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Carte des acteurs – PromAP Composante 1
Ce document présente les acteurs du PromAP par composantes. -
Mission de pré-identification - Programme d'appui aux acteurs non étatiques - 9ème FED - Etat des lieux des acteurs non étatiques au Niger
Ce rapport de mission présente une analyse des acteurs non étatiques (ANE) au Niger, afin de contribuer à l’identification d’un futur programme d’appui à ces acteurs. Ce programme devrait les renforcer, pour augmenter leurs capacités de contribuer à la lutte contre la pauvreté. -
RECA-Niger
Site institutionnel du Réseau National des Chambres d'Agriculture du Niger (RECA) -
Le warrantage au Niger : un moyen de financement de l’agriculture et de sécurité alimentaire : cas du village de Dantchandou
L’objectif de cette étude est de montrer comment le warrantage pourrait contribuer au financement de l’agriculture et à la sécurité alimentaire dans un pays à secteur agricole structurellement déficitaire. La méthodologie a consisté à une recherche documentaire, la collecte de données secondaires et des enquêtes et observations sur le terrain. Le choix de la zone d’étude a été guidé par le désir de comprendre la pratique du warrantage par des petits producteurs, composés majoritairement des femmes, dans une zone en situation d’insécurité alimentaire récurrente. L’étude est parvenue à la conclusion que le warrantage ne permet pas un financement significatif de l’agriculture chez des producteurs en déficit de production. Cependant, il apparaît comme un bon moyen de sécurisation de revenu et de responsabilisation des paysans. -
Renforcer les capacités des réseaux d’organisations agricoles par l’analyse de l’évolution du prix des céréales locales au Burkina, Mali et Niger durant la période 2001-2010… et ses incidences sur le warrantage au Niger.
Cette étude analyse l’évolution des prix des céréales au Burkina, au Mali et au Niger afin de contribuer à la détermination de points d’alerte susceptibles d’aider les OP dans la prise de décision. Plus spécifiquement, le document met en cause quelques idées reçues, notamment celle la plus couramment utilisée pour la gestion des stocks céréaliers au Sahel : les prix seraient bas à la récolte pour augmenter jusqu’à la soudure. Partant de cette hypothèse, il est fréquemment recommandé aux OP de stocker à la récolte et de déstocker six ou huit mois plus tard, pour profiter d’une période de vente, soi-disant plus favorable. Ainsi, le système du warrantage qui repose sur ce principe est souvent conseillé aux producteurs comme étant une opportunité de commercialisation. Cependant, les producteurs ne sont pas certains de « gagner » à tous les coups, contrairement à d’autres acteurs. La lecture et une véritable « étude » de ce document sont absolument à conseiller à tous pour sortir des idées toutes faites ou évidentes, et mieux conseiller les producteurs pour une bonne valorisation de leurs récoltes. -
Etude de cas du warrantage au Niger (septembre 2014)
Niger est un pays dont les grands produits vivriers sont le mil, le niébé et l’arachide. Il produit aussi environ 75.000 de riz par an, mais dépend surtout des importations. En outre, il faut remarquer que le Niger est le deuxième producteur d’oignon en Afrique de l’Ouest après le Nigeria, et le plus grand exportateur dans la région. Les variations saisonnières des cours de marché sont en moyen plus prononcées pour les oignons (beaucoup plus de 100% sur les prix de récolte) et le niébé (autour de 50%), mais relativement modestes pour les céréales et les arachides et assez minime pour le riz. La plupart du crédit warranté impliquant des produits agricoles locaux au Niger est le warrantage communautaire. On trouve aussi une quantité significative d’entreposage en tierce détention qui est discuté brièvement. -
Le warrantage au Niger, pour renforcer la trésorerie des paysans
Le warrantage, ou « crédit stockage », est une technique qui permet aux paysans de mieux valoriser leurs produits agricoles tout en sécurisant le financement rural. Il connaît un franc succès au Niger, où il a été introduit il y a plus de 10 ans. -
Les règles pour réussir le warrantage
Pour réussir le warrantage les SFD et les OP doivent respecter les règles suivantes, afin d’éviter les malentendus. Pour les deux parties, il est visé la rentabilité et le développement durable de ce type de crédit garanti. -
Le développement du Warrantage au Niger
Le colloque organisé à Paris en décembre 2007 par la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) sur « Microfinance pour l’agriculture dans les pays en développement » a consacré un atelier aux produits et procédures susceptibles d’améliorer la réponse de la microfinance aux besoins de financement des agriculteurs. L’expérience du Niger en matière de warrantage a été présentée par M. Sani Boubacar (Projet Intrants FAO) et M. A. Olofson (FAO). Ce BIM présente une version abrégée de la communication de M. Sani Boubacar. L’original complet de cette communication, ainsi que la communication de M. Olofson sont disponibles auprès de la fondation Farm. -
Décret relatif à l’entrepôt au récépissé d’entrepôt et au warrant
Le présent décret a pour objet de règlementer les entrepôts, les récépissés d’entrepôt et le warrant. Il s’applique aux récépissés d’entrepôt, aux warrants, aux entrepôts de stockage de marchandises ayant reçu l’agrément de l’organe de régulation pour émettre lesdits récépissés ainsi qu’à toutes les personnes concernées par l’entreposage, les récépissés et les warrants. -
Supports de formation et d’animation sur la thématique de la production agricole
Un guide opérationnel destiné à tous les acteurs concernés par les questions de financement de l’agriculture et ayant pour objectif d’appuyer la construction d’une nouvelle alliance entre OPA et institutions financières. Il présente de manière détaillée les étapes d’une démarche visant à i) renforcer la capacité de OPA et des institutions financières à analyser les besoins et contraintes de financement de l’agriculture ii) consolider les capacités de ces acteurs à choisir et à proposer aux agriculteurs un accès efficace, équitable et viable aux services financiers iii) formaliser un cadre de réflexion et d’action pour construire des partenariats permettant un financement durable des agricultures familiales du Sud. -
Fonds Vert pour le Climat
Le Fonds Vert pour le Climat est une facilité globale dédiée à aider les pays les moins avancés à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et s'adapter aux changements climatiques -
GiZ
Présentation de l'action de la Giz dans le monde et au Niger -
Ecodata
ECODOTA est un Organisme d’Intérêt Général, initié par des dirigeants d’entreprises engagés, pour soutenir des projets d’avenir.
Organisme à but non lucratif et dédié à des actions sociétales, ECODOTA est un Fonds de Dotation, créé en septembre 2016. Tout comme une fondation ou une association d’utilité publique, un Fonds de Dotation collecte des fonds d’origine privée pour réaliser une mission d’intérêt général. -
FINANSOL
Association portant un label "finance solidaire" -
Swiss contact
Programmes et projets de swiss contact au Niger -
Niger, Foire sur le financement de l'Agriculture
An Niger, le financement du secteur agricole reste une préoccupation , malgré la place qu'il occupe dans l' économie du pays.Le Réseau Agri Pro Focus a donc privilégié dans son programme depuis plusieurs années, la sensibilisation des jeunes pour qu'ils s'intéressent au secteur agricole.. -
Document de la Facilité 1 du FISAN : Soutien au Crédit Agricole
Le présent document de stratégie est relatif à la Facilité 1 du FISAN. Cette facilité porte sur un appui public au financement de l’agriculture, via le crédit. Elle vise à développer une politique incitative de financement de l’initiative privée, afin de promouvoir une agriculture plus performante. -
Organisations professionnelles agricoles et institutions financières rurales : Construire une nouvelle alliance au service de l’agriculture familiale
Ce guide opérationnel se veut un outil d’appui à la construction du partenariat entre organisations professionnelles agricoles et rurales, et institutions financières. Il est issu de travaux de recherche, d’appui au développement et de formations conduits principalement en Afrique de l’Ouest et à Madagascar dans les dix dernières années, avec des éclairages développés plus récemment sur l’Asie du Sud-Est et l’Amérique latine. -
Etat d'avancement des cibles du programme de renaissance II
Le présent état d'avancement traite des points suivant,maison du paysan,promotion des filières,maîtrise de l'eau -
Rapport de l'Etude de capitalisation du projet Initiative Eau et Sécurité Alimentaire en Afrique - Niger
L’IESAII vise à améliorer la sécurité alimentaire et la résilience aux changements climatiques des populations les plus vulnérables des zones rurales via la maitrise de l’eau et le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des producteurs. Il devrait contribuer également à améliorer durablement les revenus, l’alimentation et la nutrition des groupes cibles via l’intensification, la diversification, la valorisation de la production agricole, et le renforcement des capacités des acteurs. Les activités proposées répondent au souci du Gouvernement du Niger à développer le secteur rural et à soutenir ses efforts en matière de sécurité alimentaire. Les activités s’inscrivent plus particulièrement dans la perspective de l’atteinte de l’objectif global de la stratégie de l’initiative 3N. Le Projet contribue à la réalisation des priorités et produits du document cadre de programmation de pays (CPP) de la FAO. Le projet est aligné aux cinq (5) axes de priorité de la Coopération espagnole. -
Evaluation finale de l’action du projet PASE - Rapport définitif de l’évaluation finale
Le Projet d’Accès aux Services Energétiques (PASE) constitue la phase pilote d’expérimentation dans la commune rurale de SAFO au Niger. Il est cofinancé par la Facilité Energie II de l’Union Européenne et le fonds GEF/PNUD. Le document n’est pas un rapport d’activités, encore moins un document de projet détaillé qui a vocation de détailler la mise en œuvre du projet ou les terminologies qui entourent la conception ou la mise en œuvre de ce projet. Il constitue le résultat de l’évaluation finale du projet et les principales conclusions ainsi que les analyses qu’il contient, sont formulées sous la seule responsabilité des évaluateurs. Elles sont indépendantes du point de vue officiel des différentes institutions partenaires du projet. -
Conception d’un programme d’opérations cofinancées
PAM-FIDA dans les régions de Maradi, Tahoua et ZinderLe PAM et le FIDA ont déjà collaborés au cours de plusieurs projets au Niger, et notamment à travers des opérations de Cash For Assets (CFA). Le succès de ces opérations a motivé les deux agences à étendre leur partenariat aux trois régions d’intervention du FIDA, à savoir Maradi, Tahoua et Zinder, sur le principe de la complémentarité entre leurs actions. En effet, plutôt que de superposer les interventions sur de mêmes sites, il parait plus judicieux de les mutualiser en favorisant les avantages comparatifs de chaque PTF. Dans ce cadre le PAM prend en charge la réalisation physique des ouvrages, et le FIDA la réalisation biologique (végétalisation et suivi).
Cette mission a ainsi été mandatée pour mener une analyse de la méthodologie du Cash For Assets/Food for Assets (CFA/FFA), capitaliser les expériences postérieures de partenariat entre le PAM et le FIDA au Niger. -
Étude sur le financement des filières agricoles dans les pays membres de l'UEMOA
Au cours des dix dernières années les résultats économiques du Niger ont été peu satisfaisants malgré l'adoption de plusieurs programmes d'ajustement structurels. En terme réel le PIB a diminué de 0,5% par an depuis 1990. De1960 à 1973, le secteur rural a fourni l'essentiel des besoins financiers de l’État, la priorité étant accordée aux produits d'exportation : L'arachide, le coton et le bétail. -
Programme d'action national de lutte contre la désertification
Avec une superficie de 112 622 km2, le Bénin est un pays aux caractéristiques géographiques et climatiques variées. Sa population d'environ 6 millions d'habitants est concentrée dans la zone méridionale où se rencontre une végétation dégradée. On estime que 12% environ du territoire sont couverts de forêt semi-décidue, de forêt claire et de savane arborée. -
Programme d'activités et budget prévisionnel 2005
Le projet d'Appui au Développement Local dans la région de Diffa (PADL-Diffa) sera exécuté sur une période de six ans (2004-2009). Conformément au programme d'activités 2005 établi par la Cellule de Gestion du projet (CGP), cet exercice budgétaire sera consacré essentiellement à la réalisation d'actions prioritaires pouvant être menées au cours de cette période et qui serviront d'ancrage à la bonne exécution du projet. -
Programme d'activités 2003
Le Programme d'Activités 2003 du Projet de Promotion des Exportations Agro-Pastorales couvre la période allant du 1er janvier au 31 décembre 2003. Il présente les activités programmées par l'Unité de Gestion du Projet qui seront réalisées avec la participation de différents partenaires, dont les services de l'Etat, les projets, les opérateurs intervenant dans l'une ou plusieurs de filières concernées, les bureaux d'études, les consultants, les établissements de recherche et de formation, les ONG etc. -
Plan de Travail et Budget Annuel 2018 : 01 Janvier-31 Décembre 2018
Le PACRC est l'un des quatre projets du PSRC. Il a pour objectif de développement "l'amélioration de la protection des populations et des systèmes de productions face à la modification et à la variabilité du climat dans les communes cibles". -
Projet de Plan de Travail Intérimaire : Juin-Décembre 2005
Initié par le Gouvernement du Niger, appuyé par ses partenaires au développement notamment le FIDA et l'AFD et s'intégrant dans la stratégie nationale de lutte contre la pauvreté, le Programme de Développement des Services Financiers Ruraux a pour objectif global d'améliorer le niveau de vie des populations rurales à travers le développement du secteur de la micro finance au Niger. -
Programme de Travail et Budget Annuel: PTBA 2012
La deuxième phase du Programme d'Actions Communautaire (PAC II) a pour objectif i) d'améliorer les capacités des communes à concevoir et à mettre en œuvre, de façon participative, des Plans de Développement Communaux (PDC) et des Plans d'Investissement Annuel (PIA) dans le but d'améliorer les conditions de vie en milieu rural et ii) de réduire la dégradation des terres et de promouvoir la gestion durable des terres (GDT) au Niger. -
Bilan à mi-parcours du programme de renaissance à la date du 30 juin 2013
Le Programme de Renaissance de son Excellence Elhadji Issoufou Mahamadou, Président de la République, Chef de l'Etat est conçu autour de huit axes dont l'initiative 3N, "les Nigériens Nourrissent les Nigériens". -
Projet de plan de travail intérimaire : Juin - Décembre 2005
Initié par le Gouvernement du Niger, appuyé par ses partenaires au développement notamment le FIDA et l'AFD et s'intégrant dans la Stratégie nationale de lutte contre la pauvreté, le Programme de Développement des Services Financiers Ruraux a pour objectif
global d'améliorer le niveau de vie des populations rurales à travers le développement du secteur de la micro finance au Niger. -
Les pôles de croissance agricole : la panacée aux maux de l'agriculture africaine?
La promotion des « partenariats public-privé » comme stratégie de financement du secteur agricole en Afrique s’amplifie. Elle répond à la volonté d’une transformation de l’agriculture jugée «traditionnelle» en une agriculture à forte mobilisation de capitaux, capable d’accélérer la croissance agricole et de répondre à la demande alimentaire. Cette orientation vers les investissements privés se matérialise par différentes approches dont celle des pôles de croissance agricole ou agropoles. Bien que ces processus connaissent des avancées différentes selon les pays, ils suscitent déjà plusieurs débats autour du modèle agricole entrepreneurial à grande échelle promu et de sa capacité à répondre aux défis actuels des économies et des sociétés africaines. Quelles sont les réalités autour des agropoles? Favorisent-ils réellement le développement de filières compétitives et inclusives des exploitations familiales ? Quels sont les risques induits par ces approches pour l’agriculture familiale ? Après un rappel du processus d’émergence des pôles de croissance en Afrique, ce bulletin présente un état des lieux de leur mise en œuvre dans deux pays, le Burkina et le Cameroun, et analyse leurs premiers impacts et risques potentiels. -
Le crédit à l'agriculture, un outil-clé du développement agricole
Un développement économique et social équilibré et durable s’appuie, dans ses premières étapes, sur une agriculture solide. Cela implique l’injection de capitaux très importants, impliquant une montée en puissance du crédit agricole. La plupart des études montrent que l’inadéquation entre l’offre et la demande de crédit agricole est l’une des raisons de la faiblesse de la productivité agricole dans les pays en développement, particulièrement en Afrique. Ce sujet a fait l’objet de plusieurs publications de l’Agence française de développement (AFD) et de la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM). Il était au cœur d’un atelier technique organisé par l’AFD en février 2015, réunissant seize dirigeants d’institutions dévolues au financement de l’agriculture en Afrique subsaharienne, au Maghreb et dans les Caraïbes. La présente Note présente une synthèse de ces différents travaux et études. -
Rapport sur la revue des expériences de récépissés d'entreposage et de warrantage pour le financement de l'agricultuure en Afrique de l'Ouest
L’économie de la quasi - totalité des pays de l’Afrique de l’Ouest repose en grande partie sur l’agriculture qui contribue énormément au PIB et emploie la majeure partie de la population active. Malgré le rôle moteur qu’elle peut jouer dans le développement économique des pays, il y a une réticence généralisée des institutions financières à financer les activités de production et d’investissement des acteurs des différentes chaînes de valeur agricoles, surtout les producteurs. En effet, le secteur agricole est considéré comme très risqué à cause des aléas climatiques dont il dépend et surtout des risques de coordination économique. Tous les acteurs sont convaincus de la nécessité de trouver de nouveaux mécanismes innovants de financement qui sécurisent à la fois les interventions des institutions de financements et les revenus des producteurs. -
Rapport du voyage d’échange des acteurs de la pêche du Niger au Centre national de spécialisation de la pisciculture au Nigeria
Les Programmes de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO ou WAAPP en anglais) ont été mis en place par la CEDEAO avec l’appui de la Banque Mondiale. Ils concernent actuellement 13 pays de la CEDEAO dont le Niger et le Nigeria. Ils ont pour objectif d’augmenter la productivité des filières prioritaires de chaque pays en favorisant l’élaboration de technologies par la recherche, le transfert des technologies et de créer dans chaque pays un Centre national de spécialisation (CNS) sur une filière prioritaire avec vocation régionale. Aucun pays de la CEDEAO n’a les ressources suffisantes pour être performant sur toutes les chaînes de valeur, aussi dans le cadre de l’intégration régionale en matière d’agriculture, d’élevage et d’aquaculture, chaque pays peut se spécialiser sur un produit ou un groupe de produits et faire bénéficier les autres pays de ses résultats. -
Projet de développement de l'élevage dans la zone du Liptako Gourma -
Analyse diagnostique et situation de référence - composante C : commercialisationL'aménagement des marchés à bétail est un élément important pour la maitrise et la revalorisation de l'apport du secteur de l'élevage à l'économie de la région et du pays tout entier. Le commerce traditionnel du bétail sur pieds doit aujourd'hui évoluer et devenir plus formel. -
Projet de développement de l'élevage dans la zone du Liptako Gourma - Analyse diagnostique et situation de référence. Composante D : Pistes rurales
Le présent rapport constitue pour la phase 1, une 1er étape (préliminaire), rédaction des questions d'aménagement issues de l'exploitation des données d'observations et discussions lors des sur le terrain et des documents consultés pour la réalisation de cette étude; elle devrait permettre aux promoteurs de se fixer sur l'opportunité du projet en son volet pistes rurales. -
Atelier sur le partenariat entre organisations paysannes et institutions de microfinance
Au Niger comme dans la plupart des zones rurales d'Afrique de l'Ouest, les banques commerciales ne sont que faiblement accessible et restent très réticentes à financer l'Agriculture. La microfinance est alors souvent la seule alternative formelle d'accès au financement pour les organisations paysannes et la question des conditions de partenariat entre OP et IMF se pose donc avec acuité. -
Audit comptable et financier des comptes du projet de promotion de l'irrigation privée (PIP II) pour la période allant du 1er Janvier 2007 au 31 Décembre 2007 : lettre de contrôle interne
L'objectif de cette évaluation est de déterminer la nature, le déroulement et l’étendue des procédures de révisions nécessaires à l'expression d'une opinion sur les états financiers présentés par le PIP 2. Nos travaux sont par conséquent, plus limités qu'une étude qui aurait pour objectif l'expression d'une opinion sur le système de contrôle interne pris dans son ensemble. -
Bilan des actions du ministère du développement agricole : période 2000-2004
Dans ses efforts de développement agricole, le Niger est confronté à d'énormes contraintes liées principalement à l'expansion démographique, à la forte pression exercée sur les ressources naturelles et au caractère aléatoire de la pluviométrie qui ont des répercussions néfastes sur la production et la sécurité alimentaire de la population. -
Code de financement du projet de lutte contre l'insécurité alimentaire dans la région de Tillabéri
Le Gouvernement a approuvé depuis novembre 2003 la Stratégie de Développement Rural (SDR). Ce document de référence qui lui meme est une émanation de la Stratégie de Réduction de la Pauvreté (SRP) est, la conséquence de ce que le secteur rural est d'une importance capitale dans l'économie du pays. Nonobstant ce role de premier plan que devrait jouer ce secteur, des enjeux réels existent subsistent dont entre autre : i) La faiblesse des systèmes de production ; ii) L'accroissement de la compétitivité pour l'accès aux ressources naturelles ; iii) L'exploitation minière des ressources naturelles ; iv) La croissance de la production céréalière (2,5%) par an inférieur à celle de la population 3.1 %. -
Code de financement et de modalités d'appels à proposition conjoints pour le financement des investissements dans le secteur agricole
Le Ministère de l'agriculture du Niger ambitionne élaborer le présent code de financement en d'encadrer les pratiques en matière de financement des investissements agricoles. Les différents mécanismes existant, reprise par le MEG des instruments essentiels pour l'atteinte des objectifs de développement du secteur agricole. -
Projet d'Appui au Développement du Secteur Rural dans les régions de Dosso et Zinder : PASDR Zinder
Le présent devis programme de démarrage est élaboré dans le cadre de mise en œuvre du << Projet d'appui au développement rural dans les régions de Dosso et Zinder>>. L'objectif général du projet est de contribuer à assurer la sécurité alimentaire en favorisant un développement agricole durable et en améliorant l'accès des populations rurales aux opportunités. -
Dossier d'Appel d'Offre National N° 001/2008/TRV/PADL-Diffa pour la réalisation de sept (7) ouvrages de contrôle de mares dans la région de Diffa
Le Gouvernement de la République du Niger a obtenu un pret du Fonds Africain de Développement pour financer le Projet d'Appui au Développement local dans la région de Diffa (PADL-Diffa) et envisage d'utiliser une partie des fonds pour les couvrir les paiements éligible au titre du marché pour la résilience de sept (7) ouvrages de contrôle de mares dans la zone d'intervention PADL-Diffa. -
Dossier de référence en irrigation
La mission de développement rural et agricole confié à BRL lui confère des responsabilités de maitrise d'ouvrage pour la création et la gestion des périmètres irrigués. -
État d'avancement du programme ASAPI au 31 Juillet 2005
Le Programme d'Appui à la Sécurité Alimentaire par la Petite Irrigation (ASAPI) fait suite à trois projets financés par l'Union Européenne et dont l'achèvement a eu lieu le 31 décembre 2000 : le PBVT (Projet de la Basse Vallée de la Tarka), le PPISZ (Projet Petite Irrigation Sud-Zinder et le PPOAF (Projet de Promotion des Organisations et Activités Féminines). -
État de mise en œuvre des activités du Projet de Développement Rural de Dakoro,
Le Projet de Développement Rural de Dakoro, Région de Maradi a pour objectif principal de contribuer à la réduction de la pauvreté à travers la réalisation des infrastructures de production agricole et pastorale ainsi que l'amélioration du cadre de vie des populations concernées. Il est financé par la Banque Arabe pour le Développement Économique en Afrique (BADEA) et le Gouvernement du Niger pour un montant total de Quatre Milliards cent soixante sept millions cinq cent mille (4.167.500.000) francs CFA. -
État de mise en œuvre du PAC3 dans la région de Dosso (2014-2015-2016) note d'information à l'intention de la 4èm mission de supervision du PAC III (étape de Dosso)
Le Programme d'Actions Communautaires (PAC) est dans sa troisième phase d'exécution après une première phase de quatre ans conduite de 2003 à 2007 et une deuxième également de quatre ans de 2009 à 2012. -
Rapport d'établissement de la situation de référence des indicateurs du PISA au 31/12/2016
L'étude s'inscrit dans le cadre du << Programme Petite Irrigation et Sécurité Alimentaire (PISA) financé par le Gouvernement du Niger et KFW. -
Evaluation finale et identification d'une deuxième phase du Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa (PADL/Da)
De manière, ce rapport relève des activités que le Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa a mené plusieurs activités entrant dans le cadre du développement Agricole de la région. -
Évaluation finale et identification d'une deuxième phase du Projet d'Appui au Développement Local dans la Région de Diffa (PADL/DA)
Au terme de huit années de mise en œuvre et la fin de la première phase, le PADL-Diffa a assez largement atteint les objectifs qui lui avaient été assignés. Le projet est pertinent par rapport aux politiques et stratégies du Niger au moment de sa formulation et il a été mis en œuvre de manière efficace. -
Formulation d'un Programme de Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle
La région concernée par le programme s'étend sur le Nord, l'est et en partie le centre du Burkina Faso, les trois régions du nord et en partie sur celle de Mopti au Mali, sur la région de Tillabéry et en partie la Commune Urbaine de Niamey et la région de Dosso au Niger. Elle couvre une superficie de 370.000 km² lorsqu'elle s'élargit à toutes les circonscriptions administratives des régions concernées. -
Manuel d'exécution du Projet PPAO
Une croissance annuelle de la production agricole des pays africains de l'ordre de 6% est nécessaire pour l'atteinte des OMD d'ici 2015. -
Note de présentation du bilan triennal d'exécution du Programme d'Actions Communautaire (PAC) et perspectives
Le Programme d'Actions Communautaire (PAC) qui est l'un des instruments importants de l’État du Niger en matière de la réduction de pauvreté de la pauvreté et de promotion de la décentralisation vient de terminer sa troisième année de mise en œuvre. -
Note d'information sur l’État d'avancement de la mise en œuvre des activités du PTBA 2015 pour la période de Janvier à Avril 2015
La vision et l'approche d'intervention du PPI Ruwanmu ont pour ambition de faire émerger une dynamique de Poles d'intervention de Développement Economiques (PDE) à travers lesquels les producteurs soutenus par les collesctivités locales s'organisent, aménagent et exploitent de manière rationnelle te durable les bassins de production en vue d'augmenter le revenu de 65.000 ménages ruraux (455.300 personnes). -
Rapport annuel d'activités 2011
Le présent rapport d'activité constitue le premier du genre dans le cadre de la mise en œuvre de la phase 2 du Projet d'appui au Programme Spécial de Sécurité Alimentaire. Il couvre la période allant d'octobre 2010 à décembre 2011. Il rend compte de toutes les activités menées dans le cadre de la mise en œuvre du Projet. Il comprend quatre principaux points : un premier point qui présente le contexte du projet, un second point consacré au bilan des réalisations financière, enfin le quatrième point présente un résumé succinct des réalisations à l'issue de la mise en œuvre du projet faisant ressortir également les contraintes et les difficultés ainsi que les recommandations. -
Rapport annuel d'activités 2012
Le présent rapport rend compte en détail des activités menées dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet au cours de cette année 2012. Le rapport comprend quatre principaux points : un premier point qui présente le projet; un deuxième point qui présente le bilan des réalisations physiques; un troisième point, relatif au bilan des réalisations financières et enfin quatrième point qui fait un résumé succinct des réalisations effectuées ainsi que les contraintes et difficultés rencontrées. -
Projet d'Appui aux Producteurs Agricoles de la Komadougou : Évaluation finale
Le Projet d'Appui aux Producteurs Agricoles de la Komadougou (PAPAK) s'inscrit dans cette logique de création d'une dynamique à la base avec comme point d'ancrage les organisations de producteurs. En tant que prolongement du volet agricole du Projet d'Appui à la Mutuelle N'Gada (1er Janvier 1998 au 31 décembre 2002) sur financement danois à travers la première phase du Projet ADDR, l'évaluation à mi-parcours a en effet recommandé de séparer la fonction technique (appui aux producteurs) de la fonction financière (appui à la Mutuelle). -
Rapport d'activités annuel 2015 du projet d'intensification des productions agricoles pour la sécurité alimentaire dans les régions de Tahoua et Tillabéri
Le projet s'inscrit dans le processus de la mise en oeuvre du Programme Spécial de Sécurité Alimentaire de la Banque Ouest Africain de Développement (BOAD), initié pour venir en appui aux actions entreprises par les États membres de l'UEMOA dans le cadre de la crise alimentaire. Il s'inscrit aussi dans l'axe 3 << sécurité alimentaire et développement agricole durable >> du plan de Développement Économique et Social (PDES) 2012-2015. -
Plan de travail et budget annuel 2015 - programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest
L'objectif de développement du projet est de contribuer à l'augmentation de la productivité agricole dans les filières majeures des pays participants. La première du Projet vise à générer et à accélérer l'adoption de technologies améliorées pour les principaux produits agricoles prioritaires des pays de la sous-région. Il s'agit des fruits et légumes; la banane plantain, la pisciculture, les racines et les tubercules; les céréales sèches; le riz; le bétail.... -
Programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest : plan de travail et budget 2012
L'objectif de développement du projet est de contribuer à l'augmentation de la productivité agricole dans les filières majeures des pays participants. La première phase du Projet vise à générer et à accélérer l'adoption de technologie améliorées pour les principaux produits agricoles prioritaires des pays de la sous-région. -
Planification stratégique 2007-2010
L'idée de créer des cadres de concertation au niveau des Etats afin de mieux influencer les politiques et programmes de développement au profit du monde rural a été concrétisée à travers la création de la PFPN en février 1998. Dés lors la PFPN, s'est très vite impliquée dans la dynamique du mouvement paysan de la sous région. -
Présentation du Projet de Promotion de l'Irrigation Privée : Phase 2 (PIP2)
Le PIP est une opération pilote de quatre (4) ans financé par un crédit de la Banque Mondiale d'un montant de 4.600.000 DTS. Il a pour objectif général l'amélioration de la sécurité alimentaire par le relèvement de la productivité et des revenus des petits exploitants à partir de l'adoption de techniques simple et peu couteuses d'irrigation. -
Programme d'urgence pour la sécurité alimentaire : 2011-2012 bilan
La campagne agropastorale 2011-2012 a été caractérisée par une pluviométrie erratique, mal repartie dans l'espace et dans le temps avec de nombreux épisodes de sécheresse tous plus longs les uns que les autres. Il en résulte un déficit céréalier quasi record de l'ordre de 700.000 tonnes, justifiant à postériori les instructions de son Excellence Elh Issoufou Mahamadou, Président de la République, Chef de l’État, d'anticiper dès le début du mois d'Aout 2011, l'élaboration et la mise en œuvre pour l'exercice 2011-2012, d'un programme d'urgence comme mesure corrective aux mauvaises récoltes attendues. -
Le conseil agricole a-t-il encore un sens aujourd'hui?
En Afrique, depuis les années 1960, différentes appellations ont été utilisées pour parler du conseil agricole au sens large. Elles témoignent d’une évolution des démarches, depuis un encadrement prescriptif à des démarches plus participatives et co-construites avec les bénéficiaires. Généralement, à l’échelle d’un pays, ces formes de conseil co-existent dans le temps. -
L’engagement de Maputo : le mot d’ordre a-t-il été respecté ?
Alors que les chefs d’État africains avaient en 2003 pris l’engagement de consacrer 10 pourcents de leur budget national à l’agriculture conscients de son l’importance dans le développement économique, la lutte contre la pauvreté et l’amélioration de la sécurité alimentaire, le secteur agricole reste marginalisé en Afrique au regard de la faiblesse des investissements publics notée dans ce domaine. -
Programme régional de gestion durable des terres et de renforcement de la résilience des communautés rurales et des écosystèmes aux changements climatiques dans les Etats du Liptako-Gourma Volume III Niger
Face aux effets induits aux populations (notamment socio-économiques) par les sécheresses des années 1972-73, des mesures ont été prises par les autorités en 1976. Ainsi, près de 70 000 ha de la réserve de faune de Tamou ont connu un déclassement partiel pour des besoins d’activités Agricoles.Pour ce faire, des populations en particulier celles du Zarmaganda (Ouallam, Filingué) ainsi que des agents publics (en vue de contribuer à la sécurité alimentaire) ont été réinstallées dans la zone déclassée. Même si la plupart des acteurs initiaux ont regagné leurs zones d’origine après quelques années de production, il reste qu’aujourd’hui, la zone d’Aïnoma reste soumise à une spéculation foncière remarquable (en partie du fait de la démobilisation de ces acteurs initiaux). Cette situation accroit les pressions sur ce qui reste de la réserve de Tamou, d’une superficie actuelle de 77 000 ha, servant plutôt de zone tampon pour le parc national W du Niger. Pour diminuer les pressions sur cette réserve, des actions de conservation ont été réalisées dont la principale entre dans le cadre du PAPE, composante Niger, en direction des zones périphériques du complexe WAP, mais qui apparait insuffisante pour sécuriser les formations naturelles autour de la réserve de Tamou. -
Etude de faisabilité : Programme régional de gestion durable des terres et de renforcement de la résilience des communautés rurales et des écosystèmes aux changements climatiques dans les Etats du Liptako-Gourma Version Finale
Le Programme régional de gestion durable des terres et de renforcement de la résilience des communautés rurales de la Région du Liptako-Gourma est né du rapprochement des projets nationaux suivants : - projet de gestion durable des terres et de renforcement de la résilience des communautés rurales dans les régions du Nord et du Sahel au Burkina Faso ; - projet de gestion durable des terres et amélioration de la résilience des populations locales dans les communes frontalières des régions de Gao, Mopti et Tombouctou au Mali ; - projet de renforcement de la résilience des communautés rurales riveraines du W dans le secteur d’Aïnoma au Niger. -
La Gestion Durable des Terres : Analyse d'expériences de projets de développement agricole au Bénin
La dégradation des sols constitue une problématique majeure dans la mise en valeur des terres agricoles au Bénin. La production de coton intense, la déforestation ainsi que des pratiques agricoles inadéquates mènent à une perte de matière organique par érosion et sur-minéralisation, avec comme corollaire la recherche permanente des terres forestières plus fertiles par les producteurs agricoles. Globalement, 29 % et 33 % des terres au Bénin se trouvent dans un état respectivement de forte et, moyenne dégradation (PSI-GDT, 2010). -
Document introductif à la première réunion tripartite du projet GCP.NER.041.EC RGAC
La connaissance et la modernisation du secteur agro pastoral sont des enjeux majeurs pour le développement de l'économie Nigérienne. Si dans le domaine agricole il
a été organisé plusieurs recensements, le dernier remontant à 1980, tel n'est pas le cas pour l'élevage. Il en résulte une méconnaissance de ces secteurs, et un besoin d'y pallier.
C'est pour ce faire et évaluer correctement leurs productions que le Niger a
initié à l'échelle nationale, le recensement général de l'agriculture et du cheptel (RGAC). Après une phase test réussie, le Gouvernement Nigérien avec l'appui des partenaires financiers a lancé la phase opérationnelle du RGAC à travers le projet
GCP/NER/041/EC. Les résultats attendus de ce programme serviront au renforcement de la crédibilité des statistiques agropastorales sur lesquelles devra s'appuyer la stratégie du développement rural et de la réduction de la pauvreté.
Le projet est conjointement financé par le Gouvernement du Niger et l'UE et s'étendra sur trois ans à partir de juin 2004. L'organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) est chargée de son exécution.
Le présent rapport a pour objet de présenter succinctement la phase préparatoire ainsi que les réalisations de la phase opérationnelle de juin 2004 à ce jour. -
Etat de mise en œuvre et perspectives du projet GCPINERl049/SP A : appui à la consolidation et pérennisation des résultats du RGAC au Niger
A l'instar des projets financés dans le cadre de la coopération internationale et d'un commun accord avec la partie nationale d'une part et du bailleur de fonds et de la F AO d'autre part, une ou plusieurs revues tripartites sont généralement prévues au cours de
1 ~exécution des projets visant principalement à faire un constat sur l'état d'avancement des activités du projet et en débattre les contraintes. La première revue est souvent programmée après une année de la mise en œuvre du projet. C'est en fait le cas pour le
projet GCPlNERl049/SPA dont les activités ont débuté à partir du 1er Mai 2009. Ainsi, la tenue de la première revue de notre projet arrive à point nommé. -
Filière poivron à Diffa, un vrai pôle économique, un potentiel de croissance, mais quoi et qui appuyer ?
Le Programme d’Appui au Secteur Rural (PASR) est le troisième financement de la Coopération danoise dans les régions de Diffa et Zinder. Cette communication n’a pas pour objet de vous raconter l’histoire de ces interventions mais d’aborder les problèmes de « mémoire », de capitalisation et d’appropriation de ces interventions. La nouvelle corde se tisse sur l’ancienne dit un proverbe, encore faut-il que quelqu’un ait pris soin de garder l’ancienne corde. -
Projet intégré de désenclavement des zones de productions transfrontalières Hamdara-Wacha-Doungass-Frontière Nigeria
Le Gouvernement de la République du Niger va obtenir de la Banque Africaine du Développement un appui financier pour la mise en œuvre du Projet Intégré de Désenclavement des Zones de Productions Transfrontalières Hamdara-Wacha-Doungass-Frontière Nigéria (PIDZPT). Dans ses efforts inlassables de lutte contre la pauvreté, d’améliorer le capital humain et les conditions de vie des populations, surtout du monde rural, le Gouvernement du Niger s’est doté d’une politique nationale de développement économique et social, qui s’est fixée comme but principal, le développement socioéconomique durable qui passe indélébilement par la construction d’infrastructures routières durables. C’est dans cette optique que s’inscrit la mise en œuvre de la composante B du projet. -
PASADEM - Composante FEM : Référence GEF-FSP-NE pour FIDA et SIP-SLM #3383 pour le FEM
Le but global et à long terme du projet en matière d’environnement et de développement est d’affronter les problèmes corrélés de la pauvreté rurale, de l’insécurité alimentaire et de la dégradation des terres en promouvant et en multipliant les pratiques durables de gestion des terres, dans le but de restaurer, de soutenir et de renforcer les fonctions productives et protectrices des ressources de l’écosystème dans la région de Maradi. -
Mission d’appui technique au projet Nariindu : gouvernance, gestion et business-plan
Plusieurs objectifs étaient assignés à cette mission en lien avec les activités du projet : i) appui à la gestion du centre de collecte et à la contractualisation avec les acheteurs, ii) mise en place d’un système « lait contre intrants » pour faciliter l’accès à l’alimentation et aux produits d’hygiène vétérinaire, iii) Etude du modèle institutionnel, économique, technique des centres de collecte, identification participative des zones prioritaires d’action et iv) appui à l’insertion des femmes dans la filière. -
Programme de promotion de l'agriculture familiale en Afrique de l'Ouest
L’objectif spécifique est l’appui à la collecte, au contrôle de la qualité et à la commercialisation du lait local en périphérie de Niamey, par un dispositif innovant de centres de collecte multiservices, contrôlés par les éleveurs locaux. -
Agriculteurs et accès au financement : quel rôle pour l’État?
Cet article dresse un panorama des besoins et des difficultés d’accès au financement des exploitations familiales. Il revient sur les différentes stratégies qui ont été mises en œuvre depuis les indépendances pour permettre à ces agricultures d’accéder au crédit et souligne les défis qui restent à relever. -
Financement agricole : un puissant outil de contribution à la sécurité alimentaire des populations
Dans les pays en développement, la pauvreté est un phénomène concentré en zone rurale où la grande majorité des exploitations agricoles maintiennent des pratiques culturales rudimentaires. Pourtant, dans ces pays, l'agriculture contribue de façon importante à l'économie nationale et ce, tant au niveau de l'emploi2 que du PIB3 « Pour une grande partie du milliard de personnes vivant dans la pauvreté la plus absolue, la croissance économique basée essentiellement sur l'agriculture et sur les activités rurales non agricoles est essentielle pour améliorer leurs moyens d'existence. La majorité des pauvres vivent en milieu rural. Pour atténuer la pauvreté et la faim, il est essentiel de promouvoir l'essor de l'agriculture dans les zones rurales et de fournir aux ruraux un meilleur accès à la terre, à l'eau, au crédit, à la santé et à l'éducation. ». Ceci fait du développement agricole une stratégie prioritaire des gouvernements de plusieurs pays pour combattre l’insécurité alimentaire et réduire la pauvreté. L’insécurité alimentaire et la pauvreté sont également des enjeux pour la communauté internationale, et ont d’ailleurs contribué à faire de l’accès des petits agriculteurs à des services financiers adéquats une des questions les plus largement débattues au cours des dernières décennies dans le secteur de la finance de proximité. -
Innover pour des mécanismes inclusifs de financement agricole et d’atténuation des risques : L’exemple de Tamwil El Fellah au Maroc
La présente étude de cas décrit un modèle particulièrement innovant de fourniture de services financiers aux ménages ruraux les plus pauvres dépendant de l’agriculture – le modèle Tamwil El Fellah (TEF), société créée par le Groupe Crédit Agricole du Maroc (GCAM). TEF s’est fondé sur la longue expérience du financement du secteur agricole, sur le réseau d’agence et sur les ressources humaines du GCAM pour mettre en place son propre modèle d’activité, doté de mécanismes de gestion des risques adaptés à son segment de clientèle spécifique : les petits et moyens producteurs agricoles. -
Financement alternatif et innovant de l’Agriculture en Afrique
En Afrique, les méthodes de financement alternatives et innovantes ne sont guère utilisées en agriculture, parce qu’elles sont nouvelles et que beaucoup de parties prenantes ne les connaissent pas. Cependant, les avantages qu’elles peuvent apporter à l’agriculture africaine sont considérables. Notamment, les engagements d’investissements privés massifs dans l’agriculture, l’intensification de l’innovation agricole, la formation et le renforcement des capacités des agriculteurs, la fourniture d’un environnement agricole infrastructurel fondé sur le développement, la mobilisation des finances, des marchés et de l’agriculture en faveur des pauvres, des régions rurales, des femmes et de jeunes par le biais d’une croissance inclusive. -
Le financement de l’entreprise agricole : états des lieux et problématique
Le processus de restructuration de l’agriculture française s’est traduit par une augmentation continue de la dimension économique des exploitations agricoles au cours des dernières décennies. Le capital d’exploitation moyen s’est accru en conséquence, générant des montants de capitaux importants à reprendre par les porteurs de projet lors des transmissions. Cette dynamique, toujours à l’œuvre, se poursuivra au cours des prochaines années. -
Lutte contre l’insécurité alimentaire au Niger: une solution par la Micro Assurance Agricole
Le Niger a été confronté à deux (2) crises alimentaires (2005 et 2010) en cinq (5) ans. Les solutions (aides extérieure, distributions gratuite et vente à prix modérés des céréales) préconisées par les autorités sont ponctuelles et ne permettent pas de prévenir les effets d’éventuelles crises. A travers cette analyse nous avons essayé d’analyser la possibilité du développement d’un produit de micro assurance agricole à l’intention des populations. Les Institutions de Microfinance (IMF) sont ciblées pour véhiculer le produit vu leur présence auprès des populations et de leur environnement réglementaire favorable à la mise en place des produits de micro assurance. Les partenaires au développement (État et bailleurs de fonds) ont également un rôle à jouer dans la mise en place des produits. -
Partenaires techniques et financiers d’une boutique d’intrants
Cette fiche s'adresse aux promoteurs et promotrices, utilisateurs et utilisatrices d'une boutique d'intrants, et plus spécifiquement à ses partenaires potentiels. Elle souligne l'importance du role des divers partenaires d'une boutique d'intrants et la collaboration continue que les Organisations Paysannes (OP), propriétaires et responsables des boutiques d'intrants, doivent impérativement entretenir avec ces partenaires afin de pérenniser les activités d'une boutique d'intrants. -
Feuille de route nationale semencière du Niger
La Feuille de Route Nationale Semencière (FdRNS) est un document stratégique qui guide les acteurs du secteur semencier du Mali à œuvrer pour une augmentation de l'accès et de l'utilisation de semences de qualité de variétés améliorées par les agriculteurs. Le document est une contribution essentielle à l'élaboration des principales politiques publiques agricoles. Il peut également servir à guider le gouvernement, les acteurs du secteur semencier et les partenaires de développement dans l'exploration et l’accord sur les moyens pour favoriser le développement du secteur semencier de manière coordonnée, harmonisée et structurée. La FdRNS développe une vision, décrit les réussites et les défis actuels, les ambitions et les voies d'innovation stratégiques contribuant à la réalisation de ces ambitions. La FdRNS est structurée autour de trois questions principales à propos de la performance du secteur semencier : (i) « Où en sommes-nous ? » (ii) « Où voulons-nous aller ? » et (iii) « Comment y arriverons-nous ? ». La base de ce document est le Guide de référence du secteur semencier du Mali (Bonnand et al., 2022a), les brèves de cultures (KIT, 2022) et l'atelier multipartite tenu à Bamako en Novembre 2021 constituant la réponse à la question « Où en sommes-nous ? ». -
Fiche 3 : Composition et structuration des OIP
Le schéma organisationnel des acteurs impliqués dans les filières agricoles présente plusieurs types d’organisations. Si pour les organisations professionnelles que constituent les groupements, associations paysannes, coopératives, organisations de producteurs (OP) etc., le problème semble ne pas se poser en ce qui concerne la compréhension de leur composition parce qu’elles regroupent des acteurs d’une même fonction (regroupement horizontal) ; ce n’est pas le cas pour les organisations interprofessionnelles (OIP) dont le type de regroupement des acteurs est vertical. Qui peut être membre d’une OIP ? Comment sont identifiés les acteurs pouvant constituer une OIP ? De façon globale, cette fiche « Composition et structuration des OIP » vise à clarifier la question de la composition et de la structuration des OIP. Spécifiquement, elle mettra l’accent sur les catégories d’acteurs rencontrées dans les OIP, la structuration des OIP ainsi que les rôles et responsabilités des organes et des membres. -
Fiche 5 : Ressources financières des OIP
La mise en place de mécanismes durables de mobilisation de ressources financières demeure un enjeu majeur dans les organisations interprofessionnelles (OIP). En effet, une des erreurs dans les processus de création des OIP est de ne pas définir en amont, une stratégie de mobilisation des ressources financières propres, permettant de réduire la dépendance aux fonds extérieurs. Conséquence : assurer le fonctionnement des OIP et répondre aux missions que se sont fixées ces structures à leur création demeurent des défis constants du fait du manque de ressources pérennes. Cette fiche « Ressources financières des OIP » présente quelques modalités de financement des OIP, et comment les acteurs des OIP en Afrique de l’Ouest peuvent saisir les opportunités existantes, leur permettant d’assurer un financement durable de leurs missions. -
Implication des éleveurs transhumants dans la gestion des terroirs
De plus en plus les programmes de développement rural sont basés sur une participation active de la part de la population au processus d'analyse jusqu'à l'exécution des activités. Néanmoins, les pasteurs mobiles ont souvent été ignorés et de plus en plus mis à l'écart par ces programmes visant le plus souvent la gestion des ressources naturelles par ses utilisateurs (Greil, 1995). La question posée par Marty (1993) "La gestion de terroirs : un outil d'exclusion ou de négociation ?" est prise en compte par PADATA (= Programme d'Appui au développement de Damagaram-Takaya) en incluant dès le début tous les groupes d'utilisateurs dans le processus d'organisation et d'analyse de la problématique. PADATA a opté pour une stratégie dite de "table ronde » : - afin d'intégrer tous les groupes partageant les mêmes ressources naturelles ; - et afin de préparer tous les groupes à des discussions et à des négociations sur un pied d'égalité. -
Suivi des microprojets sur Fonds d’Appui Régional / Facilité OP – Région de Zinder – Février 2012
Ces quatre MP comprennent tous des équipements d’irrigation (forages, motopompes et pompes niya kokari) et des mètres de clôture en fil de fer barbelé. A deux exceptions près, les producteurs bénéficiant des MP n’ont jamais été appuyés en matière d’équipements d’exhaure / irrigation. Ce sont de nouveaux « irrigants ». -
Projet d'appui au développement local dans les zones de N'Guiguimi et Mayahi
Les Projets de Développement Local de N’Guigmi (PADL-N) et de Mayahi (PADL-M) couvrent entièrement deux départements et une partie du département de Diffa (deux communes) avec des différences significatives. Le PADL-N’Guigmi se situe dans des territoires allant de savanes à fertilité moyenne et à des sols sablonneux peu fertiles où l’élevage prédomine et regroupe une population de 128 046 habitants pour une superficie de 118 000 km². Le PADL-Mayahi se situe dans une zone à tendance agro-pastorale regroupant une population d’environ 479 839 habitants sur une superficie de 6500 km² globale provoquant une forte pression sur les sols cultivables. -
Étude sur les mécanismes de financement de la transition agroécologique dans la CEDEAO : Rapport d’études de cas
La présente étude a pour objectif Programme Agroécologie de la CEDEAO (PAE) et à l’ARAA-CEDEAO un état des lieux des mécanismes de financement de la transition agroécologique dans la CEDEAO et des recommandations relatives à de possibles contributions du FRAA dans le financement de la transition agroécologique. L’étude est organisée en 4 phases : (I) Cadrage, (II) Inventaire, (III) Etudes de cas et (IV) Synthèse. Le présent rapport restitue les travaux réalisés par les Consultants au cours de la phase d’études de cas. -
Projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement des filières agricoles dans les régions d’Agadez et de Tahoua au Niger (2017–2023)
Le projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement des filières agricoles dans les régions de Tahoua et d’Agadez communément appelé Projet Pôles Ruraux (PPR) s’est clôturé en juin 2023 après près de six années de mise en œuvre entre 2017 et 2023, dans les régions d’Agadez et de Tahoua au Niger. Au regard des résultats atteints par le projet et des dynamiques enclenchées sur ces deux territoires, l’ensemble des parties prenantes du projet et particulièrement son maître d’ouvrage, le ministère en charge de l’Agriculture et ses bailleurs de fonds (l’Agence française de développement et l’Union européenne), se sont accordés sur l’intérêt de programmer un exercice de capitalisation des processus et des démarches à l’œuvre dans le cadre du projet afin d’en tirer les enseignements pour l’avenir, tant en termes de conduite de projets et programmes sur les mêmes thématiques que de mise en œuvre des politiques publiques. -
Le PPR : un dispositif intégré de soutien au financement de l’agriculture irriguée
Ce rapport s’inscrit dans le cadre du processus de capitalisation du Projet Pôles Ruraux (PPR) au Niger, réalisé entre février et juillet 2023. Cette capitalisation a été structurée autour de trois axes thématiques déterminés par les principales parties prenantes du projet : aménagements de l’espace, finance agricole et formation et insertion des jeunes. Une synthèse transversale reprend les grands enseignements issus de la capitalisation. -
SUSTLIVES : Coordination et alignement avec DeSIRA et sur la planification et les priorités de l’Union Européenne
Le projet SUSTLIVES a délimité son champ d’intervention (à travers le choix des NUS et des sites) durant la première année et, sur cette base, durant la deuxième année il a, d’un côté, renforcé le dialogue stratégique entamé, notamment avec le CIRAD et le Roppa (Réseau des Organisations Paysannes et de Producteurs de l’Afrique de l’Ouest), et, de l’autre, approfondi la collaboration opérationnelle avec d’autres acteurs, comme le CGIAR (Consultative Group for International Agricultural Research) et l’Agence Espagnole de Coopération au Développement (AECID) dans le cadre d’initiatives déjà identifiées. -
Problématique du financement des organisations paysannes au Niger : expérience de la fédération des coopératives maraichères du Niger : FCMN-Niya
Dans un contexte de libéralisation économique, marqué par des crises économiques en Occident, le manque d’accès au financement devient une contrainte cruciale pour le développement du monde rural en Afrique. Les organisations paysannes (OP) nées à la faveur de la loi coopérative de 1996, régissant le système coopératif nigérien sont toutes confrontées à cette question du financement avec une acuité. Elles se donnent donc pour objectif de trouver des solutions adéquates pouvant venir à bout de la problématique. Face aux contraintes diverses liées à l’activité agricole, ces organisations paysannes s’organisent et se structurent pour lever lesdites contraintes. Ainsi, la question du financement des activités des organisations paysannes au Niger limite les efforts de ces derniers. Le financement des activités agricoles à travers les institutions financières reste assez timide. Les accords de partenariat entre les institutions financières (banques commerciales ou IMF) et les OP sont le plus souvent limités par la méconnaissance des services financiers par les OP et/ou la méfiance des institutions financières. Malgré le retour de l’Etat Nigérien dans l’appui au monde rural, la problématique demeure d’actualité. C’est donc conscient de cette situation que la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-NIYA) veut se doter d’une stratégie de financement qui devrait lui permettre d’atteindre son autonomie financière. -
Évaluation finale du Programme d’appui au développement local (PADEL)-Niger
L’originalité de cet exercice tient surtout au choix de procéder à une évaluation adossée, dans la mesure du possible, à une théorie du changement. L’évaluation par la théorie exige un modèle logique d’une grande rigueur où les différents éléments de la chaîne causale sont spécifiés, ce qui implique que les variables retenues soient distinctes les unes des autres et qu’il soit en conséquence possible d’en évaluer la contribution spécifique. Le PRODOC et les discussions qui ont mené au PADEL montrent qu’à l’origine le programme s’appuyait sinon sur une théorie ou un modèle, du moins sur une hypothèse générale de changement. Malheureusement, la réalité n’est jamais tendre envers les modèles et les hypothèses. Elle impose à ceux et celles qui veulent la modifier de revoir et d’adapter leur approche tout en s’assurant que le programme aille de l’avant. -
Importance de la garantie de crédit pour l’accès au financement de l’agriculture : approche et spécificités – l’exemple de SAHFI au Niger
La Sahélienne de Financement, avec l’appui d’Aliénor Consulting, œuvre depuis plusieurs années à développer la garantie agricole. L’expérience a commencé par la garantie des crédits aux PME agroalimentaires avant d’étendre l’offre aux crédits des exploitations agricoles familiales, des coopératives et les TPE. Bien que les techniques de garantie soient similaires à celles employées pour les entreprises, une adaptation de l'approche et des spécificités de mise en œuvre distingue la garantie agricole de la garantie de crédit habituellement proposée pour les entreprises.