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Techniques de production des cultures irriguées -- Poivron et piment
Ce document sert de guide aux formateurs afin de parfaire leurs compétences professionnelles en terme pédagogiques. il traite des techniques de production des cultures irriguées"poivron et piment à travers les séquences ci-dessous:
1 -- Généralités sur la culture du poivron et du piment au Niger.
2 -- installation d’une pépinière de culture de piment ou de poivron.
3 -- Opérations d’entretien d’une culture de poivron et du piment.
4 -- Techniques de production locale de semences;
5 -- Evaluer les apprentissages -
Pratiques améliorées d’élevage des poules indigènes
Fiche technique pour l'élevage de poules -
Etude de l’impact de la production et de la commercialisation du poivron dans la région de Diffa au Niger
L’étude réalisée à la fin de l’année 2005 porte sur l’impact de la production et de la commercialisation du poivron sur les revenus des ménages de producteurs le long de la Komadougou Yobè (région de Diffa, Niger) et de son poids dans l’atteinte de la sécurité alimentaire locale. Le rapport décrit l’organisation de la filière poivron et son fonctionnement, présente la rentabilité de la culture du poivron et indique de quelle manière les revenus de la culture du poivron permettent aux producteurs d’assurer leur sécurité alimentaire. Le recueil des informations primaires a été effectué au moyen d’interviews des acteurs dont un échantillon représentatif n’a pu être constitué en l’absence de base de sondage disponible. Les données obtenues apparaissent cependant réalistes et cohérentes, notamment ave la documentation disponible. -
Note de présentation du microprojet d’équipement du groupement féminin Kila Kil de Diffa pour la transformation du poivron - perspectives d’appui et d’accompagnement
Le document du microprojet commence par la phrase « la transformation du poivron est une activité prometteuse ». C’est sans doute vrai car c’est écrit dans tous les rapports sur la filière poivron de la région de Diffa… depuis des années. Il est également régulièrement signalé que la transformation en poudre reste marginale, la majorité du poivron produit chaque année dans la région est vendue séchée (5.000 à 8.000 tonnes de poivron sec suivant les sources) et la plus grande partie prend la direction du Nigeria pour y être transformée… en poudre. Cette part modeste de poivron transformé en poudre ravitaille le marché local de Diffa et aussi les villes de l’ouest jusqu’à Niamey. -
Etude économique de la culture du poivron dans les exploitations agricoles familiales de la région de Diffa, cas du village de Kayowa.
La présente étude économique de la culture du poivron dans la région de Diffa a duré 6 mois de Juillet 2012 à Janvier 2013. Elle a pour objectif de déterminer les avantages et les coûts occasionnés la culture afin d’en déduire la rentabilité au plan économique, cela par l’analyse et la comparaison des comptes d’exploitation de différents types des producteurs choisi au hasard selon la méthode de tirage aléatoire. Ainsi au total 30 producteurs sont concernés. Les informations collectées à l’aide des questionnaires sont analysées avec le classeur EXCEL et logiciel Arc-view. Les résultats issus de cette étude montrent que les producteurs du village de Kayowa sont classés en trois (3) catégories : Petits producteurs, ceux qui exploitent moins de 2 ha (67%), producteurs moyens, qui exploitent entre 2 et 3 ha (23%) et grands producteurs qui exploitent plus de 3 ha (10%). La superficie totale exploitée par l’ensemble des producteurs enquêtés est de 53,43 ha. Les dépenses culturales sont liées à la réalisation des moyens d’exhaure et achat des matériels de captage d’eau, aux travaux d’entretiens et achat des matériels agricoles, aux intrants agricoles, aux carburants et à la main d’œuvre. -
Fiche technique : Le repiquage du Poivron
Cette fiche technique a été réalisée dans le cadre du Projet d’appui à la Mutuelle N’Gada (Diffa). Elle sera progressivement améliorée à partir des travaux avec la recherche, les structures d’appui conseil et les producteurs. -
Le poivron, chaine de valeur principale de la région, un accompagnement continu de la CRA de Diffa
La Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa a commencé à fonctionner en 2008. Depuis cette date, elle a été impliquée dans les différents programmes qui ont concerné l’appui à la filière poivron. Cette note fait le point des différentes actions mises en place depuis 2006 dans la région de Diffa qui ont concerné la production de poivron. Le poivron rouge est la culture « locomotive » de la vallée de la Komadougou (150 km de long de Tam au Lac Tchad) avec plus de 6.000 producteurs et apporte des revenus pour environ 40.000 personnes. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 8 à 10.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron rouge de Diffa est une épice. Il se consomme en poudre principalement comme condiment. Il s’agit en fait d’un poivron piquant ou d’un piment doux, un « paprika ». C’est une culture récente, introduite vers 1956 du Nigeria et qui s’est réellement développé que dans les années 90. -
Fiche technico-économique pour la culture du poivron
Le poivron est la culture principale pratiquée le long du Goulbi Kaba situé au Sud du chef-lieu du département de Gazaoua dans la région de Maradi. Selon une estimation de la CRA réalisée en 2014, plus de 12.000 tonnes de poivron frais sont produits par an dans la région. Le poivron a un cycle de 120 à 150 jours avec 5 à 8 récoltes par campagne pour un rendement évalué entre 10 et 15 tonnes/ha. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 1,5 tonne permet de dégager des revenus de 284.000 F.CFA pour 93.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 190.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique du poivron rouge
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatasay », est cultivé en irrigué dans la vallée de la Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Rendement : meilleurs producteurs 1.800 kg par ha de poivron sec, producteurs moyens 1.300 kg par ha de poivron sec. En année normale, les superficies emblavées en poivron sont estimées à environ 7.000 ha pour une production de poivron sec de 8 à 11.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron rouge est la culture « locomotive » de la vallée de la Komadougou avec environ 5.000 producteurs. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs du poivron et du piment
L’objectif de ce module de formation est d’être capable de reconnaître les ravageurs des cultures du poivron ou piment au Niger, d’être capable de faire des observations sur les ravageurs et les cultures et être capable de proposer et d’expliquer aux producteurs et productrices des mesures de lutte à mettre en place (lutte intégrée) en fonction des situations. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger La protection du poivron et du piment
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture du poivron et du piment. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Evolution du prix de poivron rouge de 2015-2018 sur le marché de Diffa
Le suivi du marché de poivron rouge de Diffa a commencé en août 2015. Le marché de Diffa est hebdomadaire et se tient tous les mardis. Le suivi du marché consiste à relever le prix du sac de poivron sec (17 kg), la quantité commercialisée, la provenance et la destination. Les résultats présentés dans cette note vont de l’année d’août 2015 jusqu’à la semaine 22 (fin mai) de l’année 2018. -
Astuces pour cultiver le poivron 1/2 : Morphologie et exigences pédoclimatiques
Morphologie et exigences pédoclimatiques de laculture du poivron -
Alimentation des poulets améliorés
Vidéo présentant les aliments adaptés pour l'élevage des poulets améliorés.
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Astuces pour cultiver le poivron 2/2 : gestion de la culture
Techniques de culture du poivron -
# Dossier photographique : la culture du piment et du poivron à Kolkoli (Tahoua)
Monsieur Abdou Alio est producteur de piment et poivron du village de Kolkoli commune de Bambey ,Tahoua . Nous sommes 8 chefs de ménages à exploiter ce site d'environ 2ha. La culture du piment et de poivron est très bénéfique; nous a-t-il confié ; par exemple nous avons gagner plus de 600 000 F CFA la campagne passée ; c'est la raison pour laquelle , nous continuons d'en produire même en saison de pluies ... -
Alimentation des poulets et entretien des poulaillers
Notes prises à partir de la vidéo https://youtu.be/Zn1OXW79eXQ (Vidéo tournée au Centre Régional de Songhaï Porto-Novo au Bénin) -
Le poivron - Capsicum annuum L.
Ce guide porte sur le poivron (Capsicum annuum L.), qui est une plante de la famille des Solanacées, il est de la même espèce que le piment cultivé mais est issu de la sélection de variétés dites "douces". -
Assurer la bonne santé des volailles de chair en élevages biologiques
Ce document a été rédigé à partir des informations recueillies en 2014 lors de 18 entretiens socio-techniques d’éleveurs de volailles de chair biologiques en filières longues (8 éleveurs) et courtes (10 éleveurs), en Bretagne, Pays de la Loire et Drôme. L’objectif de ces enquêtes, sans être représentatifs des types d’élevage, était de montrer la diversité des situations et des pratiques autour de l’élevage de volailles de chair biologiques. -
Production en aviculture familiale
Manuel sur la production avicole familiale -
Recueil de quatorze fiches techniques du domaine Agro-Sylvo-Pastoral
Le présent recueil comprend quatorze (14) fiches techniques :
- Production du fourrage de Medicago sativa (Luzerne) au Niger
- Production d’Echinochloa stagnina (Bourgou) au Niger
- Amélioration de la disponibilité du fourrage par la culture de Dolichos lablab (dolique)
- Amélioration de l’aviculture familiale au Niger
- Mise au point des rations alimentaires pour les ruminants à base des ressources locales au Niger
- Contrôle et valorisation de Sida cordifolia au Niger
- Production de l’oignon d’hivernage : conduite d’une pépinière en saison de pluie avec le Violet de Galmi
- Techniques de production de bulbilles d’oignon Violet de Galmi
- Production de bulbes d’oignon de conservation au Niger
- Production de riz hors aménagement au Niger
- Banque alimentaire à base de Moringa par semis direct au Niger
- Banque alimentaire à base de Adansonia digitata (Baobab) au Niger
- Banque alimentaire à base de jujubier amélioré au Niger
- Conduite de la Régénération Naturelle Assistée (RNA) au Niger
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Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection du poivron et du piment
Les maladies de plante c'est comme la paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu'on est très malade -
Référentiel Technico-Economique sur la filière avicole
L’aviculture est l’une des filières d’élevage qui contribue à l’amélioration de la sécurité alimentaire des ménages surtout en milieu rural. Ce référentiel technico-économique est composé de 4 parties : Aviculture traditionnelle améliorée de la poule locale ; Élevage moderne des poulets de chair ; Élevage moderne des poules pondeuses ; Aviculture traditionnelle améliorée de la pintade locale. Chaque partie comprend une description technique et une analyse économique/financière de l’activité. -
Suivi du marché de poivron rouge de Diffa : Evolution et perspectives de l’or rouge du Manga
La région de Diffa est située à l’extrême Est du Niger, à 1360 km de Niamey. Le poivron rouge, appelé « tatassaye », est cultivé en irrigué dans la vallée de la rivière Komadougou et le bassin du Lac Tchad. La production est principalement commercialisée séchée et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria et, dans une moindre mesure, vers les grandes villes du Niger. Cette épice est appelée « paprika » dans d’autres pays. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 10.000 à 11.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron est la culture « locomotive » de la vallée de la Koumadougou avec environ 6.000 producteurs. Depuis cette date, la production et la commercialisation du poivron de Diffa ont été impactées directement par les problèmes sécuritaires dont la région est victime. -
Observations sur les pratiques des producteurs en matière de protection phytosanitaire du poivron
Cette note rassemble les observations ponctuelles, effectuées par les techniciens et des élus de la Chambre d’Agriculture de Diffa au cours de visites des parcelles de poivron et d’entretiens avec des producteurs. Il ne s’agit donc pas d’une enquête exhaustive. Le contenu de cette note devra être confirmé et complété. Le poivron doit représenter 80% des cultures irriguées de la vallée de la Komadougou qui traverse 5 communes de la région de Diffa. La situation des producteurs de poivron est inquiétante. Les pertes enregistrées pour la campagne 2011 – 2012, à cause des ravageurs et maladies, sont très importantes : des producteurs réalisent une seule récolte, et un grand nombre s’arrête à trois alors qu’ils devraient avoir 5 à 6 récoltes. Ces pertes semblent en augmentation et les traitements phytosanitaires peu efficaces, malgré le nombre élevé de traitements que réalisent certains producteurs. -
Apres la récolte du poivron
Sèchement du poivron rouge -
Evolution du prix du poivron pendant quatre ans sur les marchés de gros de Niamey
Si en 2015, pendant quelques semaines, du poivron du Nigeria s’est vendu sur le marché de Djémadjé à Niamey, cela n’a plus été le cas à partir de 2016. De 2016 à 2019, les poivrons vendus à Niamey viennent du Niger, essentiellement des sites de production autour de Niamey ou du Burkina Faso. Le poivron du Niger était présent 30 semaines sur 52 au cours de l’année 2016, en début d’année jusqu’au mois de mai puis à partir d’octobre jusqu’à la fin de l’année. Il était absent du marché de juin à mi-octobre. En 2017 et 2018, le poivron du Niger était présent pendant 35 semaines sur 52, de janvier à juillet, puis à partir de novembre. En 2019, le poivron du Niger est présent pendant les 7 premiers mois de l’année et ne réapparait pas novembre. Il faudra attendre janvier 2020 pour qu’il revienne sur le marché. Il n’aura été présent que 28 semaines en 2019. -
Guide de l'aviculteur au Niger
Le Niger est un pays d'élevage par excellence, cette activités est pratiquée par près de 87% de la population active. Le poulet représente 54,5% des volailles élevés au Niger en 2007 avec une prédominance de races locales qui représente 54,7% du cheptel. L'aviculture intensive concerne 2,8% des effectifs, le poulet de chair représente 1,6% du cheptel avicole et les poules pondeuses 1,2%. Avant le recensement, les services d’élevages considéraient que le poulet constituait 70% des volailles élevées au Niger (RGAC, 2008). -
Plan national de développement de la filière aviculture (PNDF Aviculture)
La promotion de l'aviculture au Niger date des années 60 avec la création des stations avicoles des régions de Maradi et de Mirriah, suivie par celle de Niamey-Téra (1981) et de Dosso (1982). L'engagement politique du gouvernement pour la filière avicole a été poursuivi et renforcé par sa politique de promotion et de développement du sous-secteur de l'élevage à travers la mise en œuvre de diverses stratégie. -
Aviculture : 5 microprojets innovants en difficulté
Les commissions départementales de sélection des microprojets sur Fonds d’Appui régional (FAR/PASR) de Diffa et Mainé ont sélectionné en novembre 2011 cinq (5) dossiers de microprojets aviculture. Il s’agit d’élevage de poules pondeuses en bâtiments avec apport de l’alimentation.
Aucun des bâtiments proposés et démarrés ne pourra donner satisfaction pour l’élevage des volailles. Des modifications sont possibles pour les bâtiments en dur. Une reprise complète doit être envisagée pour les bâtiments en banco. Les budgets de ces MP ont été trop réduits sans tenir compte des besoins.
Les porteurs n’ont pas été informés ou ne se sont pas appropriés des charges auxquelles ils devront faire face pour l’alimentation et le soin de leur cheptel. -
Revue du secteur avicole Niger
Le risque d’apparition d’épizooties telles que l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène à H5N1 (IAHP) nécessite une surveillance efficace et une capacité de réponse active et rapide à un niveau national, régional et international. La crise de l’IAHP a dû et doit encore être combattue à travers le monde à sa source, c’est-à-dire au sein de la population avicole.
Une bonne compréhension des différentes filières de production et commercialisation permet de développer des mesures de contrôles des maladies qui soient appropriées et efficaces. -
Amélioration de l'élevage de jeune poussins et pintadeaux en aviculture traditionnelle ou villageoise
Les jeunes sujets représentent la base de réussite d'un élevage avicole. Cependant, ils sont confrontés à des nombreux aléas qui limitent ainsi la productivité d'un élevage de basse-cour en milieu villageois. Les caractéristiques d'un tel élevage sont notamment: Exposition aux intempéries et prédateurs ; Faible couverture sanitaire; Mortalité très élevé après éclosion; Faible performance de croissance. Ceci suppose qu'il y a nécessité d'adopter un plan rigoureux de soins intensifs d'hygiène et de prophylaxie. -
Note explicative sur la construction des infrastructures de stockage et de conservation du niébé, de l'oignon et du poivron
L'oignon, le niébé et le poivron constituent trois principales cultures de rente au Niger. Cependant, la conservation de ces trois produits est difficile; le niébé doit être conservé dans un milieu anaérobie, l'oignon se conserve dans un milieu moyennement aéré tandis que le poivron frais se conserve dans des chambres froides appropriées. Compte tenu de l'importance de la production, il important de trouver une solution permettant aux producteurs de tirer le maximum de profit. La construction des infrastructures de stockage et de conservation répond parfaitement à cette préoccupation. -
Etude de l’amélioration de l’aviculture villageoise : bilan critique des interventions du projet APELDA dans la région de Dosso.
Ce mémoire de fin de cycle de Licence porte sur le thème «Amélioration de l’aviculture villageoise: Bilan critique des interventions du projet APELDA dans la région de Dosso». L’accent est mis sur l’indentification des différents obstacles à la pérennisation des actions menées par le projet APELDA en aviculture villageoise. -
Développement de l’aviculture rurale au Sénégal : adoption de la volaille de race améliorée dans les ménages du Ferlo
Au Ferlo, vaste territoire dédié à l’élevage extensif mobile, l’aviculture villageois y est devenue de plus en plus répandue avec la sédentarisation croissante des ménages pastoraux. Cependant, ce mode d’élevage a une faible productivité et une faible rentabilité (faible capacité de ponte, poids ne dépassant pas 2,5kg pour les sujets adultes). A cela, s’ajoute un taux de mortalité élevé avec le manque d’abris qui expose les volailles à la prédation. Pour apporter des solutions durables efficaces à ces difficultés, AVSF à travers le « Projet de lutte contre la désertification par l’appui au pastoralisme (Projet Ega Egga) » a appuyé les familles vulnérables et les groupements de femmes du Ferlo à améliorer l’élevage avicole villageois, avec le double objectif d’augmenter le revenu et d’améliorer la sécurité alimentaire (consommation des œufs et de la chair). Le projet a, entre autre, facilité l’accès à des coqs de race pour améliorer la productivité de la volaille locale. -
Visite d’une ferme aviculture – pisciculture – horticulture avec de très bon résultats dans la Région de Tillabéri
Cette note présente la ferme « pluriactivités » d’un ancien fonctionnaire qui s’est lancé dans l’agrobusiness avant même de revenir au pays après une longue carrière professionnelle à l’international. Elle décrit le modèle conçu par le promoteur lui-même avec la collaboration des techniciens qu’il a choisi pour son accompagnement dès le démarrage de son activité.
Ce modèle est duplicable par les futurs promoteurs, et où les promoteurs désireux d’améliorer leurs fermes en vue d’une rentabilisation à court et à moyen terme. -
Le mil et le sorgho, une alternative de l'utilisation du maïs dans les aliments des poules pondeuses au Niger, Afrique de l'Ouest
L’objectif de l’étude était de déterminer les effets des aliments contenant le maïs, le mil ou le sorgho sur les performances de production et la qualité des œufs des poules pondeuses. 120 poules de souche Harco âgées de 19 semaines ont été utilisées pendant trois mois de ponte. Les poules ont été réparties dans 20 lots avec 6 poules par lot à la ferme avicole Guidan Gona de Maradi. L’aliment témoin était à base de maïs comme source d’énergie. La farine de poisson et le tourteau d’arachide ont été les principales sources de protéine. Le mil et le sorgho ont été utilisés pour remplacer uniquement le maïs sur la base kg/kg dans les aliments. Les traitements étaient ainsi : 1) Témoin (100% maïs) ; 2) 50% maïs + 50% mil; 3) 50% maïs +50% sorgho; 4) 100% mil et 5) 100% sorgho. Les 5 aliments (traitements) ont été répartis de manière aléatoire dans les 20 lots avec 4 répétitions par aliment. Les paramètres suivis étaient le taux de ponte, l’ingestion alimentaire, l’indice de consommation, le coût des aliments, le poids des œufs et la coloration du jaune d’œufs. Les résultats ont montré que le taux de ponte n’a pas été statistiquement influencé (P > 5%) par le type de céréale ou leur combinaison. Les autres paramètres ont été statistiquement influencés (P <5%). -
Caractérisation des poulets locaux au Niger : étude biométrique et phanéroptique des poulets Kolonto en station
Cette étude est le fruit de la collaboration et du travail de nombreuses personnes. De ce fait, je tiens ici à exprimer ma profonde reconnaissance au Docteur Salissou Issa pour m’avoir proposé ce sujet combien intéressant et d’avoir accepté d’encadrer mon travail et pour sa disponibilité constante. Je tiens ici à lui exprimer toute ma gratitude pour sa rigueur et ses conseils scientifiques judicieux. -
Enjeux des exploitations avicoles modernes et semimodernes de la ville de Niamey au Niger : caractéristiques, innovations et projet d’introduction des asticots dans l’alimentation des poulets
Ce travail prospectif et de synthèse vient donc offrir un regard socioéconomique, socio-anthropologique et entomologique sur les enjeux de ces exploitations avicoles et sur le projet d’introduction des asticots dans l’alimentation de la volaille. L’activité avicole de la région est caractérisée par deux grands types d’élevages ; le traditionnel et le moderne. Le premier type combine l’aviculture traditionnelle pure et l’aviculture traditionnelle améliorée. Le second est composé d’exploitations modernes et semi-modernes. Le secteur avicole de la région est en plein essor. Il a connu des innovations profondes et légères qui sont tellement ancrées dans les pratiques quotidiennes des aviculteurs qu’elles apparaissent comme de simples progrès. Parmi ces derniers il est question d’une amélioration des techniques en conduite d’élevage, de complémentation avec des insectes et une quête permanente de meilleurs rendements. -
Phenotypic Characterization of Local Chickens in West Africa : Systematic Review
This review analyzes the processes of phenotypic and morpho-biometric characterization of West African local chicken. Data were collected on a set of 44 articles, and other reference documents were used to analyze and discuss the data collected. Existing studies on the phenotypic and molecular characterization of local chicken populations in West Africa indicate the presence of a wide variety of plumage colors and conformations, and intra-population genetic diversity. However, none of these studies have been able to identify the existence of a differentiated subpopulation that can be assimilated into a distinct race. -
Agrodok 4 : L'aviculture à petite échelle dans les zones tropicales
Ce guide constitue un outil d'autoformation pour la mise en place d'un petit élevage avicole -
Multiplication des semences de lignées de Piment / Poivron
Les procédures décrites dans la présente fiche permettent de reproduire des semences pures et de haute qualité de n'importe quelle lignée de piment ou de poivron (Capsicum spp. ). -
Elevage de la poule locale et de son hybride (croisé avec un mâle une femelle exotique) en Coté d'Ivoire
L'élevage de volailles à l'échelle de la famille est très peu pris en compte dans les politiques publiques des pays en développement. La poule locale traditionnelle ou <<poulet bicyclette>> n'a malheureusement pas pu s'imposer à l'élevage de grande échelle, en raison de sa faible productivité, d'une vitesse de croissance lente et d'une rentabilité jugée insuffisante. -
Contribution à la réflexion sur la Recherche avicole au Niger
A l'heure actuelle où le Niger cherche à atteindre l'autosuffisance alimentaire d'une part, et à endiguer l'exode des
ruraux vers les centres urbains d'autre part, l'aviculture,
source d'excellentes protéines et activité lucrative sédentaire,
peut apporter une grande contribution. -
Analyse des données de l’enquête pour l'élaboration d'un programme de relance de l'aviculture dans la zone de Guidan-Djibo
Cette étude a été réalisée sous forme d'enquête menée par les chercheurs de l' INRAN, à la demande du Projet Basse Vallée de la Tarka. -
Résistances phénotypique et génotypique des Escherichia coli isolés des élevages de volailles dans la région des plateaux au sud Togo
L'utilisation des antibiotiques en tant que médicaments chez l'homme et l'animal a véritablement commencé au courant des années 1950, et elle est considérée comme l’un des progrès majeurs de la médecine car elle a permis de réduire de manière spectaculaire la morbidité et la mortalité due à de nombreuses maladies infectieuses d'étiologie bactérienne. Cependant, les antibiotiques sont des médicaments très particuliers du fait de la diversité de leurs cibles sur les bactéries et de la capacité évolutive de ces dernières vers la résistance (SANDERS, 2011). L’augmentation de la prévalence des bactéries résistantes aux antibiotiques est devenue un problème majeur de santé publique dans le monde entier. De plus, de nombreux facteurs sont impliqués dans l'émergence de souches résistantes ; parmi lesquels l'usage abusif des antibiotiques chez les humains et les animaux (THAI et al, 2012). -
Poulet local « Kolonto » et sécurité alimentaire à Gaya
Cette étude a été initiée pour caractériser la rentabilité économique de l'élevage du poulet local « Kolonto » dans le département de Gaya. Une enquête a été menée dans 15 localités des 6 communes du département de Gaya. Les résultats ont montré que 29 % des éleveurs de poulets locaux « Kolonto » sont des femmes. Le prix du poulet local « Kolonto » varie entre 4 à 8 USD selon 50% des producteurs. Ce gain économique, lié à la vente du poulet local, permet aux producteurs de faire face aux dépenses familiales et de répondre à leurs besoins en matière de soins de santé. Ainsi, l’élevage du poulet local « Kolonto » contribue grandement à la sécurité alimentaire des ménages et à la résilience des communautés. Cependant, l'élevage de l'écotype de poulet « Kolonto » se situe entre de nombreuses contraintes dont la principale est celle des maladies (59,3%). Il est clair que le
développement de la filière passe nécessairement par un renforcement de la surveillance des maladies aviaires, combiné au suivi vétérinaire et à l'encadrement des producteurs. -
Elevage des oies
Les oies appartiennent à un groupe d’oiseaux de la famille des anatidés dans lequel on trouve aussi les cygnes et les canards. L’oie est un oiseau de basse-cour dont le mâle se nomme « jars » et le petit « oison ». Les oies peuvent vivre pendant 25 ans. -
Maladie de la variole aviaire (audio zarma)
La variole aviaire est une maladie virale fréquente des oiseaux domestiques (poulets, dindons, pigeons). Elle est nommée Ziguawan en Zarma et Waké en Haussa. Il s’agit d’une maladie se propageant lentement qui est caractérisée par la formation de lésions cutanées sur les parties non couvertes de plumes tels que la tête, le cou, les pattes et les pieds (formes cutanées) et/ou de lésions de la partie supérieure de l’appareil respiratoire. Cette maladie est due à un virus du genre Avipoxvirus. -
Maladie de la variole aviaire : comment reconnaitre la maladie et la prévenir? (audio zarma)
La forme cutanée : (de la peau) reste la plus répandue et la plus rencontrée dans les élevages de volailles notamment chez les poulets, pigeons et dindes.
La forme diphtérique : es symptômes varient en fonction de la sévérité des lésions
Comment la prévenir ?
La clé de la lutte contre la variole aviaire c’est la prévention et la vaccination pour maîtriser la
maladie et empêcher sa propagation :
• Le maintien d’une hygiène irréprochable dans un poulailler est essentiel : nettoyage régulier
et désinfection ;
• Programme de biosécurité pour empêcher le personnel et l'équipement contaminés de
l'extérieur de pénétrer dans les poulaillers ;
• Contrôler le cannibalisme en réduisant l'intensité lumineuse de l'environnement ;
• Eviter de mélanger des volailles de différents âges ;
• Les volailles infectées doivent être mis en quarantaine ou abattues ;
• Il est conseillé de donner des anti-stress après chaque vaccination qu’elle soit dans l’eau de
boisson ou injectable. -
Maladie de la variole aviaire : la vaccination (audio zarma)
La vaccination existe pour les poules pondeuses et les reproducteurs. Elle se réalise avec deux injections, la primovaccination au 26ème jour et le rappel à la neuvième semaine de vie. La vaccination doit avoir lieu avant l'exposition au virus. Il faut s’adresser aux vétérinaires (SVPP) ou à leurs auxiliaires d’élevage. Les produits sont disponibles à leur niveau mais les flacons sont de 500 ou 1000 doses en général selon les fabricants. -
L'élevage de canards
Dans cet Agrodok, nous traiterons un certain nombre de sujets concernant l’élevage des canards. Chacun d’entre eux décrit un aspect de ce que l’on doit savoir pour élever des canards. Il vous est destiné ainsi qu’aux gens qui travaillent avec vous dans votre communauté ou votre lieu de travail. L’objectif de cette brochure est de donner des conseils pratiques à ceux qui sont concernés par l’élevage des canards. Le cadre théorique permettra aux lecteurs de développer les techniques les mieux adaptées à leur situation particulière.