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C’est quoi Tuta (ou à quoi ressemble cette chenille) ?
description de l'ennemi TUTA ABSOLUTA.
1. stade larvaire de la TUTA
2. stade papillon -
D’où vient Tuta ?
La Tuta viendrait de l’Amérique puis en Europe (Espagne et France) puis en Afrique par le Sénégal. Elle est identifié pour la première au périmètre irrigué de Burburkadé dans la comme 1 de Niamey -
Comment Tuta est entrée au Niger ?
Les voies d'entrée de la TUTA au Niger. les voies d'entrées sont incertaines. Mais trois pistes sont évoquées:
1. Algérie
2. Maroc
3. Libye -
Tomato noonizo kan se i gane “TUTA”
A te alwati kan iri Niger laabu alfarey i go gadi sanday tomato farmo do zaama noonize fono goono kan ga tomato fuunu fuunu. A to jiiri hinza kan noonize tagi fo banguay noonizo din ga kaina gumo;amma halla ga ka sohon alfarey mana fahame ase; hasarawo booba kan agate se, nga no nan alfari foyan na tomato farmo gaayi. -
Tsutsar tumati : TUTA
Manoman kasar Nijar sun jima suna fama da wata tsutsa dake fu fude diyan tumati ; aman yau da hekaru uku (3), wata karamar tsutsa ta bullo,wanda har yanzu manoma basu gane ta ba,wanan sabuwar tsusta kankanuwa ce aman banar da takeyi nasa manoma asara diyawa wanda har ta kai gasa manoman kin noman na tumati ; wanan tsutsa ita ce ake cema TUTA. -
DANGER / Tuta absoluta, un nouveau ravageur de la tomate identifié au Niger
Le village de Bourbourkabé est situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. C’est une zone de production maraîchère isolée (loin de la route) où les producteurs sont spécialisés depuis des années sur la culture de la tomate. Au cours d’une visite des techniciens du RECA, le 20 février 2013, les producteurs ont signalé des attaques très importantes de leurs tomates. Effectivement, la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) était fortement présente. Mais les producteurs ont déclaré qu’il y avait une seconde chenille, apparue cette année pour la première fois, qui cause beaucoup plus de dégâts. Ils ont pu montrer la chenille sur feuille et sur fruit, ainsi que son papillon. -
Tuta absoluta (Meyrick) : un ravageur invasif des cultures maraîchères pour l’Afrique sub-saharienne
T. absoluta est un un lépidoptère nocturne de la famille des Gelechiidae, originaire d’Amérique du Sud. Les adultes mesurent 6-7 mm de long et environ 8 à 10 mm d’envergure. Ils sont gris argenté à marrons avec des écailles de couleur brune à noire sur les ailes antérieures (Photo 1). Les mâles sont un peu plus sombres et plus petits que les femelles. Les antennes sont filiformes et mesurent les 5/6èmes des ailes. Les oeufs, de 1 mm environ, sont de forme cylindrique et de couleur crème à jaunâtre (Photos 2 et 3). Les chenilles sont de couleur crème (1er stade) puis deviennent verdâtres et rosâtre au dernier stade (du 2ème au 4ème stade). Elles mesurent de 0,6 à 0,8 mm au 1er stade jusqu’à 7,3 à 8 mm au 4ème stade (Photos 4 et 5). Une caractéristique des chenilles de T. absoluta est la présence au niveau de la tête de 2 étroites bandes noires, une latérale et une ventrale. La chrysalide (4 à 5 mm) initialement de couleur verte devient progressivement brune (Photo 6). -
Les systèmes agriculture- élevage au Niger
L’espace pastoral s’est restreint en même temps que son occupation se densifie. L’insécurité foncière, la baisse de la fertilité des sols, le surpâturage sont autant de phénomènes qui remettent en cause l’équilibre de la région et compromettent la reproduction des écosystèmes locaux. Les conflits entre agriculteurs et pasteurs aboutissent à la rupture de l’ancienne complémentarité entre agriculture et élevage. -
L’évolution récente des relations entre éleveurs et agriculteurs en Afrique tropicale
Ce présent document porte sur l’évolution récente des relations entre éleveurs et agriculteurs en Afrique tropicale en prenant comme exemple le Sahel Nigérien. -
Le berger touareg et le paysan
Le présent guide porte sur les relations entre Le berger touareg et le paysan -
Tuta
Un nouveau ravageur de culture de tomate -
Utilisation de quatre types de piégeage pour l’étude de la dynamique des populations de Tuta absoluta (Meyrick, 1917) (lepidoptera : gelechiidae)
La tomate représente un des légumes-fruits le plus cultivé et le plus recherché
(Laumonier, 1979). Cette espèce est originaire de l'Amérique de Sud, où sa domestication remonte
à plus de 5000 ans. La mondialisation de son développement sera significative à partir de la fin du
19ème siècle (Peron, 2006). Elle fut introduite en Algérie par les espagnoles au 17ème siècle, dans la
région d'Oran en 1905 puis elle s'est entendue vers le centre du pays (Benbadji, 1977).
La tomate, comme toutes autres solanacées, peut être attaquée par de nombreux
champignons, bactéries, virus, et ravageurs. Les pertes de récoltes dues à ces différents agents
pathogènes sont parfois très sévères. Parmi les ravageurs de la tomate, une nouvelle espèce invasive
a été signalée pour la première fois en 2007 en Algérie : il s'agit d'un insecte phytophage, Tuta
absoluta (Meyrick, 1917), connu sous le nom de la mineuse de la tomate. Cette espèce est un
microlépidoptère appartenant à la famille de Gelechiidae et originaire d'Amérique de sud. Elle est
inféodée aux plantes de la famille des solanacées (préférentiellement la tomate), mais aussi, sur
poivron, aubergine, pomme de terre, et les solanacées adventices comme morelles, datura, tabacs ...
ect (Koppert, 2008 -
Yaki da kwaro mai tsotse tumatir : tuta absoluta Meyrick
Cette affiche présente le tuta absoluta Meyrick, un ravageur lépidoptère géléchiidés qui s'attaque à la tomate. Elle propose en fin des techniques de préventions et de protection de la plante que doivent appliquer le producteur contre les dégâts du lépidoptère. -
Évolution des relations entre l’agriculture et l’élevage dans les savanes d’Afrique de l’Ouest et du Centre
Les deux zones d’études ont comme point commun la présence maintenant ancienne d’une culture de vente, pivot de l’économie agricole : l’arachide au Sénégal et le coton au Nord-Cameroun. Les structures d’appui à ces deux filières d’exportation ont fortement orienté les choix des agriculteurs et modifié le fonctionnement de leur exploitation en permettant une adoption massive de la traction animale, première étape de l’intégration de l’élevage dans les exploitations agricoles. Dans les exploitations les plus aisées, l’investissement dans l’élevage des surplus monétaires issus principalement de la culture de vente constitue un autre point commun aux deux régions. Enfin, comme dans la plupart des zones rurales d’Afrique subsaharienne, le facteur principal d’évolution de l’agriculture durant la deuxième moitié du vingtième siècle a été l’accroissement démographique entraînant une compétition pour l’accès aux ressources en terres cultivables et de parcours entre agriculteurs, d’une part, et entre agriculteurs et éleveurs, d’autre part. Actuellement, la densité de population rurale dépasse 60 habitants/km2 dans plus des deux tiers du bassin arachidier et dans plus de la moitié de la zone cotonnière au Cameroun. -
La lutte contre la mineuse de la tomate: Tuta absoluta Meyrick
Ce poster propose de reconnaître et lutter contre la mineuse de la tomates, un ravageur présent au Niger -
Élevage bovin et environnement : les chiffres clés
Dans les exploitations d’élevages bovins, les ateliers "végétal" et "animal" sont étroitement liés. Le premier fournit la majorité des fourrages consommés par les animaux (autonomie alimentaire en matière sèche fourrage de 98 %, pour l’ensemble des systèmes bovins nationaux), ainsi qu’une partie non négligeable des aliments concentrés ingérés (autonomie massique de 28 % en moyenne) (source : CIV). L’atelier animal produit des déjections valorisées sur ces surfaces, soit directement sur les prairies lors du pâturage, soit par épandage. Sur l’ensemble des élevages bovins français, plus de 60 % des apports azotés sur les surfaces exploitées sont de nature organique et proviennent majoritairement de l’exploitation elle-même.