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Leptadenia hastata (hanam ou yadiya) De superbes potentialités mais une plante oubliée
Il s’agit d’une plante appelée hanam en Zarma, yadiya en Haoussa, Leptadenia hastata comme nom scientifique (Famille des Asclepediaceae). Leptadenia hastata est une plante à latex particulièrement vivace et résistante à la sécheresse. C’est une liane à la croissance forte pendant la saison sèche et ralentie pendant la saison des pluies. Elle rampe sur le sol ou elle s’enroule autour d’un arbre (photo 3). -
Impacts des changements climatiques dans les secteurs de la faune et de la pêche au Niger
Il apparaît alors que les changements climatiques, notamment les baisses de précipitations devenues récurrentes au Niger, constituent de sérieuses menaces sur les plans socioéconomique et environnemental. La présente étude a été conduite pour i) mieux aider à cerner les impacts des changements climatiques sur les secteurs de la faune et de la pêche, pourvoyeurs importants de revenus, d’emplois, de produits alimentaires, thérapeutiques et conséquemment ii) proposer des stratégies d’adaptation. -
Potentialités agricoles et forestières
L’étude a d’abord synthétisé plusieurs bases de données géographiques (AGRHYMET, FAO, IGN) sur les ressources naturelles. Les résultats identifient six classes de sols. Les sols irrigables, constitués par les sols de la vallée de Tarka, du Goulbi N’Kaba et du Goulbi Maradi, représentent 12 % de la superficie totale de la région. L’analyse de l’occupation du sol de la région de Maradi a permis confirmer que les zones irrigables de la région Maradi ont des sols hydromorphes. L’étude a permis de délimiter les aires protégées de la région repartie en forêt classée, en forêt protégée, en réserve de faune et gommerais. Cette étude donne des informations sur la localisation et l’extension des potentialités agricoles et forestières de la région de Maradi. Ces informations peuvent être utilisées pour réaliser un plan d’aménagement et de gestion de chaque zone présentant un potentiel agricole. -
Rapport sur le suivi de la dynamique des ressources naturelles au niveau de l’observatoire de Tahoua Keita dans le cadre du Projet aménagement du bassin versant de Badaguichiri
La zone d’étude est localisée dans le bassin de Badaguichiri des départements de Tahoua, Keita, Bouza et Illela de la région de Tahoua.
L’objectif de cette étude est de faire un bilan du changement de l’occupation des terres (OT) des communes du bassin versant de Badaguichiri aux deux dates de référence suivantes (1984 et 2011) dans le cadre du projet d’aménagement du bassin versant de Badaguichiri : Il faut préciser d’abord que la NOT est une classification du territoire en unités homogènes sur la base d’une nomenclature qui permet de décrire les unités paysagères. Dans ce cas, l’occupation des terres des communes est structurée en trois couches d’information en formats vectoriels.
L’objectif principal de ce bilan est de satisfaire en informations sur les ressources naturelles d’une part et de contribuer à garantir, de manière durable, la disponibilité des informations sur ces ressources. Dans ce bilan, les différentes tendances (évolutives, régressives ou stationnaires) ont été dégagées ce qui a permis de comprendre le phénomène des impacts environnementaux naturels et anthropiques. -
Etude complémentaire sur la diversité de la faune dans le bassin versant de Badaguichiri et analyse des expériences de gestion
Cette étude tente de tracer à travers la documentation existante, la présence, la dynamique et la diversité de la faune dans le bassin versant de la vallée de Badaguichiri, principalement dans les Départements de Illéla, Bagaroua, Keita et Bouza concernés par le projet. Sur la base de documentations de politique nationale ou de mise en oeuvre de différentes interventions de gestion ayant eu cours durant les trente dernières années, elle met l’accent plus particulièrement sur : une analyse de la présence, de l’état et de la diversité de la faune terrestre et aquatique dans le bassin versant de Badaguichiri étendu à toute la région de Tahoua, une analyse des expériences de gestion locale appliquées en y relevant les forces et les faiblesses, l’identification des besoins d’amélioration de la gestion appliquée, une proposition de gestion des ressources fauniques propre au bassin versant de
Badaguichiri. -
Caractérisation des unités de végétations dans le bassin versant de Badaguichiri – Rapport d’étude
La présente étude est conduite en partenariat avec le Centre National de Surveillance Ecologique et Environnementale (CNSEE) dans la région de Tahoua plus précisément dans le Bassin Versant de Badaguichiri. Le but de cette étude est de procéder à la caractérisation des unités de végétation rencontrées dans le bassin. Les familles les mieux caractérisée sont constituées des épineux et des combrétacées. -
Guide pour la gestion et la conservation des ressources naturelles
Le Centre International de Recherche en Sciences Agricoles du Japon (JIRCAS) a élaboré ce guide sur la base des résultats obtenus lors de l’exécution de l’étude portant sur la gestion des ressources naturelles ayant lieu de 2008 à 2012 en collaboration avec l’Institut d’économie rurale du Mali et les Ministères de l’Agriculture et celui de l'Hydraulique et de l’Environnement au Niger. -
Réponse à l'Appel d'Offres : Projet de Gestion des Ressources Naturelles (PRGN)
Le Gouvernement de la République du Niger a engagé un important programme pour la gestion des ressources naturelles du Niger. Il a lancé le Projet "Gestion des Ressources Naturelles", placé sous la responsabilité du Ministère de l'Agriculture et de l’Élevage. -
Stratégie de développement et plan d'action pour la promotion de la foresterie urbaine et périurbaine de la ville de Bangui
La ville de Bangui fait face à un problème de de développement lié à l''aménagement des ressources naturelles de son territoire avec des conséquences graves sur les conditions de bien-être de sa population, tant au niveau de son alimentation que de son appauvrissement économique. -
Étude du milieu : étude dans les arrondissements de Konni et de Madaoua
L'arrondissement de Birni N'Konni s'étend sur une superficie de 4.661 km2, soit 4,57% de la superficie du département de Tahoua, dont il fait partie. L' arrondissement de Madaoua couvre 4.800 km2, soit 4,5% du même département. Les arredissements de Konni et de Madaoua font parti d'un ensemble dit AderDoutchi- .aggia (ADM) , situé dans la zone sud du pays aux frontières du Nigéria. C'est un plateau latéritique A faible pente en général, dans lequel plusieurs systèmes de vallées se découpent. Celles-ci peuvent avoir par endroit profondeur qui dépasse le 100m. Au centre des vallées s'écoulent des koris, ne conduisant l'eau que temporairement. Parmi les vallées, celles de la maggia et de la Tarka sont les plus importantes. -
Projet de gestion des ressourcesnaturelles
Le Plan Annuel de Travail 1998 du PGRN approuvé par le CP-GRN était articulé sur quatre axes : Élaboration et mise en œuvre des PGT ;Opérations de soutien à la GRN;Appui à la politique nationale de GRN Gestion du projet;Les actions « Terrain» prévues par le PGRN et qui constituent l'essentiel du premier axe, étaient orientées vers l'élaboration et la mise en œuvre des plans de gestion des terroirs. Partant des principales actions réalisées par les équipes d'arrondissement au cours de l'année 1997 et qui sont : i)l'information, et la sensibilisation des populations des terroirs qui les ont conduit à se constituer en communautés rurales et à solliciter la collaboration avec le PGRN ; ii) la réalisation des pré-diagnostics au niveau des communautés rurales constituées. -
État de dégradation de l'habitat de la girafe (giraffa camalopardalis peralta Linneaeus, 1758) au Niger
Cette étude fait le point sur l'état de l'habitat de la girafe afin de dégager les principales tendances évolutives. La population de girafes est passée de 62 à 175 individus de 1998 à 2007. Pour atteindre cet objectif de connaissance de l'état de dégradation de l'habitat, une évaluation de l'impact de l'occupation des sols (notamment de ceux occupés par la brousse tigrée, habitat principal de la girafe) par analyse diachronique fondée sur l'interprétation des images satelitales Landsat de 1986 et 2003 a été réalisée à l'aide du logiciel Arc View 3.2. -
Économie des ressources naturelles
Chacun d’entre nous peut donner des exemples de ressources naturelles, comme le pétrole, le charbon, le bois, les fruits sauvages…, si bien qu’il ne semble guère nécessaire d’en dire davantage, tellement l’expression paraît parler d’elle-même. « Ressource » renvoie à quelque chose d’utile à l’homme et « naturelle » au milieu dont elle provient, milieu qui est lui même déjà donné et extérieur à l’activité humaine. Nous allons montrer que le concept économique de « ressource naturelle » demande à être mieux précisé. Ceci nous conduira à faire une distinction fondamentale entre deux types de ressources naturelles : les ressources épuisables et les ressources renouvelables. -
Termit et Tin-Toumma refuges de la faune au Niger
De manière générale, cette vidéo fait état de la gestion de la faune dans la Réserve Naturelle Nationale de Termit et Tin-Toumma. En effet, cette réserve couvre la vaste superficie de 86 215 km². Elle est l'une des plus grandes aires terrestres protégées au Monde. La Réserve réunit trois écosystèmes remarquable : le massif de Termit, le désert de Tin-Toumma, et un écosystème sahélosaharien. -
Caractérisation biophysique des ressources ligneuses dans les zones dégradées et reverdies au Sahel : cas du département de Mayahi
Depuis les sécheresses des années 1973-74 et 1984-85, l’environnement au Niger a subi une dégradation accélérée. Pour inverser les tendances, les populations rurales et l’état du Niger, appuyés par plusieurs partenaires techniques ont entrepris des activités de restauration des milieux. La présente étude porte sur certains espaces de ces activités. Elle a été conduite sur un site dégradé et un site reverdi de deux terroirs du département de Mayahi. Il s’agit, à travers ces travaux de recherche, de faire une caractérisation biophysique des ressources ligneuses de ces deux sites. La méthodologie a consisté d’abord en un relevé floristique dans des placettes rectangulaires de 50m x 40m disposées le long des transects allant du centre du village vers la brousse. Cela a permis d’inventorier les différentes espèces rencontrées, leurs recouvrements ainsi que leurs paramètres dendrométriques. -
Distribution et diversité de la faune aviaire de la ville de Niamey et de sa principale zone humide, le fleuve Niger
L’urbanisation des villes altère la naturalité des espaces qu’elles occupent. Cette situation impacte surement la diversité et la distribution de la faune aviaire. Ce travail, le premier du genre dans Niamey, a pour objectif d’apprécier la diversité et la distribution de l’avifaune en lien avec les différents types d’habitations de la ville de Niamey et de sa zone humide. La méthode consiste à dénombrer les oiseaux sur des transects qui passent dans chaque commune et sur le point fixe choisi sur le Fleuve. Les dénombrements se font de 7 h à 9 h30 et de 16 h30 à 18h30 sur l’ensemble des sites. Cela a permis de recenser 38 espèces pour toute la ville de Niamey avec respectivement 18, 22, 18 et 21 espèces sur les transect 1, 2, 3 et le fleuve.. Les résultats montrent que les espèces les plus ubiquistes sur les trois transects sont : Streptopelia senegalensis,Lamprotornis purpureus, Bubulcus ibis. Les moins observées sont: Milvus migrans, Merops orientalis, Sylvietta brachyura, Nilaus afer, Uraeginthus bengalus. Sur le fleuve, les plus ubiquistes sont : Bubulcus ibis et Ardea cinerea et les moins observées sont : Ardea alba, Ardeola ralloides, Actophilornis africana, Tringa nebularia et Melanitta nigra. -
Réserve de biosphère de Gadabédji
La réserve de biosphère de Gadabédji (Maradi), accueille depuis 2018 les girafes transférées depuis Kouré. Elles sont en parfaite harmonie avec leurs nouveau lieu d'accueil et commence même à se reproduire dans cette zone ou elles sont en cohabitation avec d'autres espèces telles que les autruches et aussi les dromadaires avec qui elles partagent les aires de pâturages. -
Termit et Tin-Touma refuges de la faune au Niger
La Réserve naturelle nationale de Termit et de Tin-Toumma est une réserve naturelle créée en 2012 et située au Niger. -
Réserve naturelle national de l'Aïr et du Ténéré
La Réserve Naturelle Nationale de l’Aïr et du Ténéré (RNNAT) de la République du Niger a été inscrite sur la Liste du Patrimoine mondial en 1991, sur la base des critères naturels (vii) (ix) et (x). En 1992, elle est inscrite sur la liste du patrimoine mondial en péril lors de la seizième session du Comité du patrimoine mondial suite à l’éclatement de la rébellion armée dans la région d’Agadez. Du 03 au 12 mai 2005, sur demande de l’Etat Partie Nigérien, une mission de suivi réactif de la RNNAT a été réalisée par l’UICN pour évaluer l’état de conservation de sa valeur universelle exceptionnelle. L’état de mise en œuvre des mesures correctives issues de cette première mission de suivi réactif de 2005 a été analysé par la présente mission. -
Contribution à l’analyse des problématiques du braconnage dans des terroirs villageois situés à la périphérie de la Réserve Naturelle Nationale de Termit et Tin-Toumma au sud-est du Niger
De nos jours, la faune sauvage au Niger est confrontée à plusieurs pressions dont le braconnage. Ce braconnage se fait aussi bien dans les aires protégées que dans les villages riverains. L’objectif de cette étude est d’analyser la problématique du braconnage dans l’une de six communes (Tanout) limitrophes de la Réserve Naturelle Nationale de Termit et Tin-Toumma dans le Sud-Est Niger. La méthodologie appliquée dans le cadre de cette étude est celle des enquêtes individuelles et les interviews semi structurées auprès de 256 ménages. -
Plan de gestion de la réserve de biosphère du Parc W (composante du Niger ) 2020-2024
Ce Plan de Gestion de la réserve de Biosphère du W (composante du Niger) est le document de cadrage stratégique et de planification opérationnelle des interventions de l’administration de tutelle afin de promouvoir sa conservation durable. Ce Plan de Gestion a été conçu dans un cadre global et s’inscrit directement par la prise en compte des principes et des orientations stratégiques adoptés par les différents accords multilatéraux sur l’Environnement, notamment les dispositions des conventions internationales auxquelles le Niger est signataire. Il s’agit entre autres des Conventions post Rio, la Convention RAMSAR, la Convention sur le Patrimoine Mondial, la Convention sur le Commerce international des espèces de la nature et de flore sauvages menacées d’extinction (CI.T.E.S), Washington, 1973, et la convention de Bonn. Alger, etc.).