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Commod Africa
Cours des matières premières agricoles en Afrique de l'Ouest
Ressources sur les différentes filières -
Rapport provisoire :Etude de marchés et de débouchés pour les produits dont les filières seront appuyées dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet P2RS
Le Niger a obtenu du Fond Africain de Développement (FAD) , le financement du projet1 du programme de renforcement de la résilience à l'insécurité alimentaires et Nutritionnelle au sahel (P2RS) -
Enquête d'évaluation de l'impact du renforcement des capacités des associations des producteurs sur la compétitivité des filières
Le Niger est un pays sahélien marqué par de fortes instabilités sur le plan climatique et par une très haute vulnérabilité du point de vue économique et alimentaire. Avec une superficie de 1 267 000 Km², il est l’un des pays les plus vastes de l’Afrique de l’ouest. Mais seulement 12% de cette superficie sont favorables à une agriculture de subsistance qui occupe pourtant 85% de sa population. -
Étude sur le financement des filières agricoles dans les pays membres de l'UEMOA
Au cours des dix dernières années les résultats économiques du Niger ont été peu satisfaisants malgré l'adoption de plusieurs programmes d'ajustement structurels. En terme réel le PIB a diminué de 0,5% par an depuis 1990. De1960 à 1973, le secteur rural a fourni l'essentiel des besoins financiers de l’État, la priorité étant accordée aux produits d'exportation : L'arachide, le coton et le bétail. -
Processus d'ingénierie civil dans le cadre de la réhabilitation des marches de demi-gros et centres de collecte
Pour arriver à la construction et à l’opérationnalisation de ces marchés et centre de collecte, le projet a fait valoir sa stratégie qui repose sur une démarche de concertation entre une ingénierie sociale composée des acteurs des marchés "Hadin Gwiwa", et une ingénierie civile pilotée par la cellule infrastructure du projet. Après un processus, d’animation et de dialogue avec les cadres locaux de concertation qui mènent l’ingénierie sociale, un choix a été opéré pour démarrer l'ingénierie civile pour les marchés de demi gros autour des Pôles de Développement Economique (PDE) de Tessaoua, Sabon Machi et Djirataoua. -
Étude régionale sur les contextes de la commercialisation du bétail / accès au marché et défis d'amélioration des conditions de vie des communautés pastorales
Dans le cadre de ses orientations actuelles, la SNV met en œuvre une approche d’appui conseil et de développement et partage de connaissances, afin de contribuer par là à la réduction de la
pauvreté. La région SNV Afrique de l’Ouest et Centrale (SNV-AOC)1 a choisi, entre autres, le secteur « Elevage/Pastoralisme » comme un de ses secteurs privilégié de réflexion et d’action. Chacun des pays concernés (le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Mali et le Niger) met en oeuvre des activités qui participent à la concrétisation d’une stratégie régionale « Elevage/ Pastoralisme », adoptée en Mars 2008, qui focalise particulièrement deux filières : (i) la filière « bétail sur pied » et la filière « lait ». -
Etude de référence sur la filière niébé dans la région de Zinder (SNV Zinder)
Le niébé, Vigna unguiculata (L.) Walp., est une plante morphologiquement proche du haricot, et appartient comme celui-ci à la famille des légumineuses. C’est une plante annuelle à port variable buissonnant, érigé, prostré, rampant, voire volubile et à croissance déterminée ou indéterminée. Sa hauteur atteint 30 à 60 cm avec une tige pouvant être à section circulaire, grêles, parfois légèrement cannelées, glabre. Les feuilles sont trifoliolées et les inflorescences en grappes axillaires, souvent une seule paire donne des gousses. Les fleurs peuvent être de couleur blanche, jaunâtre, bleu pâle, rose, violet. Les gousses du niébé sont dressées par paire, formant un V, non déhiscentes de dimension allant de 8,5-30 cm x 0,5-1,2 cm selon les variétés. Les graines de tégument blanc, blanc-rosé, brun, rosé sont au nombre de 8 à 20 par gousse (Maisonneuve et Larose, 1989). -
Évolution du marché de l’oignon en Côte d’Ivoire à partir des informations contenues dans les « Bulletin sur le Marché de l'Oignon de l’OCPV».
Cette note présente la situation chronologique des approvisionnements en oignons sur le marché de la Côte d’Ivoire à partir de la lecture des informations contenues dans les « Bulletin sur le Marché de l'Oignon en Côte d'Ivoire ». -
Guide d'information sur le commerce des engrais en Afrique de l'Ouest
Ce guide contient les dernières statistiques nationales sur la production, le commerce et l’utilisation des engrais, des cartes et des profils actualisés des installations de production et de mélange d’engrais, ainsi que les procédures et les coûts logistiques qui contribuent à la formation du prix des engrais du port à la ferme. Pour encourager l’utilisation judicieuse d’engrais de qualité, de nouveaux laboratoires accrédités s’appuient sur les réglementations régionales des engrais et les normes d’étiquetage et d’emballage applicables en Afrique de l’ouest, tandis que la diffusion de paquets d’intrants agricoles adaptés aux différentes zones agroécologiques favorise leur utilisation optimale par les producteurs ouest-africains. -
Étude sur la compétitivité de l'économie nigérienne : le secteur agro-pastoral
Le secteur agropastoral, composante principale de l'économie nigérienne, représente environ 42% du PIB et emploie presque 80 % de la population active. En dépit d’énormes efforts fournis en matière de politiques de développement agricole, ce secteur peine encore à trouver un équilibre qui lui permette d’être compétitif sur les marchés national et international. Pour cause, l’Agriculture nigérienne se heurte à des graves insuffisances qui l'empêchent d'atteindre un niveau comparable à celui des plusieurs pays de la sous-région. Or, le développement de la capacité productive du secteur agropastoral constitue un élément fondamental dans la promotion de la croissance économique. Ainsi, dans ce contexte de création d’un marché commun, il s’avère impératif d’identifier les causes profondes qui sous-tendent les difficultés du secteur à fournir des produits compétitifs sur les marchés national et international. La présente étude a permis d’analyser la compétitivité du secteur agropastoral nigérien. Elle a pour objectif d’apprécier l’avantage comparatif et la compétitivité des produits agropastoraux nigériens pour fournir aux décideurs politiques des éléments d’aide à la décision surtout dans ce contexte de Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf). Les produits qui ont été ciblés par l’étude sont : le niébé, l’arachide, le sésame, le souchet, la pomme de terre, le manioc, le moringa, l’oignon et la filière bétail/cuir/peaux. La démarche méthodologique consiste à faire une analyse des indicateurs macroéconomiques et une analyse filière (ou microéconomique). La présente étude a permis d’analyser la compétitivité du secteur agropastoral nigérien. -
Le moringa, une demande forte, une offre insuffisante
Le moringa c’est el maka en haoussa et windi boundou en djerma. En ce mois de septembre, il faut voir les véhicules chargés de sacs de feuilles de moringa pris d’assaut par les détaillantes sur les marchés de Niamey. Pourtant c’est la saison des pluies, la pleine saison de production. Il faut dire que les habitants de Niamey sont de très gros consommateurs de cette feuille riche en vitamines, fer et autres éléments minéraux, et aussi en protéines. Ils ont raison, car 100 grammes de feuilles fraîches de Moringa apportent autant de protéines qu’un œuf, autant de calcium qu’un grand verre de lait et autant de fer qu’un morceau de viande. Et 100 grammes de feuilles de moringa ce n’est pas beaucoup. Fin août 2010 un tas de feuille fraiche de moringa se vend à 400 F.CFA au petit marché de Niamey, un tas qui pèse… 2,5 kg environ. Cela en fait des œufs et des verres de lait ! -
Étude de marché et de débouchés pour les produits dont les filières seront appuyées dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet P2RS
Le présent document présente les activités agro-pastorales des communes d'Aderbissinat et Mainé Soroa. -
Étude de faisabilité du projet d'aménagement et de mise en valeur des périmètres irrigués dans la vallée de l'Irhazer et la plaine du Tamesna : étude de marché des filières de commercialisation des produits animaux dans la région (version définitive)
Le Niger a adopté en novembre 2003 une Stratégie de Développement Rural (SDR) qui constitue le cadre de référence national en matière de développement rural et d'environnement. La SDR compte quatorze (14) programmes, dont dix (10) programmes structurants et quatre (4) programmes prioritaires. -
Étude sur la commercialisation du niébé
La présente étude a pour objectif de faire un diagnostic approfondi du fonctionnement des circuits de commercialisation, d'en analyser les contraintes majeures et les opportunités offertes, de proposer un programme d'actions qui aboutira à la rationalisation de la commercialisation du Niébé. -
Note de conjoncture sur les politiques de production et d'échanges dans les pays du CILSS
La suite du présent rapport comprend trois chapitres et une conclusion. Les trois chapitres traitent respectivement de l'évolution des politiques et des échanges dans chaque sous espace (Centre, Est et Ouest). Ils font l'analyse des politiques et des échanges pour les filières retenues dans chaque pays, ainsi que la synthèse de la situation du sous-espace considéré. -
Les systèmes agroalimentaires en Afrique
Les infrastructures « de marché », c’est-à-dire les infrastructures d’approvisionnement et de distribution alimentaires, sont un important levier d’amélioration de la durabilité des systèmes alimentaires. Sont définies ainsi les infrastructures, tant physiques qu’institutionnelles, qui permettent de faire le lien entre les producteurs et les consommateurs, entre offre et demande (schéma 1.1). Concrètement, il s’agit de tout type d’infrastructure physique ou institutionnelle nécessaire pour se faire rencontrer physiquement et contractuellement offre et demande : marchés urbains et ruraux, infrastructures de stockage et de regroupement, détaillants et marchés de gros, supermarchés et infrastructures de transport ; mais aussi normes de qualité et systèmes d’information sur les prix, technologies de l’information et de la communication (TIC), modes de contractualisation et organisation de la concurrence, régulation nationale et internationale. -
Étude sur L’état des lieux et documentation sur les importations et dons de riz, utilisation des fonds des recettes pour la promotion de la filière riz et l'application du quota du riz local sur les importations
L’étude comporte une analyse de l’environnement institutionnel et ses implications sur la filière riz en général et sur la commercialisation de la production locale en particulier. Elle comporte également une appréciation du cadre d’application des mesures non tarifaires d’appui à la filière riz, du cadre d’affectation des ressources générées par la monétisation des dons en riz. Enfin, elle propose des actions en vue de la promotion du riz local. -
Note d'Information
Le ProDAF. dans son approche (Pôle de Développement Economique/ POE », vise à créer une dynamique économique autour des infrastructures de marchés opérationnelles en favorisant l'accès des produits agricoles à un prix abordable pour le consommateur/acheteur et rémunérateur pour le producteur. En effet, ces marchés sont au cœur des PDE et facilitent te développement local des différentes entités y afférents. C'est pourquoi, il est prévu notamment la construction de Centres de Collecte Satellite (CCS) et Plateformes de Commercialisation (PFC) des produits agricole" et de mettre de place des dispositifs de gestion en vue de créer un cadre adéquat pour les échanges commerciaux. A la date du 31 mai 2020. les 3 PFC (Bandé, Doungou et Guidimouni) et 2 CCS (Babban Ruwa, Zarmou) sont opérationnelles avec des structures de gestion (cadre de concertation / Hadil! Gwiwa) mises en place et formées depuis le démarrage du processus de construction de ces infrastructures (ingénierie sociale). Le CCS de Gassafa dont la réception provisoire est prévue en juin sera bientôt opérationnel. De ce fait. il est indispensable de poursuivre l'accompagnement des acteurs des marchés pour qu'ils prennent conscience de leur rôle central afin qu'ils puissent mieux développer leurs capacités en matière notamment d'initiatives et d'autonomie ainsi que de promotion des organisations des paysans; Ce qui leur permettra ainsi d'être plus actifs dans le fonctionnement du
cadre de gestion des marchés et favorisera l'atteinte du principal objectif escompté. A cet effet, l'ingénierie sociale apparait alors. comme préalable à toutes les interventions, notamment la pérennisation des infrastructures qui concourent à la création des conditions d'une meilleure commercialisation des produits agricoles.
La présente note d'information a pour objectif de contribuer à l'analyse de l'opérationnalisation des marchés construits avec leurs dispositifs innovants de gestion afin dc tirer les leçons et adapter au besoin le montage pour les prochaines infrastructures à mettre en place par le ProDAF. -
Fiche 3 : Composition et structuration des OIP
Le schéma organisationnel des acteurs impliqués dans les filières agricoles présente plusieurs types d’organisations. Si pour les organisations professionnelles que constituent les groupements, associations paysannes, coopératives, organisations de producteurs (OP) etc., le problème semble ne pas se poser en ce qui concerne la compréhension de leur composition parce qu’elles regroupent des acteurs d’une même fonction (regroupement horizontal) ; ce n’est pas le cas pour les organisations interprofessionnelles (OIP) dont le type de regroupement des acteurs est vertical. Qui peut être membre d’une OIP ? Comment sont identifiés les acteurs pouvant constituer une OIP ? De façon globale, cette fiche « Composition et structuration des OIP » vise à clarifier la question de la composition et de la structuration des OIP. Spécifiquement, elle mettra l’accent sur les catégories d’acteurs rencontrées dans les OIP, la structuration des OIP ainsi que les rôles et responsabilités des organes et des membres. -
Fiche 4 : Accords au sein des OIP
Une des principales missions « revendiquées » par les acteurs au sein des OIP et généralement affichées au niveau des cadres réglementaires nationaux sur les OIP en Afrique de l’Ouest est la promotion et la gestion d’accords entre les différentes familles professionnelles. En effet, les OIP constitueraient un des « cadres privilégiés » pour le développement de l’agriculture contractuelle. Pour certains acteurs des OIP, les accords interprofessionnels constitueraient la raison d’être des OIP1. Toutefois, la plupart des OIP rencontrées dans la sous-région semblent avoir du mal à établir des accords interprofessionnels entre les familles d’acteurs, ou dans d’autres cas, à en assurer la mise en œuvre effective. Il existe toutefois des exceptions dans quelques filières, mais les exemples d’aboutissement de ces accords commerciaux sont trop peu nombreux au regard de leur importance. Cette fiche sur les « Accords au sein des OIP » abordera la question autour de plusieurs points : la définition et l’intérêt de l’établissement d’accords interprofessionnels, le rôle des OIP dans l’élaboration et le suivi de ces accords, les conditions d’amélioration de l’exercice de cette mission par l’OIP. -
Étude sur les filières et les systèmes de production de la Komadougou
Le cadre de cette mission se situe en début d’exécution du Projet d’Appui aux Producteurs de la Komadougou (PAPAK), défini comme sous projet du Projet d’Appui Danois au développement Rural dans les régions de Zinder et de Diffa (ADDR, phase II, 2003-2007), financé par la Coopération Danoise. La présente étude est essentiellement à finalité d’appui méthodologique à l’équipe du PAPAK, en conformité aux termes de référence : L’objectif principal du volet de l’étude relatif aux filières de commercialisation et d’approvisionnement est recentré sur l’appui méthodologique que la mission apportera à l’équipe projet. Il a été reformulé dans les termes suivant : Avoir créé toutes les conditions (démarche et outils) de la maîtrise par l’équipe du projet, sur la base d’une pratique de l’analyse économique et organisationnelle concertée avec les acteurs, appliquée à un nombre limité de filières. L’objectif du volet de l’étude des systèmes de production a été reformulé dans les termes suivants : Avoir défini avec l’équipe du projet une approche méthodologique centrée sur l’analyse et le conseil en gestion des exploitations. -
Les marchés ruraux du bois de feu au Niger et l'autogestion locale des ressources naturelles : la problématique et les leçons actuelles de l'expérience
Ce document présente une synthèse provisoire au début de 1994 des travaux réalisés par le Projet Energie II - Composante Energie Domestique, Volet Offre (PE II / ED - VO) dans le cadre de la mise en application de la Stratégie énergie domestique, c'est à dire de la réforme sur la réglementation relative à la commercialisation et au transport du bois dans les grandes agglomérations et de la création des marchés ruraux du bois-énergie autour des quatre principales villes du Niger.