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Mémento technique tech&bio 2017 - Maraîchage et légumes
Cette présente fiche technique porte sur le maraîchage et légumes bio. -
Guide pratique du maraicher agroécologique de Brazzaville
Recettes de biopesticides, biofertilisants, et autres bio-préparations réalisées par des maraichers de la ceinture verte de Brazzaville. -
Efficacité agronomique du compostage à base de la biomasse du << neem>> et de l'anarcade sur des cultures maraichères dans la zone des Niayes au Sénégal
Dans la zone des Niayes au Sénégal, les sols sont pauvres en matières organiques et en éléments nutritifs nécessaires aux plantes. Les engrais chimiques utilisés pour améliorer les rendements ont engendré une forte pollution des sols et de la nappe phréatique. L’objectif de cette étude est d’évaluer la valeur agronomique du compost fabriqué à base des feuilles de neem et d’anacarde, de fiente de volaille et de la cendre de bois. Le compost obtenu présente un rapport C/N de 15,49 et des teneurs en N - P - K de 9,1, 14,8 et 7,3 mg/kg, respectivement. Les différentes doses du compost testées sur des cultures maraichères ont révélé des performances agronomiques meilleures par rapport aux témoins. La dose T3 (30 t/ha) a induit les meilleurs rendements pour la tomate (27,213 t/ha) et l’oignon (105,263 t/ha). Pour le chou et la pomme de terre, la dose T1 (10 t/ha) a permis d’obtenir les meilleurs rendements (144,533 t/ha et 55,163 t/ha, respectivement). Par contre pour le poivron, la dose T2 (20 t/ha) a favorisé les meilleurs rendements (32,534 t/ha) avec un poids moyen (81,748g) et un nombre de fruits/récolte considérablement plus élevé. Ce compost pourrait constituer une alternative réelle à l’utilisation abusive de l’engrais minéral dans la zone agricole des Niayes. -
Les phosphates, une richesse pour l'agriculture Ouest africaine : résultats pour le mil et le niébé au Niger
Cette note est tiré du bulletin « Coraf Action n°59 / 2ème trimestre 2011 » dont le titre est : « Les phosphates, une richesse pour l’agriculture Ouest africaine » qui présente les résultats obtenus par ce projet dans chacun des pays. La note présente les résultats du Niger. -
Agriculture biologique : installation en maraichage biologique en Pyrénées -Atlantique
Ce guide a pour objectif de vous aider à mener à bien votre projet, en vous apportant des éléments d'aide à la décision concernant les différents aspects de l'installation en maraîchage. Toutefois, un projet de carrière et de vie se réfléchit mûrement afin de mettre tous les atouts de votre côté. Des conseillers sont disponibles dans les différents réseaux pour vous accompagner et vous aider à structurer votre projet donc n'hésitez pas à les contacter. Les chambres d'Agriculture ont également rédigé de nombreux documents d'ordre plus technique qui pourront vous accompagner dans la pratique. En attendant bonne lecture, en espérant que ce document vous aidera à construire votre projet. -
S'installer en maraichage bio : les clés de la réussite
L’agriculture biologique est un mode de production exempt de tous produits chimiques de synthèse, s’appuyant sur une approche globale de l’exploitation et de son environnement, basé sur un haut degré de technicité et sur l’observation de terrain. Ce mode de production varié, souvent idéalisé, n’en est pas moins complexe et exigeant. Pour être maraîcher bio et assurer la continuité et la viabilité de son exploitation, il faut un large panel de compétences techniques et organisationnelles afin d’assurer une production régulière et de qualité mais aussi des compétences commerciales pour choisir des modes de vente adaptés et valoriser la production. Le métier de maraîcher est attrayant et passionnant mais requiert un investissement personnel important notamment les premières années. S’installer dans de bonnes conditions demande une attention particulière dans ses choix de foncier et de matériel, une stratégie commerciale et de communication bien étudiée, de la rigueur dans l’organisation du travail et la gestion de la ferme pour parvenir à vivre de son métier tout en dégageant des plages de repos indispensables. -
S'installer en maraichage : guide pratique
Une installation en maraîchage nécessite des surfaces moins importantes que la plupart des activités agricoles. Mais contrairement à une idée reçue, qui consiste à dire que l’on peut s’installer en maraîchage bio « pour pas cher », vivre dignement du maraîchage bio nécessite un investissement financier et humain important. Accepter la réalité de cette idée est déjà un point de réussite du projet d’installation. Le maraîchage permet de répondre à une demande locale et régulière du marché. De plus, la demande croissante des consommateurs en légumes issus de l’agriculture biologique est plus que jamais une réalité. Le maraîchage bio a ainsi de l’avenir devant lui. Il faut en étudier les points clés de réussite individuelle et collective. Le travail en commun, le partage des acquis et de l’expérience entre maraîchers sont incontournables pour consolider l’existant et maintenir une dynamique d’installation au service de territoires vivants. -
Maraichage : organiser sa production en maraichage biologique
Le maraîchage biologique demande un savoir-faire et des compétences importantes puisqu'il s'agit de produire jusqu'à 50 légumes par an sans parler des différentes variétés. Maîtriser sa production maraîchère repose donc sur plusieurs piliers de l’organisation que nous détaillerons dans les chapitres suivants et qui méritent d'être mis en pratique par tout maraîcher désirant être efficace. La réflexion doit en grande partie se faire durant la préparation de l'installation ou pour les personnes déjà en production durant la période hivernale quand les interventions en culture sont plus calmes. -
Les étapes de la planification des cultures en maraichage bio
Ce guide détaille les étapes de la planification des cultures maraichères biologiques. Il propose de manière générale les techniques à mettre en place pour réussir sa culture en bio. -
Effets de biofertilisants à base de Tithonia diversifolia et de Thevetia neriifolia sur la production de la laitue en Côte d’Ivoire
La recherche d’alternative fiable et efficace aux fertilisants minéraux est une nécessité pour une agriculture durable. La présente étude a été réalisée pour évaluer le potentiel fertilisant des feuilles de Tithonia diversifolia et de Thevetia neriifolia sur la culture de la laitue (Lactuca sativa). Trois traitements, constitués de feuilles fraîches hachées de Tithonia diversifolia (frais), de purin de feuilles de Tithonia diversifolia (liquide) et de purin de feuilles de Thevetia neriifolia (liquide), ont été appliqués aux plants de
laitue et comparés à un témoin. Les rendements de laitue obtenus avec les apports de biofertilisants à base de T. diversifolia liquide et T. diversifolia frais ont été élevés respectivement de 19,6 et 18,8 t/ha de biomasse fraîche de laitue comparativement aux feuilles de Thevetia (18,5 t/ha) et au témoin (13,9 t/ha). Tithonia diversifolia pourrait être utilisée pour la mise en place d’un biofertilisant efficace en culture maraîchère. -
Effet de Tithonia diversifolia sur le rendement de maïs (Zea mays, L.) dans les conditions agro-écologiques de Benalongo dans le territoire de Mweka, Province du Kasaï Central
L’amélioration de la productivité des sols en zone forestière dans le territoire de Mweka, Province du Kasaï central peut être possible grâce aux intrants locaux présents dans le milieu. Cette étude est menée dans le but d’évaluer l’effet de biomasses des feuilles de Tithonia diversifolia dans la restauration de la fertilité du sol et sur le rendement du maïs. L’étude a été conduite pendant deux ans soit quatre campagnes à raison de deux campagnes par an (grande et petite saison) dans les conditions agro-écologiques du territoire de Mweka dans la Province du Kasaï central. Les résultats obtenus indiquent que les feuilles de Tithonia diversifolia peuvent être utilisées comme un bon fertilisant organique. Des différences très significatives (p ˂ 0,01) ont été obtenues entre les différents traitements en ce qui concerne les rendements de maïs, variant de 681 à 4188 kg.ha-1. Tous les paramètres étudiés (hauteur des plants, diamètre au collet, surface foliaire, le poids de mille grains), ont connu un accroissement positif pour tous les traitements par rapport au témoin. Les doses de 0,5 kg/m2et 0,6 kg/m2 de Tithonia diversifolia étaient les meilleures et les plus performantes ; preuve des effets bénéfiques des feuilles de Tithonia diversifolia dans le sol. L’application de ces biomasses dans le sol deux semaines avant le semis du maïs joue ainsi un rôle important sur les propriétés physiques et chimiques du sol en entraînant l’augmentation du rendement du maïs grain de l’ordre de 4,188T/ha par rapport au témoin (sol non traité) : 0,681 T/ha à 4,188T/ha. -
Les biostimulants
Les biostimulants ont la particularité de favoriser
la croissance et le développement de la culture,
ses racines et l’ensemble de ses parties aériennes
(tiges, feuilles, fleurs, fruits …) sans apporter
d’éléments nutritifs en quantité significative. -
Biofertilisant organique sous forme liquide et solide
Un sol sain contient de nombreux bons microbes et vers de terre. Les bons microbes rendent le sol meuble, riche, fertile et protègent les plantes des maladies. Les biofertilisants augmentent les bons microbes et les vers de terre dans le sol. -
Le bokashi
Le bokashi est une sorte de «compost thermique». Il peut se présenter sous forme «mûre » ou « semi-crue ou crue ». Il constitue un amendement pour les sols. -
Effets de modèle de fertilisation bio sur la croissance de deux cultivars de Moringa oleifera Lam.
La culture de Moringa oleifera au Niger constitue une activité d’appoint à l’agriculture pluviale caractérisée par une baisse des rendements due à la dégradation du sol. L’étude a été conduite dans la Commune de Kanembakaché avec l’objectif d’évaluer les effets des modèles de bio-fertilisation sur la performance agronomique et foliaire de deux variétés de M. oleifera.