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PromAP - Formation des associations féminines sur la conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région d'Agadez
Dans le cadre de ses activités, le PromAP a décidé de soutenir les associations féminines des productrices à travers une session de formation sur les techniques de conservation/transformation des produits maraichers notamment l’oignon ; la pomme de terre ; la tomate ; le chou et le moringa.
Le présent rapport s’articule au tour des 5 principaux points suivants :
1-- Introduction
2 -- Rappel des objectifs et des résultats attendus
3 -- Organisation de la formation
4 -- Contenu et progression de la formation
5 -- Conclusion/Recommandations -
PromAP -- Formation des OP des femmes et jeunes adultes en conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région de Tahoua
Le présent rapport rend compte du déroulement et de l’évaluation d'une mission de formation , par le Cabinet Agri-Bilan pour l’animation d’une formation sur la transformation et la conservation des produits maraichers. L’a formation a regroupé les associations féminines de 13 groupements féminins de la région de Tahoua sur les innovations et les problèmes liés aux techniques de conservation et transformation de l’oignon, tomate, chou et pomme de terre récoltés sur leur exploitations . -
Unité de production de tomates séchées
Ce rapport présente une unité de production de tomates séchées -
Promotion de la production et de la transformation du manioc comme contribution à la souveraineté alimentaire et à la lutte contre la pauvreté : rapport définitif
Au niger, l'insécurité alimentaire reste un problème de fond et une donnée quasi-permanente en raison des sécheresses et des famines cycliques. -
Identification des pôles de production de tomate dans les régions de Tahoua, Dosso et Tillabéri
Cette note a été rédigée suite à une mission effectuée en deux étapes du 19 au 22 juin et du 10 au 12 juillet 2015 par une équipe du RECA et de l’Institut National de Recherches Agronomiques du Niger (INRAN) pour identifier les principaux pôles de production de la tomate dans les régions de Tahoua et Dosso et interroger les producteurs sur une éventuelle présence de la mineuse de la tomate Tuta absoluta 1. Les visites ont été facilitées au niveau de chaque région par la Chambre régionale d’Agriculture (CRA) à travers ses animateurs de terrain et ses membres consulaires. Au total, 10 sites ont été visités dont 3 à Tahoua, 2 à Dosso et 5 à Tillabéri. Cette mission fait partie d’un programme collaboratif réunissant l’INRAN, le RECA et la DGPV pour lutter contre la mineuse de la tomate sur financement du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO Niger). -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions irriguées 2020-2021
Le présent document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2020-2021. L’engouement suscité cette année encore par la campagne irriguée, en particulier à travers les différents projets et programmes intervenant dans la promotion des cultures irriguées dont les objectifs et résultats attendus, renforce notre conviction et notre volonté sans cesse grandissante que l’évaluation de ladite campagne est importante à plus d’un titre : mesures des performances, contribution à la résorption des déficits alimentaires, exportations et revenus, etc. les attentes des utilisateurs des résultats de cette opération sont donc multiples et diverses mais elles ne lui enlèvent rien de sa valeur scientifique et statistique. Que ceux-ci (les utilisateurs) veuillent bien nous excuser des insuffisances qu’ils pourront constater et ne retenir que l’essentiel : les résultats qu’ils peuvent désormais utiliser comme outils de travail, d’analyse et de prospectives. -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : Fiche sur la Cassava
Le manioc appartient à la famille des Euphorbiacées, qui compte environ 7200 espèces, caractérisées par le développement notable de vaisseaux lactifères, eux-mêmes constitués de cellules sécrétrices appelées lactifères. Celles-ci produisent la sécrétion laiteuse, ou « latex », qui caractérise les plantes de cette famille. Un genre très important de cette famille est Manihot, auquel appartient le manioc. Le genre Manihot n'est originaire que des Amériques, avec des espèces réparties du sud-ouest des États-Unis à l'Argentine. Bien que toutes les espèces du genre puissent se croiser entre elles, des données suggèrent que, dans la nature, elles sont isolées sur le plan de la reproduction. Environ 98 espèces ont été décrites comme appartenant à ce genre, dont seul le manioc (Manihot esculenta Crantz) a une importance économique et est cultivé. Il existe peut-être plus de 100 noms communs pour cette espèce, en raison de sa diffusion dans le monde tropical par les premiers commerçants (Ceballos & de la Cruz, 2012). Le manioc est un diploïde fonctionnel (2n = 2x = 36). Certaines parties du génome peuvent être dupliquées et, par conséquent, le manioc peut en fait être un allotétraploïde segmentaire (Ceballos & de la Cruz, 2012). -
Rapport sur les résultats de l’évaluation rapide des marchés pour la culture du manioc au Niger
Les producteurs du manioc sont majoritairement des Zarma (93%) et les autres ethnies sont constituées de Haoussa et Peulh (7%). L’âge moyen de ces producteurs est de 47 ans avec 10 ans d’expérience en agriculture. Les hommes dominent très largement l’activité de production (96%). La majorité des producteurs enquêtés disposent d’une formation (79%) résultant de la fréquentation auprès de l’école coranique ou formelle. Donc, 21% des producteurs enquêtées n’ont aucune formation.