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Atelier / Rencontre Indications géographiques et marques, les questions qui se posent
A la demande du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO-Niger), un atelier d’échanges sur les Indications Géographiques a été organisé par le RECA en marge de la Journée nationale de l’oignon dans les locaux du SNAD le 26 juin 2013. Le thème de cet atelier a porté sur les Indications géographiques et marques, les questions qui se posent ? Le souci du choix de ce thème pour le PPAAO est de permettre aux responsables des organisations professionnelles agricoles de mieux comprendre le contenu des IG, les relations avec les marques et les questions de synergie avec les autres projets ayant des composantes IG comme le PRODEX, au regard d’expériences d’autres pays. -
Gestion de l'irrigation à petite échelle
L’unité de gestion de l’irrigation à petite échelle (GIPE) est généralement une parcelle d’une superficie inférieure à 0,5 hectare. Les systèmes de GIPE peuvent être gérés soit par un exploitant agricole individuel soit par des groupes, des communautés. Le principe directeur d’une gestion durable de l’irrigation à petite échelle est l’efficacité de l’utilisation de l’eau -
Restitution des résultats 2017 du Conseil de gestion aux producteurs de poivron de Gourgia et Laouni (Commune de Gazaoua)
La Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi et l’Union Son Kowa de Gourgia ont mis en place un suivi de 60 producteurs de poivron sur les sites de Gourgia et Laouni au cours de la campagne 2016 – 2017. Deux animateurs de l’Union (M. Saadou Leko à Gourgia et M. Hayo Mahamane à Laouni) ont aidé les producteurs à enregistrer les dépenses et les résultats de leurs parcelles de poivron. Ces résultats ont ensuite été analysés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi puis les éléments principaux ont été restitués aux producteurs de deux sites. -
Projet d’Appui Régional à l’Initiative pour l’Irrigation au Sahel
Ce rapport porte sur le projet d’Appui Régional à l’Initiative pour l’Irrigation au Sahel -
Caractérisation des vallées de Tahoua et proposition de système irrigue dans le cadre de la petite irrigation privée
L’irrigation est considérée comme un moyen d’intensification de l’agriculture. Elle contribue à en augmenter la productivité tout en la sécurisant contre les risques de sécheresse. C’est un outil de lutte contre la pauvreté et la faim qui sévissent de façon endémique au Niger, et plus particulièrement dans le département de Tahoua. -
Intégration de l'irrigation et de l'aquaculture en Afrique de l'Ouest : concepts, pratiques et perspectives d’avenir
Le présent volume contient les documents de référence et les exposés présentés à l’occasion de l’Atelier FAO-ADRAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA), tenu à Bamako, au Mali, du 4 au 7 novembre 2003, ainsi que les résultats des missions des experts de la FAO sur l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) dans la région de l’Afrique de l’Ouest. La logique qui sous-tend le développement de l’intégration de l’irrigation et de l’aquaculture (IIA) est le fait qu’elle offre des possibilités pour accroître la productivité des ressources peu abondantes en eau douce, pour améliorer la sécurité alimentaire et la
réduction de la pauvreté, et pour réduire la pression sur les ressources naturelles, en particulier dans les pays de l’Afrique de l’Ouest prédisposés à la sécheresse. -
Etude sur l'évaluation du potentiel productif irrigué des sites pilotes
Le Programme Moyen Niger 1 est élaboré et mis en oeuvre par le WWF sur mandat de la DDC. Il est placé sous la tutelle du Ministère de l'Environnement et de la Lutte Contre la Désertification. Ce programme vise à améliorer la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté des communautés locales riveraines des zones humides du Moyen Niger 1 à travers une gestion équitable, concertée et durable des ressources naturelles, diffuser ce mode de gestion au niveau national et contribuer à garantir des conditions favorables à sa pérennisation. -
Projets et programmes de développement de l’irrigation au Niger (1960-2010) : Eléments pour un bilan
L’augmentation des surfaces irriguées au Niger a connu plusieurs phases caractérisées par différents modes d’extension allant des aménagements hydroagricoles à la petite irrigation privée. Ainsi que son titre l’indique, ce rapport présente des éléments pour un bilan qui reste à établir plus précisément. Ce rapport se fonde sur un important travail, entrepris par le CEIPI, de collecte et d’analyse de l’information relative au développement de l’irrigation au Niger. Cette information est dispersée, souvent difficilement accessible et parcellaire. Ce premier rapport rédigé par Alizée Ehrnrooth avec la collaboration de Joanne Cochand et Awal Baoussouna a le mérite de mettre en lumière les zones d’ombre et d’identifier les domaines pour lesquels un complément d’information est nécessaire pour produire un bilan précis des efforts menés dans le pays jusqu’à présent. -
Gestion rationnelle d'eau d'irrigation
On distingue en fonction de cette pluviométrie quatre zones climatiques du Nord au Sud du pays -
Maintenance des appareils hydrauliques et accessoire d'irrigation
La gestion et la maintenance des installations varie selon les types des structures constituant le système mais une gestion et maintenance approprié permet de prolonger la durée du service des installations ce qui permet de réduire les frais -
Programme: "petite irrigation et sécurité alimentaire"
Rapport bilan des activités du PTBA 2019Le programme "petite irrigation et sécurité alimentaire" PISA , entre dans le cadre du programme développement rural et agriculture productive de la coopération nigéro-allemande -
Les principaux ennemis des cultures maraîchères au Sénégal
La production des légumes au Sénégal 1976-1977 est d'environ 100.000 T d'après la Direction Générale de la production Agricole. Celle-ci espère atteindre en 1981-1982 environ 140.000 T -
Projet de réservoirs et système d'irrigation au goutte à goutte
En saison sèche, la demande en eau destinée à l'irrigation est très élevée,mais il y a toujours des contraintes budgetaires. -
Rapport annuel 2020 de la FCMN-Niya
LE MARAICHAGE : « une activité sûre pour lutter contre la pauvreté et l’insécurité alimentaire ». La Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-Niya) a vu le jour, en août 1996 en tant qu’organisation paysanne faîtière. Elle regroupe mille trois (1003) coopératives et cent sept (107) unions de coopératives, qui sont reparties dans huit régions et 61 communes du pays. En termes de membership individuel, elle compte quarante-deux mille cinquante-cinq (42 055) chefs d’exploitation dont quatorze mille quatre cent dix (14 410) femmes soit 34,26%. -
Rapport d’étude technique pour le développement du maraîchage dans la commune de Dogondoutchi
Les résultats obtenus de la présente étude sont le fruit de réflexions et d’expertise d’une équipe pluridisciplinaire, composée de cadres des services techniques étatiques et de l’ONG RAIL-Niger, appuyés par les autorités locales et des acteurs locaux (y compris les bénéficiaires) de la Commune de DOGONDOUTCHI.
Les principaux objectifs de cette étude sont de développer la pratique du maraichage dans la commune de DOGONDOUTCHI en augmentant les superficies cultivables et en créant les conditions de disponibilité et d’accessibilité à la ressource eau, et de protéger la ville contre les inondations, par le traitement des différents koris provenant des bassins-versants. -
Projet de Recherche-Action pour l’Amélioration de la Filière de Pomme de Terre au Niger (PRAAF/PT) – Synthèse des résultats
Au Niger la culture de pomme de terre prend de plus en plus de l’ampleur, notamment sur des périmètres où l’eau d’irrigation ne constitue pas une contrainte à la production horticole. En effet, afin d’accompagner les producteurs dans la maitrise de l’itinéraire technique de production, une étude expérimentale axée sur les paramètres ; nombre de tubercules par plant, poids moyen du tubercule, nombre moyen de bourgeons végétatifs par tubercule et du rendement à l’hectare a été conduite. Des résultats obtenus, il ressort que la combinaison de techniques culturales qui assure le meilleur rendement en termes de production pondérale de pomme de terre est la dose d’engrais équivalente à 250-250-250 kg/ha de N-P-K croisée avec la densité de plantation de 20 cm entre plants sur les lignes et 50 cm entre lignes, reflétant un rendement de 62,4 t/ha. C’est aussi la technique recommandable pour les producteurs des semences, en ce sens qu’elle assure un poids moyen du tubercule (62 g) et une grande capacité d’émission de bourgeons végétatifs autours du tubercule (plus de 5 bourgeons végétatifs par tubercule). -
Plan de communication stratégique de l'association pour la promotion de l'irrigation privée
Le présent plan de communication s'inscrit dans le cadre du PDS de l'ANPIP dont il constitue une composante majeur conformément aux TDR du Comité ad hoc. Il répond au souci des autorités,de l'association et des partenaires financiers notamment la Banque Mondiale de corriger les lacunes constatées dans la conduite des activités de l'ANPIP au cours de la phase expérimentale. -
Plan de développement stratégique de l'association pour la promotion de l'irrigation privée
La position géographique du Niger le soumet tout entier dans une zone sahélo-désertique avec toutes les contraintes physique, climatiques comportementaires induites. Cette situation s'est associée à une croissance démographique élevée et une culture encore très embryonnaire de l'irrigation pour enfoncer le pays des décennies dans un processus d’amenuisement de ses ressources naturelles et de paupérisation de sa population. -
Productivité de l'eau d'irrigation dans le bassin du fleuve Niger
Cette étude est réalisée dans le cadre du Basin Focal Point (BFP) Niger. Cette étude est le volet "irrigation", un des quatre volets du Work Package 3 qui lui porte sur la productivité de l'eau agricole. -
Rapport de mission au Niger : Promotion de l'irrigation privée phase II
Le Niger est un pays globalement déficitaire du point de vue alimentaire. Les tendances à la baisse de la pluviométrie et l'augmentation de la population ont amené les pouvoirs publics à développer l'irrigation comme moyen d'améliorer la production, l'objectif du pays étant d'atteindre à moyen terme l'autosuffisance alimentaire. -
Rapport du diagnostic approfondi des périmètre de Koura-Baria I
De l'indépendance à ce jour, le secteur rural occupe une place prépondérante dans l'économie du Niger. Il concerne entre 80% à 90% de la population et contribue pour 45 à 50% dans la formation du Produit Intérieur Brut (P.I.B). Tenant compte de l'état de crise dans lequel a sombré le secteur rural en raison justement de l'insuffisance du financement et des mauvaises orientations, des réflexions ont été engagées dans le sens du redressement de la situation. -
Audit comptable et financier des comptes du projet de promotion de l'irrigation privée (PIP II) pour la période allant du 1er Janvier 2007 au 31 Décembre 2007
Le Gouvernement Nigérien a adopté en janvier 2002, une stratégie de réduction de la pauvreté (SRP) dont l'objectif est de réduire l'incidence globale de la pauvreté de 63% à moins de 50% en 2015. Dans cette perspective, il a été élaboré en novembre 2003, une stratégie de développement rural (SDR), sensée opérationnaliser la SRP dans le secteur rural. -
Composante irrigation manuelle améliorée : Bilan de mi-parcours
Effectuer des tests sur le terrain sur un éventail de technologies manuelles appropriées à faible coût qui répondront à des critères de performances techniques et économiques, déterminés à
l'avance et qui seront d'un prix abordable pour les agriculteurs pratiquant la petite irrigation. Examiner la faisabilité technique et financière d'un éventail de forages et de puits pour servir à l'irrigation et identifier une ou plusieurs technologies qui répondront à des critères de performances techniques et économiques, déterminés à l'avance et qui seront d'un prix
abordable pour les agriculteurs pratiquant la petite irrigation. -
Convention de mise en œuvre et de gestion des activités du pole régional CORAF de la recherche sur les systèmes irrigués entre la CORAF et l'INRAN / Niger
Le Pôle régional CORAF de recherche sur les systèmes irrigués soudano-sahéliens est une forme d'organisation communautaire répondant à un enjeu régional important du développement rural, avec une gestion en commun de moyens propres à chacun des partenaires pour constituer une capacité régionale de recherche performante, ce qu'aucun des partenaires, pris isolément, ne pourrait faire. -
Étude préparatoire pour l'association régionale pour l'irrigation et le drainage
La fragilité de la situation climatique du pays à conduit le Gouvernement à accorder une première priorité au développement de l'irrigation en vue d'assurer la sécurité alimentaire des populations. II) Sur un potentiel de 270.000 ha, 81.800 ha environ sont mis en valeur à divers degré d'intensification . L'irrigation moderne à maîtrise totale de l'eau représente environ 13.000 ha. Quatre types de systèmes d'irrigation prédominent: Les périmètres collectifs irrigués par pompage à partir du fleuve Niger, les périmètres collectifs irrigués à partir de retenues collinaires, les périmètres irrigués par pompage à partir d es eaux souterraines et les périmètres privés. -
Évaluation de la convention de maitrise d’œuvre déléguée signée entre le MDA et l'ANPIP dans le cadre du projet PIP2
En dépit de la complexité du montage juridico-institutionnel dont elle est l'expression, et de son caractère novateur,des efforts considérables ont été fournis par les différentes parties prenantes dans l'exécution de la convention de maîtrise d'œuvre déléguée du PIP2. Ces efforts ont permis sur plusieurs points , la mise en œuvre de la convention dans les proportions prévues par ses dispositions et celles des autres documents pertinents qui la complètent. Des faiblesses ont cependant été mises en évidence. Elles se sont nourries des brèches offertes par des facteurs endogènes et exogènes. -
Note sur la mission d'évaluation à mi-parcours du projet de promotion de l'irrigation privée (ANPIP2)
Il est prévu dans l'Accord de Crédit 3621 NIR annexe 3 section 11.2 qu'une revue à mi-parcours soit menée conjointement par la Banque Mondiale et le Gouvernement du Niger et l'Association Nigérienne pour la Promotion de l'Irrigation Privée (ANPIP) pour faire le point de la mise en œuvre du Projet. De manière plus spécifique elle a pour but: d'évaluer les résultats atteints du projet par rapport aux objectifs globaux de développement ; d'évaluer les résultats de suivi et évaluation des activités du projet; d'évaluer les résultats atteints par rapport aux indicateurs de performance tels que décrits dans l'annexe 5 à l'Accord de Crédit; d'élaborer un plan d'action pour améliorer la performance du projet au cours de la période restante. -
Etude de faisabilité du projet d'aménagement et de mise en valeur des périmètres irrigués dans la vallée de l'Irhazer et la plaine de Tamesna : étude d'impact environnementale et social (EIES)
L'objectif général du projet est de contribuer est de contribuer à la lutte contre l'insécurité alimentaire et à la valorisation des exportations agricoles, à travers l'aménagement et la mise en valeur des périmètres irrigués localisés dans la vallée de l'Irhazer et la plaine du Tamesna. -
Projets d’aménagements hydro agricoles avec des pratiques d’agriculture intelligente résilientes au changement climatique - cadre de gestion environnementale et sociale
L'objectif global du projet est de contribuer à l'augmentation de la production agricole nationale en renforçant la résilience des populations aux effets néfastes du changement climatique. Les objectifs spécifiques du projet sont : (i) intensifier la production agricole de manière durable en améliorant les rendements des cultures grâce à des aménagements hydro-agricoles conçus avec des systèmes innovants d'irrigation et de pompage solaire; (ii) protéger le capital productif contre les menaces des effets du changement climatique (ensablement, inondations, etc.); (iii) assurer le fonctionnement et la pérennité des infrastructures par le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des opérateurs et des services techniques.