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Système californien d’irrigation à basse pression
Le document explique le système de distribution à basse pression connu sous l’appellation de « réseau californien » ; un système d’irrigation très efficient pour les groupes de fermiers à petite échelle africains. -
Typologie des systèmes irrigués Afrique de l'Ouest
La typologie suivante a été établie dans le cadre du projet APPIA pour la partie Afrique de l’Ouest. Elle concerne cinq pays sahéliens : Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Sénégal. -
Séminaire national sur le Développement de l' Irrigation au Niger -- Annexes
Ce document est une compilation des contributions de différents Ministères et institutions invités sur le développement de l' irrigation au Niger au cours du séminaire national tenu à Birni Konni du 1ier au 6 février 1989. -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Djirataoua: département de Madarounfa -Niger
Cette étude a été initié par le projet USAID/ WAIPRO aborde quatre volets d'activités interconnectées : - 1: Diagnostic comprenant étude générale, analyse participative des contraintes et des opportunités des systèmes irrigués existants.
- 2: élaboration des plans d'intervention, et les mettre en oeuvre sur des systèmes irrigués pilotes;
- 3: Renforcement des capacités, synthèse, communication et diffusion des leçons apprises;
- 4: Promotion de l'eau agricole et de l'irrigation à petite échelle . -
Diagnostic participatif rapide et planification des actions du périmètre de Galmi -Niger
Cette étude a été initié par le projet USAID/ WAIPRO aborde quatre volets d'activités interconnectées :
- 1: Diagnostic comprenant étude générale, analyse participative des contraintes et des opportunités des systèmes irrigués existants.
- 2: élaboration des plans d'intervention, et les mettre en oeuvre sur des systèmes irrigués pilotes;
- 3: Renforcement des capacités, synthèse, communication et diffusion des leçons apprises;
- 4: Promotion de l'eau agricole et de l'irrigation à petite échelle . -
Installation solaire pour pompe immergée
Montage pas à pas du kit pompe solaire immergée pouvant pomper en direct (sans batterie) jusqu'à 70M. Ce système de pompage autonome est composé de panneaux solaires photovoltaïques, d'une pompe immergée SHURFLO 9325, d'un contrôleur de pompage G75 et de divers accessoires.
Ce kit permet de puiser l'eau jusqu'à 70 Mètres en totale autonomie. L'eau peut ensuite être stockée dans des cuves pour arroser un potager, alimenter un réseau... -
Analyse des contraintes hydrauliques du périmètre irrigue de Daibery (Niger) et mise en place d’un jeu d’indicateurs de performance
Cette étude a été réalisée sur le périmètre irrigué de Daïbéry au Niger dans le cadre du projet WAIPRO. Elle consiste à analyser les contraintes hydrauliques par le biais d’un bilan de fonctionnement hydraulique et d’une mise en place d’un jeu d’indicateurs de performance sur le périmètre. Elle a été basée sur des données collectées sur le terrain et quelques rapports techniques relatifs à ce périmètre. Un état de lieu du périmètre a été réalisé, ainsi que des estimations ont été faites sur les quantités d’eau lâchées au niveau de la station de pompage et les besoins en eau des cultures. -
Etude de faisabilité Projet d’aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri
L’AFD a fait part aux Autorités nigériennes de son intérêt à participer à la préservation des ressources naturelles et à l’inversion de la tendance à la désertification, dans le cadre de la SDR, à travers une opération destinée à améliorer les conditions de vie de la population rurale grâce à l’augmentation de leurs revenus. L’AFD s’est rapprochée de la GTZ-Niger qui avait une expérience reconnue dans l’aménagement des bassins versants dans la région de Tahoua et a décidé de collaborer avec cet organisme pour mettre en œuvre un nouveau projet. C’est la région de Tahoua qui a été choisie. Une mission d’identification de l’AFD a séjourné au Niger du 8 au 17 avril 2008 et retenu, avec les autorités nigériennes, le bassin versant de Badaguichiri, dans le département d’Illela. Sur la base de cette première identification, il s’agissait, comme l’indiquent les termes de références figurant en annexe, d’effectuer l’étude de faisabilité de ce projet d’aménagement et de gestion du bassin versant de Badaguichiri. Cette mission devait remettre un document d’étude proposant le projet aux instances de financement de l’AFD et de la GTZ-Niger. -
Manuel des techniques d'irrigation sous pression
Ce manuel vise à offrir aux agriculteurs, techniciens d'irrigation et vulgarisateurs qui travaillent sur le terrain un guide pratique sur l'utilisation des techniques d'irrigation sous pression. Dans cette deuxième version ce manuel, traduit en français pour la première fois, a été considérablement remaniée et propose en particulier de nouveaux chapitres sur les systèmes abordables d'irrigation goutte-à-goutte et de distribution à l'intention des petits exploitants agricoles. -
Gestion de l'irrigation à petite échelle
L’unité de gestion de l’irrigation à petite échelle (GIPE) est généralement une parcelle d’une superficie inférieure à 0,5 hectare. Les systèmes de GIPE peuvent être gérés soit par un exploitant agricole individuel soit par des groupes, des communautés. Le principe directeur d’une gestion durable de l’irrigation à petite échelle est l’efficacité de l’utilisation de l’eau -
Options technologiques pour une popularisation de l’agriculture irriguée
Il existe essentiellement trois méthodes d'irrigation : l'irrigation de surface, l'irrigation localisée, l'irrigation par aspersion. Cette note décrit chaque type d'irrigation et détaille la gestion de l'eau à la parcelle. -
Mémento de l'irrigation
La mise en place d'un système d'irrigation ne s'improvise pas. Une série d'éléments sont à prendre en considération, depuis la conception du projet jusqu'au processus de gestion à long terme des installations. Le présent mémento a pour but de baliser de manière succincte les différentes démarches à entreprendre. Il s'agira principalement de rappeler quelques notions de base, non de traiter de façon exhaustive toutes les questions qui pourraient survenir. Si des informations plus précises s'avéraient nécessaires, il est conseillé de consulter les ouvrages de références repris dans la bibliographie. -
De l’eau pour le maraîchage : expériences et procédés
Cet ouvrage propose une méthode pour guider les maraichers dans l’évaluation de leurs besoins et de leurs contraintes et les aider à choisir un système d’irrigation adéquat. Chacune des questions destinées à guider le choix est approfondie et illustrée dans les chapitres suivants. Le premier chapitre explique comment calculer les besoins en eau des cultures. Le deuxième chapitre présente les systèmes de distribution de I ’eau dans les champs et leurs avantages et inconvénients respectifs. Le troisième chapitre présente les différents systèmes de pompage qui sont ensuite comparés, notamment sur le plan économique. Enfin sont définies des notions plus complexes qui permettent de bien comprendre les mécanismes du pompage. Des fiches de présentation de matériels et une bibliographie permettront à ceux qui veulent en savoir plus de s’orienter dans leur recherche d’information. -
Guide méthodologique d’implantation des centres de collecte du lait cru au Niger
Au Niger, la promotion du lait local est au centre des politiques et stratégies nationales de développement, telles que la Stratégie de Sécurité Alimentaire Nutritionnelle et de Développement Agricole Durable (SSAN/DAD) (dite « Initiative 3N ») et la Stratégie de Développement Durable de l’Elevage (SDDEL 2012 - 2035). L’élaboration d’un guide d’implantation des centres de collecte du lait cru au Niger permet aux utilisateurs d’avoir un outil officiel approuvé par le Ministère de l’Agriculture et d’Elevage, répondant à deux finalités : capitaliser la démarche éprouvée d’implantation de centres de collecte, testée dans le cadre du PSEAU à Hamdallaye, puis de Nariindu-Aprolan à Kollo et aujourd’hui de DIRRECT à Birni N’Gaouré et Nariindu 2 à Namaro ; harmoniser les approches dans un contexte de multiplication des interventions sur la filière lait local. Nous osons espérer que ces politiques contribueront à l’atteinte de l’objectif « Faim zéro » des Objectifs de Développement Durable (ODD) prônés par les Nations Unies d’ici à 2030. -
Etude des chaines de valeur de la filière lait dans les régions de Tahoua et Dosso
Selon les statistiques de la CEDEAO, la production régionale de lait est estimée à quelques 5 millions de tonnes en 2013. Cette production est assurée à plus de 70% par l’élevage pastoral qui est le système dominant ; le reste est assuré par les systèmes agropastoraux et les systèmes intensifs. Les plus grands producteurs de lait dans la région sont par ordre d’importance le Nigeria (environ 32%) le Mali, le Niger, le Burkina Faso et le Sénégal. La valeur des importations de lait de la région sont passées de 371 millions de dollars 2001-2003 à 968 millions en 2012-2014. Une attention particulière est accordée aux produits animaux (lait et viande) qui sont considérés comme des produits stratégiques pour la sécurité et la souveraineté alimentaire. Pour ces deux catégories de produits, la politique agricole prescrit des actions fortes, des initiatives décisives pour réduire la dépendance de la région vis-à-vis des importations extrarégionales. Pour le cas du Niger, la production nationale reste insuffisante face à la demande d’une population en forte croissance qui s’urbanise rapidement et le recours aux importations massives de la poudre du lait contribuant à accentuer le déficit de la balance commerciale constitue le véritable enjeu du développement de l’Elevage au Niger. -
L’expérience des centres de collecte paysans Multi-services au Niger
Le lait cru du Niger n’est que très faiblement valorisé, du fait de la très forte saisonnalité de la production et d’un réseau de commercialisation peu développé, alors que les besoins urbains sont importants et en constante aug¬mentation. Environ 85 % des produits laitiers des laiteries de Niamey sont issus de la poudre de lait importée. Cette forte dépendance des importations rend le pays potentiellement vulnérable aux chocs exogènes de prix et à une insécurité alimentaire grave, comme l’a prouvé la crise économique et alimentaire de 2008. -
Etude/diagnostic sur les technologies d’irrigation dans le sous-secteur de la petite irrigation
Développement petite irrigation initiée et accompagnée par nombreuses techniques et technologies d’irrigation au début années 2000 en Afrique de l' Ouest et dans les pays du CILSS; ces technologies ont aujourd’hui des fortunes diverses. Cinq (5) principales technologies jugées performantes ont été adoptées par les acteurs notamment les irrigants. -
L’aménagement des terres agricoles pour l’irrigation
L’irrigation fait partie des axes d’intervention de l’Initiative 3N « les Nigériens nourrissent les Nigériens », c’est même l’objet du premier programme d’investissement prioritaire : « accroissement des productions sous irrigation ». On peut se demander ce que prévoit le dispositif législatif et réglementaire lors de la réalisation d’aménagement pour l’irrigation, au niveau du foncier et de l’accès à l’eau. -
Stratégie de la Petite Irrigation au Niger –SPIN
Ce rapport porte sur le plan d'action stratégique de la Petite Irrigation au Niger -
Stratégie de la Petite Irrigation au Niger - 2015
Ce document présente la stratégie de la Petite Irrigation au Niger -
Guide du Formateur sur « Les techniques de CES-DRS dans la petite irrigation »
Le présent guide s’inscrit dans le cadre des activités du programme de promotion de l’agriculture productive (PromAP) finance par la coopération allemande. Le PromAP à travers la composante 2, a prévu : « le renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation pour améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et prives dans le domaine de la petite irrigation. Quatre (4) thèmes sont développés à travers ce manuel à savoir : ✓ Adaptation au changement climatique; ✓ Lutte contre l’érosion hydrique; ✓ Lutte contre l’érosion éolienne; ✓ L’approche bassin versant -
Manuel du formateur : conception et analyse technique, économique et financière des projets en petite irrigation
L’objectif de ce manuel est de renforcer les competences des formateurs dans le domaine de l’élaboration des projets en petite irrigation. Il vise à encourager une formation axée sur la compétence qui se fonde sur les principes de l’apprentissage des adultes. Ce qui sous-entend une formation est à caractère participatif, pertinent et pratique. -
Projet petite irrigation
Ces présents documents de projet portent sur l’amenagement et mise en valeur d’un site maraicher a tchollondi au profit de M. Boubacar sylla, la fixation des dunes pour la protection du site maraicher de matamèye et l’appui en infrastructures, matériels/équipements et intrants de qualité pour la petite irrigation par binôme sur un site d’une superficie de ………ha. -
Tech Innov
Entreprise sociale orientée vers la télé-irrigation -
MANOMA SA
Fournisseur de matériel d'irrigation, semences et intrants -
Module de formation : Irrigation par aspersion
Ces guides porte sur les nouvelles technologies de captage et irrigation -
Curriculum sur la strategie de la petite irrigation au Niger (spin)
L’objectif de ce manuel est de renforcer les capacités des formateurs dans le domaine de la connaissance de la Stratégie de la Petite Irrigation au Niger (SPIN) et ses annexes notamment : (i) le plan d’action de la SPIN et (ii) le plan stratégique de renforcement de capacités Il vise à encourager une formation axée sur la compétence qui se fonde sur les principes de l’apprentissage des adultes (l’andragogie). Cela signifie que la formation est à caractère participatif, pertinent et pratique. Les principes de l’andragogie se fondent sur l’hypothèse selon laquelle les adultes participent aux stages de formation car : ▪ Ils sont intéressés par le sujet; ▪ Ils désirent améliorer leurs connaissances et performances professionnelles ; ▪ Ils désirent participer activement aux activités du cours. -
Gestion rationnelle de l'eau d'irrigation
Ce présent document porte sur la gestion rationnelle de l'eau d'irrigation -
Manuel des bonnes pratiques en irrigation de proximité
En élaborant le présent manuel, nous avons voulu mettre à votre disposition un outil qui vous serve au mieux dans votre travail de valorisation du potentiel de l’irrigation de proximité. Depuis 2008, grâce à votre appui, votre courage et votre persévérance, nous avons pu disposer d’un document de formulation du Programme National d’Irrigation de Proximité (PNIP) dans lequel le concept d’irrigation de proximité et le mécanisme de planification pour la réalisation des aménagements sont définis. -
Techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel : Guide destiné aux Techniciens, Agents Prestataires de Services (APS) et
Animateurs Villageois (AV)Ce guide porte sur les techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel -
Projet d’Appui Régional à l’Initiative pour l’Irrigation au Sahel
Ce rapport porte sur le projet d’Appui Régional à l’Initiative pour l’Irrigation au Sahel -
Caractérisation des vallées de Tahoua et proposition de système irrigue dans le cadre de la petite irrigation privée
L’irrigation est considérée comme un moyen d’intensification de l’agriculture. Elle contribue à en augmenter la productivité tout en la sécurisant contre les risques de sécheresse. C’est un outil de lutte contre la pauvreté et la faim qui sévissent de façon endémique au Niger, et plus particulièrement dans le département de Tahoua. -
Contribution of an innovation platform to change the management of collective irrigation : a case study from the Office du Niger (Mali)
Dans les vastes rizières de l’Office du Niger au Mali, la gestion de l’eau a longtemps été une source de tension entre les petits exploitants et l’administration. Le transfert partiel de cette gestion, avec une répartition de la maintenance des canaux entre les petits exploitants, l’Office du Niger et l’État n’a pas vraiment permis d’atteindre de meilleurs résultats. Une plateforme d’innovation établie par le programme CoS-SIS (Convergence of Sciences – Strengthening Innovation Systems) a abouti à un accord consensuel conférant le nettoyage des canaux tertiaires aux petits exploitants. Elle a aussi actualisé les règles d’expulsion des exploitants en cas de non-paiement de la redevance eau et a modifié les dispositions clefs du Contrat Plan qui régit les tâches et les responsabilités des exploitants, du personnel de l’Office du Niger et de l’État. -
Intégration de l'irrigation et de l'aquaculture en Afrique de l'Ouest : concepts, pratiques et perspectives d’avenir
Le présent volume contient les documents de référence et les exposés présentés à l’occasion de l’Atelier FAO-ADRAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA), tenu à Bamako, au Mali, du 4 au 7 novembre 2003, ainsi que les résultats des missions des experts de la FAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) dans la région de l’Afrique de l’Ouest. La logique qui sous-tend le développement de l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) est le fait qu’elle offre des possibilités pour accroître la productivité des ressources peu abondantes en eau douce, pour améliorer la sécurité alimentaire et la
réduction de la pauvreté, et pour réduire la pression sur les ressources naturelles, en particulier dans les pays de l’Afrique de l’Ouest prédisposés à la sécheresse. -
L’irrigation informelle en Afrique de l’Ouest : Une solution ou un problème?
La contribution de l’irrigation informelle aux défis de l’agriculture irriguée est donc plutôt mitigée dans l’ensemble concernant la productivité agricole, le développement régional, les revenus des irrigants et la protection environnementales. A côté d’un potentiel et de réussites indéniables, on peut craindre des retombées négatives en matière: (i) de gestion de la ressource, et (ii) d’effets sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces limitations peuvent affecter à court terme la société dans son ensemble, mais aussi à plus long terme les irrigants informels eux-mêmes. -
Les irrigations du Niger
Ce présent document porte sur les irrigations du Niger -
Gestion des eaux en irrigation : manuel de formation sur les méthodes d'irrigation
Ce manuel de formation donne des indications techniques sur les différentes méthodes d'irrigation mobilisables -
La culture irriguée en pays haoussa nigérien. Aspects historiques sociaux et techniques
A travers l'analyse des techniques de jardinage irrigué pratiquées dans la région de Maradi, au Niger,
cette étude met en évidence la remarquable capacité dont un système technique paysan peut faire
preuve afin de concilier un héritage ancien avec les possibilités qu'apporte l'environnement technique
et économique contemporain. -
Développement de l'Irrigation au Niger : Diagnostic et Options Stratégiques
Revue Sectorielle de l’IrrigationCette étude a été réalisée sous l'égide du Gouvernement du Niger et la Banque Mondiale en collaboration avec d'autres partenaires au développement PTF qui ont convenu d analyser les contraintes et opportunités de la croissance dans le secteur de l'agriculture irriguée et de passer en revue les options permettant de réaliser les potentiels de croissance dans le secteur agricole
L'étude formule également un nombre de recommandations concernant les priorités parmi les actions possibles préconisées par la SDR ainsi que pour la réforme institutionnelle et l'investissement. -
La carte des pentes
La pente du terrain est une caractéristique clé pour évaluer le potentiel irrigable. En effet, des pentes plus raides sont évidemment moins propices à l'irrigation. Selon un modèle élaboré par la FAO depuis 1976 et continuellement mis à jour, les pentes considérées idéales pour l’irrigation par gravitée se situent en dessous de 8%. -
La carte de l’aptitude pédologique
La base de données mondiale harmonisée des sols (HWSD) a été utilisée pour évaluer la qualité et l’aptitude des sols pour l'irrigation. Cette base de données est considérée comme l’une des meilleures et la plus précise disponible actuellement au niveau mondial. Elle a été constituée à partir des inventaires des sols locaux. -
Profondeur de la nappe
L'un des facteurs primordiaux du développement de l'irrigation est la disponibilité de l'eau à un endroit donné et au moment voulu. Les approches classiquement sont souvent basées sur des observations sur le débit et/ou la disponibilité de l'eau souterraine.
Compte tenu de l’étendue de la zone explorée dans cette étude et d’autres facteurs non moins importants, Il a été choisi d'utiliser une approche de modélisation qui va donner une bonne estimation de la disponibilité des ressources en eau. -
Indice de végétation
La carte donne un aperçu de la répartition spatiale de l’humidité relative et surtout la densité de la végétation dans le pays. Pour la suite de l’exercice d’identification du potentiel irrigable, il était clairement apparu que les zones les plus favorables jouxtent les principaux cours d’eau du pays et certaines grandes vallées. -
Localisation du potentiel irrigable du Niger
Sur la base des différentes analyses et à la lumière des informations complémentaires du terrain, le potentiel irrigable du Niger est globalement estimé à 10 942 560 ha. La seule limitation dans la mise en valeur de ce potentiel est la disponibilité des ressources en eau. Le tableau ci-dessous donne la répartition de ce potentiel par région et par niveau de la nappe. Il faut noter que c’est plus de la moitié de cette superficie qui est propice à la petite irrigation avec des profondeurs de moins de 15 m. -
Zone d'intervention du Programme d’Appui à la Petite Irrigation (PAPI) au Niger
Le Programme d’Appui à la Petite Irrigation est porté par le Réseau des Chambres d’Agriculture du Niger (RECA) pour les activités de conseil agricole et les Conseils Régionaux pour le volet infrastructures structurantes. Il vise à développer le secteur horticole en donnant aux producteurs et productrices l’opportunité de vivre décemment de leurs activités, et en offrant des opportunités d’emploi et d’auto-emploi pour les jeunes et les femmes. Ce programme est mené en étroite collaboration avec le Ministère de l’Agriculture et de l’Élevage, le Haut-Commissariat à l’Initiative 3N « les Nigériens Nourrissent les Nigériens » (I3N). C’est un des programmes qui contribue à la mise en œuvre de l’Initiative 3N, il est complémentaire aux différents programmes et projets soutenus par les partenaires techniques et financiers.
Le PAPI a une durée de douze (12) ans et comprend une première phase de 4 ans qui s’est déroulée de 2015 à 2018. La première phase du programme est financée principalement par la Coopération Suisse.
Il cible les exploitations familiales du secteur horticole irrigué et s’intéresse aux facteurs qui favoriseront l’amélioration de leurs revenus, mais également à la création d’opportunités d’insertion des jeunes et des femmes. -
# Dossier photographique: Arrosage
Ce dossier photographique porte sur le système de distribution d'eau à la parcelle dans la petite irrigation -
Module de formation : entretien et réparation de la mototarière
Ce module porte sur l'entretien et la réparation des tarières motorisées -
Module de formation : installation et maintenance du système d'irrigation en réseau californien
Ce module porte sur la mise en place et la maintenance d'un réseau californien -
Module de formation : irrigation au goutte à goutte
Ce module porte sur l'installation et la maintenance d'un systèmes d'irrigation en goutte à goutte. L'irrigation au goutte-à-goutte est, par définition une agro technologie globale, modifiant les techniques agronomiques et élargissant les horizons de l'agriculture moderne. Le goutte-à-goutte a amélioré l'efficacité de l'utilisation de l'eau en irrigation et amorcé l'introduction et le développement de la fertigation, et la distribution intégrée d'eau et d'engrais. -
# Dossier photographique: Confection des rigoles d'irrigation
Une rigole est un canal d’irrigation rudimentaire à ciel ouvert servant à la distribution de l'eau dans les oasis d'Afrique du Nord. -
Viabilité des grands périmètres irrigués au Niger. Une analyse en termes de construction des règles et de gouvernance « hybride »
Le désengagement de l’Etat dans de nombreux pays d’Afrique sub-saharienne au cours de la décennie 1980 a engendré une réorganisation des relations entre des acteurs concernés par la gestion des périmètres irrigués. Dans ce nouveau contexte, une partie significative des fonctions a été transférée aux organisations paysannes et aux associations d’usagers. Il en découle de nouvelles modalités institutionnelles de gestion de l’eau et de nouvelles formes de gouvernance de l’eau au niveau local. L’objet de cette communication vise à analyser, au travers du cas du Niger, la pérennité de tels arrangements et les dynamiques de construction de nouvelles règles de gestion de l’eau au sein des périmètres irrigués dans le contexte de désengagement de l’Etat. Pour approcher l’originalité, la pérennité et le degré d’efficacité de ces arrangements, l’analyse met l’accent sur la manière dont s’articule le local/global. Cette communication développe notamment l’idée d’une co-construction de « règles hybrides » dont rend compte une analyse en termes de « gouvernance hybride ». -
Tendances et perspectives de l’irrigation en Afrique sub-saharienne
En Afrique sub-saharienne, il n’y a que 4 pourcent des terres arables sous irrigation et l’on y prélève moins de 2 pourcent de l’eau disponible pour tous les usages. En moyenne, 18 pourcent des superficies équipées pour l’irrigation ne sont pas du tout exploitées, et les taux d’utilisation varient généralement entre 50 pourcent et 80 pourcent. C’est dire qu’un potentiel considérable reste disponible pour l’intensification et l’expansion des terres irriguées. Ce potentiel pourrait être libéré moyennant des investissements soutenus dans le sous-secteur. Toutefois, pour être efficace, investir dans l’irrigation implique l’investissement dans toute une série d’activités connexes qui contribuent à la rentabilité de l’irrigation. La part actuelle de l’investissement privé dans l’irrigation au niveau mondial confirme cette rentabilité. Cependant, pour l’Afrique sub-saharienne, les perspectives seraient beaucoup plus favorables si l’assistance publique au développement et notamment les investissements directs étrangers (IDE) n’accusaient pas une tendance au déclin. -
Les microprojets d’équipement pour les productions maraîchères irriguées
Cette note présente une première synthèse des microprojets (MP) ayant été financés par le Fonds d’Appui Régional avec un objectif de production maraîchère / développement de l’irrigation par des coopératives (hommes) et des groupements féminins. Ce sont les appellations utilisées et qui ont l’utilité de faire la distinction même si les groupements féminins (GF) ont aussi un statut coopératif. -
Etude sur l'évaluation du potentiel productif irrigué des sites pilotes
Le Programme Moyen Niger 1 est élaboré et mis en oeuvre par le WWF sur mandat de la DDC. Il est placé sous la tutelle du Ministère de l'Environnement et de la Lutte Contre la Désertification. Ce programme vise à améliorer la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté des communautés locales riveraines des zones humides du Moyen Niger 1 à travers une gestion équitable, concertée et durable des ressources naturelles, diffuser ce mode de gestion au niveau national et contribuer à garantir des conditions favorables à sa pérennisation. -
Projets et programmes de développement de l’irrigation au Niger (1960-2010) : Eléments pour un bilan
L’augmentation des surfaces irriguées au Niger a connu plusieurs phases caractérisées par différents modes d’extension allant des aménagements hydroagricoles à la petite irrigation privée. Ainsi que son titre l’indique, ce rapport présente des éléments pour un bilan qui reste à établir plus précisément. Ce rapport se fonde sur un important travail, entrepris par le CEIPI, de collecte et d’analyse de l’information relative au développement de l’irrigation au Niger. Cette information est dispersée, souvent difficilement accessible et parcellaire. Ce premier rapport rédigé par Alizée Ehrnrooth avec la collaboration de Joanne Cochand et Awal Baoussouna a le mérite de mettre en lumière les zones d’ombre et d’identifier les domaines pour lesquels un complément d’information est nécessaire pour produire un bilan précis des efforts menés dans le pays jusqu’à présent. -
Politique agricole et pratiques paysannes au Niger : aspects sociaux et économiques de la dynamique de l’irrigation au bord du fleuve Niger : Le cas de la zone de Kollo
Les récentes crises alimentaires auxquelles ont été confrontés certains pays tel que le Niger en 2005, ont relancé le débat sur la sécurité alimentaire et l’importance voir la nécessité de l’intensification de la production agricole. Pour les pays sahéliens, dont la population est majoritairement rural et dépend donc directement de l’agriculture, la définition d’alternatives permettant d’assurer une production, malgré les aléas climatiques est une priorité. -
Le conseil aux irrigants en Afrique de l’Ouest sahélienne
Le projet APPIA, à travers sa composante 2, propose de mobiliser les professionnels de
l’irrigation sur la question de la mise en place de nouvelles formes d'appui-conseil aux
irrigants, rendues nécessaires par les évolutions du secteur irrigué depuis une trentaine
d’années.
Le document suivant constitue une base de travail pour les ateliers de lancement du projet APPIA. Il est établi à partir d’entretiens et de documents recueillis dans les 5 pays de la zone d’étude (Burkina Faso, Niger, Mali, Mauritanie, Sénégal). -
Cahier du formateur
« Gestion rationnelle de l’eau d’irrigation »
Ce guide pédagogique constitue le document dont l’objectif premier est d’aider les formateurs à retrouver les ressources matérielles et techniques d’enseignement appropriées et nécessaires a l’élaboration d’un plan de déroulement d’une formation. -
Les systèmes de distribution de l'eau d'irrigation et leur application
Les différentes méthodes d'irrigation permettent une application plus ou moins régulière de l'eau en fonction des caractéristiques des sols à irriguer et leur relief. -
Gestion rationnelle d'eau d'irrigation
On distingue en fonction de cette pluviométrie quatre zones climatiques du Nord au Sud du pays -
Gestion rationnelle de l'eau irrigation
Le présent manuel est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan stratégique de renforcement des compétences des acteurs de la petite irrigation initié par le ministère de l'agriculture avec l'appui du PromAP -
Maintenance des appareils hydrauliques et accessoire d'irrigation
La gestion et la maintenance des installations varie selon les types des structures constituant le système mais une gestion et maintenance approprié permet de prolonger la durée du service des installations ce qui permet de réduire les frais -
Programme: "petite irrigation et sécurité alimentaire"
Rapport bilan des activités du PTBA 2019Le programme "petite irrigation et sécurité alimentaire" PISA , entre dans le cadre du programme développement rural et agriculture productive de la coopération nigéro-allemande -
Note sur la visite des parcs d’élevage « Garké » de la ville de Zinder
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) et le Collectif des Associations Pastorales du Niger (CAPAN) de Zinder ont effectué les 25 et 26 juillet 2018, la visite de 5 Garké dans la commune urbaine de Zinder (carte ci-dessous) afin de comprendre leur mode de fonctionnement et d’évaluer leur disponible en lait cru en vue d’une mise en relation avec la laiterie Darido qui va démarrer ses activités. Les Garké, ou parcs, sont des espaces mis à la disposition des associations d’éleveurs des quartiers de Zinder par la mairie pour y abriter les bovins des riverains notamment les vaches laitières. Les animaux sont surveillés, conduits aux pâturages et traits par quelques éleveurs couramment appelés « Makiyayi ». Les Makiyayi sont rémunérés selon des modalités bien définies avec les propriétaires d’animaux du parc. La mairie, quant à elle, ne perçoit aucune taxe au niveau des Garké. -
Promouvoir le lait local au Sahel
La filière lait local au Niger est en changement : de plus en plus d’éleveurs commercialisent régulièrement des quantités importantes de lait cru, les industriels semblent s’intéresser davantage au lait cru même si leur matière première reste majoritairement de la poudre importée.
Dans ce contexte, les centres de collecte ou les mini-laiteries peuvent jouer un rôle essentiel dans le développement de la filière lait local. Mais quelles différences entre ces deux types d’unités laitières ? -
Analyse de l’évolution des systèmes d’élevage dans le bassin périurbain de Niamey (sous bassins laitiers de Kollo et Hamdallaye)
Avec environ 10 millions de têtes de bovins, le Niger a le plus grand cheptel de la zone UEMOA. Selon les statistiques nationales, la production laitière est de 1 milliard de litres par an dont 486 millions de litres de lait de bovins. Avec 63.8 litres par habitant et par an, le Niger a une culture de consommation de lait et produits laitiers. La consommation globale augmente donc au rythme de la croissance démographique, d’où le besoin d’importation.
Ce contexte peu favorable à l’émergence d’une filière lait local dynamique a connu l’apparition des premiers centres de collecte de lait au Niger, dans le bassin laitier périurbain de Niamey (Hamdallaye en 2008, Kollo en 2012, Koné Kaina en 2016).
Les réalités dans le bassin laitier périurbain de Niamey montrent que le goulot d’étranglement de la filière lait local a glissé de l’amont (améliorer la production laitière) vers l’aval (difficultés de commercialisation).
Cette étude dans la zone d’étude (Kollo, Hamdallaye) doit répondre à la question de recherche suivante : Quelle incidence a l’implantation des centres de collecte sur l’évolution des systèmes d’élevage ? -
Utilisation du gaz butane pour l’irrigation dans la Région d’Agadez
L’utilisation du gaz butane pour l’irrigation, à la place de l’essence, est une innovation qui avait été présentée par un inventeur nigérien au dernier SAHEL 2018. Cette technologie a commencé à se développer dans la Région d’Agadez au cours du premier semestre 2018. Elle est en train de prendre de l’ampleur au vu des avantages économiques par rapport à l’essence. La présente note présente les avantages de l’utilisation de cette technologie, les inconvénients et les mesures à prendre pour minimiser les risques. -
Projet de réservoirs et système d'irrigation au goutte à goutte
En saison sèche, la demande en eau destinée à l'irrigation est très élevée,mais il y a toujours des contraintes budgetaires. -
Pratiques d’élevage et indicateurs morphométriques de performance laitière chez les éleveurs de bovins Kouri au Niger
Dans la région de Diffa au Niger, une enquête a été conduite dans 140 exploitations, afin d’analyser les pratiques d’élevage et les performances laitières des bovins de race Kouri. Par ailleurs, les traits morphométriques indicateurs de performance laitière chez les éleveurs ont été documentés. Les éleveurs étaient des sédentaires et les troupeaux de taille moyenne pour la majorité (36 ± 30 têtes par exploitation). Chez les vaches ayant eu les plus récentes lactations complètes, la production laitière par vache a été en moyenne de 2,7 ± 1,4 litres par jour pour une durée moyenne de lactation de 7,2 ± 2,8 mois. Chez les vaches considérées comme les meilleures laitières, la production de lait par vache a été de 4,2 ± 1,5 litres par jour pour une durée moyenne de lactation de 8,9 ± 2,7 mois. -
Offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local en Afrique de l’Ouest - Document de Stratégie
L’initiative « offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local » participe de l’ensemble des stratégies visant à opérationnaliser, non seulement la politique agricole de la CEDEAO, mais surtout à mettre en œuvre le Plan Régional d’investissement Agricole, de sécurité alimentaire et nutritionnelle. Elle se veut un cadre et un instrument qui fédèrent, coordonnent et accompagnent toutes les initiatives en cours dans l’espace communautaire, en matière de développement des chaines de valeur du lait local.
L’offensive a pour objectif spécifique d’accompagner toutes les initiatives et stratégies de développement des chaines de valeur du lait local, afin de : Augmenter de façon substantielle la production locale du lait frais en améliorant la productivité du cheptel ; Améliorer l’approvisionnement de l’industrie laitière régionale au moyen de la collecte d’au moins 25 % de la production régionale de lait local à l’horizon 2025 ; Promouvoir un environnement incitatif au développement des chaines de valeur du lait local. -
Améliorer l’accès des éleveurs à une alimentation du bétail de qualité pour augmenter la production laitière dans les Pays sahéliens d’Afrique de l’Ouest
Réfléchir aux possibles voies d’amélioration de l’alimentation du bétail dans les pays sahéliens implique de dépasser des visions technicistes simplistes et d’étudier les systèmes d’élevage dans la complexité de leurs relations à l’environnement et aux autres systèmes de production. Au-delà de politiques agricoles favorables à une artificialisation des conditions d’élevage peu adaptées aux caractéristiques de ces milieux, l’enjeu se situe dans une meilleure compréhension et reconnaissance de la place de l’élevage dans les territoires et dans l’identification des leviers à actionner pour valoriser une diversité de ressources locales dans l’alimentation animale. -
Pour une politique commerciale et des politiques fiscales favorables au développement de la filière lait local en Afrique de l’Ouest
Note de position de la campagne « Mon lait est local ». La production et la commercialisation du lait local font partie intégrante de l’économie nationale et du mode de vie des familles d’éleveurs ruraux de l’Afrique de l’Ouest. Malgré son apport non négligeable à l’économie des pays de l’Afrique de l’Ouest, la filière lait local fait face à d’énormes défi s. Ces défi s se manifestent au niveau de la production laitière (alimentation du bétail notamment) et de la collecte, mais aussi au niveau de la transformation et de la consommation, avec notamment la concurrence de matières premières de la transformation et de produits de consommation importés. Dans ce contexte, les organisations de la campagne « Mon lait est local » plaident notamment pour la mise en œuvre de politiques publiques favorables au développement de la filière lait local dans les pays de la région. -
Pour un soutien ambitieux à la filière « lait local » en Afrique de l’Ouest
Le lait et les produits laitiers font l’objet d’une consommation croissante en Afrique de l’Ouest, avec une demande soutenue par la croissance démographique et une évolution des habitudes alimentaires (même si le niveau de consommation est encore bas par rapport à l’Afrique de l’Est et à l’Europe). La production de lait local fournit en moyenne plus de 80 % du lait consommé (2/3 si l’on ne considère que le lait de vache), mais les situations sont très contrastées : dans les pays sahéliens de l’intérieur, la population consomme essentiellement du lait local ; tandis que dans les pays côtiers, la consommation repose davantage sur les importations de lait en poudre. Face à ce marché porteur, les soutiens publics pour dynamiser la production locale s’avèrent bien insuffisants. -
Politique commerciale, politiques fiscales et filières lait en Afrique de l’Ouest - Analyse de cinq scénarios possibles d’évolution des politiques dans quatre pays de la région (Burkina Faso, Mali, Niger, Sénégal)
Le 1er juin 2018, de nombreuses organisations intervenant sur l’ensemble de la région ouest-africaine et d’organisations nationales du Burkina Faso, du Sénégal, du Mali, de la Mauritanie, du Niger et du Tchad (organisations agricoles, d’éleveurs, d’industriels et interprofessionnelles, ONG, centres de recherche et autres)1 lançaient la campagne « Mon lait est local ». Cette campagne vise à défendre et à promouvoir le lait local en Afrique de l’Ouest et au Tchad dans un contexte où les importations de produits laitiers et de mélanges alimentaires se substituant au lait ne cessent de progresser.
En effet, le lait et les filières laitières jouent un rôle essentiel dans le développement socio-économique et la sécurité alimentaire de nombreux territoires pastoraux et agro-pastoraux de la région. Le lait de vache représente une partie significative des revenus issus de l’élevage dans les pays sahéliens. En Afrique de l'Ouest, le pastoralisme et l’agropastoralisme font vivre et génèrent des revenus et de la sécurité alimentaire pour plus de 48 millions de pasteurs et agro-pasteurs. -
Guide et formulaires pour la préparation des petits projets d'irrigation en Afrique sub-saharienne
Selon les prévisions de croissance démographique, d'ici à l'an 2025, les besoins alimentaires dans la plupart des pays de l'Afrique sub-saharienne pourraient etre de deux et demie à trois fois supérieurs aux besoins actuels. Dans la plupart des pays,les possibilités de développement de l'irrigation sont limitées. D'une manière générale, l'accroissement de la production devra donc provenir principalement de l'agriculture pluviale. -
La place de la production laitière en zone sahélienne du Niger
Le Sahel est la zone semi-aride de l'Afrique tropicale bordant le Sahara vers le sud dont elle subit l'influence climatique. Cette zone s'étend sur une largeur de 200 à 300 km de l'Atlantique à l'Océan Indien, et va des isohyètes de 150 à 200 mm au nord et 600 à 700 mm au sud en années normales. -
Plan de communication stratégique de l'association pour la promotion de l'irrigation privée
Le présent plan de communication s'inscrit dans le cadre du PDS de l'ANPIP dont il constitue une composante majeur conformément aux TDR du Comité ad hoc. Il répond au souci des autorités,de l'association et des partenaires financiers notamment la Banque Mondiale de corriger les lacunes constatées dans la conduite des activités de l'ANPIP au cours de la phase expérimentale. -
Plan de développement stratégique de l'association pour la promotion de l'irrigation privée
La position géographique du Niger le soumet tout entier dans une zone sahélo-désertique avec toutes les contraintes physique, climatiques comportementaires induites. Cette situation s'est associée à une croissance démographique élevée et une culture encore très embryonnaire de l'irrigation pour enfoncer le pays des décennies dans un processus d’amenuisement de ses ressources naturelles et de paupérisation de sa population. -
Productivité de l'eau d'irrigation dans le bassin du fleuve Niger
Cette étude est réalisée dans le cadre du Basin Focal Point (BFP) Niger. Cette étude est le volet "irrigation", un des quatre volets du Work Package 3 qui lui porte sur la productivité de l'eau agricole. -
Projet de réhabilitation du périmètre laitier de Dembou
Au Niger, environ 20% de la population sont impliquées dans la production animale et 80% de totale exerçant des activités liées à des degrés divers au secteur de l'élevage qui occupe actuellement le deuxième rang après l'uranium dans l'économie. -
Rapport de mission au Niger : Promotion de l'irrigation privée phase II
Le Niger est un pays globalement déficitaire du point de vue alimentaire. Les tendances à la baisse de la pluviométrie et l'augmentation de la population ont amené les pouvoirs publics à développer l'irrigation comme moyen d'améliorer la production, l'objectif du pays étant d'atteindre à moyen terme l'autosuffisance alimentaire. -
Rapport du diagnostic approfondi des périmètre de Koura-Baria I
De l'indépendance à ce jour, le secteur rural occupe une place prépondérante dans l'économie du Niger. Il concerne entre 80% à 90% de la population et contribue pour 45 à 50% dans la formation du Produit Intérieur Brut (P.I.B). Tenant compte de l'état de crise dans lequel a sombré le secteur rural en raison justement de l'insuffisance du financement et des mauvaises orientations, des réflexions ont été engagées dans le sens du redressement de la situation. -
Audit comptable et financier des comptes du projet de promotion de l'irrigation privée (PIP II) pour la période allant du 1er Janvier 2007 au 31 Décembre 2007
Le Gouvernement Nigérien a adopté en janvier 2002, une stratégie de réduction de la pauvreté (SRP) dont l'objectif est de réduire l'incidence globale de la pauvreté de 63% à moins de 50% en 2015. Dans cette perspective, il a été élaboré en novembre 2003, une stratégie de développement rural (SDR), sensée opérationnaliser la SRP dans le secteur rural. -
Critères de sélection des bovins laitiers par les éleveurs autour de Niamey au Niger
Une enquête portant sur 164 éleveurs de bovins laitiers de la communauté urbaine de Niamey (Niger) a été menée pour identifier les paramètres à considérer localement lors de jugement zootechnique. Les interviewés, principalement des hommes (57,0 p. 100), illettrés (81,1 p. 100), appartenaient majoritairement aux ethnies Peul (56,1 p. 100) et Zarma (34,8 p. 100). L’étude a concerné 1 635 zébus dont 26,5 p. 100 étaient des vaches en lactation et 28,8 p. 100 des veaux. A l’achat des animaux, les éleveurs préféraient les vaches en lactation (41,0 p. 100), les génisses (33,5 p. 100), puis les mâles (23,9 p. 100). Le premier critère par les éleveurs pour choisir les bovins était la race : Djelli (66,4 p. 100), Azawak (12,2 p. 100) et Bororo (5,3 p. 100). Par ailleurs, les éleveurs identifiaient d’autres critères secondaires, tels que la robe (50,6 p. 100), la forme des mamelles (34,8 p. 100), l’état corporel de l’animal (8,5 p. 100), les testicules (2,4 p. 100) et les cornes (2,4 p. 100). -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (3)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise de laiterie pastorale » et se déclinent comme suit : Production du lait - Transformation du lait (en fromage) - Commercialisation du lait et de ses sous-produits -
Comment évaluer les performances globales de l'irrigation sur un aménagement hydro-agricole rizicole?
L'amélioration et la consolidation des aménagement hydro-agricole existants passent nécessairement par une évaluation de leurs performances. Il est donc nécessaire, pour se faire, de mettre à la disposition des techniciens de terrain des méthodologies avec des indicateurs simples pour procéder au diagnostic du fonctionnement des périmètre. -
Amélioration de la conduite alimentaire des troupeaux allaitants
L'élevage laitier en dépit de sa proximité de la ville et des dépenses importantes engendrées par l'alimentation, est confronté à un faible niveau de performance de production. Ceci est du à plusieurs raisons, à savoir notamment le bas niveau nutritionnel, le faible potentiel génétique des animaux, la non maitrise de santé animale et le faible niveau technique des éleveurs. -
Composante irrigation manuelle améliorée : Bilan de mi-parcours
Effectuer des tests sur le terrain sur un éventail de technologies manuelles appropriées à faible coût qui répondront à des critères de performances techniques et économiques, déterminés à
l'avance et qui seront d'un prix abordable pour les agriculteurs pratiquant la petite irrigation. Examiner la faisabilité technique et financière d'un éventail de forages et de puits pour servir à l'irrigation et identifier une ou plusieurs technologies qui répondront à des critères de performances techniques et économiques, déterminés à l'avance et qui seront d'un prix
abordable pour les agriculteurs pratiquant la petite irrigation. -
Convention de mise en œuvre et de gestion des activités du pole régional CORAF de la recherche sur les systèmes irrigués entre la CORAF et l'INRAN / Niger
Le Pôle régional CORAF de recherche sur les systèmes irrigués soudano-sahéliens est une forme d'organisation communautaire répondant à un enjeu régional important du développement rural, avec une gestion en commun de moyens propres à chacun des partenaires pour constituer une capacité régionale de recherche performante, ce qu'aucun des partenaires, pris isolément, ne pourrait faire. -
Étude préparatoire pour l'association régionale pour l'irrigation et le drainage
La fragilité de la situation climatique du pays à conduit le Gouvernement à accorder une première priorité au développement de l'irrigation en vue d'assurer la sécurité alimentaire des populations. II) Sur un potentiel de 270.000 ha, 81.800 ha environ sont mis en valeur à divers degré d'intensification . L'irrigation moderne à maîtrise totale de l'eau représente environ 13.000 ha. Quatre types de systèmes d'irrigation prédominent: Les périmètres collectifs irrigués par pompage à partir du fleuve Niger, les périmètres collectifs irrigués à partir de retenues collinaires, les périmètres irrigués par pompage à partir d es eaux souterraines et les périmètres privés. -
Évaluation de la convention de maitrise d’œuvre déléguée signée entre le MDA et l'ANPIP dans le cadre du projet PIP2
En dépit de la complexité du montage juridico-institutionnel dont elle est l'expression, et de son caractère novateur,des efforts considérables ont été fournis par les différentes parties prenantes dans l'exécution de la convention de maîtrise d'œuvre déléguée du PIP2. Ces efforts ont permis sur plusieurs points , la mise en œuvre de la convention dans les proportions prévues par ses dispositions et celles des autres documents pertinents qui la complètent. Des faiblesses ont cependant été mises en évidence. Elles se sont nourries des brèches offertes par des facteurs endogènes et exogènes. -
Note sur la mission d'évaluation à mi-parcours du projet de promotion de l'irrigation privée (ANPIP2)
Il est prévu dans l'Accord de Crédit 3621 NIR annexe 3 section 11.2 qu'une revue à mi-parcours soit menée conjointement par la Banque Mondiale et le Gouvernement du Niger et l'Association Nigérienne pour la Promotion de l'Irrigation Privée (ANPIP) pour faire le point de la mise en œuvre du Projet. De manière plus spécifique elle a pour but: d'évaluer les résultats atteints du projet par rapport aux objectifs globaux de développement ; d'évaluer les résultats de suivi et évaluation des activités du projet; d'évaluer les résultats atteints par rapport aux indicateurs de performance tels que décrits dans l'annexe 5 à l'Accord de Crédit; d'élaborer un plan d'action pour améliorer la performance du projet au cours de la période restante. -
Cadre stratégique pour l'eau agricole au Sahel
L’initiative pour l’Irrigation au Sahel (2iS) est une initiative conjointe de six pays du Sahel, coordonnée par le CILSS, appuyée par les communautés économiques régionales (CEDEAO et UEMOA) et soutenue par la Banque mondiale. Elle s’inscrit dans la suite du forum de Dakar sur l’irrigation au Sahel d’octobre 2013, forum qui s’est conclu par l’adoption d’une Déclaration par les Gouvernements du Sénégal, du Burkina Faso, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Tchad et leurs partenaires. L’objectif de l’Initiative est d’appuyer les États et les acteurs de l’agriculture irriguée en vue de porter les superficies avec maîtrise de l'eau en agriculture à un million d'hectares, tout en assurant la viabilité, la performance et la durabilité environnementale des systèmes irrigués existants et futurs ainsi que le développement agricole connexe. -
Développer l'irrigation en Afrique de l'ouest : vieux rêves et nouveaux défis
L’irrigation est une des priorités des politiques agricoles ouest-africaines depuis les indépendances. Ces politiques se sont d’abord concentrées sur l’aménagement de grands périmètres publics, avant d’intégrer progressivement un soutien à des plus petits périmètres
collectifs et à la petite irrigation privée (à l’échelle du producteur). Quelque peu délaissés à partir de la fin des années 1980, les grands aménagements connaissent un regain d’intérêt depuis la fin des années 2000. Quels ont été les résultats de ces différentes stratégies ? Leurs succès et leurs limites ont-ils permis de mieux orienter les politiques actuelles ? Quels débats restent posés pour les années à venir ? -
Production fourragère en zone tropicale et conseils aux éleveurs
Depuis longtemps, des tentatives d'introduction de plantes fourragères cultivées ont été faites dans de nombreux pays d'Afrique tropicale. Si les résultats sont satisfaisants, et même parfois encourageants en station (Burkina-Faso : Farako-ba, Banankélédaga, Mali : Sotuba, Côte d'Ivoire : Bouaké, Sénégal : Sangalkam, etc.) la vulgarisation pose problèmes et rares sont les villages où l'on peut observer des cultures fourragères en place et en bon état. Des obstacles existent, qu'il faut connaître avant de tenter l'introduction d'une culture fourragère. -
Les étapes du fonçage manuel d'un forage maraîcher : Fonçage à la tarière d'un forage maraîcher (étape 1)
Le forage maraîcher est un trou creusé dans le sol jusqu’à la nappe, dont les parois sont stabilisées par un tuyau à diamètre variable. C’est un ouvrage de mobilisation de l’eau d’irrigation. -
Les étapes du fonçage manuel d'un forage maraîcher : Prétuber le forage (étape 2)
Le forage maraîcher est un trou creusé dans le sol jusqu’à la nappe, dont les parois sont stabilisées par un tuyau à diamètre variable. C’est un ouvrage de mobilisation de l’eau d’irrigation. -
Un modèle de dispositif de conseil multi-acteurs, porté par une filière locale et autour d'un acteur pivot, un centre de collecte laitier paysan multi-service
Au Niger, une grande réforme du conseil agricole a été lancée en 2016. Le nouveau système national de conseil agricole SNCA se base sur une multitude de dispositifs de conseil sur le terrain - publics, de la profession agricole et privés. Les dispositifs publics sont d’ailleurs aujourd’hui minoritaires. Parmi ces dispositifs, il existe des dispositifs originaux portés par la filière lait local autour de centres de collecte laitiers paysans multiservices. Les centres de collecte reposent sur cinq piliers : (1) un bassin de production à l’amont ; (2) la contractualisation avec un industriel à l’aval ; (3) une gouvernance paysanne ; (4) multiservices : approvisionnement, collecte/commercialisation, conseil ; (5) collecter, refroidir, contrôler la qualité et vendre du lait cru plutôt que de le transformer (ce ne sont pas des mini-laiteries). -
La journée mondiale du lait
La journée consacrée au lait fait partie des nombreuses journées initiées par l’ONU, en l'occurrence ici par la FAO. Son but est de favoriser une prise de conscience des bienfaits de cet "or blanc" qu'est le lait. L'objectivité nous oblige tout de même à reconnaître que cette journée est très peu médiatisée, sauf par les organisations professionnelles laitières. Depuis sa création en septembre 2000, cette journée a pris tellement d’ampleur qu’elle est devenue un événement annuel dans plus de 40 pays à travers le monde... -
Etude de faisabilité du projet d'aménagement et de mise en valeur des périmètres irrigués dans la vallée de l'Irhazer et la plaine de Tamesna : étude d'impact environnementale et social (EIES)
L'objectif général du projet est de contribuer est de contribuer à la lutte contre l'insécurité alimentaire et à la valorisation des exportations agricoles, à travers l'aménagement et la mise en valeur des périmètres irrigués localisés dans la vallée de l'Irhazer et la plaine du Tamesna. -
Performances de reproduction et de production laitière de la vache taurine de race Kouri au Niger
Le kouri est une race taurine bien adaptée à l'environnement du Lac Tchad. Dans ces zones, L’élevage du kouri représente une contribution essentielle aux moyens d'existence des ménages. Une enquête a été conduite dans 140 ménages de la région de Diffa au Niger, en vue d’analyser les pratiques d’élevage en lien avec les performances de production et la conservation de ce taurin. La caractérisation zootechnique de la race a eu lieu au centre de Sayam à Diffa. -
Gestion sociale et diagnostic des infrastructures de distribution de l'eau sur le périmètre rizicole de Saga
Ce document, présente la situation actuelle de l’état des infrastructures hydrauliques et la gestion de l’eau sur le périmètre irrigué de Saga. L’étude a été basée sur des données collectées sur le terrain, et sur quelques rapports techniques faits sur ce périmètre. Cette étude révèle un périmètre confronté à un problème d’ensablement du chenal d’amenée, au vieillissement des pompes composant la station principale de pompage et de la station ainsi que celles de la station de drainage, des ouvrages hydrauliques peu entretenus et une gestion sociale de l’eau qui ne répond pas au respect du tour d’eau dans certains Groupements Mutuels de Production (GMP). -
Determination of the Optimal Dose of Tomato Irrigation in the Maraicher Site of Falki / Zinder (Republiqued of Niger)
The objective of this study is to determine the optimal irrigation dose of tomato through a test by varying the doses by the restrictive method of irrigation, 100% Db, 90% Db and 80% Db respectively for D1; D2 and D3. It is conducted in microirrigation at the Falki / Mirriah / Zinder vegetable site in Niger. The estimation of the dose is based on the knowledge of the ETo, the SEM knowing the crop coefficients and the useful reserve knowing the soil data. These calculations are done by the FAO CROPWAT 8.0 software. Irrigation water intakes during the experiment were 1517.45; 1365.73 and 1213.99 mm respectively for D1; D2 and D3. During this test on the device Full Block Reassonated (BCR 3x3); observations and measurements are made on the parameters taken into account (HMP; NMF/P; PMF and the yield per unit plot and per hectare). The statistical analysis of yield showed a significant effect for the treatments and describes the influence of the variation of the irrigation doses as such: the yield given by the D2 (46.69 t/ha) is superior compared to the D1 (36.04 t/ha) and D3 (37.80 t/ha). This variation shows that the optimal dose under local climatic conditions is D2 which gives the best yield and is water efficient with the use of 90% of the calculated gross dose. -
Niger : Lac de Guidimouni
Le lac de Guidimouni est situé dans la région de Zinder, département de Damagaram-Takaya, plus précisement dans la Commune rurale de Guidimouni. Il parcourt le long de la RN2 dans les environs de 2000 m sur sa rive droite. Le lac de Guidimouni est situé en zone sahélienne et reçoit en moyenne 300 à 400mm de pluie par an, ce qui fait de lui une zone aux contraintes climatiques moyennes. Il couvre une superficie de 338, 39 ha et forme une dépression endoréique allongée (SW-NE) sur près de 3 km de long et large de 700 m. Le plan d’eau est formé par deux grands étangs dont la profondeur moyenne dépasse rarement 1,5 m. Le lac évolue sur une plaine sableuse légèrement ondulée avec des altitudes variantes entre 390 et 395 m. Il est entouré de collines dont la hauteur maximum dépasse 590 m. Ce Lac, qui a une caractéristique morphologique d’une dépression accentuée, est alimenté de façon permanente par l’eau superficielle et de nappe à travers diverses sources dont la plus importante est la source de ʺGouzgourouʺ. Il a un haut potentiel de mise en valeur. -
Projets d’aménagements hydro agricoles avec des pratiques d’agriculture intelligente résilientes au changement climatique - cadre de gestion environnementale et sociale
L'objectif global du projet est de contribuer à l'augmentation de la production agricole nationale en renforçant la résilience des populations aux effets néfastes du changement climatique. Les objectifs spécifiques du projet sont : (i) intensifier la production agricole de manière durable en améliorant les rendements des cultures grâce à des aménagements hydro-agricoles conçus avec des systèmes innovants d'irrigation et de pompage solaire; (ii) protéger le capital productif contre les menaces des effets du changement climatique (ensablement, inondations, etc.); (iii) assurer le fonctionnement et la pérennité des infrastructures par le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des opérateurs et des services techniques. -
Comment extraire une pompe immergée dans un forage ?
L’extraction d’une pompe immergée est nécessaire pour la nettoyer, la réparer ou la remplacer. Cette opération délicate doit
toujours être effectuée pompe arrêtée et alimentation électrique déconnectée du coffret. Plusieurs personnes doivent opérer
de façon coordonnée pour ne pas casser le tuyau ni coincer la pompe dans le forage. -
A la rencontre des femmes, des hommes, de l'eau et de la terre du Sahel - Guide d'exposition photographiques
L’exposition que vous allez découvrir a été conçue en associant les images d’un photographe avec celles de professionnels du conseil.
Des situations prises sur le vif dans leur travail par des conseillers agricoles, collectées dans le cadre d’un concours dans toutes les régions du Niger, côtoient celles d’un regard différent sur l’agriculture irriguée, avec un parti-pris résolument artistique. L’alliance de ces deux regards démontre une beauté sans artifice inhérente au monde rural, mieux illustrée par les photos que par un long discours. -
Élevage bovin laitier dans la région du Poro (nord Cote d'Ivoire) : situation actuelle et perspectives de développement
La Côte d’Ivoire est un pays marqué par une grande tradition agricole qui lui confère aujourd’hui des performances remarquables dans le domaine des cultures d’exportation, notamment le cacao dont elle est le premier producteur mondial avec près de 1,4 millions de tonne/an. Le secteur agricole joue un rôle prépondérant dans l’économie ivoirienne. En effet, l’agriculture représente environ 40% du PIB ivoirien. Cependant, force est de constater que les productions animales notamment le lait et produits laitiers demeurent encore marginales dans l’économie ivoirienne dans la mesure où elles ne contribuent qu’à hauteur de 2,9% du PIB agricole et pour 1% du PIB total. -
Pratiques et aspects zootechniques de l’élevage bovin laitier en zone périurbaine de Bamako et au Nord du Mali
Au Mali, l'élevage, est un pilier de l'économie nationale et constitue une activité productive pour plus de 85 % de la population du pays. Il est toutefois menacé par certains phénomènes comme l’urbanisation, l’absence de schémas appropriés de croisement, un niveau faible d’implication de l’état dans le financement des producteurs mais aussi des phénomènes climatiques conduisant à la diminution progressive des ressources fourragères. Dans les zones périurbaines du Mali, en occurrence celle de Bamako, la situation évolue vers un développement important des élevages hors sol. Les Peuls, autrefois détenteurs des troupeaux, sont devenus des bergers ou vendeurs de lait dans la périphérie de la capitale, en raison du caractère purement commercial de la production laitière durant ces dernières années. Les stratégies d’amélioration génétique, alimentaire et de suivi vétérinaire amorcées par les projets de développement d’élevage et les Instituts de recherche n’ont pas donné de résultats satisfaisants visibles sur le terrain. Le but de cet article est de décrire la situation de l’élevage bovin au Mali et de présenter les nouvelles tendances en cours avec ou sans le consentement des producteurs. -
Manuel de formation sur les bonnes pratiques de production des bovins laitiers
L'agriculture est le pilier de l'économie du Burundi, représentant 30 % du produit intérieur brut (PIB) (données de février 2013), employant 90 % de la population active du pays et rapportant 90 % des recettes d'exportation. En dépit de ce rôle important, la production agricole a été peu modernisée et continue de reposer principalement sur une agriculture traditionnelle de subsistance, utilisant des technologies inefficientes et peu fiables. Le secteur de la pêche et de l'élevage est l'un des plus dynamiques et représente environ 10 % du PIB. Les bovins, les chèvres, les porcs, les moutons et la volaille sont les animaux d'élevage les plus courants. -
L’élevage de vaches laitières : plus de lait grâce à une meilleure gestion
Cet Agrodok vous fournira des informations sur les différents aspects de l’élevage de vaches laitières sous les tropiques : alimentation, reproduction et enregistrement des données. Il est destiné aux petits exploitants ayant un certain niveau d'instruction et de connaissances des vaches laitières. Il s'adresse également aux techniciens, agents de vulgarisation et spécialistes de production animale, qui jouent un rôle de conseillers auprès des petits exploitants et les aident à démarrer ou améliorer leur production de lait. -
Élevages laitiers à bas intrants : entre traditions et innovations
Les incertitudes économiques associées à la mondialisation des échanges laitiers et à l'arrêt des quotas, ainsi que les questions récurrentes autour de la durabilité des systèmes interrogent l'élevage laitier. Dans ce contexte, les systèmes de production à bas intrants qui s'appuient sur des pratiques traditionnelles pour innover dans l'organisation et les techniques d'élevage proposent des démarches intéressantes à analyser. -
Guide pour la sélection de technologies appropriées de l'irrigation
Ce document regroupe les fiches techniques par technologies conçues par les Composantes Irrigation Manuelle Améliorée et Irrigation Mécanisée de l'ANPIP.