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Pratiques améliorées d’élevage des poules indigènes
Fiche technique pour l'élevage de poules -
Ferme agropastorale Gorou-Bi
La ferme agropastorale Gorou-Bi commercialise divers produits biologiques tels que le moringa. -
Analyse des impacts des investissements dans la gestion des ressources naturelles sur le secteur élevage dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry au Niger
L’étude est conduite au Niger par une équipe pluridisciplinaire composée d’experts nigériens sous la coordination scientifique du Centre Régional d’Enseignement Spécialisé en Agriculture (CRESA) de l’Université Abdou Moumouni de Niamey. Le fondement méthodologique le plus important de l’étude est de comparer la situation avec et sans intervention. A partir d’une comparaison de la situation avec et sans investissement, il faut, si possible, connaître la situation avant (baseline data) et après intervention. Il est important de calculer les impacts sur les sites où les investissements ont eu lieu, mais il faut aussi capturer les impacts hors site (on-site and off-site). Afin de pouvoir calculer les impacts économiques des investissements par des projets de gestion des ressources naturelles (GRN), il est important d’avoir une idée des effets cumulatifs.
Plusieurs thématiques de recherche ont été identifiées dont entre autres celle relative aux ressources pastorales.
La finalité de cette étude est de contribuer à la quantification des impacts des investissements dans la GRN dans les sites retenus afin d’aboutir à une évaluation économique. -
Le mouton Koundoum au Niger
Le mouton Koundoum représente le principal mouton à laine du Niger. Il est élevé sur les bords du fleuve Niger et dans les îles qui jalonnent le fleuve, depuis la frontière du Mali jusqu’à Kollo. C’est un mouton de petite taille (60 cm de hauteur et 30 kg de poids pour le mâle). La couleur noire est la plus fréquente. La viande est réputée de qualité car ce mouton produit une viande « maigre » c’est-à-dire sans graisse et très tendre. -
Lutter contre la mineuse de l’épi du mil sans pesticides, c’est possible !
Tous les producteurs du Niger redoutent le ravageur du mil qui est appelé en français la chenille mineuse de l’épi, en Haoussa murzouna et en Zarma guéri-guéri. Cette chenille s’attaque au mil quand les chandelles sont sorties et que les producteurs espèrent une bonne récolte. Elle
est capable de détruire une bonne partie de la récolte ou même de la totalité.
Les années où cette chenille s’attaque au mil, elle peut être présente dans tous les champs d’un terroir et il est impossible de la traiter en utilisant des pesticides. Mais il existe un autre moyen de lutter contre la mineuse de l’épi.
Nous allons partager avec vous l’expérience de l’élevage d’un de ses plus redoutables ennemis qui se nomme Habrobracon. -
L’insémination artificielle et la gestion de troupeaux de sélection
Ce petit manuel de formation à l’insémination artificielle (I.A.) a été préparé dans le but de donner les connaissances essentielles pour les personnes débutant dans ce domaine. On donnera d’abord des rappels d’anatomie et de physiologie de l’appareil reproducteur, ensuite on décrira comment collecter et conserver la semence et enfin comment inséminer artificiellement les femelles. Par ailleurs, on voudrait également atteindre un autre objectif : la sensibilisation des personnes travaillant dans ce domaine et dans celui de l’élevage au sujet des avantages de l’I.A., en vue de favoriser l’amélioration du cheptel animal en milieu tropical et subtropical. L’amélioration du rendement et de l’efficience reproductrice sont certainement les deux objectifs principaux de l’insémination artificielle. -
Les champs écoles des producteurs pour les petits éleveurs
Le secteur de l’élevage représente environ un tiers du produit intérieur brut (PIB) agricole mondial et croît plus vite que la plupart des autres secteurs agricoles. Son expansion a été principalement stimulée par une combinaison de croissance démographique, d’urbanisation et de hausse des revenus dans de nombreux pays en développement, ce qui a accru la demande en viande, lait et oeufs. La consommation de produits de l’élevage devrait encore augmenter au cours des prochaines décennies, offrant des opportunités pour le développement du secteur et permettant la réduction de la pauvreté et l’amélioration de la sécurité alimentaire. Cependant, le rythme rapide de ces changements risque de marginaliser les petits éleveurs. Les risques pour les ressources naturelles et la santé humaine doivent également être abordés afin d’assurer un développement durable. Dans ce cadre, la FAO a intégré, au cours des deux dernières décennies, des Champs-écoles des producteurs (CEP) axées sur l’élevage dans plusieurs projets et programmes, et a contribué à renforcer les capacités de nombreuses parties prenantes au développement (ONGI, ONG, instituts de recherche, etc.) concernant l’approche CEP au profit des petits éleveurs dans les régions en développement. -
Manuel de production du sésame conventionnel et biologique
Le sésame est l’une des plantes oléagineuses les plus anciennes au monde, les plus connues et les plus utilisées au monde. L’Inde et la Chine sont les plus grands producteurs au monde suivi par la Birmanie, le Soudan, le Mexique, le Nigeria, le Venezuela, la Turquie, l’Ouganda et l’Ethiopie. Dans la sous-région Ouest africaine, le Burkina Faso occupe la deuxième place après le Nigeria avec une production de 25 000 tonnes pour la campagne 2006/2007. Quatre variétés de sésames sont cultivées au Burkina Faso. Ce sont : la S.42 (90 jours), la Cross nº3 (90 jours), la Yendev 55 (100 jours) et la S38-1-7 (95 jours). -
Rapport annuel 2017 : les statistiques du secteur de l’élevage
Le Ministère de l’Élevage est le Ministère chargé de la conception, de l’élaboration, de la mise en oeuvre du suivi et de l’évaluation de la politique nationale en matière de développement de l’élevage, conformément aux orientations définies par le gouvernement. Le Ministère de l’Élevage emploie environ 1500 agents tous grades confondus, répartis dans les différents services aussi bien à Niamey qu’à l’intérieur du pays. -
Module sur l’utilisation des bio pesticides et méthodes de lutte intégrée
Un biopesticide est un pesticide dérivé des matériaux naturels comme les bactéries, les plantes, … Kiota avec une solution d’ail et Djoga (Torodi) avec un mélange feuille de neem + piment + tabac. Les produits à base de neem se vendent aux Etats Unis (homologué en « bio ») ou en Europe. Pas d’arbres de neem dans ces pays Au Niger nous en avons. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : préparation et application des bio pesticides
L’objectif de ce module de formation est de sensibiliser les producteurs aux méfaits des pesticides sur la santé de l’homme et de l’environnement, connaitre les plantes à vertus pesticides sur les quels des travaux de recherche ont permis de voir leur efficacité, apprendre à fabriquer eux même les produits à base de ces plantes, les intégrer dans un programme de lutte intégrée sur leur parcelle. -
Almaney biiri ga neera goyo tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Sooro boobo kulu no RECA ce yaù nango kaù se i ga ne Issalan ga du hayaù almaney biiri yaùey bon. Iri Niizeer laabu, alfarey nda kurkey kulu no ga almaney biiri ga neera fondey bay. Wo-din si ganji, iri ga sanni yaù filla kaù ga naù biiriyano ma boori. Sintina jina, iri ga borey fongandi kaù almaney biiri ga neera goy no kaù ga arzaka boriyandi. Almano kaù boro ga suuban, alman no kaù mana je, a gonda sanda jiiri hinka deedandi, da feeji gaaru no wala binde hincini jindi no. Da boro na almano suuban, ni ga a naasandi no, hay kaù ga naù a ma te nooru. Da boro ga ba biiri ga neeraa ma te nafa, boro mana hima ga almano biiri ga ba handu hinza (3). Da biiriyaù alwaato bisa ya-din, da boro laasabu, goyo sinda albarka kulu. -
Stratégie de développement durable de l’élevage
Ce rapport port sur la stratégie de développement durable de l'élevage au Niger -
Fruits et légumes biologiques des régions tropicales : Information de Marché, Certification et Production pour Producteurs et Sociétés de Commerce Internationales
Ce rapport porte sur la production et principes de base de l’agriculture biologique -
Raisonner sa fertilisation en maraîchage biologique
Cette fiche technique porte sur la fertilisation en maraîchage biologique -
CNABIO
Le site CNABio, est géré et administré par le Conseil National de l'agriculture Biologique, association pour la promotion de l'agriculture biologique au Burkina Faso. -
Burkinadoc - Mil école
L’association Mil’Ecole souhaite initier des actions de développement dans des villages du Burkina Faso en concertation avec les populations concernées (agriculteurs, enseignants, responsables locaux, etc.). Les actions de 2008 à 2013 présentées sur ce site ont été réalisées notamment par des membres de Mil’École lors de leur participation à l’association Les Puisatiers. Ce site veut montrer nos actions au Burkina Faso sous la forme de leurs cheminements : les blocages, les impasses et parfois des échecs, les réussites. Monter des projets d’aide au développement n’a rien d’un long fleuve tranquille ! -
Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS)
L’APESS travaille dans le domaine du Développement Rural en général et le secteur de l’élevage traditionnel en particulier. L’APESS offre donc ses services aux éleveurs et agriculteurs, mais aussi aux responsables et acteurs de différents projets de développement rural. -
Bouse de vache pour la protection et la fertilisation des végétaux
Insecticides – fongicides : des méthodes naturelles pour protéger les plantes contre les ravageurs -
Alimentation des poulets améliorés
Vidéo présentant les aliments adaptés pour l'élevage des poulets améliorés.
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Comment fabriquer une décoction d'ail pour éloigner les pucerons et lutter contre l'Oidium ?
Conseils d'un horticulteur pour fabriquer une décoction d'ail pour éloigner les pucerons et lutter naturellement contre l'oidium et le mildiou -
Élevage et marché régional au Sahel et en Afrique de l’Ouest Potentialités et défis
Le but de cette initiative conjointe de la Commission de la CEDEAO et du Secrétariat du Club du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest (CSAO/OCDE), est de voir en quoi l’élevage peut-il être un des moteurs de dynamisation du marché ouest-africain de produits agricoles et alimentaires, en renforçant d’une part la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et en contribuant d’autre part à la réduction de la pauvreté. Cette analyse est une
contribution à la mise en œuvre de la Politique agricole de la CEDEAO (ECOWAP)adoptée le 19 janvier 2005, -
État des Ressources Génétiques Animales dans le Monde : rapport national
Le Comité Consultatif National sur les Ressources Zoogénétiques a eu pour mandat l’élaboration d’un plan national de Gestion des Ressources Génétiques des animaux d’Elevage, le suivi et l’évaluation de la mise en œuvre des programmes portant sur entre autres l’inventaire et la caractérisation de toutes les espèces et races animales domestiques, la capitalisation des expériences en matière de promotion des races animales et l’élaboration des plans nationaux et des stratégies en matière de Gestion des ressources Génétiques Animales d’élevage. -
Revue du secteur de l'élevage au Niger
Le sous-secteur de l’élevage représente donc un atout majeur pour le pays pour contribuer davantage à la lutte contre la pauvreté, l’insécurité alimentaire à travers notamment l’augmentation des revenus et la création d’emplois en faveur des jeunes scolarisés ou non actuellement sans perspectives. Toutefois, pour tirer parti des opportunités actuelles du marché, il est nécessaire de
comprendre la gamme de facteurs (économiques, institutionnels, commerciaux, législatifs, technologiques et sociaux) qui affectent le secteur de l’élevage au Niger. -
Élevage au Niger : comment faire de l’élevage un moteur du développement ?
L’élevage a des avantages comparatifs par rapport aux autres systèmes agricoles. Le monde
entier reconnait que le Niger a un cheptel assez important, assez varié, dont la viande est
appréciée partout. Mais il existe des petits problèmes qui font que le pays ne profite pas suffisamment de ces avantages’’ -
Bâche élevage Niger 2015
Activité principale ou secondaire, l’élevage occupe 87¨% des populations du Niger. Plus de 41millions de tètes toutes espèces confondues soit: 3451 milliards de capital bétail. L’élevage contribue à hauteur de 11% du PIB du pays et 24% au PIB agricole 1er rang des recettes totales d’exportation des produits Agro sylvo pastoraux (22%)
2ème source de revenu d’exportation du pays, juste après les ressources minières. -
Document cadre pour l' amélioration de la résilience de l'élevage face à la variabilité et au changement climatique
au Niger.La variabilité et les changements climatiques (CC) constituent une menace importante pour le développement économique et risquent de compromettre les chances de relever les défis de réduction de la pauvreté. Or, l’intégration des CC au processus de planification du développement représente encore un défi pour les pays de l’Afrique au Sud du Sahara. -
Comment réaliser un extrait de graines de neem pour lutter contre les ravageurs ?
Cette vidéo montre comment fabriquer et utiliser de l'extrait de graines de neem pour lutter naturellement contre les ravageurs -
Les grandes cultures et fourrages en agriculture biologique
« Combien ça coûte de produire un hectare de blé tendre en bio ? Et un hectare d’abricotier ? De grenache ? ». Tout conseiller ou animateur a entendu au moins une fois ce genre de question, posée à juste titre par tout agriculteur qui se renseigne sur l’agriculture biologique. Nous aurions aimé apporter au travers de ce recueil une réponse unique et définitive, mais elle n’aurait pas tenu compte de la complexité des systèmes régionaux et de leur contexte particulier. Les références technico-économiques proposés ici offrent toutefois un éclairage utile et des bases de réflexion indispensables avant et après une conversion bio. Réflexion qui peut déboucher sur d’autres questions liées à l’organisation de l’exploitation ou à l’assolement ou aux débouchés commerciaux… Ce recueil de fiches de coûts de production est le fruit de l’observation et de l’analyse de cas concrets depuis 2012. Les experts sollicités sont conseillers en Chambres d’agriculture ou référents techniques régionaux.Les données présentées ont fait l’objet d’une validation par des techniciens spécialisés et/ou des agriculteurs pour constituer un outil d’aide à la décision le plus fiable possible. -
Alimentation des poulets et entretien des poulaillers
Notes prises à partir de la vidéo https://youtu.be/Zn1OXW79eXQ (Vidéo tournée au Centre Régional de Songhaï Porto-Novo au Bénin) -
Jardin hors-sol en sac
Cette fiche technique présente des techniques de mise en place de jardins hors-sol en sac -
Norme burkinabé en agriculture biologique
Ce guide porte sur l’élaboration des normes de l’agriculture biologique et écologique au Burkina Faso -
Réduction des doses de cuivre : Vigne, Pêcher, Pommier-Poirier, Olivier
Le cuivre est largement utilisé en viticulture et arboriculture. Avec le soufre, c’est l’un des rares éléments autorisés en agriculture biologique (AB). Il permet de lutter de façon préventive contre de nombreux pathogènes dont il inhibe la germination des spores. Cependant, du fait de son accumulation dans le sol, il peut devenir toxique pour certains organismes qui y vivent. -
Rappels Réglementaires
L’utilisation des engrais et amendements organiques en agriculture biologique repose sur le règlement communautaire (CE) n°889/2008 comprenant une liste «positive» dont le principe est que seuls les produits qui y sont listés, sont autorisés, les autres étant par défaut interdits. L’utilisation de ces produits ne doit cependant pas conduire à négliger l’entretien des principales propriétés du sol. -
Utiliser les feuilles et tiges de tomate contre la piéride du chou et la teigne
Cette note montre comment fabriquer des insecticides / répellents naturels à base de feuilles et tiges de tomate -
Traitement phytosanitaire naturel
Cette fiche présente des traitements phytosanitaires naturels -
Viabilité de l’élevage pastoral au Sahel : étude de quelques paramètres démographiques des élevages de Hombori (Mali)
L’élevage pastoral représente la principale activité économique de nombreux ménages au nord du Sahel. Malgré la qualité des pâturages au cours de la saison des pluies, cet élevage est soumis à de nombreuses contraintes liées à l’irrégularité de la disponibilité fourragère, aux difficultés d’accès aux compléments alimentaires et aux soins vétérinaires qui rendent précaires les productions animales. Or la demande en produits d’origine animale est en forte augmentation du fait de la croissance démographique soutenue et de la rapide urbanisation au Sahel et dans les pays côtiers. Cette étude à pour objectif de documenter les paramètres démographiques des troupeaux et la production fourragère des parcours utilisés par l’élevage pastoral de la commune de Hombori située au nord-est du Sahel malien. -
Les cultures légumières en agriculture biologique
Ces fiches ont pour objectif d’éclairer le maraîcher débutant sur la programmation des mises en culture, puis de l’aider à réaliser les différents travaux d’entretien depuis la fertilisation jusqu’à la vente. Elles peuvent aussi aider l'‘apprenant à élaborer son projet d’installation, en apportant un complément aux connaissances de base acquise par ailleurs. -
Guide du Jardinage Ecologique : Alternatives aux Pesticides pour les Particuliers
Pesticides, on peut faire autrement ! Le présent guide propose des alternatives à l'utilisation de pesticides pour les particuliers -
Conversion à l'agriculture biologique : Défis pour le futur
On appelle conversion à l’agriculture biologique, ou parfois transition, le processus de changement entre la situation initiale d’agriculture dite conventionnelle, et la situation finale d’agriculture biologique certifiée dénommée «agriculture biologique ou écologique ou organique».
Durant cette phase l’agriculteur doit respecter la réglementation de l’agriculture biologique. Le passage à l’agriculture biologique implique un changement de gestion des ressources mais aussi un changement de raisonnement qui considère la ferme dans sa globalité. -
École paysanne en agriculture biologique : approche et expérience Tunisienne
L’école paysanne est une façon de renforcer les capacités des agriculteurs et des communautés rurales afin qu’ils prennent en main les conditions de vie de leur champ et de leur milieu social -
Produire des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique
La présente fiche porte sur la production des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences d'oignon dans un itinéraire agrobiologique
Cette présente fiche porte sur la production des semences d'oignon dans un itinéraire agrobiologique -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Ce présent document porte sur les méthodes pour lutter contre les ravageurs du chou
en maraîchage biologique -
Produire des semences de laitue dans un itinéraire agrobiologique
Ce guide porte sur la production des semences de Laitue dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences fourragères en agriculture biologique : Des techniques en évolution
Ce document porte sur la production des semences fourragères en agriculture biologique -
Agriculture du carbone : Couverts végétaux, Techniques superficielles, Agriculture Biologique et Agroforesterie
Synthèse des deux journées de rencontre et d’échanges entre agriculteurs du Sud-Ouest de la France -
Produire des agrumes en agriculture biologique
Cette fiche technique propose différentes solutions techniques pour produire des agrumes en production biologique -
Accroître durablement la production végétale : la perspective des processus biologiques
Cette synthèse montre les enjeux de la mobilisation de processus biologique pour accroître les rendements -
Cultiver l’oignon de plein champ en agriculture biologique - repères technico-économiques
Cette fiche technique porte sur la culture de l’oignon de plein champ en agriculture biologique -
Produire des semences en agriculture biologique : connaître les principes techniques de base
Ce document présente les principes techniques de base pour la production de semences en agriculture biologique -
Assurer la bonne santé des volailles de chair en élevages biologiques
Ce document a été rédigé à partir des informations recueillies en 2014 lors de 18 entretiens socio-techniques d’éleveurs de volailles de chair biologiques en filières longues (8 éleveurs) et courtes (10 éleveurs), en Bretagne, Pays de la Loire et Drôme. L’objectif de ces enquêtes, sans être représentatifs des types d’élevage, était de montrer la diversité des situations et des pratiques autour de l’élevage de volailles de chair biologiques. -
Elevage transhumant et mobilité transfrontière dans la vallée du Niger. Cas de la frontière Bénin-Niger
Le présent document porte sur l'élevage transhumant et la mobilité transfrontière dans la vallée du Niger. Il traite comme exemple le cas de la frontière Bénin-Niger. -
Caractérisation des produits organiques
Ce présent guide est élaboré lors de la Rencontre Technique Agriculture Biologique fruits pour montrer la caractérisation des produits organiques -
Efficacité des huiles essentielles contre la tavelure: Point d'étape du projet Casdar
Ce document porte sur l'efficacité des huiles essentielles contre la tavelure du pommier. -
Eleveurs et élevage le long du fleuve Niger dans le département de Dosso (Niger)
Dans un ensemble soudano-sahélien, la double crue annuelle et les vastes étendues inondées en
saison sèche dotent la vallée du fleuve Niger, dans le département de Dosso, d'un riche potentiel
naturel. Celui-ci a attiré depuis longtemps de nombreux éleveurs peul dont certains, grâce à
l'importance des troupeaux, mènent encore aujourd'hui une vie nomade. Tous les éleveurs pratiquent
des déplacements entre le fleuve, deux vallées fossiles et les plateaux afin de procurer toute l'année
du fourrage vert au bétail. La qualité des animaux et le voisinage de pays déficitaires en viande
développent une commercialisation profitable. -
La conduite d'un verger en agriculture biologique principes de base
Ce présent document porte sur la conduite d'un verger en agriculture biologique principes de base -
Catalogue des engrais et amendements du sol autorisés en agriculture biologique en Tunisie
Ce catalogue liste les fertilisants autorisés en agriculture biologique en Tunisie. -
Enjeux et contraintes de l’élevage urbain et périurbain des petits ruminants à Maradi au Niger : quel avenir ?
Une étude a été menée à Maradi (Niger) pour déterminer les caractéristiques socio-économiques et les contraintes techniques de l’élevage urbain et périurbain de petits ruminants. Elle a montré que 60,9 p. 100 des ménages urbains et 81,1 p. 100 des ménages périurbains pratiquaient cet élevage. L’insécurité alimentaire dans les ménages, les vols, le manque d’intérêt et l’aspect contraignant de l’activité ont été les raisons évoquées par ceux qui ne le pratiquaient pas. -
Fonctionnement des élevages camelins de la zone périurbaine d’Agadez au Niger : enquête typologique
Le cheptel camelin est tributaire des ressources fourragères des parcours naturels dont le développement est soumis aux aléas de la pluviométrie, très mal répartie dans le temps et l’espace. Pour exploiter ces parcours, l’une des stratégies adoptée par les éleveurs est la mobilité. Cependant, depuis un certain temps, les mutations climatiques, socio-économiques et les conditions d’une urbanisation accélérée imposent de plus en plus des changements dans la règle de gestion des élevages. -
Caractérisation de la race ovine Balami au Niger par analyse descriptive et multivariée des paramètres morpho-quantitatifs
L’objectif principal visé par cette étude est d’établir les caractéristiques phénotypiques quantitatives du mouton Balami au Niger. Elle a pris pour cible la zone de prédilection de la race, notamment la Région de Maradi (commune d’Azagor, Bermo, Dakoro) et celle de Tahoua (commune de Madaoua). Dix-sept paramètres morpho-biométriques quantitatifs ont été mesurés sur 311 Balamis
appartenant à 99 exploitations sur 10 sites choisis au hasard, en fonction de l’adhésion volontaire des éleveurs. -
Elevage camelin au Niger : référentiel zootechnique et sanitaire
Ce guide présente les résultats issus d'un suivi des troupeaux camelins au Niger durant plusieurs années -
Guide technique de l’élevage : le développement pastoral efficace passe par la production d'herbe
L'élevage dans le Sahel se fait aujourd'hui fondamentalement selon un type usurpateur des terres en utilisant de la végétation qui y pousse naturellement. Afin de mettre un frein à la progression de la désertification et de passer à un élevage durable du bétail, il importe d'abandonner ce type d'élevage par usurpation des terres et de le remplacer par un type d'élevage qui, étant fondé sur le travail actif des terres, en assure la conservation et en élève la productivité selon un type d'utilisation cyclique. De plus, il importe de passer à un élevage plus productif (de type semi-intensif) (ce terme étant utilisé ici en opposition à l'élevage extensif) qui, ne fut-il que légèrement plus efficace, permette une bonne coexistence de l'agriculture et de la sylviculture, et permette d'obtenir davantage d'une surface et d'une quantité de bétail données. -
L'élevage au Niger.
L'élevage au Niger est pratiqué sur 650 000 km2 environ , soit plus de la moitié de la superficie totale du pays. Il constitue avec l'agriculture, l'activité économique de base, car il représente le revenu essentiel et souvent unique de couches importantes de la population et un élément primordial du commerce extérieur. Le cheptel croît lentement et régulièrement, sauf sécheresses exceptionnelles. -
Guide d'élevage sur l'embouche ovine pour la Tabaski - module 1 - généralités
Ce premier module est destiné à répondre aux préoccupations d’ordre général sur l’opération d’embouche ovine à savoir les différents types d’embouche ovine, ses intérêts pour l’entrepreneur et le consommateur, etc. -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Les larves de la mouche du chou et les chenilles de divers papillons provoquent les principaux dégâts d’insectes en
culture biologique de chou, et peuvent être responsables d’importantes pertes économiques. Cependant, une vigilance accrue et divers moyens de lutte permettent de limiter ou éviter ces dégâts. Les altises, pucerons et aleurodes peuvent également demander une attention particulière. Vous trouverez dans cette fiche quelques points de vigilance concernant les principaux ravageurs du chou. -
Contribution à l’étude de la dynamique de l’élevage pastoral au Niger : cas de la région de Diffa
Dans les pays du Sahel où se pratique un élevage pastoral du type extensif, l’élevage joue un rôle essentiel dans la vie socio-économique et l’équilibre alimentaire des ménages. Cependant, à travers les littératures, un certain nombre d’études pointent du doigt cette activité, notamment sa contribution à la dégradation de l’environnement ; l’émission de gaz à effet de serre ; sa faible performance économique ; etc. Par contre d’autres études ont fait relever l’importance et l’efficience de la pratique pastorale dans un milieu naturel à équilibre instable comme le Niger, grand pays d’élevage au coeur du Sahel, avec un cheptel de plus de 37 millions d’animaux. Et dans ce cadre, cette recherche a essayé de repositionner le débat en soulignant le rôle et l’importance de l’élevage pastoral dans les pays sahéliens en général, au Niger en particulier et de manière spécifique dans la région de Diffa. -
Production en aviculture familiale
Manuel sur la production avicole familiale -
Consultation internationale pour la réalisation d’une étude de mise en place d’un système de suivi des mouvements et stratégies d’adaptation spatiale des éleveurs transhumants en zone sahélienne (Niger)
L’étude de mise en place d’un système de suivi des mouvements et stratégies d’adaptation spatiale des éleveurs transhumants dans la zone d’intervention de la phase pilote au Niger du projet de surveillance pastorale en Afrique subsaharienne (Départements d’Abala, de Banibangou et de Filingué) a été exécutée dans un contexte particulier caractérisé par des conditions climatiques et environnementales peu favorables au développement, une précarité notoire des institutions administratives et des organisations communautaires, une absence des infrastructures socio-économiques dans la zone pastorale, la non maitrise du volume et des flux des ressources animales, une authenticité affichée des cultures des populations pastorales, et des conditions sécuritaires critiques qui pénalisent fortement les éleveurs transhumants. -
Mémento "Bien-être de l'animal d'élevage"
Mémento sur le bien-être des animaux d'élevage, permettant une amélioration de la production. -
Recueil de quatorze fiches techniques du domaine Agro-Sylvo-Pastoral
Le présent recueil comprend quatorze (14) fiches techniques :
- Production du fourrage de Medicago sativa (Luzerne) au Niger
- Production d’Echinochloa stagnina (Bourgou) au Niger
- Amélioration de la disponibilité du fourrage par la culture de Dolichos lablab (dolique)
- Amélioration de l’aviculture familiale au Niger
- Mise au point des rations alimentaires pour les ruminants à base des ressources locales au Niger
- Contrôle et valorisation de Sida cordifolia au Niger
- Production de l’oignon d’hivernage : conduite d’une pépinière en saison de pluie avec le Violet de Galmi
- Techniques de production de bulbilles d’oignon Violet de Galmi
- Production de bulbes d’oignon de conservation au Niger
- Production de riz hors aménagement au Niger
- Banque alimentaire à base de Moringa par semis direct au Niger
- Banque alimentaire à base de Adansonia digitata (Baobab) au Niger
- Banque alimentaire à base de jujubier amélioré au Niger
- Conduite de la Régénération Naturelle Assistée (RNA) au Niger
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Référentiel Technico-Economique sur la filière avicole
L’aviculture est l’une des filières d’élevage qui contribue à l’amélioration de la sécurité alimentaire des ménages surtout en milieu rural. Ce référentiel technico-économique est composé de 4 parties : Aviculture traditionnelle améliorée de la poule locale ; Élevage moderne des poulets de chair ; Élevage moderne des poules pondeuses ; Aviculture traditionnelle améliorée de la pintade locale. Chaque partie comprend une description technique et une analyse économique/financière de l’activité. -
Note sur la visite des parcs d’élevage « Garké » de la ville de Zinder
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) et le Collectif des Associations Pastorales du Niger (CAPAN) de Zinder ont effectué les 25 et 26 juillet 2018, la visite de 5 Garké dans la commune urbaine de Zinder (carte ci-dessous) afin de comprendre leur mode de fonctionnement et d’évaluer leur disponible en lait cru en vue d’une mise en relation avec la laiterie Darido qui va démarrer ses activités. Les Garké, ou parcs, sont des espaces mis à la disposition des associations d’éleveurs des quartiers de Zinder par la mairie pour y abriter les bovins des riverains notamment les vaches laitières. Les animaux sont surveillés, conduits aux pâturages et traits par quelques éleveurs couramment appelés « Makiyayi ». Les Makiyayi sont rémunérés selon des modalités bien définies avec les propriétaires d’animaux du parc. La mairie, quant à elle, ne perçoit aucune taxe au niveau des Garké. -
Efficacité de l’huile de neem (Azadirachta indica) et de Bacillus thuringiensis (Biobit 2X) sur la dynamique de la population de Bemisia tabaci (Gennadius 1889) et Helicoverpa armigera (Hubner, 1808) dans une plantation de tomate au Niger
Dans un champ école paysans à Dogaraoua, zone de production de tomate au Niger, lors d’une séance de réunion hebdomadaire, un facilitateur et son groupe de 25 producteurs apprenants décident de mettre en place un essai GIPP (Gestion Intégrée Protection Production) de la tomate sous la supervision d’un entomologiste.
Les résultats obtenus montrent que l’huile de neem permet de contrôler Bemisia tabaci à 70% et le biobit réduit l’infestation de Helicoverpa armigera de 50% par rapport au témoin non traité. Les producteurs peuvent utiliser l’huile de neem pour contrôler la mouche blanche afin de réduire à 80% le cas d’attaque du TYLC et le biobit dans le contrôle de la noctuelle de la tomate. -
Guide de formation à l’agriculture biologique
L'agriculture biologique correspond à un système de gestion intégrée de la production, visant à favoriser la santé des écosystèmes agricoles (ou agro-écosystèmes), y compris de la biodiversité, des cycles biologiques et de l'activité biologique des sols [Commission du Codex Alimentarius, FAO et OMS, 2007]. Ce type d’agriculture met l'accent sur l'utilisation des intrants naturels (minéraux et/ou produits dérivés de plantes), dont l’utilisation est préférable à l’usage d’engrais et de pesticides de synthèse.
La réalisation de ce guide résulte de la collaboration entre la Division du Climat, de l’Énergie et des Régimes Fonciers (NRC) et l’équipe TECA (Technologies et pratiques pour les petits producteurs agricoles) de la Division de la Recherche et de la Vulgarisation (DDNR) du siège de la FAO à Rome (Italie). -
Auto-évaluation du programme d’appui au secteur de l’élevage (PASEL - Phase 6 : 2010-2013)
La présente auto évaluation, située à six mois de la clôture du programme PASEL-phase 6 se déroulant de 2010 à 2013-, sur financement de la Coopération Suisse, a permis de recueillir les avis et les appréciations des différents acteurs sur les actions développées dans les régions de Dosso, Tillabéry (Filingué) et Maradi (Centre-Ouest du Niger).
L’exercice a consisté à solliciter les débats aux échelles locales, communales, régionales et centrales sur les effets directs et induits des actions de développement promues par le programme. Sur ce constat, couplé à diverses observations d’expertise, la mission a formulé des pistes d’orientations pour une éventuelle perspective de poursuite de la coopération entre la Suisse (DDC) et le Niger. -
Offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local en Afrique de l’Ouest - Document de Stratégie
L’initiative « offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local » participe de l’ensemble des stratégies visant à opérationnaliser, non seulement la politique agricole de la CEDEAO, mais surtout à mettre en œuvre le Plan Régional d’investissement Agricole, de sécurité alimentaire et nutritionnelle. Elle se veut un cadre et un instrument qui fédèrent, coordonnent et accompagnent toutes les initiatives en cours dans l’espace communautaire, en matière de développement des chaines de valeur du lait local.
L’offensive a pour objectif spécifique d’accompagner toutes les initiatives et stratégies de développement des chaines de valeur du lait local, afin de : Augmenter de façon substantielle la production locale du lait frais en améliorant la productivité du cheptel ; Améliorer l’approvisionnement de l’industrie laitière régionale au moyen de la collecte d’au moins 25 % de la production régionale de lait local à l’horizon 2025 ; Promouvoir un environnement incitatif au développement des chaines de valeur du lait local. -
Aliments issus de l'agriculture biologique
Ce manuel a été préparé dans le but de fournir une approche concertée en ce qui concerne les exigences qui étayent la production des denrées alimentaires par des méthodes biologiques ainsi que l'étiquetage et les allégations à leurs sujet. L'agriculture biologique fait partie d'un large éventail de méthodes qui soutiennent l’environnement. Les systèmes de production biologiques reposent sur des normes spécifiques et précises dont l'objectif est de réaliser les agrosystèmes les meilleurs possible qui demeureront durables sur le plan social,écologique et économique. Des termes tels que "biologique" et "écologique" sont également employés pour tenter de définir plus clairement le système biologique. -
Améliorer l’accès des éleveurs à une alimentation du bétail de qualité pour augmenter la production laitière dans les Pays sahéliens d’Afrique de l’Ouest
Réfléchir aux possibles voies d’amélioration de l’alimentation du bétail dans les pays sahéliens implique de dépasser des visions technicistes simplistes et d’étudier les systèmes d’élevage dans la complexité de leurs relations à l’environnement et aux autres systèmes de production. Au-delà de politiques agricoles favorables à une artificialisation des conditions d’élevage peu adaptées aux caractéristiques de ces milieux, l’enjeu se situe dans une meilleure compréhension et reconnaissance de la place de l’élevage dans les territoires et dans l’identification des leviers à actionner pour valoriser une diversité de ressources locales dans l’alimentation animale. -
Pour une politique commerciale et des politiques fiscales favorables au développement de la filière lait local en Afrique de l’Ouest
Note de position de la campagne « Mon lait est local ». La production et la commercialisation du lait local font partie intégrante de l’économie nationale et du mode de vie des familles d’éleveurs ruraux de l’Afrique de l’Ouest. Malgré son apport non négligeable à l’économie des pays de l’Afrique de l’Ouest, la filière lait local fait face à d’énormes défi s. Ces défi s se manifestent au niveau de la production laitière (alimentation du bétail notamment) et de la collecte, mais aussi au niveau de la transformation et de la consommation, avec notamment la concurrence de matières premières de la transformation et de produits de consommation importés. Dans ce contexte, les organisations de la campagne « Mon lait est local » plaident notamment pour la mise en œuvre de politiques publiques favorables au développement de la filière lait local dans les pays de la région. -
Enquête épidémiologique sur la sensibilité des tiques aux acaricides au Niger : (Cas des tiques du genre hyalomma koch 1844)
Les productions animales occupent une place importante dans les activités socio-économiques des pays sahéliens. Au Niger,elles constituent la deuxième source de revenus à l'exportation après les ressources extractives (uranium) et contribuent de beaucoup à une augmentation notable du produit intérieur brut (P.I.B) et à l'autosuffisance alimentaire, préoccupation majeure des autorités gouvernementales. -
Caractérisation morpho-biométrique du zébu Djelli du Niger
Le zébu peul (zébu Djelli) est l’une des races bovines qui constitue les cinq groupes (5) du cheptel bovin du Niger. Il est très apprécié de par ses aptitudes zootechniques, mais son élevage est plus localisé dans les départements et communes riveraines du fleuve Niger, notamment dans la région de Tillabéry. Ce travail vise l’étude des caractères phénotypiques de cette race du fait que dans le contexte nigérien, le zébu peul a bénéficié de peu d’étude à l’image des autres races du pays. A cet effet, des données morphobiométriques ont été collectées en 2017 dans quatre (4) départements de la région de Tillabéry et dans la zone péri-urbaine de Niamey sur 289 bovins adultes (254 femelles et 35 mâles) âgés de 3 à 19 ans. -
Diversité et conditionnement des résidus de culture commercialisés comme alimentation des animaux dans la communauté urbaine de Niamey
Les résidus de culture jouent un rôle important dans l’alimentation des ruminants, et leur commercialisation prend de plus en plus de l’ampleur dans la communauté urbaine de Niamey. Cependant, ces résidus de culture sont diverses et présentés sous différentes formes de conditionnement. Pour évaluer la disponibilité et les caractéristiques physiques des résidus de cultures utilisées en alimentation des ruminants domestiques à Niamey, un échantillon de 93 acteurs dont 33 grossistes/semi grossistes ; 41 vendeurs revendeurs et 19 vendeurs ambulants a été enquêté et suivi selon les saisons.
Il ressort de ce travail que le type, le prix, le poids et la disponibilité des produits sont fonctions des acteurs et des saisons. Il serait donc important de sensibiliser les éleveurs sur les lieux d’approvisionnement en fonction des périodes de l’année. Ceci permettra une meilleure rentabilité de l’activité. -
Les Démonstration d’initiatives paysannes en élevage (DIPE) dans la zone d’intervention du PASADEM : un outil de renforcement des capacités des agro éleveurs– Note de capitalisation
Faible capacité technique des agro éleveurs dans la conduite de l’élevage, qui se traduit par des hécatombes fréquentes liées aux épizooties, la fréquence des avortements, le retard de croissance des jeunes animaux et le faible gain pondéral chez les adultes, la faible prolificité à cause des espacements entre les mises bas, etc. Toutes ces contraintes impactent négativement les revenus du petit élevage, en particulier dans les ménages vulnérables d’où la nécessité de la mise en œuvre de ce dispositif d’encadrement (DIPE). -
Guide de l'aviculteur au Niger
Le Niger est un pays d'élevage par excellence, cette activités est pratiquée par près de 87% de la population active. Le poulet représente 54,5% des volailles élevés au Niger en 2007 avec une prédominance de races locales qui représente 54,7% du cheptel. L'aviculture intensive concerne 2,8% des effectifs, le poulet de chair représente 1,6% du cheptel avicole et les poules pondeuses 1,2%. Avant le recensement, les services d’élevages considéraient que le poulet constituait 70% des volailles élevées au Niger (RGAC, 2008). -
Caractérisation des pâturages naturels au Niger : Diversité et modes d’exploitation. Synthèse bibliographique
Cette étude vise à caractériser la diversité et les modes d’exploitation des pâturages naturels au Niger. Ces derniers regorgent une diversité d’espèces végétales valorisées principalement dans l’alimentation (humaine et animale), la médecine indigène (pour soigner les maladies humaines et animales) et l’artisanat. Cependant, le changement climatique couplé à des activités anthropiques inappropriées a perturbé de manière drastique le fonctionnement de ces écosystèmes. C’est ce qui a entrainé la baisse de la productivité de ces milieux, la raréfaction voire la disparition de certaines espèces fourragères, et surtout la prolifération des espèces végétales envahissantes tel que Sida cordifolia, Cassia mimosoides, Mitracarpus scaber, Fimbristylis hispidula. Cette synthèse bibliographique présente en premier lieu la typologie de ces pâturages ainsi que la richesse floristique en fonction des compartiments phytogéographiques du pays. Ensuite, elle essaie d’énumérer les espèces végétales menacées de disparition et celles réfutées envahissantes et leurs effets sur les pâturages naturels. -
Sécurisation du foncier pastoral en Afrique de l’Ouest - Des modèles divers et riches d’enseignements
En Afrique de l’Ouest, les systèmes agricoles et pastoraux ont connu depuis le début des années 2000 des reconfigurations importantes entraînant une mise en concurrence autour de l’accès à l’espace foncier, renforcée par la ruée des sociétés multinationales sur les ressources naturelles disponibles dans les espaces pastoraux de la zone sahélienne, ainsi que par l’extension des grandes agglomérations urbaines. Pour faire face à ces défis, des expériences de sécurisation des espaces pastoraux sont actuellement conduites sur le terrain au Burkina Faso (régions du Sahel et de l’Est), au Niger (région de Maradi et département de Niamey) et au Sénégal (département de Podor).
Cette étude, qui combine la réalisation d’une revue documentaire, la conduite d’entretiens avec les divers acteurs impliqués et la réalisation d’enquêtes auprès des éleveurs, vise à établir un bilan critique de ces expériences de sécurisation pastorale, à évaluer leur efficacité et à analyser la stratégie d’implication des organisations d’éleveurs. La capitalisation de ces différents modèles de sécurisation du foncier permettra d’en tirer des enseignements utiles pour un changement d’échelle dans la conduite de telles expériences et un renforcement des stratégies de prévention des conflits liés à l’accès aux ressources naturelles. -
La microassurance bétail pour les éleveurs mobiles en Afrique de l’Ouest : compte-rendu de l’atelier Les Résidences Mamoune, Dakar, 2-3 novembre 2016
L’atelier qui s’est tenu à Dakar les 2 et 3 novembre 2016 s’inscrit dans la mise en œuvre du Projet de Renforcement de la Résilience de l’Économie Familiale grâce à la Productivité de l’Élevage dans le sud et l’est de la Mauritanie, sur financement de l’Union Européenne. De façon plus large – et à travers un mécanisme de cofinancement, le PRREF-Mauritanie s’articule avec le projet déployé depuis janvier 2015 par Acting for Life au sein du programme BRACED de la coopération britannique (UKAid) qui couvre également le Mali, le Niger, le Burkina Faso et le Sénégal. C’est dans le cadre de ces deux interventions qu’une réflexion stratégique et prospective sur les enjeux de la microassurance pour le bétail a été menée depuis début 2015, pour finalement conduire à la tenue du présent atelier. -
Plan national de développement de la filière aviculture (PNDF Aviculture)
La promotion de l'aviculture au Niger date des années 60 avec la création des stations avicoles des régions de Maradi et de Mirriah, suivie par celle de Niamey-Téra (1981) et de Dosso (1982). L'engagement politique du gouvernement pour la filière avicole a été poursuivi et renforcé par sa politique de promotion et de développement du sous-secteur de l'élevage à travers la mise en œuvre de diverses stratégie. -
Projet élevage Amataltal
La mission d'évaluation du projet Élevage à Amataltal s'est déroulée du 17 au 27 Janvier 2001. Elle a visité l'ensemble des et s'est entretenue avec les populations bénéficiaires et les différents partenaires du projet. Les constats réalisés par la mission dans la mise en œuvre des différentes composantes du projet conformément aux objectifs visés. -
Débat informé sur les enjeux du développement et de l'investissement dans l’Élevage et le Pastoralisme dans les pays Sahéliens et côtiers
Pour l'Organisation Mondiale du Commerce, le fait qu'un pays développe son commerce extérieur en valorisant ses avantages comparatifs est considéré comme un facteur de croissance et de prospérité. Selon cette version, en effet tous les états vont maximiser leur profit s'ils commercent entre eux, chacun se spécialisant dans la production de biens pour lesquels ils peuvent produire aux couts les plus bas. -
L’élevage mobile dans la région de Zinder : une recherche socio-anthropologique - Rapport de synthèse
L’élevage mobile dans la région de Zinder : une recherche socio-anthropologique - Rapport de synthèse
Etudes et travaux du LASDEL N°112 : Le programme de recherche du Laboratoire d’études et de recherches sur les dynamiques sociales et le développement local (LASDEL) sur l’élevage mobile dans la région de Zinder concernait deux axes largement imbriqués :
- Les pratiques et stratégies des éleveurs mobiles, concernant leurs activités pastorales au premier chef, mais aussi leurs relations avec les autres éleveurs et les agriculteurs, leurs rapports avec les communes, les services de l’Etat et les projets, ainsi que leurs capacités d’action collective (cf. le « dangol », autrement dit le boycott des marchés par les éleveurs peuls) - Les modes d’interventions institutionnels dans le domaine de l’élevage et les différentes formes de « politique locale de l’élevage », quel que soient les intervenants (communes, services techniques, administration de commandement, commissions foncières et code rural, projets – dont le PSSP bien sûr - et associations d’appui au secteur pastoral).
Un enjeu central est évidemment apparu au sein de ces deux axes : l’accès à l’eau et aux pâturages. Il a été abondamment traité dans les travaux de l’équipe. -
Aviculture : 5 microprojets innovants en difficulté
Les commissions départementales de sélection des microprojets sur Fonds d’Appui régional (FAR/PASR) de Diffa et Mainé ont sélectionné en novembre 2011 cinq (5) dossiers de microprojets aviculture. Il s’agit d’élevage de poules pondeuses en bâtiments avec apport de l’alimentation.
Aucun des bâtiments proposés et démarrés ne pourra donner satisfaction pour l’élevage des volailles. Des modifications sont possibles pour les bâtiments en dur. Une reprise complète doit être envisagée pour les bâtiments en banco. Les budgets de ces MP ont été trop réduits sans tenir compte des besoins.
Les porteurs n’ont pas été informés ou ne se sont pas appropriés des charges auxquelles ils devront faire face pour l’alimentation et le soin de leur cheptel. -
Revue du secteur avicole Niger
Le risque d’apparition d’épizooties telles que l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène à H5N1 (IAHP) nécessite une surveillance efficace et une capacité de réponse active et rapide à un niveau national, régional et international. La crise de l’IAHP a dû et doit encore être combattue à travers le monde à sa source, c’est-à-dire au sein de la population avicole.
Une bonne compréhension des différentes filières de production et commercialisation permet de développer des mesures de contrôles des maladies qui soient appropriées et efficaces. -
Critères de sélection des bovins laitiers par les éleveurs autour de Niamey au Niger
Une enquête portant sur 164 éleveurs de bovins laitiers de la communauté urbaine de Niamey (Niger) a été menée pour identifier les paramètres à considérer localement lors de jugement zootechnique. Les interviewés, principalement des hommes (57,0 p. 100), illettrés (81,1 p. 100), appartenaient majoritairement aux ethnies Peul (56,1 p. 100) et Zarma (34,8 p. 100). L’étude a concerné 1 635 zébus dont 26,5 p. 100 étaient des vaches en lactation et 28,8 p. 100 des veaux. A l’achat des animaux, les éleveurs préféraient les vaches en lactation (41,0 p. 100), les génisses (33,5 p. 100), puis les mâles (23,9 p. 100). Le premier critère par les éleveurs pour choisir les bovins était la race : Djelli (66,4 p. 100), Azawak (12,2 p. 100) et Bororo (5,3 p. 100). Par ailleurs, les éleveurs identifiaient d’autres critères secondaires, tels que la robe (50,6 p. 100), la forme des mamelles (34,8 p. 100), l’état corporel de l’animal (8,5 p. 100), les testicules (2,4 p. 100) et les cornes (2,4 p. 100). -
Note de suivi des unités communautaires de fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour bétail dans le département de Mayahi (Région de Maradi)
Pour résoudre le problème crucial de la sous-alimentation et la mortalité d’animaux, des technologies ont été développées dont la fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour le bétail. C’est une technologie simple mise au point par l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) en collaboration avec le PPAAO-Niger et la FAO. Ces blocs sont fabriqués à base de fourrages locaux, de tiges de mil (entières et broyées), de gousses de Faidherbia albida entière et broyées (gao), de tourteaux de coton broyés, de sons de blé, de minéraux (sels, phosphate, calcaire) et de liants (gomme arabique ou farine de manioc).
Le BMND fournit aux ruminants les nutriments dont ils ont besoin pour leur entretien quotidien. Sa consommation favorise l’assimilation rapide des fourrages grossiers, augmente la consommation d’eau et améliore leur état de santé et leur résistance au stress d’origines diverses. La technologie de fabrication de BMND est de plus en plus maitrisée par les organisations paysannes (OP) notamment grâce à l’appui de projets. En effet, depuis 2014, Sahel Bio vulgarise cette technologie dans le département de Mayahi, grâce au financement de la fondation Suisse HEKS-EPER. La production-vente du BMND est, de nos jours, une source de revenu pour les populations des zones concernées. La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Maradi a effectué un suivi au niveau de quatre (4) unités communautaires de fabrication de BMND du département de Mayahi. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (1)
L’offre d’éducation/formation des populations pastorales dans les zones transfrontalières déroulée dans le cadre du PREPP (Programme Régional d’Éducation et formation des Populations Pastorales en zones transfrontalières), depuis fin 2013, est une innovation majeure.
Le présent travail d’ingénierie des référentiels de formation a permis d’élaborer des modules de formation exclusivement conçus pour soutenir la formation accélérée qualifiante (FAQ) des éleveurs pasteurs en zones transfrontalières.
Le choix délibéré est fait de construire des contenus et processus d’enseignement-apprentissage selon la démarche DCTP et l’approche par compétences (APC) afin de « Parvenir à une meilleure intégration sociale, politique et économique des populations pastorales transhumantes des zones transfrontalières par l’éducation et la formation professionnelle ».
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur les productions animales, se focalisent sur le thème de la « Production fourragère » et se déclinent comme suit : 1. les cultures fourragères ; 2. la production du foin ; 3. le traitement de la paille à l’urée. Ces modules d’un volume horaire global de 31 heures sont élaborés selon une organisation pédagogique et andragogique qui privilégie la résolution de situations-problèmes. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Santé animale
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la santé animale, se focalisent sur le thème de la « vaccination et traitement des animaux (ruminants et volaille). -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (3)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise de laiterie pastorale » et se déclinent comme suit : Production du lait - Transformation du lait (en fromage) - Commercialisation du lait et de ses sous-produits -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (4)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise d’embouche en milieu pastoral » et se déclinent comme suit : Embouche bovine - Embouche ovine -Commercialisation des animaux embouchés. -
Référentiels des Métiers et des Compétences pastoraux
Une équipe de travail, sous la facilitation du Bureau EDRIC/Sarl, Burkina Faso, s'est investie pour concevoir et produire ce premier outil de référence pour l'organisation et la conduite des processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) des populations pastorales dans le cadre du Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP). Ce processus a permis d'analyser la situation de travail de l'éleveur pasteur et d'aboutir à un document de référence sur les métiers et emplois pastoraux.
La définition des référentiels des métiers et des compétences pastoraux fut une étape indispensable pour la mise en œuvre des processus de développement des compétences techniques et professionnelles. Son élaboration a pris en compte la réalité professionnelle tout en permettant d'anticiper sur l'évolution du métier d'éleveur-pasteur dans le contexte d'un pastoralisme transhumant et d'un système socio-économique en pleine mutation. Pour les éleveurs pasteurs, le RMC constitue un consensus sur l'appellation et la description des métiers pastoraux ; ce qui permet d'instituer un code de conduite professionnelle qui clarifie le métier et le met ainsi en valeur. -
Programme modulaire de formation du médiateur social – Livret de l’apprenant
Depuis plusieurs années, des initiatives multiples se développent sous le terme générique de « médiation ». Les démarches répondent à une volonté commune de promouvoir un mode d’intervention dans les relations sociales basé sur la philosophie du dialogue et de la négociation. Elles tendent à s’établir comme un mode spécifique de régulation sociale. Ces initiatives visent à une résolution des conflits de la vie quotidienne ou plus largement à susciter davantage de lien social, à améliorer les relations entre les institutions, les groupes sociaux et les personnes, ainsi que les relations des personnes entre elles.
Ce foisonnement d’expériences faisant appel à l’intervention d’un tiers s’est développé sous l’appellation générique de « médiation sociale ». -
Programme modulaire de formation en entreprenariat pastoral – Module 1 Création d’une entreprise – Module 2 Gestion d’une Exploitation familiale ou d’une entreprise - Livret de l’apprenant
Connaissance du métier d’éleveur pasteur et des créneaux porteurs - Activité : Adopter des comportements et attitudes pour moderniser l’élevage afin d’améliorer leurs conditions de vie.
Connaissance des outils de gestion des exploitations familiales - Activité : Adopter des comportements et attitudes pour mieux gérer son exploitation familiale afin d’améliorer son rendement. -
Programme modulaire de formation du facilitation des centres d’éducation de base (CEB) - Livret de l’apprenant
Le Programme d’Education/formation des populations pastorales en zones transfrontalières (PREPP) est un programme dont une des priorités est de former un vivier de facilitateurs endogènes de centres d’éducation de base en milieu pastoral.
Pour cela, un programme de formation modulaire est conçu pour capaciter des néo alphabètes du milieu au métier d’animation/facilitation en Education Non Formelle, notamment en alphabétisation/formation de base. Le programme modulaire du « Facilitateur endogène » comprend 4 modules que sont : 1. La connaissance du milieu et la mobilisation sociale ; 2. Communication et animation de groupe Andragogie) ; 3. La préparation et la conduite des enseignements/apprentissages, 4. Le suivi et l’évaluation des centres d’éducation de base. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" -Projet pédagogique 1 : les aliments pour bétails - VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Les éleveurs pour assurer une alimentation pérenne au bétail doivent pouvoir : identifier les différents types de pâturage dans son environnement et son terroir ; identifier les principales espèces appétées par les animaux dans sa région ; décrire au moins 10 espèces de plantes appétées et leur utilisation ; expliquer le dynamisme des pâturages ; faire du bon foin. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 2 : Gestion améliorée des troupeaux - VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.3 : les maladies courantes et diverses ; les maladies animales sont causées essentiellement part : des virus ; des bactéries (le terme bactérie est un nom vernaculaire qui désigne certains organismes vivants microscopiques présents dans tous les milieux) ; des parasites.
Module 1.4 : la gestion de la reproduction ; la gestion de la reproduction allant dans les sens d'une amélioration de la productivité du troupeau est une préoccupation majeure des éleveurs transhumants dans nos pays (Burkina, Togo, Bénin). -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 3 : Règlement de la transhumance- VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.5 : les maladies réglementées par la Transhumance - Au cours de la transhumance, l’éleveur-pasteur sera confronté à des contraintes/problèmes plus ou moins différent-e-s selon les administrations et les populations auxquelles il doit faire face. Parmi ces problèmes, on relève la non maîtrise de certaines pathologies réglementées par les textes sur la transhumance (animaux parfois non vaccinés et non déparasités avant le départ en transhumance). L’objectif des exercices qui suivent est donc d’apporter aux apprenants des connaissances pour reconnaître les maladies réglementées par la transhumance à travers leurs symptômes et proposer, en collaboration avec les techniciens, une lutte efficace contre ces dernières. On peut les diviser en deux groupes dont les maladies virales et les maladies bactériennes. Module 1.6 : le protocole sanitaire - Les mouvements incontrôlés du bétail et de la transhumance sont parfois source de nombreux problèmes d'ordre sanitaire, social, juridique, environnemental, économique et politique. Ceux-ci ont nécessité la mise en place de règlements, d’organismes de suivi de ces règlements au sein de chaque pays et dans l’espace CEDEAO. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 1 : Les aliments pour bétail - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.1 : Pâturages naturels tropicaux - Le présent document tentera d’apporter des solutions aux préoccupations des éleveurs à travers les points suivants : classer les aliments par rapport à la valeur nutritive (fourrage, concentrés, groupes d'aliments) ; gérer les ressources fourragères (pâturage naturel, résidus de récoltes et fourrages cultivés) ; traiter chimiquement et mécaniquement les fourrages ; traiter la paille à l’urée, faire la fenaison) ; citer d'autres aliments (tels que les gousses et fruits de ligneux) ; répertorier les différentes sources d'eau ; énumérer les contraintes majeures de la gestion des ressources hydriques ; citer les éléments clés d’un contrat d'utilisation des résidus de récolte entre agriculteur et éleveur.
Module 1.2 Compléments alimentaires - En période de sécheresse où les fourrages sont rares et que ceux restant perdent une bonne partie de leurs qualités nutritives, l’apport de compléments alimentaires devient nécessaire pour couvrir les besoins des animaux. Il est donc nécessaire que les éleveurs connaissent une meilleure utilisation de ces compléments.
Le module suivant abordera dans son contenu les points ci-après : l’importance des compléments alimentaires ; la composition de la ration alimentaire ; la fabrication des pierres à lécher et des blocs multi nutritionnel. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 2 : Gestion améliorée des troupeaux - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 2.1 : maladies courantes et diverses - Le premier niveau de la formation du « Vulgarisateur en santé et production animale » a permis aux apprenants de reconnaitre les maladies courantes à travers leurs symptômes. Ce fut également l’occasion pour eux, d’aborder de manière sommaire, les moyens qui permettent de lutter contre ces maladies. Ce deuxième niveau de formation qui vise le renforcement des connaissances et compétences de ces apprenants sur les maladies courantes est axé sur leurs modes de transmission, de contamination et de propagation, sur la prophylaxie médicale de chacune d’elles et sur leurs conséquences négatives.
Module 2.2 : gestion de la reproduction - Dans ce chapitre intitulé gestion de la reproduction certains contenus développé au niveau 1 seront approfondi ou complétés. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 3 : Règlementation de la transhumance - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 3.1 : maladies réglementées par la transhumance - Ce deuxième niveau de formation qui vise le renforcement des connaissances et compétences de ces apprenants sur les maladies réglementées par la transhumance est axé sur leurs modes de transmission, de contamination et de propagation, sur la prophylaxie médicale de chacune d’elles et sur leurs conséquences négatives.
Module 3.2 : prévention et gestion des conflits - L’objectif des exercices qui suivent est donc d’apporter aux apprenants des connaissances leur permettant de définir un conflit, d’expliquer ses différentes phases et ses principales causes. Ils pourront également expliquer les mécanismes de prévention et de résolution d’un conflit. -
Rapport annuel 2015 : Les statistiques du secteur de l'élevage
Le Ministère de l’Élevage a été invité à la deuxième édition du Salon International de l'Agriculture du Maroc (SIAM) à Meknès sur le thème " les Produits de terroir". La délégation du Niger a participé à cette édition dans l'objectif de s'enquérir de l'expérience marocaine dans le cadre de la mise en œuvre du Plan Maroc Vert, Plan similaire à l'Initiative 3N "Les Nigériens Nourrissent les Nigériens". -
Rapport annuel 2016 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité par la grande diversité d'espèce et race élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière deccenie. En 2016, le cheptel est estimé à 44.595.672 tetes toutes espèces confondues soit 17.340.539 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 3.700 milliards de francsFCFA. -
Rapport annuel 2017 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2017, le cheptel est estimé à 46.484.539 têtes toutes espèces confondues soit 18.156.652 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 400 milliards de francs CFA. -
Rapport annuel 2018 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger pour la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution vivant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2018, le cheptel est estimé à 48.460.804 têtes toutes espèces confondues soit 19.016.316 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 4.100 milliards de francs CFA. -
Rapport annuel 2019 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2019, le cheptel est estimé à 50.528.787 têtes toutes espèces confondues soit 19.921.981 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 400 milliards de francs CFA. -
Référentiel technico-économique de l'embouche bovine : 1er édition 2011
L’embouche bovine est une activité prévue par le PRODEX pour booster la production de viande de qualité et compétitive pour répondre à la forte demande nationale, sous régionale et internationale de viande de bovin d’origine nigérienne.Le potentiel est énorme, puisque le Niger compte en 2009 un important cheptel bovin estimé à 9 261 642 en 2009. -
Stratégie de développement durable de l'élevage (2012-2035)
Le Niger présente des potentialités indéniables en élevage lui permettant d’espérer contribuer significativement à la sécurité alimentaire et nutritionnelle, mais aussi d’envisager des revenus appréciables pour la population. Des stratégies successives ont tenté de valoriser clés potentialités nationales. La SDRP et la SDR ont reconnu au Ministère de l’Élevage un rôle moteur dans l’aménagement et la sécurisation des systèmes pastoraux. De nouvelles visions sont en cours, notamment l’Initiative 3N et les projections axées sur le long terme avec Niger 2035. -
Amélioration de la conduite alimentaire des troupeaux allaitants
L'élevage laitier en dépit de sa proximité de la ville et des dépenses importantes engendrées par l'alimentation, est confronté à un faible niveau de performance de production. Ceci est du à plusieurs raisons, à savoir notamment le bas niveau nutritionnel, le faible potentiel génétique des animaux, la non maitrise de santé animale et le faible niveau technique des éleveurs. -
Amélioration de l'élevage de jeune poussins et pintadeaux en aviculture traditionnelle ou villageoise
Les jeunes sujets représentent la base de réussite d'un élevage avicole. Cependant, ils sont confrontés à des nombreux aléas qui limitent ainsi la productivité d'un élevage de basse-cour en milieu villageois. Les caractéristiques d'un tel élevage sont notamment: Exposition aux intempéries et prédateurs ; Faible couverture sanitaire; Mortalité très élevé après éclosion; Faible performance de croissance. Ceci suppose qu'il y a nécessité d'adopter un plan rigoureux de soins intensifs d'hygiène et de prophylaxie. -
Rapport annuel AREN 2018
En vingt-cinq (25) ans d’existence, AREN a connu une croissance importante tant par le nombre de ses membres au plan numérique qu’au plan organisationnel. De quelques groupements au départ, AREN compte plus d’un millier de groupements de nos jours. La structuration prévue par les textes fondateurs d’AREN semble ne plus être d’actualité. Cette évolution structurelle est bien la preuve de la vitalité de l’organisation qui a atteint sa pleine maturité dans son cycle de vie. Outre son expertise sur le plan de la défense des droits des éleveurs, de l’humanitaire et de l’urgence, AREN s’est investie pleinement dans la mise en œuvre de projets dont elle est maître d’ouvrage ou maître d’oeuvre. Un plan d’action 2013-2017 a été élaboré et évalué récemment. -
Appui à la sélection, la promotion et le diffusion de la chèvre rousse de Maradi
L'élevage de caprins représente une activité économique de première importance en bordure sahélienne. Le Sud du département de Maradi est à ce titre le berceau de la Chèvre Rousse de Maradi. Cette race se caractérise par une rusticité moyenne à bonne, une excellente prolificité, une bonne production laitière et une exceptionnelle qualité de peau qui lui vaut un label reconnu sur les marchés internationaux.Actuellement, l'élevage de la Chèvre Rousse est en déclin du fait de l'absence de bons boucs reproducteurs en milieu villageois et d'un métissage croissant avec les chèvres sahéliennes. En outre, le mode très extensif de cet élevage ne permet pas l'expression de ses bonnes potentialités productives. -
Lutte biologique contre la MEM
General objective: to determine the level of millet resistance varieties to millet head miner damage. For this purpose, 25 varieties of millet were tested to assess their behavior to the pest. The study was in Burkina Faso, Mali and Niger. He infestation varied from 10.20 to 86.98% with an average of51.37%. -
Les statistiques sur l'élevage au Niger : Situation et perspectives; 28 au 30 octobre 2013, Hôtel Terminus Niamey, Niger
Du 28 au 30 octobre 2013 s’est tenu à l’Hôtel Terminus à Niamey au Niger, l’atelier sur "Les Statistiques de l'Elevage au Niger: Situation et perspectives''. Ont pris part à cet atelier, les délégués du Burkina Faso, du Mali et de la Mauritanie mais aussi les représentants des Coopérations Belge (CTB) et Suisse, et les représentants d’organisations internationales ou centres étrangers de recherche tels que : l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), la Banque Africaine de Développement (BAD), la Banque Mondiale, l’Observatoire Economique et Statistique d’Afrique Subsaharienne(AFRISTAT), le Fonds des Nations Unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO), Vétérinaires Sans Frontière (VSF), le Centre National français de la Recherche Scientifique (CNRS). -
Manuel de commercialisation des produits biologiques
À l’heure actuelle, les changements climatiques ont de graves impacts sur les rendements agricoles de nombreux pays, souvent à faible revenu. C’est le cas du Sénégal, qui a vu sa production agricole chuter au cours des dernières années. Cette situation tend à accroître
la pauvreté et à menacer la sécurité alimentaire du pays. Dans ce contexte, il est urgent de se tourner vers de nouvelles alternatives, comme l’agriculture biologique et la commercialisation de ses produits. En effet, il est démontré qu’un mode de production
biologique permet de mitiger les effets des changements climatiques. -
Principaux insectes ravageurs du riz en Afrique et méthodes de lutte non chimiques
En Afrique, les ravageurs de culture posent assez de problèmes pour la production agricole. C'est dans ce cadre que cette étude a été réalisée pour apporter des méthodes de lutte biologique aux insectes qui s'attaquent aux cultures de riz dans certains pays de l'Afrique. -
Etude de l’amélioration de l’aviculture villageoise : bilan critique des interventions du projet APELDA dans la région de Dosso.
Ce mémoire de fin de cycle de Licence porte sur le thème «Amélioration de l’aviculture villageoise: Bilan critique des interventions du projet APELDA dans la région de Dosso». L’accent est mis sur l’indentification des différents obstacles à la pérennisation des actions menées par le projet APELDA en aviculture villageoise. -
Qu'est ce que l'agriculture biologique?
En tant qu’agricultrice ou agriculteur en Afrique, vous pouvez faire face à certains défis, par exemple la perte de terres arables, une fertilité diminuée des sols, une sécheresse fréquente et une augmentation des frais de semences, d’engrais, de pesticides ou de médicaments vétérinaires. De tels défis mènent généralement à des difficultés récurrentes lorsqu’il s’agit de produire suffisamment pour nourrir la famille et la communauté. Il est donc important d’établir des méthodes agricoles à bas coûts qui respectent l’environnement et vous permettent d’affronter les problèmes urgents de sécurité alimentaire. -
Comment gérer au mieux la fertilité de mes sols?
Un sol peut être vivant ou mort. Un sol vivant nécessite en permanence suffisamment d’air, d’eau et de matière organique pour offrir aux plantes et aux organismes du sol un bon environnement de croissance. Si on lui fournit ces éléments, même un sol mort peut réussir à revivre. -
Comment augmenter la teneur en matière organique du sol ?
La matière organique du sol est essentielle, car elle permet au sol de retenir l’eau et les nutriments et fournit ces derniers aux plantes quand elles en ont besoin.
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Comment compléter les besoins en nutriments de mes cultures?
Les engrais peuvent être utiles pour répondre aux besoins en nutriments à court terme des cultures et stimuler la croissance des plantes, mais ils doivent être utilisés en dernier recours. -
Gestion de la fertilité des sols
La durabilité à long terme de l’agriculture suscite de plus en plus de préoccupations. Des terres fertiles et de l’eau en quantité suffisante sont indispensables pour maintenir l’agriculture et assurer les moyens d’existence. Toutefois, en Afrique, la productivité a diminué en raison de l’intensification de l’agriculture qui dégrade les terres. Les causes majeures de la dégradation des terres sont les pratiques agricoles non durables telles que l’agriculture sur les pentes raides sans prendre de mesures suffisantes de conservation du sol et de l’eau, la monoculture, le travail excessif du sol, l’abandon de la jachère sans réapprovisionner le sol en nutriments, la culture sur brûlis, la conversion des forêts, des bois et des brousses en zones agricoles permanentes ou leur exploitation excessive en bois de chauffe et de construction, le surpâturage des prairies et le manque de gestion de la matière organique des sols. -
Gestion de la fertilité des sols en agriculture biologique
Cette note d’orientation fournit des conseils pour utiliser le poster dans le cadre d’une formation. Elle détaille les différents éléments du poster, offre des informations pour leur présentation et des suggestions pour leur mise en œuvre didactique. Pour plus d’informations, voir les ressources proposées à la fin de la note. -
Comment faire du compost de qualité?
Cette note d’orientation fournit des conseils pour utiliser le poster dans le cadre d’une formation. Elle détaille les différents éléments du poster, offre des informations pour leur présentation et des suggestions pour leur mise en œuvre didactique. Pour plus d’informations, voir les ressources proposées à la fin de la note. -
Planifier une bonne rotation des légumes
Cette note d’orientation fournit des conseils pour utiliser le poster dans le cadre d’une formation. Elle détaille les différents éléments du poster, offre des informations pour leur présentation et des suggestions pour leur mise en œuvre didactique. Pour plus d’informations, voir les ressources proposées à la fin de la note. -
Pourquoi la matière organique est-elle si importante?
Les pratique agricoles sont diverses et variées. L'agriculture biologique en est une illustration pratiquée par beaucoup de producteurs. Cette technique comporte assez d'avantage pour les producteurs agricoles afin de leurs permettre d'avoir un rendement agricole plus sain et moins coûteux. -
Comment gérer les ravageurs et les maladies de façon naturelle?
Il est important de savoir quels agents pathogènes causent des dégâts dans les champs. L’identification de l’agent pathogène constitue la première étape d’une gestion efficace des ravageurs et des maladies. -
Comment gérer les mauvaises herbes?
Les mauvaises herbes peuvent jouer un rôle crucial dans l’écosystème de la ferme. Mieux vous connaissez leurs caractéristiques, plus elles peuvent contribuer à la réussite de l’exploitation sans devenir nuisibles.
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Comment gérer les ravageurs des stocks de grains?
Une partie considérable des grains est perdue après la récolte en raison d’une mauvaise gestion et de mauvaises pratiques de stockage, qui exposent les grains stockés aux insectes nuisibles et aux maladies. -
Gestion des adventices dans les champs bio
Les adventices sont des mauvaises herbes qui empêchent les cultures de se développer. Cette affiche propose des pratiques simple pour les éliminer et les réutiliser à des fins de composte. -
Influences environnementales sur la santé des plantes
L'agriculture et l'environnement ne font qu'un. Cependant, toutes les terres ne sont pas bonnes pour développer une activité culturale. Il est important de choisir un endroit naturel et sain pour permettre aux planter de mieux pousser. -
Élevage
L’élevage animal bio implique que les animaux soient détenus de manière naturelle et favorisant leur bien-être de même que leur santé. Cela ne signifie pas que les animaux doivent être détenus dans un environnement entièrement naturel, mais qu’il faut leur offrir la possibilité d’exprimer des comportements et un mode de vie naturels. Chaque espèce animale possède des organes spécialisés qui leur donnent des capacités fonctionnelles et des caractéristiques spécifiques ainsi qu’un mode de vie particulier. Ces différences sont intrinsèques, immuables, et il convient de les respecter. -
Production animale et cycle des éléments nutritifs
L’élevage animal bio implique que les animaux soient détenus de manière naturelle et favorisant leur bien-être de même que leur santé. Cela ne signifie pas que les animaux doivent être détenus dans un environnement entièrement naturel, mais qu’il faut leur offrir la possibilité d’exprimer des comportements et un mode de vie naturels. Chaque espèce animale possède des organes spécialisés qui leur donnent des capacités fonctionnelles et des caractéristiques spécifiques ainsi qu’un mode de vie particulier. -
Comment gérer ma ferme biologique?
La gestion d’une exploitation biologique poursuit le même objectif sous-jacent que toute autre entreprise : elle vise à améliorer les bénéfices de l’agricultrice ou de l’agriculteur et à l’aider à surmonter les principales difficultés.