maradi est engagée, dans le cadre des activités du Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible aux risques Climatiques (PASEC), à informer et sensibiliser les producteurs de la région sur la pratique de l’Agriculture Intelligente face au Climat (AIC). On note parmi les techniques AIC recommandées, l’utilisation de semences améliorées. L’utilisation de ces semences améliorées contribue à l’adaptation de notre agriculture aux changements que connait aujourd’hui le climat et cela grâce à certaines de leurs caractéristiques : précocité, résistance au stress hydrique, résistance à des maladies, résistance au striga, résistance à certaines attaques, bon rendement… L’objectif visé par la CRA est de contribuer à rehausser l’utilisation des semences améliorées par les producteurs de la région. Ainsi, la CRA informe les producteurs sur l’importance de l’utilisation des semences améliorées, leur disponibilité, les prix et également les points de vente. Cette information se fait via plusieurs canaux à savoir des émissions radio, des notes d’information et l’application WhatsApp. -
Suivi des sites PASEC Site de Tokaraoua (commune de Gabi)
Le site de Tokaraoua se situe dans la commune de Gabi dans une forêt classée à une distance d’environ 5 km de la ville de Gabi. Il une vocation pastorale. Cinq villages sont riverains et bénéficiaires de ce site, à savoir : Tokaraoua Tabodi, Takaraoua Tagabas, Tokaraoua Tajaé, Hassaou, Dan Takobo. Ce site était envahi par le Sida cordifolia qui est une plante non appétée par les animaux. Ce fléau a pu bien se développer dans la zone et a couvert les espaces d’aires de pâturage pour les animaux. Les peuplements de cette espèce sont parvenus à dominer les autres espèces herbacées appétées par les animaux. -
Pratique et Gestion de la Régénération Naturelle Assistée
Ce travail a été rendu possible grâce à la subvention d’assistance technique du FIDA accordée au World Agroforestry Centre (ICRAF TAG 1225) en collaboration avec les Instituts Nationaux de Recherches Agronomiques du Burkina Faso (INERA), du Mali (IER) et du Niger (INRAN), dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet « Les Arbres des Parcs Agro forestiers et les Moyens de Subsistance : Adaptations aux Changements Climatiques dans le Sahel Ouest Africain ». Au cours des cinquante dernières années, le Sahel a connu des changements dans le régime des précipitations qui se sont traduits par une répartition irrégulière, de graves sécheresses se sont succédées, les conséquences pour les précipitations et la végétation devraient être brusque et rapide (Foley et al. 2003, Wang et Eltahir 2000), avec des implications énormes pour la productivité, les moyens de subsistance et la vulnérabilité socio-écologique. La plupart des espèces d’arbres ont l’aptitude de régénérer à partir des souches et des racines après une coupe à ras du sol. Ce sont des millions d’hectares de champs et d’aires de pâturages qui renferment des souches d’arbres vivantes avec une aptitude de fournir de nouveaux rejets. Beaucoup des espèces d’arbres ont aussi une capacité de régénérer à partir des stocks de semences qui sont dans le sol. -
Bilan de la mise en œuvre du Code rural au Niger
Cette réunion a permis de faire un bilan sur plus de deux décennies de mise en application du Code rural au Niger (1993-2013), et de revenir sur la pertinence des outils qu’il met en place pour résoudre les crises écologiques et alimentaires qui frappent le pays depuis les années 1980. Préparé au cours des années 1980, promulgué par ordonnance en 1993, le Code rural est un dispositif qui propose un ensemble d’instruments juridiques et institutionnels pour répondre aux différentes problématiques de sécurisation foncière, protection des ressources naturelles et articulation des différentes activités rurales, notamment l’agriculture, l’élevage et la prévention des conflits. Ses résultats ont été discutés à partir d’une présentation par Florence Bron-Saïdatou1 d’une étude-bilan2 commanditée en 2013 par le Secrétariat permanent du Code rural pour réfléchir aux effets produits par la mise en oeuvre du Code rural. Cette étude a été complétée par un travail d’enquête mené par Florence Bron Saïdatou. -
La crue de 2012 à Niamey : un paroxysme du paradoxe du Sahel ?
Cette note présente des extraits d’un article sur la crue du Niger de 2012 paru dans la revue « Sécheresse », volume 24, n°1, janvier-février-mars 2013. L’article original est accessible sur le site web de la revue Sécheresse (11 pages et 5,96 Mo). Ces extraits sélectionnés doivent permettre aux personnes ayant une connexion de faible débit de prendre connaissance de ce travail. Autrement, nous vous recommandons de lire l’intégralité de l’article avec ses références. Le fleuve Niger a connu lors de la mousson 2012 sa plus forte crue jamais enregistrée à Niamey, et une inondation de vastes secteurs y compris dans la capitale du Niger. A une tendance de fond à l’augmentation des coefficients de ruissellement en zone sahélienne, liée à l’encroûtement des sols, s’est ajoutée une pluviométrie exceptionnelle (la plus forte depuis le début de la sécheresse du Sahel en 1968). Les dégâts ont été très importants, et cet évènement doit faire prendre conscience aux décideurs de l’augmentation des écoulements qui a pour corollaire l’accroissement du risque d’inondation. -
La filière niébé au Niger / Les axes d’amélioration proposés dans l’Etude diagnostique sur l’intégration commerciale (EDIC)
Le RECA vous propose un extrait de la partie consacrée à la filière niébé de l’Étude Diagnostique sur l’Intégration Commerciale Niger, Programme du « Cadre Intégré » / La Modernisation du Commerce pendant un Boom Minier. Il s’agit principalement des recommandations de l’étude pour améliorer la compétitivité de la filière niébé. L’initiative dite du « Cadre intégré » a démarré en 1997. Elle est l’oeuvre de la Banque mondiale, de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED), du Centre du commerce international (CCI), du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), du Fonds monétaire international (FMI). Les partenaires au développement bilatéraux et multilatéraux s’y sont associés pour répondre aux besoins des Pays les moins avancés (PMA) en matière de développement du commerce. -
La conservation du niébé : goulot d’étranglement de la filière et innovation technologique
Cette note est tirée d’une communication intitulée « Innover pour développer les marchés : le cas de la conservation du niébé au Burkina Faso ». Les connaissances utilisées dans cette communication proviennent des travaux menés par le CIRAD1 avec la collaboration de l’INERA2 dans le cadre de son partenariat avec le Programme d’Appui au Développement de l’Agriculture du Burkina Faso (PADAB II / 2006‐2011) sur sept filières (niébé, poisson, bétail viande, volaille, karité, gomme arabique, bois énergie) dans trois régions du pays (Est, Centre Est, Sahel). Ce programme est soutenu par la Coopération danoise. -
Dynamique de production et de consommation des cultures vivrières pluviales en Afrique de l’Ouest et en Afrique Centrale
Ces pages sont extraites d’une étude intitulée « Cadre opérationnel d'intervention pour un développement des cultures vivrières pluviales en Afrique de l'Ouest et du Centre / Juillet/ 2010 » réalisée par l’Agence française de Développement (AFD), le Centre de coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD) et le Fonds International de Développement Agricole (FIDA). Il s’agit d’une initiative ayant pour vocation de fournir un cadre commun d’intervention à l’AFD et au FIDA sur les filières vivrières pluviales, dans la zone de l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Plus spécifiquement, ce cadre a pour objectif de définir tous les paramètres devant être réunis simultanément pour un développement efficace et durable des cultures vivrières pluviales. Il a vocation à s’inscrire dans les politiques agricoles régionales définies par l’UEMOA, la CEDEAO et la CEMAC (la PAU, l’ECOWAP et la Stratégie Agricole Commune de la CEMAC) et dans les programmes d’investissement nationaux et régionaux qui les soutiennent. -
Le triple ensachage pour la conservation du niébé - Un point de situation
Cette note a été rédigée dans le cadre du partenariat entre le RECA et le Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), le RECA étant chargé de réaliser une évaluation des technologies éprouvées dans deux régions du Niger et d’identifier les préoccupations des producteurs et de leurs organisations. -
Visite du plateau de Ounoufa, aménagé en 2007 par le Programme de lutte contre l’ensablement dans le bassin du fleuve Niger (PLCE – BN)
Cette note a été rédigée à partir d’une visite du site de Ounoufa, le samedi 11 décembre 2011. Les actions du PLCE ont démarré en 2005. Pour faire face à la dégradation des terres, suite à l’érosion hydrique et éolienne et à l’ensablement du Bassin du Niger, des techniques de Conservation des Eaux et des Sols et de Défense et Restauration des Sols (CES/DRS) sont proposées et expérimentées en partenariat avec les villages concernés. -
Note visite des sites maraichers de Tiss et Midick
La CRA a initié le lundi 22 janvier 2017 une sortie sur les sites maraichers de Tiss et de Midick en périphérie de Zinder. La Direction Régionale de l’Agriculture et la Fédération de Coopératives Maraichères du Niger (FCMN-Niya) ont été associées à cette visite dont l’objet est d’observer les pratiques de production maraîchère et d’échanger avec les producteurs sur les techniques de production, l’approvisionnement en intrants, l’accès à l’eau, les problèmes phytosanitaires rencontrés et le crédit agricole. -
Striure brune du manioc
Striure brune attaque le manioc et dans les cas modérés à sévères rend les racines impropres à la consommation humaine ou animale. -
Conseiller en maraîchage - Site de Falki
La mare de Falki se situe à 4 km au Sud-Est de la ville de Mirriah. Cette mare est un site important de cultures irriguées. -
Conseiller en maraîchage / des cas pratiques (2)
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers et animateurs maraîchers (OP, services techniques, GSC, GIE, projets …). Il s’agit d’une ferme installée dans le dallol Bosso à l’entrée de Birni Ngaouré (Région de Dosso), avec un système d’irrigation goutte à goutte pour les cultures de tomate, poivron, piment et melon principalement. Le 6 février, date de la visite, il y avait des parcelles de tomates en production et des parcelles de poivron en floraison. -
Conseiller en maraîchage - Visite site de Gafati
Gafati est une commune rurale située à 15 km à l’Est de la ville de Zinder. Ce 12 février 2016, les producteurs de Gafati signalent des attaques fortes des plants de piment, jeunes et adultes, se traduisant par des déformations, des décolorations ou chlorose des feuilles (principalement des jeunes feuilles mais aussi des feuilles adultes) et un rabougrissement des plants. On dénombre 40 à 50% de plants attaqués alors que la production n’a pas encore commencé. -
Conseiller en maraîchage / Cas pratiques (4) Attaques sur tomates
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers maraîchers (OP, services techniques, GSC, …). Il s’agit d’une visite auprès des producteurs de tomate de Bourboukabé à 15 km au nord de Niamey. Dans ce village, les producteurs pratiquent la culture de la tomate depuis plus de 25 ans, avec différents cycles de production adaptés aux différents terrains disponibles. Le premier cycle de production correspond à des semis en pépinière au début du mois d’août et une récolte qui commence en octobre alors que les prix sur le marché de Niamey sont encore élevés (15.000 à 18.000 F le panier de 32 kg). C’est une production économiquement importante pour ces producteurs. La production se fait sur des sols sableux de chaque côté de la vallée qui est encore inondée. -
Conseil en maraîchage - Site maraîcher de Gourdjia (Maradi)
Les 4 et 21 mars 2016, une équipe technique composée de la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi et du RECA a rendu visite à l’Union des producteurs de Gourdjia sur le site de production maraîchère de Darto. Gourdjia est une vallée où la culture principale est le poivron. En 2014, les producteurs de Gourdjia Darto ont bénéficié d’un champ école paysan du PPI Ruwanmu sur la culture de l’oignon. Les producteurs participant au CEP ne pratiquaient pas cette culture. -
Guide technique de l' agriculture
La présente documentation technique de la JGRC, composée de 8 guides, s'adresse aux techniciens impliqués dans la lutte contre la désertification par le biais des activités agricoles des communautés rurales.
En deux mots, les études de la JGRC se caractérisent par l'acquisition q de techniques de développement agricole
utilisant efficacement l'eau des oueds (cours d'eau dont l'écoulement se limite à la saison des pluies) dans les plaines d'inondation, ces dernières étant relativement fertiles mais peu utilisées, et w de techniques de
développement global et durable de l'agriculture, centrées sur la conservation des sols des terrains en pente douce et le rétablissement de la productivité des sols où se trouvent les villages. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
La noctuelle de la tomate est un petit papillon de nuit, c’est à dire qu’il se déplace et se nourrit au crépuscule et la nuit. Ces papillons sont le plus souvent de couleur grise. Cette note présente sa chenille qui est un des principaux ravageurs de la tomate, surtout en saison sèche, mais s’attaque également à d’autres légumes fruits comme le poivron et le gombo, mais aussi au coton et au maïs. Cette chenille est le principal ravageur de la tomate en saison sèche. On la trouve dans toutes les régions du Niger. -
Niébé et arachide à Zinder : une année à chenille poilue
En ce début de saison des pluies, l’arachide, le niébé mais également le mil, le sésame ou la pastèque subissent des dégâts importants à cause de la chenille poilue dont le nom scientifique est Amsacta moloneyi. C’est une chenille polyphage, c'est-à-dire qu’elle peut se nourrir de nombreuses plantes cultivées ou non. Il a été observé des dégâts jugés sévères de la chenille poilue dans des localités des départements de Matameye mais aussi de Mirriah et de Magaria Les chenilles peuvent atteindre 4 cm de long. Elles sont de couleurs vives (jaune, orange, brun) et surtout portent de longs poils serrés. En début de saison, la chenille poilue d’Amsacta moloneyi s’attaque principalement aux plantules du niébé. -
Tirka daboobi
Cibiyar kira domin samun bayyanai da shawarwari kan al’amuran noma da kiwo mai suna ISALAN da kungiyoyin RECA suka girka na samun kira lokaci zuwa lokaci kan yadda ya kamata ayi Tirka. Manoman kasar Nijar maza da mata sun san tirka kuma sunayin tirkar bisashe tamkar sana’a. Saboda haka ya kamata su maida hankali kan shawarwarin da muka basu don su samu kinkawan sakamako, don kar suyi da na sani. Da farko dai tirka,ita ce ka samu dabba ko ka sayi dabba mai kimanin shekaru biyu rago ko bunsuru), ka rinka cida ta don ta kasaita. To domin a samu sakamako mai kew, ya kamata a kiyaye wa’adin tirka,kada ya wuce watanni uku(3). Idan aka wuce wannan lokacin to maimakon a samu riba to faduwa za’ayi. -
Almaney biiri ga neera goyo tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Sooro boobo kulu no RECA ce yaù nango kaù se i ga ne Issalan ga du hayaù almaney biiri yaùey bon. Iri Niizeer laabu, alfarey nda kurkey kulu no ga almaney biiri ga neera fondey bay. Wo-din si ganji, iri ga sanni yaù filla kaù ga naù biiriyano ma boori. Sintina jina, iri ga borey fongandi kaù almaney biiri ga neera goy no kaù ga arzaka boriyandi. Almano kaù boro ga suuban, alman no kaù mana je, a gonda sanda jiiri hinka deedandi, da feeji gaaru no wala binde hincini jindi no. Da boro na almano suuban, ni ga a naasandi no, hay kaù ga naù a ma te nooru. Da boro ga ba biiri ga neeraa ma te nafa, boro mana hima ga almano biiri ga ba handu hinza (3). Da biiriyaù alwaato bisa ya-din, da boro laasabu, goyo sinda albarka kulu. -
Yadda tsutsar tumati Noctuelle da ake cema Helicoverpa a turance take
Tsutsar tumati da ake cema Noctuelle wani dan karamin malan batata ne yake futowa da dare yana neman abincin shi. Wanan malan batatan nada launi toka toka. Wanan hoton na nuna karamar tutsar da irin bannar da take hadasa wa a cikin diyan tumati musaman ma a lokacin zahi,haka zalika jinjirara tsutar na apkama ma sauran albarkatun noma kamar su tattasai da miyar kubewa da kuma kada da masara, wanan tsutar ita ce tafi bata tumati a lokacin rani,ana samun ta a cikin jahohin kasa ga baki daya. -
Tomaato nooniizo (Helicoverpa armigera) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Tomaato nooniizo wo ciini alfaga caw-caw no, zama a si fatta kala za wayna kaù kala mo ma bo. Da ba yaù, alfaga caw-caw wone hari boosa boosa no fatey ga ga. Tira wo, tomaato nooniizo bon no a ga salaù zama nga no ga ti tomaato aùùwaara i kulu ilaala, waana waana hayni waate. Tomaato nooniizo ga tuurize boobo digsa sanda tattaasa, la wala binde haabu wala mo kolkoti. Tomaato nooniizo ga ti, hayni ra, tomaatey aùùwaara laala. Niizer jarjarey kulu ra no a ga diya. -
Yadda tsutsar chou ko plutella take
Zamu muku hira kan wani mungun tsutsar chou da ake cema teigne du chou a turance. Tsutsar chou da ake cema plutela da turance wani karamin malan batata ne(wanda yafi sabro girma,photo na 1) tsutsar shi ce tafi yawan banna ga chou a kasar Nijar. Wanan kwarin ana samun shi koda yaushe tsawon dukan shekara a fadin kasar Nijar aman yafi yawa a lokacin zahi tsakanin watan mars da mai,yana iya bata illahirin gonar chou. -
Les étiquettes des pesticides ne donnent pas satisfaction : il faut les remplacer par des fiches techniques adaptées aux utilisateurs
Les premières investigations et notes du RECA indiquent que les pratiques des agriculteurs pour la protection des cultures irriguées et l’utilisation des pesticides ne sont globalement pas bonnes, au détriment des producteurs eux-mêmes (santé et revenus) et des consommateurs. Ceci est confirmé par la plupart des partenaires intervenant en appui aux producteurs. -
DANGER / Tuta absoluta, un nouveau ravageur de la tomate identifié au Niger
Le village de Bourbourkabé est situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. C’est une zone de production maraîchère isolée (loin de la route) où les producteurs sont spécialisés depuis des années sur la culture de la tomate. Au cours d’une visite des techniciens du RECA, le 20 février 2013, les producteurs ont signalé des attaques très importantes de leurs tomates. Effectivement, la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) était fortement présente. Mais les producteurs ont déclaré qu’il y avait une seconde chenille, apparue cette année pour la première fois, qui cause beaucoup plus de dégâts. Ils ont pu montrer la chenille sur feuille et sur fruit, ainsi que son papillon. -
Les actes de sécurisation foncière
La sécurisation foncière est souvent citée comme nécessaire pour le développement agricole. Néanmoins, le dispositif mis en place pour sécuriser le foncier au Niger n’est pas suffisamment connu. Cette note vise à faire le point sur ce sujet. Toutes les informations contenues dans cette note (et notamment les modèles d’acte de sécurisation foncière et les procédures de délivrance de ces actes) sont disponibles sur le site Internet du Code Rural : http://www.coderural-niger.net/spip.php?article73 http://www.coderural-niger.net/spip.php?article161 -
L’aménagement des terres agricoles pour l’irrigation
L’irrigation fait partie des axes d’intervention de l’Initiative 3N « les Nigériens nourrissent les Nigériens », c’est même l’objet du premier programme d’investissement prioritaire : « accroissement des productions sous irrigation ». On peut se demander ce que prévoit le dispositif législatif et réglementaire lors de la réalisation d’aménagement pour l’irrigation, au niveau du foncier et de l’accès à l’eau. -
Les terres de restauration
La restauration des terres est un enjeu important au Niger. Des superficies importantes sont en effet dégradées et nécessitent une restauration pour redevenir productives, aussi bien pour l’agriculture que pour l’élevage. Que prévoit le dispositif législatif et réglementaire à ce sujet ? -
Les institutions et organisations intervenant dans la gestion de l’eau
L’ordonnance n° 2010-09 portant Code de l’Eau au Niger vise à promouvoir la « gestion intégrée des ressources en eau » (GIRE). Un des principes clés de cette approche est que la gestion des ressources en eau doit être participative : elle doit associer les usagers, les planificateurs et les décideurs. -
Les outils de planification de la gestion de l’eau et les principes de gestion
Le développement de l’irrigation au Niger impose de mieux gérer les ressources en eau. C’est tout l’objectif de l’ordonnance n° 2010-09 portant Code de l’Eau au Niger qui vise à promouvoir la « gestion intégrée des ressources en eau » (GIRE). La mise en oeuvre de la GIRE repose sur certains principes et nécessite des outils de planifications de la gestion de l’eau. Cette note présente ces outils et principes de gestion. -
Qui est en charge de la gestion du foncier rural ?
Qui est en charge de la gestion du foncier rural ? A priori, la réponse semble simple : les Commissions foncières. En réalité, la situation est plus complexe. En effet un certain nombre d’institutions ont des prérogatives concurrentes quant à la gestion du foncier rural et l’articulation entre ces différentes institutions pose des problèmes pratiques. -
Les terres communautaires… ou terrains de chefferie, terres pastorales, ressources forestières…
Le terme de « terres communautaires » n’apparait pas dans l’ordonnance n° 93-015 fixant les principes d’orientation du Code Rural. Pourtant, ce terme est couramment utilisé pour parler de certaines ressources foncières et ces terres existent réellement. Les « terres communautaires » correspondent à des terres coutumières ayant un mode de gestion particulier. Selon les textes de loi, ces terres se retrouvent sous différents statuts, notamment terres vacantes, ressources forestières, terres pastorales. Ces différents statuts sont plus ou moins compatibles, ce qui pose des problèmes pratiques de gestion de ces terres, pourtant très importantes pour le monde rural, puisqu’elles recouvrent à la fois des terres agricoles cultivées, les réserves foncières et les terres pastorales et/ou forestières. -
Les procédures de reconnaissance d’un droit de propriété
Il existe plusieurs procédures ou mécanismes de reconnaissance d’un droit de propriété en milieu rural. Cette note porte uniquement sur la reconnaissance d’un droit foncier existant, pas sur l’attribution d’un droit, par exemple par concession rurale. L’article 10 de l’ordonnance n° 93-015 dispose que, sur les terres agricoles : « La propriété selon le droit écrit résulte de l'acquisition à titre privé d'une propriété foncière rurale par l'un des actes ci-après : l’immatriculation au livre foncier ; l’acte authentique ; l'attestation d'enregistrement au Dossier rural ; l'acte sous seing privé. » -
Accès au crédit et foncier
La question de l’accès au crédit est une problématique importante pour le développement Agricole. Le problème de la sécurisation foncière est souvent évoqué pour expliquer les difficultés d’accès au crédit en milieu rural. Le foncier peut en effet être pris en compte à deux niveaux pour octroyer un crédit Agricole : Pour s’assurer que la personne dispose d’un droit d’usage ou d’un droit de propriété sur la parcelle où sera fait l’investissement ; Comme garantie d’un crédit. -
L’accès des femmes et des jeunes au foncier
La question de l’accès au foncier des femmes et des jeunes revient souvent dans les projets de développement. Accéder au foncier permettrait en effet à ces catégories de personnes qui sont surreprésentées dans les populations les plus vulnérables de disposer d’une source de revenus. La question qui se pose en pratique aux projets est « comment faciliter cet accès ? ». Cette note donne des éléments de réponse à partir des aspects juridiques. Elle sera complétée par un travail sur les expériences réussies ou non. -
Sécuriser les terres restaurées : comment faire en pratique ?
La restauration des terres pose parfois des problèmes fonciers. Il arrive que des terres utilisées pour l’élevage soient mises en culture une fois restaurée, ce qui crée des conflits. Des communautés refusent la restauration des terres par crainte d’appropriation des terres redevenues productives par un groupe particulier, etc. La question de la gestion du site, en prenant en compte la sécurisation foncière, fait partie des questions à régler pour assurer la pérennité des travaux de restauration et éviter les conflits. Cette note propose comment procéder pour sécuriser les terres restaurées et éviter les erreurs les plus courantes. -
Crédit et actes fonciers : quels actes fonciers peuvent être joints au dossier de demande d’un crédit ?
Pour accéder au crédit, les producteurs agricoles doivent fournir un acte foncier aux banques ou instituts de micro-finance. Cet acte foncier permet aux institutions financières de s’assurer que le demandeur a effectivement des droits fonciers sur un terrain identifié et de juger des besoins de financement et de la viabilité du projet en connaissant la superficie du terrain. Il est donc nécessaire que cet acte soit accompagné d’un plan. -
Aménagements pour l’irrigation et foncier : Etude de cas de sites aménagés pour l’irrigation dans la région de Tillabéri
L’irrigation se développe au Niger, à l’initiative des producteurs et souvent avec l’appui des projets.
C’est d’ailleurs l’objectif du premier programme d’investissement prioritaire de l’Initiative 3N : « Amélioration de la Productivité et des revenus agricoles par la maîtrise de l’eau ». -
Guide de la transformation de la mangue par le séchage au Burkina Faso
Le guide est articulé autour de quatre (4) grands chapitres : 1. Description du manguier et son importance socio-économique 2. Principales technologies de séchage de la mangue au Burkina Faso 3. Bonnes pratiques du séchage de la mangue 4. Démarches et formalités pour l’installation d’une unité de transformation de la mangue -
Techniques actuelles de la fabrication des jus et concentrés de raisin
Ce guide résume les techniques de fabrication des jus et concentrés de raisin -
Guide de formation sur les techniques de transformation et conservation des produits agricoles
Le présent guide de formation élaboré dans le cadre de L’Etude de Développement des Oasis Sahéliennes en République du Niger (EDOS) au cours de sa 4ème année d’exécution est un outil destiné aux cadres de développement pour leur permettre de mieux encadrer les hommes et/ou les femmes qui exercent de petites activités individuelles ou collectives de type AGR (Activités Génératrices de Revenu).
Le présent guide concerne les techniques de transformations/conservation des produits agricoles tels la tomate, les courges, le niébé en couscous ou « Béroua » en Haoussa le riz en couscous -
Guide pratique du maraîchage au Sénégal
Ce guide porte sur le maraîchage au Sénégal -
Guide pratique implantation pepinieres
Guide pratique implantation pepinieres -
Faire son compost
Ce guide porte sur la fabrication du compost tout en reduisant ses déchets et en nourrissant le sol -
L’or… jaune de Djirataoua (Région de Maradi)
Le périmètre hydro-agricole de Djirataoua, situé à une dizaine de kilomètres au sud de Maradi, a été réalisé en 1982 (environ 500 ha). Une extension a été faite en 2010 pour environ la même superficie. -
Effets du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) sur la production et les rendements des cultures de pomme de terre, oignon blanc de Soucoucoutane, et oignon Violet de Galmi au niveau des exploitations maraichère de 5 sites de production.
La Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso s’est engagée dans le conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) depuis 2014 avec l’appui du Programme d’Appui à la Petite Irrigation (PAPI) financé par la Coopération Suisse. Au démarrage de cette activité des conventions étaient signées entre la CRA et les unions d’organisation de producteurs (OP) / faitières de la région avec un dispositif mixte comprenant à la fois des conseillers de la CRA et des animateurs endogènes des OPs qui avait reçu une formation par le cabinet CORADE. Malheureusement, après 2 années d’activités le dispositif n’arrivait pas à donner les résultats escomptés (questionnaire trop complexe, producteurs non alphabétisés, animateurs des OP ayant d’autres tâches). Vu cet état de fait, la CRA n’a pas renouvelé les conventions avec les OPs et a réfléchi sur un nouveau dispositif basé uniquement sur ses conseillers agricoles et des animateurs endogènes de certaines OPs qui vont s’engager volontairement dans le CGEF. A nos jours, suite aux suivis faits de 2017 à 2019 des résultats ont été produits. -
Effets du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) sur la maitrise des coûts de production et l’augmentation des revenus par les producteurs de pomme de terre, oignon Blanc de Soucoucoutane, et oignon Violet de Galmi au niveau de exploitations maraichères de 5 sites de production.
La Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso s’est engagée dans le conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) depuis 2014 avec l’appui du Programme d’Appui à la Petite Irrigation (PAPI) financé par la Coopération Suisse. Au démarrage de cette activité des conventions étaient signées entre la CRA et les unions d’organisation de producteurs (OP) / faitières de la région avec un dispositif mixte comprenant à la fois des conseillers de la CRA et des animateurs endogènes des OPs qui avait reçu une formation par le cabinet CORADE. Malheureusement, après 2 années d’activités le dispositif n’arrivait pas à donner les résultats escomptés (questionnaire trop complexe, producteurs non alphabétisés, animateurs des OP ayant d’autres tâches). Vu cet état de fait, la CRA n’a pas renouvelé les conventions avec les OPs et a réfléchi sur un nouveau dispositif basé uniquement sur ses conseillers agricoles et des animateurs endogènes de certaines OPs qui vont s’engager volontairement dans le CGEF. A nos jours, suite aux suivis faits de 2017 à 2019 des résultats ont été produits. -
Le sésame une culture à bonne valeur ajoutée
Le sésame est une culture en expansion dans la région de Diffa. En effet, ces 5 dernières années les superficies emblavées en sésame pendant la saison des pluies prennent de plus en plus d’ampleur particulièrement dans les départements de Goudoumaria, Mainé Soroa, Chétimari et Diffa. C’est pourquoi la CRA de Diffa s’est intéressée depuis trois ans à cette culture à bonne valeur ajoutée. -
Evolution du prix de gros du kilo de pomme de terre pendant quatre ans sur les marchés de Niamey
Globalement, la production locale de pomme de terre - Agadez et Bonkoukou, Région de Tillabéri, principalement - est présente sur le marché de fin décembre à juin. A partir de juin ce sont les pommes de terre d’importations qui se trouvent sur le marché : la pomme de terre du Maroc avec une disponibilité quasi permanente, accompagnée par la pomme de terre du Nigeria. -
Combien pourrait rapporter une plantation de gommiers dans la région de Diffa ?
Dans le cadre des microprojets mis en place sur financement du Fonds d’Appui Régional du Programme d’Appui au Secteur Rural, deux groupements de producteurs de la commune de Goudoumaria ont obtenu un financement pour la réhabilitation / plantation de 10 hectares de gommeraie (Acacia senegal), chacun. Le dossier de financement précise que chaque plantation de 10 ha dégagera un revenu de 350.000 F.CFA la cinquième année et 700.000 F.CFA à partir de la sixième année. -
Note sur l’écoulement des semences améliorées au niveau des producteurs de la région de Zinder
En avril 2018, la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Zinder a rédigé une note sur la disponibilité en semences améliorées de mil, sorgho, niébé et arachide qui a fait l’objet d’émissions radios diffusées sur 15 radios communautaires de la région. -
Note sur les effets des pratiques recommandées dans le cadre du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) et sur l’amélioration des rendements des cultures et des marges brutes
La Région de Zinder comptait en 2012, environ 460.000 ménages agricoles (exploitations familiales) (RGPH 2012). Les principales espèces en culture pluviale sont les céréales (mil, sorgho) et des cultures dites de rentes (arachide, niébé et sésame). Les superficies moyennes par exploitation varient de 0,02 à 7 ha avec des rendements très faibles allant de 100 à 400 kg par hectare (données CGEF CRA-Zinder 2015-2018). Cette fluctuation de la production agit directement sur les revenus des producteurs. -
Note sur le financement des clôtures par le crédit agricole dans la région de Maradi
L’une des rubriques récurrentes dans les devis/facture proforma des producteurs de Maradi, demandeurs de crédit agricole avec subvention, est la clôture de leurs sites productifs. Dans le contexte de Maradi, cette clôture peut se justifier. Les producteurs associent généralement l’arboriculture fruitière à la production maraîchère et, puisque les cas de vols sont fréquents, la clôture est perçue comme un moyen de réduire les vols. La clôture permet aussi de matérialiser clairement les limites d’une parcelle. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
Cette note présente le contenu d’une émission radio préparée par des agents du RECA, de la DGPV et de l’INRAN puis enregistrée en Zarma et en Haoussa avec la radio Jeunesse de Goudel pour être diffusée sur l’ensemble des régions du Niger. -
Maitrise de la pression parasitaire à travers le conseil de gestion à l’exploitation agricole et les formations
Cette note a été rédigée sur la base des résultats de l’analyse des données collectées par les conseillers de la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) dans le cadre du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) au niveau du département de Doutchi, et d’entretiens complémentaires avec des producteurs et productrices. Compte tenu de la dynamique du dispositif CGEF dans ce département, qui se fait selon les campagnes avec ou sans techniciens d’organisations de producteurs OP, les données sont établies à partir de 43 producteurs (dont 20 suivis en CGEF et 23 sous forme d’entretiens complémentaires). Il faut également noter que les données collectées au cours des deux premières campagnes de conseil de gestion n’ont pas été prises en compte car non exploitables et que les résultats intègrent uniquement les données de 2017 et 2018. -
Note sur les expériences d’irrigation solaire pour le maraichage dans les villages de Soumarana et Adraoua (commune de Safo)
Le solaire est perçu comme une technologie verte valorisant l’énergie renouvelable qu’est le soleil et permettant des économies sur les charges courantes d’achat de carburant ou d’électricité. Selon les données des maraichers suivis en conseil de gestion par la CRA de Maradi en 2018 à Soumarana, l’achat de carburant pour l’irrigation représente 45% des charges de production sur la carotte et 22% sur l’oignon. Cela justifie bien pourquoi, les investissements pouvant permettre une irrigation solaire pour le maraichage (panneaux solaires et pompes immergées) sont de plus en plus demandés par les producteurs de Maradi pouvant bénéficier d’un crédit agricole avec subvention. -
Une disposition de banquettes originale mais… efficace Village de Dargué, Région de Maradi
Si l’on se réfère au « Recueil de fiches techniques en gestion des ressources naturelles et de productions agro-sylvopastorales1 », il existe deux types de banquettes : la banquette agricole sur glacis (longueur 80 m avec un écartement de 25 m entre deux lignes de banquettes) et la banquette agro-sylvo-pastorale sur plateau érodé (longueur 100 m avec un écartement 40 à 45 m entre deux lignes de banquettes). La banquette se compose d’un bourrelet à l’aval et d’un fossé à l’amont dans lequel sont implantées des espèces végétales (arbustives et/ou herbacées). -
Guide sur la gestion et la conservation des sols et des éléments nutritifs pour les champs-écoles des agriculteurs
Ce document propose des directives de référence pour la conception et la mise en application de l’approche champ-école des agriculteurs. Il est destiné aux facilitateurs de cette formation, pour produire des programmes et des manuels spécifiques locaux ou nationaux sur la vulgarisation agricole, l’agronomie, la science du sol, la nutrition des plantes, la conservation des sols et d’autres domaines de gestion agricole. Il peut être adapté à l’environnement agro-écologique, aux systèmes agricoles/culturaux, aux conditions socio-économiques et au niveau de formation des agriculteurs des régions concernées par les champs-écoles des agriculteurs. -
Le sabara (Guiera senegalensis), espèce oubliée des programmes de revégétalisation des plateaux et glacis ?
L’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a publié des fiches techniques de production de plants de plusieurs espèces locales d’arbres et arbustes. C’est une occasion pour évoquer l’une de ces espèces locales qui porte le même nom en Haoussa et Djerma, le sabara, dont le nom scientifique est Guiera senegalensis – Peul : Gelohi, leleko ; Tamachek : assubara. Si vous cherchez la description de cette plante sur internet vous trouverez quasiment la même description sur la plupart des sites. C’est donc un arbuste de 1 à 5 m de haut, facilement reconnaissable à ses petites feuilles, vert clair, plus ou moins grises ou bleutées. -
ALERTE Spodoptera frugiperda une nouvelle chenille, ravageur du maïs
Cette chenille originaire d’Amérique a été observée pour la première fois en Afrique de l’Ouest en janvier 2016, au sud du Nigeria où elle a causé d’importants dégâts. En août 2016, la presse béninoise avance le chiffre de 30.000 à 40.000 ha de maïs détruits dans les régions du Nord Bénin. La chenille a également fait d’importants dégâts au Nigeria et au Togo. Fin novembre 2016, elle est signalée à Torodi (Région de Tillabéri), et également à Dosso. Il s’agit de la larve d’un papillon à moeurs nocturnes de la famille des Noctuidés ou noctuelles. Les insectes de cette famille sont malheureusement bien connus des producteurs car elle comprend les ravageurs les plus dévastateurs des cultures comme par exemple la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera). -
Evolution du prix de poivron rouge de 2015-2018 sur le marché de Diffa
Le suivi du marché de poivron rouge de Diffa a commencé en août 2015. Le marché de Diffa est hebdomadaire et se tient tous les mardis. Le suivi du marché consiste à relever le prix du sac de poivron sec (17 kg), la quantité commercialisée, la provenance et la destination. Les résultats présentés dans cette note vont de l’année d’août 2015 jusqu’à la semaine 22 (fin mai) de l’année 2018. -
La production de la pastèque dans le département de Guidan Roumdji (Maradi)
La pastèque, KANKANA en Haoussa, appartient à la famille des cucurbitacées. D’origine africaine, elle est riche en eau et a une saveur sucrée. La pastèque de Guidan Roumdji a acquis une réputation compte tenu de ses qualités et du savoir-faire des producteurs et elle est bien prisée par les consommateurs locaux mais aussi étrangers. Elle arrive à concurrencer celle des pays voisins dont le Nigeria. De l’avis de ce jeune producteur, la culture de la pastèque est pratiquée en deux saisons : la culture pluviale, plus développée dans la commune de Guidan Sori, et la culture de contre saison développée sur tout le long du Goulbi Maradi, donc dans la commune de Guidan Roumdji. -
Tuta absoluta (Meyrick) : un ravageur invasif des cultures maraîchères pour l’Afrique sub-saharienne
T. absoluta est un un lépidoptère nocturne de la famille des Gelechiidae, originaire d’Amérique du Sud. Les adultes mesurent 6-7 mm de long et environ 8 à 10 mm d’envergure. Ils sont gris argenté à marrons avec des écailles de couleur brune à noire sur les ailes antérieures (Photo 1). Les mâles sont un peu plus sombres et plus petits que les femelles. Les antennes sont filiformes et mesurent les 5/6èmes des ailes. Les oeufs, de 1 mm environ, sont de forme cylindrique et de couleur crème à jaunâtre (Photos 2 et 3). Les chenilles sont de couleur crème (1er stade) puis deviennent verdâtres et rosâtre au dernier stade (du 2ème au 4ème stade). Elles mesurent de 0,6 à 0,8 mm au 1er stade jusqu’à 7,3 à 8 mm au 4ème stade (Photos 4 et 5). Une caractéristique des chenilles de T. absoluta est la présence au niveau de la tête de 2 étroites bandes noires, une latérale et une ventrale. La chrysalide (4 à 5 mm) initialement de couleur verte devient progressivement brune (Photo 6). -
La femme entrepreneure nigérienne au centre de la transformation des produits locaux
En raison de la Pandémie du Covid 19 et la difficulté d’organiser des évènements en live, le réseau AgriProFocus rend hommage à la Femme Nigérienne, à travers ce portait de 5 femmes leaders dans la transformation des produits locaux du Niger, en cette journée spéciale de la femme nigérienne!!! -
Evolution des prix de gros du moringa sur les marchés de Niamey (Djémadjé et Harobanda)
Cette note présente l’évolution des prix moringa sur les principaux marchés de Niamey pour les semaines du 20 - 26 avril 2015 (semaine 17), au 23 – 30 juillet 2017 (semaine 30) et une comparaison des prix sur les trois périodes de Ramadan. -
Cahier du formateur « Réparation et entretien des petites motopompes »
Ce présente guide porte sur la formation pour la réparation et entretien des petites motopompes -
Scénario du film : Utilisation des Pesticides – Alphabétisation fonctionnelle – annexe curriculum gestion intégrée des ennemis des cultures (Version française)
Le présent document s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du PSRCA-PI. -
Cahier du formateur « Techniques de production des cultures irriguées »
Le présent document est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui financier de la Coopération Allemande. Il s’inscrit dans les activités de la composante 2du PromAP: Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation quia pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite irrigation. -
Cahier du formateur « Gestion de la fertilité des sols »
Le présent document est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui financier de la Coopération Allemande. Il s’inscrit dans les activités de la composante 2 du PromAP : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite irrigation. -
Transformation - Hygiène personnelle : versions Haoussa, Tamashek et Zarma
Le présent document porte sur l'hygiène à respecter lors des transformations de produits agricoles -
Gestion rationnelle de l'eau d'irrigation
Ce présent document porte sur la gestion rationnelle de l'eau d'irrigation -
Guide pour la conduite des tracteurs
Ce présent document est composé d’une présentation des organes et des rôles du tracteur, mais aussi des conseils élémentaires sur la conduite. Il présente également les principales opérations d’entretien de base et les quelques bons réflexes à adopter.
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Evolution du prix de gros de la tomate sur trois ans au marché de Niamey Djémadjé
Le suivi des prix de gros des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en avril 2015 (la semaine 17). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 40 (début octobre) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur trois ans et demi. -
Leptadenia hastata (hanam ou yadiya) De superbes potentialités mais une plante oubliée
Il s’agit d’une plante appelée hanam en Zarma, yadiya en Haoussa, Leptadenia hastata comme nom scientifique (Famille des Asclepediaceae). Leptadenia hastata est une plante à latex particulièrement vivace et résistante à la sécheresse. C’est une liane à la croissance forte pendant la saison sèche et ralentie pendant la saison des pluies. Elle rampe sur le sol ou elle s’enroule autour d’un arbre (photo 3). -
Ounoufa : Réaliser des banquettes entre d’anciennes banquettes, un risque pour un reboisement réussi.
Le plateau de Onoufa se trouve à la sortie de Niamey sur la route de Torodi, au niveau du poste de gendarmerie, après le péage. On y trouve les différentes techniques utilisées par le Programme de lutte contre l’ensablement du fleuve Niger (PLCE) : cordons pierreux, banquettes en terre, demilunes avec semis et plantations d’arbres. En 2007, sur la surface plane du plateau, il a été réalisé des banquettes avec plantation de gommiers (Acacia senegal) et de Bauhinia rufescens. Les arbres se sont bien développés (photo en haut, à droite) et un grand nombre atteint aujourd’hui 3 à 4 mètres après 7 ans et pourraient être exploités pour la production de gomme arabique. C’est aménagement est, à notre avis, une des plus belles réussites de reboisement d’un plateau dans la région Ouest du Niger. -
Guide de formation sur l'arboriculture fruitière
Ce guide de formation sur les techniques de l’arboriculture fruitière est destiné aux agents d’encadrement des exploitants agricoles pratiquant ou désirant pratiquer l’arboriculture pour une plus grande efficacité dans la conduite des opérations culturales. L’objectif visé à
travers ce document est d’amener ces agents à maîtriser les techniques de l’arboriculture fruitière principalement en zone sahélienne afin qu’ils puissent mieux encadre les exploitants
agricoles. -
Bouse de vache pour la protection et la fertilisation des végétaux
Insecticides – fongicides : des méthodes naturelles pour protéger les plantes contre les ravageurs -
Le dispositif d’appui conseil mis en place pour accompagner les producteurs de niébé sur les aspects technico-économiques de leur production : formations et suivi technique des producteurs
Le projet de développement de la filière niébé dans la province du Sanmatenga au Burkina Faso a été mis en oeuvre par Fert et Accir de juillet 2008 à juin 2011 et s’inscrit dans le cadre d’un partenariat de long terme entre Fert, Accir et les Unions départementales de Producteurs de niébé de Pissila, Dablo et Pensa. La capitalisation des actions mises en oeuvre depuis 2004 a permis de réaliser ce livret sur la démarche d’appui conseil technico économique. Il est à destination des organismes d’appui aux organisations paysannes et aux organisations elles-mêmes (appuyées ou non par Fert et Accir). La démarche générale de l’appui conseil technico-économique de Fert et Accir se base sur un dispositif de recherche-développement et de diffusion des technologies au profit des producteurs et sur l’amélioration de leur capacité d’analyse des activités de la campagne. En termes de ressources humaines, des producteurs et productrices sont aptes à fournir des services à tous les groupements : le réseau comprend une centaine de producteurs pilotes (PP), des producteurs recenseurs et ceux formés pour le traitement des cultures. L’appui conseil se fait également avec les animateurs terrain salariés qui accompagnent d’une part ces personnes ressources dans leurs tâches, et qui apportent d’autre part un appui conseil technico-économique aux producteurs dans les groupements et l’assistance technique aux bureaux des unions. -
Note d'information sur la Régénération Naturelle Assistée (RNA)
Suite aux sécheresses récurrentes et à la surexploitation des terres due à la démographie galopante, la région de Maradi connait depuis quelques décennies une dégradation accrue des terres cultivables. Pour faire face à cette crise écologique les communautés locales avec l’appui de l’Etat, du FIDA à travers le PDRA et PPILDA et d’autres bailleurs de fonds ont adopté la RNA qui est une approche novatrice pour la restauration des sols pauvres et l’intensification agricole. Elle consiste à épargner des rejets de différents arbres et arbustes au cours du défrichement des champs (en saison sèche ou saison des pluies). Au vu de l’importance des acquis capitalisés, et de l'adoption massive de la pratique par les producteurs, le PASADEM qui est la suite logique du PPILDA a retenu la promotion de la RNA à large échelle comme une de ses activités phares, avec un objectif de 90.000 ha. La stratégie de mise en oeuvre est le faire-faire qui met en contribution des ONG locales spécialisées dans la pratique à travers la signature des conventions de partenariat. -
Note de capitalisation sur la technique de fixation de dunes par le ProDAF
Au Niger les sècheresses successives des années 70 et 80, couplées à la croissance démographique, ont eu des conséquences dramatiques notamment sur l’environnement, avec une régression significative du couvert végétal, une érosion de la biodiversité et une modification des systèmes de production. L’ensablement des terres agro-sylvo-pastorales est l’une des menaces constantes de la survie des millions d’habitants, particulièrement dans les régions d’Agadez, Maradi et des régions de Tahoua, Tillabéry, Zinder et Diffa. Il constitue ainsi le défi majeur et la principale contrainte de la gestion durable des ressources naturelles et du développement socioéconomique du pays. -
Le traitement des fourrages grossiers à l'urée : Une technique très prometteuse au Niger
Cette note est un extrait du document présentant les résultats du projet « Extension de la méthode de traitement à l'urée des fourrages grossiers dans les départements de Tillabéri, Dosso et Maradi » (NER/89/016), projet exécuté par la FAO (1991 – 1994). Le document a été rédigé par K.M. Sourabie, C. Kayouli et C. Dalibard. Il est disponible en ligne sur le site de la FAO : http://www.fao.org/docrep/V4440T/v4440T04.htm Cette note vient en complément de la fiche technique du PAC. Elle permet au conseiller ou formateur une meilleure compréhension de la technologie et donc une plus grande capacité de l’expliquer. -
Conduite de la multiplication et certification de la semence améliorée
Cette note est tirée de la thèse intitulée « Déterminants et effets socio-économiques de l’adoption des variétés améliorées de mil et de niébé dans les exploitations agricoles des régions de Tillabéry et Zinder (Niger) » soutenue par Monsieur M. OUMAROU HALADOU Issoufou en mars 2018 à l’université Abdou Moumouni. -
Le dispositif d’appui / conseil aux producteurs et productrices de Mooriben
Cette note est réalisée à partir des documents fournis par la Fédération des Unions de Groupements Paysans du Niger - Mooriben.