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Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Ce manuel a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation.
Il est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des compétences des producteurs dans le domaine de la PI. Il donne aux fmateurs des références théoriques et pratiques pour mettre en oeuvre des actions de formations. LE MANUEL Structuré autour des dix module dont (6 sur les maladies , les ravageurs et les actions de lutte; et 4 autres sur :
la gestion des nématodes parasites des cultures . -
Aménagement et préparation du terrain en maraîchage. Pratiques paysannes au Niger
Cette note présente les explications du choix des planches de 10 m2 et fait un tour des pratiques paysannes que l’on rencontre au Niger. Ces pratiques peuvent s’expliquer, dans la majorité des cas, par les contraintes que rencontrent les producteurs et productrices et donc des choix raisonnés pour s’adapter. -
Le jardin potager dans les zones tropicales
Livre produit par le CTA, proposant des conseils pratiques pour la production maraîchère et arboricole -
Guide pratique du maraîchage au Sénégal
La dernière partie de ce document contient une série de fiches techniques relatives à la production de quelques vingt-trois espèces maraîchères couramment cultivées au Sénégal.
Ces fiches techniques sont certainement les fiches qui ont été le plus ‘’utilisés'' au Niger. De nombreux documents sont directement tirés de ces fiches, encore aujourd’hui. -
Note technique pour la culture du chou
Nous avons consulté une dizaine de fiches techniques sur la culture du chou, de différents pays, et les recommandations des sociétés productrices des variétés en vente au Niger. Il existe des variations importantes sur les itinéraires techniques possibles. Dans cette note nous avons choisi de partir de la fiche technique sur le chou incluse dans le « Manuel Technique de l'irriguant privé » du projet PIP2 (juin 2008) et de donner aux conseillers maraîchers des éléments de réflexion sur l’itinéraire technique pour les aider à mieux adapter leurs conseils à la situation des producteurs et productrices. -
Contribution de la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-niya) au renforcement des capacités des producteurs maraîchers de l’arrondissement communal Niamey 5
Ce travail est consacré à la problématique de renforcement des capacités des producteurs maraîchers dans un contexte d’usage concurrentiel du foncier entre activité maraîchère et habitation. Dans cette situation où la dynamique foncière se développe en défaveur du maraichage urbain, la FCMN-Niya mène des actions en collaboration avec ses partenaires techniques et financiers (appui-conseil de proximité, accès aux intrants) pour la sauvegarde et le développement du maraichage. Pour montrer l’usage concurrentiel du foncier qui caractérise le maraichage urbain ainsi que le rôle de la FCMN-Niya dans le développement des activités maraîchères. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
L’oignon est une des principales cultures irriguées dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis (Goulbi Maradi et Goulbi Kaba) et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données de 2015 du Ministère de l’Agriculture, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34.200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. La surface moyenne par producteurs est d’environ 1.200 m2 et le rendement moyen est évalué à 20 tonnes/ha (conseil de gestion aux exploitations 2017). -
Fiche technico-économique pour la culture de laitue
La laitue en Houassa Salati, est une culture de courte durée qui se cultive sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder. Sur les sites de Tiss et Middick en périphérie de la ville de Zinder, la laitue se cultive toute l’année, tandis que sur les autres sites elle reste encore une culture de saison sèche froide. Les superficies exploitées varient de 250 à 2500 m2 en saison sèche froide. -
Le poivron rouge de Diffa
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatassaye », est cultivé en irrigué dans la vallée de la rivière Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria. C’est la production irriguée majeure de la vallée de la Komadougou. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 8.000 à 10.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron est la culture « locomotive » de la vallée de la Koumadougou avec environ 6.000 producteurs. -
Atelier / Rencontre Indications géographiques et marques, les questions qui se posent
A la demande du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), un atelier d’échanges sur les Indications Géographiques a été organisé par le RECA en marge de la Journée nationale de l’oignon dans les locaux du SNAD le 26 juin 2013. Le thème de cet atelier a porté sur les Indications géographiques et marques, les questions qui se posent ? Le souci du choix de ce thème pour le PPAAO est de permettre aux responsables des organisations professionnelles agricoles de mieux comprendre le contenu des IG, les relations avec les marques et les questions de synergie avec les autres projets ayant des composantes IG comme le PRODEX, au regard d’expériences d’autres pays. -
La promotion des cultures maraîchères à travers des petits périmètres irrigués collectifs féminins ou mixtes
Le projet initial vise à améliorer la sécurité alimentaire et les moyens d’existence de 100 ménages agriculteurs du village de Bala-Gouré (Zinder) à travers la promotion des cultures maraîchères. -
Note conceptuelle pour le stage d’insertion professionnelle des étudiantes de l’UAC (ENEAM) dans les structures du MEF et du MPD
Le Girls’ Day, est une initiative démarrée depuis les années 2001 en Allemagne par le Ministère fédéral de l’éducation et de la recherche ainsi que le Ministère fédéral de la famille, des personnes âgées, de la femme et de la jeunesse grâce à de nombreux partenariats au sein des entreprises et institutions. Réalisée chaque année, il s’agit d’un jour d’orientation professionnelle pour les filles qui met l’accent sur les professions dominées par les hommes. Il a retenu très rapidement l’adhésion de plusieurs pays en Europe et en Asie. C’est en 2014 que cette initiative a été réalisée pour la première fois en Afrique en Ethiopie puis plus tard en 2016 en Egypte. En 2014, une première expérience sectorielle a eu lieu aussi au Bénin avec le projet eau de la GIZ sur le thème : « la mixité professionnelle dans le secteur eau et assainissement à l’intention des jeunes filles scolaires ». Cette année ce sont les étudiantes de l’ENEAM qui vont à la découverte des professionnels de la politique économique du Bénin. -
Restitution des résultats 2017 du Conseil de gestion aux producteurs de poivron de Gourgia et Laouni (Commune de Gazaoua)
La Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi et l’Union Son Kowa de Gourgia ont mis en place un suivi de 60 producteurs de poivron sur les sites de Gourgia et Laouni au cours de la campagne 2016 – 2017. Deux animateurs de l’Union (M. Saadou Leko à Gourgia et M. Hayo Mahamane à Laouni) ont aidé les producteurs à enregistrer les dépenses et les résultats de leurs parcelles de poivron. Ces résultats ont ensuite été analysés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi puis les éléments principaux ont été restitués aux producteurs de deux sites. -
Note sur les activités de la CdV arachide
La région de Zinder avec une capacité moyenne de production de 100.000 T d’arachide par an (soit 40% de la production nationale) était le premier « bassin arachidier » du pays, doté de deux unités industrielles de production d’huile (Magaria et Matamèye). Le développement d’autres productions oléicoles au niveau mondial, les changements climatiques (déjà) et des problèmes parasitaires ont contribué à une chute de la production arachidière et à la fermeture de ces unités industrielles dans les années 90. Actuellement, le Niger importe 80% de sa consommation d’huile, essentiellement de l’huile de palme des pays asiatiques. Toutefois, à partir de la fin des années 2000, on assiste à un retour de la culture d’arachide dans les systèmes de production, au regard des efforts de recherche variétale et d’une demande du Nigeria de plus en plus importante. A signaler qu’il n’existe pas d’étude récente sur la filière arachide au Niger. Selon les résultats du diagnostic des CdV réalisé par la CRA et le RECA en août 2015, une période de baisse de production a été encore enregistrée durant les 4 dernières années au niveau du principal bassin de production (Département de Kantché) de la région de Zinder. La production annuelle de la région en 2015 s’élève à 121 412 tonnes. -
Note sur le groupement de femmes transformatrices d’arachide en huile et tourteaux de Godo (Kantché)
La localité de Godo fait partie des bassins de production d’arachide de la région de Zinder et la majorité des femmes y exerce la transformation d’arachide en huile et tourteaux comme activité génératrice de revenu (AGR). En 2011, dans le cadre de la mise en œuvre du PASR1, la CRA a mené à Godo des séances de sensibilisation et d’information sur l’accès aux subventions. Le groupement de femmes Tatali de Godo a soumis un projet d’équipement en presses, décortiqueuses, broyeurs, bruloirs, moulin et abri. -
Fiche technique : Conduite pépinière poivron
Cette fiche technique a été réalisée dans le cadre du Projet d’appui à la Mutuelle N’Gada (Diffa). Elle sera progressivement améliorée à partir des travaux avec la recherche, les structures d’appui conseil et les producteurs. -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate
La tomate est l’une des principales cultures de la région de Maradi. Elle est produite en culture irriguée et en décrue le long des Goulbis Maradi et Kabba. Le cycle de production dure entre 90 et 120 jours. Les superficies exploitées varient entre 200 et 3.000 m² par producteur. Avec une superficie moyenne de 500 m², on peut obtenir un rendement de 1 tonne soit un produit de 76.000 F.CFA pour 33.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 43.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre fait partie des cultures maraichères les plus pratiquées dans la région de Maradi. Elle est cultivée sur presque tous les sites situés le long des Goulbi Maradi et Goulbi Kaba, principalement sur le site de Mafalia situé à l’extrémité ouest de la ville de Maradi. Sa production se fait en une campagne, en saison sèche froide, avec un cycle variant entre 70 à 120 jours selon les variétés. En moyenne, une production d’environ 1 000 kg pour 1 000 m2 permet de dégager un produit de 200 000 F.CFA pour 91 000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 109 000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
Dans la région de Maradi, l’oignon est principalement cultivé dans les zones traversées par le Goulbi Maradi et le Goulbi Kaba, et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données du Ministère de l’Agriculture de 2015, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34 200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. Le rendement obtenu est évalué entre 15 à 50 tonnes/ha. En moyenne, pour 1000 m², une production de 3 tonnes (rendement de 30 tonnes/ha) permet de dégager des revenus de 200 000 F.CFA pour 52 000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 148 000 FCFA et un ratio produits/charges supérieur à 2 -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds. Il est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou est de 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 2.215 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un produit de 155.000 FCFA pour 77.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 78.000 F.CFA. -
Le poivron, chaine de valeur principale de la région, un accompagnement continu de la CRA de Diffa
La Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa a commencé à fonctionner en 2008. Depuis cette date, elle a été impliquée dans les différents programmes qui ont concerné l’appui à la filière poivron. Cette note fait le point des différentes actions mises en place depuis 2006 dans la région de Diffa qui ont concerné la production de poivron. Le poivron rouge est la culture « locomotive » de la vallée de la Komadougou (150 km de long de Tam au Lac Tchad) avec plus de 6.000 producteurs et apporte des revenus pour environ 40.000 personnes. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 8 à 10.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron rouge de Diffa est une épice. Il se consomme en poudre principalement comme condiment. Il s’agit en fait d’un poivron piquant ou d’un piment doux, un « paprika ». C’est une culture récente, introduite vers 1956 du Nigeria et qui s’est réellement développé que dans les années 90. -
Document de démarrage équipe chaine de valeur Proposition : Liste brute des filières (chaînes de valeur) à analyser Commentaires 3 / filière sésame
Dans le cadre du démarrage des études préalables rentrant dans le cadre de l’identification de la deuxième phase de l’appui au secteur agricole de la coopération danoise, une étude sur les chaînes de valeur est en cours. L’objectif de cette étude est de mener une analyse des chaînes de valeur du secteur agricole afin de proposer des axes d’orientation pour la formulation du nouveau programme. Les produits permettront d’alimenter la rédaction du document du programme d’appui et de description des composantes. Le RECA a commencé la rédaction de notes pour chacune des chaînes de valeur qui ont été retenues lors de la réunion de cadrage de l’étude, à partir de son expérience et de celle des Chambres d’Agriculture. -
Document de démarrage équipe chaine de valeur Proposition : Liste brute des filières (chaînes de valeur) à analyser Commentaires 4 / filière arachide
Dans le cadre du démarrage des études préalables rentrant dans le cadre de l’identification de la deuxième phase de l’appui au secteur agricole de la coopération danoise, une étude sur les chaînes de valeur est en cours. L’objectif de cette étude est de mener une analyse des chaînes de valeur du secteur agricole afin de proposer des axes d’orientation pour la formulation du nouveau programme. Les produits permettront d’alimenter la rédaction du document du programme d’appui et de description des composantes. Le RECA a commencé la rédaction de notes pour chacune des chaînes de valeur qui ont été retenues lors de la réunion de cadrage de l’étude, à partir de son expérience et de celle des Chambres d’Agriculture. -
Accès des femmes au foncier agricole
La femme peut accéder à la propriété foncière agricole par héritage. Selon le droit islamique, les femmes héritent d’une part égale à la moitié de celle d’un homme. La décision du conseil de famille peut être confirmée par la justice au besoin. Le droit de propriété coutumier doit être confirmé par la mémoire collective. Il confère au titulaire la propriété pleine et effective de la terre. La femme qui hérite d’une terre en est propriétaire. -
Note visite des sites maraichers de Tiss et Midick
La CRA a initié le lundi 22 janvier 2017 une sortie sur les sites maraichers de Tiss et de Midick en périphérie de Zinder. La Direction Régionale de l’Agriculture et la Fédération de Coopératives Maraichères du Niger (FCMN-Niya) ont été associées à cette visite dont l’objet est d’observer les pratiques de production maraîchère et d’échanger avec les producteurs sur les techniques de production, l’approvisionnement en intrants, l’accès à l’eau, les problèmes phytosanitaires rencontrés et le crédit agricole. -
Fiche technico-économique pour la culture de la courge Bagobira
La courge, Kabewa en Houassa, est une culture que l’on retrouve sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder, particulièrement dans les départements de Mirriah (sites de Falki et Mirriah), DamagaramTakaya (site de Guidimouni), Kantché (sites de Doungou et Massassaka Haousa), Magaria (site de Bandé), Doungass (sites de Wacha, Kakibaré et Gayi), Gouré (site de Gassafa) et à Zinder (site de Tiss). Les parcelles exploitées varient de 250 m2 à 2 500 m2. En moyenne, pour 2 500 m2, un cycle de production de la courge dure 90 jours et donne un rendement de 24 Kwarya (12 tonnes) avec des récoltes pouvant s’échelonner sur 6 mois. Elle permet de dégager une marge brute de 1.668.500 F.CFA pour 131.500 F.CFA de charges. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche froide
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. Dans la région de Dosso, la principale zone de production est le Dallol Maouri, Département de Tibiri, avec des surfaces cultivées variant de 0,05 ha à 1 ha par producteur. Elle est souvent cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 9,24 tonnes (42 korya) de pastèque permet de dégager des revenus de 840.000 F.CFA pour 230.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 610.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour l’oignon rouge
L’oignon rouge de Sokoto ou encore appelé Dan Yaouri en haoussa est une des principales cultures irriguées de la commune de Gaya. Cet oignon a un cycle de 90 à 115 jours du repiquage à la récolte. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 0,1 ha et 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 7 tonnes permet de dégager des revenus de 788.000 F.CFA pour 158.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 630.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l'oignon blanc
L’oignon blanc appelé « albassa koiraye » en Djerma ou « faral albassa » en Haoussa est cultivé principalement dans la Commune rurale de Soucoucoutane, département de Doutchi. Cela reste une variété peu connue, avec une production limitée, mais qui pourrait trouver une meilleure place sur les marchés dans les années à venir (diversification). Le cycle de la culture varie entre 90 à 120 jours quand les bulbes produits sont destinés à la vente directe sur le marché, et entre 120 et 150 jours quand il s’agit des bulbes de conservation. En moyenne, pour 1000 m², on obtient une production d’environ 3.640 kg qui permet de dégager un produit de 448.000 F.CFA pour 130.000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 318.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la laitue
La laitue ou « salati » en haoussa est l’une des principales cultures irriguées du département de Doutchi (région de Dosso). Les bassins de production sont Matankari, Kiéché et Doutchi. Au cours de l’année, un producteur peut effectuer 5 à 6 cycles de production. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 500 à 1 500 m2. En moyenne pour une surface de 1000 m² on obtient une production de 1 650 kg (64 planches de 10 m²) qui permet de dégager par cycle de production 272 000 F.CFA pour 23 410 F de charges opérationnelles et une marge brute de 248 590 F. -
Fiche technico-économique pour la culture de la carotte
La carotte est une production très cultivée sur le site de Soumarana situé à 5 km de Maradi. La production se fait en une campagne en saison sèche froide. La variété la plus cultivée est la carotte « Touchon » en provenance du Nigeria. Elle est vendue sur le site et acheminée par les acheteurs sur les marchés de Maradi pour sa commercialisation. Le cycle de la carotte varie de 90 à 120 jours avec un rendement de 19 à 49 tonnes à l’hectare, soit près de 290 planches de 3 m2. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 3,5 tonnes permet de dégager des revenus de 159.500 F.CFA pour 89.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 70.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds autour des puits et forages. Les principales zones de production sont : Mafalia (Maradi), Garin Daouré (Tibiri), Gourjia et Laouni (Gazaoua). Le chou est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou dure 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 1.680 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un revenu de 118.600 F.CFA pour 39.100 F.CFA de charges et donc une marge brute de 79.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour le piment vert
Le piment appelé Tonka en Haoussa comme en Zarma, est une culture que l’on pratique sur presque tous les sites maraîchers du département de Gaya. Les superficies exploitées se situent entre 0,25 ha et 0,75 ha. Un cycle de production de piment vert dure 5 à 6 mois. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 4 tonnes permet de dégager un produit brut de 650.000 F.CFA pour 72.000 FCFA de charges et donc une marge brute de 578.000 F.CFA et un ratio produits/charges de 9. Ce résultat est obtenu par les exploitations agricoles employant principalement de la main d’oeuvre familiale -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre communément appelée « dankali tourawa » en haoussa est l’une des principales spéculations maraîchères de la région de Dosso. Elle est cultivée au niveau du département de Doutchi et de Tibiri et dans une moindre mesure dans la commune de Harikanassou. Selon la variété le cycle de la pomme de terre varie de 70 à 120 jours. Les surfaces mises en valeur varient de 200 à plus de 6.500 m² selon les localités de production. En moyenne, pour 0,5 ha on obtient une production d’environ 6.328 kg qui permettent de dégager 1.582.000 FCFA pour 558.250 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.023.750 FCFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du poivron
Le poivron est la culture principale pratiquée le long du Goulbi Kaba situé au Sud du chef-lieu du département de Gazaoua dans la région de Maradi. Selon une estimation de la CRA réalisée en 2014, plus de 12.000 tonnes de poivron frais sont produits par an dans la région. Le poivron a un cycle de 120 à 150 jours avec 5 à 8 récoltes par campagne pour un rendement évalué entre 10 et 15 tonnes/ha. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 1,5 tonne permet de dégager des revenus de 284.000 F.CFA pour 93.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 190.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche chaude
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une Cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. La principale zone de production concernée est le Dallol Maouri département de Tibiri avec des surfaces cultivées variant de 0,05 à 1 ha par producteur. Elle est principalement cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 11 tonnes permet de dégager un produit brut de 1.785.000 F.CFA pour 235.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 1.550.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon feuilles
L’oignon-feuilles, encore appelé en haoussa Albassa mai gangné ou shafa, est une des principales cultures irriguées de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Damagaram Takaya, Kantché, Magaria, Doungass et Gouré. L’oignon-feuilles a un cycle de 90 à 110 jours du repiquage à la récolte. Les surfaces cultivées sont disparates et varient souvent de 0,1 à 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 9 tonnes permet de dégager des revenus de 1.700.000 F.CFA pour 250.000 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.450.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 6. -
Conseiller en maraîchage - Site de Falki
La mare de Falki se situe à 4 km au Sud-Est de la ville de Mirriah. Cette mare est un site important de cultures irriguées. -
Conseiller en maraîchage - Visite site de Gafati
Gafati est une commune rurale située à 15 km à l’Est de la ville de Zinder. Ce 12 février 2016, les producteurs de Gafati signalent des attaques fortes des plants de piment, jeunes et adultes, se traduisant par des déformations, des décolorations ou chlorose des feuilles (principalement des jeunes feuilles mais aussi des feuilles adultes) et un rabougrissement des plants. On dénombre 40 à 50% de plants attaqués alors que la production n’a pas encore commencé. -
Conseiller en maraîchage / Cas pratiques (4) Attaques sur tomates
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers maraîchers (OP, services techniques, GSC, …). Il s’agit d’une visite auprès des producteurs de tomate de Bourboukabé à 15 km au nord de Niamey. Dans ce village, les producteurs pratiquent la culture de la tomate depuis plus de 25 ans, avec différents cycles de production adaptés aux différents terrains disponibles. Le premier cycle de production correspond à des semis en pépinière au début du mois d’août et une récolte qui commence en octobre alors que les prix sur le marché de Niamey sont encore élevés (15.000 à 18.000 F le panier de 32 kg). C’est une production économiquement importante pour ces producteurs. La production se fait sur des sols sableux de chaque côté de la vallée qui est encore inondée. -
Formation maraîchage : la pépinière Conseiller en maraîchage
Cette note a été rédigée par l’équipe technique de la Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso avec l’appui du RECA. Cette note est produite à l’intention des conseillers et animateurs maraîchers des dispositifs d’appui conseil (OP, ONG, GSC, STD), notamment dans le cadre du programme de formation de jeunes agriculteurs et agricultrices. -
Conseil en maraîchage - Site maraîcher de Gourdjia (Maradi)
Les 4 et 21 mars 2016, une équipe technique composée de la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi et du RECA a rendu visite à l’Union des producteurs de Gourdjia sur le site de production maraîchère de Darto. Gourdjia est une vallée où la culture principale est le poivron. En 2014, les producteurs de Gourdjia Darto ont bénéficié d’un champ école paysan du PPI Ruwanmu sur la culture de l’oignon. Les producteurs participant au CEP ne pratiquaient pas cette culture. -
Formation des formateurs Jeunes agriculteurs et agricultrices Module sur la pépinière
Les pépinières sont des endroits où le maraîcher fait germer et pousser ses graines en pleine parcelle ou sur pilotis ou planche surélevée. L’objectif de ce module permet de maîtriser la conduite d’une pépinière afin d’optimiser les rendements des cultures maraîchères. -
L’accès des femmes et des jeunes au foncier
La question de l’accès au foncier des femmes et des jeunes revient souvent dans les projets de développement. Accéder au foncier permettrait en effet à ces catégories de personnes qui sont surreprésentées dans les populations les plus vulnérables de disposer d’une source de revenus. La question qui se pose en pratique aux projets est « comment faciliter cet accès ? ». Cette note donne des éléments de réponse à partir des aspects juridiques. Elle sera complétée par un travail sur les expériences réussies ou non. -
Guide pratique du maraîchage au Sénégal
Ce guide porte sur le maraîchage au Sénégal -
Étude de développement des oasis sahéliennes en République du Niger (edos) : support de formation sur les techniques des cultures maraichères
Dans le cadre de son programme d’appui aux cultures de contre saison, l’Etude de Développement des Oasis Sahéliennes en République du Niger (EDOS) a initié des formations à l’endroit des producteurs maraîchers de ses sites afin de mieux les accompagner dans la mise en valeur.
Le présent support est destiné aux exploitants des sites maraîchers. Il comporte l’ensemble de la démarche à suivre dans la conduite des cultures maraîchères -
Rapport de la mission de cadrage RVO sur l'emploi des jeunes dans les chaînes de valeur agricoles: Niger Catalystas
Le Niger est l'un des pays les moins développés du monde, avec les indicateurs socio-économiques et de développement les plus pauvres (0,364 Indice de Développement humain, PNUD 2017) et la plus forte croissance démographique (7,6 enfants par femme en moyenne). Au cours de la mission au Niger et sur la base de recherches ultérieures, Catalystas Consulting a découvert que les jeunes et les femmes sont confrontés à des contraintes différentes pour "trouver un travail productif et décent. -
La femme entrepreneure nigérienne au centre de la transformation des produits locaux
En raison de la Pandémie du Covid 19 et la difficulté d’organiser des évènements en live, le réseau AgriProFocus rend hommage à la Femme Nigérienne, à travers ce portait de 5 femmes leaders dans la transformation des produits locaux du Niger, en cette journée spéciale de la femme nigérienne!!! -
FCMN (Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger)
La Fédération des coopératives maraîchères du Niger (FCMN-Niya) est une organisation paysanne faîtière créée en 1996 à l'initiative de 11 coopératives des régions de Niamey, Tahoua, Dosso et Tillabery et ce, à la faveur de la loi coopérative régissant les organisations rurales à caractère coopératif. Le mot « Niya » veut dire volonté ou engagement en langue locale et ceci, pour affirmer la détermination des membres à faire de leur organisation une structure phare en matière de développement au Niger. -
APREL
Ressources techniques pour la production légumière issues d'une station de recherche française -
Maison des femmes d'Agadez
Association (ONG) Loi 1901, laïque, démocratique, à but humanitaire, qui s'inscrit dans une volonté de développement durable par l'alphabétisation et la formation des petites filles et des femmes d'Agadez, en zone Touaregue, au Niger. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Le présent manuel est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui du PromAP à travers sa composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
Techniques de production des cultures irriguées
Ce présent manuel porte sur les Techniques de production des cultures irriguées -
Diffusion du maraîchage féminin au Niger
L’essor récent du maraîchage féminin le long du fleuve Niger offre aux géographes une excellente opportunité d’aborder les phénomènes de propagation spatiale dans une perspective qui privilégie l’explication à la formalisation. -
Analyse approfondie des chaines de valeur « porte d’entrée » au pecea 2014-2018
Dans le contexte actuel du Niger, caractérisé par une paupérisation croissante de l’immense majorité d’une population en proie à l’insécurité alimentaire (devenue quasi chronique), il reste indéniable que la promotion de l’économie locale constitue une alternative pour l’amélioration des conditions de vie des populations. En effet, convaincu qu’aucun développement durable n’est possible sans une implication effective des populations rurales et un accompagnement conséquent des acteurs ruraux en vue du renforcement de leurs capacités, la Coopération danoise au Niger envisage d’apporter un appui considérable dans la promotion des Chaines de Valeur Ajoutée par notamment, le renforcement des initiatives et des capacités des acteurs au niveau des différents maillons. Ceci permettra ainsi, de développer la production de valeur ajoutée créatrice de croissance et d’emploi, conditions somme toute nécessaires pour l’amélioration du niveau de vie des populations bénéficiaires des actions du Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique dans l’Agriculture (PECEA). -
Les bonnes associations au jardin
Un formateur en environnement présente des exemples d'associations végétales utiles en maraîchage. -
Formation maraîchage sur sol vivant : 1 : introduction
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage. -
Formation maraîchage sur sol vivant : 2 : approche globale de la fertilité des sols : cycles de l'azote et du carbone
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 3 : Fonctionnement du sol
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 4 : compostage à froid
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 5 : azote et autofertilité
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 6 : calcul des apports d'azote
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 7 : la légumineuse
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 8 : concilier productivité, économie et environnement
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 9 : physique du sol
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 10 : biologie du sol
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 12 : les ravageurs : limaces, taupins et autres
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 11A : comment construire un système de cultures : exemple de couvertures
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Formation maraîchage sur sol vivant : 11B : comment construire un système de cultures : exemple de couvertures
Cette vidéo fait partie d'un cours complet de 12 vidéos pédagogiques sur la gestion de la fertilité des sols dans les systèmes maraîchers, pivot des pratiques agro-écologiques en maraîchage -
Le maraîcher de Boulmiougou
Histoire d'un maraîcher producteur de fraises à Boulmiougou -
Burkina Faso : produire plus et mieux avec moins d'eau
Au Burkina Faso, la longue saison sèche rime de moins en moins avec l’oisiveté chez les agriculteurs et agricultrices. Beaucoup s’adonnent au maraichage qui devient aujourd’hui l’une des principales activités génératrices de revenus pendant cette période. Mais sans formation, manquant de moyens, nombre d’entre eux collectionnent des difficultés. Avec comme contrainte majeure, la disponibilité de l’eau.
Entre 2013 et 2019, le programme de développement des terres arides, DryDev, a accompagné des femmes et des jeunes maraichers au développement de leurs activités dans plusieurs communes du pays.
Des interventions du programme ont consisté entre autres à des formations sur la gestion optimale de l’eau, sur les itinéraires techniques de productions et sur la technique du compostage en tas. Le programme a également appuyé l’aménagement de périmètres maraichers, la réalisation de forages et la facilitation de l’accès aux intrants. -
Technique de production maraîchère
Présentation de la préparation du sol, de la mise en pépinière et du repiquage par un formateur agronome intervenant au Tchad -
Des conseils pour un maraîchage toute l'année
Dans la commune d'Ajar, dans le Guidimakha, 17 villages pratiquent le maraîchage toute l'année en mutualisant les moyens et le conseil agricole (version française). -
Diffusion du maraîchage féminin
L’essor récent du maraîchage féminin le long du fleuve Niger offre aux géographes une excellente opportunité d’aborder les phénomènes de propagation spatiale dans une perspective qui privilégie l’explication à la formalisation.
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Les productrices maraîchères de la commune Rurale de Tondikiwindi (Niger) s’adaptent à l’adversité climatique
La campagne agricole 2011-2012 au niveau national en général et régional en particulier a été caractérisée par un déficit céréalier qui a conduit le gouvernement nigérien à élaborer un plan de soutien aux populations vulnérables et à demander l’appui des différents partenaires en vue d’y faire face. -
État des lieux des cellules Genres des Ministères
En conformité avec les recommandations de la Conférence de Beijing sur les femmes qui invitent les Etats à prendre des mesures urgentes et pertinentes pour
lever toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et de créer les conditions durables pour assurer l’équité et égalité entre les femmes et les hommes, le Niger a procédé à l’élaboration d’une Politique Nationale de Genre (PNG). Ce document de référence a permis de faire le point en matière de prise en compte du genre dans tous les secteurs de la vie socio-économique et politique d’une part, mais aussi proposer des stratégies pour remédier aux insuffisances constatées. -
Techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel
Techniques de maraîchage. gestion des exploiataions maraîchères. fiches techniques de production des cultures maraîchères -
Techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel : Guide destiné aux Techniciens, Agents Prestataires de Services (APS) et
Animateurs Villageois (AV)Ce guide porte sur les techniques d’irrigation et de production améliorée en cultures maraîchères au sahel -
Cultures maraîchères à Madagascar
Le présent guide pédagogique porte sur les bonnes pratiques agricoles au Madagascar. -
Mémento technique et économique du maraîchage à Kimwenza (Kinshasa)
Ce mémento comprend un référentiel technique et économique pour la conduite du maraîchage à Kimwenza -
Un jardin sans travail du sol
Ce guide présente les technique de jardinage sans travail du sol -
Les cultures légumières en agriculture biologique
Ces fiches ont pour objectif d’éclairer le maraîcher débutant sur la programmation des mises en culture, puis de l’aider à réaliser les différents travaux d’entretien depuis la fertilisation jusqu’à la vente. Elles peuvent aussi aider l'‘apprenant à élaborer son projet d’installation, en apportant un complément aux connaissances de base acquise par ailleurs. -
Fiche maraîchage n° 1 : solarisation
Cette fiche technique explique comment réaliser la solarisation en maraîchage -
La Production et Protection Intégrées appliquée aux cultures maraîchères en Afrique soudano-sahélienne
Ce document est destiné aux ingénieurs agronomes et aux vulgarisateurs. Il propose une stratégie pour la production de légumes « sains » afin de les guider vers la constitution de protocoles de cultures ou de référentiels techniques qui permettraient de donner aux maraîchers les connaissances pour produire des légumes bénéficiant d’un label assurant des produits de qualité. -
Guide tropical
Ce document comprend un ensemble de fiches techniques de bonnes pratiques relatives à l'agriculture -
Utilisation des fumures organique et minérale sur cultures maraîchères en Cote d’Ivoire
Eléments techniques sur l'utilisation de fumures minérales et organiques en Côte d'Ivoire -
Guide de formation : recherche sur le genre et les changements climatiques dans l'agriculture et la sécurité alimentaire pour le développement rural
Le guide de formation est destiné aux spécialistes du développement agricole qui ont besoin d’informations de meilleure qualité sur les moyens que les hommes et les femmes ont de s’adapter au changement climatique et d’en atténuer les effets, et sur la manière de répondre à leurs besoins en sous-tendant le développement de communautés rurales résistant au climat. -
Interactions du genre, de la biodiversité agricole et des savoirs locaux au service de la sécurité alimentaire - manuel de formation
Ce manuel de formation représente un guide conceptuel
pour les formateurs qui peut être utilisé pour les guider dans les questions de genre et de savoirs locaux qui sont des éléments importants pour la gestion de la biodiversité agricole et la sécurité alimentaire -
Analyse de la Chaine de Valeurs d’oignon (Allium Cepa L.) Blanc de Soucoucoutane au Niger
La production d’oignon est une activité très rependue au Niger avec une diversité de variétés. Ce travail s’intéresse à l’oignon blanc « El Soucoucoutane », une variété peu connue. L’objectif de cette étude est de mettre en évidence les principaux acteurs ainsi que leurs activités à travers l’approche chaîne de valeurs. Pour évaluer les contraintes et les opportunités de cette filière oignon, la méthode SWOT a été utilisée. -
Impact de l'élevage de la chèvre rousse de Maradi sur les statuts socio-économiques de la femme rurale au Niger
Au Niger, l’élevage, 2ème source de devises après l’uranium, représente environ 35 % du PIB agricole et contribue au PIB total pour 11 %. La contribution du secteur de l’élevage aux budgets des collectivités est relativement importante (25 à 30 % des apports). Au niveau de l’économie familiale, la part de l’élevage serait d’environ 15 % dans le budget du ménage.
Malgré sa contribution importante à l’économie du pays, des collectivités et des ménages, les productions animales demeurent très traditionnelles dans leur mode de conduite et très extensives dans leurs systèmes d’exploitation. -
La place des femmes au sein des comités villageois de gestion et autour de l'exploitation des mares dans l’Arrondissement de Gaya
Au Niger, comme dans la plupart des pays où l'économie paysanne est dominante, les femmes occupent une place primordiale au sein des structures familiales et villageoises.
Elles représentent en quelque sorte le noyau dur autours duquel s'articule l'ensemble des systèmes économiques et sociaux de production et de reproduction de chaque communauté.
Une analyse portant sur l'organisation en comité des différents acteurs économiques d'un espace donné doit nécessairement prendre en compte le rôle que jouent les femmes dans cette économie. Elle doit identifier leur mode d'accès aux ressources vitales et l'importance qui leur est consacrée dans les instances de décisions et de régulations des conflits liés à l'usage même de ces ressources.
Nous éviterons ici d'aborder ce thème dans un discours féministe ou misérabiliste qui tend à considérer les femmes comme unique victime d’une société dominée par le pouvoir des hommes et où la solidarité entre les sexes est inexistante, nombreux sont les exemples qui contredisent ce point de vu. Cependant il faut bien reconnaître que la plupart des structures juridictionnelles, économiques et politiques locales et nationales sont majoritairement gérées par les hommes et que les femmes y occupent une place secondaire. -
Impacts des activités maraichères sur les revenus des producteurs au Niger: cas du site de Gamkalle
Cette étude vise à caractériser la production maraîchère péri urbaine à Niamey, à Gamkallé en particulier et à estimer les revenus des producteurs. L’enquête a concerné 50 producteurs maraîchers choisis de manière aléatoire sur le site de Gamkallé.
Les paramètres de la caractérisation sont la taille des exploitations maraîchères, leur tenure foncière, les types de spéculations qui y sont cultivées et le système de production. L’estimation des revenus a été effectuée en déduisant du prix de vente total les coûts de production à savoir la location de la terre, les semences, les engrais, les pesticides, la main d’oeuvre et l’équipement.
Il en ressort que les producteurs peuvent être repartis en trois (3) catégories: les grands producteurs, les producteurs moyens et les petits producteurs et que les revenus varient selon les catégories de producteurs. -
Cahier du formateur : « Le maraîchage en hivernage » (préparation du terrain au repiquage)
Ce guide explique et illustre de façon simple les différentes notions sur le maraîchage et propose des questionnaires à poser aux participants . Ainsi, ils découvriront par eux-mêmes les différentes techniques à partir des dessins et de photos repris dans le montage Power Point qui servira de support central à la formation. -
Les principaux ennemis des cultures maraîchères au Sénégal
La production des légumes au Sénégal 1976-1977 est d'environ 100.000 T d'après la Direction Générale de la production Agricole. Celle-ci espère atteindre en 1981-1982 environ 140.000 T -
Guide d'appui à la conduite des cultures horticoles pour la formation des animateurs endogènes et des producteurs pilotes
Ce guide a été conçu spécifiquement pour appuyer la formation des animateurs endogènes et des producteurs pilotes sur le terrain. -
Gestion intégrée des nuisibles en production maraîchère : Guide pour les agents de vulgarisation en Afrique de l’Ouest
Très souvent, les agents de vulgarisation ne connaissent pas la cause des problèmes communs des nuisibles dans les cultures. Les problèmes de nuisibles surgissent généralement quand les processus biologiques, écologiques et sociologiques qui soutiennent l’agriculture sont perturbés.
Ce guide aide à pallier ce manque d’information. Il s’agit là de l’une des nombreuses mesures de l’Institut international d’agriculture tropicale (IITA) pour permettre aux agents de vulgarisation de développer et d’utiliser les technologies. Ce guide porte avant tout sur l’identification correcte et sur la meilleure compréhension de la biodiversité dans le développement et dans l’application des options de gestion intégrée des nuisibles (GIN) contre les nuisibles des légumes. La GIN est une approche à forte concentration de savoir qui a pour but d’augmenter la profitabilité des systèmes agricoles tout en réduisant au minimum les menaces pour la santé humaine et l’environnement.
Les exemples spécifiques dans ce guide portent sur le Bénin, mais les méthodologies et les informations générales s’appliquent à d’autres sites de production maraîchère en Afrique de l’Ouest. -
La vente des poissons frais ou autonomisation de la femme Kanouri
La pêche est une activité économique très importante dans la région de Diffa. C’est pourquoi la Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa s’intéresse et travaille avec les pêcheurs de cette région, afin d’augmenter la valeur ajoutée du produit. Pour contribuer à cela, les acteurs de la filière pêche ont prévu la construction d’un marché de demis gros à Diffa dont le financement est prévu conjointement par le Programme de développement de l’agriculture familiale dans la région de Diffa (ProDAF Diffa) et le Programme de réhabilitation et de renforcement de la résilience des systèmes socio-écologiques au Tchad.
La majeure partie du produit de la pêche est transformées par les pêcheurs sur place en poissons fumés. Ces poissons fumés sont ensuite expédiés vers les marchés du Nigeria et les autres régions du Niger. Une petite quantité est vendue en frais à des femmes et hommes qui les transportent pour la plupart vers la ville de Diffa pour les vendre (essentiellement les femmes) ou les faire griller pour la restauration (essentiellement les hommes). Les pêcheurs eux-mêmes peuvent aussi choisir d’aller à Diffa pour faire de la vente directe. -
Conseil en maraîchage - Des boutures de manioc virosées distribuées à Guidan Idder
Ce samedi 17 décembre, nous sommes sur une parcelle irriguée de 0,55 ha qui est mise en valeur par Madame Hadiza Nomao, une productrice de Guidan Idder. Elle cultive de l’oignon chaque année mais cette année, en plus, elle a repiqué des tomates et entre les planches d’oignon des boutures de manioc provenant de « l’opération bouture de manioc 2016 ». Comme c’est la première fois qu’elle plante du manioc, elle n’est pas certaine mais trouve que les feuilles semblent « malades». -
Conseiller en maraîchage / Visite du site de Lougoudjam
Lougoudjam est un village qui se situe dans l’arrondissement communal Niamey 5 sur un grand kori qui se jette dans le fleuve Niger juste en amont de Niamey (rive droite). Ce village regroupe de nombreux maraichers avec comme source d’eau d’irrigation des puits traditionnels confectionnés par eux-mêmes.
Les producteurs ne sont pas membres d’une organisation de producteurs. Les sites maraichers sont connus pour leur production d’aubergine. La note traite des sujets suivants : des apports de fertilisants sur aubergine sans enfouissement, la calebasse – courge de moins en moins cultivée, les orientations à donner et actions à mettre en place.
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Conseiller en maraîchage - Cas pratiques - Visite site de Saga Gorou
Cette note est rédigée suite à la visite d’un site maraîcher dont certains producteurs ont bénéficié d’une formation sur la protection phytosanitaire organisée par la Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey et réalisée par le RECA dans le cadre du contrat de performance entre l’Etat et les Chambres d’Agriculture. La visite a permis un suivi de producteurs ayant suivi la formation, de voir avec les producteurs les problèmes qu’ils rencontrent sur les cultures maraichères et de donner des conseils ou propositions de solutions (chou, poivron, tomate, pastèque, attaques phytosanitaires). -
Conseiller en maraîchage - Visite du site de Gorou Kaina
Chaque semaine, la Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey réalise des visites sur les sites maraichers de la région de Niamey. Ces visites peuvent se faire avec la participation de personnes du RECA, de l’INRAN ou de la FCMN Niya. Elles sont l’occasion d’échanges et de conseils avec les producteurs et productrices. Certaines questions ou problèmes soulevés sont ensuite traités par la CRA et le RECA pour produire différents outils (fiches techniques, éléments vocaux WhatsApp ou radio, ou post Facebook) afin d’informer et conseiller un plus grand nombre de producteurs :
- Les indispensables « gestes barrières » (contre maladie et ravageurs) ;
- Attaque de fusariose sur laitue, variété Paloma ;
- Les producteurs doivent plus faire attention pour identifier les variétés qu’ils utilisent ;
- Une nouvelle plante envahissante ;
- Un équipement utile qui n’a pas été … utilisé. -
Diagnostic des pépiniéristes maraîchers dans la Communauté Urbaine de Niamey
Depuis plusieurs années, le suivi des producteurs maraîchers de Niamey, mais aussi des communes limitrophes de la région de Tillabéry indique que des producteurs achètent de plus en plus des plants maraîchers des différentes cultures « prêts à être repiqués » plutôt que de les produire eux-mêmes en pépinières. Cela semble une évolution « normale », rencontrée dans d’autres pays, qui correspond à une spécialisation de certains producteurs dans la production des plants. Cette pratique doit permettre aux producteurs d’acheter des plants de qualité, élevés dans des conditions optimales.
La Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey en partenariat avec la Fédération des coopératives maraichères du Niger (FCMN Niya), a lancé une première enquête pour mieux cerner cette pratique qui se développe rapidement. -
Conseiller en maraîchage - Visite du site de Yaowaré
Le site maraicher à Yaowaré est situé dans le 5ème arrondissement de la ville de Niamey. En saison sèche, les producteurs font du chou et du moringa, plus un peu d’aubergine et d’oignon. En saison sèche, dans leur grande majorité, les producteurs font du chou et du moringa, plus un peu d’aubergine et d’oignon. On trouve quelques parcelles de chou en culture pure (photo ci-contre), mais le chou est surtout cultivé en association avec le moringa. Les producteurs cultivent une seule variété, le chou Oxylus. -
Manuel sur la gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger
Le présent document est élaboré dans le cadre des activités du Programme de Promotion de l'Agriculture Productive (PromAP) financé par la Coopération Allemande. Il s'inscrit dans les activités de la composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d'améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
Rapport annuel 2020 de la FCMN-Niya
LE MARAICHAGE : « une activité sûre pour lutter contre la pauvreté et l’insécurité alimentaire ». La Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-Niya) a vu le jour, en août 1996 en tant qu’organisation paysanne faîtière. Elle regroupe mille trois (1003) coopératives et cent sept (107) unions de coopératives, qui sont reparties dans huit régions et 61 communes du pays. En termes de membership individuel, elle compte quarante-deux mille cinquante-cinq (42 055) chefs d’exploitation dont quatorze mille quatre cent dix (14 410) femmes soit 34,26%. -
Contribution des cultures maraichères dans le renforcement de la résilience sociale : Cas de commune de Malbaza dans la Région de Tahoua
Le maraichage est une activité très pratiquée dans la commune de Malbaza. Dans cette étude l’effet de maraichage dans le renforcement de la résilience sociale a été étudié. Au total 40 producteurs ont été enquêtés. L’analyse des données collectées a permis de faire l’état de lieu de la contribution du maraichage à la sécurité alimentaire. Ainsi cette activité présente des incidences socioéconomiques non négligeables. Le revenu annuel moyen généré par cette activité s’élève à 434 328,75 F.CFA, ce qui montre que le maraichage est non négligeable dans la commune.
L’oignon, tomate et chou sont les spéculations les plus faites dans la commune. Ainsi les maraichers rencontrent des problèmes dans la pratique de cette activité, ces problèmes sont liés à la source d’eau, d’écoulement des produits maraichers, insuffisance de l’encadrement, l’accès aux crédits agricoles et les attaques des ravageurs. Par ailleurs pour bonne marche de cette activité la création des marchés agricoles, encadrement technique, l’approfondissement des puits et l’accès aux crédits agricoles afin d’accroitre leurs productions sont les recommandations proposées par les producteurs. -
Manuel pour la promotion du maraîchage en saison sèche en utilisant les ressources en eau des mares naturelles
Cet ouvrage est le fruit de 3 ans de recherche effectuée en milieu paysan dans la commune rurale de Dantchandou, département de Kollo, région de Tillabéry. Il illustre les principaux facteurs contraignants du maraichage dans la zone et les mesures de soutien apportées pour une conduite efficace du maraichage.
Les résultats de l’étude nous renseignent de la faisabilité et de la réussite du maraichage en utilisant les ressources en eau des mares naturelles disponibles au Niger. Le manuel guide qui en résulte constitue la contribution de JIRCAS à la lutte contre l’insécurité alimentaire au Niger par le développement des techniques de maraichage. -
Rapport d’étude technique pour le développement du maraîchage dans la commune de Dogondoutchi
Les résultats obtenus de la présente étude sont le fruit de réflexions et d’expertise d’une équipe pluridisciplinaire, composée de cadres des services techniques étatiques et de l’ONG RAIL-Niger, appuyés par les autorités locales et des acteurs locaux (y compris les bénéficiaires) de la Commune de DOGONDOUTCHI.
Les principaux objectifs de cette étude sont de développer la pratique du maraichage dans la commune de DOGONDOUTCHI en augmentant les superficies cultivables et en créant les conditions de disponibilité et d’accessibilité à la ressource eau, et de protéger la ville contre les inondations, par le traitement des différents koris provenant des bassins-versants. -
Étude de cadrage du système agroalimentaire au Niger - Facteurs clés et chaînes de valeur prometteuses pour améliorer la durabilité du système alimentaire
Le projet AgrInvest-Systèmes alimentaires cherche à attirer des investissements conformes aux objectifs de développement durable (ODD) dans les systèmes alimentaires en tirant parti des fonds publics. Cette publication vient étayer le projet AgrInvest-Systèmes alimentaires en analysant le système alimentaire national du Niger par le biais d’une approche des systèmes alimentaires et de l’économie politique.
Cette étude de cadrage est la première étape du projet AgrInvest au Niger et poursuit les objectifs suivants :
1. Fournir une cartographie du système alimentaire au Niger et comprendre son contexte général.
2. Identifier les grandes lignes susceptibles d’améliorer la durabilité du système alimentaire du Niger et les points d’entrée prometteurs, en suggérant des pistes pour l’orientation ultérieure du projet AgrInvest en termes de chaînes de valeur à cibler.
3. Établir les bases d’une approche en termes de systèmes alimentaires et d’économie politique pour le projet AgrInvest. La compréhension du fonctionnement du système alimentaire du Niger et de l’influence de divers facteurs d’économie politique (c’est-à-dire ce premier résultat) constitue la base du déploiement d’une approche du système alimentaire politiquement informée pour promouvoir l’investissement durable dans les chaînes de valeur alimentaires, par la mise en œuvre du reste du projet AgrInvest. -
CARE Analyse Rapide Genre pour COVID-19
Le présent document propose des recommandations pratiques pour la prise en compte immédiate de questions du genre dans la réponse humanitaire à la crise de pandémie à Covid-19 au Niger. Des recommandations stratégiques permettant à la réponse humanitaire de contribuer à l´avancement de l´agenda du genre sont aussi formulées en veillant l´amélioration de la réponse humanitaire sur base du renforcement de la programmation d´égalité de sexes. -
Analyse des chaines de valeur porteuses au Niger
Dans les pays en voie de développement, le secteur rural est le premier pourvoyeur d’emploi et constitue la principale source de revenus des ménages en milieu rural.
Au Niger, le secteur rural occupe une place primordiale dans l’économie nationale. Il contribue considérablement à la formation du PIB (39,8% en 2009 et 42,7% en 2010) et aux recettes d’exportation (26,8%). Cependant, ce secteur fait face à des majeurs défis. En effet, souvent on note une absence d’un dispositif institutionnel qui pourrait lier et coordonner l’ensemble des producteurs, industriels, prestataires de services, négociants et distributeurs d’un produit spécifique. -
Diffusion du maraîchage féminin
L’essor récent du maraîchage féminin le long du fleuve Niger offre aux géographes une excellente opportunité d’aborder les phénomènes de propagation spatiale dans une perspective qui privilégie l’explication à la formalisation. -
Note d’information - La production de tomate sur billon
En décembre 2017, la Chambre Régionale d’Agriculture avait écrit une note sur les tomates de Téra : « Des tomates, de belles tomates en quantité au bord du barrage de Téra. »
Le chef d’exploitation de ces parcelles était Burkinabé. Cela avait fait des remous… Certains avaient parlé « d’accaparement des terres ». Si ces producteurs du Burkina Faso avaient lancé la production de tomate à Téra, ils avaient simplement loué des terres pour la saison de culture (pas d’achats). La main d’œuvre pour la culture, l’arrosage et la récolte, était locale, donc une initiative créatrice d’emplois. D’après l’animateur de la Fédération Mooriben, cette expérience commençait d’ailleurs à être imitée. Le côté intéressant de l’initiative était un possible « transfert de technologies ».
C’est bien ce qui s’est passé et des producteurs locaux (principalement d’anciens exodants) ont adopté les techniques des producteurs burkinabé, notamment la « culture sur billon ». Cette technique de production a la particularité de permettre aux producteurs de se passer de tuteurs. En culture tuteurée, avec une densité de 50 cm entre les plants, une parcelle de 500 m2 de tomate nécessite 2 000 tuteurs soit 40 000 tuteurs par ha. C’est une quantité difficile à trouver dans un pays sahélien et pour plusieurs dizaines d’hectares les prélèvements de bois provoqueraient une déforestation importante. L’achat de ces tuteurs représenterait également des charges élevées. -
Projet de Recherche-Action pour l’Amélioration de la Filière de Pomme de Terre au Niger (PRAAF/PT) – Synthèse des résultats
Au Niger la culture de pomme de terre prend de plus en plus de l’ampleur, notamment sur des périmètres où l’eau d’irrigation ne constitue pas une contrainte à la production horticole. En effet, afin d’accompagner les producteurs dans la maitrise de l’itinéraire technique de production, une étude expérimentale axée sur les paramètres ; nombre de tubercules par plant, poids moyen du tubercule, nombre moyen de bourgeons végétatifs par tubercule et du rendement à l’hectare a été conduite. Des résultats obtenus, il ressort que la combinaison de techniques culturales qui assure le meilleur rendement en termes de production pondérale de pomme de terre est la dose d’engrais équivalente à 250-250-250 kg/ha de N-P-K croisée avec la densité de plantation de 20 cm entre plants sur les lignes et 50 cm entre lignes, reflétant un rendement de 62,4 t/ha. C’est aussi la technique recommandable pour les producteurs des semences, en ce sens qu’elle assure un poids moyen du tubercule (62 g) et une grande capacité d’émission de bourgeons végétatifs autours du tubercule (plus de 5 bourgeons végétatifs par tubercule). -
Inventaire des variétés, des méthodes locales de stockage et de protection contre les ravageurs de la patate douce (Ipomea batatas L.) dans la bande Ouest du Niger
La patate douce (Ipomoea batatas Lam.) est une culture de subsistance par excellence en Afrique.
Comme aliment de soudure, elle joue un rôle majeur dans plusieurs ménages tant urbains que ruraux et sa consommation par habitant est d’environ 84 kg/an. A cet effet, la valorisation de cette culture représente une des meilleures alternatives pour assurer la sécurité alimentaire d’une population en constante croissance et également face à la baisse de la production des cultures vivrières comme le mil, sorgho ou le blé. Pour atteindre cet objectif, une meilleure connaissance de la diversité génétique et la maîtrise des problèmes phytosanitaires s’avère plus que primordiales. Pour cela, des enquêtes ont été menées auprès des producteurs des principales zones de culture en vue d’inventorier les variétés couramment utilisées et les connaissances locales en matière de stockage et de maîtrise des problèmes phytosanitaires de cette plante. Les résultats obtenus ont permis de montrer qu’une diversité de variétés de patate douce est cultivée au Niger. Cependant, le nombre de variétés locales utilisées dépend de la zone d’étude. C’est ainsi que dans la zone d’Ayorou, huit (8) variétés de patate douce ont été recensées contre douze (12) à Balleyara et seize (16) dans la zone de Bengou. Pour lutter contre les ennemis de la culture, les producteurs pratiquent la méthode chimique avec une utilisation abusive de pesticides chimiques qui représentent un danger pour l’environnement. Plusieurs méthodes locales de stockage sont aussi utilisées pour la conservation des tubercules de patate douce (Stockage à l’ombre des arbres, la conservation sur pied, conservation dans de grenier) mais avec des résultats non satisfaisants car les pertes liées au stockage des tubercules restent très élevées. -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 1
Au cours de la dernière décennie un regain d’intérêt a été constaté pour la patate douce en Afrique
Sub-saharienne (ASS). Le nombre de projets intervenant dans le domaine de la patate douce s’est accru de même que la demande en formation au profit des professionnels du développement et des producteurs. Les spécialistes de la patate douce du Centre International de la Pomme de Terre (CIP) et des centres nationaux de recherches sont de plus en plus sollicités pour la formation. Ils organisent fréquemment des sessions de formation de 1 à 3 jours en s’appuyant sur tout support de formation en leur possession ou rapidement rassemblés pour l’occasion. L'insuffisance de cette approche a été tout à fait évidente, mais la disponibilité des ressources permettant de remédier à la situation était restée un problème jusqu’à présent.
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 1: Aider les adultes à apprendre
Thème 2: Origine et importance de la patate douce
Thème 3: Sélection variétale et caractéristiques de la patate douce -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 2
Au cours de la dernière décennie un regain d’intérêt a été constaté pour la patate douce en Afrique
Sub-saharienne (ASS). Le nombre de projets intervenant dans le domaine de la patate douce s’est accru de même que la demande en formation au profit des professionnels du développement et des producteurs. Les spécialistes de la patate douce du Centre International de la Pomme de Terre (CIP) et des centres nationaux de recherches sont de plus en plus sollicités pour la formation. Ils organisent fréquemment des sessions de formation de 1 à 3 jours en s’appuyant sur tout support de formation en leur possession ou rapidement rassemblés pour l’occasion. L'insuffisance de cette approche a été tout à fait évidente, mais la disponibilité des ressources permettant de remédier à la situation était restée un problème jusqu’à présent.
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 4 : La Patate douce à chair orange et la nutrition -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 3
Au cours de la dernière décennie un regain d’intérêt a été constaté pour la patate douce en Afrique
Sub-saharienne (ASS). Le nombre de projets intervenant dans le domaine de la patate douce s’est accru de même que la demande en formation au profit des professionnels du développement et des producteurs. Les spécialistes de la patate douce du Centre International de la Pomme de Terre (CIP) et des centres nationaux de recherches sont de plus en plus sollicités pour la formation. Ils organisent fréquemment des sessions de formation de 1 à 3 jours en s’appuyant sur tout support de formation en leur possession ou rapidement rassemblés pour l’occasion. L'insuffisance de cette approche a été tout à fait évidente, mais la disponibilité des ressources permettant de remédier à la situation était restée un problème jusqu’à présent.
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 5: Les Systèmes semenciers de la patate douce -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 4
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 6 : Gestion et Production de la Patate Douce. Ce thème, traite de l’importance d’une la planification anticipée pour assurer la disponibilité des boutures en quantité suffisante en début de la saison des pluies. Il traite également de la préparation du sol, des techniques de plantation, des aspects de culture en association et des besoins en fertilisants. Enfin, il définit les principaux stades de croissance et les tâches liées à leur gestion.
Thème 7 : Gestion des ravageurs et des maladies de la Patate Douce. Ce thème explique comment reconnaitre les cycles de vie des insectes nuisibles tels que le charançon (Cylas spp.) de la Patate Douce. Il permet aussi de reconnaitre les symptômes de maladies telles que les viroses, ceci pour aider les producteurs à les gérer avec succès. Les impacts des rats-taupes et des érinoses, ainsi que les stratégies de leur contrôle, sont également décrits dans ce thème. -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 5
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 8 : Récolte et Gestion Post-Récolte. Ce thème traite des bonnes pratiques, post-récolte et de conservation/stockage des produits séchés et des méthodes et soins appropriés pour une conservation / stockage des racines tubéreuses frais permettant d'augmenter leur qualité ainsi que leur valeur marchande et leur disponibilité.
Thème 9 : Transformation et Utilisation. Beaucoup de produits alimentaires, délicieux, nutritifs et potentiellement enrichissants peuvent être préparés à partir de la patate douce à chair orange. L’utilisation de la Patate Douce dans l’alimentation du bétail est aussi développée dans ce thème.
Thème 10 : Marketing et Entreprenariat. Dans ce thème les concepts de marketing, d’orientation de marché, d’entreprenariat et les 5 piliers du marketing (produit, lieu, prix, promotion et population) sont développés en rapport avec les racines tubéreuses frais de patate douce et les produits issus de la transformation de la patate douce. -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 6
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 11 : Aspects liés au Genre et à la Diversité. Ce thème traite l’importance de la reconnaissance des questions du genre et de la diversité en agriculture et dans les systèmes de la patate douce. Des suggestions de meilleures pratiques sont faites sur la manière dont l’approche genre peut être incorporée dans les programmes de la patate douce.
Thème 12 : Suivi de la dissémination et de la consommation de la Patate douce à chair orange (PDCO). Une explication est donnée sur les raisons du suivi et sur la différence entre le suivi et l’évaluation. Ceci est accompagné par une gamme d’outils qui peuvent être utilisées pour le suivi de la vulgarisation, de la performance et de l’utilisation des boutures de la patate douce. Dans le but de comprendre les impacts à long terme et les atteintes de la formation sur la patate douce, il est important de collecter et conserver les données sur les participants formées. Ces données enregistrées peuvent être utilisées pour les activités à suivre. -
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la patate douce - Volume 7
Le niveau de ce module de formation est destiné aux agents techniques supérieurs de vulgarisation agricole ou aux responsables des organisations paysannes qui à leur tour devront prendre le relais pour former les autres acteurs.
Thème 13 : Utilisation du module de FDF « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la Patate Douce » : Ce thème présente des programmes détaillés de modules d’apprentissage par la pratique de 10 et de 5 jours pour une Formation des Formateurs (FdF). Il y est décrit : les thèmes à couvrir chaque jour, les résultats attendus de la formation, les activités séquentielles et leur chronogramme et les matériels et préparatifs à prévoir á l’avance. Ces programmes ne sont pas totalement rigides et nous souhaitons que les animateurs puissent user de leur créativité pour les ajuster en fonction des besoins de leurs participants.
Thème 14 : Réflexions. Nous espérons qu’après le teste de ce manuel sur le terrain, les formateurs et les participants mèneront des réflexions et partageront leurs idées sur la manière dont il pourrait être amélioré. -
Communiquer le genre pour le développement rural : Intégrer le genre dans la communication pour le développement
Dans les projets de développement rural et agricole, les approches « communication pour le développement » et « genre » sont indispensables pour atteindre de façon durable les objectifs de sécurité alimentaire, de lutte contre la pauvreté et d’égalité entre les hommes et les femmes. Ces deux approches se rejoignent dans des valeurs communes : la participation active et égale de tous et toutes et le renforcement des pouvoirs (autonomisation) des populations, notamment des plus démunies. Elles ne se contredisent pas et pourtant, rares sont les actions de communication qui prennent en compte la problématique de genre. Sans doute, parce que cette dernière est mal comprise, qualifiée de complexe et perçue comme étant « une histoire de femmes ». De plus, on oublie que les conditions de vie et la situation socioéconomique des hommes et des femmes influencent au plus haut point leurs capacités à recevoir et à transmettre l’information. Enfin, les modalités de communication couramment utilisées se disent neutres au regard du genre. Dès lors que le genre est perçu comme une « histoire de femmes » et que la communication revêt un « habit unisexe », il ne faut pas s’étonner si les actions de communication pour le développement atteignent et impliquent davantage les hommes que les femmes, particulièrement en milieu rural. -
Développer des chaînes de valeur alimentaires durables : Principes directeurs
Ces dix dernières années, la chaîne de valeur s’est imposée comme l’un des principaux paradigmes pour la réflexion et la pratique dans le domaine du développement. C’est pourquoi l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a lancé une nouvelle série de manuels sur le développement de chaînes de valeur alimentaires durables; la présente publication inaugure cette série. Ces manuels ont pour objet de donner des conseils pratiques sur le développement de chaînes de valeur alimentaires durables en facilitant la diffusion de solutions innovantes et tirées de l’expérience auprès d’un public cible composé de décideurs politiques, de concepteurs de projets et d’acteurs de terrain.
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Filières oignon en Afrique de l'Ouest : étude comparée des filières nigérienne et béninoise
Afin de comprendre la relation entre les filières nigérienne et béninoise et les mécanismes permettant à l’oignon nigérien d’être vendu sur les marchés côtiers à un prix concurrentiel par rapport à l’oignon local, l’étude propose une analyse comparée des aspects liés à la production et à la commercialisation de ces deux filières, a` partir des pôles de production de Keita (Niger) et Malanville (Bénin) qui approvisionnent le marché de Dantokpa à Cotonou (Bénin). L’étude montre que les deux filières sont à la fois concurrentielles et complémentaires et que la filière nigérienne a un avantage comparatif net au niveau de la production, avec des coûts inférieurs et un bénéfice au producteur supérieur. -
Evolution du prix de gros du piment sur trois ans au marché de Niamey Djémadjé
Le suivi des prix de gros des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en avril 2015 (la semaine 17). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 49 (décembre) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur trois ans et demi.
Globalement, la production de piment du Niger est présente sur les marchés de Niamey pendant la saison sèche froide (à partir de décembre) et pendant la saison sèche chaude jusqu’à la saison des pluies (mi-juillet).
Toutes les quatre années présentent des profils assez semblables avec des prix bas de septembre à décembre (autour de 10.000 F le sac), une légère augmentation pendant la période de janvier à avril (15.000 à 20.000 F par sac), puis une forte augmentation progressive pour atteindre un pic autour de 70.000 F le sac entre mi-juin et fin juillet suivant les années. Le prix diminue ensuite jusqu’en septembre où se il retrouve au plus bas. -
Evolution du prix du poivron pendant quatre ans sur les marchés de gros de Niamey
Si en 2015, pendant quelques semaines, du poivron du Nigeria s’est vendu sur le marché de Djémadjé à Niamey, cela n’a plus été le cas à partir de 2016. De 2016 à 2019, les poivrons vendus à Niamey viennent du Niger, essentiellement des sites de production autour de Niamey ou du Burkina Faso. Le poivron du Niger était présent 30 semaines sur 52 au cours de l’année 2016, en début d’année jusqu’au mois de mai puis à partir d’octobre jusqu’à la fin de l’année. Il était absent du marché de juin à mi-octobre. En 2017 et 2018, le poivron du Niger était présent pendant 35 semaines sur 52, de janvier à juillet, puis à partir de novembre. En 2019, le poivron du Niger est présent pendant les 7 premiers mois de l’année et ne réapparait pas novembre. Il faudra attendre janvier 2020 pour qu’il revienne sur le marché. Il n’aura été présent que 28 semaines en 2019. -
Evolution du prix de gros de l’aubergine pendant trois ans sur les marchés de Niamey (Djémadjé, Harobanda)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 45 (début novembre) de l’année 2017. Les informations présentées portent sur 135 semaines suivies.
Ce suivi de l’aubergine concerne les marchés de Djémadjé et Harobanda qui sont les marchés de gros de Niamey pour ce produit. L’aubergine commercialisée sur les marchés de Niamey est produite dans la ceinture maraîchère de Niamey, principalement sur la rive droite du fleuve et dans la région de Tillabéri (Toulouaré Boulandjam, Bitinkodji et Kobadjé). A partir de la rive droite, l’aubergine arrive directement sur le marché de Harobanda, puis une partie est acheminée vers le marché de Djémadjé. -
L'analyse des systèmes de marché : Les parcours d'alternatives économiques pour les jeunes filles de la région de Zinder, au Niger
Cette analyse de marché fait partie de la phase de recherche formative du projet de CARE, "Soutenir les adolescents nullipares mariés" au Niger, qui vise à retarder la première naissance chez les adolescentes mariées en les permettant d'envisager les lendemains meilleurs à travers des activités telles que l'éducation,la formation et/ou la génération de revenus. -
Conscience Politique et Action collective des structures Mata Masu Dubara au Niger - Recherche formative - Rapport de synthèse
Cette étude fait partie d'un vaste programme d'apprentissage contribuant à la Stratégie de Croissance de l'Impact (IGS) de « Femmes en Mouvement » (WOM) de CARE en Afrique de l'Ouest. Le but de cette étude est de tirer les leçons de plus de 25 années d'expérience de CARE Niger sur le modèle Mata Masu Dubara (MMD) qui a fait ses preuves en matière de leadership et d’empowerment des femmes. Il s’agit d’éclairer la mise à l’échelle du modèle MMD et de son impact dans la région Afrique de l’Ouest.
La recherche a appliqué une approche qualitative à la collecte de données, en utilisant les focus groupes et des entretiens semi-structurés. Une équipe de neuf chercheurs, dont les deux principales consultantes qui ont supervisé la recherche, a été déployée. Le choix de neuf (9) fédérations a été fait sur la base de 24 fédérations MMD, existantes dans cinq (5) régions administratives – Niamey, Maradi, Tahoua, Tillabéry, et Zinder -
Analyse de la dynamique organisationnelle des femmes en milieu pastoral dans les communes de Bermo et Gadabédji au Niger : rôle des groupements dans la prise de décision et l’entrepreneuriat des femmes
La présente étude menée en zone pastorale dans les communes de Bermo et Gadabédji vise à analyser la dynamique organisationnelle des femmes en zone pastorale et de caractériser le rôle que peuvent jouer les groupements féminins dans la prise de décision et l’entrepreneuriat pour ces femmes. Une enquête a été réalisée auprès de 146 femmes membres de groupements féminins à travers des questionnaires individuels mais aussi auprès des femmes non membres (53) et des hommes pour avoir leurs perceptions. -
Politique nationale du genre
La présente Politique Nationale de Genre (PNG) du Niger atteste de la prise de conscience effective par les responsables du développement des liens étroits qui existent entre la différenciation homme-femme, la politique publique et le développement. En effet, au Niger, il ne fait aucun doute que le coût des inégalités est très élevé pour les individus et pour la société dans son ensemble : impact négatif sur le bien -être des populations, faible productivité des femmes, contribution à la réduction de la pauvreté et capacité à participer à la création de richesses affaiblies, croissance de l’économie réduite et niveau de développement du pays amoindri. -
Profil national genre des secteurs de l’agriculture et du développement rural
La FAO et la Commission de la CEDEAO ont commandité une évaluation genre des secteurs de l’agriculture et du développement rural au Niger, dans le cadre de leur Projet de Coopération Technique «La réponse genre aux Plans régionaux et nationaux d’investissement agricole pour relever le Défi Faim Zéro dans la région de la CEDEAO». Cette évaluation a appréhendé, d’une part, les inégalités entre hommes et femmes dans le secteur agricole et rural et, d’autre part, l’aspect genre dans le Programme National d’Investissement Agricole (PNIA), notamment l’Initiative les Nigériens Nourrissent les Nigériens (I3N), ainsi qu’au niveau des institutions étatiques et des partenaires au développement. -
Production et commercialisation des produits frais dans la région de Maradi cas de la ville de Maradi
L’objectif de cette étude est de comprendre les fonctionnements du marché de produits frais dans la ville de Maradi. Cela en faveur de la production aisée des cultures maraichères du milieu et des modes du commerce qui existent. Pour se faire, les Chambres Régionales d’Agriculture (CRA) du Niger dans leur Rôle et leur collaboration avec des projets en faveur des paysans (producteurs et commerçants), donne aussi en particulier le plus de leurs potentielles pour le développement des marchés. -
La culture du moringa oleifera, un outil de développement local : cas de la Commune rurale de Liboré/Niger
La culture du moringa peut-elle contribuer au développement ? Cette question de recherche est secondée par l’hypothèse selon laquelle le moringa est un moyen d’intégration sociale pour les exploitants. L’objectif de cet article est de démontrer l’importance du moringa dans le développement de la commune de Liboré. L’étude a été réalisée sur trois sites de la commune (Yaboni, Galbal et Gonzaré). L’enquête s’est effectuée entre juillet et octobre 2016. Elle a étudié 72 acteurs dont, 42 producteurs et 30 ouvriers. La collecte des données a été facilitée par un guide d’entretien qui est adressé aux différents sujets étudiés. Cette a également été suivie par une recherche documentaire dans les bibliothèques de l’Institut de recherche en sciences humaines (IRSH) de Niamey et du ministère de l’agriculture et de l’élevage du Niger. -
Analyse de la Rentabilité Économique du Maraîchage d’hivernage dans les Communes d’Imanan et de Tagazar au Niger
Dans leur quête de sécurité monétaire, les ménages s’adonnent au maraîchage d’hivernage qui de nos jours, représente une véritable alternative de diversification de revenu. La présente étude analyse aussi bien la rentabilité économique des exploitations maraîchères d’hivernage que les facteurs socioéconomiques et techniques influençant cette rentabilité dans les communes d’Imanan et de Tagazar au Niger. Les données primaires ont été obtenues au moyen d’enquêtes individuelles et des focus groups. Au total, 102 maraîchers, choisis de façon aléatoire, ont été enquêtés. L’analyse des données basée sur l’approche budgétaire, a permis d’évaluer les éléments comptables des exploitations. Une fonction stochastique de type Cobb-Douglass a été estimée à l’aide du logiciel STATA 14.1. Les résultats montrent que le modèle est hautement significatif (p< 0,001) avec un coefficient de détermination multiple ajusté R² de 0,79. Il résulte que les exploitations maraîchères d’hivernage étudiées sont rentables, étant donné qu’un franc investi rapporte 3,47 FCFA. En ce qui concerne les déterminants, les résultats montrent que l’expérience des maraîchers, la superficie cultivée et la vente individuelle au marché ont un effet positif significatif sur la marge nette dégagée. Pendant que la vente groupée bord parcelle l’influence négativement. Le maraîchage d’hivernage doit être davantage promu au Niger tout en mettant l’accent sur la vente individuelle au marché. -
Stratégie nationale portant l'autonomisation économique des femmes au Niger
Bien que la présente stratégie ne concerne que l’autonomisation économique, il est important de souligner que « l’empowerment économique » des femmes est intimement liée à l’autonomisation sociale et politique. L’empowerment économique est lié au pouvoir intérieur (confiance en soi), au pouvoir des connaissances (capacités d’analyser, de comprendre) et au pouvoir social et politique (être organisé, la participation aux prises de décisions, femmes leaders). -
L'inclusion de la jeunesse dans les marchés du travail au Niger: Moyens de subsistance et dynamiques de genre
Dans le présent article, nous combinons des méthodes mixtes visant à identifier les facteurs remettant en question et permettant l’inclusion des jeunes adultes dans le monde du travail au Niger. Pour ce faire, nous avons opté pour une analyse de genre portant sur différents parcours dans un contexte de pauvreté et sur l’impact de la formation, de l’éducation et de la migration. Nous constatons une forte prévalence de l’autoentreprenariat informel dans les contextes ruraux et urbains des régions de Tahoua et de Zinder, caractérisées par une faible sécurité des revenus, des professions genrées et la dépendance aux ressources comme échappatoire à la pauvreté. Les frais de scolarité élevés sont un des obstacles à l’inclusion professionnelle. Ils réduisent considérablement les perspectives d’emploi, en particulier chez les plus démunis. Les individus scolarisés témoignent de l’absence d’offres stables ou de contrats de service public, et s’engagent plutôt dans la prestation de services informels. -
Développement de la chaîne de valeur agricole : menace ou opportunité pour l’emploi des femmes ?
Les chaînes de valeur agricoles modernes se développent et deviennent plus perfectionnées à mesure que les pays s’industrialisent et renforcent leur position sur les marchés mondiaux. Bien que de telles chaînes de valeur fassent évoluer la structure sexospécifique de l’emploi et que des femmes mieux instruites rivalisent souvent fort bien avec les hommes pour obtenir des emplois de qualité, on note la persistance des stéréotypes liés au sexe confinant les femmes pauvres et qui n’ont pas fait d’études à des travaux faiblement rémunérés, moins qualifiés et plus précaires au sein de la chaîne de valeur. Le défi à relever est d’assurer l’égalité entre les sexes à travers la chaîne de valeur et d’éviter la répétition des modèles traditionnels de discrimination sexiste. -
Fiche à destination des maraîchers ayant une activité de plants de légumes
La commercialisation de plants de légumes est régie par un décret spécifique, le décret n°94-510 du 23 juin 1994 relatif à la commercialisation des jeunes plants de légumes et de leurs matériels de reproduction. Ce décret retient dans son article 1 une définition de la commercialisation particulièrement extensive, puisqu’il s’agit du « maintien à disposition ou en stock, l'exposition ou l'offre à la vente, la vente, la mise à la disposition d'une autre personne sous quelque forme que ce soit ». Ainsi, contrairement à la situation en matière de semences, la vente ou le don à des utilisateurs non professionnels est ici considéré comme une commercialisation.
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Comment faire en sorte que les chaines de valeur contribuent à améliorer la nutrition?
Dans le contexte de l’Agenda 2030, la sécurité alimentaire, la nutrition et l’agriculture durable sont des éléments essentiels non seulement pour l’atteinte de l’Objectif de développement durable (ODD) 2, mais aussi pour couvrir le vaste éventail des ODD. Un régime alimentaire sain est indispensable pour prévenir toutes les formes de malnutrition. Cependant, plusieurs aliments nutritifs ne sont pas toujours disponibles ni accessibles à tous, en particulier dans les milieux à faible revenu. En outre, l’urbanisation rapide et des styles de vie en transition ont entraîné une modification des habitudes alimentaires, due également en partie à des changements au sein des systèmes alimentaires et à leurs effets sur la disponibilité, l’accessibilité et le caractère attractif des aliments sains, aussi bien que des aliments moins sains. -
Manuel pour le renforcement des chaines de valeur
L’objectif principal de ce manuel est d’exposer et de diffuser la méthodologie pour le renforcement des chaînes de valeur développée par le Siège Sous-régional au Mexique de la Commission Économique pour l’Amérique Latine et les Caraïbes (cepalc). Dans ce document, les concepts, les processus et les bonnes pratiques dérivées de cette stratégie sont expliqués. L’objectif poursuivi est qu’ils servent d’outils de travail, en particulier pour les preneurs de décisions dans le secteur public, les fonctionnaires des organismes internationaux ainsi que les spécialistes du sujet intéressés à disposer d’une méthodologie systématisée et prouvée (voir encadré I.4). Son élaboration répond à des demandes spécifiques, exprimées par les gouvernements de la région, de disposer d’un instrument didactique qui puisse aider à reproduire dans d’autres chaînes les processus dans lesquels la cepalc a participé de manière conjointe. -
Une femme transformatrice au parcours exemplaire
Au Niger, la transformation de produits locaux est une activité dominée par des femmes et Niamey est le plus grand centre de commercialisation des produits transformés. Les céréales représentent la base des produits les plus transformés. L’histoire de Madame Keffi Fatoumata est originale. Elle est l’une des femmes transformatrices de produits céréaliers. Elle est la promotrice de l’unité de transformation (entreprise de transformation des produits céréaliers) FANTA HOUSE. Après avoir travaillé dans une pâtisserie de la place, dans une banque et une institution de micro finance, notre promotrice, dans la crainte de perdre régulièrement son emploi, décide de se lancer dans ses propres affaires. -
Yaya ne ya kamata ayi renon iri cikin fangali?
A travers cette affiche, le producteur maraîcher saura quelles sont les étapes d'une préparation des planches et comment produire des pépinières. -
Projet 10.000 jardins potagers en Afrique : manuel pour les formateurs
Ce manuel reprend les mêmes thèmes que le guide, mais il est pensé pour les formateurs et, de ce fait, il est bien plus détaillé et approfondi. Il illustre les motivations et le sens de chaque opération (pourquoi choisir des semences locales, faire du compost, recourir à la rotation des cultures, cultiver différentes variétés, organiser des activités éducatives) et explique comment réaliser chaque opération (de la conception du jardin à la sélection des semences, de la récupération de l’eau à la réalisation du bac à compost, etc.). Le manuel prévoit aussi une série de fiches pratiques, composées d’exemples, de photos et d’illustrations. -
Contribution des cultures maraichères dans le renforcement de résilience sociale : cas de commune de Malbaza dans la Région de Tahoua
Le maraichage est une activité très pratiquée dans la commune de Malbaza. Dans cette étude l’effet de maraichage dans le renforcement de la résilience sociale a été étudié. Des fiches d’enquêtes ont été administrées auprès des producteurs maraichers de site de Malbaza. Au total 40 producteurs ont été enquêtés. L’ensemble des données collectées est soumis à des traitements. L’analyse des données collectées a permis de faire l’état de lieu de la contribution de maraichage à la sécurité alimentaire. Ainsi cette activité présente des incidences socioéconomiques non négligeables. Le revenu annuel moyen généré par cette activité s’élève à 434328, 75FCFA, ce qui montre que le maraichage est non négligeable dans la commune. L’oignon, tomate et chou sont les spéculations les plus faites dans la commune. Ainsi les maraichers rencontrent des problèmes dans la pratique de cette activité, ces problèmes sont liés à la source d’eau, d’écoulement des produits maraichers, insuffisance de l’encadrement, l’accès aux crédits agricoles et les attaques des ravageurs. Par ailleurs pour bonne marche de cette activité la création des marchés agricoles, encadrement techniques, l’approfondissement des puits et l’accès aux crédits agricoles afin d’accroitre leurs productions sont les recommandations proposées par les producteurs.