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Plan Stratégique de Renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation
Le PSRCA/PI est un cadre d’orientation pour l’ensemble des interventions de l’administration et des projets ou des Partenaires Techniques et Financiers dans le renforcement des compétences en PI. Il trace les principaux axes d’orientation de l’Etat du Niger dans le domaine du renforcement des compétences des acteurs de la PI.
Le plan stratégique clarifie et organise l’utilisation des ressources disponibles pour atteindre l’objectif global.
Il s’appuie sur une le contexte, la situation, et les différentes études complémentaires concernant les besoins en formation des différents acteurs de la PI dégage Les objectifs et Les orientations pour les dix ans à venir. -
Renforcement des capacités des maraîchers des Communes de Adjohoun, Bopa, Aplahoué, Ouaké, Malanville, Sô-Ava sur la protection phytosanitaire aux fins de l’adaptation aux changements climatiques
Au Bénin comme dans d’autres pays de la région Ouest-africaine, la production maraîchère est devenue depuis quelques années une activité en pleine expansion, en particulier dans les sites urbains et périurbains. En dépit de son importance vitale pour la production vivrière et de sa contribution non négligeable en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle, la filière maraîchère reste confrontée à de nombreux défis au nombre desquels figurent la non maîtrise des dégâts des nuisibles (insectes et ravageurs), la méconnaissance des techniques de gestion intégrée des ravageurs et les effets induits par la variabilité et les changements climatiques. -
Réseau international de Formation Agricole et Rurale
Site du réseau FAR -
Comment fabriquer une décoction d'ail pour éloigner les pucerons et lutter contre l'Oidium ?
Conseils d'un horticulteur pour fabriquer une décoction d'ail pour éloigner les pucerons et lutter naturellement contre l'oidium et le mildiou -
Comment réaliser un extrait de graines de neem pour lutter contre les ravageurs ?
Cette vidéo montre comment fabriquer et utiliser de l'extrait de graines de neem pour lutter naturellement contre les ravageurs -
La gestion des maladies de l'oignon
Cette vidéo montre comment lutter contre les principales maladies de l'oignon
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Fiche maraîchage : lutte contre le flétrissement bactérien
Le flétrissement bactérien (Ralstonia solanacearum) est une bactérie du sol, pathogène des végétaux. Elle est particulièrement virulente dans les régions tropicales et subtropicales et colonise le xylème. Elle cause une pourriture bactérienne ou bactériose vasculaire chez de nombreuses plantes-hôtes. -
la lutte biologique par conservation
Les insectes prédateurs et parasitoïdes, les araignées et les champignons entomopathogènes s’installent spontanément et durablement dans les milieux qui leur sont favorables et contribuent naturellement au contrôle des insectes ravageurs : ainsi s’opère la lutte biologique par conservation. Trois conditions sont essentielles pour favoriser les auxiliaires... -
La lutte contre les insectes ravageurs - exemples de méthodes par piégeage
Cette fiche rassemble quelques techniques utiles afin de lutter contre certains insectes nuisibles des cultures. Ces méthodes simples à réaliser utilisent des systèmes par attractif alimentaire ou piège dit mécanique. -
Lutte contre la fourmi manioc
Les fourmis manioc appartiennent aux genres Atta et Acromyrmex, elles sont qualifiées de fourmis coupeuses-de-feuilles ou champignonnistes. Elles se nourrissent du champignon Leucoagaricus gongylophorus qu’elles cultivent sur un substrat de feuilles en décomposition (compost). Ces fourmis sont bien connues des agriculteurs pour les dégâts causés au feuillage des arbres (surtout la nuit). -
Les plantes assainissantes
Les plantes assainissantes ont un pouvoir de désinfection du sol contre certaines maladies du sol telles que le flétrissement bactérien ou certains ravageurs tels que les nématodes ou les symphyles. On parle alors de biodésinfection du sol.
Certaines d’entre elles sécrètent des molécules gazeuses qui suppriment ou ralentissent la propagation des nuisibles : elles sont appelées plantes biofumigantes. Ces gaz se développent soit sur plantes vivantes par les racines, soit sur plantes mortes lors de leur décomposition. Les plus connues sont les plantes appartenant aux familles des Alliacées, Astéracées et Brassicacées. -
Insect atlas : Facts and figures about friends and foes in farming
Ce guide porte sur les insectes, leur utilité et leurs impacts -
Des plantes saines pour une planète en bonne santé : cahier d'activités
Ce livret a été conçu, rédigé et illustré pour aider les éducateurs
et les gardiens à sensibiliser les enfants et les jeunes à la protection des végétaux, la science qui s’intéresse à la santé des végétaux. Bien qu’il s’adresse à une tranche d’âge comprise entre 8 et 12 ans, il peut également être utile pour les adolescents -
Ceratitis capitata
ressource technique sur la reconnaissance et la lutte contre ceratitis capitata. -
Citrus greening : gestion de la maladie
Cette fiche technique indique comment identifier et lutter contre le citrus greening en production d'agrumes -
Caractéristiques des ravageurs des palmiers africains
Planche de reconnaissance des ravageurs du palmier -
Guide de l'élevage d'ovins méditerranéens et tropicaux
Cet ouvrage traite de l'anatomie, de la physiologie, des techniques d'élevage, des productions et des principales maladies des troupeaux d'ovins tropicaux, principalement en Afrique (sauf l'Afrique du Sud) -
# Dossier photographique: Formation des réparateurs de motopompes
Le but de la présente formation est de renforcer les compétences des acteurs de métiers connexes d'Agadez ,en charge de l'entretien et de la réparation des motopompes à essence au gaz butane dans la Petite Irrigation. -
Suivi des jeunes formés et appuyés par la Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa -Départements de Maïné Soroa et Goudoumaria
Du 31 mai au 05juin, le Président et l’Assistant Technique de la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Diffa ont effectué une mission pour apprécier l’utilisation des équipements mis à la disposition des 169 jeunes formés par la CRA de Diffa, ainsi que leurs productions. Cette mission a concerné les 10 sites de formation mis en place en 2019. Les jeunes ont été rencontrés individuellement et en focus groupe. Cette note présente les cas spécifiques de 7 jeunes ayant produit lors de cette première campagne de saison sèche 2019–2020. -
Catalogue de l'offre de formation continue en petite irrigation dans la région de Tillabéri
Ce catalogue de l'offre de formation continue en petite irrigation rassemble les thématiques offertes par les institution de formation de la région de Tllabéri -
Catalogue de l'offre de formation continue en petite irrigation dans la région de Tahoua
Ce catalogue de l'offre de formation continue en petite irrigation rassemble les thématiques offertes par les institution de formation de la région de Tahoua -
Catalogue de l'offre de formation continue en petite irrigation dans la région d'Agadez
Ce catalogue de l'offre de formation continue en petite irrigation rassemble les thématiques offertes par les institution de formation de la région d'Agadez -
Formation des brigades phytosanitaires des régions de Maradi, Tillaberi et Zinder Campagne des cultures irriguées 2017
Financement regis-er
Les cultures maraîchères sont attaquées par de nombreux ennemis qui occasionnent des pertes de récolte, souvent très importantes. L’ampleur des dégâts et des pertes sont plus significatives dans les pays ayant un écosystème fragile caractérisé par des sols pauvres et une insécurité climatique marquée par des pluies insuffisantes et irrégulièrement réparties dans le temps et dans l’espace. Dans ces zones les capacités de surveillance et de lutte contre ces ennemis de cultures sont limitées. -
Cahier du formateur « gestion de la fertilité des sols »
Le présent document est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui financier de la Coopération Allemande. Il s’inscrit dans les activités de la composante 2 du PromAP : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
Formation des paysans dogo de la protection des végétaux
Apprendre aux paysans comment combattre la chenille mineuse de l'épi du mil telle est le but de cette formation -
Rapport de mission d'appui à la protection des végétaux
En étroite en collaboration avec l'administration nigérienne et en particulier la direction de la protection des végétaux et la délégation l'union européenne en république du Niger, le consultant antiacridien sera responsable de quelques tâches -
Rapport de l'étude sur l'identification des besoins en formation des CDA,des producteurs et organisations des producteurs au niveau national
Les orientations générales en matière de sécurité alimentaire et agricole durable sont celles de l'initiative " 3N " -
Protections des végétaux
La présente loi a pour objet la protection des végétaux et des produits végétaux par la prévention et la lutte contre les organismes nuisibles dans le respect de l'environnement -
Rapport technique sur le projet Leptospirose humaine au Niger
Les rongeurs commensaux sont à la fois des réservoirs de virus et des transmetteurs de maladies pour l'homme et certains animaux. La transmission s'effectue par l'intermédiaire de leurs déjections, de leurs morsures et des parasites qu'ils hébergent.
En 2015 une étude conduite par une équipe composée du CBGP, (UMR IRD-INRA-CIRAD-SupAgro Montpellier), de l’Institut Pasteur, de la Direction Générale de la Protection des Végétaux, de l’OMS (Gauthier et al., 2015) a permis d’identifier deux (2) nouveaux serovars de Leptospira kirschmeri sur des rongeurs du genre Arvicanthis et Cricetomys dans la ville de Niamey notamment au niveau des quartiers Lamordé et Yantala. Suite à ces travaux de recherche, le CERMES a jugé nécessaire de mener une exploration de la séroprévalence de Leptospirose chez l'homme, en ciblant ces quartiers riverains du fleuve où les maraîchers travaillent dans les jardins où les serovars ont été découverts (ex. Lamordé, jardins et habitations riveraines).
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Rapport technique sur le projet Leptospirose humaine au Niger
Les rongeurs commensaux sont à la fois des réservoirs de virus et des transmetteurs de maladies pour l'homme et certains animaux. La transmission s'effectue par l'intermédiaire de leurs déjections, de leurs morsures et des parasites qu'ils hébergent. -
Rapport annuel des activités phytosanitaires de la direction des études biologiques
Parmi ces insectes ravageurs de mil au Niger, la chenille mineuse de l’épi (Heliocheilus albipunctella) reste l’un des plus redoutables ravageurs, car ses attaques interviennent à un moment critique, au stade de la grenaison. Aussi, des pertes de rendements pouvant atteindre 85% sont observées localement en cas d’attaques sévères contribuant ainsi à compromettre l’objectif de la sécurité alimentaire et de réduction de la pauvreté en milieu rural. -
Rapport annuel 2017
La direction de la logistique et des équipements phytosanitaires a assuré la réception et la ventilation des pesticides et autres matériels en début et au cours de cette campagne. Le suivi de la gestion dans les régions a été assuré par des missions menées à l’intérieur du pays et la réception régulière des documents de gestion. -
Compte rendu de la formation des producteurs de la culture fourragère bourgou à Wacha et Dan Barto sur la coupe et le stockage
Cultures fourragères, des avancées par petites étapes, rappel de l’épisode précédent : En mai 2018, la Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder (CRA) et le Collectif des Associations Pastorales du Niger (CAPAN) de Zinder ont réalisé une émission sur les productions fourragères et notamment la possibilité d’essayer la culture du bourgou dans les sites inondables. Si des producteurs étaient intéressés, il était proposé qu’ils contactent la CRA. Ce sont 5 producteurs, 3 producteurs de la commune de Wacha et 2 producteurs de la commune de Dan Barto qui se sont portés volontaires pour l’expérimentation de cette culture.
Ils ont reçu une formation pour la préparation du terrain et l’implantation de la culture. Le repiquage a eu lieu début juin. La culture a pu s’implanter juste avant les inondations de leurs parcelles en juillet. Les parcelles font entre 300 et 600 m2 selon les producteurs.
Une nouvelle étape : En octobre, les producteurs viennent de suivre une seconde formation pour la coupe et le séchage du bourgou. Là où l’eau s’est retirée les producteurs ont commencé leur première coupe. -
Appui au renforcement du potentiel de lutte anti-acridienne au Niger pour 1999-2002
Le projet a pour but de contribuer aux efforts du gouvernement nigérien visant à assurer l'autosuffisance et la sécurité alimentaire des populations par la maitrise de la menace acridienne et ce,dans le respect de l'environnement. A cette fin,l'assistance luxembourgeoise continuera à renforcer la capacité technique et humaine d'intervention de protection des végétaux alors que les agents et les bénéficiaires de lutte anti-acridienne seront sensibilisés aux aspects écologiques et sanitaires de l’utilisation des pesticides. Ainsi,la D.P.V sera doté de moyens d'intervention terrestres et aériens opérationnels. La recherche sur les méthodes de lutte non-chimique est engagé. Enfin, les stocks de produits toxiques périmés seront dépollués, reconditionnés, ou détruits. L'optique est la en place d'un cadre technique,financier et institutionnel devant permettre l'instauration d'un système permanent de lutte préventive au bénéfice de l’ensemble de la population approvisionnée en vivre. -
Bilan des activités réalisées en 2011 adopté par le conseil d'administration du 30 Novembre 2011
Le Niger, à l'instar des trois pays de la ligne de front de Criquet pèlerin de la Région Occidentale s'est doté d'un Centre National de Lutte Anti-acridienne (CNLA) qui a pour mission 1) d'organiser et conduire en période de rémission les opérations de surveillance régulières et de lutte préventive contre le Criquet pèlerin dans ses aires de grégarisation et reproduction (Aîr et Tamesna) et le Sahel des pâturages; 2) préparer les plans d'actions,coordonner et évaluer les opérations de lutte,en collaboration, avec la Direction Générale de la Protection des Végétaux et les autres structures concernées; 3) collecter, traiter, diffuser et échanger les informations relatives au Criquets pèlerin, avec les Institutions nationales,régionales et internationales. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 3 : Règlement de la transhumance- VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.5 : les maladies réglementées par la Transhumance - Au cours de la transhumance, l’éleveur-pasteur sera confronté à des contraintes/problèmes plus ou moins différent-e-s selon les administrations et les populations auxquelles il doit faire face. Parmi ces problèmes, on relève la non maîtrise de certaines pathologies réglementées par les textes sur la transhumance (animaux parfois non vaccinés et non déparasités avant le départ en transhumance). L’objectif des exercices qui suivent est donc d’apporter aux apprenants des connaissances pour reconnaître les maladies réglementées par la transhumance à travers leurs symptômes et proposer, en collaboration avec les techniciens, une lutte efficace contre ces dernières. On peut les diviser en deux groupes dont les maladies virales et les maladies bactériennes. Module 1.6 : le protocole sanitaire - Les mouvements incontrôlés du bétail et de la transhumance sont parfois source de nombreux problèmes d'ordre sanitaire, social, juridique, environnemental, économique et politique. Ceux-ci ont nécessité la mise en place de règlements, d’organismes de suivi de ces règlements au sein de chaque pays et dans l’espace CEDEAO. -
Rapport provisoire de l'évaluation à mi parcours du projet de renforcement des moyens de protection des végétaux et des denrées stockées dans la région du Liptako-Kourma (PRM-PV)
Une mission d'évaluation à mi-parcours du Projet de Renforcement des Moyens de Protection des Végétaux et des Denrées Stockées du Liptako-Gourma (PRM-PV) s'est déroulée du 24 Octobre 2011 au 12 Janvier 2012 dans les Etats membres du Liptako-Gourma, bénéficiaire du dudit projet (Burkina Faso, Mai, Niger). -
Stratégie globale en protection des végétaux
L'agriculture nigérienne est soumise depuis quelques décennies à de fortes variabilité de production dues à des sècheresses répétées et à des pressions parasitaires quasi permanentes. La politique agricole nationale ayant pour priorité l'autosuffisance alimentaire, la défense des cultures devient alors une des préoccupations majeures de cette politique. -
Forum national sur la problématique de la protection des végétaux au Niger
Au Niger, si la climatologie conditionne l'existence même de la production agricole, les ennemis des cultures sont les principaux facteurs de sa réduction, voire même de Sa destruction totale. Leurs pullulations rendent aléatoire la recherche de la sécurité alimentaire prônée par le gouvernement, aidé par ses partenaires au développement. Pour lutter contre ce fléau, d'importantes quantités de produits chimiques sont utilisées chaque année, ce qui n'est pas sans danger pour l'Homme et l'environnement et à un coût que l’État seul ne peut supporter. -
Habrobracon
La Formation des Chefs de District Agricole des départements de Filingué et de Illéla du 13 au 17 juin 2011 au Centre Régional AGRHYMET; en prélude à la campagne agricole 2013, la DGPV a démarré l’élevage du parasitoïde (Habrobracon hebetor) et de son hôte de substitution (Corcyracephalonica) au laboratoire; en 2015 et 2016, une démarche de lutte biologique de grande envergure a été initiée par des lâchers du parasitoïde Habrobracon dans les cinq régions du Niger; 2017, la Direction Générale de la Protection des Végétaux a commandé environ 3000 sacs auprès des unités privées. -
Lutte biologique contre la MEM
General objective: to determine the level of millet resistance varieties to millet head miner damage. For this purpose, 25 varieties of millet were tested to assess their behavior to the pest. The study was in Burkina Faso, Mali and Niger. He infestation varied from 10.20 to 86.98% with an average of51.37%. -
Les douze (12) points clés de l'étude sur la formation des agriculteurs et agricultrices
L’étude IRAM/Réseau FAR, diffusée en juillet 2021, analyse l’évolution de l’offre de formation continue destinée aux agriculteurs et agricultrices en Afrique subsaharienne au cours des quinze dernières années. -
Guide sur les techniques d'animation pour la formation des animateurs endogènes et producteurs pilotes
Le présent guide relève les pratiques d'enseignement appliqués pour une bonne formation des producteurs. -
Makarantar Horo fannin noman zamani : Tsarin noman albasa, dankali turara, waké
Le présent guide décrit les techniques de formation des agriculteurs et les bénéfices qu'ils peuvent tirer de l'agriculture moderne. -
Programme sous-régional de formation en gestion intégrée de la production, des déprédateurs et de la pollution (GIPD/GEF) à travers le champ école paysan quatrième réunion du comité technique national de pilotage
Le présent rapport fait la situation de l'ensemble des activités réalisées par le projet pendant l'année 2012. Il s'agit principalement des activités de formation des producteurs sur le riz et les cultures maraichères, le suivi et la supervision des CEP et enfin les activités relatives au projet << d'Amélioration de la Production du Riz en Afrique de l'Ouest>> (APRAO) et autres diverses activités réalisées dans le même cadre. -
Guide de formation : l'agroécologie pour sortir des pesticides - Prévention des risques des pesticides : Module 2
Le terme pesticide comprend le suffixe -cide qui vient du latin cida signifiant tuer et de l’anglais pest signifiant nuisible (NB : en latin, pestis signifie maladie contagieuse). Les pesticides sont donc par définition des produits toxiques pour certains organismes vivants. Ils détruisent des organismes considérés comme nuisibles que ce soit dans les champs, les jardins, les élevages, les lieux de stockage des récoltes et les maisons. Selon les organismes tués, on distingue les insecticides, les fongicides, les herbicides, les molluscicides, nématicides, bactéricides, rodenticides, virucides, etc… Certains pesticides utilisés contre les insectes des cultures sont aussi utilisés chez les animaux domestiques et les humains (C’est, par exemple, le cas de plusieurs insecticides utilisés pour tuer les poux). -
Guide de formation : l'agroécologie pour sortir des pesticides - Promotion d'alternatives au pesticides : Module 3
L’objectif de ce module est de permettre de développer la lutte biologique et une meilleure connaissance des ravageurs et auxiliaires afin de mettre en place une stratégie de protection des cultures sans pesticides. Concernant les principes globaux, la pyramide ci-dessous présente les différents outils et méthodes pouvant être mis en œuvre par les paysans afin de leur permettre d’éviter au maximum l’utilisation de pesticides. Pour obtenir des cultures les plus saines possibles, les principes de base de l’agroécologie se situent en socle avec une diversité de pratiques, de systèmes de culture et de paysages. Ensuite interviennent les observations, étape déterminante pour établir le bon diagnostic et choisir la stratégie. -
La gestion des mauvaises herbes en agriculture biologique
Les agriculteurs biologiques accordent la priorité absolue à la prévention de l’introduction et de la multiplication des mauvaises herbes. Les pratiques de gestion visent à garder la population de mauvaises herbes à un niveau qui n’entraîne pas une perte économique de la culture et ne nuit pas à sa qualité. Le but n’est pas de complètement éradiquer toutes les mauvaises herbes, car elles ont également un rôle à jouer à la ferme. -
Guide de formation en lutte participative contre le striga dans le système de culture à base de sorgho
Le présent guide de formation est élaboré dans le cadre du projet : « Promotion des variétés de sorgho résistantes au Striga pour réduire les crises alimentaires dans la zone sahélienne Burkina Faso, Mali, Niger, Sénégal», projet financé sous l’Initiative pour la Réponse Globale à la Sécurité Alimentaire (IRGSA). Une initiative spéciale du gouvernement américain à travers USAID, destiné à aborder la question de la sécurité alimentaire dans la sous-région. Ce projet est géré par le CORAF/WECARD et coordonné par l’Institut d’Economie Rurale (IER) au MALI. Le manuel vise donc l’adoption par les producteurs du sorgho, des technologies améliorées de lutte contre le Striga pour faire face aux crises alimentaires que connaît actuellement l'Afrique de l’ouest et du centre. -
Efficacité des fongicides Mancozèbe 80 WP et Chlorothalonil-Carbendazime 65 SC contre Colletotrichum gloeosporioides agent causal de l’anthracnose de l’anacardier au Bénin
L’anthracnose causée par Colletotrichum gloeosporioides est la maladie la plus redoutable de l’anacardier au Bénin. L’objectif de cette étude est de tester l’efficacité des fongicides Mancozèbe 80 WP et Chlorothalonil-Carbendazime 65 SC contre l’anthracnose de l’anacardier. Au laboratoire, les milieux PDA sans fongicide, additionnés de Mancozèbe 80 WP et additionnés de Chlorothalonil-Carbendazime 65 SC ensemencés et rangés dans un dispositif complètement aléatoire à trois répétitions étaient utilisés. Au champ, les trois variantes suivantes : arbres témoins non traités, arbres traités avec Mancozèbe 80 WP et arbres traités avec Chlorothalonil-Carbendazime 65 SC étaient installées à Zounguè et à Gomé (Centre Bénin) dans un dispositif de bloc aléatoire complet à trois répétitions. -
Promouvoir une année internationale de la Protection des Végétaux
En 2018, l’Assemblée générale des Nations Unies vote une résolution pour proclamer 2020 Année Internationale de la Protection des Végétaux. Il s’agit d’une occasion unique de sensibiliser le monde sur la manière dont la protection des végétaux peut contribuer à éradiquer la faim, à réduire la pauvreté, à protéger l’environnement et à stimuler le développement économique, et souligner l’importance des organisations phytosanitaires internationales, régionales et nationales. -
Les solutions alternatives préventives et curatives aux pesticides chimiques de synthèse
Le présent livret technique a pour vocation d’aider les facilitateurs des CEP dans leurs tâches pour faire diminuer l’usage de pesticides chimiques de synthèse qui présentent un danger pour la santé publique et l’environnement. Les facilitateurs des CEP sont des agents de la vulgarisation ou des producteurs relais. A ce titre, ils doivent mieux connaître les alternatives éprouvées qui sont utilisées dans la sous-région ou ailleurs au niveau des cultures maraîchères et des cultures pluviales. -
Guide de bonnes pratiques de production des fruits de légumes
Les cultures fruitières et maraîchères sont confrontées à de nombreux défis dont la prolifération des ravageurs (insectes, nématodes, bactéries, champignons, virus, mauvaises herbes, etc.) et leurs importants besoins en eau et éléments minéraux. Pour gérer ces ravageurs, les agriculteurs font souvent recours à une utilisation inappropriée des produits phytosanitaires du fait du manque de connaissance et d’appui technique. Ces pratiques contribuent à l’apparition de résistances chez les ravageurs, impactent l’environnement, et mettent en danger la santé des producteurs et des consommateurs. -
Manuel de formation pour l'amélioration du traitement et du stockage des grains après-récolte
Ce manuel est destiné aux formateurs des organisations paysannes (OP) et à leurs membres en Afrique sub-saharienne. Le but étant de fournir une formation sur les techniques et opérations après-récolte afin d’améliorer la qualité des grains et ainsi de permettre l’augmentation des revenus et l’amélioration de la sécurité alimentaire des agriculteurs participants au programme. -
Étude sur l'élaboration d'un dispositif d'offre en conseil Agricole / Mission 1 : diagnostics et orientations stratégiques
L’objectif de la présente étude est de contribuer à la mise en place d’un dispositif pertinent et pérenne d’offres de services dans le domaine du conseil Agricole. Ce rapport est le fruit de la première mission (26 janvier au 6 février 2016) et présente les éléments de diagnostic et d’orientations stratégiques. Une deuxième mission de validation de la stratégie et d’élaboration de propositions d’opérationnalisation sera conduite en avril 2016. -
Rapport de mission d'expertise : bilan-diagnostic de mise en oeuvre des sites de démonstration innovation formation (DIF, PROMAP 3) et perspectives pour el développement de sites intégrés de formation agricole (SIFA, PROMAP 4)
Ce document constitue un diagnostic participatif des sites de Démonstration – Innovation – Formation (DIF) qui ont été mis en oeuvre dans le cadre de la Phase 3 du PromAp avec quatre fonctions principales :
1. Support à la formation de terrain de divers publics cibles ayant la possibilité se confronter, en un même lieu, à divers objets techniques innovants
2. Support à la réalisation, pour différents publics, de visites d’échange/ démonstrations/vulgarisation d’objets techniques innovants
3. Support à l’évaluation de pratiques et techniques innovantes par la mesure, en milieu contrôlé préalablement caractérisé, d’indicateurs de performance agronomique, économique et environnementale.
4. Support au développement de systèmes de culture innovants -
La lutte contre la cetoine : Pachnoda interrupta
Cette affiche montre comment lutter contre la cétoine -
La lutte contre la fonte de semis : Pythium, Phytophthora spp., Fusarium, Rhizoctonia
Ce poster montre comment reconnaître et éviter la fonte des semis liée à divers ravageurs -
Lutte contre la pourriture blanche (fusariose)
Ce poster montre comment reconnaître et lutter contre la fusariose -
La lutte contre la mouche blanche: Bemisia tabaci
Ce poster montre comment reconnaître et éviter les attaques de mouches blanches -
La lutte contre les pucerons
Ce poster montre comment reconnaître et éviter les attaques de pucerons -
La lutte contre la mineuse de la tomate: Tuta absoluta Meyrick
Ce poster propose de reconnaître et lutter contre la mineuse de la tomates, un ravageur présent au Niger -
La lutte contre la noctuelle de la tomate : Helicoverpa armigera
Ce poster propose de reconnaître et lutter contre la noctuelle de la tomate -
Stratégie de recherche - formation - innovation pour l'agriculture sur le moyen et long terme au Niger
La production végétale au Niger est une la plus grande source de revenus et d’aliments pour les populations rurales et apporte une contribution significative à l’économie nationale. Dans ce pays où la croissance démographique continue à un rythme supérieur à 3% par an, l’augmentation de la production agricole est un facteur déterminant du maintien, si ce n’est de la progression de l’approvisionnement alimentaire des populations. -
Prestation de services par des coopératives agricoles pour les marchés à haute valeur ajoutée
Cette note présente une approche pratique grâce à laquelle les coopératives renforceront leur aptitude à fournir des services financièrement viables et efficients. Ce faisant, elle reconnaît les difficultés auxquelles sont confrontées les coopératives pour concevoir des services qui répondent aux différents besoins de leurs membres tout en étant financièrement viables. Trop souvent les services de coopérative sont soutenus par des acteurs externes qui n’ont pas une vision claire de la façon de continuer une fois que l’appui au projet est terminé, ce qui engendre une offre de services perturbée pour les membres et des processus d’apprentissage fragmentés pour les coopératives et leurs partenaires. -
Le conseil à l’exploitation familiale pour renforcer les compétences entrepreneuriales
Le CEF est une approche de conseil basée sur des processus d’apprentissage et de prise de décisions dont les principes sont issus des sciences de gestion. Il vise principalement à renforcer les capacités des paysans pour qu’ils gèrent mieux les ressources de leurs exploitations (terre, travail, intrants, finances, cultures et cheptels) ainsi que leurs activités hors exploitation et non agricoles. Les participants sont invités à utiliser des méthodes participatives afin d’analyser eux-mêmes leurs pratiques dans les différentes dimensions de leur exploitation (production, transformation, commercialisation, etc.) tout en prenant en compte les phases du cycle de gestion (analyse, planification, suivi, ajustement et évaluation) et leur environnement économique et social. Le CEF est fondé sur l’utilisation d’outils d’aide à la décision permettant aux paysans d’analyser leurs résultats techniques et économiques, en se basant le plus souvent sur l’enregistrement de données. -
Promouvoir des services de conseil rural sensibles à la nutrition
Les services de vulgarisation et de conseil rural (SCR) aident les petits producteurs à améliorer la productivité et l’efficience de leur exploitation et à prendre des décisions concernant les perspectives de leur entreprise. Les SCR englobent non seulement les services publics de vulgarisation mais aussi des services organisés et financés par des sociétés privées le long de leurs chaînes d’approvisionnement – par exemple, une entreprise de transformation de produits alimentaires ou un groupement d’achats de produits peut établir un système de sous-traitants satellites et employer ses propres agents de vulgarisation. -
Capitalisation du processus de structuration des plateformes agroécologiques au Mali, au Niger et au Burkina Faso
Cette étude commanditée par l'IRPAD dans le cadre du PAIES s'inscrit dans un processus de capitalisation dont l'objectif est d'apporter des éclairages sur le contexte et les conditions de création et de structuration de trois plateformes agroécologiques respectivement au Burkina Faso, au Niger et au Mali. Cette étude a été conduite essentiellement à distance avec l'appui des points focaux de chaque plateforme. Ces personnes ressources ont fourni des informations à travers des interviews téléphoniques et transmis des documents dont la revue a permis d'extraire des informations complémentaires pour alimenter l'étude. -
Formation-action "Capitalisation, gestion des connaissances et genre"
Dans le cadre du programme Gestion des connaissances et genre, le projet Capitalisation des bonnes pratiques en appui à la production agricole et à la sécurité alimentaire a organisé une formation-action dans les locaux de la F AO à Niamey au Niger, du 5 décembre au 9 décembre 20 Il. Cette formation a été facilitée par Sophie Treinen, la coordinatrice du programme et du projet, assistée par deux consultantes, Fanny Simphal pour la documentation de l'atelier et Agnès Le Magadoux pour les questions de genre. Cet atelier a permis à une vingtaine de participants et participantes de démystifier des termes savants tels que {(gestion des connaissances », {(capitalisation », « bonne pratique ». Cette formation-action a permis de mieux appréhender tout ce que ce processus de la capitalisation englobe et de s'accorder sur un sens commun. Les personnes présentes ont pu reconnaître la capitalisation à travers d'autres termes qu'elles utilisent pour décrire ce processus comme la systématisation, l'organisation, la documentation, la vulgarisation, le partage et l'appropriation. -
Formation en Services Climatiques Participatifs et Intégrés pour l'Agriculture (PICSA)
Que comprendre de l'approche PICSA ?
L'approche elle-même et, reconnaitre sa valeur ajoutée dans l'accompagnement des producteurs. Les informations de base utilisées sur le climat pour aider les producteurs à prendre les meilleures décisions et se préparer pour la campagne à venir ; Les différents outils participatifs qui permettre aux producteurs de prendre des décisions sur les options (agriculture, élevage et d'autres activités de subsistance); Comment l'approche PICSA pourrait être intégrer dans nos activités et comment la mettre en œuvre dans le cadre de PASEC ? -
Les organisations paysannes dans la négociation des politiques agricoles en Afrique de l'Ouest et au Sénégal
Cette fiche s'intéresse à la problématique de l'implication des organisations paysannes (OP) sénégalaises et ouest africaines dans les négociations des politiques agricoles. Elle est destinée à fournir des outils de compréhension et d'action aux responsables des OP, mais aussi aux autres acteurs de la société civile, et à tous ceux qui s'intéressent au sujet. -
Formation et renforcement des capacités des acteurs de la chaîne de valeur
Un pesticide est toute substance ou association de substances qui est destinée à repousser, détruire, ou combattre les organismes nuisibles. On distingue plusieurs pesticides qui sont fonction de la cible à combattre. -
Étude sur l’état des lieux des réseaux et plateformes nationaux et régionaux existants en matière d'agroécologie, de formation en agriculture durable ; cartographie des initiatives et organisations impliquées ; et propositions pour le renforcement d’un réseau d’acteurs de l’agroécologie en Afrique de l’ouest
L’objectif global de cette étude est de disposer d’une base de données des réseaux et plateformes nationaux et régionaux, d’avoir une bonne connaissance des caractéristiques desdits réseaux et plateformes et de leurs capacités à accompagner la CEDEAO dans la mobilisation régionale des acteurs pour l’agroécologie et dans le plaidoyer en faveur de la prise en compte de l’agroécologie et de l’agriculture durable et écologiquement intensive dans les politiques nationales et régionales d’investissement agricoles et de sécurité alimentaire. -
La Formation Agricole Participative (FAP)
Le présent document présente la méthodologie FAP, de façon descriptive pour les professionnels qui souhaitent adopter ce même abordage dans leurs zones d’intervention, mais aussi de façon critique, en mettant en relief les forces et les limites de cette méthodologie, de façon à les aider à adapter au mieux la FAP selon leurs contextes de travail. -
Identification des dégâts causés aux cultures : par les maladies, les animaux nuisibles et les carences minérales
L’objet de ce fascicule est d’aider les agriculteurs/-trices de zones isolées à prévenir et enrayer les maladies et les plaies qui peuvent affliger leurs cultures. Ces agriculteurs/-trices n’ont peut être pas accès aux conseillers agricoles ou à d’autres experts qui pourraient diagnostiquer la cause des dégâts causés aux cultures et pourraient proposer des mesures immédiates pour stopper les ravages ou conseiller sur les moyens de prévention à prendre à l’avenir. -
Protocoles de diagnostic pour les organismes nuisibles réglementés
Les phytoplasmes sont présents dans le monde entier. La répartition géographique et l’incidence des maladies dues aux phytoplasmes dépendent de la gamme de plantes hôtes du phytoplasme considéré ainsi que de la présence et du comportement alimentaire de l’insecte vecteur. Certains phytoplasmes touchent beaucoup d’hôtes différents et sont transmis par des vecteurs polyphages, ce qui leur assure une large présence. D’autres, en revanche, n’infectent qu’une gamme de plantes restreinte et sont
transmis par des insectes oligophages ou monophages; leur répartition géographique est donc plus limitée. La question de la répartition géographique des principaux groupes taxonomiques de phytoplasmes a été étudiée par Foissac et Wilson (2010). -
Les phytoplasmes
Les phytoplasmes sont des microorganismes que l’on retrouve partout dans le monde, et ils infectent environ 1 millier d’espèces de plantes. S’ils ont longtemps été considérés comme des virus, avec qui ils partagent quelques propriétés biologiques, les phytoplasmes sont en fait de véritables bactéries. Avec néanmoins quelques différences. -
Phytoplasmes et phytoplasmoses
Les récents progrès concernant la connaissance de la fraction 16S et de l’espaceur 16S-23S de l’ADN ribosomique ont mis en évidence les particularités des micro-organismes anciennement désignés sous l’appellation «Mycoplasma-like organisms : MLOs» et justifié la nouvelle dénomination «phytoplasmes» choisie par le Comité de taxonomie des mollicutes de l’«International Organization for Mycoplasmology (IOM)». Les principaux caractères des phytoplasmes permettant leur classification au sein des bactéries et des virus sont décrits. La méthode PAUP (Phylogenetic analysis using parcimony) a été appliquée à la fraction 16S et à l’espaceur intergénique 16S-23S de l’ADN ribosomique afin d’établir la position phylogénétique des phytoplasmes parmi les bactéries. Ultérieurement, des tentatives de classification des différentes maladies à phytoplasmes ont été entreprises d’abord en utilisant le polymorphisme des fragments de l’ADN ribosomique amplifiés par des amorces universelles de phytoplasmes. Puis, la connaissance des séquences de la fraction 16S et de l’espaceur intergénique 16S-23S a permis d’établir un arbre phy logénétique des phytoplasmes en utilisant la méthode PAUP. -
L'hémiparasite facultatif rhamphicarpa fistulosa (Hochst.) Benth. : état des lieux dans des sites rizicoles de l'Ouest du Burkina Faso et comportement de quatre (04) variétés de riz
La mauvaise herbe Rhamphicarpa fistu/osa (Hochst.) Benth. est un hémiparasite facultatif dont la présence a été signalée au Burkina Faso depuis 1992. De récents rapports insistent sur l'importance des dégâts du Rhamphicarpafistu/osa sur le riz au Burkina Faso et dans plusieurs pays de l'Afrique de l'Ouest notamment au Benin où ces dégâts peuvent atteindre 40% à 100% (Ptlug, 2013). Dans l'optique de pouvoir bien suivre l'évolution de la distribution et les densités de populations de Rhamphicarpa fistu/osa depuis la dernière investigation, une prospection suivie d'enquête est faite dans des sites rizicoles de l'Ouest du Burkina Faso. Les sites retenus à cet effet sont ceux de Banfora, de Karfiguéla, de Banzon, de Niéna-Dionkélé et de la Vallée du Kou. L'étude exploratoire a révélé la présence de la mauvaise herbe dans le bas-fond de Banfora et dans les plaines de Karfiguéla et de Niéna Dionkélé. Les densités maximales sur 0,25 m2 sont de 27 pour le site de Niéna-Dionkélé, 16 pour celui de Karfiguéla et 5 pour celui de Banfora. -
Manuel du formateur
La trousse contient plusieurs activités pédagogiques destinées à aider les apprenants à échanger et engager une réflexion sur leurs expériences, de même qu’à acquérir les connaissances, compétences et attitudes proposées dans les différents modules et les thèmes d’apprentissage y relatifs. Le formateur peut choisir les activités pédagogiques les plus appropriées à son public. Les activités ont été conçues de manière à pouvoir être aisément adaptées au contexte local. Vous trouverez également un exemple de programme de formation. Vous aurez ainsi une idée de la manière dont les modules et thèmes d’apprentissage peuvent être structurés dans le cadre d’une formation standard d’une semaine.