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Point de situation de la pisciculture intensive ou semi-intensive le long du fleuve Niger / Décembre 2014
La Fédération Nationale des Groupements des pêcheurs du Niger (FNGPN) a été créée le 14 Février 2004 par Arrêté n° 041/MI/DGAPJ/DLP. Son siège social est à Niamey. Elle compte actuellement 1.890 membres répartis dans 63 groupements situés dans 7 Régions du pays. Face à la désertification et à l’ensablement du fleuve, la Fédération a recommandé à ses membres de s’engager dans la pisciculture afin de compenser la diminution des revenus de la pêche et ainsi subvenir aux besoins de la famille. La production de poissons au Niger est estimée entre 40.000 et 50.000 tonnes par an, en fonction des documents, dont la majorité provient du Lac Tchad avec une commercialisation essentiellement sous forme fumée en direction du Nigeria. -
Atelier / Rencontre Indications géographiques et marques, les questions qui se posent
A la demande du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), un atelier d’échanges sur les Indications Géographiques a été organisé par le RECA en marge de la Journée nationale de l’oignon dans les locaux du SNAD le 26 juin 2013. Le thème de cet atelier a porté sur les Indications géographiques et marques, les questions qui se posent ? Le souci du choix de ce thème pour le PPAAO est de permettre aux responsables des organisations professionnelles agricoles de mieux comprendre le contenu des IG, les relations avec les marques et les questions de synergie avec les autres projets ayant des composantes IG comme le PRODEX, au regard d’expériences d’autres pays. -
Restitution des résultats 2017 du Conseil de gestion aux producteurs de poivron de Gourgia et Laouni (Commune de Gazaoua)
La Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi et l’Union Son Kowa de Gourgia ont mis en place un suivi de 60 producteurs de poivron sur les sites de Gourgia et Laouni au cours de la campagne 2016 – 2017. Deux animateurs de l’Union (M. Saadou Leko à Gourgia et M. Hayo Mahamane à Laouni) ont aidé les producteurs à enregistrer les dépenses et les résultats de leurs parcelles de poivron. Ces résultats ont ensuite été analysés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi puis les éléments principaux ont été restitués aux producteurs de deux sites. -
Les principaux ennemis des cultures maraîchères au Sénégal
La production des légumes au Sénégal 1976-1977 est d'environ 100.000 T d'après la Direction Générale de la production Agricole. Celle-ci espère atteindre en 1981-1982 environ 140.000 T -
Rapport annuel 2020 de la FCMN-Niya
LE MARAICHAGE : « une activité sûre pour lutter contre la pauvreté et l’insécurité alimentaire ». La Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-Niya) a vu le jour, en août 1996 en tant qu’organisation paysanne faîtière. Elle regroupe mille trois (1003) coopératives et cent sept (107) unions de coopératives, qui sont reparties dans huit régions et 61 communes du pays. En termes de membership individuel, elle compte quarante-deux mille cinquante-cinq (42 055) chefs d’exploitation dont quatorze mille quatre cent dix (14 410) femmes soit 34,26%. -
Rapport d’étude technique pour le développement du maraîchage dans la commune de Dogondoutchi
Les résultats obtenus de la présente étude sont le fruit de réflexions et d’expertise d’une équipe pluridisciplinaire, composée de cadres des services techniques étatiques et de l’ONG RAIL-Niger, appuyés par les autorités locales et des acteurs locaux (y compris les bénéficiaires) de la Commune de DOGONDOUTCHI.
Les principaux objectifs de cette étude sont de développer la pratique du maraichage dans la commune de DOGONDOUTCHI en augmentant les superficies cultivables et en créant les conditions de disponibilité et d’accessibilité à la ressource eau, et de protéger la ville contre les inondations, par le traitement des différents koris provenant des bassins-versants. -
Projet de Recherche-Action pour l’Amélioration de la Filière de Pomme de Terre au Niger (PRAAF/PT) – Synthèse des résultats
Au Niger la culture de pomme de terre prend de plus en plus de l’ampleur, notamment sur des périmètres où l’eau d’irrigation ne constitue pas une contrainte à la production horticole. En effet, afin d’accompagner les producteurs dans la maitrise de l’itinéraire technique de production, une étude expérimentale axée sur les paramètres ; nombre de tubercules par plant, poids moyen du tubercule, nombre moyen de bourgeons végétatifs par tubercule et du rendement à l’hectare a été conduite. Des résultats obtenus, il ressort que la combinaison de techniques culturales qui assure le meilleur rendement en termes de production pondérale de pomme de terre est la dose d’engrais équivalente à 250-250-250 kg/ha de N-P-K croisée avec la densité de plantation de 20 cm entre plants sur les lignes et 50 cm entre lignes, reflétant un rendement de 62,4 t/ha. C’est aussi la technique recommandable pour les producteurs des semences, en ce sens qu’elle assure un poids moyen du tubercule (62 g) et une grande capacité d’émission de bourgeons végétatifs autours du tubercule (plus de 5 bourgeons végétatifs par tubercule). -
Cours de pêche et pisciculture
Comme la plupart des animaux, les poissons ont un corps qui comprend la tête, le tronc et les membres. Le corps a en général,une forme allongée. La tête, le tronc et la queue se suivent sans séparation, ce qui permet au poisson de glisser facilement dans l'eau. Les membres sont des nageoires. -
Rapport Général de Synthèse Réunion Annuelle des Cadres de l'Environnement
Maradi 19-24 Avril 1993La réunion annuelle (1993) des cadres qu'il a été convenue d'appeler de «"l'Environnement» plutôt que des «Eaux et Forêts» se présente avec des particularités à placer sous le signe de changement qu'il faille opérer dans ce secteur.
C'est sous ce signe que le préfet, par la voix de son Secrétaire Général, après s'être réjoui
du choix de Maradi pour la tenue de la présente réunion des cadres de l'Environnement, a exprimé tout son souhait de voir les travaux déboucher sur des résolutions et des recommandations susceptibles d'assurer aux populations une exploitation et une gestion durable des ressources, voie d'apaisement de graves conflits sociaux qui secouent la région.
Pour le déroulement des travaux, la réunion a opté pour des bureaux tournants
appuyés d'une présidence générale.
Ainsi les travaux se sont déroulés en trois (3) phases:
- la 1ère phase portant sur une définition du contexte institutionnel des services de
l'environnement.
- la 2ème phase, axée sur évaluation et la programmation des activités sous-tendues
par des diagnostics régionaux
- la 3ème phase : le thème central.