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Production et vente de la nigelle à Atkaki au Niger
Cette fiche explique l'itinéraire technique sur la culture de la Nigelle. Elle explique les travaux du sol , la qualité des gousses et la facilité à la récolte. le choix des semences, la meilleure période de semis, le type et le dosage d'engrais par hectare, le respecter la fréquence des arrosages. -
Utilisation du réseau californien pour les cultures irriguées
Cette fiche explique la technique du réseau californien qui est un système de micro-irrigation développé en Californie. Il consiste à distribuer l’eau aux cultures par des tuyaux souterrains en PVC rigide (diamètre 40-50 m). Le réseau de tuyaux est enterré à 0,5 m pour les protéger des UV et des travaux agricoles. -
Irrigation par goutte à goutte
cette fiche présente une brève description de l’innovation
"’irrigation par goutte-à-goutte "" qui est une est une innovation
exogène introduite en zone de cultures maraîchères par des projets de développement, institutions de recherche et services techniques. C’est un procédé qui consiste à utiliser des microdiffuseurs installés sur les canalisations, très proches du sol. -
Utilisation du réseau californien pour les cultures irriguées
Le réseau californien est un système de micro-irrigation développé en Californie. Le principe du système californien consiste à distribuer l’eau aux cultures par des tuyaux souterrains en PVC rigide (diamètre 40-50 m). Le réseau de tuyaux est enterré à 0,5 m pour les protéger des UV et des travaux agricoles. -
Utilisation des séchoirs solaires
Le séchoir solaire utilisé pour le séchage des produits maraichers a été repéré dans les régions d’Agadez et Tahoua par PromAP en 2016.
C‘est une innovation exogène adoptée par des groupements des femmes. En raison de son coût initial. Cette fiche présente le séchoir solaire, ses foncfions et les avantages qui en découlent. -
Utilisation du pompage solaire pour l'irrigation
Cette fiche explique le pompage solaire, qui est une innovation exogène recommandée aux producteurs par des ONG, projets de développement et services techniques au Niger. Elle s’inscrit dans le cadre de l’optimisation du captage et de l’exhaure de l’eau pour la petite irrigation. Mr Sidi Bila, producteur et natif du village d’Alikinkin, commune urbaine d’Agadez, a adopté l’innovation; il explique les différentes étapes à suivre. -
Production et commercialisation du fourrage de la luzerne
La luzerne est une légumineuse pluriannuelle qui résiste à la sécheresse et lutte contre l’érosion des sols.
La présente fiche d'innovation montre les différentes étapes à suivre pour produire la luzerne. Cette culture fut initiée dans le village d’Edouk (Tahoua) par un paysan innovateur, Mr Hachimou Alka, identifié par le PromAP.
La fiche aborde:
- Le choix variétal et le respect
- Les maladies et ennemis de la luzerne.
- Pas besoin de fertilisation azotée etc.. -
Production de l'ail en irrigué
Cette fiche présente l'itinéraire technique de la production de l' ail ; elles explique les dispositions à prendre pour réussir la production de l’ail en culture irriguée
selon Mr Assoumana Moussaproducteur du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. -
Production du gombo en irrigué
Cette fiche d'innovation présente les différentes techniques de production du gombo en irrigué au niveau du village de Chacott, Région de Tahoua. Originaire de l’Ethiopie le gombo est une plante de saison sèche, très exigeante en chaleur, lumière et humidité. Produit en irrigué pour La commercialisation cette culture est une innovation endogène initiée en 2009 par des femmes du village de Guidoma, Région de Tahoua au Niger. -
Production de l'arachide en irrigué à Akoukou au Niger
L’arachide est une plante annuelle herbacée. Elle peut atteindre une hauteur de 20-60 cm. Pour la cultiver, il faut ameublir le sol et faciliter la pénétration de l’eau et des racines. Les travaux du sol influencent la maturité, la qualité des gousses et la facilité à la récolte. Un labour léger (8 à 12 cm), voire scarifiage sont suffisants sur un sol léger. -
Production du niébé à double usage
Cette fiche traite du niébé, une plante herbacée annuelle cultivée pour ses graines mais aussi pour ses feuilles. Il est surtout produit en zone sèche (soudano-sahélienne). Cette technique fait la promotion des productions à double usages qui concerne la production des semences et du fourrage de niébé pour l’alimentation humaine et animale. Elle a été réalisée par M. Salou Oudou, natif de Tadjef, commune de Balleyara, région de Tillabéri. -
Bonnes pratiques avant le traitement : Traiter ou ne pas traiter ?
Une pluie qui survient après le traitement d'une surface peu ou pas perméable peut avoir des conséquences graves sur la contamination des eaux superficielles (entraînement des substances actives vers le réseau d'eau pluviale par exemple). C 'est essentiellement le désherbage qui représente le plus gros facteur de risque. -
Système californien d’irrigation à basse pression
Le document explique le système de distribution à basse pression connu sous l’appellation de « réseau californien » ; un système d’irrigation très efficient pour les groupes de fermiers à petite échelle africains. -
Moulin à grain : fiche d'innovation
La présente fiche décrit les étapes d'une session de formation des femmes en techniques de transformation des céréales à Toumgai, Agadez. le document présente un exemple de réussite d'un groupement féminin qui a réussi grâce à l'appui du PromAP. (Recettes de 330 000 FCFA générées de la gestion du moulin à grain obtenu de PromAP. achat et installation à Batarmatas un second moulin à 120 000 FCFA issus des recettes du moulin subventionné par PromAP) -
Base de données documents PADIP: Liste triée par thème
Cette fiche présente une liste triée par thème de la Base de données documents PADIP. Elle dresse la liste des Documents disponibles en version électronique. -
Hangar amélioré pour la conservation de la pomme de terre
Cette fiche présente les techniques de conservation de la pomme de terre dans un hangar amélioré appelée « Mallam Tanda » . C'est une innovation endogène initiée par Mr Issoufou Hamidou à Shett Fandou, Filingué, région de Tillabéri. on construit un hangar dans un endroit bien aéré et dégagé sur 7 m de longueur, 6 m de largeur et 2 m de hauteur soit un volume de 84 m3. Il utilise des tiges de mil ceinturé de sécko et soutenu par quatre poteaux en terre avec des traverses en bois... -
Production de la tomate dans les zaї en hivernage
La culture de la tomate dans les Zaï en hivernage est une innovation endogène initiée en 2016 par Mr Tahirou Sabo, natif de village de Magou, département de Torodi.
La période propice est la saison sèche fraiche ; l'itinéraire technique décrit pas à pas les différentes étapes de cette technique. -
Irrigation par aspersion à Agadez
Cette fiche d'innovation traite de la technique d’irrigation par aspersion s’adapte à la plupart des types de sol. Elle est une bonne irrigation pour les sols sableux à taux d’infiltration assez fort. L’aspersion est une technique d’irrigation innovante exogène introduite par le GIE AÎR à Gofat Est, Agadez. L’eau est apportée aux plantes sous la forme d’une pluie artificielle. -
Aménagement et préparation du terrain en maraîchage. Pratiques paysannes au Niger
Cette note présente les explications du choix des planches de 10 m2 et fait un tour des pratiques paysannes que l’on rencontre au Niger. Ces pratiques peuvent s’expliquer, dans la majorité des cas, par les contraintes que rencontrent les producteurs et productrices et donc des choix raisonnés pour s’adapter. -
La santé des sols: des technologies pour produire plus avec moins
Pour nourrir une population mondiale, en pleine expansion, nous n’avons pas d’autre choix que d’intensifier les cultures. Mais les agriculteurs sont confrontés à des contraintes sans précédent. Il leur faudra donc apprendre à produire
plus avec moins. L’agriculture doit littéralement retourner à ses racines en redécouvrant l’importance de sols en bonne santé, en utilisant des sources naturelles de nutrition des plantes et en appliquant avec discernement les engrais minéraux. -
Production du mais en irrigué
Cette fiche explique les étapes d' une innovation sur les techniques de production du mais en irrigué par Mr Mallam Hamidou Ahamadou, du village de Kolkoli, commune de Bambaye, un producteur innovateur . Elle s’inscrit dans le cadre de la diversification des cultures irriguées. la technique présente un nombre de producteur par localité avec les différents rendements par superficie emblavée. -
Récupération de l’eau de pluie pour accroître la production
fourragèreFiche technique pour créer des demi-lunes -
Pratiques améliorées d’élevage des poules indigènes
Fiche technique pour l'élevage de poules -
Le moringa Oleifera
Cette fiche présente le Moringa un arbre tropical appelé aussi Mouroungeré, Ben aildé, moringa ailé, benzolive, pois quenique, neverdié Famille MORIN GACEAE
la fiche traite des caractéristiques, de l’intérêt alimentaire et de quelques vertus. -
Fiche technique A.S.E. N° 10 moringa oleifera « l'arbre de vie »
Cette fiche technique présente l'importance de la production et de la transformation des produits du moringa. Le choix pour planter le Moringa oleifera est double :
1) une multitude de ses produits peut assurer aux femmes des revenus pendant toute l'année.
2) quelques vertus ont des qualités dans le domaine de la propreté et de la santé. -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce document décrit la tomate (Lycopersicon esculentum), les itinéraires techniques de sa production et conditionnement au Sénégal et la gestion des ennemis de cette cultures -
Connaissance du sol
Le sol est une alliance de matières minérales, issues de la roche mère, et de matières organiques, issues de la litière.
C’est un milieu particulier, on ne le trouve que sur notre planète. Cependant, dans le monde, 10 millions d’hectares
de sol seraient en voie de désertification chaque année du fait de la déforestation et l’agriculture intensive. Par exemple, la couleur marron des fleuves et rivières que l’on observe souvent après un orage n’est pas du tout naturelle et témoigne d’une perte des argiles du sol consécutive à sa destruction biologique. -
Lutter contre la mineuse de l’épi du mil sans pesticides, c’est possible !
Tous les producteurs du Niger redoutent le ravageur du mil qui est appelé en français la chenille mineuse de l’épi, en Haoussa murzouna et en Zarma guéri-guéri. Cette chenille s’attaque au mil quand les chandelles sont sorties et que les producteurs espèrent une bonne récolte. Elle
est capable de détruire une bonne partie de la récolte ou même de la totalité.
Les années où cette chenille s’attaque au mil, elle peut être présente dans tous les champs d’un terroir et il est impossible de la traiter en utilisant des pesticides. Mais il existe un autre moyen de lutter contre la mineuse de l’épi.
Nous allons partager avec vous l’expérience de l’élevage d’un de ses plus redoutables ennemis qui se nomme Habrobracon. -
L’agriculture de conservation
Alors que toute l’histoire de l’agriculture consiste, concrètement et symboliquement, à travailler la terre, la réduction du travail du sol est aujourd’hui présentée par certains acteurs comme un levier intéressant pour améliorer les performances des systèmes agricoles. Cette réduction, voire suppression du travail du sol, est emblématique des systèmes dits en «agriculture de conservation». Mais cette dénomination générale cache en fait une grande diversité de pratiques. Quelles sont les implications de ces pratiques pour le fonctionnement des systèmes de culture? Quelles conséquences réelles ont-elles sur les performances économiques, sociales et environnementales?Et qu’en est-il des potentialités de généralisation de ces systèmes en France?
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La chenille légionnaire du maïs Spodoptera frugiperda
En 2016, une nouvelle chenille est arrivée en Afrique. Elle s’est répandue dans de très nombreux pays (Nigeria, Bénin, Togo, Afrique du Sud, etc.) où elle a fait des dégâts très importants sur le maïs. Cette chenille est appelée chenille du maïs et a pour nom scientifique Spodoptera frugiperda. Elle a été trouvée pour la première fois sur le maïs en novembre 2016 à Torodi et à Maradi. Depuis, elle se trouve dans toutes les régions du Niger. Encore plus grave, cette chenille a attaqué le mil en saison des pluies à Maradi (plusieurs milliers d’hectares) mais aussi à Torodi. Elle est donc un véritable danger potentiel pour les cultures céréalières et il faut la connaître pour pouvoir lutter contre elle. -
Tsutsar masara da ake cema da turanci : Spodoptera frugiperda
A shekara ta 2016, wata sabuwar tsutsa ta bayana a kasar africa,wanan tsutsar.ta.mamaye.kasashen.africa da dama kamar su nigeria,benin,togo,africa ta kudu da sauran su ; tsutsar masara.spodoptera frugiperda tayi banna sosai a cikin gonankan masara. Wannan tsutsar masara ana.ce mata spodoptera frugiperda a turance,an ganota ne a karon farko jikin masara a garin torrodi.da maradi shekara ta 2016 ;tun daga wanan lokaci sai ta bazu a dukan fadin kasa. Abun.al’ajabi wanan tsutsar bata tsaya ga masara kadai ba, a lokacin daminar bara a garin maradi da.torodi ta apkama gonankan hatsi inda tayi bana sosai ;wanan tsutsa dai babbar matsala ce ga hatsi.da dawa, ya kamata manoma su nemi saninta don su yaketa. -
Kolkoto noonizo kan si gane annasarakine ga spodoptera frugiperda
Annasara jiiri 2016 nga no noonize tagi fo bangay iri africa laabu bobo yan ra,laabey kan yan ra a go nga gati(nigeria,benin,togo afrique du sud,kala ama koy laabu gerey ra) nankanyan ana hasarawo bobo te kolkoto ga. I sintin ga diya Torodi nda Maradi gandara novembre hando 2016, sonhon nango bobo na go iri niijer laabo ra. Nankan haya ga hunburandi koyne noonizo din halada haynay nadi manan kayidiya wate, Maradi Torodi batama beeri yan ra yadin ga hasarawo bobo no aga te dumizey kan yan I ga fare bon ihima no ga fondo konno sanbu ga duga tangame nda. -
Culture et entretien de la nigelle (Nigella)
La nigelle cultivée (Nigella sativa L. 1753) ou cumin noir est une plante annuelle de la famille des Renonculacées originaire du sud-ouest de l'Asie. Les graines sont utilisées comme remède traditionnel ou comme épice dans de nombreux pays du monde (particulièrement dans le monde musulman). -
Les techniques de forage manuel
UNICEF, Practica et EntrepriseWorks/VITA ont développé une mallette pédagogique à l’intention des pays africains souhaitant s’engager dans la professionnalisation du secteur du forage manuel. Cette mallette pédagogique comprend des fiches et manuels techniques, des éléments de plaidoyer, des cartographies des zones appropriées pour le forage manuel, des études de cas, et des manuels de formation et de mise en œuvre. Cette initiative contribue à renforcer les capacités du secteur privé local de façon à répondre aux besoins en eau potable des zones rurales qui ne cessent de croître. Cette fiche technique est la quatrième d’une série de cinq. -
Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation ?
Au sahel, les cultures subissent une pression parasitaire très importante, surtout celle exercée par les nématodes sur les cultures maraichères. Avec l’intensification de l’irrigation, ces ravageurs sont actuellement devenus un des problèmes phytosanitaires les plus préoccupants sur les cultures, à tel point que certains n’hésitent pas à les qualifier d’ennemis des maraichers ou de ravageurs sournois car leurs attaques passent le plus souvent inaperçues. -
Conseiller en maraîchage / des cas pratiques (3) Gérer les résidus de culture
Au Niger de nombreux maraîchers abusent des pesticides pour faire face aux multiples attaques des ravageurs. Cependant, tout le monde est unanime, il faut utiliser moins de pesticides pour la protection des cultures et faire recours à la « lutte intégrée ». Mais comment faire ? -
Les systèmes de distribution alimentaire dans les pays d’Afrique méditerranéenne et Sub-saharienne
L’objectif est d’identifier des domaines prioritaires pour améliorer la capacité des systèmes de distribution alimentaire à répondre aux enjeux de sécurité alimentaire et sanitaire pour les populations urbaines de Rabat, Abidjan et Niamey. Nous nous appuyons sur une analyse des « food systems » combinant les comportements alimentaires, l’environnement alimentaire et les systèmes d’approvisionnement, caractérisés par leur organisation spatiale et relationnelle. Un échantillon de consommateurs et acteurs de différentes filières alimentaires et autorités publiques ont été enquêtés. Les problèmes d’accessibilité aux aliments des populations précaires apparaissent plus préoccupants que les problèmes de compétitivité des produits locaux. Nous recommandons une modernisation des marchés existants, de gros et de détail : amélioration du transport les desservant, protection physique des marchés, crédits aux PMEs du commerce et de la transformation. -
Comment choisir son engrais vert ?
Cette fiche technique a pour but de passer en revue les différents avantages que l’on peut tirer des engrais verts. C’est une première grille de lecture pour répondre à la question «quel engrais vert utiliser pour obtenir le résultat que je recherche ?». Pour des compléments d’information consultez les liens à la fin de la fiche. -
Le développement du Warrantage au Niger
Le colloque organisé à Paris en décembre 2007 par la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) sur « Microfinance pour l’agriculture dans les pays en développement » a consacré un atelier aux produits et procédures susceptibles d’améliorer la réponse de la microfinance aux besoins de financement des agriculteurs. L’expérience du Niger en matière de warrantage a été présentée par M. Sani Boubacar (Projet Intrants FAO) et M. A. Olofson (FAO). Ce BIM présente une version abrégée de la communication de M. Sani Boubacar. L’original complet de cette communication, ainsi que la communication de M. Olofson sont disponibles auprès de la fondation Farm. -
Fiche technico-économique pour le riz hors aménagement Région de Diffa
Le riz hors aménagement est cultivé sur les sols de bas-fonds argileux et riches. En irrigué, des casiers sont préparés pour le repiquage des plants de riz issus des pépinières. Le riz est en grande partie utilisé pour la consommation locale. 30% de la production régionale provient des sites hors aménagements selon l’ONAHA de Diffa. C’est l’une des productions irriguées majeures de la région après le poivron. La région compte plus de 700 ha en hors périmètre grâce aux ouvrages de contrôle des mares semi permanentes. -
Fiche technico-économique pour la culture du niébé
Le niébé communément appelé en haoussa waké est l’une des principales cultures de rente de la région de Zinder. Les principales zones de production de niébé sont les départements de Tanout, Gouré, Kantché et Magaria. Il est cultivé sur des sols sableux pauvres en matière organique, le plus souvent en association avec plusieurs autres cultures (mil, sorgho, sésame, arachide). La production de niébé de la région de Zinder est estimée à plus de 400.000 tonnes en 2015 avec un rendement moyen de l’ordre de 375 kg/ha selon les résultats de la campagne agricole 2015. La majeure partie de cette production est commercialisée sous forme de niébé grain vers le Nigeria et dans une moindre mesure transformée en beignet, galettes, dan-waké pour la consommation locale. -
Fiche technico-économique pour la culture de la canne à sucre
La canne à sucre est une plante cultivée principalement pour ses tiges qui contiennent un jus sucré d’où on tire le sucre. Elle appartient à la famille des graminées comme le mil, le sorgho ou le maïs. Au Niger, elle est surtout utilisée en consommation directe, comme canne de bouche. La canne à sucre est cultivée comme plante annuelle avec une récolte 8 à 10 mois après la plantation. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
L’oignon est une des principales cultures irriguées dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis (Goulbi Maradi et Goulbi Kaba) et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données de 2015 du Ministère de l’Agriculture, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34.200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. La surface moyenne par producteurs est d’environ 1.200 m2 et le rendement moyen est évalué à 20 tonnes/ha (conseil de gestion aux exploitations 2017). -
Fiche technico-économique pour la culture de laitue
La laitue en Houassa Salati, est une culture de courte durée qui se cultive sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder. Sur les sites de Tiss et Middick en périphérie de la ville de Zinder, la laitue se cultive toute l’année, tandis que sur les autres sites elle reste encore une culture de saison sèche froide. Les superficies exploitées varient de 250 à 2500 m2 en saison sèche froide. -
Le poivron rouge de Diffa
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatassaye », est cultivé en irrigué dans la vallée de la rivière Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria. C’est la production irriguée majeure de la vallée de la Komadougou. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 8.000 à 10.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron est la culture « locomotive » de la vallée de la Koumadougou avec environ 6.000 producteurs. -
Options technologiques pour une popularisation de l’agriculture irriguée
Il existe essentiellement trois méthodes d'irrigation : l'irrigation de surface, l'irrigation localisée, l'irrigation par aspersion. Cette note décrit chaque type d'irrigation et détaille la gestion de l'eau à la parcelle. -
Les principaux arthropodes nuisibles des céréales, des légumineuses et du cotonnier au Sahel et leur contrôle
Cette note technique répertorie les principaux ennemis de cultures au Sahel et en propose une méthode de contrôle et de lutte en fonction de la phénologie de la culture. -
Gestion agro écologique des cultures fruitières et maraîchères
Aujourd'hui, les systèmes horticoles doivent évoluer pour à la fois augmenter leur productivité et prévenir les risques pour la santé humaine et l’environnement. la maîtrise des bio-agresseurs sans recours aux pesticides de synthèses, constitue une voie privilégiée pour la mise au point des systèmes horticoles de demain. l'augmentation de la diversité des plantes cultivées et sub-spontanée dans les systèmes de culture, en favorisant notamment le développement des organismes axillaires ( prédateurs, pollinisateurs, parasitoïdes ... ), permet de contrôler plus durablement les populations de ravageurs. -
Fiche technique : Le repiquage du Poivron
Cette fiche technique a été réalisée dans le cadre du Projet d’appui à la Mutuelle N’Gada (Diffa). Elle sera progressivement améliorée à partir des travaux avec la recherche, les structures d’appui conseil et les producteurs. -
Fiche technique : les pucerons du poivron
Les agents responsables des principales attaques sur les cultures de poivrons sont des insectes phytophages (qui se nourrissent des plantes), des acariens, les nématodes et des virus. Une lutte efficace contre ces ennemis des cultures implique la connaissance de leur biologie (mode de vie, caractéristiques naturelles, …). -
Fiche technique : Conduite pépinière poivron
Cette fiche technique a été réalisée dans le cadre du Projet d’appui à la Mutuelle N’Gada (Diffa). Elle sera progressivement améliorée à partir des travaux avec la recherche, les structures d’appui conseil et les producteurs. -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate
La tomate est l’une des principales cultures de la région de Maradi. Elle est produite en culture irriguée et en décrue le long des Goulbis Maradi et Kabba. Le cycle de production dure entre 90 et 120 jours. Les superficies exploitées varient entre 200 et 3.000 m² par producteur. Avec une superficie moyenne de 500 m², on peut obtenir un rendement de 1 tonne soit un produit de 76.000 F.CFA pour 33.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 43.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre fait partie des cultures maraichères les plus pratiquées dans la région de Maradi. Elle est cultivée sur presque tous les sites situés le long des Goulbi Maradi et Goulbi Kaba, principalement sur le site de Mafalia situé à l’extrémité ouest de la ville de Maradi. Sa production se fait en une campagne, en saison sèche froide, avec un cycle variant entre 70 à 120 jours selon les variétés. En moyenne, une production d’environ 1 000 kg pour 1 000 m2 permet de dégager un produit de 200 000 F.CFA pour 91 000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 109 000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
Dans la région de Maradi, l’oignon est principalement cultivé dans les zones traversées par le Goulbi Maradi et le Goulbi Kaba, et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données du Ministère de l’Agriculture de 2015, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34 200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. Le rendement obtenu est évalué entre 15 à 50 tonnes/ha. En moyenne, pour 1000 m², une production de 3 tonnes (rendement de 30 tonnes/ha) permet de dégager des revenus de 200 000 F.CFA pour 52 000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 148 000 FCFA et un ratio produits/charges supérieur à 2 -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds. Il est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou est de 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 2.215 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un produit de 155.000 FCFA pour 77.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 78.000 F.CFA. -
Résultats du conseil de gestion à l’exploitation agricole pour la culture de l’oignon / campagne 2015 -2016
L’oignon est une des principales cultures irriguées de la région de Maradi avec la tomate, la pastèque et le moringa. Il est produit sur la majorité des sites d’irrigation de la région. Les données du Ministère de l’Agriculture pour la campagne 2011-2012 annoncent 780 ha pour une production de 24.150 tonnes d’oignon, soit un rendement de 30 tonnes par ha. Cela mettrait la région de Maradi en 5ème position pour la production d’oignon, juste devant Diffa, Niamey et Agadez (surprenant dernier). Celles pour la campagne de 2012-2013 annoncent 954 ha pour une production de 26.700 tonnes soit un rendement de 28 tonnes par ha. Le classement est identique. -
Stratégies et mesures d’adaptation réussies en Afrique de l’Ouest
Déjà handicapés par une pression foncière croissante et une dégradation continue des terres, les producteurs ouest-africains font face à un défi supplémentaire : adapter leurs pratiques aux changements climatiques. En Afrique de l'Ouest, ces changements devraient se traduire par une augmentation du stress hydrique, l'extension des zones arides et, au bout du compte, une baisse des rendements agricoles (GIEC, 2013). Les rendements en céréales devraient baisser de 10 à 15% d’ici 2025, alors que 20% des populations sont déjà structurellement vulnérables et que les crises alimentaires sont régulières (CILSS, 2013). La situation est difficile, mais des techniques simples et efficaces peuvent être mises en oeuvre pour adapter les pratiques agricoles. -
Fiche descriptive Nagode
L’hybride Nagode est une variété à graine jaune, précoce (85 jours), productive (5 à 7 tonnes/ha) qui se comporte bien en sol de vallée et même sur sol dunaire riche en matière organique. La variété présente un feuillage de couleur vert-claire et des soies et anthères de couleur rose-claire. La panicule présente un nombre de ramification relativement élevé. La présence du bourrelet anthocyanique à la base des glumes n’est observée que dans des rares cas. Les épis sont gros, insérés au milieu de la tige et présentent une bonne fermeture des spathes. Du fait des poids des épis à la maturité, les tiges ont tendance à s’incliner à leur base au sol notamment sur sol dunaire si le buttage n’est pas effectué au dernier sarclage. Les graines jaunes présentent au niveau de leur sommet une tache jaunâtre d’albumen farineux. Elles sont insérées en rangées droites sur une rafle blanche, cylindro-conique sans pigmentation anthocyanique. -
Promotion de la technique de compostage aérien au niveau de l’exploitation maraîchère
L’un des facteurs limitant de la production agricole est l’insuffisance ou la carence des sols en éléments fertilisants (Guéro et al, 2002). L’utilisation de la matière organique sous forme de compost est l’une des solutions écologiques et durables les plus recommandées. Il existe plusieurs méthodes de fabrication du compost. La technique du compostage aérien permet la fabrication à même le sol du compost à partir des débris organiques (fumier des animaux, ordures ménagères organiques, et autres matières organiques). -
Fiche technique de mise en place de haies vives avec Commiphora africana (dashi)
Commiphora africana, appelé en haoussa ‘’dashi’’, est un arbuste qui peut atteindre environ 5 m de hauteur, dont les feuilles se développent au début de la saison pluvieuse ou peu de temps avant, et se perdent au début de la saison sèche. C’est une espèce très utilisée pour l’installation des haies vives dans la région de Zinder. Sa plantation se fait par bouturage en saison sèche, avec des écartements de 0,25 à 0,5 m entre les boutures. Le besoin est donc de 1.600 ou 800 boutures pour délimiter 1 ha selon les écartements. La mise en place des haies vives de cette espèce ne demande forcément pas des dépenses financières. Les haies vives de Commiphora africana protègent les cultures contre le vent, les animaux et procurent du fourrage pour l’alimentation animale. Elles jouent ces rôles après 1 à 2 ans de plantation. Cette espèce végétale ne demande pas des travaux d’entretien pour les haies vives. -
Fiche technique production de sésame
Le sésame (Sesamum indicum L.) cette petite graine ovale symbole d’immortalité en Inde, provient d’une plante d’un peu plus de 1 mètre de hauteur. Les graines varient du blanc crème au gris foncé et contiennent 50% d’huile. Le sésame est produit et utilisé depuis des millénaires : 7500 ans en Inde, 5000 ans en Chine. On en fait de l’huile depuis au moins 3000 ans (Turquie). Le sésame s’est ensuite répandu à travers l’Asie, le Moyen et le Proche-Orient, le pourtour méditerranéen et l’Afrique : E.M. kafiriti et J. Dekers dans Agriculture en Afrique Tropicale. -
Quelques nouvelles variétés du niébé précoces productives et résistantes aux ravageurs
Le niébé, Vigna unguiculata (L.) Walp est la principale culture légumière au Niger. Chaque année plus de 5 millions d’hectares sont emblavés avec une production de 1.5 millions de tonnes. Cette légumineuse réprésente le quart de la production agricole nationale et 80% des productions de rente (MAG, 2012). Le niébé est aussi une culture d’importance alimentaire par sa teneur en protéine 3 à 4 fois plus élevée que celle du mil ou du sorgho. C’est donc une culture à promouvoir en raison de son importance économique et sociale, mais ses rendements en milieu paysans sont bas en raison des facteurs suivants : 1) l’inadaptabilité des variétés locales, 2) les attaques des ravageurs, 3) le faible niveau de fertilité des sols. La présente fiche technique présente quelques génotypes de niébé et les conseils d’utilisation pour l’amélioration de la sécurité alimentaire des producteurs nigériens. -
Fiche technico-économique sésame
Le sésame est une culture en expansion dans la région de Diffa. Ces 5 dernières années, les superficies emblavées en sésame pendant la saison des pluies prennent de plus en plus d’ampleur particulièrement dans les Départements de Goudoumaria, Mainé Soroa et Diffa. Selon les Services Départementaux de l’Agriculture, la culture du sésame occupe environ 1 500 ha. Le sésame est produit en culture pure ou en association avec d’autres cultures comme l’arachide, le sorgho et le mil. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria. Les femmes transforment des petites quantités en gâteaux vendus à 20 Nairas /unité soit environ 25 F.CFA pour la consommation locale. -
La mosaïque africaine du manioc, une maladie ignorée des producteurs au Niger
Le manioc (Manihot esculenta Crantz) est cultivé dans près d’une quarantaine de pays d’Afrique. En 2012, la production au Niger se chiffre à plus de 100 000 tonnes obtenues sur environ 7 000 hectares. Cette production représente près de 45 482 tonnes en équivalents céréaliers (Rép. Niger, 2012). Au vu de cette importance dans l’alimentation des Nigériens, toute menace sur la production doit être considérée comme une atteinte à la sécurité alimentaire, et de ce fait être sérieusement combattue. La plus grande contrainte biotique1 à la production de manioc au Niger est sans contexte la Mosaïque Africaine du Manioc (ou African cassava mosaic disease, ACMD), maladie qui sévit dans toutes régions productrices de notre pays. -
Ovins de race koundoum
Dans le cadre du projet développement des petits ruminants au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les races ovines du Niger dont le mouton Koumdoum qui est une race menacée et localisée dans la région de Tillabéri. -
Ovins de race ara ara
Dans le cadre du projet développement des petits ruminants au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les races ovine du Niger dont la ovine Ara Ara. -
Ovins Oudah variété bicolore
Dans le cadre du projet développement des petits ruminant s au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les race ovine du Niger dont la race peulh Oudah de variété bicolore -
Ovins de race peulh oudah blanc
Dans le cadre du projet développement des petits ruminants au Niger, l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a caractérisé et amélioré les races ovines du Niger dont le mouton peulh Oudah blanc. -
Le manioc : une culture de résilience au changement climatique
La culture du manioc est pratiquée par les producteurs pour la vente et la consommation familiale. Dans la région de Zinder, le manioc est cultivé sur les sites maraichers et aussi dans les champs de culture pluviale. Le manioc est de plus en plus cultivé à Zinder, particulièrement dans les communes de Doungou, Magaria et Dan Barto, qui ont été visitées pour ce travail, à cause de sa rentabilité, sa faible exigence d’entretien, sa résistance à des conditions difficiles du milieu (température élevée, stress hydrique, etc.) et son adaptation aux changements climatiques. Sur les sites visités, 80 à 100% des producteurs cultivent le manioc. -
Mieux valoriser les foins, les gousses d’Acacia radiana et le son de céréales en embouche ovine au Sahel
L’embouche ovine, activité traditionnelle est réalisée à grand frais de fanes de légumineuses, de grains et son de céréales. Il est nécessaire de mettre au point des rations plus économiques pour l’embouche ovine sans concurrence avec l’alimentation humaine. -
Suivi et évaluation de la mise en valeur des sites récupérés du programme PAM / FAO sur financement de la Coopération française (2014)
Dans le cadre des activités menées en partenariat par le Programme Alimentaire Mondial (PAM) et l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), une convention a été signée entre le RECA et la FAO pour le suivi et l’évaluation des actions de récupération de terres et de leur mise en valeur avec des demi-lunes agricoles. Le suivi porte sur un échantillon de sites repartis entre les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéri. Le démarrage des activités du RECA a accusé un retard dans sa réalisation à cause des aspects administratifs. Le suivi qui devait démarrer en juillet a véritablement commencé en octobre 2014. Mais pour la région de Tillabéri le suivi a été fait en août et octobre 2014. -
Diffusion de forages à faible coût
Les techniques de forages généralement utilisées en Afrique sont bien adaptées aux grandes profondeurs et aux terrains durs. Pour les faibles profondeurs (moins de 12 m.) et les terrains légers (sables), il existe des techniques mieux adaptées : celles des forages manuels, sans compter les forages à la lance1 -
Bonne Pratique de Régénération Naturelle Assistée (RNA)
L’obtention de la régénération naturelle assistée (RNA) procède de deux (2) techniques de protection d’arbre dans les champs. La RNA est une technique d’agroforesterie intègre avec utilisation des plantes ligneuses pérennes sous les cultures agricoles et / ou les animaux pour diversifier les bénéfices et les services, incluant une meilleure utilisation des ressources de l’eau et des sols, des multiples combustibles, des ressources alimentaires et fourragères, de l’habitat pour les espèces associées. -
Fiche technique de production des plants de Combretum glutinosum Perrot. Ex Dc
Combretum glutinosum (CG) est une espèce soudano-sahélienne sempervirente au port arborescent rencontrée sur les latérites et les sols sableux. Elle fleurit à partir de janvier. La fructification et la maturation des fruits s’étendent de février à avril. -
Fiche technique de production des plants de Combretum micranthum G.Don.
Combretum micranthum (CM) est une espèce soudano-sahélienne caducifoliée au port arbustif, sarmenteux ou buissonnant. Elle affectionne les sols latéritiques. La floraison a lieu en fin de saison sèche et début de saison des pluies de juin. La fructification se déroule en juillet – aout et la maturation des fruits intervient en fin septembre début octobre. -
Fiche technique de production des plants de Combretum nigricans Lepr. Ex Guill. Et Perr.
Combretum nigricans (CM) est une espèce soudano-sahélienne sempervirente au port arborescent rencontrée sur les laterites et les sols sableux. La floraison débute en mai et la maturation des fruits a lieu en octobre –novembre. -
Fiche technique de production des plants de Guiera senegalensis J.F. Gmel.
Guiera senegalensis (GS) est une espèce soudano-zambézienne sempervirente au port arbustif ou buissonnant rencontrée sur les latérites et les sols sableux. La floraison a lieu de mai-juin à aout, la fructification s’étale d’aout à décembre. -
Fiche technico-économique pour la culture de la courge Bagobira
La courge, Kabewa en Houassa, est une culture que l’on retrouve sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder, particulièrement dans les départements de Mirriah (sites de Falki et Mirriah), DamagaramTakaya (site de Guidimouni), Kantché (sites de Doungou et Massassaka Haousa), Magaria (site de Bandé), Doungass (sites de Wacha, Kakibaré et Gayi), Gouré (site de Gassafa) et à Zinder (site de Tiss). Les parcelles exploitées varient de 250 m2 à 2 500 m2. En moyenne, pour 2 500 m2, un cycle de production de la courge dure 90 jours et donne un rendement de 24 Kwarya (12 tonnes) avec des récoltes pouvant s’échelonner sur 6 mois. Elle permet de dégager une marge brute de 1.668.500 F.CFA pour 131.500 F.CFA de charges. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche froide
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. Dans la région de Dosso, la principale zone de production est le Dallol Maouri, Département de Tibiri, avec des surfaces cultivées variant de 0,05 ha à 1 ha par producteur. Elle est souvent cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 9,24 tonnes (42 korya) de pastèque permet de dégager des revenus de 840.000 F.CFA pour 230.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 610.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour l’oignon rouge
L’oignon rouge de Sokoto ou encore appelé Dan Yaouri en haoussa est une des principales cultures irriguées de la commune de Gaya. Cet oignon a un cycle de 90 à 115 jours du repiquage à la récolte. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 0,1 ha et 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 7 tonnes permet de dégager des revenus de 788.000 F.CFA pour 158.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 630.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l'oignon blanc
L’oignon blanc appelé « albassa koiraye » en Djerma ou « faral albassa » en Haoussa est cultivé principalement dans la Commune rurale de Soucoucoutane, département de Doutchi. Cela reste une variété peu connue, avec une production limitée, mais qui pourrait trouver une meilleure place sur les marchés dans les années à venir (diversification). Le cycle de la culture varie entre 90 à 120 jours quand les bulbes produits sont destinés à la vente directe sur le marché, et entre 120 et 150 jours quand il s’agit des bulbes de conservation. En moyenne, pour 1000 m², on obtient une production d’environ 3.640 kg qui permet de dégager un produit de 448.000 F.CFA pour 130.000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 318.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la laitue
La laitue ou « salati » en haoussa est l’une des principales cultures irriguées du département de Doutchi (région de Dosso). Les bassins de production sont Matankari, Kiéché et Doutchi. Au cours de l’année, un producteur peut effectuer 5 à 6 cycles de production. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 500 à 1 500 m2. En moyenne pour une surface de 1000 m² on obtient une production de 1 650 kg (64 planches de 10 m²) qui permet de dégager par cycle de production 272 000 F.CFA pour 23 410 F de charges opérationnelles et une marge brute de 248 590 F. -
Fiche technico-économique pour la culture de la carotte
La carotte est une production très cultivée sur le site de Soumarana situé à 5 km de Maradi. La production se fait en une campagne en saison sèche froide. La variété la plus cultivée est la carotte « Touchon » en provenance du Nigeria. Elle est vendue sur le site et acheminée par les acheteurs sur les marchés de Maradi pour sa commercialisation. Le cycle de la carotte varie de 90 à 120 jours avec un rendement de 19 à 49 tonnes à l’hectare, soit près de 290 planches de 3 m2. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 3,5 tonnes permet de dégager des revenus de 159.500 F.CFA pour 89.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 70.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds autour des puits et forages. Les principales zones de production sont : Mafalia (Maradi), Garin Daouré (Tibiri), Gourjia et Laouni (Gazaoua). Le chou est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou dure 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 1.680 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un revenu de 118.600 F.CFA pour 39.100 F.CFA de charges et donc une marge brute de 79.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour le piment vert
Le piment appelé Tonka en Haoussa comme en Zarma, est une culture que l’on pratique sur presque tous les sites maraîchers du département de Gaya. Les superficies exploitées se situent entre 0,25 ha et 0,75 ha. Un cycle de production de piment vert dure 5 à 6 mois. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 4 tonnes permet de dégager un produit brut de 650.000 F.CFA pour 72.000 FCFA de charges et donc une marge brute de 578.000 F.CFA et un ratio produits/charges de 9. Ce résultat est obtenu par les exploitations agricoles employant principalement de la main d’oeuvre familiale -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre communément appelée « dankali tourawa » en haoussa est l’une des principales spéculations maraîchères de la région de Dosso. Elle est cultivée au niveau du département de Doutchi et de Tibiri et dans une moindre mesure dans la commune de Harikanassou. Selon la variété le cycle de la pomme de terre varie de 70 à 120 jours. Les surfaces mises en valeur varient de 200 à plus de 6.500 m² selon les localités de production. En moyenne, pour 0,5 ha on obtient une production d’environ 6.328 kg qui permettent de dégager 1.582.000 FCFA pour 558.250 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.023.750 FCFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du poivron
Le poivron est la culture principale pratiquée le long du Goulbi Kaba situé au Sud du chef-lieu du département de Gazaoua dans la région de Maradi. Selon une estimation de la CRA réalisée en 2014, plus de 12.000 tonnes de poivron frais sont produits par an dans la région. Le poivron a un cycle de 120 à 150 jours avec 5 à 8 récoltes par campagne pour un rendement évalué entre 10 et 15 tonnes/ha. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 1,5 tonne permet de dégager des revenus de 284.000 F.CFA pour 93.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 190.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche chaude
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une Cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. La principale zone de production concernée est le Dallol Maouri département de Tibiri avec des surfaces cultivées variant de 0,05 à 1 ha par producteur. Elle est principalement cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 11 tonnes permet de dégager un produit brut de 1.785.000 F.CFA pour 235.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 1.550.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon feuilles
L’oignon-feuilles, encore appelé en haoussa Albassa mai gangné ou shafa, est une des principales cultures irriguées de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Damagaram Takaya, Kantché, Magaria, Doungass et Gouré. L’oignon-feuilles a un cycle de 90 à 110 jours du repiquage à la récolte. Les surfaces cultivées sont disparates et varient souvent de 0,1 à 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 9 tonnes permet de dégager des revenus de 1.700.000 F.CFA pour 250.000 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.450.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 6. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est l’une des cultures principales du département de Tibiri qui constitue l’un des plus grands bassins de production de la zone. Les superficies moyennes cultivées par producteur varient de 100 m² à 5.000 m2. Une production moyenne de 2500 m2 permet de générer des revenus de 275.000 F.CFA pour 77.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 198.000 F.CFA et un ratio (produits/charges opérationnelles) supérieur à 2. -
Fiche technico-économique du poivron rouge
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatasay », est cultivé en irrigué dans la vallée de la Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Rendement : meilleurs producteurs 1.800 kg par ha de poivron sec, producteurs moyens 1.300 kg par ha de poivron sec. En année normale, les superficies emblavées en poivron sont estimées à environ 7.000 ha pour une production de poivron sec de 8 à 11.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron rouge est la culture « locomotive » de la vallée de la Komadougou avec environ 5.000 producteurs. -
Fiche technico-économique pour la culture pure de l’arachide
En quelques mots : L’arachide appelée en haoussa Guiada ou Gougia est l’une des principales cultures de rente de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Kantché et Magaria. Elle est cultivée sur des sols sableux pauvres en matière organique, le plus souvent en association avec plusieurs autres cultures (mil, sorgho, sésame, niébé) dans la logique de garantir des récoltes minimums pour les producteurs. La présente fiche technico-économique porte sur la culture de l’arachide en culture pure. En quelques chiffres : Selon les résultats de la campagne agricole 2015 du MAG/EL, la production d’arachide de la région de Zinder est estimée à plus de 120.000 tonnes avec un rendement de l’ordre de 670 kg à l’hectare. L’arachide produite est commercialisée vers le Nigeria mais aussi, transformée par les groupements de femmes en huile, tourteaux et pâte. Une femme transformatrice peut transformer jusqu’à 300 kg d’arachide par mois (données du conseil de gestion aux transformatrices d’arachide 2016 - 2017 de la CRA de Zinder). -
Formation maraîchage : la pépinière Conseiller en maraîchage
Cette note a été rédigée par l’équipe technique de la Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso avec l’appui du RECA. Cette note est produite à l’intention des conseillers et animateurs maraîchers des dispositifs d’appui conseil (OP, ONG, GSC, STD), notamment dans le cadre du programme de formation de jeunes agriculteurs et agricultrices. -
Fiche technique : préparation d’une solution aqueuse de neem contre les ravageurs des cultures maraîchères
Cette fiche a été réalisée à partir des documents de l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) et d’un support vidéo de l’Association des Professionnels de l’Irrigation Privée et des Activités Connexes (APIPAC, Burkina Faso). -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger La protection du moringa
Il est Indispensable de savoir reconnaître les ravageurs et maladies et de BIEN connaître son ennemi pour le combattre. Tout n’est pas marqué dans les livres et chaque producteur et technicien doit être capable d’observer On ne peut pas lutter contre les ravageurs avec une seule mesure, les producteurs doivent comprendre l’ensemble des mesures à mettre en place. Les ravageurs et maladies n’étant pas bien connus, les producteurs et animateurs doivent apporter leur contribution pour mieux les maîtriser. -
Tomato noonizo kan se i gane “TUTA”
A te alwati kan iri Niger laabu alfarey i go gadi sanday tomato farmo do zaama noonize fono goono kan ga tomato fuunu fuunu. A to jiiri hinza kan noonize tagi fo banguay noonizo din ga kaina gumo;amma halla ga ka sohon alfarey mana fahame ase; hasarawo booba kan agate se, nga no nan alfari foyan na tomato farmo gaayi. -
Jan tauttau ko lalaba da turawa ke cema : acarien rouge
Yau zamu baku labarin wata karamar hallita aman ana iya ganinta ido da ido,wanan hallita ita ce jan tattau ko lalaba. Manoma sun san wanan tsutsar tunda tana saka gidan tane saman ganyen shipkokin gapta ko aubergine,tumati,tattasey,tashi da dankalin turawa. Wannan tsutsar na boyewa kalkashin ganyen shipkoki,manoma sun santa sosai domin a cikin lokaci kalilan take hallaka gona ga baki daya musaman ma in shipkokin dake cikin gonar sun danganta da wanda muka zana can sama. -
Tsutsar tumati : TUTA
Manoman kasar Nijar sun jima suna fama da wata tsutsa dake fu fude diyan tumati ; aman yau da hekaru uku (3), wata karamar tsutsa ta bullo,wanda har yanzu manoma basu gane ta ba,wanan sabuwar tsusta kankanuwa ce aman banar da takeyi nasa manoma asara diyawa wanda har ta kai gasa manoman kin noman na tumati ; wanan tsutsa ita ce ake cema TUTA. -
Dadara kira kan se ngane annasara ciine ga : acarien rouge
Hunkuna day iri ga salan aran se no nda anwarize kaynafo kan booro ga hini ga diya moga kan zi gane dadara kira. Alfarey ga bay zama a ga nga fuwo ciina dumizey koptey ga wana wana wana obergino tomato tattasey,tonko,nda pommpi terro. dabayan a ga lanba ga nga fuwo ciina dumizey koptey bandey ga alfarey ga bay zama aga hini ga dumizey me a me hasara wane wane dumizey kanyan iri ki za bene. -
Kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance
Yau zamu muku hira kan wani mungun kwari dake banna cikin garake kuma manoma sun sanshi kwarai da gaske,wannan kwarin shine ake cema kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance. In manoma sun san irin bannar da wannan kananan kwarin farfaru keyin saman tattasey da tomati da tonka,abincin su kenan, to har yanzu basu gano irin cutitikan da suke iya hadasama wanan shipkoki ba. -
Mouche blanche : Zarma : Hamniize kwaara kaù se i gane faransi ciine ga mouche blanche (Bemisia tabaci) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Hunkuna, iri ga salaù araù se nda jaw-kali goyey aùùwaara fo kaù ga hasaraw te hala manti mooso, kaù alfarey nda kurkey ga bay ga boori, nga ga ti « hamniize kwaara ». Ba da alfarey ga hasarawey kaù hamniize kwaara wo ga te bay, i si bay doorey kaù a ga hin ga kande ga daù tuurey ga. -
Suwo nooniizo kaù se i ga na fransi cine ra « teigne » tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Su nooniizo kaù se i ga ne faransi ciine ga « teigne » : alfaga caw-caw kayniyaw fo no ga a hay (A si beeri ga ba soboro, Foto 1) Niger fi azulmata ra no a go, su aùùwaara i kulu ilaala no. Amma a si laala kala dungay waate annasaara handu hinzanta ga koy iguwanta. A ga hin ga su fari kulu alandaaba. -
Transformation en jus de fruits
Ce rapport porte sur les techniques de transformation de jus de fruits et résume les bases de la transformation du jus de fruits. Il ne donne pas de détails ou de recettes spécifiques à chaque fruit. -
Méthodologie de la multiplication de semence de pomme de terre
Ce rapport porte sur la méthodologie de la multiplication de semence de pomme de terre au Madagascar -
La fertilisation organique des cultures
Ce present fiche technique porte sur les techniques de fertilisations ecologiques -
La fertilisation en maraichage biologique
C’est dans les exploitations maraîchères que l’on rencontre les systèmes agricoles les plus intensifs, caractérisés par des successions de cultures rapides sur la même parcelle. La majorité de ces exploitations sont spécialisées, de ce fait la fertilisation est réalisée à partir d’intrants. Les exportations conséquentes et les besoins ponctuels importants de certaines cultures entraînent très souvent l’utilisation d’engrais -
Raisonner sa fertilisation en maraîchage biologique
Cette fiche technique porte sur la fertilisation en maraîchage biologique -
Le séchage des produits agricoles
Ce présent fiche technique porte sur le procédé de stabilisation et de conservation de tomate -
La production de semences maraîchères
Ce présente fiche technique porte sur La production de semences maraîchères
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Techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale
Cette fiche technique porte sur les techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale -
Fiche technique Moringa
Fiche technique du moringa -
Fiche technique de la poudre de Feuilles de Moringa
Cette fiche technique explique comment réaliser et utiliser la poudre de feuilles de Moringa -
Culture et entretien du moringa
Cette fiche porte sur la culture et l'entretien du moringa -
Fertilisation minérale chez les cultures maraichères
La fertilisation, c’est l’action qui consiste à effectuer des apports d’engrais organique ou minéraux, nécessaires au bon développement des végétaux. Elle peut donc être réalisée sous forme d’amendements humifères (organique) ou minéraux (chimique). Les engrais sont des substances le plus souvent des mélanges d’éléments minéraux destinées à apporter aux plantes des compléments d’éléments nutritifs. La fertilisation organique ou amendements, c’est l’incorporation au sol, de matières organiques plus ou moins décomposées, tels que les fumiers. Elle permet d’améliorer la structure du sol et d’augmenter la capacité du complexe argilo-humique à stocker les éléments nutritifs. Le processus de minéralisation de la matière organique libère de manière progressive les éléments nutritifs dont la plante a besoin pour son développement. -
Les pépinières maraîchères en Afrique soudano-sahelienne
Ce document constitue un guide technique et est destiné aux vulgarisateurs, aux maraîchers professionnels ainsi qu’aux personnes qui désirent se spécialiser dans la production de plants maraîchers. A l’heure actuelle, la plupart des maraîchers produisent eux-mêmes leurs plants en pépinière. Quelques-uns conduisent également des plants pour la vente, mais cette activité reste marginale. L’amélioration de la qualité des plants produits en pépinière dans les zones à forte production maraîchère ne pourra se faire que par la mise en place de pépiniéristes professionnels spécialisés. -
La pépinière d’agrumes, manguiers et avocatiers au Sénégal
La présente fiche montre comment réaliser une pépinière d’agrumes, manguiers et avocatiers au Sénégal
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Bien conduire une pépinière de palmier à huile en Côte d’Ivoire
La présente fiche porte sur les conduites d'une pépinière de palmier à huile en Côte d’Ivoire -
Fiche technique : le compostage
Ce présente fiche porte sur la méthode d’obtention d'un compost de bonne qualité en une période de 21 jours -
Compostage et fertilisation
Ce présente fiche porte sur les principes de base du compostage et de la fertilisation -
Comment fabriquer un bon compost à la ferme
Ce présente fiche porte sur les secrets de fabrication de compost a la ferme -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate Région d’Agadez
La tomate est l’une des principales cultures maraichères pratiquées dans la région d’Agadez. Elle est produite toute l’année. Le cycle de production par campagne dure entre 100 et 120 jours. Les superficies exploitées par producteur varient entre 160 et 6.700 m²1. Le rendement moyen est près de 11 tonnes à l’hectare (variant entre 2 et 29 T/ha). Avec une superficie moyenne de 1.000 m², on obtient un produit de 210.000 F.CFA pour 47.400 F.CFA de charges opérationnelles, soit une marge brute de 162.600 F.CFA. -
Fiche n°2 sur les techniques d’agriculture climato-intelligente : Diffusion du système de riziculture intensive pour l’amélioration de la production agricole au Sud Bénin
Cette fiche technique est réalisée dans le cadre du projet « intégration de l’adaptation au changement climatique dans les secteurs de l’agriculture et de l’eau en Afrique de l’Ouest » qui est financé par le Fonds Français pour l’Environnement Mondial (FFEM/CC). Il est porté par le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS) et mis en oeuvre par le Centre régional AGRHYMET basé à Niamey, Niger. Dans le cadre de l’appui aux organisations de producteurs sur les techniques innovantes d’adaptation au changement climatique, le projet FFEM/CC appuie le Conseil de Concertation des Riziculteurs du Benin (CCR-B) sur la mise en oeuvre du système de riziculture intensive (SRI) qui permet d’améliorer la résilience des producteurs à l’insécurité alimentaire. -
Cahier du formateur « Techniques de fonçages des forages maraichers manuels »
Ce cahier du formateur porte sur les « Techniques de fonçages des forages maraichers manuels » -
Techniques de fonçage des forages maraichers manuels
Ce guide technique porte sur les techniques de fonçage des forages maraichers manuels -
Andragogie appliquée à la préparation et animation de séquences de formation et l’évaluation des apprentissages
Ce présente fiche technique porte sur l'Andragogie appliquée à la préparation et animation de séquences de formation et l’évaluation des apprentissages -
Gestion rationnelle de l’eau d’irrigation
Ce présent document porte sur la gestion rationnelle des eaux d'irrigation. -
Les nématodes parasites du Moringa dans la zone périurbaine de Niamey (Niger)
Moringa (Moringa oleifera Lam) est une culture qui prend de plus en plus de l’importance au Niger mais très peu d’intérêt a été porté aux problèmes phytosanitaires. L’objectif de l’étude était d’identifier les nématodes parasites qui lui sont associés.
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Techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale
Cette fiche d'information présente les conditions générales de culture du moringa (semis, espacement, irrigation, fertilisation, sarclage, taille, lutte contre les ravageurs, récolte , production de graines ) -
Contrôle et valorisation de Sida cordifolia
Le Sida Cordifolia est une plante envahissante des parcours, des couloirs de passage des animaux et les bordures des routes et dépôts d’ordures au Niger. La présente intervention vise la maîtrise de Sida Cordifolia par sa valorisation en nutrition animale. -
Itinéraire technique de la papaye "Carica papaya"
Le PIP est un programme de coopération européen géré par le COLEACP. Il est fi nancé par l’Union européenne et a été mis en œuvre à la demande du Groupe des Etats ACP (Afrique, Caraïbes et Pacifi que).
En accord avec les Objectifs du Millénaire, l’Objectif global du PIP est de « Préserver et, si possible, accroître la contribution de l’horticulture d’exportation à la réduction de la pauvreté dans les pays ACP ». -
Fiche technico-économique pour la culture de chou
Cette fiche aborde plusieurs sujets : comment cultiver le chou, choisir les semences, entretenir une culture de chou, et le commercialiser -
Préparer une décoction d'ail pour lutter contre les chenille
Fiche technique pour la préparation d'une décoction d'ail -
La culture du niébé
Cette fiche technique explique comment cultiver le niébé -
traitements phytosanitaires naturels : 4 recettes
4 recettes de traitement phytosanitaire biologique -
Fertilisation des Plantes à Parfum et Plantes Aromatiques
Les plantes à parfum (PàP) et les plantes aromatiques (PA) biologiques représentent en 2011 un peu plus de 1 800 hectares sur la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
La majorité des plantes à parfum et plantes aromatiques est cultivée dans les Alpes de Haute-Provence et le Vaucluse. -
Réussir la taille de l’olivier en 10 points clés
Conseils pour réussir la taille de l'olivier -
Les mesures à prendre pour limiter la dérive en pulvérisation agricole
Cette présente fiche porte sur les mesures à prendre pour limiter la dérive en pulvérisation agricole -
Le méteil (mélange fourrager) : un itinéraire technique simple
Cette fiche propose un itinéraire technique pour la culture d'un mélange fourrager -
Le montage du fumier Bokashi
La présente fiche porte sur le montage du fumier BOKASHI -
Améliorer sa pulvérisation pas à pas
Conseil pour améliorer sa technique de pulvérisation de produits phytosanitaires -
Compostage du fumier pour en faire de l’engrais puissant
Présentation des avantages et techniques de compostage -
Mise en défens d’un champ avec une haie vive antiérosive
Cette fiche technique montre comment opérer la mise en défens d’un champ avec une haie vive antiérosive -
Jardin hors-sol en sac
Cette fiche technique présente des techniques de mise en place de jardins hors-sol en sac -
Biocontrôle de l'acarien rouge en verger de pommiers
Cette fiche technique présente plusieurs options pour assurer le contrôle de l'acarien rouge en arboriculture fruitière, sous production biologique -
Microorganisme Efficaces (Fertilisant bio)
technique de fertilisation biologique -
Fertilisation en arboriculture
En cultures pérennes et plus particulièrement en arboriculture, on recherche d’abord à maintenir un milieu biologiquement actif avec un équilibre sol/plante garantissant une croissance puis une fructification optimale. Les vergers n’exportent que peu d’éléments minéraux comparativement aux cultures annuelles, seuls les besoins en potassium sont élevés. -
Mangue sauvage Irvingia spp.
Le présent guide porte sur la mangue sauvage Irvingia spp.