Attaque du puceron (Aphis fabae), un piqueur suceur, sur l'ail à Abarakan. Le puceron noir de la fève est une espèce de petits insectes de l'ordre des hémiptères, de la famille des aphididés, qui parasite de nombreuses plantes cultivées. Ses dégâts sont souvent aggravés par la production de fumagine due au miellat sécrété par les pucerons
Cette vidéo explique comment lutter contre les attaques de pucerons par des techniques biologiques
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Olivier, Thierry et Jean Marie sont producteurs de plantes en pot à Fréjus. Jean-Marie, qui gère l’aspect production, est en recherche constante de solutions innovantes transposables à l’entreprise pour réduire l’utilisation des produits phytosanitaires. Aujourd’hui les traitements fongicides sont rares et l’introduction d’auxiliaires dans les cultures a permis de diminuer les traitements insecticides
Le puceron est un insecte ravageur qui affaiblit les plantes en s'attaquant surtout aux feuilles et aux fleurs. Sur cette affiche, il relève des images qui illustrent de l'attaque de l'insecte sur les plantes et les méthodes de lutte appropriée contre cet insecte.
Le Programme Prioritaire de Recherche (PPR) « Cultiver et Protéger Autrement » se situe dans une perspective originale, en posant le scénario extrême d’une agriculture « sans pesticides », non prescriptif, mais qui oblige à explorer de nouvelles voies de recherche. Scénario non prescriptif, car le PPR ne donne pas, a priori, le chemin à suivre aux agriculteurs, chemin qui devrait être mis en débat avec les agriculteurs et la société au regard des connaissances disponibles aujourd’hui. L’objectif est d’entreprendre des recherches dans ce cadre « sans pesticides » afin d’explorer de nouveaux fronts de science et de développer des connaissances et des solutions disponibles à la fois pour une réduction significative de l’usage des pesticides à court terme et pour des innovations futures. À plus long terme, et grâce à ces innovations, l’objectif est bien de développer une agriculture sans pesticides, pour toutes les productions et sur tous les territoires. Se fixer un tel cap permet ainsi à la fois d’ouvrir des fronts nouveaux de recherche et de produire dès aujourd’hui des connaissances pour construire demain l’ensemble des solutions permettant de répondre à la demande sociétale d’une agriculture sans pesticides.