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Cereal yield response to conservation agriculture practices in drylands of West Africa: A quantitative synthesis
To address the decline in crop productivity in the drylands of West Africa, many initiatives have focused on combating soil degradation. Various practices including (1) parkland trees associated with crops, coppicing trees, green manure, mulching, crop rotation and intercropping, and traditional soil/water conservation have been tested. The present study attempts to provide a comprehensive, quantitative synthesis of existing reports on the effect of conservation agriculture (CA) practices on crop yield response in Burkina Faso, Mali, Niger and Senegal. Out of a total of 155 reports found, 63 fulfilled all the appropriate criteria to be included in the meta-analysis of the effect of various conservation agriculture practices on the yield response of maize, millet and sorghum. The study revealed significant variability in cereal yield response (and hence risk) with all the practices examined. Despite the variability, the mean effects of the six CA practices on crop yield were more positive than negative except with parkland trees.
However, for this last practice, species like Faidherbia albida exerts more positive impact on crop yield. Yield increases relative to the control were higher with green manure and mulching than with coppicing trees and parklands. Increases in yield in the six CA practices were higher on low to medium productivity sites for maize, millet and sorghum. Coppicing trees and rotations improved yields when the rainfall is >800 mm whereas the opposite happens with parkland and soilewater conservation measures. Mulching performed better when the rainfall is <600 mm. The variability (and hence yield risks) calls for more understanding of the processes and application of appropriate tree management to reduce crop yield losses while still providing products (fruits, leaves, wood, etc.) and services (soil carbon building up) for long-term sustainability of the production systems in drylands of West Africa. -
Propositions pour une politique rizicole au Niger
Ce travail constitue le résultat du travail d’un groupe d’experts chargés de faire des propositions pour une politique rizicole au Niger. Il représente donc une première étape d’un processus de décision qui devrait conduire le Gouvernement du Niger à formuler sa politique après avoir discuté et amendé les propositions contenues dans ce rapport, au sein de son administration et avec les acteurs de la filière. Il n’est donc en aucune manière LE document de politique rizicole au Niger. -
Programme d'Appui à la filière Riz (PAFRIZ) : bilan d'étape au 30 juin 2005
Le présent rapport fait ressortir les activités menées dans le cadre du Programme d'Appui à la Filière riz (PAFRIZ). -
L’influence des fertilisants organiques liquides D.I.GROW et inorganiques NPK 17-17-17 + Urée sur le rendement et la rentabilité de la culture du maïs à Ngandajika
Le maïs (Zea mays L.) est l’aliment de base le plus important en Afrique subsaharienne (Naitormmbaide M. et al,. 2015). En République Démocratique du Congo (RD Congo), il est après le manioc, la principale denrée alimentaire produite, loin devant le riz et y constitue la principale céréale (Jean P. C.et al., 2012 Reafor, 2009). Le maïs constitue la base de la ration alimentaire des provinces du sud qui représentent plus des deux-tiers de la consommation nationale annuelle (Katanga 34%, Kasaï oriental 18% et le Kasaï occidental 16%). -
Étude sur L’état des lieux et documentation sur les importations et dons de riz, utilisation des fonds des recettes pour la promotion de la filière riz et l'application du quota du riz local sur les importations
L’étude comporte une analyse de l’environnement institutionnel et ses implications sur la filière riz en général et sur la commercialisation de la production locale en particulier. Elle comporte également une appréciation du cadre d’application des mesures non tarifaires d’appui à la filière riz, du cadre d’affectation des ressources générées par la monétisation des dons en riz. Enfin, elle propose des actions en vue de la promotion du riz local. -
Projet d'amélioration de la production du riz en Afrique de l'Ouest en réponse à la flambée des prix des denrées alimentaires (GCP/RAF/453/SPA) / Composante Niger : rapport de capitalisation des résultats
Dans le but de contribuer à la lutte contre la flambée des prix des denrées de première nécessité dans les pays de l’Afrique de l’Ouest, le Royaume d’Espagne, à travers la FAO, a accepté de financer pendant trois (3) années (2010-2012), un projet régional pour contribuer à accroître de façon durable la production rizicole nationale dans cinq (5) pays de la région dont le Sénégal, le Mali, le Niger, la Mauritanie et la Cote d’Ivoire, qui font partie des plus touchés par cette crise. -
Impact des pratiques de gestion de la fertilité sur les
rendements en mil dans le Fakara (Niger)
En vue de promouvoir l’utilisation par les agriculteurs de pratiques améliorées de gestion de la fertilité des sols, il est essentiel de pouvoir établir préalablement l’impact en conditions réelles de ces pratiques sur les rendements. C’est dans cet objectif qu’un essai en milieu paysan a été mis en place pour une durée de 3 ans dans 3 villages de la région du Fakara, au sud-ouest du pays. L’essai vise principalement la validation de la technique de placement d’engrais au poquet et la caractérisation de l’impact de pratiques indigènes de gestion de la fertilité. Il combine 3 variétés de mil (locale, ICMV IS 89305 et Zatib), 3 niveaux d’application d’engrais (témoin, DAP : phosphate diammonique et DAP + urée) et plusieurs pratiques de gestion des amendements organiques (transport de fumier et parcage) ainsi que leurs effets résiduels (un et deux ans après application). -
Perceptions paysannes des aléas climatiques sur la production du riz sur le périmètre irrigué de Saga dans la Vallée du Fleuve Niger
L’objectif général poursuivi est d’analyser la perception des aléas climatiques auprès des exploitants en milieu urbain. Pour ce faire, des entretiens semi-structurés et des enquêtes ont été effectués. Au total 140 exploitants disponible ont été enquêtés. Un critère d’âge de sélection des exploitants variant de 15 à 50 ans a permis de s’assurer que les stratégies développées font suite à une perception effective des changements. L’analyse des données a été faite par le logiciel Access et Excel pour le calcul des paramètres statistiques descriptifs et la réalisation de graphiques. Ces derniers observent l’existence des paramètres climatiques qui interviennent dans leur pratique à 90%. Les résultats de la recherche révèlent que 66 % des exploitants ont un niveau d’instruction assez bas. Face aux aléas climatiques les exploitants mettent en œuvre des stratégies durables d’adaptations qui participent à l’amélioration des rendements. -
Stratégie Nationale de Développement de la Riziculture (SNDR) au Niger 2021-2030
Pour pallier les insuffisances et faire face à la crise alimentaire de 2008, l’État du Niger en collaboration avec les partenaires au développement et les principaux acteurs de la filière riz, a mis en place des mesures hardies pour promouvoir la filière riz. C’est ainsi que la production de riz est passée de près de 86 000 tonnes en 2008 à 115 585 tonnes en 2018 soit une croissance moyenne annuelle de 3,5% due à la fois à une légère extension des superficies les quatre dernières années et à une amélioration des rendements. -
Impact des techniques de conservation des eaux et des sols sur le rendement du sorgho au centre-nord du Burkina Faso
Depuis 1961, le Burkina Faso a connu de multiples projets de développement dont la plupart avait pour objectifs l’autosuffisance alimentaire, la conservation des eaux et des sols, l’agroforesterie, la lutte contre la désertification, la gestion des terroirs, le développement humain durable, la lutte contre la pauvreté. Tous ces projets, débutés dans les années 1960 dans le nord-ouest du pays, au Yatenga, ont comporté un volet sauvegarde de l’environnement et de l’espace vital avec comme points focaux la récupération des terres dégradées et le maintien de la fertilité des sols. Entre 1995 et 2002 dans les 7 provinces que sont le Passoré, le Sanmatenga, le Bam, le Yatenga, le Boulkiemdé, le Sanguié et le Namentenga, du bilan des activités de la phase 2 du Programme Spécial de Conservation des Eaux et des Sols et d’Agroforesterie (PS/CES-AGF), il ressort les réalisations suivantes : 20 202 fosses fumières, 747 digues filtrantes, 32 424,2 ha de zaï, 311,3 ha de demi-lunes et des milliers de plants. Dans le centre-nord du Burkina Faso, particulièrement dans la région de Dem, différentes techniques ont été mises en œuvre par les populations paysannes, le plus souvent avec l’appui de multiples projets, ONG et services techniques décentralisés de l’État. -
Programme d'Appui à la Filière Riz : étude de faisabilité
La politique agricole du Niger s'insère dans le cadre général du processus d'ajustement dans lequel le pays s'est engagé depuis près de 20 ans. Selon le dernier document-cadre de politique économique, le Gouvernement fait du secteur rural le pivot du développement économique et social du pays. La stratégie repose sur 5 grands axes : la mise au point de techniques nouvelles destinées à améliorer la productivité de l'agriculture traditionnelle ; la promotion de filières porteuses, tournées vers l’exportation ; le développement de l’élevage ; la poursuite des réformes institutionnelles et sectoriel1es ; et une meilleure maîtrise de l'eau. -
Programme d'Appui à la Filière Riz (PAFRIZ) : étude de faisabilité
La politique agricole du Niger s'insère dans le cadre général du processus d'ajustement dans lequel le pays s'est engagé depuis près de 20 ans. Selon le dernier document-cadre de politique économique, le Gouvernement fait du secteur rural le pivot du développement économique et social du pays. La stratégie repose sur 5 grands axes : la mise au point de techniques nouvelles destinées à améliorer la productivité de l'agriculture traditionnelle ; la promotion de filières porteuses, tournées vers l’exportation ; le développement de l’élevage ; la poursuite des réformes institutionnelles et sectoriel1es ; et une meilleure maîtrise de l'eau. L'Etat entend se recentrer sur ses missions essentielles, notamment sur la mise en place d'un environnement favorable à l'initiative privée et sur le renforcement des organisations rurales et des groupements de producteurs. Le programme d'investissement public relatif au secteur rural devrait se fonder sur les priorités correspondant aux pôles de croissance retenus. L'Etat doit aussi garantir une meilleure sécurité foncière et un accès plus équitable à l'eau - deux des contraintes prioritaires à desserrer. -
Atelier régional sur la compétitivité des filières riz, dynamiques commerciales et accords commerciaux régionaux et internationaux
Le potentiel rizicultivable du Niger est presque exclusivement localisé dans la vallée du fleuve Niger où il est estimé à 24.000 ha. Malgré les potentialités dont dispose le Niger, la production rizicole reste encore insuffisante. Pour combler le déficit rizicole, le Niger procède à d’importantes importations des céréales, dont le riz en provenance notamment des pays asiatiques. La double culture est pratiquée sur environ 7.850 hectares, avec un taux d’intensification de ~170% ; malgré le fléchissement enregistré au cours de ces dernières années, ces performances (combinées à des rendements moyens restés longtemps au-dessus de 4,5 tonnes par hectare) sont les plus élevées de la sous – région (Djido, 2004). -
Test de faisabilité de la double culture de riz le long de la Komadougou yobé
Le projet d’appui au développement local de Diffa (PADL-Diffa) dont les principaux objectifs sont entre autres, l’amélioration des conditions de vie des populations de Manga, se propose d’expérimenter, à l’instar de la riziculture pratiqué sur les aménagements hydro agricoles, la double culture de riz avec maîtrise totale de l’eau : une culture de saison sèche (campagne SS) et une autre de saison d’hivernage (campagne SH). La double culture permet d’atteindre un taux de mise en valeur potentiel de 190% et de rentabiliser les investissements. -
Améliorer le niveau de vie des paysans en Afrique de l’ouest Semi-aride en améliorant les rendements du mil et du sorgho
Les contraintes à la production agricoles sont nombreuses, il est impératif de s’attaquer aux contraintes majeures si non toutes. Les intempéries climatiques font que les variétés locales productives tendent à disparaître à cause de la sécheresse, des attaques des plantes et insectes parasites , de la baisse de la fertilité des sols. C’est pourquoi, il faut s’orienter vers la recherche d’une solution durable contre ces fléaux, afin de permettre aux paysans de subvenir à leurs besoins alimentaire et bien être. C’est ce que le projet PROMISO s’attèle à réaliser à travers son intervention direct en milieu paysans.