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Cahier du formateur : Techniques de production de cultures maraîchères -- Aubergine
Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés chargés du renforcement des capacités des producteurs de la PI. Il sert de guide aux formateurs afin de parfaire leurs compétences dans la production de l' aubergine . Ce cahier encourage une approche à la formation axée sur la compétence qui se fonde sur les principes de l’apprentissage des adultes. -
Comment lutter contre le Striga et les foreurs de tige du maïs ?
Cette fiche technique offre quelques conseils pour lutter contre le striga -
Comment reconnait-on la chenille du maïs ?
Cet élément vocal est tirée d'une émission radio diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
En 2016, une nouvelle chenille est arrivée en Afrique. Elle s’est répandue dans de très nombreux pays (Nigeria, Bénin, Togo, Afrique du Sud, etc.) où elle a fait des dégâts très importants sur le maïs. Cette chenille est appelée chenille du maïs et a pour nom scientifique Spodoptera frugiperda. Elle a été trouvée pour la première fois sur le maïs en novembre 2016 à Torodi et à Maradi. Depuis, elle se trouve dans toutes les régions du Niger.
Les éléments en langue Zarma :
- 1. Comment reconnaît-on la chenille du maïs ?
- 2. Quels sont les dégâts provoqués par Spodoptera ?
- 3. D’où vient Spodoptera et où se trouve-t-elle au Niger ?
- 4. La chenille du maïs est aussi un danger potentiel pour nos céréales
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre la chenille du maïs ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
La chenille légionnaire du maïs Spodoptera frugiperda
En 2016, une nouvelle chenille est arrivée en Afrique. Elle s’est répandue dans de très nombreux pays (Nigeria, Bénin, Togo, Afrique du Sud, etc.) où elle a fait des dégâts très importants sur le maïs. Cette chenille est appelée chenille du maïs et a pour nom scientifique Spodoptera frugiperda. Elle a été trouvée pour la première fois sur le maïs en novembre 2016 à Torodi et à Maradi. Depuis, elle se trouve dans toutes les régions du Niger. Encore plus grave, cette chenille a attaqué le mil en saison des pluies à Maradi (plusieurs milliers d’hectares) mais aussi à Torodi. Elle est donc un véritable danger potentiel pour les cultures céréalières et il faut la connaître pour pouvoir lutter contre elle. -
Tsutsar masara da ake cema da turanci : Spodoptera frugiperda
A shekara ta 2016, wata sabuwar tsutsa ta bayana a kasar africa,wanan tsutsar.ta.mamaye.kasashen.africa da dama kamar su nigeria,benin,togo,africa ta kudu da sauran su ; tsutsar masara.spodoptera frugiperda tayi banna sosai a cikin gonankan masara. Wannan tsutsar masara ana.ce mata spodoptera frugiperda a turance,an ganota ne a karon farko jikin masara a garin torrodi.da maradi shekara ta 2016 ;tun daga wanan lokaci sai ta bazu a dukan fadin kasa. Abun.al’ajabi wanan tsutsar bata tsaya ga masara kadai ba, a lokacin daminar bara a garin maradi da.torodi ta apkama gonankan hatsi inda tayi bana sosai ;wanan tsutsa dai babbar matsala ce ga hatsi.da dawa, ya kamata manoma su nemi saninta don su yaketa. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’aubergine et de la pomme de terre
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture de l'aubergine et de la pomme de terre. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
ALERTE Spodoptera frugiperda une nouvelle chenille, ravageur du maïs
Cette chenille originaire d’Amérique a été observée pour la première fois en Afrique de l’Ouest en janvier 2016, au sud du Nigeria où elle a causé d’importants dégâts. En août 2016, la presse béninoise avance le chiffre de 30.000 à 40.000 ha de maïs détruits dans les régions du Nord Bénin. La chenille a également fait d’importants dégâts au Nigeria et au Togo. Fin novembre 2016, elle est signalée à Torodi (Région de Tillabéri), et également à Dosso. Il s’agit de la larve d’un papillon à moeurs nocturnes de la famille des Noctuidés ou noctuelles. Les insectes de cette famille sont malheureusement bien connus des producteurs car elle comprend les ravageurs les plus dévastateurs des cultures comme par exemple la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera). -
Taille et conduite des aubergines
Conseils pour la taille de l'aubergine -
Insectes ravageurs au champ : guide d'identification
Ce guide pratique permet d'identifier les principaux ravageurs du maïs. -
Guide technique sur les nuisibles de la banane plantain, le maïs, le manioc et la tomate.
Une bonne connaissance des nuisibles des cultures est nécessaire pour permettre une meilleure gestion de leurs effets néfastes. La maîtrise des nuisibles nécessite par ailleurs la mise en place d’une stratégie de protection
intégrée et d’utilisation rationnelle des pesticides, afin de préserver l’environnement et de réduire les cas d’intoxication des utilisateurs et des consommateurs. -
Fiche technique : Reconnaissance des ravageurs du maïs en stockage au Bénin et méthodes de lutte
Cette fiche technique enseigne comment reconnaître et lutter contre les ravageurs du maïs stocké -
Fiche technique : Reconnaissance des ravageurs du maïs en culture au Bénin et méthodes de lutte
Cette fiche technique montre comment reconnaître et lutter contre les principaux ravageurs du maïs -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection de l'aubergine et de la pomme de terre
Les maladies de plantes c'est comme le paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu’on est très malade -
Conseiller en maraîchage / Visite du site de Lougoudjam
Lougoudjam est un village qui se situe dans l’arrondissement communal Niamey 5 sur un grand kori qui se jette dans le fleuve Niger juste en amont de Niamey (rive droite). Ce village regroupe de nombreux maraichers avec comme source d’eau d’irrigation des puits traditionnels confectionnés par eux-mêmes.
Les producteurs ne sont pas membres d’une organisation de producteurs. Les sites maraichers sont connus pour leur production d’aubergine. La note traite des sujets suivants : des apports de fertilisants sur aubergine sans enfouissement, la calebasse – courge de moins en moins cultivée, les orientations à donner et actions à mettre en place.
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Evolution du prix de gros de l’aubergine pendant trois ans sur les marchés de Niamey (Djémadjé, Harobanda)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 45 (début novembre) de l’année 2017. Les informations présentées portent sur 135 semaines suivies.
Ce suivi de l’aubergine concerne les marchés de Djémadjé et Harobanda qui sont les marchés de gros de Niamey pour ce produit. L’aubergine commercialisée sur les marchés de Niamey est produite dans la ceinture maraîchère de Niamey, principalement sur la rive droite du fleuve et dans la région de Tillabéri (Toulouaré Boulandjam, Bitinkodji et Kobadjé). A partir de la rive droite, l’aubergine arrive directement sur le marché de Harobanda, puis une partie est acheminée vers le marché de Djémadjé. -
Insectes ravageurs du maïs : guide d'identification au champ
Le maïs se range parmi les trois plus importantes cultures céréalières du monde, les deux autres étant le blé et le riz. Sa diversité génétique est si grande qu'il est cultivé sous une très large gamme d'environnements, depuis l'équateur jusqu'à environ 50 0 de latitude nord, 42 0 de latitude sud et à une altitude atteignant 3 800 mètres. Les facteurs limitant la production du maïs sont également variés, notamment les insectes et les ravageurs apparentés comme les acariens. -
Effet combiné de la disposition et du niveau de coupe des plants de Moringa oleifera sur le rendement en fruits de l’aubergine
L’association de l’espèce ligneuse Moringa oleifera et des cultures maraîchères est devenue une forme d’utilisation des terres permettant aux exploitants de faire un usage judicieux des terres surexploitées. Aussi, parmi les cultures associées au M. oleifera figure aujourd’hui Solanum melongena (aubergine). Cette étude a pour objectif de passer en revue l’effet combiné des facteurs disposition et niveau de coupe des plants de M. oleifera sur les rendements en fruits de S. melongena. Ces facteurs comprennent respectivement trois et deux niveaux. Ainsi six (6) traitements A1B1, A1B2, A2B1, A2B2, A3B1 et A3B2 et un traitement témoin (T) ont été utilisés. -
Les cultures maraichères
Pour étudier les cultures maraîchères et les cultures légumières, il s’avère nécessaire de connaître l’agriculture et ces différentes branches. L’agriculture : ensemble des activités destinées à tirer de la terre les productions des animaux et des végétaux utiles à l'homme, notamment sur le plan alimentaire. L’horticulture : science et art de la culture des fruits, des légumes, des fleurs, des arbustes et des arbres fruitiers ou ornementaux. Le domaine d’horticulture renferme plusieurs spécialités notamment : Les cultures maraîchères : c’est la production intensive de légumes et primeurs, et celui qui cultive les légumes s’appelle un maraîcher. C’est en effet du mot marais que vient le mot maraîchage : qui est un terrain qui s’étend des marécages (d’abords en un lieu bas et humide où les masses d’air ont des variations de pression très faibles) consacré à la culture des légumes, il est très humifère, tourbeux, riche en azote et convient très bien aux légumes et surtout les légumes feuilles. On parle aussi des cultures maraîchères primeurs, de saisons et contre saison. -
Guide pour la production de semences d’aubergines africaines
Ce guide présente brièvement les itinéraires de production de semences d’aubergines africaines pour une disponibilité des semences en quantité et en qualité. -
Recherche et étude génétique de la resistance de l’aubergine africaine (Solanum aethiopicum L, spp Kumba) aux acariens phytophages
Les légumes de type africain, qui pendant longtemps ont été considérés comme secondaires, sont de nos jours progressivement pris en compte aux niveaux national et international. Ceci s’explique par leur valeur nutritive dans l’alimentation des zones rurales et le risque réel d’érosion génétique dont ils sont aujourd’hui menacés. Les aubergines africaines regroupent plusieurs espèces dont Solanum macrocarpon,S. anguivi et S. aethiopicum. Cette dernière, appelée jaxatu au Sénégal, est très répandue en Afrique sous diverses formes variétales, et porte différents noms vernaculaires suivant les ethnies et les pays.