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Etude socio-économique des mares permanentes dans l’arrondissement de Gaya
Ce projet de recherche, a pour objectif d’analyser les conflits liés à l’exploitation de l’eau et les potentialités dans l’arrondissement de Gaya, au sud du Niger. Le présent rapport est le fruit d’un séjour de trois mois, entre novembre 2002 et février 2003 au Niger. -
Changements climatiques : Impacts sur l’eau et l’agriculture en Afrique de l’Ouest
Les changements climatiques se manifesteront sur toutes les composantes du cycle de l’eau, comme par exemple, la quantité et la distribution des précipitations, la fréquence et la durée des sécheresses, ainsi que l’évaporation et le bilan hydrique à la parcelle. La mousson africaine, qui rythme la vie des 300 millions d’Africains de l’Ouest, devrait se modifier : la variabilité interannuelle des précipitations liées à cette mousson devrait augmenter, tout comme l’occurrence des précipitations extrêmes. Les activités agricoles seront plus ou moins fortement affectées par ces changements, en fonction des zones agroécologiques et des spéculations. Dans tous les cas, différents travaux estiment que le ruissellement moyen et la recharge des nappes baisseront ; que la concurrence pour l’eau sera exacerbée suite à des demandes croissantes pour d’autres usages comme la production d’hydro-électricité. Les travaux menés par le Programme international de recherche sur la mousson africaine (AMMA) établissent sans ambiguïté que la variabilité spatio-temporelle excessive des précipitations est un réel frein à la production agricole. Les sociétés devront s’adapter. Néanmoins, il convient de ne pas sous-estimer la complexité de l’approche. Ainsi les plans d’irrigation sont à raisonner avec l’ensemble des acteurs et utilisateurs d’un territoire, voire d’autres pays, placés en aval des prélèvements pour l’eau d’irrigation. De nombreuses techniques, et leurs variantes locales, existent pour faire face à l’aléa hydrique. Elles visent en général à accroître la production, tout en minimisant sa dépendance aux intrants et en limitant les impacts négatifs sur l’environnement, et leur vulnérabilité. Ces techniques incluent la gestion conservatoire de l'eau, de la biomasse et de la fertilité des sols. -
Conseiller en maraîchage - Site de Falki
La mare de Falki se situe à 4 km au Sud-Est de la ville de Mirriah. Cette mare est un site important de cultures irriguées. -
Impacts des changements climatiques sur les forets au Niger
Ce présent rapport porte sur les impacts des changements climatiques sur les forets au Niger -
Au Niger : Kawara-Débé, village de mares
Cette étude présente les caractéristiques géomorphologiques et sociales du terroir Kawara-Débé, village de mares -
Impacts des changements climatiques sur le sous-secteur de l’élevage au Niger
Pays sahélien aux trois quart désertique, le Niger est concerné à l’instar des autres pays par les préoccupations mondiales relatives à la problématique du changement climatique qui se manifeste essentiellement par la hausse des températures, la modification du niveau et de la variabilité de la pluviométrie, etc. La présente étude porte sur l’évaluation des risques liés aux changements climatiques pour le sous-secteur de l’élevage à l’horizon 2050 et à proposer des stratégies pour y faire face. -
Impacts des changements climatiques sur les forêts au Niger
L’étude porte sur l’évaluation approfondie des risques de changement sur les forêts et mise en place d’un ensemble d’outils d’analyse et de planification à long terme pour gérer les incertitudes du développement économique et social du pays inhérentes aux changements climatiques en mettant l’accent sur un modèle applicable pour les forêts au Niger. -
Choix des mares pour une étude approfondie
Le nombre de mares diffère selon les sources à cause la divergence des critères pris en compte. Géoconseil citant le plan de développement économique et social de la région de Dosso annonce 91 mares alors que le rapport de Kader dresse une liste de quarante sept (47) mares. Tout laisse à croire que dans le premier cas il sʼagit dʼun inventaire des mares et dans le second de celui des terroirs disposant de mares.
Lʼun dans lʼautre, lʼimportance quantitative des mares et la diversité de celles-ci sur le plan physique et humain commandent un échantillonnage pour une étude beaucoup plus détaillée visant à faire ressortir de façon représentative les facteurs de mise en valeur pour mieux orienter les interventions. -
La place des femmes au sein des comités villageois de gestion et autour de l'exploitation des mares dans l’Arrondissement de Gaya
Au Niger, comme dans la plupart des pays où l'économie paysanne est dominante, les femmes occupent une place primordiale au sein des structures familiales et villageoises.
Elles représentent en quelque sorte le noyau dur autours duquel s'articule l'ensemble des systèmes économiques et sociaux de production et de reproduction de chaque communauté.
Une analyse portant sur l'organisation en comité des différents acteurs économiques d'un espace donné doit nécessairement prendre en compte le rôle que jouent les femmes dans cette économie. Elle doit identifier leur mode d'accès aux ressources vitales et l'importance qui leur est consacrée dans les instances de décisions et de régulations des conflits liés à l'usage même de ces ressources.
Nous éviterons ici d'aborder ce thème dans un discours féministe ou misérabiliste qui tend à considérer les femmes comme unique victime d’une société dominée par le pouvoir des hommes et où la solidarité entre les sexes est inexistante, nombreux sont les exemples qui contredisent ce point de vu. Cependant il faut bien reconnaître que la plupart des structures juridictionnelles, économiques et politiques locales et nationales sont majoritairement gérées par les hommes et que les femmes y occupent une place secondaire. -
Rapport d’étude hydraulique et hydrologique pour la réalisation et la réhabilitation de neuf (14) seuils d’épandage, l’aménagement de deux (02) mares et le sur creusage d’une mare dans la Région de Maradi.
La région de Maradi se trouve au centre Sud du Niger, elle couvre une superficie de 41 796 Km2. La population est de 3 404 645 (RGPH 2012)avec une densité de 81h/Km2.
L’étude hydrologique a pour but, l’estimation des caractéristiques hydrologiques (apports interannuels et débits projet) nécessaires pour définir le schéma d’aménagement et le calage et le dimensionnement des ouvrages.
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A quoi sert une association d’usagers de l’eau (AUE) ? Exemple de l’AUE Hadin Kaï autour de la mare de Falki
La mare de Falki se situe dans le département de Mirriah à 4 km au sud de cette localité. Elle a une surface de plus de 100 ha dans sa plus forte extension. Cette mare est utilisée par les populations riveraines pour l’irrigation d’environ 300 ha de cultures maraîchères en saison sèche, pour l’abreuvement des animaux, la pêche mais aussi des usages domestiques (lessive, fabrication de briques, etc.). Toutes ces activités peuvent avoir des répercussions sur la ressource en eau et nécessitent une gestion concertée, de plus en plus indispensable compte tenu des changements climatiques et de l’augmentation des besoins des différentes familles d’usagers. Pour lancer la concertation de tous les usagers sur la gestion de cette ressource, les programmes du FIDA et la Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder ont lancé une concertation avec les populations des villages autour de la mare de Falki. A la suite de cette concertation, les populations ont choisi de se réunir en association d’usagers de l’eau (AUE). Cette association réunit les différentes familles d’usagers de l’eau qui ont été identifiées dans des réunions préalables : les maraîchers, les pêcheurs, les éleveurs, les usagers domestiques. -
Syntèse d'inventaires et de calcul de bilans hydriques de barrages et mares d'infiltration au Niger
Ce document constitue le rapport provisoire de l'étude.Après avoir donné dans la première partie un aperçu de la situation hydrographique et hydrogéologique -
Schéma d’aménagement de la mare de Tabalak - Région de Tahoua – Rapport final
L’étude du schéma d’aménagement des terres, dans le bassin versant de la mare de Tabalak, a été demandée par l’URGP ProDAF -Tahoua au profit du PDE de la commune de Tabalak, dans le but d’asseoir les bases d’un développement économique durable dont les différents axes sont en harmonie avec les ressources naturelles et humaines de cette localité.
Le diagnostic mené à travers cette étude révèle que le bassin versant de la mare couvre une superficie de 2238 km2 s’étalant essentiellement sur trois (3) communes, notamment, la commune de Tabalak, de Keita et de Kalfou. -
La situation mondiale de l'alimentation et de l'agriculture : Changement climatique, agriculture et sécurité alimentaire
En adoptant les objectifs énoncés dans le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et dans l’Accord de Paris sur le changement climatique, la communauté internationale a pris l’engagement de construire un avenir durable. Cependant, pour éliminer la faim et la pauvreté d’ici à 2030 tout en s’attaquant à la menace que constitue le changement climatique, une transformation profonde des systèmes alimentaires et agricoles sera nécessaire partout dans le monde. -
Les implications du changement climatique pour le développement agricole et la conservation des ressources naturelles en Afrique
En Afrique, l'agriculture est l'un des secteurs les plus vulnérables au changement climatique en raison de sa saisonnalité, le manque de résilience des paysans aux catastrophes, la présence de stresseurs non-climatiques importants qui influencent la sensibilité au changement de conditions climatiques, et la pauvreté endémique. Le présent article examine les répercussions du changement climatique pour la sécurité alimentaire et la gestion des ressources naturelles en Afrique. Il représente des des informations sur l’état actuel des connaissances sur la vulnérabilité, l'impact et l'adaptation de l'agriculture africaine et des ressources naturelles au changement climatique. -
Dossier d'Appel d'Offre National N° 001/2008/TRV/PADL-Diffa pour la réalisation de sept (7) ouvrages de contrôle de mares dans la région de Diffa
Le Gouvernement de la République du Niger a obtenu un pret du Fonds Africain de Développement pour financer le Projet d'Appui au Développement local dans la région de Diffa (PADL-Diffa) et envisage d'utiliser une partie des fonds pour les couvrir les paiements éligible au titre du marché pour la résilience de sept (7) ouvrages de contrôle de mares dans la zone d'intervention PADL-Diffa. -
Evaluation quantitative et qualitative des ressources en eau de la nappe alluviale et analyse des impacts des changements climatiques dans le bassin versant de Dallol Bosso, dans les départements de baleyara et de filingué
La présente étude qui porte sur l’évaluation quantitative et qualitative des ressources en eau de la nappe alluviale et analyse des impacts des changements climatiques dans le bassin versant du Dallol Bosso, dans la partie des départements de Baleyara et de Filingué est menée dans le cadre des activités de la sous composante « prise en compte des impacts des changements climatiques dans les stratégies nationales » du Projet PAC RC. -
Impacts des facteurs climatiques et anthropiques sur les ressources et la qualité des eaux de la mare de Tabalak
Au Niger, les facteurs climatiques et anthropiques influencent les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche et la qualité des eaux de surface. Cette étude a pour objectif d’identifier les impacts des aléas climatiques et de l’action de l’homme sur les ressources et la qualité de l’eau de la mare de Tabalak. A terme, cette étude devrait permettre de poser les jalons pour des actions, afin de réduire les risques liés à l’exploitation des ressources de cette zone humide. Pour réaliser cette étude, des enquêtes, des visites de terrain et des prélèvements d’échantillons d’eau ont été effectuées. Ces derniers ont été analysés au laboratoire. L’analyse des données météorologiques et des perceptions de la population sur la variabilité climatique indiquent une tendance à la baisse des précipitations contre une hausse des températures et de la force des vents. En ce qui concerne la dynamique d’occupation des sols, toutes les unités ont subi des transformations. Selon 80% des personnes enquêtées, cette tendance est causée par des facteurs climatiques et anthropiques. Les impacts de ces aléas sont : une perturbation dans le déroulement des saisons, une baisse de la productivité, une perte des terres par ravinement ; la formation de dunes vives ; l’ensablement et l’assèchement fréquent de la mare, la pression parasitaire et la persistance des épizooties. Les résultats sur la qualité des eaux montrent que les paramètres physico-chimiques étudiés se situent dans les normes requises. -
Niger : Lac de Guidimouni
Le lac de Guidimouni est situé dans la région de Zinder, département de Damagaram-Takaya, plus précisement dans la Commune rurale de Guidimouni. Il parcourt le long de la RN2 dans les environs de 2000 m sur sa rive droite. Le lac de Guidimouni est situé en zone sahélienne et reçoit en moyenne 300 à 400mm de pluie par an, ce qui fait de lui une zone aux contraintes climatiques moyennes. Il couvre une superficie de 338, 39 ha et forme une dépression endoréique allongée (SW-NE) sur près de 3 km de long et large de 700 m. Le plan d’eau est formé par deux grands étangs dont la profondeur moyenne dépasse rarement 1,5 m. Le lac évolue sur une plaine sableuse légèrement ondulée avec des altitudes variantes entre 390 et 395 m. Il est entouré de collines dont la hauteur maximum dépasse 590 m. Ce Lac, qui a une caractéristique morphologique d’une dépression accentuée, est alimenté de façon permanente par l’eau superficielle et de nappe à travers diverses sources dont la plus importante est la source de ʺGouzgourouʺ. Il a un haut potentiel de mise en valeur. -
Typologie des exploitations agricoles productrices du mil et niébé pluvial dans la commune rurale de Karma
Principale activité des ruraux nigériens, l’agriculture fait face à des problèmes récurrents de baisse de rendements conduisant à la paupérisation et à l’insécurité alimentaire des ménages qui l’exercent. Cette étude conduite à Karma vise la caractérisation des systèmes de production du mil et de niébé pluvial en vue de connaître leurs fonctionnements et leurs diverses interactions dans un contexte de changement climatique. Pour cela, une enquête a été conduite sur un échantillon de 90 ménages d’exploitants du mil et niébé pluvial. L’étude a montré que les systèmes de production sont regroupés en trois types selon la méthode d’Analyse en Composantes Principales couplée à la classification de Nuées dynamiques. Il s’agit du système de production agricole pure (Type A), du système agroforesterie (Type B) et du système agropastoral (Type C). Le type (A) occupe une superficie moyenne de 1,5 hectares. Il est scindé en système de cultures sèches simple et système de cultures sèches associé au maraîchage. Le type (B) s’effectue sur 2,18 hectares et le type (C) sur une superficie moyenne de 3,25 hectares. Ainsi, le type (C) est plus performant que le type (B) qui l’est plus que le type (A). -
Plan national d'adaptation aux changements climatiques
Les impacts des changements climatiques sont observés au niveau mondial, régional, national et local et appellent à une action collective. Pour le Niger, pays en développement, et très vulnérable aux effets néfastes des changements climatiques, la mise en œuvre des actions d’adaptation y compris le renforcement de la coopération internationale s’avère nécessaire. Ainsi, le Gouvernement du Niger s’est engagé dans plusieurs initiatives à travers le Conseil National de l’Environnement pour un Développement Durable (CNEDD), organe multisectoriel qui coordonne la mise en œuvre des politiques liées au climat. Depuis 2014, la préparation du Plan National d’Adaptation (PNA) aux changements climatiques a été lancée afin de promouvoir, à moyen et à long termes, l’intégration de l’Adaptation aux Changements Climatiques (ACC) dans les politiques et stratégies de développement du pays afin de réduire la vulnérabilité des secteurs de développement et de renforcer leur résilience. -
Plan de mise en œuvre du cadre national pour les services climatologiques du Niger
Le climat de notre planète change, et ses conséquences auront un impact significatif sur notre environnement et nos modes de vie à moyen et long terme. Il est donc important de changer notre mode de vie notamment à travers une meilleure exploitation de nos atouts pour faire face aux phénomènes météorologiques de plus en plus fluctuants et dangereux. La 3ème Conférence Mondiale sur le Climat qui s’est tenue à Genève en septembre 2009 a lancé le concept de services climatiques en le mettant pour la première fois sur l’agenda des discussions internationales sur le climat. Le terme de services climatiques recouvre de l’information sur le changement climatique et ses effets, la fourniture de données de sorties de modèles climatiques et la conception de produits plus élaborés répondant à une demande sectorielle ou individuelle, etc. Un Cadre mondial a été créé en vue d’organiser efficacement l’acheminement de l’information climatique à tous ceux qui en ont besoin. Il permettra aux producteurs, ainsi qu’aux chercheurs et utilisateurs de collaborer et d’accroître la qualité et le volume de services climatologiques disponibles dans le monde, en particulier dans les pays en développement. Ce document décrit le plan de mise en œuvre de la composante nationale de ce cadre dénommé Cadre National pour les Services Climatologiques (CNSC) du Niger. -
Incidences sécuritaires du changement climatique au Sahel : perspectives politiques
Ce document résume et rassemble les conclusions des analyses effectuées au long du projet. Il dégage les principaux enjeux pour les décideurs politiques, des pistes de travaux futurs, les lacunes et incertitudes des connaissances actuelles. Le climat du Sahel s’est toujours caractérisé par l’extrême variabilité saisonnière et décennale des précipitations. Cette dernière est probablement due à des interactions complexes entre plusieurs processus, aucun processus ne semblant pouvoir seul expliquer la variabilité observée. En dépit d’efforts considérables pour déterminer la cause de la longue et grave période de sécheresse qui a sévi à la fin du XXe siècle, la communauté scientifique n’est pas parvenue à un consensus. Ces incertitudes, ainsi que l’importance de la variabilité, rendent particulièrement difficiles les projections climatiques pour le Sahel et sont à l’origine d’importantes divergences entre les projections des différents modèles climatiques. -
Impacts des variations du niveau du lac Tchad sur les activités socio-économiques des pêcheurs de la partie nigérienne
Vaste étendue d’eau située au cœur du Sahel, aux confins de quatre États limitrophes (Tchad, Cameroun, Nigeria, et Niger), le lac Tchad constitue une aire d’activités socio-économiques cruciale dans la région. Cependant, ces activités sont très sensibles à la grande variabilité de la surface en eau du lac, gouvernée par les fluctuations interannuelles de la pluviométrie sur son bassin, affectant significativement les paysages et les ressources naturelles. Dans cette thèse, l’impact de la transition entre une phase humide (1950-1970) et une phase de relative sécheresse (1973-présent) sur les activités en lien avec la ressource halieutique sont étudiées, en considérant plus particulièrement la cuvette nord (partie nigérienne) du lac Tchad. -
Un territoire de mare au Sahel : Ossolo (Niger occidental)
La mare d'Ossolo est située sur le territoire de la République du Niger, par 14° 04 de latitude nord et 00 0 34 de longitude est. Elle se localise dans l'arrondissement de Tera qui, avec celui de Say, forme l'ouest nigérien ; territoire allonge entre le fleuve Niger a l'est et la frontière voltaïque a l'ouest. Ces deux unités administratives nigériennes, qui relèvent du département de Niamey, constituent l’extrémité orientale de la plaine du Liptako nigero-voltaique. L'arrondissement de Tera presente la forme d'un quadrilatère oriente NO-SE de 200 km de long sur 100 km de large environ. Il est limité au nord par la frontière malienne, a l'ouest par la frontière voltaïque. A 'est, le fleuve Niger le sépare de l'arrondissement de Tillabery et au sud, la rivière Sirba de l'arrondissement de Say.