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Séchage de la tomate (Lycopersicon esculentum) : une autre alternative pour sa valorisation au Bénin
Cette étude valorise la tomate sous forme séchée. Huit lots de 115 g de tomate var. Akikon ont été soumis chacun à un prétraitement spécifique (T1 à T8) mettant en exergue simultanément les mécanismes de blanchiment et de déshydratation osmotique avec différents solutés. Les tomates ont été séchées à l’étuve à 45°C pendant 16 h. Des essais de reconstitution dans l’eau chaude (1) à 100°C et dans l’eau à la température ambiante (2) ont été conduits. -
Efficacité de l’huile de neem (Azadirachta indica) et de Bacillus thuringiensis (Biobit 2X) sur la dynamique de la population de Bemisia tabaci (Gennadius 1889) et Helicoverpa armigera (Hubner, 1808) dans une plantation de tomate au Niger
Dans un champ école paysans à Dogaraoua, zone de production de tomate au Niger, lors d’une séance de réunion hebdomadaire, un facilitateur et son groupe de 25 producteurs apprenants décident de mettre en place un essai GIPP (Gestion Intégrée Protection Production) de la tomate sous la supervision d’un entomologiste.
Les résultats obtenus montrent que l’huile de neem permet de contrôler Bemisia tabaci à 70% et le biobit réduit l’infestation de Helicoverpa armigera de 50% par rapport au témoin non traité. Les producteurs peuvent utiliser l’huile de neem pour contrôler la mouche blanche afin de réduire à 80% le cas d’attaque du TYLC et le biobit dans le contrôle de la noctuelle de la tomate. -
Effets de la fertilisation à base de la biomasse du Sida cordifolia L. sur les performances agronomiques et la rentabilité économique de la tomate (Lycopersicum esculentum Mill.) en culture irriguée
Publication scientifique, sur l'effet de la fertilisation organique de type "engrais vert" sur la culture des tomates en irrigué. -
Influence du chauffage des serres sur le cycle cultural du melon et de la tomate dans le sud et le centre de la Tunisie
Les cultures de primeur ou d'arrière saison cultivée sous abri-serre plastique no chauffée subissent un développement ralenti dès l'arrivée de la période froide (fin novembre-début mars). L’allongement du cycle de développement, en plus des problèmes de fructification et en particulier de nouaison dues aux températures nocturnes trop basses expliquent les faibles rendements obtenus sous serre (7 à 8 kg/m² pour la tomate, 3à 4 kg/m² pour le melon et 2,5 à 3 kg/m² pour le piment fort - Mogou, 1985) -
Impacts des facteurs climatiques et anthropiques sur les ressources et la qualité des eaux de la mare de Tabalak
Au Niger, les facteurs climatiques et anthropiques influencent les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche et la qualité des eaux de surface. Cette étude a pour objectif d’identifier les impacts des aléas climatiques et de l’action de l’homme sur les ressources et la qualité de l’eau de la mare de Tabalak. A terme, cette étude devrait permettre de poser les jalons pour des actions, afin de réduire les risques liés à l’exploitation des ressources de cette zone humide. Pour réaliser cette étude, des enquêtes, des visites de terrain et des prélèvements d’échantillons d’eau ont été effectuées. Ces derniers ont été analysés au laboratoire. L’analyse des données météorologiques et des perceptions de la population sur la variabilité climatique indiquent une tendance à la baisse des précipitations contre une hausse des températures et de la force des vents. En ce qui concerne la dynamique d’occupation des sols, toutes les unités ont subi des transformations. Selon 80% des personnes enquêtées, cette tendance est causée par des facteurs climatiques et anthropiques. Les impacts de ces aléas sont : une perturbation dans le déroulement des saisons, une baisse de la productivité, une perte des terres par ravinement ; la formation de dunes vives ; l’ensablement et l’assèchement fréquent de la mare, la pression parasitaire et la persistance des épizooties. Les résultats sur la qualité des eaux montrent que les paramètres physico-chimiques étudiés se situent dans les normes requises.