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Formation des préposés des Eaux et Forêts - Cours d’apiculture
Depuis toujours les populations africaines ont recueilli le miel en allant le chercher directement dans les nids des abeilles sauvages établis dans les arbres de la forêt en détruisant les colonies. Ainsi, l’apiculteur, au départ était chasseur de miel et de cire et ne s’est intéressé que très peu à l’étude détaillée de abeilles. Les anciens pensaient que le miel venait du ciel. Ce n’est qu’à la fin du xv° siècle que l’on commence à étudier les abeilles. Au début du XVII° siècle, l’invention du microscope change les méthodes et deux italiens publient en 1625 ‘’Apiarium’’ dans lequel on découvre la description microscopique de toutes les espèces d’abeilles connues à cette époque. Le hollandais Schwmmerdam fut le premier à mettre en évidence la présence de la reine, mère de la colonie. L’apiculture est l’art et la Science de l’élevage des abeilles et des soins à donner aux abeilles afin d’obtenir de leur travail dirigé, le miel, la cire, le pollen et la gelée royale ; produits de la ruche. Elle nécessite de l’adresse, de l’habileté, de la patience, des connaissances et de l’expérience. -
L’apiculture
Ce présent guide porte sur l'apiculture et présente une abeille, si peu connue, les produits de la ruche et parle des dangers qui menacent cet insecte essentiel et si symbolique… -
Comment élever des abeilles et produire du miel ?
Ce guide porte sur l’élevage des abeilles et la production du miel -
Le lait, patrimoine des Peuls pasteurs du Niger
Le présent guide porte sur le lait, patrimoine des Peuls pasteurs du Niger; les pratiques alimentaires, représentations et usages non alimentaires chez les Gaawoo'be du Gourma -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre C -
Composition et contaminants du mielLe miel est une denrée alimentaire, et à ce titre, ne doit pas présenter de dangers pour le consommateur. En tant que producteur de denrées alimentaires, l’apiculteur est responsable des produits qu’il commercialise et doit mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour que ce produit soit sain. L’apiculteur est libre des moyens qu’il emploie pour atteindre cet objectif. L’apiculteur a également intérêt à connaître le mieux possible son produit (arômes, origine florale…). -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre E - Élevage des reines
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide de bonnes pratiques apicoles - Chapitre H -
Hygiène en production de miel, de pollen et de gelée royaleLe Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre M - Connaissance, prévention, surveillance et lutte contre les principales maladies et agresseurs des colonies
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre P - Sécurité et prévention des risques
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre R - Conduite des ruchers
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide des bonnes pratiques apicoles - Chapitre S - Santé des colonies
Le Guide des bonnes pratiques apicoles a pour objectif de proposer à chaque apiculteur des bonnes pratiques de gestion de son cheptel visant à préserver la santé de ses colonies et sa propre santé tout en contribuant à assurer la sécurité sanitaire et la traçabilité des produits qu’il génère (produits de la ruche et d’élevage). -
Guide de bonnes pratiques apicoles
Ce guide est destiné à tout apiculteur qui produit du miel extrait ou en rayons et/ou du pollen et/ou de la gelée royale, quel que soit son niveau de production. Ce type d’activité doit être considéré comme relevant de la production primaire hormis le séchage du pollen. Cependant, ce guide ne s’adresse pas à l’apiculteur qui produit uniquement pour sa consommation personnelle. -
Guide du débutant en apiculture au Kenya
L’objectif de l’apiculture est de produire et de vendre autant de miel que possible. L’apiculture est un moyen de diversifier ses sources de revenus et d’utiliser le mieux possible des ressources qui sont à notre portée. Avoir plusieurs sources de revenus est un gage de sécurité.
L’apiculture procure aussi des pollinisateurs qui ont l’immense mérite d’accroître les rendements des cultures. Les abeilles sont respectueuses de l’environnement, les apiculteurs aussi. -
Débuter en apiculture
Ce manuel a été conçu comme support de formation de débutant apicole. Il est le premier d’une série de trois manuels de notre programme de formation "pas à pas". Cette méthode est le fruit de trois écoles d’apiculture dont Abeille - Fleurs et Homme (A-FH, Ngaoundéré, 1999), Apiculteurs du Cameroun (APICAM, Yaoundé, 2001) et Apiculture – Formation - Coopération (AFOCO, La Louvière, 2005) et d’une passion enfin dévoilée pour les abeilles. -
Note sur la visite des parcs d’élevage « Garké » de la ville de Zinder
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) et le Collectif des Associations Pastorales du Niger (CAPAN) de Zinder ont effectué les 25 et 26 juillet 2018, la visite de 5 Garké dans la commune urbaine de Zinder (carte ci-dessous) afin de comprendre leur mode de fonctionnement et d’évaluer leur disponible en lait cru en vue d’une mise en relation avec la laiterie Darido qui va démarrer ses activités. Les Garké, ou parcs, sont des espaces mis à la disposition des associations d’éleveurs des quartiers de Zinder par la mairie pour y abriter les bovins des riverains notamment les vaches laitières. Les animaux sont surveillés, conduits aux pâturages et traits par quelques éleveurs couramment appelés « Makiyayi ». Les Makiyayi sont rémunérés selon des modalités bien définies avec les propriétaires d’animaux du parc. La mairie, quant à elle, ne perçoit aucune taxe au niveau des Garké. -
Approvisionner durablement Niamey en lait local par les petits éleveurs
Le projet fait suite à la mise en place du centre de collecte de lait d’Hamdallaye construit en 2008 par le projet PSEAU. Le projet Nariindu a démarré officiellement en janvier 2012 pour une durée de 3 ans, sur financement du Comité Français pour la Solidarité Internationale (CFSI) et de l’Agence Française de Développement (AFD).
L’objectif général est l’amélioration de l’approvisionnement en lait local des centres urbains en zone sahélienne, au profit des petits éleveurs périurbains.
Cette évaluation a été réalisée en juin/juillet 2015. La conclusion de l’évaluation est la suivante : Le projet Nariindu, de par ses innovations et la pertinence de son modèle, mériterait de voir son action soutenue et poursuivie, car l’ensemble des structures, de la gouvernance et des partenariats est encore faible, malgré des atouts forts et des partenaires convaincus. -
Promouvoir le lait local au Sahel
La filière lait local au Niger est en changement : de plus en plus d’éleveurs commercialisent régulièrement des quantités importantes de lait cru, les industriels semblent s’intéresser davantage au lait cru même si leur matière première reste majoritairement de la poudre importée.
Dans ce contexte, les centres de collecte ou les mini-laiteries peuvent jouer un rôle essentiel dans le développement de la filière lait local. Mais quelles différences entre ces deux types d’unités laitières ? -
« Lait concentré sucré » au petit déjeuner - Essai de lecture des étiquettes
Moment convivial à proximité de son lieu de travail, le petit déjeuner urbain comprend souvent un « verre de lait » accompagné d’un quart de baguette de pain tartiné avec de la margarine (souvent appelé beurre mais la margarine est fabriquée avec des matières grasses végétales). Le lait peut être en poudre ou provenir d’une boite de lait concentré sucré. Mais voyons de plus près la composition de ces « laits ». Notre tablier (vendeur) préféré propose du lait concentré de trois marques différentes. -
Etat des filières laitières dans les 15 pays de la CEDEAO, de la Mauritanie et du Tchad - Annexe 9 : Fiche Niger
Ce rapport Niger constitue l’un des treize documents nationaux servant de base au rapport de synthèse sur les « Etude relative à la formulation d’un programme régional de promotion des chaînes de valeur lait local au sein de la CEDEAO, de la Mauritanie et du Tchad » (Corniaux et al, 2018). Il a été réalisé pour le compte du Hub Rural dans le cadre de l’Offensive Lait portée par la CEDEAO.
Cette étude s’articule autour de deux principales activités : le diagnostic des filières laitières dans la zone CEDEAO, de la Mauritanie et du Tchad et la programmation des actions et des investissements.
Ce présent travail s’intègre dans la première activité. L’objectif est d’actualiser les données et les informations relatives : aux statistiques sur l’élevage et sur les filières laitières (production, importations, consommation) ; aux projets et aux investissements en cours ; aux politiques publiques à l’œuvre. Ce document est élaboré sur la base du rapport de G. Vias (2013). -
Offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local en Afrique de l’Ouest - Document de Stratégie
L’initiative « offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local » participe de l’ensemble des stratégies visant à opérationnaliser, non seulement la politique agricole de la CEDEAO, mais surtout à mettre en œuvre le Plan Régional d’investissement Agricole, de sécurité alimentaire et nutritionnelle. Elle se veut un cadre et un instrument qui fédèrent, coordonnent et accompagnent toutes les initiatives en cours dans l’espace communautaire, en matière de développement des chaines de valeur du lait local.
L’offensive a pour objectif spécifique d’accompagner toutes les initiatives et stratégies de développement des chaines de valeur du lait local, afin de : Augmenter de façon substantielle la production locale du lait frais en améliorant la productivité du cheptel ; Améliorer l’approvisionnement de l’industrie laitière régionale au moyen de la collecte d’au moins 25 % de la production régionale de lait local à l’horizon 2025 ; Promouvoir un environnement incitatif au développement des chaines de valeur du lait local. -
La place de la production laitière en zone sahélienne du Niger
Le Sahel est la zone semi-aride de l'Afrique tropicale bordant le Sahara vers le sud dont elle subit l'influence climatique. Cette zone s'étend sur une largeur de 200 à 300 km de l'Atlantique à l'Océan Indien, et va des isohyètes de 150 à 200 mm au nord et 600 à 700 mm au sud en années normales. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (3)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise de laiterie pastorale » et se déclinent comme suit : Production du lait - Transformation du lait (en fromage) - Commercialisation du lait et de ses sous-produits -
L'apiculture en Afrique tropicale
Des expériences menées par l’Association Française des Volontaires du Progrès (AFVP) ont montré qu’il était tout à fait possible d’envisager le développement de l’apiculture en Afrique Tropicale, en améliorant en premier lieu les pratiques traditionnelles avec des moyens simples, peu coûteux, que l’apiculteur assimile rapidement car ils sont concrets et efficaces. Dans cet ouvrage sont abordés le marché international du miel et de la cire, l’abeille africaine, les pratiques traditionnelles en Afrique, des exemples concrets de tentative de développement de l’apiculture en Afrique et les leçons de l’expérience. -
Guide du métier de collecteur laitier : démarrer et développer une activité de collecte de lait
Ce guide du collecteur laitier donne quelques clefs pour la construction de réseaux de collecte efficaces et sur l’accompagnement des collecteurs dans cette activité. Il est nécessaire que ces derniers soient formés, que l’activité soit bien gérée sur le plan financier pour assurer sa durabilité et que la collecte soit bien organisée. D’autre part, un climat de confiance et de bonne entente entre les parties est primordial pour assurer la continuité de l’activité. Les producteurs laitiers et les unités laitières doivent également jouer leur rôle. Les exploitations familiales doivent être formées à l’élevage laitier et aux bonnes pratiques de traite tandis que les unités laitières doivent assurer la transformation et la commercialisation du lait local et tenter d’améliorer l’image des produits locaux auprès des consommateurs. -
Analyse de l'apiculture au Niger
Au Niger, l’apiculture est pratiquée d’une manière artisanale dans toutes les zones sahéliennes et sahélo-soudaniennes du Pays . La production est orientée essentiellement vers le miel, dont la quantité ne couvre pas la demande intérieure, alors que la cire n’est pas convenablement exploitée. L’apiculture est une activité rentable et constitue une bonne opportunité de diversification de revenus dans les zones rurales, avec des potentialités d’augmentation certaine de la production. Pour le moment, elle est limitée par les techniques utilisées, l’insuffisance de formation professionnelle des apiculteurs et la présence de parasites des abeilles (Apis mellifera), parmi lesquels le petit coléoptère de la ruche Aethina tumida. Des possibilités de développement de l’activité et d’augmentation de la production sont possibles avec une large diffusion des techniques d’apiculture modernes. -
Guide des bonnes pratiques pour une apiculture biologique
L’apiculture est une activité importante pour le développement de l'agriculture par la pollinisation que réalisent les abeilles, par ses diverses productions, des emplois qu'elle génère et des revenus substantiels qu'elle procure. Cependant, l’abeille souffre aujourd'hui de l’usage massif des insecticides directement et indirectement des autres pesticides (herbicides et fongicides) qui affectent la qualité du miel et par conséquent, la santé du consommateur. L’apiculteur, est aujourd’hui responsable des produits qu’il commercialise, il doit tout
mettre en œuvre pour assurer la qualité du miel, depuis la ruche jusqu’au pot. Si malgré tout un problème survenait, il doit pouvoir en trouver l’origine. -
Étude des potentialités mellifères et contribution de l’apiculture à l’économie des ménages dans la commune de Madarounfa au Niger
Conduite dans la commune de Madarounfa, cette étude vise à analyser les potentialités mellifères et la contribution de l’apiculture à l’économie des ménages ruraux. L’étude a concerné six villages à savoir Saulawa, Tsola, Kabobi, Bargaja, Dan Toudou et Garass. Au total 39 apiculteurs ont été identifiés et enquêtés. Outre les entretiens, des visites et observations ont été menées sur les sites de production pour apprécier l’itinéraire technique de production ainsi que la quantité et la qualité du miel obtenues. Bien que la production du miel soit artisanale, cette activité constitue une source de revenus non négligeable. Les résultats de l'étude ont révélé que les apiculteurs de la commune de Madarounfa ont une longue expérience dans le domaine et cela grâce aux potentialités mellifères dont regorge cette zone écologique. En effet, 28 espèces mellifères ont été recensées. Les espèces comme Vitellaria paradoxa et Faidherbia albida sont les plus visitées par les abeilles. -
Faire rayonner les efforts de la filière lait au Niger : Actualités et découvertes
Il y a de cela 5 ans, le lait local n’avait sa place dans les rayons des boutiques et super marché, du moins pas comme aujourd’hui. Mais avec les efforts des uns et des autres, aujourd’hui les produits laitiers locaux ont fière allure partout à Niamey et n’ont rien à envier aux autres produits importés si ce n’est le manque de marketing. Preuve que la demande est réelle surtout avec l’émergence d’une classe moyenne qui prend conscience de la qualité et du caractère naturel que revêt le lait local. L’Etat du Niger a vite compris l’enjeu et les autorités actuelles font de la filière lait, un levier de développement économique, pourvoyeur d’emploi. C’est dans le même ordre d’idées que le Niger dont 87% de la population vit de l’élevage, participe activement à l’opérationnalisation de l’offensive lait de la CEDEAO. Le beau jour viendra où les 20 milliards de Fcfa que perd le Niger chaque année dans la consommation du lait importé rentreront dans les caisses nationales et financeront les programmes structurants pour le bien-être collectif. -
Manuel visuel des bonnes pratiques apicoles à l’usage des petits apiculteurs d’Afrique
La présente publication est un manuel visuel et pratique sur l’apiculture durable destiné aux petits apiculteurs des régions rurales d’Afrique. Elle a été conçue pour servir de guide de formation sur l’apiculture et a vocation à devenir un document de référence sur les bonnes pratiques apicoles élémentaires à l’usage des petits apiculteurs. Son objectif consiste à transmettre aux producteurs de miel les connaissances nécessaires pour élever des abeilles, mais également produire et récolter du miel de façon durable. Ce manuel ne prétend pas être exhaustif; il est volontairement concis afin de livrer aux petits apiculteurs d’Afrique les informations les plus fondamentales et les plus utiles sur l’apiculture. Il ne donne donc pas d’informations détaillées sur les activités postérieures à la récolte, qui doivent idéalement être réalisées dans un bâtiment spécifique (miellerie). -
Niger : structuration d’un réseau de collecte de lait local autour de la capitale
L’industrie laitière de Niamey est aujourd’hui fortement dépendante des importations de poudre de lait. Le lait produit localement a longtemps été ignoré par l’industrie locale : qualité sanitaire trop inégale, atomisation de la production, coûts de collecte élevés. Les consommateurs nigériens ne se satisfont pas de cette situation, car le lait commercialisé est jugé de moindre qualité gustative et nutritive, en comparaison avec du lait local. Le projet Nariindu appuie le développement d’une filière locale en structurant un réseau de collecte autour de Niamey, pour répondre à la demande de la capitale Niamey en lait local de qualité. -
Rapport de la mission exploratoire de collecte d’informations pour le développement de la chaîne de valeur lait dans les régions de Dosso, Maradi et Tahoua Sud
L’offre de production laitière est assurée par un cheptel composé de bovins, ovins, caprins et camelins ; sur la base de la projection des effectifs 2009, les trois régions totalisent 4 133 853 bovins, 4772 654 Ovins, 5 755 133 Caprins et 801 901 Camelins, soit respectivement 45, 45, 44 et 48% des effectifs totaux du pays. L’importance de ce cheptel place les trois régions au centre de la question de production laitière au Niger, et ce pour toutes les espèces confondues. L’offre potentielle globale serait de 200 millions de tonnes par an. Malgré ce potentiel la production laitière du bétail dans les systèmes d’élevage pastoraux reste faible et se situe respectivement pour les vaches et les chamelles autour de 2 à 3 litres et 3 à 6 litres. -
La journée mondiale du lait
La journée consacrée au lait fait partie des nombreuses journées initiées par l’ONU, en l'occurrence ici par la FAO. Son but est de favoriser une prise de conscience des bienfaits de cet "or blanc" qu'est le lait. L'objectivité nous oblige tout de même à reconnaître que cette journée est très peu médiatisée, sauf par les organisations professionnelles laitières. Depuis sa création en septembre 2000, cette journée a pris tellement d’ampleur qu’elle est devenue un événement annuel dans plus de 40 pays à travers le monde... -
Note d’orientation de l’étude de faisabilité de l’offensive régionale pour la promotion du lait local en Afrique de l’Ouest
Le lait occupe une place importante dans l’économie agricole et alimentaire de l’Afrique de l’Ouest. Son importance est étroitement liée à celle du cheptel domestique. Le cheptel ouest africain constitue l’un des plus importants de l’Afrique, bien qu’on ne connaisse pas exactement son effectif. L’Afrique de l’Ouest est créditée de quelques 60,5 millions de têtes de bovins, 160 millions de petits ruminants : ovins et caprins (CSAO, 2012). Son taux de croissance (2,7%) est voisin de celui du croît naturel (2,2%) de la population (CSAO, 2012). -
Nariindu 2-Promouvoir le lait local au Sahel
Le lait cru du Niger n’est que très faiblement commercialisé alors que la demande urbaine est forte et en constante augmentation. Environ 85 % des produits laitiers des laiteries de Niamey sont issus de la poudre de lait importée. Pourtant ceci n’est pas une fatalité. Depuis 2008 la filière lait local se structure progressivement, notamment grâce à la mise en place de « centres de collecte » portés par des organisations d’éleveurs et établissant des partenariats gagnants-gagnants avec les industries à l’aval de la filière, en particulier avec Solani. -
Nariindu 2 – Promouvoir le lait local au Sahel
Le lait cru du Niger n’est que très faiblement commercialisé alors que la demande urbaine est forte et en constante augmentation. Pourtant ceci n’est pas une fatalité. Depuis 2008 la filière lait local se structure progressivement, notamment grâce à la mise en place de « centres de collecte », l’installation de collecteurs privés, la contractualisation avec les industries laitières. En se coordonnant bien, tout le monde y gagne ! -
Note d’orientation de l’étude de faisabilité de l’offensive régionale pour la promotion du lait local en Afrique de l’Ouest
Depuis 2008, en réponse à la crise alimentaire, née de la flambée des prix des produits de base, l’ECOWAP a connu une accélération dans sa mise en œuvre, en s’appuyant non seulement sur deux catégories de programme ( les Programmes nationaux d’investissement agricoles à l’échelle des pays et le Plan Régional d’investissement agricole à l’échelle de la Communauté ), mais aussi sur un dispositif institutionnel qui permet de distinguer les institutions de pilotage, de celles de concertation et d’exécution technique. L’opérationnalisation de l’ECOWAP a reposé également sur un certain nombre de programmes et initiatives majeurs : réserve régionale de sécurité alimentaire, programmes de renforcement des capacités des acteurs, offensive régionale pour la relance durable de la production du riz. -
Mise en place d'un projet de développement de la filière lait pour l'approvisionnement en lait cru des unités laitières de Niamey
Cette étude est particulièrement pertinente au regard du contexte actuel. En effet, la hausse récente et inédite des prix internationaux des produits laitiers menace les approvisionnements de la population nigérienne, et en premier lieu les populations urbaines, alors que la filière lait du Niger bénéficie d’avantages comparatifs incontestables, n’eut été les difficultés de collecte au niveau des éleveurs et de transport jus- qu’aux laiteries industrielles et semi-industrielles de Niamey. -
Projet intégré de production laitière et culture fourragère
Le projet a pour objectif général de contribuer à lutter contre le chomage, la pauvreté et l'insécurité alimentaire à travers la reproduction bovine pour la production de lait par une augmentation de l'offre en lait local et en viande de boucherie afin de répondre à la demande de la clientèle des villages et villes. -
Données éthno nutritionnelles et caractérisation (physico-chimiques et polliniques) des miels vendus sur les marchés de marchés de Niamey
Le miel est une substance naturelle très riche en sucres simples directement assimilables par l’organisme et aussi bénéfique pour la santé. L’objectif de cette étude vise à connaitre les perceptions de consommation du miel et la qualité des miels vendus sur les marchés. Une enquête de perception a été menée sur une population de 100 individus à Niamey ainsi que les analyses physico-chimiques et polliniques de 8 échantillons des miels collectés directement chez les apiculteurs de la zone de Parc W par le projet Africa 70 ainsi que 4 échantillons de miels locaux et 4 échantillons de miels importés vendus sur les marchés de Niamey. Les résultats ont montré que la majorité des personnes enquêtées sont des hommes (70%) et sont en grande partie (85%) représentés par des sujets âgés de 16 à 40 ans. 45% des personnes d’enquêtés utilisent le miel comme médicament, 29% comme aliment, 26% comme aliment et médicament, 19% avec les écrits coraniques, 10% dans les cosmétiques et 4% comme pate dentifrices. En moyenne, les personnes enquêtées consomment 0,75 litre par mois. -
L'apiculture en Afrique : les pays du nord, de l'est, du nord-est et de l'ouest du continent
C'est une présentation de l'apiculture des pays de quelques régions d'Afrique: Afrique du Nord (Algérie, Égypte, Libye, Maroc, Tunisie), de l'Est (Kenya, Tanzanie, Ouganda), du Nord-Est (Djibouti, Éthiopie, Somalie, Soudan) et de l'Ouest (Bénin, Burkina, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Côte-d'Ivoire, Liberia, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone, Togo). La revue concernant ces 26 pays porte sur les races d'abeilles mellifères, y compris les races africaines, les plantes mellifères, la production de miel et d'autres produits de la ruche, les prédateurs et les maladies des abeilles mellifères, la chasse au miel, l'apiculture traditionnelle avec des ruches traditionnelles, l'apiculture moderne qui emploie des ruches modernes. On présente également des données sur l'histoire de l'apiculture, les activités de recherche et les pionniers de la recherche apicole dans ces pays, à l'exception toutefois du Mali, du Niger et de Sierra Leone. Les recherches les plus nombreuses ont été conduites en Égypte, en Tanzanie, en Éthiopie, au Nigeria et au Sénégal. Les projets, les associations professionnelles, les stages de formation, les publications spécialisées, les séminaires, ateliers et conférences organisés dans ces pays sont également cités. L'apiculture de ces pays africains réclame pour son développement plus d'organisation, de coopération, de modernisation, de formation, d'extension et de recherches. -
Tableaux de conservation des denrées alimentaires
Un aliment, qu'il soit d'origine végétale ou animale, nécessite des techniques de conservation qu'il est important de savoir. -
Étude sur la végétation mellifère de la zone d’intervention du Projet « Lait et miel – AICS - AID 011451 » : liste des espèces végétales
Cette étude dresse une liste des espèces végétales recensée de la zone d'intervention du Projet ACRA dans le cadre du Projet Lait et Miel. -
Étude sur la végétation mellifère de la zone d'intervention du Projet « Lait et miel – AICS - AID 011451 »
Pays enclavé, la population du Niger est estimée à 22 807 272 habitants en 2019 avec un taux d’accroissement annuel évalué à 3,9% (INS, 2018). Ce pays couvreune superficie d’environ 1.267.000 km², dont les ¾ sont désertiques.Au Niger, l’économie est dominée essentiellement par les activités du secteur agricole qui assure l’emploi à 87 % de la population active du pays. Ce secteur contribue pour 35 % à la richesse nationale mais connaît depuis 1970, une situation de crise marquée par un profond déséquilibre entre l’accroissement des besoins et le capital productif. Pourtant, le Niger tire l’essentiel de ses moyens de subsistance de l’exploitation des ressources naturelles. -
Situation typique de production de miel
Manuel de formation sur la production du miel. -
Apiculture biologique
Selon la Fédération internationale des mouvements d’agriculture biologique (IFOAM), l’agriculture biologique est un système de production qui préserve la santé des sols, des écosystèmes et des personnes. Elle s’appuie sur des processus écologiques, la biodiversité et des cycles adaptés aux conditions locales, plutôt que sur l’utilisation d’intrants aux effets néfastes. L’agriculture biologique combine la tradition, l’innovation et la science au profit de l’environnement commun et favorise des relations équitables et une bonne qualité de vie pour toutes les personnes concernées -
Hygiène du lait - producteurs laitiers / guide de bonnes et mauvaises pratiques
Cette note vise à présenter, à travers des images, les mauvaises pratiques à éviter (en rouge), ainsi que les bonnes pratiques d'hygiène à adopter (en bleu) dans le processus de production laitière.