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Économie de la dégradation des terres à Tahoua, Niger : Analyse coût-bénéfice des activités de récupération des terres (banquettes, demi-lunes et cordons pierreux) des quatre sites de la commune rurale de Badaguichiri
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Évaluation économique des pratiques de gestion durable des terres à Maradi, Niger - Régénération naturelle assistée, demi-lunes agricoles et tassa/zaï
Le présent rapport est développé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
L’agriculture intelligente face au climat, une solution gagnante pour relever le défi de l’insécurité alimentaire et la lutte contre la désertification au Sahel et en Afrique de l’Ouest !
Note aux décideurs
La menace climatique se précise et risque de perturber l’agriculture ouest africaine. En effet, à l’horizon 2050, sans mesures d’adaptation, les rendements des céréales baisseront de 10 à 50 % en Afrique soudano sahélienne.
Si les politiques publiques agricoles au Sahel et en Afrique de l’Ouest se fixent comme cible de restaurer 10% des superficies agricoles par an avec des techniques climato-intelligentes, le coût des investissements nécessaires se chiffreraient entre 50 à 170 millions de dollars par an. Selon les pays, le retour sur investissements est évalué entre 50 et 70%.
Il est donc urgent d’agir. -
Récupération de terres, visite de deux sites sur le plateau de Guelielh
Une note de travail sert à présenter un cas et à poser des questions, c’est donc une note provisoire qui sera reprise avec les éléments complémentaires qui pourront être récupérés. Cette note est écrite après plusieurs visites sur les sites entre 2015 et 2018. Le contenu de cette note n’engage que l’équipe technique du RECA et de la CRA Tillabéri. Les sites de « récupération des terres » visités sont sur un plateau se trouvant sur la commune de Youri (Région de Tillabéri), à l’Est de la route goudronnée au niveau du marché de la commune. La photo satellite ci-dessous indique quatre types d’aménagement réalisés entre 2014 et 2016. Ces quatre sites de récupération représentent une surface totale d’un peu plus de 350 ha. -
Guide technique de l' agriculture
La présente documentation technique de la JGRC, composée de 8 guides, s'adresse aux techniciens impliqués dans la lutte contre la désertification par le biais des activités agricoles des communautés rurales.
En deux mots, les études de la JGRC se caractérisent par l'acquisition q de techniques de développement agricole
utilisant efficacement l'eau des oueds (cours d'eau dont l'écoulement se limite à la saison des pluies) dans les plaines d'inondation, ces dernières étant relativement fertiles mais peu utilisées, et w de techniques de
développement global et durable de l'agriculture, centrées sur la conservation des sols des terrains en pente douce et le rétablissement de la productivité des sols où se trouvent les villages. -
Évaluation économique de la récupération des terres dégradées dans les communes rurales de Simiri et de Namaro au Niger
Évaluation économique de la récupération des terres dégradées dans les communes rurales de Simiri et de Namaro au Niger
Banquettes, zaï (tassas), demi-lunes et fixation de dunes dans les sites des villages de Simiri, de Banimaté, de Lima et de Dambou Beri
Un rapport de l´Initiative ELD dans le cadre du projet « Inverser la dégradation des terres en Afrique par l'adoption à grande échelle de l'agroforesterie »
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CARI
Le CARI est une association (loi 1901) de solidarité internationale qui agit depuis plus de 20 ans dans la lutte contre la désertification.
Le CARI promeut un modèle agricole durable (agroécologie, agriculture familiale) pour répondre à la problématique de dégradation des terres en zones arides.
Le CARI ne souhaite pas se substituer aux compétences locales. Il accompagne des organisations de la société civile et des collectivités locales.
Fort de ses projets menés dans une vingtaines de pays, majoritairement au Maghreb et au Sahel, le CARI est une référence auprès du gouvernement français et de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification. -
Réseau Sahel Désertification (Resad)
Le ReSaD est un réseau de la société civile qui mobilise quatre plateformes nationales au Burkina Faso, au Niger, au Mali et en France. Cette initiative Nord-Sud, à la croisée des préoccupations nationales et régionales, agit pour la lutte contre la désertification et l'amélioration des conditions de vie des populations des zones arides. -
Désertification et dégradation des terres
Documentaire présentant les processus de dégradation des terres et de désertification -
Conversion à l'agriculture biologique : Défis pour le futur
On appelle conversion à l’agriculture biologique, ou parfois transition, le processus de changement entre la situation initiale d’agriculture dite conventionnelle, et la situation finale d’agriculture biologique certifiée dénommée «agriculture biologique ou écologique ou organique».
Durant cette phase l’agriculteur doit respecter la réglementation de l’agriculture biologique. Le passage à l’agriculture biologique implique un changement de gestion des ressources mais aussi un changement de raisonnement qui considère la ferme dans sa globalité. -
Etude diagnostique de la dégradation des sols autour des aménagements hydroagricoles dans le Beledougou et sur le plateau de Bandiagara
Le PASSIP/REAGIR dans sa composante VI «Appui à la production agricole», s'est fixé comme objectif de lever un certain nombre de défis qui permettra aux populations rurales des zones d'Irrigation de Proximité (IP) au Mali d’utiliser le potentiel économique de l'IP. Cela permettra d’augmenter leurs revenus par une agriculture productive et durable. C’est ainsi que des barrages hydro-agricoles (AHA) ont été construits dans 10 villages du Bélédougou et 6 villages du pays Dogon. -
Cartographie des terres dégradées dans le bassin versant de Badaguichiri – Rapport d’étude
Le projet Badaguichiri, en partenariat avec le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale, a réalisé une cartographie qui présente la situation des terres dégradées dans le bassin versant de Badaguichiri à partir des données satellitaires. Les résultats préliminaires montrent que la dégradation des terres est réelle dans le bassin versant affectant les zones agricoles et forestières. Les résultats obtenus montrent bien que la dégradation et la couverture du sol montre que les facteurs anthropiques ont un rôle primordial dans la détermination du processus de dégradation. -
Tendances du reverdissement et de la dégradation du sol dans l’Ouest du Niger
Ce travail a étudié les évolutions simultanées du reverdissement et de la dégradation des sols dans l’Ouest du Niger entre 1998 et 2017. Il s’est appuyé sur des observations in situ et cartographiques pour analyser les indices de la végétation et de dégradation des sols en milieu cultivé et en zone classée (dépourvue d’actions anthropiques). En zone classée, les résultats montrent une tendance au reverdissement avec une progression d’au moins 500 % d’indice de la végétation. Dans les zones cultivées en revanche, les observations localisées dégagent deux tendances, l’une cohérente montrant le reverdissement et la baisse de la dégradation et l’autre paradoxale montrant le reverdissement et l’extension des sols dégradés. Cette dernière peut s’expliquer par l’effet mémoire des sécheresses des années 1970-1990 mais aussi par les modes de gestion des ressources. Globalement, on conclut sur la tendance au reverdissement et qui met en évidence la résilience des écosystèmes étudiés au choc climatique. -
Programme d'action national de lutte contre la désertification
Avec une superficie de 112 622 km2, le Bénin est un pays aux caractéristiques géographiques et climatiques variées. Sa population d'environ 6 millions d'habitants est concentrée dans la zone méridionale où se rencontre une végétation dégradée. On estime que 12% environ du territoire sont couverts de forêt semi-décidue, de forêt claire et de savane arborée. -
Lutte contre la désertification pour faire face aux changements climatiques
La désertification est définie comme la dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et subhumides sèches1. Elle est entraînée par divers facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines. Un tiers de la population humaine mondiale vit sur les terres arides qui représentent plus de 40 % de la surface des terres émergées de la planète. La désertification ne correspond pas à l’avancée du désert mais à une diminution progressive de la qualité des sols et un appauvrissement de la vie qu’il hébergent. Cette destruction des sols traduit une perte de leur fertilité et a donc des conséquences négatives sur l’environnement et sur les conditions de vie des populations. -
Les champs-écoles pour renforcer les capacités des agriculteurs et réussir la transition agroécologique
La transition agroécologique requiert de transformer la manière d’accompagner les agriculteurs dans leurs changements de pratiques. Les champs-écoles sont des dispositifs participatifs pertinents pour cela, car ils accroissent les capacités des agriculteurs à expérimenter, à produire des connaissances et à construire eux-mêmes des innovations. Il est toutefois nécessaire de veiller à la qualité de mise en œuvre de ces dispositifs, ce qui a des implications pour les acteurs de la recherche et du développement. Une étude menée en Afrique subsaharienne montre qu’à l’issue de champs-écoles, les agriculteurs initient d’autant plus de changements dans leurs propres exploitations qu’ils ont été des acteurs décisionnaires du dispositif. Ces effets peuvent être mis en lumière par des méthodes qualitatives d’évaluation centrées sur la contribution à l’impact. Également, les champs-écoles gagnent à inclure les femmes, les jeunes et les agriculteurs les plus pauvres, catégories souvent exclues du conseil agricole conventionnel mais reconnues motrices dans les innovations agroécologique. -
Conservation de la végétation - Pour la motivation des paysans
Face au défis de raréfaction des ressources dans les terroirs et aux conséquences induits de leurs perpétuelles dégradation par la surexploitation par divers usagers ruraux, Jireas et ses partenaires techniques notamment la Direction départementale de l'environnement de Say, multiplie les initiatives de préservation, de sauvegarde et de gestion rationnelle et durable des ressources naturelles dans leurs zones d'intervention à travers un processus continu et participatif pour conscientiser les populations quant aux problèmes environnementaux auxquels le monde fait face en général et le Niger en particulier. -
Étude du programme du renforcement de la capacité pour la lutte contre la désertification basée sur la communauté dans le sud de la région de Ségou en République du Mali
Le Mali, situé à la limite du désert du Sahara, est un pays de l'intérieur de l'Afrique Occidentale, qui fait partie du groupe des pays les plus pauvres du monde (PNB de 220 dollar US/2002 par habitant). Cette situation est due à la fragilité de bases économiques et au problème de la désertification qui frappe tout le pays. -
Étude pour le projet de développement rural centre sur les habitants pour la lutte contre la désertification dans le sud de la région de Ségou en République du Mali
La zone d'étude concerne une partie de la région de Ségou située dans le bassin central du Mali. Cette zone est entourée du fleuve Niger et son affluent, le Bani, et forme une plaine relativement propice à l'agriculture. -
Projet d'aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri
Dans le cadre de ses priorités de développement, le Gouvernement de la République du Niger a formulé une requête auprès de l'Agence Française de Développement qui a manifesté son intérêt à contribuer à la préservation des ressources naturelles et à l'inversion des tendances à la dégradation du bassin versant de Badaguichiri. L'appui de l'AFD s'opérera conjointement avec la GTZ-Niger, qui dispose d'une expérience dans la région de Tahoua et s'inscrit dans le cadre de la Stratégie de Développement Rural (SDR), unique cadre de référence en matière de politique en économique et social dans le secteur rural. -
Rapport de suivi : avancée des initiatives du plan d'action de 3AO
Ce rapport est le fruit d’un effort collaboratif. Construit et rédigé par les membres de 3AO et son secrétariat, il met en exergue les actions individuelles et collectives portées par les membres, qui s’inscrivent dans la lignée des initiatives du plan d’action de 3AO. Il vise a apporté clarté et visibilité sur les avancées de travaux visant à développer l’agroécologie dans la sous-région, et sert de document d’appui à la rencontre stratégique de l’alliance, ayant lieu à Dakar, les 27-29 janvier 2020. -
Le projet majeur africain de la Grande Muraille Verte: concepts et mise en oeuvre
L’initiative Grande Muraille Verte est un projet d’envergure continentale. Elle constitue l’une des réponses de l’Afrique aux défis auxquels elle est confrontée et également une proposition concrète d’actions dans le cadre de l’alliance mondiale contre les changements climatiques. Elle est sous-tendue par des mécanismes de coopération régionale et sous-régionale dans le cadre d’une approche globale concertée. -
Stratégie et plan d'actions de mise en œuvre de l'initiative Grande Muraille Verte au Cameroun
Le présent document de stratégie est une synthèse des consultations avec les acteurs impliqués dans la lutte contre la désertification, les changements climatiques et la conservation de la biodiversité ainsi que des bénéficiaires potentiels. -
La Grande Muraille Verte : état de mise en œuvre et perspectives à l'orée 2030
La Grande Muraille Verte est une initiative panafricaine de restauration et de gestion durable des terres dans la région sahélo-saharienne ayant pour objectif de lutter contre la dégradation des terres et la pauvreté. L’idée de la création de l'initiative a été envisagée pour la première fois en 2005 lors de septième session de la conférence des chefs d’état et des gouvernements membres de la CENSAD qui s’est tenue à Ouagadougou les 1 et 2 juin 2005 – par l'ancien président du Nigéria, le chef Olusegun Obasanjo, et a été fortement soutenue par le président du Sénégal, Abdoulaye Wade. En 2007, l'Initiative a pris de l'ampleur lorsque la Déclaration 137 VIII de l'Union Africaine a été adoptée, approuvant la décision sur la mise en œuvre (UA 2007) (ci-après dénommée GMV). -
L'Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel
Dans le cadre de l'IGMVSS, un tiers du territoire nigérien (47 millions d'hectares) englobant trois zones climatiques (sahariennes, sahélo-saharienne et sahéliennes) est concerné par la mise en place de projets de lutte contre la désertification, de conservation de la biodiversité, d'atténuation et d'adaptation au changement climatique. -
La Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel : Une mosaïque de pratique durables d'utilisation des terres pour renforcer la résilience locale à la dégradation des terres et aux changement climatiques dans 20 pays
Dans la région sahélo-saharienne la vie de millions de personnes dépend de la productivité des terres dans les zones arides. Cette précieuse ressource naturelle est non seulement à la base de la sécurité alimentaire et de la production agricole, mais elle génère aussi de l’emploi et atténue les crises sociales pour les populations vulnérables les plus pauvres de la région. -
Note d'actualité : la Grande Muraille Verte au Niger
Au Niger, la Grande Muraille Verte vise, à l’horizon 2035, le développement des communautés locales à travers une approche novatrice et inclusive consistant à mettre en synergie les actions de lutte contre la désertification, de conservation de la biodiversité, d’atténuation et d’adaptation au changement climatique d’appui à l’amélioration des systèmes de production agro-sylvo-pastorale. La finalité étant de reverdir le Niger et de contribuer à une sécurité alimentaire durable des populations et du cheptel. -
La dégradation des terres versus la gestion durable des terres
La vie humaine dépend de ressources fondamentales telles que le sol et l’eau. La terre est source de nombreux services, entre autres la production de denrées alimentaires et d’eau douce. Aujourd’hui, à l’orée du 21e siècle, nos terres ne sont plus en mesure de répondre aux pressions exercées sur leurs ressources limitées. L’utilisation abusive et la demande croissante en ressources entraînent une intensification rapide de la désertification et de la dégradation des terres dans le monde – un fléau prenant de plus en plus d’ampleur à l’échelle mondiale (ELD Initiative 2015, 9). -
Investir dans la gestion responsable des terres
Ce rapport est établi suivant le format proposé dans le Protocole d’accord. Il fournit des informations sur les activités de gestion durable des terres menées par le FEM dans le cadre de son domaine d’intervention«dégradation des terres », précisément pour lutter contre la désertification et le déboisement, pour la période comprise entre juillet 2011 et juin 2013. Conformément aux dispositions du Protocole d’accord, les activités menées dans les autres domaines d’intervention du FEM et les guichets de financement ayant trait à la gestion durable des terres (GDT) sont également présentés. La période faisant l'objet du présent rapport coïncide avec la deuxième et troisième année complète du cinquième cycle de refinancement de l'institution (FEM-5). -
Gestion durable des terres en Afrique subsaharienne : Politiques et financement : conclusions et conseils pour les interventions
Dans le continent africain, la gestion durable des terres (GDT) est au cœur de l’enjeu du développement. La dégradation des terres empêche la croissance agricole et accroit la pauvreté et la vulnérabilité ; elle contribue aussi aux tensions sociales tout en menaçant la biodiversité et la libération du carbone par le déboisement. -
Impacts des banquettes dans la récupération des terres dégradées au Niger
Le département de Ouallam au Niger est soumis au phénomène de dégradation des terres. La présente étude, conduite sur le plateau dégradé de Sini Bangou dans la Commune de Simiri, a pour objectif d’évaluer l’efficacité du dispositif des banquettes anti-érosives sur l’amélioration de la couverture végétale et de la qualité du sol. -
Étude complémentaire et d’actualisation pour la caractérisation des sites menacés de dégradation et leurs enjeux environnementaux dans les Sept (7) Pôles de Développement Economique (PDE) du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) dans la région de Tahoua
Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF), le renforcement de la résilience des communautés face au changement climatique constitue une des priorités majeures pour l’atteinte des résultats en matière de développement de l’agriculture familiale. A ce titre, le ProDAF s’est assigné objectif global de contribuer à assurer durablement la sécurité alimentaire des ménages ruraux et au renforcement de leurs capacités de résilience aux crises, tout en inscrivant dans la Stratégie de développement durable et de croissance inclusive (SDDCI).. Le programme vise Spécifiquement à accroitre durablement les productions des petits producteurs agro-sylvo-pastoraux, à améliorer les activités de post-production et de commercialisation des productions des petits producteurs agro-sylvo-pastoraux organisés des régions de Maradi, Tahoua et Zinder. -
Recommandations méthodologiques pour mieux évaluer les effets des champs-écoles mobilisés pour accompagner les transitions agroécologiques
Ce document s’articule en 4 parties. Tout d’abord, nous définissons les CE et leurs principes, avant de détailler les méthodes d’évaluation couramment employées pour les CE et les défis que cela pose. Nous présentons ensuite la méthode d’évaluation compréhensive à l’aide d’une étude de cas au Nord Togo. Les perspectives en dernière partie permettent de replacer la méthode proposée dans le processus de construction de l’évaluation pour une intervention mobilisant des CE. -
Partenariat scientifique REUNIR - PAM : Apport de la recherche pour un changement de paradigme dans l'opérationnalisation résilience au Sahel
Le présent ouvrage fait la synthèse d’une partie des travaux réalisés dans l’ensemble des 5 pays, l’objectif visé étant de partager les expériences de bonnes pratiques mises en œuvre au niveau de ces pays du sahel et les leçons apprises de leur mise en œuvre en termes de modalités techniques et partenariales. Des technologies innovantes et des bonnes pratiques ont ainsi été identifiées et mises en œuvre avec des résultats fort concluants. -
Impacts post-projet de la restauration des terres dégradées à Tahoua, Niger
À Batodi, situé sur ce qui était un plateau stérile, les agriculteurs avaient commencé à restaurer les terres dégradées vers la fin des années 1980. Les villageois ont alors observé une hausse significative des niveaux d'eau dans leurs puits. Lorsqu'on a demandé aux villageois comment ils expliquaient cette hausse, leur réponse unanime a été « Allah ». Cependant, au cours de discussions ultérieures, ils ont reconnu qu'avant de restaurer les terres avec des cuvettes et des demi-lunes, toute l'eau de pluie disparaissait rapidement sous forme de ruissellement. Après avoir restauré les terres, ils ont remarqué qu'une grande partie des précipitations demeurait maintenant sur la terre, et ils ont compris que cela conduisait à une augmentation de l'infiltration et de la recharge des eaux souterraines. -
La régénération naturelle assistée (RNA) pour lutter contre la désertification
L’avancée du désert depuis les années 70 combinée à la forte croissance démographique (103 habitants au km2 à Aguié et Gazaoua) accentuent la pression foncière. -
La transition agro-écologique des agiculteurs du Sud
L’ouvrage présenté ici, qui présente les retours d’expérience de dix ans de travaux du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) et de l’Agence française de développement (AFD), capitalise une expertise extrêmement précieuse, illustre des initiatives réussies en Afrique, Asie et Amérique Latine, pour nous guider dans la transition vers l’agro-écologie. Il fait bénéficier le lecteur de l’excellence des travaux de recherche du Cirad sur la valorisation de la biodiversité dans les agrosystèmes, l’optimisation des cycles biogéochimiques, la gestion à l’échelle du paysage et du territoire, ainsi que l’évaluation et la création de systèmes de production permettant de maximiser les services écosystémiques. L’analyse commune proposée par le Cirad et l’AFD nous montre aussi comment, au-delà du travail sur les agroécosystèmes, la transition agro-écologique doit passer par une phase d’innovation organisationnelle et institutionnelle, comprenant une approche globale de l’ensemble du système agricole et alimentaire, afin d’enclencher une transformation vers une production et une consommation plus durable. -
Investir dans la gestion durable des terres au Niger pour un développement économique effectif
Le présent rapport est rédigé dans le cadre d’un tel processus national. Il vise à fournir aux décideurs politiques et aux administrateurs des informations scientifiques sur les conséquences économiques de la dégradation des terres et les voies alternatives pour réaliser une croissance économique en milieu rural. -
Construire la résilience des ménages grâce à la gestion durable des terres
Les pays sahéliens sont particulièrement sujets à la dégradation des terres. Au Niger, ce sont plus de la moitié des terres agricoles qui sont considérées comme dégradées, au Burkina Faso et au Sénégal, plus du tiers1. Cette dégradation des terres a des impacts importants sur le niveau de la production et des revenus des agriculteurs. Globalement pour l’ensemble de l’Afrique subsaharienne les pertes de revenus sont évaluées annuellement à 9 milliards de dollars américains (TerrAfrica). Cette dégradation joue un rôle indéniable dans les déficits céréaliers chroniques, les chocs de prix et de production, et les crises alimentaires auxquels sont exposés les pays et populations de la région. -
Programme régional de gestion durable des terres et d’adaptation aux changements climatiques au Sahel et en Afrique de l’Ouest
(PRGDT)Créer les conditions techniques, politiques et stratégiques de gestion durable des terres et d’adaptation pour la réduction de la vulnérabilité des populations de l’Afrique de l’Ouest aux changements climatiques. -
Agroécologie en Afrique de l’Ouest et du Centre : réalités et perspectives
Ce numéro de Grain de sel consacré à l’agroécologie en Afrique de l’Ouest et du Centre tente de répondre à ces différentes questions, en faisant participer au débat une diversité d’acteurs, chercheurs et praticiens, du Nord et du Sud. Le numéro s’attache tout d’abord à examiner le concept d’agroécologie, son origine, ses évolutions et ses définitions pour les acteurs de la région. Des articles présentent ensuite une série d’expériences, au niveau national et local, illustrant les réalités, les succès et les limites des pratiques agroécologiques sur le terrain. La dernière partie du numéro interroge plus précisément les obstacles et les leviers à un changement d’échelle des pratiques agroécologiques en Afrique de l’Ouest et du Centre. -
Les principes de l'agroécologie : vers des systèmes alimentaires socialement équitables, résilients et durables
Qu’entendons-nous par « agroécologie » ? À quoi ressemble-t-elle ? Peut-elle être appliquée à grande échelle ? Pouvons-nous donner des exemples concrets ? Comment pouvons-nous la soutenir ? Est-elle productive ? Existe-t-il des données prouvant qu’elle est efficace, qu’elle tient ses promesses ? Voici quelques questions souvent posées par des personnes qui connaissent peu le domaine de l’agroécologie alors que ceux qui le connaissent en soulèvent d’autres :
• « Je ne pense pas qu’ils parlent réellement d’agroécologie ; l’agroécologie ne se limite pas à l’amélioration de la vie dans les sols, c’est bien plus que ça !»,
• « C’est invraisemblable, ils utilisent le mot agroécologie, mais ils l’ont totalement vidé de son sens original, on dirait qu’ils l’utilisent pour verdir le modèle industriel »,
• « C’est peut-être la manière des scientifiques de voir l’agroécologie, mais les mouvements paysans la voient autrement »,
• « Il/elle n’utilise pas le concept d’agroécologie, mais ce dont il/elle parle est proche de notre manière de voir et de définir l’agroécologie », etc. -
Comment mesurer la performance agroécologique d’une exploitation agricole pour l’accompagner dans son processus de transition?
L’utilisation excessive de produits phytosanitaires permet de maximiser les performances économiques et productives, mais en contrepartie, l’environnement ainsi que la santé humaine et animale peuvent être fortement affectés du fait de leur toxicité. La réduction de l'utilisation de ces produits toxiques pour la conservation de l’environnement et la préservation de la santé humaine et animale est aujourd’hui une demande sociale. Il est devenu urgent d’investir dans des modèles plus durables permettant de diminuer voire de supprimer les risques. Une solution peut être la transition vers des systèmes de production agroécologique. Pour qu’ils soient durables, ces nouveaux systèmes doivent être performants sur les échelles agronomique, économique, sociale, environnementale et sanitaire. Une multitude d’outils d’évaluation de la durabilité des systèmes agricoles, basés sur un ensemble d’indicateurs, existe pour les exploitations conventionnelles. En revanche, ces méthodes sont peu adaptées aux systèmes biologiques et agroécologiques, et ne permettent pas de mesurer la performance de transition agroécologique des exploitations agricoles. -
L'agroécologie : démarche, pratiques et moyens d'action
L’agroécologie est un ensemble d’approches agricoles, une science mais aussi un mouvement social. Les techniques agricoles et agronomiques utilisées dans l’agroécologie sont inspirées des lois de la nature. La pratique agroécologique envisage l’ensemble du milieu dans lequel elle s’inscrit en intégrant par exemple la dimension de la gestion de l’eau, du reboisement, de la lutte contre l’érosion, de la biodiversité, des changements climatiques, du système économique et social, de la relation de l’humain avec son environnement, etc. C’est pourquoi le fait que la production, la transformation, la distribution et la consommation soient envisagées localement est un élément central de l’approche agroécologique. -
Atelier préparatoire pays à la tenue de DESERTIF' ACTIONS 2022
Pour lutter contre la dégradation des sols et des terres, les émissions de Gaz à Effet de Serre et l'insécurité alimentaire, une transition vers des systèmes alimentaires plus durables et inclusifs s’impose. Dans ce contexte, l'agroécologie offre une approche intégrée qui applique simultanément des concepts et des principes écologiques et sociaux à la conception et à la gestion des systèmes alimentaires et agricoles. Ainsi, Désertif’actions 2022 se donne pour ambition de mettre l’agroécologie au cœur de l’agenda de la lutte contre la désertification et la dégradation des terres, en partageant et mettant en commun les résultats des actions menées par la société civile et la recherche. -
Construire un nouvel avenir agricole : soutenir l'agro-écologie pour la planète et l'humanité
Le changement climatique et l’injustice de la faim exigent de trouver et d’investir rapidement dans un modèle agricole réellement durable. L’agro-écologie désigne la discipline scientifique consistant à appliquer des concepts et des principes écologiques à la conception et à la gestion d’une agriculture durable. Une approche agro-écologique apporte divers avantages sociaux, économiques et environnementaux. S’ils sont soutenus par des politiques et des investissements appropriés, ces avantages peuvent être encore renforcés pour permettre aux communautés de petites agricultrices et petits agriculteurs d’accéder à la sécurité alimentaire. -
Initiatives environnementales au Sahel : paysannes engagées ou instrumentalisées ?
La lutte contre la désertification est amorcée depuis une cinquantaine d’années au Sahel et les femmes s’y sont très tôt impliquées. Pourquoi ? Comment ? Avec quels bénéfices et quelles conséquences sur leur place aujourd’hui ? Engagement ou instrumentalisation ? Regard sur cinq décennies d’actions des femmes au Niger sur ces questions. -
Suivi de l'ensablement et de la dégradation des terres : composante 3
Le Projet de Lutte contre l'Ensablement des Cuvettes Oasiennes dans les départements de Gouré et de Mainé-soroa (PLECO) est financé par le Fonds pour l'Environnement Mondial (FEM) dans le cadre du Programme Opérationnel du GEF intitulé "PO 15 Gestion Durables des Sols". -
Processus de définition des cibles de neutralité en matière de dégradation des terres
Le présent document donne la synthèse des cibles nationales retenues ainsi que des mesures envisagées pour atteindre la NDT à l’horizon 2030 au Niger. -
Fête Nationale de l'Arbre : désertification (lutte et perspectives)
La sécheresse des années 1974 et 1984 a produit dans "économie Nigérienne des ondes de choc. Elle a agi comme un séisme. L'économie rurale fruit des activités agricoles et pastorale et base même du développement Socioéconomique du pays ; était paralysée. Le cri d'alarme déclenché, l'Administration Forestière s'était dès lors engagée dans la lutte, mais cherche encore à se "redéployer", c'est à dire à ajuster les politiques, stratégies et surtout les pratiques socio-économiques quotidiennes des populations ; aux changements naturels observés. Ce qui apparaît d'ailleurs, le plus chargé d'avenir pour prévenir celui des générations futures (principe du Développement Durable). -
Effets de la mobilité de l’habitat dans les champs cultivés sur la qualité physico-chimique des sols dans l’Ouest nigérien
La gestion et le maintien de la fertilité des sols ont été toujours une préoccupation majeure dans les exploitations agricoles en zone sahélienne. Certaines pratiques paysannes comme la mobilité périodique de l’habitat à l’intérieur des champs constituent un moyen pour restaurer les sols dégradés dans l’Ouest nigérien. Ce travail vise à étudier l’effet de cette pratique sur la qualité du sol sols dans le terroir de Sadoré. Des enquîtes ont été réalisées auprès de 30 paysans pour comprendre les perceptions paysannes de la mobilité de l’habitat à l’intérieur des champs. Des prélèvements d’échantillons de sol ont été réalisés sur la couche superficielle qui concentre l’essentiel des éléments nutritifs en zone sahélienne (de 10 cm de profondeur) : six échantillons sur l’emplacement des anciennes zones d'habitation et six échantillons sur des surfaces normales des champs cultivés (témoins) distantes de 100 m. -
Savoirs de paysans et lutte contre la désertification : augmenter le potentiel d'un champ cultivé en installant des bandes enherbées
La mise en place de bandes enherbées dans un champ cultivé est une technique essentiellement utilisée pour limiter les dégâts causés par l’eau de pluie sur le sol et les cultures. Elle consiste à planter ou semer, sur une ou plusieurs lignes, sous forme de « bandes », des espèces locales d’herbes. -
Analyse de la pertinence et de l’efficacité du dispositif de restauration des terres dégradées du bassin versant du fleuve par l’aménagement et les traitements anti-érosifs de glacis
Ce rapport est le résultat d'une mission d’appui scientifique réalisée en août et septembre 2007 au Programme de Lutte Contre l’Ensablement dans le Bassin du Fleuve Niger qui est mis en œuvre depuis 2006. Le champ d’étude représente la portion du bassin versant du fleuve Niger (en cours de traitement par le PLCE) où l’équipe d’appui a cherché à mieux connaître le fonctionnement écologique des unités paysagères (stations faisant l’objet de restauration) pour enfin apprécier l’impact des techniques de restauration sur le problème de l’ensemble du fleuve. -
Programme Éducatif et Opérationnel de Développement Durable (PEODD) 2004 - 2009 : commune de Bittinkodji
Durant l’année 2001, le chef de canton de Lamordé et Monsieur Yero Garba (notable de la région) ont pris contact avec le Syndicat mixte de la Vallée de l’Orge Aval (SIVOA) pour attirer son attention sur les difficultés que rencontre le canton de Lamordé Bitinkodji principalement en matière de dégradation de l’environnement. Suite à ce premier contact, une visite de terrain a été effectuée à la fin de l’année 2001 par le Sivoa afin de définir les actions de coopération décentralisée du Syndicat au Niger. Très vite la problématique de la lutte contre l’érosion et de la maîtrise du ruissellement est apparue opportune du fait de l’analogie avec les compétences du Syndicat en France qui sont entre autres la gestion de la rivière « Orge » et la lutte contre les inondations. -
Capitalisation de l’expérience de l’Initiative régionale Environnement mondial et Lutte contre la désertification IREM/LCD
Le présent document est un recueil de xxx fiches techniques présentant différentes méthodes, techniques de lutte contre la désertification, tirés des micro-projets soutenus par IREMLCD. Certes, il n’est pas exhaustif mais il se veut une contribution à l’amélioration des compétences et des connaissances par la diffusion d’informations au sujet de la lutte contre la désertification dans un contexte agro-alimentaire mondial fortement tendu. Il ambitionne également d’encourager le financement et la mise en œuvre d’approches plus adaptées et de techniques plus appropriées à la lutte contre la désertification. -
Guide méthodologique d'animation et de sensibilisation des communautés en Gestion Durable des Terres, Désertification et Changement Climatique
Le présent guide est conçu pour soutenir les animateurs/formateurs de LEAD Tchad afin que ces derniers soient capables à leur tour d’accompagner, à travers l’animation/la sensibilisation, les communautés rurales à prendre conscience des enjeux de gestion des risques climatiques, des ressources naturelles en général et des terres en particulier et à prendre des initiatives conséquentes. Concernant le public cible (communautés rurales), une attention particulière doit être accordée aux femmes qui constituent un groupe d’acteurs clés du fait de leur fort effectif numérique et de leur plus grande implication dans l’exploitation/gestion quotidienne des ressources naturelles. Il s’agit d’un outil pédagogique comportant trois (3) grands modules notamment la Gestion Durable des Terres (GDT), la désertification et le Changement Climatique (CC). Chaque module constitue une unité pédagogique d’apprentissage pour les apprenants et se détermine par un objectif pédagogique précis. En effet, le module est constitué d’un agencement de plusieurs séquences (fiches) dépendantes linéairement les unes des autres. La cohérence de l’enchainement de ces séquences (fiches) permet l’atteinte de l’objectif pédagogique. Chaque séquence (fiche) est structurée en six (6) parties notamment les objectifs spécifiques, le contenu, les méthodes pédagogiques, les moyens pédagogiques, la durée et le suivi/évaluation. -
Perception paysanne des indicateurs édaphobiologiques et facteurs de dégradation des aires de pâturages naturels du Centre Ouest du Niger, Afrique de l’Ouest Sahélienne
L’objectif de cette étude est d’analyser la perception paysanne des indicateurs édapho-biologiques et les facteurs de dégradation des aires de pâturages naturelsdu centre ouest du Niger. Des investigations ont été menées auprès de cent cinquante (150) pasteurs et agropasteurs disposant d’au moins 15 ans d’expériences dans l’exploitation des pâturages naturels dans trois zones éco-climatiques à travers un échantillonnage aléatoire simple. Il s’agit de la zone agricole du Boboye (secteur de Fabidji et Birni N’Gaouré), la zone de transition ou zone agropastorale dans le secteur de Dan Kassari-Alléla et la zone pastorale du secteur de Tebarram-Bambaye. Les résultats montrent que la diversité des herbacées fourragères spontanées dépend de l’état de dégradation du pâturage et de la zone éco-climatique. Aussi, les herbacées fourragères spontanées appétées par le bétail assurent plusieurs fonctions écologiques aux pâturages naturels. Les éleveurs pasteurs et agropasteurs apprécient le niveau de dégradation des pâturages en fonction de l’abondance et de l’appétibilité des herbacées. Cette étude a montré que la population locale dispose des connaissances empiriques sur les phénomènes de dégradation des aires de pâturages. -
Etude socio-économique dans le cadre de l’Analyse Diagnostique Détaillée de la zone d’intervention du Projet de Lutte Contre l’Ensablement des Cuvettes Oasiennes dans les départements de Gouré et Maïné-Soroa (PLECO)
La dégradation rapide des ressources naturelles et subséquemment le processus d’ensablement qui l’accompagne sont au Niger des phénomènes globaux et persistants, mais leur ampleur dans les départements de Gouré et de Maïné-Soroa n’a rien de comparable. C’est pourquoi les autorités politiques n’ont eu de cesse de multiplier les initiatives, non pas pour enrayer le fléau ce qui paraît improbable, mais tout au moins pour en limiter les effets et corriger éventuellement les préjudices causés aux populations. Mais le meilleur gage d’une intervention exemplaire et réussie dans le domaine est entre autres de comprendre la problématique générale du processus d’ensablement dans sa double dimension économique et sociale, ce qui passe par des investigations de terrain auprès des personnes vivant dans les zones atteintes ou menacées. -
Le conseil Agricole et accompagnement des transitions agroécologiques : une analyse transnationale des dynamiques, défis et perspectives dans cinq pays d'Afrique de l'Ouest
Le présent document est une synthèse des rapports des études diagnostic conduites dans les cinq pays du projet ACOTAF. En plus de contribuer à la planification interne de ACOTAF, l’objectif du présent rapport est de présenter les résultats d’une analyse transnationale de cinq rapports de diagnostic national ACOTAF publiés afi n d’en tirer des leçons pour le conseil agricole au niveau régional. Il a aussi pour vocation de servir de support pour mettre en débat les premiers résultats du projet et d’engager des échanges et des apprentissages avec d’autres acteurs et parties prenantes de l’agroécologie et du conseil agricole indépendamment de leurs échelles d’intervention ou aire géographique. Ce rapport est destiné aux responsables de la planification et de la mise en œuvre des projets, aux décideurs politiques et aux autres personnes intéressées par l’amélioration du conseil agricole dédié à l’agroécologie dans leurs pays et leurs projets. -
Formation - atelier sur l'approche ELD en lien avec l'initiative ELD (« Economics of Land Degradation »)
ELD est une initiative lancée en 2011 par la Commission européenne, le Ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et la Convention des Nations Unies pour la Lutte contre la Désertification (CNULCD). Elle est appuyée par un vaste réseau de partenaires et vise à opérer, à l’échelle mondiale, une transformation dans la compréhension de la valeur économique des terres productives et à familiariser davantage les parties prenantes aux arguments socioéconomiques, l’objectif étant d’améliorer la gestion durable des terres. Le calcul de la valeur des terres est une tâche complexe. C’est pourquoi l’Initiative ELD offre des outils et méthodes d’évaluation éprouvés qui aideront les parties prenantes à établir la rentabilité des terres et de leur utilisation à travers une évaluation économique globale, et à prendre en compte les résultats qui en découleront dans le processus décisionnel. -
Étude sur les mécanismes de financement de la transition agroécologique dans la CEDEAO : Rapport d’études de cas
La présente étude a pour objectif Programme Agroécologie de la CEDEAO (PAE) et à l’ARAA-CEDEAO un état des lieux des mécanismes de financement de la transition agroécologique dans la CEDEAO et des recommandations relatives à de possibles contributions du FRAA dans le financement de la transition agroécologique. L’étude est organisée en 4 phases : (I) Cadrage, (II) Inventaire, (III) Etudes de cas et (IV) Synthèse. Le présent rapport restitue les travaux réalisés par les Consultants au cours de la phase d’études de cas. -
Qu’est-ce que l’agroécologie ? Quels sont ses enjeux ?
L’émergence d’un modèle alternatif ne s’est jamais faite dans un consensus mou. L’agroécologie, parce qu’elle requestionne nos modes de production et d’alimentation, notre modèle sociétal et notre relation à la nature, est une terre de batailles où sont en train d’émerger les systèmes agricoles de demain. -
Femmes, rapports de genre et agroécologie au Niger : quelles places des femmes dans les transitions agroécologiques ?
Les rapports de genre peuvent-ils expliquer une différence sexo-spécifique de sensibilité à l’agroécologie ? Les femmes sont-elles les premières supportrices de l’agroécologie ? Dès lors, peuvent-elles être le premier levier pour les transitions agroécologiques et pour le développement durable du pays ? Éléments de réflexions et de réponses depuis le modèle de "maraîchage au féminin" où les femmes se révèlent expertes de l’intensification agroécologique. -
Visite d’une exploitation agricole site Tadis III – région de Tahoua :diversification des cultures et techniques agroécologiques
Cette note est rédigée dans le cadre du projet ACOTAF - Renforcer le conseil agricole pour accompagner les transitions agroécologiques des agricultures familiales en Afrique sub-saharienne. Les différentes publications du projet (à ce jour 5 rapports pays, 5 notes de synthèse pays, un rapport de synthèse transversale, des webinaires et conférences, des articles) sont accessibles sur le site : https://www.inter-reseaux.org/auteur/acotaf/