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Production et vente de la nigelle à Atkaki au Niger
Cette fiche explique l'itinéraire technique sur la culture de la Nigelle. Elle explique les travaux du sol , la qualité des gousses et la facilité à la récolte. le choix des semences, la meilleure période de semis, le type et le dosage d'engrais par hectare, le respecter la fréquence des arrosages. -
Irrigation par goutte à goutte
cette fiche présente une brève description de l’innovation
"’irrigation par goutte-à-goutte "" qui est une est une innovation
exogène introduite en zone de cultures maraîchères par des projets de développement, institutions de recherche et services techniques. C’est un procédé qui consiste à utiliser des microdiffuseurs installés sur les canalisations, très proches du sol. -
Utilisation des séchoirs solaires
Le séchoir solaire utilisé pour le séchage des produits maraichers a été repéré dans les régions d’Agadez et Tahoua par PromAP en 2016.
C‘est une innovation exogène adoptée par des groupements des femmes. En raison de son coût initial. Cette fiche présente le séchoir solaire, ses foncfions et les avantages qui en découlent. -
Utilisation du pompage solaire pour l'irrigation
Cette fiche explique le pompage solaire, qui est une innovation exogène recommandée aux producteurs par des ONG, projets de développement et services techniques au Niger. Elle s’inscrit dans le cadre de l’optimisation du captage et de l’exhaure de l’eau pour la petite irrigation. Mr Sidi Bila, producteur et natif du village d’Alikinkin, commune urbaine d’Agadez, a adopté l’innovation; il explique les différentes étapes à suivre. -
Production et commercialisation du fourrage de la luzerne
La luzerne est une légumineuse pluriannuelle qui résiste à la sécheresse et lutte contre l’érosion des sols.
La présente fiche d'innovation montre les différentes étapes à suivre pour produire la luzerne. Cette culture fut initiée dans le village d’Edouk (Tahoua) par un paysan innovateur, Mr Hachimou Alka, identifié par le PromAP.
La fiche aborde:
- Le choix variétal et le respect
- Les maladies et ennemis de la luzerne.
- Pas besoin de fertilisation azotée etc.. -
Production de l'ail en irrigué
Cette fiche présente l'itinéraire technique de la production de l' ail ; elles explique les dispositions à prendre pour réussir la production de l’ail en culture irriguée
selon Mr Assoumana Moussaproducteur du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. -
Production du gombo en irrigué
Cette fiche d'innovation présente les différentes techniques de production du gombo en irrigué au niveau du village de Chacott, Région de Tahoua. Originaire de l’Ethiopie le gombo est une plante de saison sèche, très exigeante en chaleur, lumière et humidité. Produit en irrigué pour La commercialisation cette culture est une innovation endogène initiée en 2009 par des femmes du village de Guidoma, Région de Tahoua au Niger. -
Production de l'arachide en irrigué à Akoukou au Niger
L’arachide est une plante annuelle herbacée. Elle peut atteindre une hauteur de 20-60 cm. Pour la cultiver, il faut ameublir le sol et faciliter la pénétration de l’eau et des racines. Les travaux du sol influencent la maturité, la qualité des gousses et la facilité à la récolte. Un labour léger (8 à 12 cm), voire scarifiage sont suffisants sur un sol léger. -
Production du niébé à double usage
Cette fiche traite du niébé, une plante herbacée annuelle cultivée pour ses graines mais aussi pour ses feuilles. Il est surtout produit en zone sèche (soudano-sahélienne). Cette technique fait la promotion des productions à double usages qui concerne la production des semences et du fourrage de niébé pour l’alimentation humaine et animale. Elle a été réalisée par M. Salou Oudou, natif de Tadjef, commune de Balleyara, région de Tillabéri. -
Moulin à grain : fiche d'innovation
La présente fiche décrit les étapes d'une session de formation des femmes en techniques de transformation des céréales à Toumgai, Agadez. le document présente un exemple de réussite d'un groupement féminin qui a réussi grâce à l'appui du PromAP. (Recettes de 330 000 FCFA générées de la gestion du moulin à grain obtenu de PromAP. achat et installation à Batarmatas un second moulin à 120 000 FCFA issus des recettes du moulin subventionné par PromAP) -
Hangar amélioré pour la conservation de la pomme de terre
Cette fiche présente les techniques de conservation de la pomme de terre dans un hangar amélioré appelée « Mallam Tanda » . C'est une innovation endogène initiée par Mr Issoufou Hamidou à Shett Fandou, Filingué, région de Tillabéri. on construit un hangar dans un endroit bien aéré et dégagé sur 7 m de longueur, 6 m de largeur et 2 m de hauteur soit un volume de 84 m3. Il utilise des tiges de mil ceinturé de sécko et soutenu par quatre poteaux en terre avec des traverses en bois... -
Production de la tomate dans les zaї en hivernage
La culture de la tomate dans les Zaï en hivernage est une innovation endogène initiée en 2016 par Mr Tahirou Sabo, natif de village de Magou, département de Torodi.
La période propice est la saison sèche fraiche ; l'itinéraire technique décrit pas à pas les différentes étapes de cette technique. -
Irrigation par aspersion à Agadez
Cette fiche d'innovation traite de la technique d’irrigation par aspersion s’adapte à la plupart des types de sol. Elle est une bonne irrigation pour les sols sableux à taux d’infiltration assez fort. L’aspersion est une technique d’irrigation innovante exogène introduite par le GIE AÎR à Gofat Est, Agadez. L’eau est apportée aux plantes sous la forme d’une pluie artificielle. -
Production du mais en irrigué
Cette fiche explique les étapes d' une innovation sur les techniques de production du mais en irrigué par Mr Mallam Hamidou Ahamadou, du village de Kolkoli, commune de Bambaye, un producteur innovateur . Elle s’inscrit dans le cadre de la diversification des cultures irriguées. la technique présente un nombre de producteur par localité avec les différents rendements par superficie emblavée. -
Diagnostic des acteurs et des systèmes d’innovation dans la petite irrigation au Niger
le présent document analyser les dynamiques institutionnelles et organisationnelles des systèmes d’innovation de la petite irrigation au Niger pour créer un environnement propice à l’identification, la validation et la diffusion des innovations de la petite irrigation . Il aborde les systèmes d’innovations dans la PI, dont :
- les rôles des acteurs
- les institutions concernées
- les contraintes, les défis;
- la caractérisation de la « culture d’entreprise des acteurs.
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Étude diagnostique des innovations en petite irrigation dans la région de Tillabéri
Cette étude diagnostique est centrée sur les contraintes des producteurs; elle vise à apprécier la pertinence des innovations agricoles dans le domaine de la petite irrigation dans les trois zones du PromAP, selon les 3 éléments de base :
1- technologique, y compris de nouvelles variétés ou races et les pratiques de gestion des sols ou de l’eau ;
2 - organisationnel, dans le sens d’organiser et de transmettre des connaissances suivant une nouvelle méthode ;
3 - institutionnel, en matière de règles, cultures, valeurs, normes, comportements, politiques et lois. -
CTA (Centre Technique de Coopération Agricole et Rurale ACP-UE) CGSpace
La vision du CTA est de faire de l’agriculture de petite échelle une activité dynamique, moderne et durable qui crée de la valeur pour les producteurs, les entrepreneurs, les jeunes et les femmes, et qui produit une nourriture abordable, nutritive et saine pour tous. Le CTA offre de nombreuses ressources libres de droits pour la formation agricole, la vulgarisation et le conseil -
Production de l’ail sous irrigation
La culture associée de l’ail en irrigué est une innovation endogène initiée en 2002 par Mr Assoumana Moussa. Il est natif du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. Il est âgé de 47 ans, scolarisé jusqu’en classe de 4ème. L’innovation rentre dans le cadre de la diversification des cultures et de l’amélioration des revenus des ménages -
Stratégies et mesures d’adaptation réussies en Afrique de l’Ouest
Déjà handicapés par une pression foncière croissante et une dégradation continue des terres, les producteurs ouest-africains font face à un défi supplémentaire : adapter leurs pratiques aux changements climatiques. En Afrique de l'Ouest, ces changements devraient se traduire par une augmentation du stress hydrique, l'extension des zones arides et, au bout du compte, une baisse des rendements agricoles (GIEC, 2013). Les rendements en céréales devraient baisser de 10 à 15% d’ici 2025, alors que 20% des populations sont déjà structurellement vulnérables et que les crises alimentaires sont régulières (CILSS, 2013). La situation est difficile, mais des techniques simples et efficaces peuvent être mises en oeuvre pour adapter les pratiques agricoles. -
Module sur l’utilisation des bio pesticides et méthodes de lutte intégrée
Un biopesticide est un pesticide dérivé des matériaux naturels comme les bactéries, les plantes, … Kiota avec une solution d’ail et Djoga (Torodi) avec un mélange feuille de neem + piment + tabac. Les produits à base de neem se vendent aux Etats Unis (homologué en « bio ») ou en Europe. Pas d’arbres de neem dans ces pays Au Niger nous en avons. -
IED
IED Afrique est une organisation indépendante, à but non lucratif, basée au Sénégal, qui capitalise une quinzaine d’années d’expérience en Afrique de l’Ouest francophone. Elle intervient sur les problématiques de développement durable et de citoyenneté en Afrique en mettant l’accent sur les innovations méthodologiques et participatives. -
Low-tech Lab
Sites de ressources pour construire différents objets, tels que des fours solaires -
Économie familiale et innovation agricole en Afrique de l'ouest : vers de nouveaux partenariats
L’économie familiale occupe une place prépondérante dans les économies des pays de l’Afrique de l’Ouest et joue un rôle déterminant pour répondre aux besoins de cette population. L'agriculture contribue pour près de 30% du PIB , la plupart des activités agricoles sont organisées et mises en œuvre par les exploitations familiales qui sont la forme de production la plus importante au sein de l’économie familiale en milieu rural. -
Goutte à goutte au Burkina Faso
Au Burkina Faso, la technique du goutte-à-goutte permet de diminuer de moitié l'eau nécessaire à l'irrigation. -
Pierre Besse : le maraîchage sous mulch
La maîtrise des adventices, une préoccupation majeure pour les maraîchers. Pierre Besse nous explique la combinaison de techniques qu’il utilise et nous fait découvrir l’intérêt du maraîchage sous mulch, sa mise en œuvre pratique ainsi que les points clés de réussite.
Pour tout savoir sur le projet et retrouver les témoignages de ces agriculteurs, et d'autres, sur leurs pratiques, rendez-vous sur osez-agroecologie.org -
Sahel Agro Formation Mali/Niger
De paysan à paysan : la formation endogène, des racines jusqu'aux feuillesTémoignages sur les innovations agricoles -
# Dossier photographique : site de Démonstration Innovation Formation d'Indoudou (région d'Agadez)
Pour faire face à ces multiples défis qui entravent le développement de la petite irrigation, le PromAP III dans sa vision de promotion d’une agriculture productive, rentable et durable a décidé d’introduire la mise en place d’un site régional de Démonstration -Innovation -Formation (DIF) permettant de créer un cadre opérationnel d’apprentissage et d’échange d’expériences dans le processus de développement des innovations en petite irrigation.
L'objectif visé est de : Contribuer au développement des innovations/ pratiques innovantes en petite irrigation dans les trois régions d’intervention du PromAP.. -
# Dossier photographique : site de Chacot Tahoua
Monsieur SIDI Aboulkadre, est un habitant du village de Chacot commune rurale de Kalfou , Région de Tahoua . Il fait partie des producteurs qui ont été appuyés en semences, dans le cadre d'appui du PromAP aux producteurs innovateurs des bassins de production . Il est aujourd'hui un modèle de réussite. -
# Dossier photographique : Site de démonstration - innovation - formation de Konni
Pour faire face à ces multiples défis qui entravent le développement de la petite irrigation, le PromAP III dans sa vision de promotion d’une agriculture productive, rentable et durable a décidé d’introduire la mise en place d’un site régional de Démonstration -Innovation -Formation (DIF) permettant de créer un cadre opérationnel d’apprentissage et d’échange d’expériences dans le processus de développement des innovations en petite irrigation. L'objectif visé est de :
Contribuer au développement des innovations/ pratiques innovantes en petite irrigation dans les trois régions d’intervention du PromAP..
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Photos culture de luzerne à Tiguirwit Agadez
Initié par Orano avec l’appui de l’Etat, le projet Irhazer est mis en œuvre dans 9 communes de la région d’Agadez et cadre bien avec les objectifs de l’Initiative 3N (Les Nigériens nourrissent les Nigériens) qui vise à transformer radicalement les systèmes de production agricole au Niger afin de mettre les populations rurales à l’abri des affres de la famine et leur garantir des conditions favorables pour une pleine participation à la production nationale et la répartition des revenus. -
Produire des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique
La présente fiche porte sur la production des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique -
Principaux invertébrés de la Luzerne cultivée
Ce présente document porte sur les principaux invertébrés
de la Luzerne cultivée -
# Dossier photographique : Système goutte à goutte
L'irrigation au goutte-à-goutte est le système de distribution d'eau et de nutriments le plus efficace pour les cultures en croissance. Il fournit de l'eau et des nutriments directement à la zone des racines de la plante, en quantité suffisante, au bon moment, afin que chaque plante obtienne exactement ce dont elle a besoin pour se développer de manière optimale. Grâce à l'irrigation au goutte-à-goutte, vous pouvez obtenir de meilleurs rendements tout en économisant eau, engrais, énergie et même produits phytosanitaires. -
Note de suivi de trois unités de production de biopesticide à base des graines de neem au niveau des villages de Danja, Sarkin Hatsi et Garin Maiganga (Région de Maradi)
Pour contrôler ces ennemis de culture, la majorité des producteurs font recours aux pesticides chimiques de synthèse. L’utilisation excessive de ces produits, souvent non homologués, n’est pas sans effets néfastes sur la santé humaine et animale. Cette pratique contribue aussi à la dégradation de l’environnement en polluant les sols exploités et les nappes phréatiques. La promotion des biopesticides à base des plantes est une solution alternative durable surtout à l’endroit des producteurs à faible revenu.
C’est dans ce cadre que le projet « Legume1 System Research LSR Inn-Lab / INRAN Feed the future » financé par USAID intervient pour appuyer trois groupements féminins pour l’entreprenariat agricole sur la production de biopesticide à base des graines de Neem ‘‘Neem tea bag’’ ou ‘’Farine de graines de neem ensachée’’. Le neem est un merveilleux insecticide 100% naturel, inoffensif pour l'homme et les animaux, actif contre plus de 200 insectes, les acariens, les nématodes, les champignons et les bactéries (Vallet, 2006). La méthode de lutte avec le ‘‘Neem tea bag’’ est l’une des technologies AIC (Agriculture Intelligente face au Climat) car elle préserve l’environnement et permet une augmentation des rendements de culture. Ces unités de production et de vente du « Neem tea bag » ont été mises en place par l’équipe du Laboratoire d’entomologie de l’INRAN-Maradi. -
Note sur la botteleuse manuelle pour la culture fourragère de luzerne
Dans la région d'Agadez, la production des cultures fourragères irriguées semble bien adaptée. Elles constituent une nouvelle forme d’adaptation au déficit fourrager de plus en plus récurrent, et permet aussi de faire face à une demande sans cesse croissante des villes en aliments pour bétail.
C’est dans cette logique que le Projet d’Appui au Développement Agricole de l’Irhazer, du Tamesna et de l’Aïr (PADA/ITA) a donné une place de choix à la culture de la luzerne (Medicago sativa) sur les périmètres irrigués de sa zone d’intervention.
Cependant, les producteurs font face à des contraintes notamment, une perte importante des feuilles, qui constituent les parties les plus nutritives de la plante, après le séchage, une forte demande en main d’œuvre surtout pour la coupe et une faible densité des emballages traditionnellement utilisées, ce qui augmente le coût de transport. -
Efficacité de l’huile de neem (Azadirachta indica) et de Bacillus thuringiensis (Biobit 2X) sur la dynamique de la population de Bemisia tabaci (Gennadius 1889) et Helicoverpa armigera (Hubner, 1808) dans une plantation de tomate au Niger
Dans un champ école paysans à Dogaraoua, zone de production de tomate au Niger, lors d’une séance de réunion hebdomadaire, un facilitateur et son groupe de 25 producteurs apprenants décident de mettre en place un essai GIPP (Gestion Intégrée Protection Production) de la tomate sous la supervision d’un entomologiste.
Les résultats obtenus montrent que l’huile de neem permet de contrôler Bemisia tabaci à 70% et le biobit réduit l’infestation de Helicoverpa armigera de 50% par rapport au témoin non traité. Les producteurs peuvent utiliser l’huile de neem pour contrôler la mouche blanche afin de réduire à 80% le cas d’attaque du TYLC et le biobit dans le contrôle de la noctuelle de la tomate. -
Comparaison des effets du compost et des engrais minéraux sur le rendement de la culture de la Luzerne dans le lit du fleuve Niger
Durant la saison hivernale 2017, a été conduit à la pépinière fruitière de Yantala, un essai d’expérimentation sur la comparaison des effets du compost et des engrais minéraux NPK 15-15-15 sur le rendement de la culture de la Luzerne dans le lit du fleuve Niger. Quatre traitements (T0, T1, T2, T3) ont été utilisés pour un dispositif en bloc complet randomisé à quatre répétitions. Les paramètres étudiés au cours de 70 jours sont la levée des semis, la hauteur des tiges, le nombre de feuilles, et le rendement en poids frais et en poids après séchage des parties aériennes pendant une semaine. -
Appuyer les innovations paysannes - Dialogue avec les producteurs et expérimentations en milieu paysan
Dans toutes les régions du monde, seuls ou avec des appuis extérieurs, les agriculteurs innovent, testent de nouvelles pratiques, font évoluer leurs activités pour tirer un meilleur parti de leur environnement ou s’adapter à ses évolutions. Le rôle du développement agricole est de renforcer ces capacités paysannes d’innovation, d’élargir la gamme des choix possibles, de mettre à la disposition des agriculteurs des références pertinentes validées et des clés pour une meilleure maîtrise de l’environnement économique et institutionnel. Les méthodes et outils utilisés pour l’appui à l’innovation ont fortement évolué au cours des trente dernières années. Ce guide explore les innovations techniques mises en ouvre par les paysans dans leur exploitation. S’appuyant sur des exemples concrets en Asie, en Afrique et en Amérique latine, il propose une démarche et présente différents modes d’action contemporains, leurs intérêts et leurs limites. Cet ouvrage est essentiellement destiné à des opérateurs de terrain directement impliqués dans la conception et la mise en œuvre des actions de développement agricole à la base : techniciens, vulgarisateurs, chercheurs, etc. -
Étude de cas sur les innovations et la communication des agriculteurs au Niger
Le Projet de Communication pour un Transfert de Technologie en Agriculture (CTTA) est dirigé et financé en commun par les bureaux de l’Éducation, de l'Agriculture et du Développement Rural du Bureau pour la Science et la Technologie de l'Agence des Etats-Unis pour le Développement International en collaboration avec le personnel technique du bureau régional ainsi que les missions locales USAID concernées. L'Académie pour le Développement de l’Éducation a assuré les services techniques en vertu du contrat No DPE-5826-C-5054-00. -
Rôle de champignons mycorhiziens à arbuscules dans le transfert du cadmium (Cd) du sol à la luzerne (Medicago truncatula)
Les champignons mycorhiziens à arbuscules (MA) sont très fréquemment présents dans les sols, établissant une symbiose avec la majorité des plantes herbacées. Ce sont donc des acteurs inévitables du fonctionnement des systèmes sol-plante que l’on trouve également dans les sols contaminés par les ETM. Parmi les ETM, le cadmium (Cd) est un élément toxique dont le transfert aux plantes doit être rigoureusement surveillé. La modélisation de ce transfert et la quantification du Cd exporté dans la plante sont en effet des enjeux importants. -
Présentation des lauréats du concours du SAHEL 2022
Dans le cadre de l'organisation de la septième édition du Salon de l’Agriculture, de l’Hydraulique, de l’Environnement et de l’Elevage (SAHEL-Niger 2022), du 25 février au 02 mars 2022 au Palais du 29 Juillet à Niamey, un jury a été mis en place par arrêté N°0059/MAG/SG/DACPOR du 15 février 2022 portant création, composition, attributions et fonctionnement du Jury chargé de l’organisation des concours dudit Salon. Le Jury est composé de 24 membres et 3 personnes ressources. -
Expérimentation conjointe d’une innovation paysanne en fumage de poissons au Niger
Dans les pays du Sahel, les systèmes nationaux de recherches agricoles, malgré leur ouverture aux approches participatives, restent encore, pour la plupart, caractérisés par l’approche « transfert de technologies » où seuls les chercheurs développent les technologies véhiculées passivement par les conseillers agricoles vers les paysans. Cette approche ne stimule pas la créativité des paysans et n’encourage pas non plus leurs initiatives en matière de développement de technologies. -
Innovation rurale : contribution de la pomme de terre à la sécurité alimentaire dans la Commune rurale de l’Imanan
La presse présente généralement les sociétés rurales africaines, en particulier celles de l’Afrique subsaharienne comme étant essentiellement constituées de populations pauvres et vulnérables. Cette approche est largement erronée car, à l’exception des zones de guerres, ces populations subviennent la plupart du temps à leurs besoins essentiels grâce à l’exploitation ingénieuse des ressources disponibles. Elles font preuve de créativité et d’initiatives pour assurer la survie de l’unité familiale, en mettant en œuvre des savoir-faire locaux et de nouvelles pratiques pour s’adapter à la variabilité et la singularité des situations rencontrées. Elles s’adaptent quotidiennement à des milieux changeants. -
Légumineuses pérennes : Stylosanthes guianensis
Stylosanthes guianensis est une légumineuse (famille des Fabaceae) herbacée, érigée à semi-érigée, non volubile, originaire d’Amérique du Sud. Il forme de petits buissons (1 m à plus de 1,8 m), aux feuilles trifoliolées de 0,5 à 5 cm de long, lancéolées, vert tendre à vert foncé. Les tiges sont velues et se lignifient par la base. Ses fleurs caractéristiques sont d’un jaune intense à orangé et peuvent être striées de rouge. Ses graines, très petites (1,5 à 2 mm, poids de 1000 grains: 3 à 4 g.), de couleur brun clair mais pouvant varier de jaune à noir, sont protégées dans des “têtes” (capitules). -
Les déterminants socioéconomiques de l’adoption des technologies améliorées de production du niébé diffusées par les champs écoles paysans dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
Le niébé est une denrée de base en Afrique subsaharienne. Le projet champ école paysan en a introduit des nouvelles technologies améliorées afin d’accroître son rendement dans les régions de Maradi et Zinder. Cette étude qui a concerné un échantillon de 300 producteurs a pour dessein d’identifier les contraintes entomologiques de la culture du niébé et de déterminer les facteurs affectant l’adoption des technologies agricoles. Le modèle de régression LOGIT a été utilisé comme outils d’analyse et les principaux résultats suivants ont été obtenus : 1) la punaise brune (Clavigralla tomensicollis Stall) et le puceron (Aphis craccivora Koch) sont les principaux insectes ravageurs de la culture pour 53 à 61% des répondants ; 2) les taux moyens d’adoption par technologie sont de 74,9% pour les variétés améliorées, 57,2% pour les pesticides chimiques, 20% pour la combinaison fumure organique/NPK ; 21.7% pour l’engrais NPK seul, 7,4% pour les biopesticides à base de graines de Neem et 5,7% pour le respect de la densité de semis. Ces ratios sont 2 à 16 fois plus élevés chez les producteurs formés par rapport aux non formés ; 3) les variables « formations par les champs écoles paysans » et « l’accès au crédit » ont influencé positivement l’adoption des variétés améliorées, des biopesticides et des fertilisants ; 4) le genre a été positivement déterminant dans le respect de la densité de semis et l’utilisation des fertilisants ; 5) l’âge des répondants a eu une influence significative dans le respect des écartements entre les poquets. -
L’agriculture biologique en Afrique : un levier d’innovations pour le développement agricole
En Afrique, l’agriculture biologique est peu recensée dans les statistiques officielles, alors qu’elle est de plus en plus présente sur les marchés locaux et d’exportation. La demande des consommateurs africains s’accélère, offrant un débouché économique dynamique. Aujourd’hui, les apports de l’agriculture biologique au processus de transition agroécologique amorcé sur ce continent sont indéniables. Elle diminue les impacts négatifs de l’agriculture sur l’environnement et sur la santé, notamment parce qu’elle n’utilise pas d’intrants chimiques de synthèse. -
Profil pays Niger sur l'enrichissement des aliments
Ce document donne un aperçu de l’enrichissement des aliments au Niger. Il fait partie d’une série de documents similaires sur l’enrichissement des aliments préparés pour un certain nombre de pays par le « Food Fortification Advisory Services », 2FAS. Ces profils couvrent un large éventail d’approches d’enrichissement des aliments incluant la bio fortification l’enrichissement à domicile, ainsi que des véhicules potentiels pour l’enrichissement. -
Essai comparatif de l’utilisation des extraits du Neem et du virus entomopathogène MaviNPV dans la gestion des insectes ravageurs du niébé en milieu paysan au Niger
Le niébé (Vigna unguiculata (L.) Walp (Fabaceae) est une culture importante dont le rendement est faible en raison de fortes attaques des insectes ravageurs. Cette étude a été entreprise pour comparer l’efficacité de cinq biocides sur la gestion des principaux insectes ravageurs dans la région de Zinder au niveau de quatre villages en 2014 et vingt-cinq villages en 2015. Un dispositif en blocs de Fischer à deux répétitions et six traitements a été mis en place avec trois producteurs par village. Pour les deux années, le pesticide chimique de synthèse et les extraits aqueux de Neem ont été les plus performants avec 6,1 à 17,1% des gousses présentant des dégâts de Clavigralla tomentosicollis Stål, 3,3 à 7,0% affectées par Maruca vitrata Fabricius et des rendements en graines variant de 811 à 1233 kg/ha. Les traitements à l’huile de Neem, au mélange TopBio + Virus et au Virus ont connu plus d’infestation que les traitements précédents avec 23,8 à 65,9% des gousses attaquées par C.tomentosicollis, 17,6 à 25,6% affectées par M. vitrata et un rendement de 389 à 616 kg/ha. Les résultats obtenus encouragent l’utilisation des extraits aqueux de graines de Neem en milieu paysan comme solution de lutte alternative contre les principaux insectes ravageurs du niébé. -
Fiche technique n°3 : cultures fourragères - cas de la luzerrne
La vulgarisation de la luzerne constitue une nouvelle forme d’adaptation au déficit fourrager de plus en plus récurrent, et permet aussi de faire face à une demande sans cesse croissante en aliments pour bétail. -
Rapport de mission d'expertise : bilan-diagnostic de mise en oeuvre des sites de démonstration innovation formation (DIF, PROMAP 3) et perspectives pour el développement de sites intégrés de formation agricole (SIFA, PROMAP 4)
Ce document constitue un diagnostic participatif des sites de Démonstration – Innovation – Formation (DIF) qui ont été mis en oeuvre dans le cadre de la Phase 3 du PromAp avec quatre fonctions principales :
1. Support à la formation de terrain de divers publics cibles ayant la possibilité se confronter, en un même lieu, à divers objets techniques innovants
2. Support à la réalisation, pour différents publics, de visites d’échange/ démonstrations/vulgarisation d’objets techniques innovants
3. Support à l’évaluation de pratiques et techniques innovantes par la mesure, en milieu contrôlé préalablement caractérisé, d’indicateurs de performance agronomique, économique et environnementale.
4. Support au développement de systèmes de culture innovants -
Stratégie de recherche - formation - innovation pour l'agriculture sur le moyen et long terme au Niger
La production végétale au Niger est une la plus grande source de revenus et d’aliments pour les populations rurales et apporte une contribution significative à l’économie nationale. Dans ce pays où la croissance démographique continue à un rythme supérieur à 3% par an, l’augmentation de la production agricole est un facteur déterminant du maintien, si ce n’est de la progression de l’approvisionnement alimentaire des populations. -
Services « groupés » à base de mobile : le programme Agri-Fin Mobile
Le programme Agri-Fin Mobile de Mercy Corps fournit un « bouquet » de services financiers et de conseil rural en plus d’informations de marché aux petits producteurs par le biais de leur téléphone portable. Grâce à cette approche, le programme rapproche les différents acteurs y compris les banques, les opérateurs du réseau mobile, les groupements de petits producteurs, les prestataires de services de conseil rural et les gestionnaires de contenu et d’hébergement de plateforme afin de construire une suite complète de services qui répondent à tous les problèmes auxquels se heurtent les agriculteurs. En utilisant une nouvelle stratégie du nom de services groupés, le programme allie des produits et services pour fournir une offre combinée unique sur le téléphone portable. -
Des innovations agroécologiques dans un contexte climatique changeant en Afrique
L’étude est géographiquement limitée à quatre zones climatiques majeures d’Afrique : aride, subaride, subhumide et tropicale humide. Premièrement, les tendances majeures du changement climatique et leurs effets concrets sur les systèmes agricoles dans chacune des quatre zones sont identifiées. Ensuite, la deuxième partie caractérise un système agricole référent pour chacune des zones avant de présenter les pratiques agroécologiques recensées dans ces systèmes qui contribuent l’adaptation au changement climatique. La troisième partie regroupe des exemples de combinaisons de pratiques agroécologiques qui contribuent à renforcer la résilience des systèmes agricoles paysans face aux effets du changement climatique. Enfin, dans la dernière partie de l’étude, le potentiel de telles pratiques pour l’adaptation au changement climatique est évalué, pour conclure sur la pertinence de l’agroécologie pour faire face au changement climatique. -
INV-NIGER : Innovations pour l ´intensification durable des systèmes agricoles irrigués résilients face au changement climatique au Niger
L´objectif du projet est de contribuer à l’amélioration de la résilience des familles nigériennes face au changement climatique, grâce à l'innovation dans les agrosystèmes irrigués. Le premier objectif spécifique est le renforcement de la gouvernance et de la gestion des ressources en eau et des agrosystèmes irrigués. Le deuxième est l´intensification agro-écologique de la production agricole dans les agrosystèmes irrigués en facilitant l’accès au marché et l’inclusion des groupes vulnérables. -
Mieux gérer l’eau par des pratiques agricoles innovantes : quelles perspectives dans les pays en développement ?
L’objectif de cette étude est donc de faire un point sur les connaissances disponibles sur le potentiel de ces techniques pour une meilleure gestion de l’eau, tout en s’attachant aux contextes locaux de diffusion et d’adoption dans les pays en développement. Quatre techniques sont considérées : le zaï, le semis direct sur couverture végétale (SCV), le système de riziculture intensive (SRI) et l’irrigation au goutte-à-goutte. L’étude ne représente pas de façon exhaustive l’ensemble des expériences, recherches et rapports touchant à ces pratiques, ni l’ensemble des régions dans lesquelles ces techniques sont mises en œuvre. Ce rapport est centré sur les exploitations familiales petites et moyennes dans les pays en développement et plus particulièrement sur le continent africain. -
Effet des feuilles sèches de neem et de ricin sur les nématodes à galles (Meloidogyne javanica) de la tomate au champ
Les feuilles sèches de neem (Azadrichta indica A. Juss) et de ricin (Ricinus communis L.) ont été utilisées en incorporation au sol, en comparaison au produit nématicide, Nemacur (fénamiphos), pour le contrôle au champ des nématodes à galles Meloidogyne javanica de la tomate. Ces deux espèces végétales à effet nématicide, incorporées sous forme de fragments de feuilles séchées, à la dose de 10 tonnes/ha, ont permis de réduire les populations des nématodes à galles et d’améliorer la croissance et le rendement de la tomate. Le taux d’accroissement du rendement par rapport au témoin a été de 25,71 % pour le neem et de 73,79 % pour le ricin. De plus, le ricin a eu un effet nématotoxique comparable à celui du fénamiphos dansla réduction de l’indice de galles. -
Production de la luzerne (audio zarma)
Émission radio en langue sur les techniques production de la luzerne.