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Négocier les conflits d’intérêts liés à l’exploitation de l'eau
Ce document cadre avec le programme RUIG et les besoins du PADEL et du FSIL relatifs à la prise en compte des demandes touchant à l’exploitation des eaux de surface et de subsurface des vallées de Foga et Maouri. -
Etude socio-économique des mares permanentes dans l’arrondissement de Gaya
Ce projet de recherche, a pour objectif d’analyser les conflits liés à l’exploitation de l’eau et les potentialités dans l’arrondissement de Gaya, au sud du Niger. Le présent rapport est le fruit d’un séjour de trois mois, entre novembre 2002 et février 2003 au Niger. -
Conseiller en maraîchage - Site de Falki
La mare de Falki se situe à 4 km au Sud-Est de la ville de Mirriah. Cette mare est un site important de cultures irriguées. -
Au Niger : Kawara-Débé, village de mares
Cette étude présente les caractéristiques géomorphologiques et sociales du terroir Kawara-Débé, village de mares -
Choix des mares pour une étude approfondie
Le nombre de mares diffère selon les sources à cause la divergence des critères pris en compte. Géoconseil citant le plan de développement économique et social de la région de Dosso annonce 91 mares alors que le rapport de Kader dresse une liste de quarante sept (47) mares. Tout laisse à croire que dans le premier cas il sʼagit dʼun inventaire des mares et dans le second de celui des terroirs disposant de mares.
Lʼun dans lʼautre, lʼimportance quantitative des mares et la diversité de celles-ci sur le plan physique et humain commandent un échantillonnage pour une étude beaucoup plus détaillée visant à faire ressortir de façon représentative les facteurs de mise en valeur pour mieux orienter les interventions. -
La place des femmes au sein des comités villageois de gestion et autour de l'exploitation des mares dans l’Arrondissement de Gaya
Au Niger, comme dans la plupart des pays où l'économie paysanne est dominante, les femmes occupent une place primordiale au sein des structures familiales et villageoises.
Elles représentent en quelque sorte le noyau dur autours duquel s'articule l'ensemble des systèmes économiques et sociaux de production et de reproduction de chaque communauté.
Une analyse portant sur l'organisation en comité des différents acteurs économiques d'un espace donné doit nécessairement prendre en compte le rôle que jouent les femmes dans cette économie. Elle doit identifier leur mode d'accès aux ressources vitales et l'importance qui leur est consacrée dans les instances de décisions et de régulations des conflits liés à l'usage même de ces ressources.
Nous éviterons ici d'aborder ce thème dans un discours féministe ou misérabiliste qui tend à considérer les femmes comme unique victime d’une société dominée par le pouvoir des hommes et où la solidarité entre les sexes est inexistante, nombreux sont les exemples qui contredisent ce point de vu. Cependant il faut bien reconnaître que la plupart des structures juridictionnelles, économiques et politiques locales et nationales sont majoritairement gérées par les hommes et que les femmes y occupent une place secondaire. -
Rapport d’étude hydraulique et hydrologique pour la réalisation et la réhabilitation de neuf (14) seuils d’épandage, l’aménagement de deux (02) mares et le sur creusage d’une mare dans la Région de Maradi.
La région de Maradi se trouve au centre Sud du Niger, elle couvre une superficie de 41 796 Km2. La population est de 3 404 645 (RGPH 2012)avec une densité de 81h/Km2.
L’étude hydrologique a pour but, l’estimation des caractéristiques hydrologiques (apports interannuels et débits projet) nécessaires pour définir le schéma d’aménagement et le calage et le dimensionnement des ouvrages.
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A quoi sert une association d’usagers de l’eau (AUE) ? Exemple de l’AUE Hadin Kaï autour de la mare de Falki
La mare de Falki se situe dans le département de Mirriah à 4 km au sud de cette localité. Elle a une surface de plus de 100 ha dans sa plus forte extension. Cette mare est utilisée par les populations riveraines pour l’irrigation d’environ 300 ha de cultures maraîchères en saison sèche, pour l’abreuvement des animaux, la pêche mais aussi des usages domestiques (lessive, fabrication de briques, etc.). Toutes ces activités peuvent avoir des répercussions sur la ressource en eau et nécessitent une gestion concertée, de plus en plus indispensable compte tenu des changements climatiques et de l’augmentation des besoins des différentes familles d’usagers. Pour lancer la concertation de tous les usagers sur la gestion de cette ressource, les programmes du FIDA et la Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder ont lancé une concertation avec les populations des villages autour de la mare de Falki. A la suite de cette concertation, les populations ont choisi de se réunir en association d’usagers de l’eau (AUE). Cette association réunit les différentes familles d’usagers de l’eau qui ont été identifiées dans des réunions préalables : les maraîchers, les pêcheurs, les éleveurs, les usagers domestiques. -
Syntèse d'inventaires et de calcul de bilans hydriques de barrages et mares d'infiltration au Niger
Ce document constitue le rapport provisoire de l'étude.Après avoir donné dans la première partie un aperçu de la situation hydrographique et hydrogéologique -
Schéma d’aménagement de la mare de Tabalak - Région de Tahoua – Rapport final
L’étude du schéma d’aménagement des terres, dans le bassin versant de la mare de Tabalak, a été demandée par l’URGP ProDAF -Tahoua au profit du PDE de la commune de Tabalak, dans le but d’asseoir les bases d’un développement économique durable dont les différents axes sont en harmonie avec les ressources naturelles et humaines de cette localité.
Le diagnostic mené à travers cette étude révèle que le bassin versant de la mare couvre une superficie de 2238 km2 s’étalant essentiellement sur trois (3) communes, notamment, la commune de Tabalak, de Keita et de Kalfou. -
Dossier d'Appel d'Offre National N° 001/2008/TRV/PADL-Diffa pour la réalisation de sept (7) ouvrages de contrôle de mares dans la région de Diffa
Le Gouvernement de la République du Niger a obtenu un pret du Fonds Africain de Développement pour financer le Projet d'Appui au Développement local dans la région de Diffa (PADL-Diffa) et envisage d'utiliser une partie des fonds pour les couvrir les paiements éligible au titre du marché pour la résilience de sept (7) ouvrages de contrôle de mares dans la zone d'intervention PADL-Diffa. -
Impacts des facteurs climatiques et anthropiques sur les ressources et la qualité des eaux de la mare de Tabalak
Au Niger, les facteurs climatiques et anthropiques influencent les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche et la qualité des eaux de surface. Cette étude a pour objectif d’identifier les impacts des aléas climatiques et de l’action de l’homme sur les ressources et la qualité de l’eau de la mare de Tabalak. A terme, cette étude devrait permettre de poser les jalons pour des actions, afin de réduire les risques liés à l’exploitation des ressources de cette zone humide. Pour réaliser cette étude, des enquêtes, des visites de terrain et des prélèvements d’échantillons d’eau ont été effectuées. Ces derniers ont été analysés au laboratoire. L’analyse des données météorologiques et des perceptions de la population sur la variabilité climatique indiquent une tendance à la baisse des précipitations contre une hausse des températures et de la force des vents. En ce qui concerne la dynamique d’occupation des sols, toutes les unités ont subi des transformations. Selon 80% des personnes enquêtées, cette tendance est causée par des facteurs climatiques et anthropiques. Les impacts de ces aléas sont : une perturbation dans le déroulement des saisons, une baisse de la productivité, une perte des terres par ravinement ; la formation de dunes vives ; l’ensablement et l’assèchement fréquent de la mare, la pression parasitaire et la persistance des épizooties. Les résultats sur la qualité des eaux montrent que les paramètres physico-chimiques étudiés se situent dans les normes requises. -
Niger : Lac de Guidimouni
Le lac de Guidimouni est situé dans la région de Zinder, département de Damagaram-Takaya, plus précisement dans la Commune rurale de Guidimouni. Il parcourt le long de la RN2 dans les environs de 2000 m sur sa rive droite. Le lac de Guidimouni est situé en zone sahélienne et reçoit en moyenne 300 à 400mm de pluie par an, ce qui fait de lui une zone aux contraintes climatiques moyennes. Il couvre une superficie de 338, 39 ha et forme une dépression endoréique allongée (SW-NE) sur près de 3 km de long et large de 700 m. Le plan d’eau est formé par deux grands étangs dont la profondeur moyenne dépasse rarement 1,5 m. Le lac évolue sur une plaine sableuse légèrement ondulée avec des altitudes variantes entre 390 et 395 m. Il est entouré de collines dont la hauteur maximum dépasse 590 m. Ce Lac, qui a une caractéristique morphologique d’une dépression accentuée, est alimenté de façon permanente par l’eau superficielle et de nappe à travers diverses sources dont la plus importante est la source de ʺGouzgourouʺ. Il a un haut potentiel de mise en valeur. -
Comment mieux contribuer à la cohésion sociale et à la paix à l’intérieur des projets comme PAS2P ?
Ce guide a pour point de départ ; les retours de pratiques des professionnels impliqués sur le terrain dans le projet PAS2P, via une série d’entretiens individuels et l’analyse documentaire ; les réflexes de gestion de projet sensible au conflit tels que pratiqués par l’auteur (théorie et pratique). -
Note de synthèse sur la situation pastorale dans la zone transfrontalière Mali/Niger/Burkina Faso
La présente note présente une synthèse des éléments saillants contenus dans les rapports qui ont été élaborés par les points focaux de trois organisations membres des Antennes nationales du Réseau Billital Maroobè (RBM) implantées au Burkina Faso, au Mali et au Niger1. A travers la mise en place d'un dispositif de veille informative, le RBM cherche à apporter un appui à des communautés pastorales qui sont confrontées à une situation de conflit et aux effets induits par le changement et la variabilité climatiques. -
L'accès aux espaces pastoraux et leurs sécurisation
Les droits fonciers des éleveurs sur leur terroir d’attache peuvent être reconnus par la Commission foncière par la délivrance d’un acte attestant d’un droit d’usage prioritaire. Ce droit d’usage prioritaire n’est pas un droit de propriété : il n’exclut pas l’accès des autres éleveurs aux ressources pastorales. Pour se voir reconnaitre un droit d’usage prioritaire : s’adresser à la Commission foncière communale ou départementale. -
Procédure de gestion des conflits foncier ruraux
Cette affiche, ressort les étapes de règlement de conflit, du niveau de règlement du conflit et les étapes à suivre pour parvenir à une conciliation des acteurs. -
L’indemnisation des dégâts champêtres
Les dégâts champêtres restent un problème préoccupant dans le monde rural du Niger. Avec des exemples à l'appui, l'affiche expose les faits et les textes auxquels il faudrait se référer. -
Guide méthodologique de gestion et de prévention des conflits liés aux ressources naturelles
Ce petit manuel est un guide destiné aux agents de développement travaillant dans le cadre des projets de gestion de ressources naturelles ayant participé à une formation de base en gestion des conflits. Il permet de par son contenu d’assimiler et d’approfondir des notions élémentaires et des outils appropriés à une compréhension et une analyse pour une gestion non violente des conflits courants entres acteurs exploitants les ressources naturelles sur un même espace. Il s’articule autour d’un certain nombre de thèmes comme : comprendre le conflit ; l’analyse du conflit ; la résolution des conflits et les techniques de médiation des conflits communautaires. -
Les fourrières
La fourrière est un service public de police rurale qui sert à sécuriser les animaux perdus, égarés ou errants. -
La gestion des conflits dans les organisations
Avant de commencer cette étude sur la gestion des conflits dans les organisations, il faut correctement délimiter notre sujet. Nous ne parlerons donc bien évidemment pas de conflit social mais de conflits internes résultant de la communication de groupe, des tensions qui se forment autour de l’activité de l’organisation. -
Mécanisme de gestion des plaintes : plan de communication et de formation pour le projet d'Appui au Pastoralisme au Sahel, PHASE II (P173197)
Le présent plan de communication, qui ressort les principales lignes directrices pour diffuser les informations et actions effectives à réaliser dans le cadre de l’opérationnalisation du Mécanisme de Gestion des Plaintes du Projet, a été élaboré pour se conformer aux dispositions du PEES. Ce document est dynamique et pourra par conséquent être mis à jour si nécessaire selon les besoins. -
Promouvoir une gestion locale concertée et effective des ressources naturelles et foncières : Les conditions d’effectivité des conventions locales 1) Règles et processus de négociation
Depuis une quinzaine d’années, de nombreux inter venants travaillent à promouvoir des accords négociés sur l’accès et l’exploitation des espaces et des ressources naturelles, souvent connus sous le terme de « codes locaux » ou « conventions locales ». Si le principe d’accords négociés fait sens1, les résultats sont plus mitigés. Nombreuses sont les conventions peu ou pas appliquées. Il n’y a pas de recette miracle pour garantir l’effectivité d’une convention locale, mais on peut identifier un certain nombre de conditions et de facteurs favorables. Un premier ensemble de conditions concerne les règles de gestion (traité dans cette note), un autre l’engagement des autorités2. -
Conflits fonciers liés à la mobilité pastorale dans le nord Dakoro : les facteurs déclenchant et mesure d'atténuation
Le département de Dakoro constitue le lieu de passage privilégié des animaux lors des mouvements de transhumance entre la zone pastorale (l’Azawak, l’Irhazer) et le Nigéria. Il est habituellement secoué par la récurrence des conflits fonciers violents. Ces derniers ont un impact humain, économique et social important qui se répercute sur la mobilité pastorale et la sécurité alimentaire des protagonistes. Les principaux résultats obtenus à l’aide des approches géographiques et socio-anthropologiques, montrent une recrudescence des conflits violents dans le département de Dakoro qui s’explique par un certain nombre des causes. La première est liée à la raréfaction des ressources naturelles (terres de culture, pâturages, mares, etc.) du fait de la forte dégradation dont elles sont l’objet. -
Note conceptuelle sur un programme de réponse intégrée à la problématique des « conflits entre éleveurs et agriculteurs au Niger » liés à la transhumance
La transhumance permet l’occupation, sur un temps limité, des pâturages ce qui assure leur régénération, la diversification des espèces, leur assainissement, la réduction des risques de feux de végétation et a fortiori la fertilité des sols. Malheureusement, celle-ci est dangereusement menacée. En 2020, le CICR estimait que cette mobilité au Niger n’était plus qu’à 36,5 pour cent normale, 41,5 pour cent limitée et déjà 22 pour cent hautement perturbée3. Les défis auxquels elle fait face ont trait à la pression de plus en plus accrue sur les ressources naturelles, au changement climatique, à l’expansion du désert du Sahara vers le Sud, (touchant fortement le territoire nigérien), à la multiplication des conflits de plus en plus violents et à la faible couverture du pays en structures décentralisées d’accompagnement des éleveurs qui effectuent régulièrement la transhumance transfrontalière. Une nouvelle tendance négative s’observe aussi pour limiter les entrées des troupeaux par des quotas d’animaux par saison (ex. le Benin). Tout ceci exacerbe davantage le problème de mobilité pastorale. -
La gestion des puits communautaires dans le centre-sud du Niger : les faces cachées d’une arène locale
La présente recherche met l’accent sur la dynamique des conflits liés à l’usage et la gestion des puits communautaires en milieu rural nigérien. Elle montre que la réalisation de puits dans le département de Mayahi, centre-sud du pays, n’est pas sans conséquence sur les relations entre pasteurs et agriculteurs du fait des intérêts en jeu. Elle occasionne la présence de groupes d’acteurs stratégiques mus chacun par ses propres logiques. Ce qui est source de tensions et conflits en milieu rural. S’inscrivant à la fois dans l’approche stratégique de Crozier (1977) et dans celle socio-anthropologique des conflits (Olivier de Sardan, 1995), cet article apporte un éclairage à la compréhension des comportements et pratiques des acteurs d’horizons divers autour de la gestion des puits communautaires. Ces différents acteurs mus par des intérêts contradictoires développent plusieurs stratégies afin d’avoir l’accès et le contrôle des puits communautaires. Les comportements de ces acteurs constituent une échelle d’observation pour mieux appréhender leurs pratiques et les conflits qui naissent dans l’accès et le contrôle des puits communautaires au sein de cette entité administrative. -
Les dégâts champêtres : comment éviter des abus dans leur gestion?
Les dégâts champêtres sont à la base de conflits souvent dramatiques (mort d'hommes, coups et blessures et pertes de biens) entre les agriculteurs et les éleveurs. Les causes sont : - l'occupation et l'ensemencement des parcours (couloirs de passage, aires de replis...)
- le tarissement précoce des mares des zones pastorales;
- la descente précoce des éleveurs dans les zones des cultures;
- l'ouverture volontaire par certains agriculteurs de leurs champs à la pâture de leurs propres animaux avant même la libération des champs;
- la conduite des animaux par des enfants n'ayant pas l'age requis pour le faire. -
Que faire pour éviter les dégâts sur les cultures de saison sèche (cas des pastèques, calebasses, manioc....) ?
A la fin de la saison des pluies, des cultures de saison sèche (principalement des calebasses, pastèques, manioc...) poursuivent leur cycle sur les espaces abandonnés après les cultures pluviales. -
Que faire quand les champs sont défrichés au delà de la limite nord des cultures?
Au Niger, depuis 1961, une loi détermine la limite nord des cultures. Au delà, de cette limite, il est formellement interdit d'ouvrir des champs de cultures. -
Un territoire de mare au Sahel : Ossolo (Niger occidental)
La mare d'Ossolo est située sur le territoire de la République du Niger, par 14° 04 de latitude nord et 00 0 34 de longitude est. Elle se localise dans l'arrondissement de Tera qui, avec celui de Say, forme l'ouest nigérien ; territoire allonge entre le fleuve Niger a l'est et la frontière voltaïque a l'ouest. Ces deux unités administratives nigériennes, qui relèvent du département de Niamey, constituent l’extrémité orientale de la plaine du Liptako nigero-voltaique. L'arrondissement de Tera presente la forme d'un quadrilatère oriente NO-SE de 200 km de long sur 100 km de large environ. Il est limité au nord par la frontière malienne, a l'ouest par la frontière voltaïque. A 'est, le fleuve Niger le sépare de l'arrondissement de Tillabery et au sud, la rivière Sirba de l'arrondissement de Say. -
Convoitises et conflits entre ressources pastorales et extractives au Nord-Niger : verts pâturage et yellow cake chez les « hommes bleus »
Cet article évoque les difficultés qu’ont les pasteurs nomades à perpétuer leurs conditions d’existence face aux multiples contraintes auxquelles ils sont confrontés (climatiques, politiques, économiques). Outre les problèmes d’insécurité, de cloisonnement et d’accapare ment des terres pastorales, ils subissent les impacts de l’exploitation minière par des sociétés internationales, notamment de l’uranium dans l’Eghazer, qui fonctionnent selon des logiques extraterritoriales. Aux impacts sanitaires et environnementaux s’ajoutent la confiscation de terrains de parcours ainsi que les entraves mises à la circulation des troupeaux, et ce malgré les droits fonciers et malgré la reconnaissance de la mobilité des pasteurs nomades dans la législation nationale.