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Mise en place de champs écoles et production de compost.
Ce document aborde la question de la fertilité des sols, qui constitue une des préoccupations paysannes. Il est donc urgent de restaurer et de régénérer la la fertilité des sols en mettant un accent particulier à la production de compost pour le maraîchage. -
Guide pratique du facilitateur champs écoles paysans
Les approches classiques de la vulgarisation agricole se sont révélées au cours des années souvent inefficaces à répondre aux préoccupations essentielles et réelles des agriculteurs. Ces approches ont faiblement impliqué les producteurs ruraux dans les différentes actions à entreprendre. Les champs écoles paysans (CEP) constituent une excellente approche de l’apprentissage participatif sur le terrain. Ils mettent l’accent sur l’observation, la discussion, l’analyse, la prise de décision collective, la présentation et la mise en oeuvre d’actions collectives et individuelles appropriées. Ils prennent leurs racines dans la science de l’écologie et associe les connaissances locales et extérieures pour donner les moyens aux paysans d’identifier les actions à mener. Efficaces et plutôt moins chers, ils encouragent les communautés à valider et à adapter certaines technologies au contexte local, à améliorer la sécurité alimentaire et la génération de revenus et à donner aux paysans les moyens de trouver des solutions à leurs problèmes. -
Les champs écoles des producteurs pour les petits éleveurs
Le secteur de l’élevage représente environ un tiers du produit intérieur brut (PIB) agricole mondial et croît plus vite que la plupart des autres secteurs agricoles. Son expansion a été principalement stimulée par une combinaison de croissance démographique, d’urbanisation et de hausse des revenus dans de nombreux pays en développement, ce qui a accru la demande en viande, lait et oeufs. La consommation de produits de l’élevage devrait encore augmenter au cours des prochaines décennies, offrant des opportunités pour le développement du secteur et permettant la réduction de la pauvreté et l’amélioration de la sécurité alimentaire. Cependant, le rythme rapide de ces changements risque de marginaliser les petits éleveurs. Les risques pour les ressources naturelles et la santé humaine doivent également être abordés afin d’assurer un développement durable. Dans ce cadre, la FAO a intégré, au cours des deux dernières décennies, des Champs-écoles des producteurs (CEP) axées sur l’élevage dans plusieurs projets et programmes, et a contribué à renforcer les capacités de nombreuses parties prenantes au développement (ONGI, ONG, instituts de recherche, etc.) concernant l’approche CEP au profit des petits éleveurs dans les régions en développement. -
Conseiller en maraîchage - Site de Falki
La mare de Falki se situe à 4 km au Sud-Est de la ville de Mirriah. Cette mare est un site important de cultures irriguées. -
Guide sur la gestion et la conservation des sols et des éléments nutritifs pour les champs-écoles des agriculteurs
Ce document propose des directives de référence pour la conception et la mise en application de l’approche champ-école des agriculteurs. Il est destiné aux facilitateurs de cette formation, pour produire des programmes et des manuels spécifiques locaux ou nationaux sur la vulgarisation agricole, l’agronomie, la science du sol, la nutrition des plantes, la conservation des sols et d’autres domaines de gestion agricole. Il peut être adapté à l’environnement agro-écologique, aux systèmes agricoles/culturaux, aux conditions socio-économiques et au niveau de formation des agriculteurs des régions concernées par les champs-écoles des agriculteurs. -
GiZ
Présentation de l'action de la Giz dans le monde et au Niger -
Ecodata
ECODOTA est un Organisme d’Intérêt Général, initié par des dirigeants d’entreprises engagés, pour soutenir des projets d’avenir.
Organisme à but non lucratif et dédié à des actions sociétales, ECODOTA est un Fonds de Dotation, créé en septembre 2016. Tout comme une fondation ou une association d’utilité publique, un Fonds de Dotation collecte des fonds d’origine privée pour réaliser une mission d’intérêt général. -
Swiss contact
Programmes et projets de swiss contact au Niger -
Champ école paysan
Présentation du concept de champ-école paysan -
Guide pratique à l'usage des facilitateurs pour les activités champs école paysan (CEP)
Ce guide présente les étapes de création d'un champs école paysan en vue de transférer des technologies adaptées aux besoins des producteurs -
Gestion intégrée de la production et des déprédateurs du
coton : Guide du facilitateur pour les Champs écoles des producteursL’objectif du guide est de fournir aux facilitateurs un document de référence qui présente l’approche de conduite des CEP dans le cas spécifique du coton en mettant l’accent sur les pratiques culturales et les options de gestion des ravageurs, des maladies et des adventices du coton suivant les principes de la gestion intégrée de la production et des déprédateurs. Il s'agit aussi de promouvoir le partage des connaissances générées, depuis 2001, par le programme sous-régional en Gestion intégrée de la production et des déprédateurs. -
Champs écoles paysans : pratiques clés pour les praticiens de la RRC
Le renforcement de la résilience des communautés vulnérables aux menaces et aux catastrophes dans un monde en évolution rapide appelle des approches innovantes et souples pour répondre aux besoins dynamiques et spécifiques de divers systèmes de subsistance. Cependant, la plupart des mécanismes de services existants dans le secteur agricole s’articulent autour de modèles conventionnels de vulgarisation où la communication est à sens unique et qui se fondent sur des recommandations d’ordre général. L‘approche des Champs Ecoles Paysans (CEP) offre une plate-forme flexible et réactive pour répondre aux besoins des agriculteurs et des éleveurs selon leurs contextes. -
Conduire des champs écoles des producteurs : Guide du facilitateur
L’objectif de ce guide est de:
-fournir aux facilitateurs un document de référence rappelant les éléments de base et les étapes pratiques pour la conduite des CEP
- promouvoir le partage des connaissances générées, depuis 2001, par le Programme GIPD, afin de promouvoir des CEP de qualité. -
Les Banques de Semences Communautaires. Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) - Guide de l’animateur
Le but de ce module est de fournir des informations aux formateurs des Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) afin qu’ils soient en mesure de parler des banques de semences communautaires, et en particulier de leur importance en ce qui concerne la sécurité semencière et alimentaire, l’agro-biodiversité et l’agriculture durable. Une série de discussions en petits groupes, de jeux de rôles, de saynètes et d’études de cas permettront de mettre en lumière le sujet des banques de semences communautaires. -
Le changement climatique. Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) – guide de l’animateur
Le but de ce module est de fournir aux animateurs de la JFFLS des informations qui leur permettent d’aborder le sujet du changement climatique, en particulier son impact sur l’agriculture et les actions que les agriculteurs peuvent entreprendre pour réduire leur vulnérabilité à ce changement. -
Champs écoles paysans
Les approches classiques de la vulgarisation agricole se sont révélées au cours des années souvent inefficaces à répondre aux préoccupations essentielles et réelles des agriculteurs.
Ces approches ont faiblement impliqué les producteurs ruraux dans les différentes actions à entreprendre. Les champs écoles paysans (CEP) constituent une excellente approche de l’apprentissage participatif sur le terrain. Ils mettent l’accent sur l’observation, la discussion, l’analyse, la prise de décision collective, la présentation et la mise en oeuvre d’actions collectives et individuelles appropriées. Ils prennent leurs racines dans la science de l’écologie et associe les connaissances locales et extérieures pour donner les moyens aux paysans d’identifier les actions à mener. Efficaces et plutôt moins chers, ils encouragent les communautés à valider et à adapter certaines technologies au contexte local, à améliorer la sécurité alimentaire et la génération de revenus et à donner aux paysans les moyens de trouver des solutions à leurs problèmes. -
Champs Ecoles Paysans – CEP
Le Champ école paysans (CEP), une école «sans murs», est un cadre de rencontre et de formation pour un groupe de 20 à 32 producteurs, qui se déroule dans un champ, tout au long d’une saison de culture (de la préparation du sol à la récolte). C’est un lieu d’échange d’expériences et de connaissances où des producteurs qui partagent les mêmes intérêts, recherchent, discutent et prennent des décisions sur la gestion d’un champ en partant de sa situation réelle. -
Etat d'avancement des cibles du programme de renaissance II
Le présent état d'avancement traite des points suivant,maison du paysan,promotion des filières,maîtrise de l'eau -
Rapport de l'Etude de capitalisation du projet Initiative Eau et Sécurité Alimentaire en Afrique - Niger
L’IESAII vise à améliorer la sécurité alimentaire et la résilience aux changements climatiques des populations les plus vulnérables des zones rurales via la maitrise de l’eau et le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des producteurs. Il devrait contribuer également à améliorer durablement les revenus, l’alimentation et la nutrition des groupes cibles via l’intensification, la diversification, la valorisation de la production agricole, et le renforcement des capacités des acteurs. Les activités proposées répondent au souci du Gouvernement du Niger à développer le secteur rural et à soutenir ses efforts en matière de sécurité alimentaire. Les activités s’inscrivent plus particulièrement dans la perspective de l’atteinte de l’objectif global de la stratégie de l’initiative 3N. Le Projet contribue à la réalisation des priorités et produits du document cadre de programmation de pays (CPP) de la FAO. Le projet est aligné aux cinq (5) axes de priorité de la Coopération espagnole. -
Note de capitalisation l’approche champs école pastoral : quelles opportunités pour les pays du PRAPS ?
Dans le cadre de ses missions de capitalisation et diffusion des bonnes pratiques et des innovations pertinentes pour améliorer la durabilité, la résilience et la productivité des systèmes pastoraux sahéliens, l’URC/PRAPS a entrepris de capitaliser les expériences de champs écoles pastoraux ou agro-pastoraux (CEAP) dans les pays du Sahel et en Afrique de l’Est. L’objectif de la capitalisation était de faire une analyse critique des premières expériences de champs écoles pastoraux ou agro-pastoraux (CEAP) dans les pays du Sahel, mais aussi de tirer des enseignements des CEAP en Afrique de l’Est y compris dans la Corne de l’Afrique, afin de juger de la pertinence de l’approche avant que le PRAPS en fasse la promotion auprès des pasteurs et agro-pasteurs dans sa zone d’intervention.
Les champs écoles agro-pastoraux sont une adaptation de l’approche Champs Ecole Producteurs (CEP) développée par la FAO dans les années 80. Les CEAP sont une approche novatrice de vulgarisation auprès des pasteurs et agro-pasteurs qui, se basent sur la pratique et un apprentissage axé sur les problèmes diagnostiqués au sein des systèmes de production agricoles de la localité. L’approche CEAP est relativement récente au Sahel et en Afrique de l’Ouest. Elle a été introduite à partir des années 2010. -
Evaluation finale de l’action du projet PASE - Rapport définitif de l’évaluation finale
Le Projet d’Accès aux Services Energétiques (PASE) constitue la phase pilote d’expérimentation dans la commune rurale de SAFO au Niger. Il est cofinancé par la Facilité Energie II de l’Union Européenne et le fonds GEF/PNUD. Le document n’est pas un rapport d’activités, encore moins un document de projet détaillé qui a vocation de détailler la mise en œuvre du projet ou les terminologies qui entourent la conception ou la mise en œuvre de ce projet. Il constitue le résultat de l’évaluation finale du projet et les principales conclusions ainsi que les analyses qu’il contient, sont formulées sous la seule responsabilité des évaluateurs. Elles sont indépendantes du point de vue officiel des différentes institutions partenaires du projet. -
Programme d'action national de lutte contre la désertification
Avec une superficie de 112 622 km2, le Bénin est un pays aux caractéristiques géographiques et climatiques variées. Sa population d'environ 6 millions d'habitants est concentrée dans la zone méridionale où se rencontre une végétation dégradée. On estime que 12% environ du territoire sont couverts de forêt semi-décidue, de forêt claire et de savane arborée. -
Programme d'activités et budget prévisionnel 2005
Le projet d'Appui au Développement Local dans la région de Diffa (PADL-Diffa) sera exécuté sur une période de six ans (2004-2009). Conformément au programme d'activités 2005 établi par la Cellule de Gestion du projet (CGP), cet exercice budgétaire sera consacré essentiellement à la réalisation d'actions prioritaires pouvant être menées au cours de cette période et qui serviront d'ancrage à la bonne exécution du projet. -
Programme d'activités 2003
Le Programme d'Activités 2003 du Projet de Promotion des Exportations Agro-Pastorales couvre la période allant du 1er janvier au 31 décembre 2003. Il présente les activités programmées par l'Unité de Gestion du Projet qui seront réalisées avec la participation de différents partenaires, dont les services de l'Etat, les projets, les opérateurs intervenant dans l'une ou plusieurs de filières concernées, les bureaux d'études, les consultants, les établissements de recherche et de formation, les ONG etc. -
Plan de Travail et Budget Annuel 2018 : 01 Janvier-31 Décembre 2018
Le PACRC est l'un des quatre projets du PSRC. Il a pour objectif de développement "l'amélioration de la protection des populations et des systèmes de productions face à la modification et à la variabilité du climat dans les communes cibles". -
Projet de Plan de Travail Intérimaire : Juin-Décembre 2005
Initié par le Gouvernement du Niger, appuyé par ses partenaires au développement notamment le FIDA et l'AFD et s'intégrant dans la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté, le Programme de Développement des Services Financiers Ruraux a pour objectif global d'améliorer le niveau de vie des populations rurales à travers le développement du secteur de la micro finance au Niger. -
Programme de Travail et Budget Annuel: PTBA 2012
La deuxième phase du Programme d'Actions Communautaire (PAC II) a pour objectif i) d'améliorer les capacités des communes à concevoir et à mettre en œuvre, de façon participative, des Plans de Développement Communaux (PDC) et des Plans d'Investissement Annuel (PIA) dans le but d'améliorer les conditions de vie en milieu rural et ii) de réduire la dégradation des terres et de promouvoir la gestion durable des terres (GDT) au Niger. -
Bilan à mi-parcours du programme de renaissance à la date du 30 juin 2013
Le Programme de Renaissance de son Excellence Elhadji Issoufou Mahamadou, Président de la République, Chef de l'Etat est conçu autour de huit axes dont l'initiative 3N, "les Nigériens Nourrissent les Nigériens". -
Situation de référence des producteurs suivis dans le dispositif du Conseil de Gestion aux Exploitations Familiales (CGEF) : Campagne 2019-2020
Le CGEF se définit comme une démarche d’accompagnement de l’exploitant par un animateur endogène d’une OP ou un technicien pour réfléchir sur ses besoins et aux évolutions possibles de son activité de production, programmer ses achats, ses cultures, sa récolte et son utilisation, suivre la mise en œuvre de ses activités productives, trouver des solutions techniques aux problèmes rencontrés, enregistrer les données (superficies, quantités et qualités d’intrants, dépenses réalisées, quantités de production) sur ses activités, traiter, analyser et restituer les données et résultats et faire des choix en vue d’améliorer sa situation. -
Projet de développement de l'élevage dans la zone du Liptako Gourma -
Analyse diagnostique et situation de référence - composante C : commercialisationL'aménagement des marchés à bétail est un élément important pour la maitrise et la revalorisation de l'apport du secteur de l'élevage à l'économie de la région et du pays tout entier. Le commerce traditionnel du bétail sur pieds doit aujourd'hui évoluer et devenir plus formel. -
Projet de développement de l'élevage dans la zone du Liptako Gourma - Analyse diagnostique et situation de référence. Composante D : Pistes rurales
Le présent rapport constitue pour la phase 1, une 1er étape (préliminaire), rédaction des questions d'aménagement issues de l'exploitation des données d'observations et discussions lors des sur le terrain et des documents consultés pour la réalisation de cette étude; elle devrait permettre aux promoteurs de se fixer sur l'opportunité du projet en son volet pistes rurales. -
Audit comptable et financier des comptes du projet de promotion de l'irrigation privée (PIP II) pour la période allant du 1er Janvier 2007 au 31 Décembre 2007 : lettre de contrôle interne
L'objectif de cette évaluation est de déterminer la nature, le déroulement et l’étendue des procédures de révisions nécessaires à l'expression d'une opinion sur les états financiers présentés par le PIP 2. Nos travaux sont par conséquent, plus limités qu'une étude qui aurait pour objectif l'expression d'une opinion sur le système de contrôle interne pris dans son ensemble. -
Bilan des actions du ministère du développement agricole : période 2000-2004
Dans ses efforts de développement agricole, le Niger est confronté à d'énormes contraintes liées principalement à l'expansion démographique, à la forte pression exercée sur les ressources naturelles et au caractère aléatoire de la pluviométrie qui ont des répercussions néfastes sur la production et la sécurité alimentaire de la population. -
Code de financement du projet de lutte contre l'insécurité alimentaire dans la région de Tillabéri
Le Gouvernement a approuvé depuis novembre 2003 la Stratégie de Développement Rural (SDR). Ce document de référence qui lui meme est une émanation de la Stratégie de Réduction de la Pauvreté (SRP) est, la conséquence de ce que le secteur rural est d'une importance capitale dans l'économie du pays. Nonobstant ce role de premier plan que devrait jouer ce secteur, des enjeux réels existent subsistent dont entre autre : i) La faiblesse des systèmes de production ; ii) L'accroissement de la compétitivité pour l'accès aux ressources naturelles ; iii) L'exploitation minière des ressources naturelles ; iv) La croissance de la production céréalière (2,5%) par an inférieur à celle de la population 3.1 %. -
Projet d'Appui au Développement du Secteur Rural dans les régions de Dosso et Zinder : PASDR Zinder
Le présent devis programme de démarrage est élaboré dans le cadre de mise en œuvre du << Projet d'appui au développement rural dans les régions de Dosso et Zinder>>. L'objectif général du projet est de contribuer à assurer la sécurité alimentaire en favorisant un développement agricole durable et en améliorant l'accès des populations rurales aux opportunités. -
Dossier d'Appel d'Offre National N° 001/2008/TRV/PADL-Diffa pour la réalisation de sept (7) ouvrages de contrôle de mares dans la région de Diffa
Le Gouvernement de la République du Niger a obtenu un pret du Fonds Africain de Développement pour financer le Projet d'Appui au Développement local dans la région de Diffa (PADL-Diffa) et envisage d'utiliser une partie des fonds pour les couvrir les paiements éligible au titre du marché pour la résilience de sept (7) ouvrages de contrôle de mares dans la zone d'intervention PADL-Diffa. -
Dossier de référence en irrigation
La mission de développement rural et agricole confié à BRL lui confère des responsabilités de maitrise d'ouvrage pour la création et la gestion des périmètres irrigués. -
État d'avancement du programme ASAPI au 31 Juillet 2005
Le Programme d'Appui à la Sécurité Alimentaire par la Petite Irrigation (ASAPI) fait suite à trois projets financés par l'Union Européenne et dont l'achèvement a eu lieu le 31 décembre 2000 : le PBVT (Projet de la Basse Vallée de la Tarka), le PPISZ (Projet Petite Irrigation Sud-Zinder et le PPOAF (Projet de Promotion des Organisations et Activités Féminines). -
État de mise en œuvre des activités du Projet de Développement Rural de Dakoro,
Le Projet de Développement Rural de Dakoro, Région de Maradi a pour objectif principal de contribuer à la réduction de la pauvreté à travers la réalisation des infrastructures de production agricole et pastorale ainsi que l'amélioration du cadre de vie des populations concernées. Il est financé par la Banque Arabe pour le Développement Économique en Afrique (BADEA) et le Gouvernement du Niger pour un montant total de Quatre Milliards cent soixante sept millions cinq cent mille (4.167.500.000) francs CFA. -
État de mise en œuvre du PAC3 dans la région de Dosso (2014-2015-2016) note d'information à l'intention de la 4èm mission de supervision du PAC III (étape de Dosso)
Le Programme d'Actions Communautaires (PAC) est dans sa troisième phase d'exécution après une première phase de quatre ans conduite de 2003 à 2007 et une deuxième également de quatre ans de 2009 à 2012. -
Rapport d'établissement de la situation de référence des indicateurs du PISA au 31/12/2016
L'étude s'inscrit dans le cadre du << Programme Petite Irrigation et Sécurité Alimentaire (PISA) financé par le Gouvernement du Niger et KFW. -
Evaluation finale et identification d'une deuxième phase du Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa (PADL/Da)
De manière, ce rapport relève des activités que le Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa a mené plusieurs activités entrant dans le cadre du développement Agricole de la région. -
Évaluation finale et identification d'une deuxième phase du Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa (PADL/DA)
Au terme de huit années de mise en œuvre et la fin de la première phase, le PADL-Diffa a assez largement atteint les objectifs qui lui avaient été assignés. Le projet est pertinent par rapport aux politiques et stratégies du Niger au moment de sa formulation et il a été mis en œuvre de manière efficace. -
Formulation d'un Programme de Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle
La région concernée par le programme s'étend sur le Nord, l'est et en partie le centre du Burkina Faso, les trois régions du nord et en partie sur celle de Mopti au Mali, sur la région de Tillabéry et en partie la Commune Urbaine de Niamey et la région de Dosso au Niger. Elle couvre une superficie de 370.000 km² lorsqu'elle s'élargit à toutes les circonscriptions administratives des régions concernées. -
Manuel d'exécution du Projet PPAO
Une croissance annuelle de la production agricole des pays africains de l'ordre de 6% est nécessaire pour l'atteinte des OMD d'ici 2015. -
Note de présentation du bilan triennal d'exécution du Programme d'Actions Communautaire (PAC) et perspectives
Le Programme d'Actions Communautaire (PAC) qui est l'un des instruments importants de l’État du Niger en matière de la réduction de pauvreté de la pauvreté et de promotion de la décentralisation vient de terminer sa troisième année de mise en œuvre. -
Note d'information sur l’État d'avancement de la mise en œuvre des activités du PTBA 2015 pour la période de Janvier à Avril 2015
La vision et l'approche d'intervention du PPI Ruwanmu ont pour ambition de faire émerger une dynamique de Poles d'intervention de Développement Economiques (PDE) à travers lesquels les producteurs soutenus par les collesctivités locales s'organisent, aménagent et exploitent de manière rationnelle te durable les bassins de production en vue d'augmenter le revenu de 65.000 ménages ruraux (455.300 personnes). -
Rapport annuel d'activités 2011
Le présent rapport d'activité constitue le premier du genre dans le cadre de la mise en œuvre de la phase 2 du Projet d'appui au Programme Spécial de Sécurité Alimentaire. Il couvre la période allant d'octobre 2010 à décembre 2011. Il rend compte de toutes les activités menées dans le cadre de la mise en œuvre du Projet. Il comprend quatre principaux points : un premier point qui présente le contexte du projet, un second point consacré au bilan des réalisations financière, enfin le quatrième point présente un résumé succinct des réalisations à l'issue de la mise en œuvre du projet faisant ressortir également les contraintes et les difficultés ainsi que les recommandations. -
Rapport annuel d'activités 2012
Le présent rapport rend compte en détail des activités menées dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet au cours de cette année 2012. Le rapport comprend quatre principaux points : un premier point qui présente le projet; un deuxième point qui présente le bilan des réalisations physiques; un troisième point, relatif au bilan des réalisations financières et enfin quatrième point qui fait un résumé succinct des réalisations effectuées ainsi que les contraintes et difficultés rencontrées. -
Projet d'Appui aux Producteurs Agricoles de la Komadougou : Évaluation finale
Le Projet d'Appui aux Producteurs Agricoles de la Komadougou (PAPAK) s'inscrit dans cette logique de création d'une dynamique à la base avec comme point d'ancrage les organisations de producteurs. En tant que prolongement du volet agricole du Projet d'Appui à la Mutuelle N'Gada (1er Janvier 1998 au 31 décembre 2002) sur financement danois à travers la première phase du Projet ADDR, l'évaluation à mi-parcours a en effet recommandé de séparer la fonction technique (appui aux producteurs) de la fonction financière (appui à la Mutuelle). -
Plan de travail et budget annuel 2015 - programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest
L'objectif de développement du projet est de contribuer à l'augmentation de la productivité agricole dans les filières majeures des pays participants. La première du Projet vise à générer et à accélérer l'adoption de technologies améliorées pour les principaux produits agricoles prioritaires des pays de la sous-région. Il s'agit des fruits et légumes; la banane plantain, la pisciculture, les racines et les tubercules; les céréales sèches; le riz; le bétail.... -
Programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest : plan de travail et budget 2012
L'objectif de développement du projet est de contribuer à l'augmentation de la productivité agricole dans les filières majeures des pays participants. La première phase du Projet vise à générer et à accélérer l'adoption de technologie améliorées pour les principaux produits agricoles prioritaires des pays de la sous-région. -
Planification stratégique 2007-2010
L'idée de créer des cadres de concertation au niveau des Etats afin de mieux influencer les politiques et programmes de développement au profit du monde rural a été concrétisée à travers la création de la PFPN en février 1998. Dés lors la PFPN, s'est très vite impliquée dans la dynamique du mouvement paysan de la sous région. -
Présentation du Projet de Promotion de l'Irrigation Privée : Phase 2 (PIP2)
Le PIP est une opération pilote de quatre (4) ans financé par un crédit de la Banque Mondiale d'un montant de 4.600.000 DTS. Il a pour objectif général l'amélioration de la sécurité alimentaire par le relèvement de la productivité et des revenus des petits exploitants à partir de l'adoption de techniques simple et peu couteuses d'irrigation. -
Programme d'urgence pour la sécurité alimentaire : 2011-2012 bilan
La campagne agropastorale 2011-2012 a été caractérisée par une pluviométrie erratique, mal repartie dans l'espace et dans le temps avec de nombreux épisodes de sécheresse tous plus longs les uns que les autres. Il en résulte un déficit céréalier quasi record de l'ordre de 700.000 tonnes, justifiant à postériori les instructions de son Excellence Elh Issoufou Mahamadou, Président de la République, Chef de l’État, d'anticiper dès le début du mois d'Aout 2011, l'élaboration et la mise en œuvre pour l'exercice 2011-2012, d'un programme d'urgence comme mesure corrective aux mauvaises récoltes attendues. -
Le conseil agricole a-t-il encore un sens aujourd'hui?
En Afrique, depuis les années 1960, différentes appellations ont été utilisées pour parler du conseil agricole au sens large. Elles témoignent d’une évolution des démarches, depuis un encadrement prescriptif à des démarches plus participatives et co-construites avec les bénéficiaires. Généralement, à l’échelle d’un pays, ces formes de conseil co-existent dans le temps. -
Programme régional de gestion durable des terres et de renforcement de la résilience des communautés rurales et des écosystèmes aux changements climatiques dans les Etats du Liptako-Gourma Volume III Niger
Face aux effets induits aux populations (notamment socio-économiques) par les sécheresses des années 1972-73, des mesures ont été prises par les autorités en 1976. Ainsi, près de 70 000 ha de la réserve de faune de Tamou ont connu un déclassement partiel pour des besoins d’activités Agricoles.Pour ce faire, des populations en particulier celles du Zarmaganda (Ouallam, Filingué) ainsi que des agents publics (en vue de contribuer à la sécurité alimentaire) ont été réinstallées dans la zone déclassée. Même si la plupart des acteurs initiaux ont regagné leurs zones d’origine après quelques années de production, il reste qu’aujourd’hui, la zone d’Aïnoma reste soumise à une spéculation foncière remarquable (en partie du fait de la démobilisation de ces acteurs initiaux). Cette situation accroit les pressions sur ce qui reste de la réserve de Tamou, d’une superficie actuelle de 77 000 ha, servant plutôt de zone tampon pour le parc national W du Niger. Pour diminuer les pressions sur cette réserve, des actions de conservation ont été réalisées dont la principale entre dans le cadre du PAPE, composante Niger, en direction des zones périphériques du complexe WAP, mais qui apparait insuffisante pour sécuriser les formations naturelles autour de la réserve de Tamou. -
Etude de faisabilité : Programme régional de gestion durable des terres et de renforcement de la résilience des communautés rurales et des écosystèmes aux changements climatiques dans les Etats du Liptako-Gourma Version Finale
Le Programme régional de gestion durable des terres et de renforcement de la résilience des communautés rurales de la Région du Liptako-Gourma est né du rapprochement des projets nationaux suivants : - projet de gestion durable des terres et de renforcement de la résilience des communautés rurales dans les régions du Nord et du Sahel au Burkina Faso ; - projet de gestion durable des terres et amélioration de la résilience des populations locales dans les communes frontalières des régions de Gao, Mopti et Tombouctou au Mali ; - projet de renforcement de la résilience des communautés rurales riveraines du W dans le secteur d’Aïnoma au Niger. -
La Gestion Durable des Terres : Analyse d'expériences de projets de développement agricole au Bénin
La dégradation des sols constitue une problématique majeure dans la mise en valeur des terres agricoles au Bénin. La production de coton intense, la déforestation ainsi que des pratiques agricoles inadéquates mènent à une perte de matière organique par érosion et sur-minéralisation, avec comme corollaire la recherche permanente des terres forestières plus fertiles par les producteurs agricoles. Globalement, 29 % et 33 % des terres au Bénin se trouvent dans un état respectivement de forte et, moyenne dégradation (PSI-GDT, 2010). -
Document introductif à la première réunion tripartite du projet GCP.NER.041.EC RGAC
La connaissance et la modernisation du secteur agro pastoral sont des enjeux majeurs pour le développement de l'économie Nigérienne. Si dans le domaine agricole il
a été organisé plusieurs recensements, le dernier remontant à 1980, tel n'est pas le cas pour l'élevage. Il en résulte une méconnaissance de ces secteurs, et un besoin d'y pallier.
C'est pour ce faire et évaluer correctement leurs productions que le Niger a
initié à l'échelle nationale, le recensement général de l'agriculture et du cheptel (RGAC). Après une phase test réussie, le Gouvernement Nigérien avec l'appui des partenaires financiers a lancé la phase opérationnelle du RGAC à travers le projet
GCP/NER/041/EC. Les résultats attendus de ce programme serviront au renforcement de la crédibilité des statistiques agropastorales sur lesquelles devra s'appuyer la stratégie du développement rural et de la réduction de la pauvreté.
Le projet est conjointement financé par le Gouvernement du Niger et l'UE et s'étendra sur trois ans à partir de juin 2004. L'organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) est chargée de son exécution.
Le présent rapport a pour objet de présenter succinctement la phase préparatoire ainsi que les réalisations de la phase opérationnelle de juin 2004 à ce jour. -
Etat de mise en œuvre et perspectives du projet GCPINERl049/SP A : appui à la consolidation et pérennisation des résultats du RGAC au Niger
A l'instar des projets financés dans le cadre de la coopération internationale et d'un commun accord avec la partie nationale d'une part et du bailleur de fonds et de la F AO d'autre part, une ou plusieurs revues tripartites sont généralement prévues au cours de
1 ~exécution des projets visant principalement à faire un constat sur l'état d'avancement des activités du projet et en débattre les contraintes. La première revue est souvent programmée après une année de la mise en œuvre du projet. C'est en fait le cas pour le
projet GCPlNERl049/SPA dont les activités ont débuté à partir du 1er Mai 2009. Ainsi, la tenue de la première revue de notre projet arrive à point nommé. -
Les déterminants socioéconomiques de l’adoption des technologies améliorées de production du niébé diffusées par les champs écoles paysans dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
Le niébé est une denrée de base en Afrique subsaharienne. Le projet champ école paysan en a introduit des nouvelles technologies améliorées afin d’accroître son rendement dans les régions de Maradi et Zinder. Cette étude qui a concerné un échantillon de 300 producteurs a pour dessein d’identifier les contraintes entomologiques de la culture du niébé et de déterminer les facteurs affectant l’adoption des technologies agricoles. Le modèle de régression LOGIT a été utilisé comme outils d’analyse et les principaux résultats suivants ont été obtenus : 1) la punaise brune (Clavigralla tomensicollis Stall) et le puceron (Aphis craccivora Koch) sont les principaux insectes ravageurs de la culture pour 53 à 61% des répondants ; 2) les taux moyens d’adoption par technologie sont de 74,9% pour les variétés améliorées, 57,2% pour les pesticides chimiques, 20% pour la combinaison fumure organique/NPK ; 21.7% pour l’engrais NPK seul, 7,4% pour les biopesticides à base de graines de Neem et 5,7% pour le respect de la densité de semis. Ces ratios sont 2 à 16 fois plus élevés chez les producteurs formés par rapport aux non formés ; 3) les variables « formations par les champs écoles paysans » et « l’accès au crédit » ont influencé positivement l’adoption des variétés améliorées, des biopesticides et des fertilisants ; 4) le genre a été positivement déterminant dans le respect de la densité de semis et l’utilisation des fertilisants ; 5) l’âge des répondants a eu une influence significative dans le respect des écartements entre les poquets. -
Champ école paysan, une approche participative pour l'amélioration du rendement du Niébé : résultats d'expériences pilotes conduites dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
En vue de favoriser les interactions entre groupes de producteurs pour résoudre les problèmes de production et diffuser les technologies éprouvées, en culture du niébé, trente champs écoles ont été misen place de 2013 à 2014 au centre sud du Niger avec 600 producteurs dans les départements de GuidanRoumdji, Madarounfa, Magarria, Tanout et la commune de Droum. La fumure organique (5tha-1) et l’engrais minéral NPK, 15 - 15 - 15 (60kg ha-1). Et la combinaison des deux ont été appliqués pour améliorer la fertilité des sols. La protection des cultures contre les ravageurs a été assurée par des extraits aqueux de graines de neem (Azadirecta indica) appuyé par certains composés chimiques. Pour les essais variétaux, le rendement moyen en grains le plus important (1074 kg ha-1) a été obtenu avec la variété améliorée IT90K 372 - 1- 2 sur les deux années d’essais. Les génotypes IT99K 573 - 1 - 1 ; IT89KD 374 - 57 ; TN 5 -78 ; IT97 K 499 - 38 ; KVX 30 - 309 - 6G ont donné des rendements moyens (entre 649 et 812 kg ha-1). -
Conduire des champs écoles des producteurs
Ce guide est destiné aux facilitateurs qui animent les formations participatives en gestion intégrée de la production et des déprédateurs à travers les Champs écoles des producteurs ou Champs écoles paysans (CEP) en Afrique de l’Ouest francophone. Il est une synthèse et une capitalisation des expériences de terrain des facilitateurs après plusieurs années d’animation des CEP au Bénin, au Burkina Faso, en Guinée, au Mali, en Mauritanie, au Niger et au Sénégal. -
Capitalisation champs école paysans : action collective, auto-organisation et rôle des organisations paysannes dans la mise à échelle et l'institutionnalisation des champs écoles paysans
Depuis plus d’une décennie, l’approche de conseil agricole reconnue sous l’appellation Champ École Paysan (CEP) est adoptée dans la grande majorité des projets de développement agricole financés par le FIDA en Afrique subsaharienne. Ce travail de capitalisation s’appuie sur l’expérience de projets financés par le FIDA et par la FAO dans six pays : Burkina Faso, Burundi, Guinée, Madagascar, Mali et Niger. Elle exploite également les résultats d’une étude similaire conduite sur les CEP-élevage au Malawi, Rwanda et Zanzibar. À travers cet exercice nous avons cherché à comprendre dans quelle mesure l’approche CEP avait permis l’émergence de processus collectifs, organisationnels et d’autonomisation des paysans en réponse aux problèmes qui se posaient à eux. Cette capitalisation a également contribué à mieux appréhender le rôle et l’importance des organisations de producteurs (OP) et de leurs faîtières dans ces processus et la place qu’elles pouvaient prendre pour assurer mise à échelle et durabilité des actions dans un contexte d’institutionnalisation de l’approche. Nous avons classé les CEP des projets en fonction du niveau de participation des producteurs et de l’étendue des thèmes abordés. Certains projets analysés utilisent l’approche à travers des CEP « simplifiés » qui visent le transfert de technologies pour augmenter les rendements des cultures prioritaires prédéfinies lors de la conception des projets. -
Comment utiliser la démarche champ-école pour accompagner les transitions agroécologiques des agricultures familiales des pays du Sud?
Un CE est constitué d’un groupe d’agriculteurs et d’agricultrices de la même localité animé par un·e facilitateur·rice (technicien·ne ou paysan·ne animateur·rice) et qui cultivent ensemble une parcelle d’expérimentation et d’observation (voir figure 2). La définition d’une thématique (problème à résoudre sur une ou plusieurs cultures ciblées) amène le groupe à mettre en place des essais sur la parcelle CE. Sur la durée d’un cycle productif2 (de cultures, d’élevage…), le groupe et le facilitateur·rice se réunissent à intervalles réguliers pour réaliser les opérations nécessaires (entretien des cultures, soins des animaux, taille des arbres par exemple), faire des observations de l’agroécosystème et discuter des conduites à tenir pour les différentes parcelles d’essai. -
Recommandations méthodologiques pour mieux évaluer les effets des champs-écoles mobilisés pour accompagner les transitions agroécologiques
Ce document s’articule en 4 parties. Tout d’abord, nous définissons les CE et leurs principes, avant de détailler les méthodes d’évaluation couramment employées pour les CE et les défis que cela pose. Nous présentons ensuite la méthode d’évaluation compréhensive à l’aide d’une étude de cas au Nord Togo. Les perspectives en dernière partie permettent de replacer la méthode proposée dans le processus de construction de l’évaluation pour une intervention mobilisant des CE. -
Champ école agro-pastoral pour une agriculture intelligente face au climat
Ce document « Guide Pratique du facilitateur de Champ Ecole Agro-Pastoral pour une Agriculture Intelligente face au Climat » est un aide-mémoire pour les facilitateurs déjà formés à l’approche champ école qui reflète les innovations et évolutions actuelles des champs écoles au Niger. -
Communication participative dans les champs école paysans pour l’amélioration des systèmes de cultures pluviales dans le Département de Diffa au Niger
La présente étude a pour objectif d’évaluer l’efficacité et le rôle de la communication participative dans les champs école paysans (CEP) mis en œuvre par la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Diffa (Niger). La méthodologie utilisée s’est appuyée sur la recherche documentaire, l’observation directe, les enquêtes de terrain auprès des apprenants, des responsables des CEP et des encadreurs (CRA). Au total, 112 personnes, réparties en 96 apprenants, 12 responsables de CEP et 4 encadreurs de CRA, ont été enquêtées sur six sites d’intervention du CRA/Diffa dont trois sites dans la commune urbaine de Diffa, deux sites dans la commune rurale de Gueskerou et un site dans la commune rurale de Chetimari. L’analyse des données a été faite au moyen du logiciel Sphinx V5. Les résultats de l’étude ont montré des taux de l’ordre de 80% à 100% pour le degré de participation au CEP des apprenants, un niveau de connaissance de 100% du thème principal. -
Les champs écoles paysans (CEP)
Les champs écoles paysans (CEP) sont une approche
d’apprentissage réservée aux adultes qui enseigne à des
groupes d’agriculteurs comment se livrer à des expériences
pour résoudre des problèmes de manière indépendante. Dans
les CEP, que l’on appelle parfois « écoles sans murs », des
groupes de producteurs se rencontrent régulièrement avec
un facilitateur pour observer, discuter, poser des questions et
apprendre ensemble. L’approche des CEP a été mise au point
pour enseigner des techniques de lutte intégrée contre les
ravageurs dans la riziculture, mais elle a aussi été utilisée dans
l’agriculture biologique, l’élevage et dans des activités non
agricoles génératrices de revenu, telles que l’artisanat. -
Mission d’appui technique au projet Nariindu : gouvernance, gestion et business-plan
Plusieurs objectifs étaient assignés à cette mission en lien avec les activités du projet : i) appui à la gestion du centre de collecte et à la contractualisation avec les acheteurs, ii) mise en place d’un système « lait contre intrants » pour faciliter l’accès à l’alimentation et aux produits d’hygiène vétérinaire, iii) Etude du modèle institutionnel, économique, technique des centres de collecte, identification participative des zones prioritaires d’action et iv) appui à l’insertion des femmes dans la filière. -
Champ école paysan
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Gonar gwadi
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Cawkey kunda
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Gestion intégrée de la production et des déprédateurs des cultures maraichères
Ce guide est destiné aux facilitateurs qui animent la formation participative en gestion intégrée de la production et des déprédateurs des cultures maraîchères à travers les champs écoles des producteurs (GIPD/CEP) en Afrique de l’Ouest. Il est une synthèse et une capitalisation des expériences de terrain des facilitateurs après plusieurs années d’animation des CEP au Bénin, au Burkina Faso, en Guinée, au Mali, en Mauritanie, au Niger et au Sénégal. L’objectif de ce guide est de: ■ fournir aux facilitateurs un document de référence qui présente l’approche de conduite des champs écoles des producteurs dans le cas spécifique des cultures maraîchères en mettant l’accent sur les pratiques culturales et les options de gestion des ravageurs, des maladies et adventices des légumes suivant les principes de la gestion intégrée de la production et des déprédateurs; ■ promouvoir le partage des connaissances générées, depuis 2001, par le programme sous-régional de formation participative en gestion intégrée de la production et des déprédateurs des cultures. L’appropriation de ce document par les facilitateurs apportera une valeur ajoutée qualitative à l’animation des champs écoles des producteurs. -
Évaluation des rendements en graines et fanes des variétés améliorées et locales de niébé [VIGNAUNGUICULATA (L.) WALP.] en champ école et en champ de multiplication de semences à Karma (Niger)
Pour résoudre les problèmes de production de niébé, la recherche a mis au point des variétés améliorées. L’objectif de ce travail est d’évaluer les rendements en graines et fanes de deux variétés améliorées et une variété locale de niébé [Vigna unguiculata (L.) Walp.]. Les données ont été collectées au niveau du champ école, du champ de multiplication de semences et du champ témoin à Karma (Niger). Des carrés de rendement ont été posés selon un dispositif en blocs complet randomisés à quatre répétitions. Les données ont fait l’objet d’une analyse de la variance (ANOVA). Les résultats montrent que le rendement en graine tout comme en fane est statistiquement différent entre les trois variétés en champ école paysan. Au niveau du champ de multiplication de semence, le rendement est statistiquement différent d’une part entre la variété locale et la IT98K205 - 8, d’autre part entre IT97K499 - 35 et IT98K205 - 8. Grace à la technologie champ école, le taux d’augmentation du rendement en graines est de 21 % et 25 % pour IT97K - 499 - 35 et IT98K - 205 - 8. En fanes, le taux d’augmentation du rendement est de 17 % et 19 % pour IT97K - 499 - 35 et IT98K - 205 - 8. Ces variétés contribuent à la sécurité alimentaire des producteurs. -
Implication des éleveurs transhumants dans la gestion des terroirs
De plus en plus les programmes de développement rural sont basés sur une participation active de la part de la population au processus d'analyse jusqu'à l'exécution des activités. Néanmoins, les pasteurs mobiles ont souvent été ignorés et de plus en plus mis à l'écart par ces programmes visant le plus souvent la gestion des ressources naturelles par ses utilisateurs (Greil, 1995). La question posée par Marty (1993) "La gestion de terroirs : un outil d'exclusion ou de négociation ?" est prise en compte par PADATA (= Programme d'Appui au développement de Damagaram-Takaya) en incluant dès le début tous les groupes d'utilisateurs dans le processus d'organisation et d'analyse de la problématique. PADATA a opté pour une stratégie dite de "table ronde » : - afin d'intégrer tous les groupes partageant les mêmes ressources naturelles ; - et afin de préparer tous les groupes à des discussions et à des négociations sur un pied d'égalité. -
Champs école paysan (CEP)
Le Champ école paysan (CEP) représente un groupe de 20 à 25
personnes se réunissant une fois par semaine pour cultiver une
parcelle de formation tout au long d’une saison de culture et
apprendre ensemble à résoudre des problèmes de production.
• Le principe est de conduire une culture saine, d’observer toutes les interactions autour de la plante, d’identifier les potentialité les contraintes, d’expérimenter des solutions et de choisirl’itinéraire technique le plus prometteur et le plus adapté au contexte du producteur et de la productrice.
• Le CEP facilite l’intégration de techniques en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et des productrices, et des ressources naturelles accessibles. Le CEP permet d’apprendre à raisonner. -
Projet d'appui au développement local dans les zones de N'Guiguimi et Mayahi
Les Projets de Développement Local de N’Guigmi (PADL-N) et de Mayahi (PADL-M) couvrent entièrement deux départements et une partie du département de Diffa (deux communes) avec des différences significatives. Le PADL-N’Guigmi se situe dans des territoires allant de savanes à fertilité moyenne et à des sols sablonneux peu fertiles où l’élevage prédomine et regroupe une population de 128 046 habitants pour une superficie de 118 000 km². Le PADL-Mayahi se situe dans une zone à tendance agro-pastorale regroupant une population d’environ 479 839 habitants sur une superficie de 6500 km² globale provoquant une forte pression sur les sols cultivables. -
Programme sous-régional de formation en gestion intégrée de la production, des déprédateurs et de la pollution (GIPD/GEF) à travers le Champs École Paysan
L’objectif global du programme de « Gestion Intégrée de la Production, des Déprédateurs et de la Pollution » (GIPD) est d’améliorer la sécurité alimentaire, la productivité et la rentabilité des exploitations agricoles et protéger les eaux riveraines des bassins des fleuves Niger et Sénégal des contaminations dues à l’utilisation des produits agrochimiques. -
Évaluation finale du Programme d’appui au développement local (PADEL)-Niger
L’originalité de cet exercice tient surtout au choix de procéder à une évaluation adossée, dans la mesure du possible, à une théorie du changement. L’évaluation par la théorie exige un modèle logique d’une grande rigueur où les différents éléments de la chaîne causale sont spécifiés, ce qui implique que les variables retenues soient distinctes les unes des autres et qu’il soit en conséquence possible d’en évaluer la contribution spécifique. Le PRODOC et les discussions qui ont mené au PADEL montrent qu’à l’origine le programme s’appuyait sinon sur une théorie ou un modèle, du moins sur une hypothèse générale de changement. Malheureusement, la réalité n’est jamais tendre envers les modèles et les hypothèses. Elle impose à ceux et celles qui veulent la modifier de revoir et d’adapter leur approche tout en s’assurant que le programme aille de l’avant.