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Gestion des boutiques d’intrants agricoles
Ce module a été conçu par l'ONG Afrique verte Niger avec l'appui financier de l'union européenne pour guider toute organisation de producteurs dans la gestion des intrants agricole. -
Plan de réforme du secteur des engrais au Niger
Ce rapport porte sur la réforme du secteur des engrais au Niger -
Filière oignon au Niger : processus intégré de conservation et de warrantage. Expérience de la SNV dans la zone de production de Saouna gomma, Tamaske et Sabon Guida
Le principal objectif de ce projet est de : Instaurer le système de warrantage sur l’oignon à travers une relation quadripartite (SNV, producteurs, SFD, LCB) avec l’introduction d’un système d’abris de conservation adapté et accessible aux producteurs d’oignon afin de réduire les pertes importantes et de réussir définitivement le warrantage qui permets de créer des emplois rémunérateurs et durables et de générer des ressources additionnelles aux producteurs. -
Analyse de la Chaine de Valeurs d’oignon (Allium Cepa L.) Blanc de Soucoucoutane au Niger
La production d’oignon est une activité très rependue au Niger avec une diversité de variétés. Ce travail s’intéresse à l’oignon blanc « El Soucoucoutane », une variété peu connue. L’objectif de cette étude est de mettre en évidence les principaux acteurs ainsi que leurs activités à travers l’approche chaîne de valeurs. Pour évaluer les contraintes et les opportunités de cette filière oignon, la méthode SWOT a été utilisée. -
La filière oignon du Niger - Analyse des capacités des petits agriculteurs familiaux et identification des stratégies qui leur permettent de capter plus de valeur ajoutée
La présente étude concerne la filière oignon du Niger et est structurée en 3 chapitres :
• Le premier chapitre propose une « Présentation de la filière de l’oignon du Niger »;
• Le deuxième chapitre vise « Les différents types de marchés agricoles et les caractéristiques des marchés importants pour la commercialisation de l’oignon » ;
• Le troisième concerne une « Evaluation des capacités des petits agriculteurs familiaux engagés dans la production de l’oignon et de la part de la valeur ajoutée qu’ils captent »
ainsi que l’« Identification des stratégies qui leur permettent d’obtenir une meilleure part de la valeur ajoutée ». -
Analyse du prix au poids vif de bovins de l'opération vente au poids : cas de marché à bétail pilote de Gothèye (Tillabéri) au Niger
L'étude sur l'analyse de la vente au poids de bovin : cas de marché à bétail pilote de Gothèye Tillabéri au Niger a pour objectif de déterminer et d'analyser le référentiel de prix de kg de poids vif de l’espèce bovine sous l'influence de certains facteurs -
Atelier preparatoire pour la mise en place d'un observatoire regional de la filière oignon en Afrique de l'Ouest et du Centre
Il m'est particulièrement agréable, de présider ce jour , la cérémonie d'ouverture de l'atelier pour la mise en place d'un observatoire de la filière oignon en afrique de l'ouest et du centre -
Les 25 Résolutions de Konni! - Rapport de l’atelier « Éplucher l’oignon » Birni N’Konni, Niger, 30 Novembre – Décembre, 2010
Le Niger est le plus grand exportateur de l’oignon en Afrique de l’ouest. Plus de 100.000 paysans nigériens cultivent l’oignon. Pour eux et tous les autres opérateurs de la chaîne (intermédiaires, commerçants, transporteurs), l’oignon est une source importante de revenus. La SNV Niger et le Wageningen UR Centre for Development Innovation (CDI) des Pays*Bas, en collaboration avec la FCMN Niya et Agri-Bilan, ont initié une recherche action intitulée « Eplucher l’oignon » depuis 1 année. Le but des activités de recherche*action est d’identifier des possibilités d’action collective pour tous les acteurs dans la chaîne de valeur d’oignon. Le focus est sur des ‘leviers’ pour induire des changements qui rendent la filière oignon à la fois plus compétitive, inclusive et durable. Après cette phase terrain, nous avons partagé nos résultats lors de cet atelier participatif à Birni N’Konni dans la région de Tahoua. De plus on a stimulé le dialogue entre les différents acteurs autour de la chaine de valeur d’oignon pour arriver aux 25 résolutions de Konni ! Ce rapport est le résultat de cet atelier et dialogue. -
Filières oignon en Afrique de l'Ouest : étude comparée des filières nigérienne et béninoise
Afin de comprendre la relation entre les filières nigérienne et béninoise et les mécanismes permettant à l’oignon nigérien d’être vendu sur les marchés côtiers à un prix concurrentiel par rapport à l’oignon local, l’étude propose une analyse comparée des aspects liés à la production et à la commercialisation de ces deux filières, a` partir des pôles de production de Keita (Niger) et Malanville (Bénin) qui approvisionnent le marché de Dantokpa à Cotonou (Bénin). L’étude montre que les deux filières sont à la fois concurrentielles et complémentaires et que la filière nigérienne a un avantage comparatif net au niveau de la production, avec des coûts inférieurs et un bénéfice au producteur supérieur. -
Evolution des prix de l’oignon pendant un an sur les marchés de Niamey
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-
24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 33 (mois d’août) de l’année
2016. Sur les 60 semaines de cette période, 4 semaines n’ont pas fait l’objet de relevés, aussi les informations présentées portent sur 56 semaines.
Ce suivi de l’oignon concerne les deux marchés de gros qui reçoivent de l’oignon : en premier le marché de Katako (le plus important pour les volumes) en second le marché de Djémadjé. -
Exportations d’oignons des pays de l’Union européenne vers les pays de la CEDEAO en 2012
Présentation des données commerciales en provenance d’EurostatCe tableau présente l’ensemble des exportations d’oignons au départ de l’Europe vers les pays de la CEDEAO (donc sans la Mauritanie). Les Pays Bas (le plus souvent appelés Hollande) représentent 99,2% des volumes exportés, c’est pourquoi il est mentionné les « exportations hollandaises ».
Les chiffres présentés dans cette note sont tirés de la base de données Eurostat, qui présente les statistiques commerciales de l’Union européenne. Ces chiffres ont été traités (tableaux et graphes) par David Ivanovic, expert en commerce agricole (david.ivanovic1@gmail.com). Les commentaires sont du RECA. -
Evolution du prix de gros du chou pendant trois ans sur le marché de Niamey (Djémadjé)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 7 (février) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur 143 semaines suivies. Ce suivi du prix de vente en gros du chou concerne le marché de Djémadjé qui est le marché de gros de la capitale pour ce produit.
Le chou le plus fréquent sur le marché de Djémadjé est celui de Madaoua qui arrive de façon continue et en grande quantité. En période de forte chaleur, où le chou du Niger est absent sur le marché, on assiste à une grande importation de choux du Nigeria. Le chou et le moringa sont des légumes feuilles de base dans l’alimentation au Niger. -
Evolution du prix de gros du piment sur trois ans au marché de Niamey Djémadjé
Le suivi des prix de gros des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en avril 2015 (la semaine 17). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 49 (décembre) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur trois ans et demi.
Globalement, la production de piment du Niger est présente sur les marchés de Niamey pendant la saison sèche froide (à partir de décembre) et pendant la saison sèche chaude jusqu’à la saison des pluies (mi-juillet).
Toutes les quatre années présentent des profils assez semblables avec des prix bas de septembre à décembre (autour de 10.000 F le sac), une légère augmentation pendant la période de janvier à avril (15.000 à 20.000 F par sac), puis une forte augmentation progressive pour atteindre un pic autour de 70.000 F le sac entre mi-juin et fin juillet suivant les années. Le prix diminue ensuite jusqu’en septembre où se il retrouve au plus bas. -
Evolution du prix de gros de l’oignon pendant quatre ans sur les marchés de Niamey
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 34 (mois d’août) de l’année 2019. Ce suivi de l’oignon concerne les deux marchés de gros qui reçoivent de l’oignon : en premier le marché de Katako (le plus important pour les volumes), en second le marché de Djémadjé 2.
Le Niger est le premier exportateur d’oignon dans la CEDEAO et pourtant, à certaines périodes, des oignons sont importés sur le marché de Niamey. Cette situation peut étonner plus d’un observateur. -
Evolution du prix du poivron pendant quatre ans sur les marchés de gros de Niamey
Si en 2015, pendant quelques semaines, du poivron du Nigeria s’est vendu sur le marché de Djémadjé à Niamey, cela n’a plus été le cas à partir de 2016. De 2016 à 2019, les poivrons vendus à Niamey viennent du Niger, essentiellement des sites de production autour de Niamey ou du Burkina Faso. Le poivron du Niger était présent 30 semaines sur 52 au cours de l’année 2016, en début d’année jusqu’au mois de mai puis à partir d’octobre jusqu’à la fin de l’année. Il était absent du marché de juin à mi-octobre. En 2017 et 2018, le poivron du Niger était présent pendant 35 semaines sur 52, de janvier à juillet, puis à partir de novembre. En 2019, le poivron du Niger est présent pendant les 7 premiers mois de l’année et ne réapparait pas novembre. Il faudra attendre janvier 2020 pour qu’il revienne sur le marché. Il n’aura été présent que 28 semaines en 2019. -
Evolution des prix de gros du moringa sur les 5 dernières années sur le marché de Djémadjé / Niamey
Cette note présente l’évolution des prix moringa sur le marché de Djémadjé (Niamey) depuis avril 2015 (semaine 17) à mars 2020 (semaine 10) et une comparaison des prix sur les cinq périodes de Ramadan.
Les prix sont fournis par des « informateurs » qui sont des professionnels de la commercialisation des produits maraîchers et travaillent depuis plusieurs années avec le RECA.
Le moringa commercialisé sur les marchés de Niamey est produit principalement dans la ceinture maraîchère de Niamey (Région de Niamey et Région de Tillabéri), dont une grande partie sur la rive droite du fleuve. Il n’y a pas d’importations des pays voisins. -
Evolution des prix de gros de la tomate et du piment pendant la période du Ramadan sur le marché Djémadjé (Niamey)
La période du Ramadan peut être considérée comme une période de « prix sensibles ». Les augmentations des prix des denrées alimentaires sont mal vécues par les consommateurs et les commerçants spéculateurs montrés du doigt. Cette année 2017, comme les autres années, la tomate a défrayé la chronique. Les réseaux sociaux ont débordé de plaintes des consommateurs sur une tomate difficilement accessible. Cette note fait le point sur les prix de gros de la tomate et du piment et leurs provenances sur le marché de Djémadjé au cours des trois dernières périodes de Ramadan. -
Evolution du prix de gros de l’aubergine pendant trois ans sur les marchés de Niamey (Djémadjé, Harobanda)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 45 (début novembre) de l’année 2017. Les informations présentées portent sur 135 semaines suivies.
Ce suivi de l’aubergine concerne les marchés de Djémadjé et Harobanda qui sont les marchés de gros de Niamey pour ce produit. L’aubergine commercialisée sur les marchés de Niamey est produite dans la ceinture maraîchère de Niamey, principalement sur la rive droite du fleuve et dans la région de Tillabéri (Toulouaré Boulandjam, Bitinkodji et Kobadjé). A partir de la rive droite, l’aubergine arrive directement sur le marché de Harobanda, puis une partie est acheminée vers le marché de Djémadjé. -
Étude de faisabilité d'un observatoire régional de la filière oignon en Afrique de l'ouest et d'un observatoire de la filière racines de tubercules en Afrique centrale
Les développements récents intervenus dans le domaine des technologies de la communication offrent aux opérateurs agricoles un accès immédiat à l'information de marché et aux connaissances sur les nouvelles techniques de production et de commercialisation des produits agricoles. Si, dans ce contexte, les observatoires de filière font partie intégrante de notre environnement, les avantages qu'ils offrent aux utilisateurs restent souvent mal perçus par les acteurs du développement agricole en Afrique. -
Évaluation des productions d'oignon et élaboration des stratégies de commercialisation: Galmi
Le Niger est un pays dont l'économie repose essentiellement sur l'agriculture vivrière et les cultures de rente. pour preuve, le secteur agricole contribue pour près de 36% du PIB réel, fournit environ 85% de l'emploi et 41% des recettes d'exportation. C'est à l'évidence un facteur déterminant de la croissance économique de notre pays. -
Loi n° 2020-3 Contrôle qualité des engrais
La présente loi fixe le cadre juridique de la répression des infractions en matière de fabrication, d'importation, d'exportation et de vente de engrais au Niger. -
Loi répression engrais
La présente loi fixe le cadre juridique de la répression des infractions en matière de fabrication, d'importation et d'exportation et de vente d'engrais. -
Manuel d'inspection des engrais au Niger
La mission du personnel d'inspection engagé dans le processus d'exécution du règlement commun de la CEDEAO sur les engrais au Niger est de veiller à ce que le client reçoive un produit qui respecte les garanties en termes d'étiquetage et d'analyse. Un programme d'exécution énergique, trivialement mais fermement géré, constitue la meilleure garantie de succès de cette mission. -
Note sur la reforme du secteur des engrais au Niger
Le Gouvernement du Niger a adopté un Plan de réforme du secteur des engrais en Janvier 2018. Cette réforme est conduite avec l'appui du Gouvernement américain dans le cadre du Programme COMPACT avec le MCC dont la convention a été négociée par l'Assemblée Nationale. -
Plan d'action opérationnel de la filière oignon du Niger
La filière oignon est devenue aujourd’hui un enjeu essentiel non seulement pour le Niger, mais pour toute la région de l’Afrique de l’Ouest. En effet, le Niger est le premier pays producteur d’oignon de l’Afrique de l’Ouest. L'oignon constitue la principale spéculation agricole pour laquelle le Niger possède un réel avantage comparatif par rapport aux autres pays de la sous région, et sa compétitivité sur ces marchés sous régionaux lui confère une place importante dans les cercles familiaux et dans l'économie nationale. -
2em Forum des parties prenantes du secteur des engrais en Afrique de l'Ouest du 18 au 20 Mai 2016 A NAF conférence centre, Abuja, Nigéria.
Le deuxième Forum des parties prenantes de l'engrais en Afrique de l'Ouest, organisé du 18 au 20 Mai 2016 à l'auditorium du Centre de Conférence des Forces Aérienne Nigérianes (NAF Conference Centre) à Abuja, a regroupé les administrations, les utilisateurs d'engrais,les fabricants et les distributaires d'engrais de la région Ouest africain et d'autres intervenants dans le secteur des autres régions du continents du monde. -
RAPPORT DE MISSION: Voyage d'étude de la DICE (Direction des Inspections et du Contrôle de la Qualité des Engrais) AU BURKINA FASO ET AU GHANA
Le Gouvernement du Niger a entrepris depuis 2018 la mise en place d’un plan de réforme du secteur des engrais. Ce plan de réforme prend en compte la mise en œuvre de la règlementation harmonisée de la CEDEAO relative au contrôle de qualité des engrais dans l’espace communautaire (Règlement C/REG.13/12/12). Dans le cadre de cette réforme, il a été mis en place au sein de la Direction Générale de l’Agriculture une nouvelle « Direction des Inspections et du Contrôle de qualité des Engrais » (DICE). L’objectif général est d’accompagner le MAG/EL, l’OMEN et le COTEN pour une opérationnalisation rapide et efficiente des activités d’inspection et de contrôle des engrais dans le pays. -
Mission initiale pour la mise en œuvre de la feuille de route
AXE II : TAHOUA-AGADEZAu Niger, un plan de Réforme du secteur des engrais a été adopté par décret 2018/046 Présidentiel le 12 janvier 2018. Ce plan de réforme prévoit le leadership du secteur privé dans l’approvisionnement du pays en engrais. Dans le cadre de la mise en œuvre du Plan de réforme, une feuille de route a été adoptée de commun accord avec toutes les parties prenantes du secteur des engrais. Elle prévoyait l’arrêt des activités de la CAIMA dans le domaine des engrais au 31 décembre 2019. -
Récapitulatif des activités réalisées dans le domaine de la mise en œuvre du règlement C/REG.13/12/12 relatif au contrôle de qualité des engrais dans l'espace CEDEAO
Au cours de la période indiquée les textes suivants ont été adoptés : Arrêté N° 453/MAG/EL/DIRAB/SG du 12 /10/2020 portant Organisation et Attribution de la DICE (Direction de l’Inspection et du Contrôle de la qualité des Engrais). -
Arreté conjoint n° J 424 MAG/EL-MF du 10 Septembre 2020 portant création du Fonds Commun des Engrais
Le FCE est un mécanisme multi-bailleurs. Il centralise et assure la gestion de l'ensemble des contributions financières de l’État des bailleurs de fonds destinés au secteur des engrais. -
Arrête conjoint n° 423 MAG/EL-MF fixant les modalités de paiement des redevances en matières de contrôle de qualité des engrais et d'affectation des droits perçus
Le présent arrêté est pris en application de l'alinéa 3 de l'article 25 du Règlement C/REG 13/12/12 relatif au console de qualité des engrais dans l'espace CEDEAO et de l'article 17 du décret n°2016-304/PRN/MAGEL du 29 juin 2016 portant modalité du Reglment C/REG.13.1212. -
Arrêté N° 158/MAG/EL/DIRCAB/COTEN du 22 mai 2019 portant création, composition et attributions d'un Secrétariat Permanent du Comité Technique des Engrais au Niger (COTEN)
Sous l'autorité du Président du COTEN, le Secrétaire Permanent est chargé de la gestion administrative et financière. Il prépare les courriers et autres documents administratifs et veuille à leurs diffusion et leurs archivage après signature du Président. -
Arrêté N° 156 /MAG/EL/OMEN du 22 mai 2019 portant création, composition et attribution d(un Secrétariat Permanent de l'Observation du Marché des Engrais au Niger (OMEN).
Sous l'autorité du Président de l'OMEN, le Secrétaire Permanent est chargé de la gestion administrative et financière de l'observatoire. Il prépare les courriers ainsi que les autres documents administratifs. Il veuille à leur diffusion et archivage après signature du Président. Il rédige les procès-verbaux de toutes les réunions de l'OMEN et dépositaire de tous les documents administratifs y afférents. -
Décret N° 2020-719/PRN/MAG/EL du 16 septembre 2020 modifiant et complétant l'ordonnance n°20 039 du 24 juin 2010 portant création d’Établissement Public à caractère Industrie Commercial (EPIC), dénommé "Centrale d'Approvisionnement en Intrants et Matériel Agricoles (CAIMA) du Niger"
L'article 2 de l'ordonnance n° 2010-039 du 24 juin, portant création d'un Établissement Public à caractère Industrie Commercial (EPIC), dénommé "Centrale d'Approvisionnement en Intrants et Matériels Agricoles (CAIMA) du Niger" est modifié et complété ainsi qu'il suit. La centrale d'approvisionnement en intrants et matériels agricoles du Niger a pour mission de : contribuer à assurer l'approvisionnement régulier du pays en Intrants agricoles autres que les engrais et les produits phytosanitaires tant en quantité qu'en qualité et à un prix compétitif; contribuer à assurer l'approvisionnement régulier du pays en matériels et équipements agricoles tant en quantité qu'en qualité à un prix compétitif. -
Arrêté N° 453 /MAG/EL/DIRCAB/SG du 12 oct. 2020 portant organisation et attribution de la Direction de l'Inspection et du Contrôle de la Qualité des Engrais (DICE)
La Direction de l'Inspection et du Contrôle de la qualité des Engrais (DICE) est organisée ainsi qu'il suit et comprend : le Secrétaire de Direction; La Division Inspection et Contrôle (DIC); la Division Analyse et Conformité (DAC); la Division Statistique, Etudes, Délivrance des Agréments et Autorisation de vente (DSEDAA). -
Encadrement du rôle de la CAIMA dans l'approvisionnement et la distribution des engrais au Niger
Conformément aux conclusions des réunions tenues les 23 et 26 juin dans les bureaux de la Primature, je vous demande de bien vouloir prendre toutes les dispositions idoines pour que le plan de réforme du secteur des engrais, adopté par le Gouvernement en janvier 2018, puisse être pleinement et rigoureusement mis en œuvre. -
Loi n° 2020-03 du 06 mai portant répression des infractions en matière de fabrication, d'importation, d'exportation et de vente des engrais au Niger
La présente loi est prise en application de l'article 29 du Règlement C/REG. 13/12/12 du 13 décembre 2012, relatif au contrôle de qualité des engrais dans l'espace CEDEAO. -
Arreté du 29 oct. 2019 fixant les conditions de vente des engrais
Le présent arrêté est pris en application de l'article 11 du Règlement C/REG. 13/12/12 du 02 décembre 2012 relatif au contrôle de qualité des engrais dans l'espace CEDEAO et de l'article 14 du décret n°2016-304/PRN/MAG/EL du 29 juin 2016 portant modalités d'application du Règlement C/REG. 13/12/12. -
Arreté N°_/ MAG/EL/DIRCAB/SG/DGA du 29 Oct. 2019 fixant les modalités de renouvellement de l'agrément pour l'importation et l'exportation des engrais
Le présent arreté est pris en application des articles 11 et 13 du Règlement C/REG. 13/12/12 rélatif au controle de qualité des engrais dans l'espace CEDEAO et de l'article 14 du décret n°2016-304/PRN/MAG/EL du 29 juin 2016 portant modalités d'application du Règlement C/REG. 13/12/12. -
Arrêté du 29 Oct. 2019 portant adoption du manuel d'analyse des engrais au Niger
Le manuel d'analyse adopté par le présent arreté complète le Règlement d'exécution ECW/PEC/IR/06/12/16 du 15 décembre 2016 au relatif au manuel d'analyse des engrais dans l'espace CEDEAO. -
Arrêté du 20 oct. 2019 portant adoption du manuel d'inspection des engrais au Niger
Le manuel d'inspection adopté par le présent arrêté complète le règlement d'exécution ECW/PEC/IR/07/12/16 du 15 décembre 2016 relatif au manuel d'inspection des engrais dans l'espace CEDEAO. -
Normes magasins d'engrais
Le présent document est un tableau qui indique les normes à appliquer pour la construction d'un magasin de stockage d'engrais. -
Règlement d'exécution ECW/PEC/IR/05/12/16 relatif aux attributions, à l'organisation et au fonctionnement du comité ouest africaine de contrôle des engrais
Le présent Règlement d'exécution a pour objet de définir les attributions, l'organisation et le fonctionnement du Comité Ouest Africain de Contrôle des Engrais (COACE). En application de l'alinéa 4 de l'Article 9 du Règlement C/REG. 13/12/12 relatif au contrôle des engrais dans l'espace CEDEAO. -
Règlement d'exécution ECW/PEC/IR/02/03/16 relatif à l'étiquetage et aux limites de tolérance des engrais commercialisés dans l'espace CEDEAO
En application des articles 18 et 23 du Règlement C/REG. 13/12/12 portant harmonisation des règles régissant le contrôle de la qualité des engrais dans l'espace CEDEAO. -
Règlement d'exécution ECW/PEC/IR/06/12/16 relatif au manuel d'analyse des engrais dans l'espace CEDEAO
Le présent Règlement d'exécution adopte le Manuel d'analyse qui définit les modalités et les procédures en matière d'analyse des engrais dans les États membres, en application de l'alinéa 1er de l'Article 10 du Règlement C/REG. 13/12/12 relatif au contrôle de qualité dans l'espace CEDEAO. -
Règlement d'exécution ECW/PEC/IR/07/12/16 relatif au manuel d'inspection des engrais dans l'espace CEDEAO
Le présent Règlement d'exécution adopte le manuel d'inscription des engrais dans l'espace CEDEAO en application de l'alinéa 1er de l'Article 10 du Règlement C/REG. 13/12/12 relatif au contrôle de qualité des engrais dans l'espace CEDEAO. -
L’importance de l’oignon dans la vie socioéconomique du Niger : contexte et agendas d’action
Depuis l’Indépendance, la production et la valeur marchande de l’oignon nigérien ont connu une croissance impressionnante. La production nationale tend vers le cap de 500.000 tonnes1. Le chiffre d’affaires des producteurs est autour de 47 milliards FCFA. C’est pourquoi on l’appelle l’or violet nigérien : il a conquis le marché sous-régional et constitue un des piliers économiques les plus importants du pays. D’une manière directe et indirecte, la filière procure des revenus importants pour une multitude acteurs. La filière contribue ainsi à l’emploi et au cadre de vie de plus d’un million de personnes, dont les producteurs sont les plus nombreux. Bien que les évolutions économiques soient impressionnantes, la filière se trouve toutefois devant de multiples d’enjeux qui requièrent des actions concertées de l’ensemble des parties prenantes. -
La filière oignon au Niger / Les axes d’amélioration proposés dans l’Étude diagnostique sur l’intégration commerciale
L'histoire de la production et de la commercialisation de l‟oignon remonte au lointain passé du Niger, bien avant la colonisation. On pense que des oignons du Niger étaient expédiés par les routes commerciales transsahariennes dès le VIIIe ou IXe siècle. On estime que le Niger, lors de l‟indépendance en 1960, produisait de 25 à 30 mille tonnes d‟oignon par an. Au cours des 10 dernières années (1996-2005) la production a été en moyenne d‟environ 270.000 tonnes1. Ceci représente une multiplication par 10 en 45 ans. -
Évaluation sous-régionale de la chaine de valeurs oignon/échalote en Afrique de l'Ouest
La présente étude de la chaîne de valeurs commanditée par le Projet Agribusiness and Trade Promotion (ATP), aborde essentiellement le commerce de l'oignon et de l’échalote en Afrique de l’Ouest. Le but de l'étude a été de : 1) identifier les principaux acteurs qui interviennent dans la chaîne et la nature de leurs activités ; 2) évaluer les principales contraintes et opportunités ; et sur la base de cette évaluation, 3) proposer les investissements ciblés que le projet ATP pourrait effectuer à court terme en vue d’éliminer efficacement les principales contraintes tout en maximisant les opportunités, et de manière à assurer le développement cohérent et mesurable de la chaîne de valeurs. -
Dégringolade du prix de l’oignon sur les principaux bassins de production
De nombreux responsables d’organisations de producteurs et des Chambres régionales d’Agriculture ont signalé la très forte augmentation des surfaces pour la culture de l’oignon dans la plupart des régions du Niger cette année. Pour de nombreux professionnels, un risque de très forte baisse des prix de vente à la récolte est à craindre… cela semble se confirmer.
La récolte des oignons a démarré dans les principales zones de production du Niger. Habituellement, les prix de l’oignon sur les marchés sont au plus bas au mois de mars et mi-avril mais cette année les prix affichent une baisse inquiétante dès ce début d’année, à la fin du mois de janvier, sur les marchés des principaux bassins de production. -
L’histoire de l’oignon- témoignage de deux pionniers de la filière
La culture d’oignon remonte aux années 1950. Les origines se trouvent dans la zone de Sabon Guida. Le village de Kumasa, à 15 minutes de marche de Sabon Guida, est mentionné comme la source de l’oignon violet qui est réputé aujourd’hui. Les noms des premiers cultivateurs étaient Arzeka, Alhou, Danyashi et Tanahou, le dernier étant le chef de village de Kumasa. Ces pionniers de la culture d’oignon sont les pères et grand-pères des responsables de la filière oignons aujourd’hui, qui sont eux aussi âgés maintenant. Au début, les oignons étaient échangés contre des vivres ou contre l’arachide et le coton, les produits commerciaux de l’époque. Les oignons étaient transportés par dos d’âne. L’unité de mesure était le mangala, une sorte de container fabriqué avec des nattes tressées avec des feuilles de palmier doum. -
Stockage des oignons : l’expérience de l’Union des producteurs d’oignon de Madaoua
Cette note est tirée du rapport du voyage d’étude effectué par la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN Niya) avec l’appui du Projet de lutte contre l’insécurité alimentaire par le développement de l’irrigation dans la région de Tillaberi (PDIT), du 09 au 16 décembre 2009. -
Techniques de production, stockage et conservation des bulbes d’oignon pour améliorer les performances de la filière oignon
Suite aux besoins des clients exprimés dans les dossiers de structuration des activités des OP, les constats lors de l’analyse des systèmes de conservation des produits et de l’évaluation des chaînes de valeurs des produits (oignon et pomme de terre), pour appuyer l’effort de ses clients axé sur le marché afin de tirer le maximum de profit. Le présent manuel s’inscrit dans le cadre de la formation des représentants des OP dans les techniques poste-récolte, de conditionnement et de conservation des bulbes d’oignon afin de minimiser les taux de perte mais, augmenter la qualité et valeur des produits. Cette formation portera sur le renforcement des capacités des membres des OP aussi bien en techniques de conservation des bulbes destinés à la conservation qu’en production des semences de qualité afin de prendre en compte dans la phase poste récolte, toutes les insuffisances capables d’affecter négativement le volume et valeurs des récoltes des produits ciblés. -
Prix de l’oignon dans une grande surface d’une ville française (Narbonne) en mai 2012
Voici une présentation des oignons qui étaient en vente dans une grande surface française (magasin) au mois de mai 2012, avec leurs provenances et leurs prix. -
Pratique de stockage et conservation : conseils techniques pour perdre moins
La campagne de la saison sèche fraîche est la plus importante. Sa récolte coïncide avec l’abondance d’oignons sur le marché. Si les producteurs vendent à la récolte, ils trouvent généralement des prix bas. Pour avoir des sacs, ils doivent souvent aussi casser le prix. Dans ces conditions, il est rentable de stocker pour vendre les oignons après quelques mois. -
Violet de Galmi : des semences du monde entier dans les boutiques du Niger
Suite à la révision en 1999 de l’Accord de Bangui, notamment par l’ajout de l’annexe X consacrée à la protection des obtentions végétales, les États membres de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), dont le Niger, ont été appelés à bénéficier des dispositions transitoires en enregistrant leurs variétés anciennes via des Certificats d’obtentions végétales (COV), permettant ainsi la reconnaissance du droit de propriété au pays qui l’abrite. -
Combien d’oignons sont produits au Niger… c’est (très) difficile à savoir !
Dans les « résultats définitifs » de la campagne agricole 2009 – 2010 (Ministère du Développement agricole – Direction des statistiques) paru en février 2010, il est donné une production de 384.309 tonnes d’oignon. Les pertes et semences sont évaluées à 76.862 tonnes et les exportations à 100.000 tonnes. Il s’agit cependant de la campagne oignon 2008 – 2009. Sur cette base la consommation des nigériens se monterait à 207.447 tonnes, soit 14 kg par habitant et par an. -
La culture hivernale d’oignon sur billon en zone sahélienne et soudano-sahélienne
Il est conseillé de solariser le sol de la pépinière avant le semis. Par ce traitement on chauffe bien le sol afin d'éliminer les champignons qui causent la pourriture des jeunes plants. Méthode : 2 à 3 semaines avant le semis bien labourer et irriguer le sol de la pépinière. Ne pas encore amender le fumier. Puis couvrir le sol avec du plastique polythène transparent et solide. Fixer le plastique à l’aide de grandes pierres au pourtour pour éviter que la chaleur s’échappe. Cette chaleur se forme à cause du rayonnement solaire et tue les champignons nuisibles. Laisser le plastique durant au moins une semaine. -
Fertilisation : modes d'utilisation de l'UREE et du NPK sur les cultures irriguées
L'utilisation de l'engrais nécessite un savoir faire rigoureux pour éviter d’endommager les cultures, c'est que cette affiche démontre à travers plusieurs illustrations. -
La fertilisation organique des cultures : les bases
L’agriculture biologique se développe depuis plus de 30 ans au Québec. Guidée au départ par des principes relativement théoriques et venus des expériences américaines et européennes de l’agriculture biologique, les pratiques de fertilisation des cultures ont évolué en fonction des réalités du terrain et des résultats obtenus à travers les années par les producteurs d’ici. Grâce aux travaux et expérimentations menés pendant ces 30 ans par les producteurs et productrices, le plus souvent avec très peu de moyens, un certain nombre d’ajustements ont été effectués afin d’améliorer les pratiques de fertilisation en régie biologique. -
Fertilisation raisonnée en arboriculture fruitière
Ce guide est destiné à toutes les personnes désirant réaliser une fertilisation qui optimise la qualité de la production et le résultat économique du verger, tout en préservant l’environnement. Une première étape, indispensable pour aboutir à ce résultat, réside dans une bonne connaissance des besoins des différentes espèces fruitières. Comment se nourrit l’arbre ? Quels sont les éléments minéraux nécessaires et en quelles quantités ? À quels moments sont-ils prélevés ? L'observation du fonctionnement du sol est la base de la nutrition des arbres fruitiers. Cela passe par une observation indispensable du profil racinaire des arbres, une bonne préparation du sol avant plantation et une gestion de l'alimentation hydrique adaptée au sol. Pour faciliter le raisonnement différents outils sont actuellement disponibles. L’analyse de sol guide sur les fumures de correction à apporter. Le reliquat azoté permet un pilotage en temps réel de la fumure azotée du verger. Enfin l’analyse foliaire permet de valider le pilotage de la fertilisation réalisé à partir de l’analyse de sol et du reliquat azoté. -
Les filières de production d’engrais au niveau mondial
Cette note est extraite d’une étude intitulée « État, perspectives et enjeux du marché des engrais », janvier 2010. Cette étude a été réalisée par la société de conseil GCL Développement Durable et commanditée par le Ministère de l’Agriculture français. -
Étude sur la chaîne de valeur oignon au Niger
La filière oignon au Niger a une longue histoire, qui remonte au XVIIe siècle. Compte tenu du contexte du pays, qui est majoritairement agricole, la production d’oignons est devenue une activité traditionnelle dont les pratiques, y compris la production de semences, sont transmises de génération en génération. Ainsi, la chaîne de valeur comporte également un aspect socioculturel important, avec un rôle prépondérant joué par de grands et puissants commerçants. Le Niger est le premier exportateur d’oignons d’Afrique de l’Ouest, oignons particulièrement appréciés pour leur goût piquant et leurs qualités culinaires. Des routes commerciales ont été établies au fil des ans, grâce à des réseaux sociaux et des contacts solides. Néanmoins, les exportations du Niger sont éclipsées par celles des Pays-Bas, qui sont de 7 à 10 fois plus élevées selon les données officielles disponibles. -
Liste des notes et documents sur la filière oignon sur le site du RECA (32)
Cette liste fournie les liens des ressources sur la filière oignon mises en ligne sur le site du RECA. -
Guide d'information sur le commerce des engrais en Afrique de l'Ouest
Ce guide contient les dernières statistiques nationales sur la production, le commerce et l’utilisation des engrais, des cartes et des profils actualisés des installations de production et de mélange d’engrais, ainsi que les procédures et les coûts logistiques qui contribuent à la formation du prix des engrais du port à la ferme. Pour encourager l’utilisation judicieuse d’engrais de qualité, de nouveaux laboratoires accrédités s’appuient sur les réglementations régionales des engrais et les normes d’étiquetage et d’emballage applicables en Afrique de l’ouest, tandis que la diffusion de paquets d’intrants agricoles adaptés aux différentes zones agroécologiques favorise leur utilisation optimale par les producteurs ouest-africains. -
Techniques de production de bulbilles d'oignon violet de Galmi
Les légumes sont importants pour l'équilibre alimentaire des populations et leurs productions constituent aussi une source de revenu non négligeable. Au Niger, les cultures les plus rentables sont l'oignon, la tomate, le chou et la pomme de terre. Les revenus tirés de ces cultures en hivernage sont en moyenne cinq fois supérieurs aux revenus de contre saison du fait de la rareté de ces produits en cette période. -
Note sur la variation du prix du Moringa à Maradi
Le marché de Maradi est le plus grand marché de Moringa séché et précuit au Niger. Le Moringa séché provient d’une part du bassin de production de Maradi, constitué de la vallée du «Goulbi Maradi» et des 512 ha d’aménagements hydro agricoles, et d’autre part du Nigeria. La production de Maradi est importante. Elle est destinée à la commercialisation et à la consommation locale. Le Moringa est commercialisé sous deux formes : le « séché » et le « précuit ». Cette note ne traite que du Moringa séché, produit et commercialisé dans le bassin de production de Maradi. -
Recueil des textes législatif et réglementaire sur les engrais au Niger
Le présent recueil de textes regroupe tous les textes relatifs à la règlementation des engrais dans un même volume. Il est destiné aux acteurs du secteur des engrais, qui disposent ainsi d’un document de référence officiel. Le but ultime recherché est que la règlementation nationale concernant les engrais soit connue de tous, qu’elle soit respectée et appliquée et qu’elle permette aux producteurs de disposer d’un engrais de qualité et accessible. -
Filière oignon : diagnostic et proposition de programme d'intervention
L'approche de cet atelier se situe délibérément dans le cadre d'une participation et responsabilisation accrue des producteurs et d'une redéfinition du rôle de l’État... reposant sur l’émergence d'opérateur économique privé et la structuration du milieu rural autours des groupement d'associations et coopératives bâties sur des intérêts communs économiques. -
Une utilisation efficace de la technique de microdose d’engrais
La technique de la microdose d'engrais comporte deux variante. La première qui consiste à l'apport mécanique d'engrais séparé de la semence est de plus en plus abandonnée. La deuxième qui consiste à placer l'engrais dans le même poquet que la semence lors des semis est actuellement plus vulgarisée. -
Module 4 : Application du compost et du NPK
L’engrais doit être appliqué au bon endroit pour éviter : des brulures sur les jeunes plants, l’éloignement des nutriments vis-à-vis de la plante donc inefficacité des apports, Pour maximiser son utilisation par la plante pour éviter le gaspillage des ressources. -
Application à la volée de l'engrais phosphaté soluble ou naturel sur les cultures pluviales
Cette fiche technique édifie de manière synthétique les objectifs de la fertilisation minérale et ensuite les performances de son usage. -
Le guano, fertilisant organique naturel alternatif au fumier, testé sur la production de la laitue verte (lactuca sativa L.) dans l’oasis de Balla (département de Gouré), Zinder, Niger
Au Niger Est, la faible disponibilité sur les marchés ruraux, la cherté et le faible pouvoir d’achat des paysans limitent l’application des engrais minéraux. L’objectif de cette étude est l’évaluation de l’effet du guano sur la production de la laitue. Le dispositif expérimental est un bloc complet randomisé avec dix-sept traitements issus de la combinaison entre 4 doses de guano, 2 doses de fumier et 2 doses d’engrais en trois (3) répétitions. Les paramètres étudiés portent sur les diamètres de pomme, la hauteur des parties aériennes, le développement foliaire et le rendement. Les résultats obtenus révèlent que le guano a un effet significatif sur la production de laitue. A la dose optimale 3,5 t/ha, le guano a permis d’augmenter la production de la laitue de 833 et 628% par rapport au témoin et aux parcelles ayant reçues uniquement la fumure minérale. La combinaison guano et fumure organique a permis d’accroitre le rendement par rapport aux parcelles fertilisées avec le guano seulement, tandis que l’apport de l’engrais minéral a un effet dépressif sur le rendement. Pour assurer une bonne production de laitue dans la cuvette de Balla, il serait préférable d’utiliser la combinaison guano (3,5 t/ha) avec du fumier. La préservation de la population de chauves-souris permettrait d’assurer la durabilité de la filière guano. -
Analyse approfondie de la chaine de valeur oignon au Niger 2021-2030
La CDV Oignon est devenue aujourd’hui un enjeu essentiel non seulement pour le Niger, mais pour toute la région de l’Afrique de l’Ouest. En effet, l'oignon constitue la principale spéculation agricole pour laquelle le Niger possède un réel avantage comparatif par rapport aux autres pays de la sous-région, et sa compétitivité sur ces marchés sous régionaux lui confère une place importante dans les cercles familiaux et dans l'économie nationale. Le Niger est classé parmi les premiers pays producteurs d’oignons de l’Afrique de l’Ouest et est le plus grand exportateur d’oignons de la région. Sa culture, qui a une longue histoire au Niger, devient de plus en plus importante comme un produit de rente et joue un rôle important dans le système alimentaire du pays. Mais les défis et goulots d’étranglement ne manquent pas dans la filière. -
Onion cultivation system and spatial distribution centers in Tahoua/Niger
Onion farming is the main irrigated crop that contributes to the economy of the Tahoua region, Niger. There are two factors that promote the outstanding potentialities of onion cultivation in Niger: the best productive variety “Violet Galmi”, and it is well adapted to storage. It is produced during both growing seasons which creates a permanent local supply of onions all year. Much of the producing areas are not accessible by road, which inhibits the marketing network. Farmers are in need of an improved transportation system in order to further develop onion production. The Violet of Galmi is grown by all the onion producers of Niger. This onion has a major importance in the socio-economic life of the Nigerien population. The consumers appreciate its cooking qualities and spicy taste. It also has a commercial advantage in the local and the sub-regional markets. -
Pourquoi faire analyser son engrais ?
La majeure partie des pays du Sahel, et au Niger en particulier, souffre d’une faible fertilité naturelle de leurs sols, à laquelle viennent s’ajouter la réduction drastique de la pratique de la jachère et la mise en culture de certaines terres marginales. De plus, les apports en éléments nutritifs organiques ou minéraux sont insuffisants. Tout ceci contribue largement à la dégradation de la base nutritive de la plupart des sols. -
Fixation du prix de vente des engrais
Cette fiche s'adresse aux gestionnaires d'une boutique d'i intrants (gérant ou gérante et membres du comité de gestion). Elle détaille le mode de calcul du prix de vente des engrais aux utilisateurs et utilisatrices de la boutique d'intrants -
Étude sur les filières agro-alimentaires au Niger : bétail - viande -oignon - niébé
Au Niger, le secteur rural demeure l'un des plus importants secteurs de l'économie, il assure l'emploie de plus de 80% de la population active et représente environ 40% du Produit Intérieur Brut (PIB). -
Rapport d'activités : IFDC Niger
IFDC (International Fertilizer Development Center) créée en 1974 et basée à Alabama aux Etats-Unis, est une institution publique internationale œuvrant pour la sécurité alimentaire, la réduction de la pauvreté dans les pays en développement à travers le développement et la dissémination de technologies efficientes de gestion de la fertilité des sols, le développement de marchés d’intrants agricoles et de marchés de produits agricoles. -
L'amelioration de l'oignon (Allium cepa L.) au Niger
L'oignon est la culture maraîchère la plus importante au Niger. Alors que, de 1970 à 1974, la production annuelle se situait autour de 30.500 t/an pour une superficie de 1.750 ha (soit un rendement moyen de 17,5 t/ha), elle s'élève actuellement de 124.500 t pour une superficie de 4.400 ha (soit un rendement moyen de 28,3 t/ha). Une bonne partie (30 %) de cette production est exportée en frais vers les pays côtiers de la sous-région, soit 37.000 t/an environ. -
Manuel de formation statistique sur les engrais en Afrique
En juin 2006, les dirigeants Africains se sont réunis à Abuja dans le cadre du Sommet Africain sur les fertilisants avec pour objectif de souligner l'importance des engrais pour réaliser une révolution verte Africaine. -
Rapport final de la 3ème édition de la journée nationale de l’oignon : Comment assurer une stratégie de production des semences d’oignon au Niger en qualité et quantité ?
Cette rencontre a regroupé les représentants des organisations de producteurs, ceux des Chambres Régionales d’Agriculture (CRA), des Points d’information villageois (PIV), des services techniques et administratifs de l’Etat, des institutions de recherche agronomique (INRAN, ICRISAT, UAM), des opérateurs économiques et des partenaires au développement (liste en annexe). -
Situation des engrais dans la région de Tillabéri
L’engrais est considéré comme un intrant indispensable pour aboutir à des rendements satisfaisants compte tenu de la faible fertilité naturelle des sols particulièrement pauvres au Niger. Néanmoins, des faits particuliers attirent l’attention des producteurs. Il s’agit notamment de la question de la disponibilité, du prix et de la qualité des engrais. Les producteurs ne cessent de se plaindre tantôt sur l’un tantôt sur l’autre. -
Synthèse de suivi des prix des aliments bétail : marché de Diffa d'avril à octobre 2023
Le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture (CRA) ont été
chargés de faire un suivi des fournisseurs d'intrants servant pour
l’alimentation des animaux dans le cadre du Programme sur la
résilience du système alimentaire (PRSA/FSRP) dans les régions de
Tillabéri, Tahoua, Zinder et Diffa.
Le suivi des intrants consiste a enregistré le prix, la quantité et la
provenance des intrants (aliment bétail) toutes les deux semaines
auprès des vendeurs d’intrants. Les aliments bétails qui font l’objet de
suivi sont :
− le son de céréales (blé, maïs, mil),
− le tourteau de coton,
- les fanes d’arachide,
- les coques de niébé -
Suivi des prix des aliments pour bétail sur les marchés dans la Région de Tahoua de mai à octobre 2023
Le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture (CRA) ont été chargés de faire un suivi des fournisseurs d'intrants servant pour l’alimentation des animaux dans le cadre du Programme sur la résilience du système alimentaire (PRSA/FSRP) et du Projet de Renforcement de l’Entreprenariat en Elevage « REEL Mahita » dans les régions de Tillabéri, Dosso, Tahoua, Zinder et Diffa. Ce suivi comprend l’identification des fournisseurs et aussi le suivi des prix et de la disponibilité en aliments pour bétail. -
Les brèves du RECA : engrais 2024 / n°1
Cette note présente les relevés de prix des engrais effectués par les conseillers agricoles des Chambres Régionales d’Agriculture dans des communes des différentes régions du Niger au cours de la semaine 19, soit du 6 au 11 mai 2024. Ces relevés ont été effectués auprès de vendeurs d’engrais (boutiques ou marchés). -
Évolution du prix du sac de son de blé de 50 kg sur 12 mois dans la Région de Tahoua / Mai 2023 – Avril 2024
Le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture (CRA) ont été chargés de faire un suivi des fournisseurs d'intrants servant pour l’alimentation des animaux dans le cadre du Programme sur la résilience du système alimentaire (PRSA/FSRP) et du Projet de Renforcement de l’Entreprenariat en Elevage « REEL Mahita » dans les régions de Tillabéri, Dosso, Tahoua, Zinder et Diffa. Le suivi des prix est effectué sur 5 marchés de la Région de Tahoua.