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Enquête socio-économique et foncière du site de Angoual Mandé - Dioundiou
Ce document de Projet PIDM de Angoual Madé (canton de Zabori), situé à 149 Km au Nord de Gaya,visait à: « Réaliser dans le dallol maouri cinq (5) aménagement hydro-agricoles », qui seront consacrés à la polyculture vivrière, la culture de canne à sucre et aux cultures maraîchères. -
Enquête socio-économique et foncière du site de Dioundou
Ce document constitue le rapport d'une enquête socio-économique et foncière sur le site de Dioundou (Gaya) but visé: « réaliser dans le dallol maouri cinq (5) aménagements hydro-agricoles », qui seront consacrés à la polyculture vivrière, la culture de canne à sucre et aux cultures maraîchères. -
Évaluation économique des pratiques de gestion durable des terres à Maradi, Niger - Régénération naturelle assistée, demi-lunes agricoles et tassa/zaï
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Pratique et Gestion de la Régénération Naturelle Assistée
Ce travail a été rendu possible grâce à la subvention d’assistance technique du FIDA accordée au World Agroforestry Centre (ICRAF TAG 1225) en collaboration avec les Instituts Nationaux de Recherches Agronomiques du Burkina Faso (INERA), du Mali (IER) et du Niger (INRAN), dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet « Les Arbres des Parcs Agro forestiers et les Moyens de Subsistance : Adaptations aux Changements Climatiques dans le Sahel Ouest Africain ». Au cours des cinquante dernières années, le Sahel a connu des changements dans le régime des précipitations qui se sont traduits par une répartition irrégulière, de graves sécheresses se sont succédées, les conséquences pour les précipitations et la végétation devraient être brusque et rapide (Foley et al. 2003, Wang et Eltahir 2000), avec des implications énormes pour la productivité, les moyens de subsistance et la vulnérabilité socio-écologique. La plupart des espèces d’arbres ont l’aptitude de régénérer à partir des souches et des racines après une coupe à ras du sol. Ce sont des millions d’hectares de champs et d’aires de pâturages qui renferment des souches d’arbres vivantes avec une aptitude de fournir de nouveaux rejets. Beaucoup des espèces d’arbres ont aussi une capacité de régénérer à partir des stocks de semences qui sont dans le sol. -
Note d'information sur la Régénération Naturelle Assistée (RNA)
Suite aux sécheresses récurrentes et à la surexploitation des terres due à la démographie galopante, la région de Maradi connait depuis quelques décennies une dégradation accrue des terres cultivables. Pour faire face à cette crise écologique les communautés locales avec l’appui de l’Etat, du FIDA à travers le PDRA et PPILDA et d’autres bailleurs de fonds ont adopté la RNA qui est une approche novatrice pour la restauration des sols pauvres et l’intensification agricole. Elle consiste à épargner des rejets de différents arbres et arbustes au cours du défrichement des champs (en saison sèche ou saison des pluies). Au vu de l’importance des acquis capitalisés, et de l'adoption massive de la pratique par les producteurs, le PASADEM qui est la suite logique du PPILDA a retenu la promotion de la RNA à large échelle comme une de ses activités phares, avec un objectif de 90.000 ha. La stratégie de mise en oeuvre est le faire-faire qui met en contribution des ONG locales spécialisées dans la pratique à travers la signature des conventions de partenariat. -
La sécurisation foncière dans les projets de gestion durable des terres au Niger : projet de régénération naturelle assistée
Vidéo du CNCOD et du CARI présentant les liens entre gestion durable des terres et sécurisation foncière -
Régénération Naturelle Assistée : cas de la région de Maradi (Niger)
La région de Maradi, la plus peuplée du Niger, connait une forte croissance démographique avec des densités de population dépassant, dans les zones sud, 100 habitants au Km2 : la population est passée de 2 235 570 habitants en 2001 à près de 3 402 094 habitants en 2012 soit un taux de croissance annuel de plus de 3,9%. Près de 90% de cette population, vivant en zone rurale, tirent leurs revenus de l’exploitation des ressources naturelles avec leurs forces de travail et leurs équipements techniques rudimentaires. -
Recueil de quatorze fiches techniques du domaine Agro-Sylvo-Pastoral
Le présent recueil comprend quatorze (14) fiches techniques :
- Production du fourrage de Medicago sativa (Luzerne) au Niger
- Production d’Echinochloa stagnina (Bourgou) au Niger
- Amélioration de la disponibilité du fourrage par la culture de Dolichos lablab (dolique)
- Amélioration de l’aviculture familiale au Niger
- Mise au point des rations alimentaires pour les ruminants à base des ressources locales au Niger
- Contrôle et valorisation de Sida cordifolia au Niger
- Production de l’oignon d’hivernage : conduite d’une pépinière en saison de pluie avec le Violet de Galmi
- Techniques de production de bulbilles d’oignon Violet de Galmi
- Production de bulbes d’oignon de conservation au Niger
- Production de riz hors aménagement au Niger
- Banque alimentaire à base de Moringa par semis direct au Niger
- Banque alimentaire à base de Adansonia digitata (Baobab) au Niger
- Banque alimentaire à base de jujubier amélioré au Niger
- Conduite de la Régénération Naturelle Assistée (RNA) au Niger
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Enquête socio-économique et foncière du site de Angoual Made
Au cours de ces dernières années, les progrès enregistrés par les projets et programmes de développement dans les domaines économique et social ont amplifié les besoins de recherche , d’enquête, d’étude et d’analyse socioéconomiques, avant la mise en oeuvre de toute action de développement à la base. Les inter-relations entre capacité d’analyse et capacité de gestion sont mis en exergue et l’approche participative des communautés rurales est retenue comme un objectif approprié à poursuivre pour renouer avec les possibilités d’une croissance durable. -
Analyse des impacts socio-économiques des investissements dans la gestion des ressources naturelles : Etude de cas dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry au Niger
Le Niger avec l’appui financier de plusieurs bailleurs de fond a alors entamé une série de programmes de développement axés sur la protection et la sauvegarde de l’environnement. Après plus de 30 ans d’efforts dans certains cas, il est important d’évaluer ces interventions notamment sur les aspects de restauration de l’environnement. Cette étude vise à évaluer la rentabilité des investissements (ouvrages de GRN) dans la restauration de l’environnement est la valeur monétaire des revenus que les bénéficiaires tirent de ces ouvrages. -
Etude de la régénération naturelle assistée dans la région de Zinder (Niger)
L'étude vise à explorer l’échelle de la régénération naturelle assistée (RNA) dans les 3M (les départements de Magaria, Matameye et Mirriah), ses impacts sur les conditions de vie de la population et d’identifier ce qui a motivé les paysans à protéger et à gérer les arbres. -
Expérience du Programme Niger FIDA dans la mise á l’échelle de la Régénération Naturelle Assistée (RNA)
Les sècheresses successives des années 70 et 80, couplées à la croissance démographique, ont eu des conséquences dramatiques notamment sur l’environnement, avec une régression significative du couvert végétal, une érosion de la biodiversité et une modification des systèmes de production. Cette situation s’est fait sentir avec plus d’acuité dans la région de Maradi où la pression démographique est la plus élevée du pays, avec une densité dépassant souvent les 100 hts au Km2. Pour s’adapter à cette crise écologique, les communautés locales ont, avec principalement l’appui de l’Etat et du FIDA, initié une approche novatrice de restauration et de protection et valorisation du couvert végétal, à travers l’adoption massive de l’agroforesterie. -
Diversité et structure des peuplements ligneux issus de la régénération naturelle assistée (RNA) suivant un gradient agro-écologique au centre sud du Niger
La régénération naturelle assistée (RNA) joue un rôle important dans l’amélioration de la fertilité des sols et la production agricole. La présente étude s’inscrit dans cette logique dont l’objectif principal est d’analyser l’influence du gradient agro-écologique sur les caractéristiques des peuplements ligneux au centre sud du Niger. Cette étude a été conduite dans quinze (15) villages pratiquant la RNA répartis dans trois (3) zones en l’occurrence la zone sahélienne stricte, sahélo-soudanienne et nord-soudanienne soient 5 villages par zone; -
Etat de référence socio-économique du territoire du bassin versant de Badaguichiri
Dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet d’aménagement et de Gestion du Bassin Versant de
Badaguichiri (PGBV/B), le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale
(CNSEE) est chargé de la composante surveillance environnementale du plan d’action pour une
période de cinq (5) ans au niveau du dit projet. La zone d’intervention du PGBV/B couvre la
commune urbaine d’Illéla, la ville d’Illéla, l’ensemble de la commune de Badaguichiri, le sud des
communes de Tamaské et de Garhanga (département de Keita), le Nord-Ouest de la commune
d’Allakaye (département de Bouza), la commune rurale de Tajaé et la commune rurale de
Bagaroua.
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Parmi les activités de cette composante figure la réalisation d’un état de référence de
l’Observatoire de Tahoua-Keita et Tillabéry, en particulier du territoire du bassin versant de
Badaguichiri rattaché à cet observatoire. Le présent document s’inscrit dans cette perspective.
Conformément aux TDR, il vise à faire une monographie du territoire du bassin versant de
Badaguichiri afin de faciliter l’organisation de la collecte et du traitement des données nécessaires
au calcul des indicateurs. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions horticoles 2018/2019
Dans le cadre de la mise en œuvre du programme stratégique « Accroissement et diversification des productions agricoles » de l’Initiative 3N, le Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage met en œuvre et suit le programme de campagne irriguée 2018–2019.
L’évaluation des résultats de cette campagne irriguée s’est faite à travers une enquête appelée Enquête Horticole.
Ce document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2018-2019.
Les principaux résultats de l’enquête horticole 2018-2019 se présentent comme suit : Les superficies mises en valeur sont de 188 837,91 ha soit une augmentation de 17,12% par rapport à 2017-2018. Trois régions occupent à elles seules 62% des superficies emblavées, à savoir : Tahoua 31,47% soit 59 420,5 ha, Dosso 15,46% soit 29 188,03 ha ; Maradi 15,02% soit 28 364,75 ha. Les autres régions partagent les 38% respectivement Tillabéry 12,12%, Zinder 11,88%, Diffa 5,19%, Agadez 4,98 % et Niamey avec 3,89%.
La répartition entre les différents groupes de produits alimentaires est la suivante : le groupe des légumes, le groupe des racines et tubercules, le groupe des légumineuses, le groupe des céréales, le groupe des épices et stimulants, le groupe des plantes à sucre, le groupe des fruits, le groupe des oléagineux, le groupe des autres cultures. -
Rapport socio-économique de l’observatoire de Tahoua-Keita-Nord Tillabéry
Dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet d’aménagement et de Gestion du Bassin Versant de Badaguichiri (PGBV/B), le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) a organisé du 23 Octobre au 4 Novembre 2013, une mission de collecte de données socio-économiques dans l’observatoire Tahoua-Keita Tillabéri Nord. En effet, ces données permettent de renseigner les indicateurs sur les activités socio-économiques des populations, surtout les impacts des différents projets et les ONG ayant intervenu dans l’observatoire.
Cette étude s’inscrit dans le cadre des activités de la composante surveillance environnementale du plan d’action dudit projet et fait suite au rapport sur l’état de référence de l’Observatoire Tahoua-Keita -Tillabéry Nord élaboré en 2012. Elle a concerné 449 ménages repartis sur un ensemble de sept (7) villages à savoir : le village de Simiri (commune rurale de Simiri), le village de Sorbon Haoussa (commune rurale de Sansani Haoussa), le village de Tinkirana (commune rurale d’Ibohamane), le village de Sakolé (commune rurale de Tamaské), le village de Kalfou rahi (commune rurale de Kalfou), le village Kolloma Dabagui (arrondissement communal Tahoua I) et le village de Mafari (commune rurale de Bambaye). -
Situation alimentaire, nutritionnelle et socio-éducative du Département de Ouallam
Dans le Département de Ouallam, l'installation de la campagne agricole d'hivernage 2011-2012 a démarré à la deuxième décade de Juin 2011 et s'est poursuivi jusqu'à la troisième décade de Juillet où 100% des villages ont effectué les semis humides. Deux périodes de sécheresses ont été enregistrées; la première s'est étalée de la 3em décade de Juin à la 2em décade de Juillet et la seconde, de la 3em décade d'Aout à la 3em décade de Septembre. -
Régénération naturelle : Régénération naturelle assistée par semis-direct
La protection de la régénération naturelle est la restauration du couvert végétal à travers la protection des pousses spontanées et des rejets des ligneux. Dans certains cas, on peut recourir à un enrichissement artificiel par le semis direct des graines: On parle alors de régénération naturelle assistée. -
Etude socio-économique des sites forestiers de Dan kada dod, Bakabé, Dan gado (Arrodissement d'Aguié) de Kandamo (Arrodissement de Madarounfa) et de Kwofo (Arrondissement de Kollo)
L'accès a la terre est régie par le principe du premier occupant, en l'occurrence le chef de canton. Ceci lui confère toutes les prérogatives relatives à la gestion des terres. Il perçoit une redevance Fukurmey qui s'élève à une botte de mil par champ. La location ou le prêt Hiyyan existe. Elle se fait devant témoins et entraine le versement d'une redevance Labu albarka (Zarma) ou Barké ladi (Peul) dont le volume est laissé à la discrétion du locataire. Après le décès du locataire, ses enfants ou ayants,droits reformulent la demande en location auprès du propriétaire du champ. En revanche, le don à un parent ou un ami n'entraine pas le versement d'une redevance.L'acquisition des terres par héritage intervient en cas de conflits entre les jeunes qui peuvent réclamer leur part et constituer une unité de production. Autrefois, afin de préserver la cohésion et l'unité familiale, les champs et la concession étaient indivis. -
Régénération Naturelle Assistée (RNA) : outil d'adaptation et résilience des ménages ruraux d'Aguié au Niger
Cette étude a été conduite au niveau des cinq villages de la grappe de Dan Saga dans la commune d’Aguié où l’agriculture et l’élevage, principales activités socio-économiques des populations sont confrontées à une dégradation sans cesse croissante des ressources naturelles. Pour y faire face, la Régénération Naturelle Assistée (RNA) était l’une des techniques utilisées par les producteurs. Les données de l'étude ont été obtenues en recueillant des informations quantitatives et qualitatives sur la perception de la communauté. L’objectif visé à travers cette étude est d’évaluer la contribution de la RNA dans l’économie des ménages vulnérables. L’enquête a concerné 99 chefs de ménage agricoles tirés de l’ensemble des villages. Les critères de choix des enquêtés est la pratique de la RNA dans leurs champs et le statut de vulnérabilité de l’exploitant issu de la catégorisation sociale. -
Impact de la pratique de la régénération naturelle assistée (RNA) à Magaria et Dantchiao (Sud-Zinder, Niger)
Dans la zone du centre sud du Niger les paysans utilisent la pratique de la régénération naturelle assistée pour faire face aux effets du changement climatique sur la dégradation des ressources naturelles. C’est ainsi que les paysans des villages de Angoal Gamdji, Angoal Anné et Bangaya situés dans les communes de Magaria et Dantchiao s’activent pour protéger et gérer les arbres dans leurs champs. La gestion des ressources naturelles est tournée vers une agroforesterie assimilée à la résilience des populations. En effet, la dégradation du couvert végétal fait partie des conséquences du changement climatique, des sécheresses et aussi de la croissance démographique. Pour y faire face les paysans s’adaptent en développant cette pratique paysanne qui est la RNA. La régénération naturelle assistée a permis aux paysans ruraux de développer l’agroforesterie. Les impacts de la RNA sont divers et variés dans la zone d’étude. La vente du bois issue de la RNA rapporte en moyenne 10250 F CFA par an aux producteurs. Cette pratique a également permis de reverdir les terres de culture, de fertiliser les sols et d’augmenter le rendement agricole. La production agricole est souvent déficitaire dans cette zone d’où la nécessité d’accompagner la production agricole par l’usage de la Régénération Naturelle Assistée (RNA) ce qui permettra très certainement de combler le déficit de la production agricole. -
Structure et dynamique de la végétation ligneuse juvénile issue de la régénération naturelle assistée (RNA) dans le Centre-Sud du Niger
La présente étude est conduite dans les régions de Maradi et Zinder situées dans la bande Sud du Niger où la pratique de la régénération naturelle assistée (RNA) a pris de l’ampleur depuis la fin des années 1980. Cette pratique qui consiste à entretenir les rejets a permis de régénérer le couvert végétal et d’augmenter le rendement des cultures pluviales. Le but de ce travail est d’étudier la structure et la dynamique de la végétation ligneuse juvénile issue de la régénération naturelle assistée. Tous les individus juvéniles dont le diamètre était inférieur à 4 cm ont été comptés dans des placettes de 2000 m² suivant un transect perpendiculaire. L’importance écologique des espèces a été appréciée à partir de l’Indice de Valeur d’Importance (IVI). Les résultats révèlent que la flore juvénile de l’ensemble des sites renferme 38 espèces ligneuses réparties dans 22 familles. Les familles les mieux représentées sont les Mimosaceae (20,73%). La strate juvénile dans l’ensemble a une dynamique déséquilibrée. -
La production fourragère dans la gestion des ressources naturelles de la région de Maradi (Niger) : Impacts et méthodologies d’évaluation possibles de la Régénération Naturelle Assistée (RNA)
Le présent article tente de développer une méthodologie et de démontrer le potentiel en fourrage ligneux aérien produit dans les parcelles agricoles grâce à la RNA. L’article décrit une méthodologie originale à partir des résultats de recherche sur la RNA et intègre celle-ci dans le bilan fourrager défini par le ministère de l’élevage. La méthodologie développée pourrait mettre en évidence un accroissement des bilans. Toutefois, nombreuses sont les hypothèses qui ont mené à la réalisation de la méthode de travail. Celles-ci mériteraient d’être explorées et confrontées plus amplement aux réalités du terrain afin de les confirmer ou infirmer. -
Impacts des investissements dans la gestion des ressources naturelles (GRN) au Niger : Rapport de Sythèse
Cette étude, dénommée simplement « Étude Sahélienne », a débuté en août 2005 au Niger et réuni plusieurs experts des différentes disciplines, sous la coordination scientifique du Centre Régional d’Enseignement Spécialisé en Agriculture (CRESA) de l’Université Abdou Moumouni de Niamey. L’étude au Niger a surtout intéressé trois Régions : Maradi, Tahoua, Tillabéri. En plus, une étude légère a été réalisée dans la Région de Zinder (zone des 3M) pour identifier l’échelle, la dynamique et les impacts des efforts de protection et de gestion de la régénération naturelle par les producteurs dans leurs champs de culture. Le présent document est un début de synthèse de huit (8) rapports sectoriels plus détaillés que le lecteur intéressé peut consulter. -
Évaluation des impacts socio-économiques de la Régénération Naturelle Assistée et stratégies d’adaptation des communautés selon le genre face au changement climatique dans la région de Maradi
Cette étude a été réalisée dans la région de Maradi au niveau de deux départements (Aguié et Guidan Roumdji). L'objectif de l’étude est de contribuer à une meilleure connaissance des impacts des parcs dégradés récupérés, à l’adaptation au changement climatique et à la résilience des populations selon le genre dans la région de Maradi. Le choix des sites était basé sur le niveau de réussite de la pratique de la régénération naturelle assistée. Trois sites répartis dans trois grappes de villages ont été concernés par cette étude à savoir Dan Saga, Damama et Tambaraoua. Au total, 343 chefs de ménages ont été enquêtés dont, 64,08 % dirigés par les hommes adultes et 13,25 % par les femmes et 22,65 % par des jeunes. Il ressort des résultats quatre catégories sociales des producteurs ont été identifiées selon leur niveau de vulnérabilité : les Peu vulnérables (PV), les Moyennement vulnérables (MV), les Très vulnérables (MV) et les Extrêmement vulnérables (EV). -
Effet des touffes de Guiera senegalensis (J.F. Gmel) sur la fertilité des sols dans la région de maradi (Niger)
A Guidan Bakoye, dans la région de Maradi au Niger, pour faire face à la dégradation et la baisse de la fertilité des terres, les paysans ont entre autres adopté la régénération naturelle assistée des espèces ligneuses telles que Guiera senegalensis (Guiera du Sénégal). Cette étude traite de l’influence des touffes de cet arbuste sur la fertilité des sols dans le terroir de Guidan Bakoye. Méthodologies et résultats : Un dispositif en blocs randomisés complet avec trois répétitions des touffes, a été utilisé en plein champ. Des prélèvements des sols ont été effectués autour des touffes selon les points cardinaux, les distances 0, 50, 100, 150 et 200 cm de la touffe et la profondeur du sol (0 -10 ; 10 -20, 20 -30 et 30 -40 cm), et leurs caractéristiques physico-chimiques ont été déterminées. Les résultats obtenus ont révélé généralement une amélioration significative des paramètres physico-chimiques des sols localisés à proximité des touffes de Guiera senegalensis. -
La régénération naturelle assistée (RNA) pour lutter contre la désertification
L’avancée du désert depuis les années 70 combinée à la forte croissance démographique (103 habitants au km2 à Aguié et Gazaoua) accentuent la pression foncière. -
Effet de la combinaison Régénération Naturelle Assistée (RNA) et microdose d’engrais sur la production du mil (Pennisetum Glaucum (L.) R.Br) dans les zones agro-écologiques du centre-sud du Niger
Cette étude vise à identifier la microdose optimale d’engrais dans les champs de production du mil, où des pratiques de la régénération naturelle assistée (RNA) sont déjà réalisées. L’expérimentation a été conduite dans 26 villages pratiquant la RNA, dont 10 villages dans la zone sahélienne stricte, 10 villages dans la zone sahélo-soudanienne et 6 villages dans la zone nord soudanienne du centre-sud du Niger. Un dispositif en bloc randomisé est installé dans chaque village comportant 5 traitements (RNA; RNA + Fumure organique (F); RNA+F+NPK; RNA + Phosphate naturel de Tahoua (PNT) + F; RNA+PNT) et un témoin suivant les quatre points cardinaux. Les paramètres mesurés sont : la croissance en hauteur, le nombre de talles, les rendements en grains et en paille de mil. Les résultats ont montré que la hauteur moyenne la plus élevée des plants est obtenue pour le traitement RNA+PNT dans la zone sahélienne stricte (283,9±86,2 cm) et le nombre élevé de talles moyens pour le témoin de la zone nord-soudanienne (10,04±3,1). Dans toutes les zones, le traitement RNA+F+NPK a permis d’obtenir les plus grands rendements moyens en grains et en paille de mil. -
Fiche technique n°4 : la régénération naturelle assistée (RNA)
La régénération naturelle assistée est une pratique qui consiste à laisser au cours du défrichement (en saison sèche ou en saison des pluies) 1 à 3 rejets issus des souches des différents arbres et arbustes pour qu’ils poursuivent leur croissance. -
Etude évaluative des effets des activités de cash for work sur la vie socio-économique des ménages
La présente étude a été commanditée par le PromAP afin d’apprécier les approches / mécanismes et effets induits par l’ensemble des actions de GDT mises en oeuvre dans les trois régions d’intervention du projet. -
Conduite de la Régénération Naturelle dans les champs
La régénération naturelle assistée est une pratique qui permet d’enrichir les parcs agroforestiers en terme de diversité mais aussi augmenter le nombre de pieds d’espèces ligneuses. Elle s’effectue soit par ensemencement des champs avec des espèces choisies ou entretien de la régénération naturelle. -
Evaluation finale du projet Initiative femmes et terroirs et régénération naturelle assistée (IFETE/RNA) << Mata da kar kara>>
La question de l'inégalité croissante d'accès aux ressources naturelles est un souci majeur à travers le monde et plus particulièrement en Afrique et au Niger. L'Empowerment des femmes rurales, agricultrices et éleveuses, comme celui des jeunes agropasteurs, ne peut se réaliser sans une sécurisation de leur accès au foncier agricole et aux ressources naturelles rurales ainsi qu’une participation active et responsable dans leur gestion et contrôle. Il est clairement établi que le développement durable d’un pays ne peut se concevoir sans la participation effective des femmes et des hommes de manière équitable. Les inégalités de genre ont été reconnues comme un frein au développement, à la création des richesses, à la réduction de la pauvreté et partant au processus de développement socio-économique. -
Reverdissement du Centre-Sud du Niger: Deux décennies de données de télédétection et de terrain
Depuis plus de quatre décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest sont confrontés à une forte dégradation du potentiel productif de leurs systèmes agro-sylvo-pastoraux, sous les effets conjugués du changement climatique et des pressions anthropiques. Mais, au cours de ces trois dernières décennies la tendance à la dégradation des terres est contrée par un processus de « reverdissement » ou «re-végétalisation » qui a eu lieu grâce à la pratique de la régénération naturelle assistée (RNA). Cette étude vise à mettre en évidence à petite échelle le reverdissement dans Centre-Sud du Niger en confrontant les données de terrains à celles des images satellitales de deux (2) villages pionniers (Dan saga et El Guiéza) de la pratique de la RNA dans la région de Maradi. -
Analyse comparative couts-bénéfices entre la plantation d'arbres et la Régénération Naturelle Assistée (RNA) des ligneux dans le centre-sud du Niger
L’objectif principal ce travail est de comparer les comptes d’exploitations des pratiquants de la plantation d'arbre à celles de la régénération naturelle assistée (RNA) pour fournir des données précieuses afin de solliciter un plus grand soutien des gouvernements et des partenaires extérieurs. La méthode d’analyse de cout-bénéfices a été utilisée pour dresser le compte d’exploitation des pratiquants de ces deux pratiques à travers des données recueillies sur la base des enquêtes individuelles auprès de 110 producteurs dans six (6) villages du département de Mayahi et Mirriah, dans la région de Maradi et Zinder au centre sud du Niger. Les résultats montrent que la pratique de la RNA revient moins chère aux producteurs avec un coût des charges d’exploitation estimé à 22 500 FCFA sur cinq ans, contre 924 700 FCFA pour les pratiquants de la plantation. Quant aux bénéfices, il ressort que la pratique de la RNA (79 250 FCFA) est environ deux fois plus bénéfique que la plantation d’arbres (48 000 FCFA) sur une période de cinq ans de pratique. -
Impact de la combinaison Régénération Naturelle Assistée (Rna) et engrais en microdose sur la productivité du Mil (Pennisetum Glaucum (L.) R. Br.) au Niger
Cette étude a été conduite dans les sites de Dineye et Kassamma dans la région de Zinder au Niger. Elle a pour objectif de déterminer l’effet de la combinaison RNA et engrais en microdose sur la productivité du mil. Le dispositif expérimental utilisé est en bloc de Fisher avec dix (10) répétitions. Le facteur étudié est la fertilisation du sol avec quatre (4) traitements (T) : T1 constitué uniquement de RNA servant de témoin ; T2 qui est la combinaison RNA et fumier en microdose ; T3 qui est la combinaison RNA, fumier et engrais chimique (Azote Phosphore Potassium-NPK) en microdose et T4 qui est la combinaison RNA et NPK en microdose. Les paramètres de croissance à savoir la hauteur de plant, le nombre de feuilles ont été suivis par décade jusqu’à maturité. A la récolte, les composantes du rendement à savoir : la biomasse sèche, le poids des épis et des grains ont été évalués. Les résultats de cette étude ont montré que la hauteur des plants, le nombre de feuilles ont été plus élevés avec T3. -
La Régénération Naturelle Assistée (RNA)
À travers le monde, il y a eu une grave dégradation des terres due à la déforestation, au changement climatique, à la sécheresse, à la désertification et à l’utilisation non durable des terres. Par conséquent, la productivité et la santé des terres agricoles, des pâturages et des forêts sont endommagées, ce qui nuit aux individus et aux communautés qui dépendent de ces ressources pour leur approvisionnement alimentaire, leur santé et leurs revenus. -
Rôles des structures villageoises dans la Régénération Naturelle Assistée (RNA) au Niger
Après les sécheresses des années 70-80, la gestion des ressources naturelles et particulièrement les ressources forestières au Niger est devenue une préoccupation majeure de l'Etat, soutenu par les partenaires au développement et les populations locales. Des nombreuses études ont montré un reverdissement de certaines localités suite à l'adoption de la technologie de la régénération naturelle assistée (RNA). Les populations bénéficiaires ont été organisées en structure locale de gestion (SLG) des ressources naturelles en général et la RNA en particulier. Cependant, très peu des connaissances sont documentées sur les rôles spécifiques des structures villageoises en matière de gestion des ressources naturelles au Niger. C'est pourquoi cette étude vise à compléter les rapports publiés et non publiés sur les rôles joués par les producteurs ruraux et les communautés dans la mise en œuvre de la RNA. -
Évaluation de stocks de semence de diospyros mespiliformis Hochst. ex A. Rich. (Ebenaceae): Une éspèce en forte régression au Niger
Les graines sont les éléments indispensables dans la dispersion et le renouvellement des individus d’une espèce. De la qualité et surtout de la quantité de ses graines dépendent la dynamique d’une population surtout ligneuse. L'objectif est d'évaluer les stocks des semences de D.mespiliformisdans les sols afin de contribuer à la maîtrise des contraintes liées à sa régénération naturelleAinsi un échantillon de 265 arbres adultes dans les zones de présence de l’espèce a été pris pour cette étude le long de quatre cours d’eau du Niger (Dargol, Goulbi N’kaba, Goulbi Maradi, Gouroubi). -
Régénération naturelle assistée au Niger: l’état des connaissances
Face à la dégradation de l’environnement et à la forte pression foncière, les agriculteurs des zones densément peuplées, et notamment du centre-sud du Niger, ont intensifié leurs systèmes de production agricole. Ils l’ont fait en augmentant le nombre d’arbres et d’arbustes dans leurs champs, créant ainsi de nouveaux parcs agroforestiers dont l’échelle dans les régions de Zinder, Maradi et Tahoua est d’environ 5 millions d’hectares (Cotillon et al., 2021). Ce reverdissement n’est pas basé sur la plantation d’arbres. Depuis le milieu des années 1980, les agriculteurs protègent et gèrent la régénération naturelle des arbres et des arbustes sur leurs terres cultivées. De nombreuses études montrent que la régénération naturelle gérée par les agriculteurs a permis d’augmenter les rendements des cultures de 31 à 350 kg/ha et d’assurer la sécurité alimentaire des familles, même pendant les années de sécheresse. Mais les rendements céréaliers restent faibles et ne suffiront pas à nourrir une population en croissance rapide. -
Analyse de l'adoption de la régénération naturelle assistée dans la région de Maradi
La régénération naturelle assistée (RNA) est une pratique agroforestière largement répandue dans les exploitations de la région de Maradi au Niger. L'objectif général de cette étude est d'évaluer ces techniques de gestion de la RNA. Pour atteindre cet objectif général, les objectifs visés sont de caractériser les exploitations agricoles et les champs. -
Décret n° 2020-602/PRN/ME/SU/DD réglementant la pratique de la Régénération Naturelle Assistée au Niger
Le présent décret a pour objet de réglementer la pratique de la Régénération Naturelle Assistée au Niger (RNA). Il détermine les modalités de gestion des parcs agroforestiers, particulièrement les ressources ligneuses issues de la Régénération Naturelle Assistée. -
Influence des conditions socio-économiques et culturelles sur la dynamique des écosystèmes sahéliens: Cas de zones reverdie (Warzou) et dégradée (Maïssakoni) du département de Mayahi
Le présent document est le résultat d’une étude effectuée dans le cadre d’un projet de recherche entre le CRESA et le Centre de Résilience de l’Université de Stockholm intitulé : « les dimensions humaines derrière le reverdissement du Sahel : une étude comparative des dynamiques socio-écologiques dans les zones dégradée et reverdie du Niger ». Les sites concernés par la présente étude sont situés dans la commune rurale de Sherkin Haoussa (Département de Mayahi. Il s’agit de Warzou, site reverdi et de Maissakoni, site dégradé. L’objectif principal est d’étudier l'influence des conditions socio-économiques et culturelles sur la dynamique de ces deux zones. Pour atteindre cet objectif, des enquêtes de terrain ont été menées à l'aide d'un guide d'entretien et des fiches d'enquête individuelles. Soixante (60) paysans issus des deux villages ont été enquêtés. Cette étude fait suite à l'étude sahélienne menée en 2006, qui a démontré qu'au Sahel on est en train d'observer un phénomène de reverdissement surtout dans des zones à forte densité humaine contrairement à la dégradation continue que l'on pense. -
Pratique et gestion de la Régénération Naturelle Assistée (RNA)
Cette technique consiste à repérer, sélectionner, entretenir et protéger dans les champs au moment du défrichement un à trois rejets issus des souches vivantes des différents arbres et arbustes existants dans les champs et la préservation des jeunes pousses de certains arbres appréciés.
➢ Ces rejets épargnés poursuivent leur croissance avec un entretien régulier. Du fait que les rejets sont issus des souches, le producteur a, au bout de trois à quatre ans, des arbres dans son champ pouvant significativement atténuer l’érosion éolienne et hydrique et protéger ainsi les cultures.
➢ La densité d’arbres et arbustes varie de 80 à 150 pieds à l’hectare.