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La lutte contre la pourriture blanche et sèche -- Fusarium oxysporum
Cette affiche présente les symptômes de la maladie "Fusarium oxysporium"et les méthodes de luttes appropriées -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Ce manuel a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation.
Il est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des compétences des producteurs dans le domaine de la PI. Il donne aux fmateurs des références théoriques et pratiques pour mettre en oeuvre des actions de formations. LE MANUEL Structuré autour des dix module dont (6 sur les maladies , les ravageurs et les actions de lutte; et 4 autres sur :
la gestion des nématodes parasites des cultures . -
Utilisation des pesticides - gestion intégrée des ennemis des cultures
Utilisation des pesticides - gestion intégrée des ennemis des cultures -
Bonnes pratiques avant le traitement : Traiter ou ne pas traiter ?
Une pluie qui survient après le traitement d'une surface peu ou pas perméable peut avoir des conséquences graves sur la contamination des eaux superficielles (entraînement des substances actives vers le réseau d'eau pluviale par exemple). C 'est essentiellement le désherbage qui représente le plus gros facteur de risque. -
Comment lutter contre l'acarien rouge
l'audio traite des mesures préventives de luttes. l’identification de l'acarien. le traitement conventionnel contre l’araignée rouge. conseil et orientation -
Comment reconnaitre l'araignée rouge et ses symptômes
Les signes qui permettent de reconnaitre l'attaque de l'araignée rouge -
Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge. Document 5
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
L’araignée rouge est une bête très petite mais qui se voit quand même à l’œil nu. Les producteurs la connaissent car elle tisse des toiles sur les feuilles des plantes, surtout les aubergines, les tomates, le poivron, le piment et la pomme de terre. Elle se cache généralement à la face inférieure des feuilles. Les producteurs la connaissent car elle peut détruire totalement les cultures maraîchères, surtout celles de la famille des solanacées citée plus haut.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Comment reconnaît-on la présence de l’araignée rouge ?
- 2. Quelles sont les plantes dont se nourrit l’araignée rouge ?
- 3. Les périodes propices de l’attaque de l’araignée rouge
- 4. Où trouve–t-on l’araignée rouge au Niger ?
- 5. Quelles sont les méthodes de lutte contre l’araignée rouge ?
Le fichier des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Gommose sur tronc du pamplemoussier à Timia
La gommose est l’une des maladies répandues sur les agrumes à Timia. C’est une maladie due à un champignon Phytophthora. Elle se caractérise au niveau du collet par une pourriture de l’écorce et du cambium. Secondairement, il y a une forte exsudation de gomme sur le tronc et les branche. Ultérieurement l’écorce nécrosée se fend longitudinalement et laisse apparaitre des lésions brunes sous le bois. -
Biopesticides - Pourquoi le produit ? Haoussa Document 1
Biopesticides ou pesticides naturels (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Aujourd’hui, les producteurs au Niger utilisent beaucoup trop de pesticides chimiques. Ce sont des produits dangereux pour la santé des producteurs et de leur famille mais aussi des consommateurs qui achètent les produits maraîchers. De plus, les règles d’utilisation de ces pesticides ne sont pas souvent respectées.
Pour protéger leurs cultures et diminuer l’utilisation des pesticides chimiques, les producteurs ou les productrices peuvent utiliser des pesticides naturels, faits avec des plantes, que l’on appelle biopesticides.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Pourquoi le produit ?
- 2. C’est quoi ce nouveau produit ?
- 3. Quels sont les ingrédients et matériels utilisés ?
- 4. Que faire avec le résidu ?
- 5. Comment appliquer le biopesticide ?
- 6. Quels sont les avantages ?
- 7. Est-ce que les composants du produit peuvent être utilisés séparément ?
Les fichiers des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
# Dossier photographique : Attaque de puceron (Aphis fabae), un piqueur suceur, sur l'ail à Abarakan.
Attaque du puceron (Aphis fabae), un piqueur suceur, sur l'ail à Abarakan. Le puceron noir de la fève est une espèce de petits insectes de l'ordre des hémiptères, de la famille des aphididés, qui parasite de nombreuses plantes cultivées. Ses dégâts sont souvent aggravés par la production de fumagine due au miellat sécrété par les pucerons -
La lutte contre l’alternariose sur l’oignon: Alternaria porri
L'alternariose, ou brûlure alternarienne, est le nom générique d'une série de maladies fongiques dues à diverses espèces de champignons des genres Alternaria ou Ulocladium. La tache pourpre est une maladie des climats chauds et humides. C’est une maladie commune de l’oignon qui peut être très destructive. Elle cause également de grandes pertes économiques chez les porte-graines lorsque les hampes florales sont affectées et détruites. La tache pourpre affecte principalement l’oignon et le poireau, plus rarement l’ail. Les oignons espagnols sont plus sensibles que les oignons jaunes. -
La lutte contre le flétrissement de la tomate : Ralstonia solanacearum
Ralstonia solanacearum est une bactérie tellurique Gram - ; elle est présente surtout dans les régions tropicales, semi-tropicales et tempérées chaudes. Comme son nom l'indique, Ralstonia solanacearum conduit au flétrissement rapide des jeunes feuilles aux moments les plus chauds de la journée, souvent réversible durant la nuit dans un premier temps. Par la suite, les flétrissements se manifestent soudainement et deviennent permanents. Il faut noter l'absence totale de symptômes sur fruits. Assez rapidement, les tissus affectés se nécrosent et se dessèchent, et de nombreuses plantes finissent par mourir. -
La chenille légionnaire du maïs Spodoptera frugiperda
En 2016, une nouvelle chenille est arrivée en Afrique. Elle s’est répandue dans de très nombreux pays (Nigeria, Bénin, Togo, Afrique du Sud, etc.) où elle a fait des dégâts très importants sur le maïs. Cette chenille est appelée chenille du maïs et a pour nom scientifique Spodoptera frugiperda. Elle a été trouvée pour la première fois sur le maïs en novembre 2016 à Torodi et à Maradi. Depuis, elle se trouve dans toutes les régions du Niger. Encore plus grave, cette chenille a attaqué le mil en saison des pluies à Maradi (plusieurs milliers d’hectares) mais aussi à Torodi. Elle est donc un véritable danger potentiel pour les cultures céréalières et il faut la connaître pour pouvoir lutter contre elle. -
Tsutsar masara da ake cema da turanci : Spodoptera frugiperda
A shekara ta 2016, wata sabuwar tsutsa ta bayana a kasar africa,wanan tsutsar.ta.mamaye.kasashen.africa da dama kamar su nigeria,benin,togo,africa ta kudu da sauran su ; tsutsar masara.spodoptera frugiperda tayi banna sosai a cikin gonankan masara. Wannan tsutsar masara ana.ce mata spodoptera frugiperda a turance,an ganota ne a karon farko jikin masara a garin torrodi.da maradi shekara ta 2016 ;tun daga wanan lokaci sai ta bazu a dukan fadin kasa. Abun.al’ajabi wanan tsutsar bata tsaya ga masara kadai ba, a lokacin daminar bara a garin maradi da.torodi ta apkama gonankan hatsi inda tayi bana sosai ;wanan tsutsa dai babbar matsala ce ga hatsi.da dawa, ya kamata manoma su nemi saninta don su yaketa. -
Kolkoto noonizo kan si gane annasarakine ga spodoptera frugiperda
Annasara jiiri 2016 nga no noonize tagi fo bangay iri africa laabu bobo yan ra,laabey kan yan ra a go nga gati(nigeria,benin,togo afrique du sud,kala ama koy laabu gerey ra) nankanyan ana hasarawo bobo te kolkoto ga. I sintin ga diya Torodi nda Maradi gandara novembre hando 2016, sonhon nango bobo na go iri niijer laabo ra. Nankan haya ga hunburandi koyne noonizo din halada haynay nadi manan kayidiya wate, Maradi Torodi batama beeri yan ra yadin ga hasarawo bobo no aga te dumizey kan yan I ga fare bon ihima no ga fondo konno sanbu ga duga tangame nda. -
Alternariose sur oignons à Gotheye
Le périmètre irrigué du groupement féminin Wafakeye de Gotheye compte 12 ha cultivés par 113 femmes en bordure du fleuve Niger. L’oignon représente 80% des cultures. En janvier, l’oignon a subit des attaques sévères des feuilles, celles-ci se dessèchent à partir des extrémités.
L’attaque a commencé dans les pépinières et s’est étendue rapidement sur les planches d’oignons à proximité. Les productrices dont les parcelles sont atteintes sont obligées d’arracher leurs oignons même s’ils ne sont pas à maturité, sinon la récolte est détruite. C’est donc très grave. Ces attaques sont fréquentes depuis au moins 10 ans. -
Diversité des pesticides et leur utilisation dans la lutte contre les ennemis des cultures maraichères dans la zone périurbaine de Niamey, Niger
Les cultures horticoles, constituent un des maillons importants de l’agriculture nigérienne. Leur importance s’est surtout accrue à partir de 1984, l’année du lancement de la campagne dite de « cultures de contre saison ». Mais malgré cela, peu d’intérêt a été accordé à la lutte contre leurs bio-agresseurs. Pourtant, ces cultures subissent une forte pression parasitaire entrainant parfois l’échec de certaines cultures. Le cortège parasitaire est composé de ravageurs (insectes, acariens, nématodes, rongeurs, etc.), d’agents de maladies (champignons, bactéries, virus) et de mauvaises herbes. Pour minimiser l’impact de ces ennemis des cultures sur la production horticole, les producteurs nigériens font le plus souvent recours aux pesticides de synthèse dont certains sont d’origine douteuse. Pour appréhender la problématique d’utilisation de ces pesticides, une enquête a été menée dans la zone périurbaine de Niamey auprès des producteurs et des vendeurs de pesticides sur les modes d’utilisation de ces produits, la nature des pesticides utilisés, et leur conservation, etc. -
Reconnaître les ravageurs au stade larvaire : araignée rouge, mouche blanche, puceron, thrips.
Lors des formations des animateurs et conseillers en maraîchage sur la protection phytosanitaire, les ravageurs sont abordés les uns après les autres. Pour chaque ravageur, il est examiné les différents stades : larves, pupes ou nymphes et adultes. Lors du suivi des animateurs, il est apparu des difficultés à identifier les ravageurs les plus petits, notamment aux stades larvaires. Or, identifier précocement les ravageurs est très important pour intervenir rapidement surtout pour les ravageurs ayant une très forte capacité de multiplication. C’est le cas de l’araignée rouge, la mouche blanche, les pucerons et les thrips. Le premier est un acarien, les trois autres sont des insectes. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur le moringa au Niger
Au cours d’entretien avec les revendeurs des produits maraîchers du « petit marché » de Niamey en début décembre, ceux-ci ont expliqué que cette année le prix du moringa n’avait pas baissé après la fête du Ramadan car le moringa était « attaqué », ce qui entraine une baisse de la production. -
ALERTE / Tuta absoluta a refait son apparition sur les tomates
En février 2013, les premières attaques de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) avaient été signalés dans des parcelles du village de Bourbourkabé situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. Par la suite, il est apparu que ce nouveau ravageur était également présent dans les régions d’Agadez, Niamey et Tillabéri. Les dégâts enregistrés par les producteurs ont été très importants dans de nombreuses localités. -
ALERTE Une nouvelle maladie sur les agrumes au Niger
A 100 km au sud de Niamey, dans une ferme isolée (20 km de la route bitumée), les orangers sont malades. Cette maladie attaque différents agrumes. Les orangers, citronniers et pomelos sont considérés comme très sensibles. Les tangelos, dont la production est très importante au Niger, sont considérés comme sensibles à moins sensibles. -
Lutte intégrée contre les nématodes parasites des cultures maraîchères
Dans les pays du Sahel, les nématodes parasites des cultures constituent un facteur limitant à la production maraîchère. Pour minimiser les pertes de rendements qu’ils occasionnent, les producteurs ont à leur disposition plusieurs méthodes de lutte. Mais aucune d’elles n’est efficace si elle est utilisée individuellement. D’où est né le concept de lutte intégrée. -
Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation ?
Au sahel, les cultures subissent une pression parasitaire très importante, surtout celle exercée par les nématodes sur les cultures maraichères. Avec l’intensification de l’irrigation, ces ravageurs sont actuellement devenus un des problèmes phytosanitaires les plus préoccupants sur les cultures, à tel point que certains n’hésitent pas à les qualifier d’ennemis des maraichers ou de ravageurs sournois car leurs attaques passent le plus souvent inaperçues. -
Gestion de la chenille mineuse de l’épi du mil par des lâchers du parasitoïde Habrobracon hebetor Say au Niger
La chenille mineuse de l’épi du mil, Heliocheilus albipunctella De Joannis, est l’un des principaux ravageurs du mil en zone sahélienne. En 2015 et 2016, une démarche de lutte biologique de grande envergure a été initiée par des lâchers du parasitoïde antagoniste ectolarvaire Habrobracon hebetor Say dans les cinq régions du Niger. Des équipes incluant les organisations de producteurs ont été mises en place pour la sensibilisation des agriculteurs, l’identification des zones d’infestation du ravageur et la mise en place de 9177 sacs de lâcher. Les surfaces couvertes ont été estimées à 1 417 680 ha en 2015 et 1 521 330 ha en 2016 soit 21% des surfaces en mil dans les régions concernées. Les évaluations menées au cours des deux années ont permis de noter une augmentation des taux de parasitisme de la chenille mineuse de 168 à 1398% dans les villages de lâcher par rapport aux villages témoins. L’enquête sur la perception a révélé une appréciation positive de 77% des répondants. Ils ont estimé la mortalité moyenne des larves du ravageur à 76% et les gains de rendement à 50%. -
Les principaux arthropodes nuisibles des céréales, des légumineuses et du cotonnier au Sahel et leur contrôle
Cette note technique répertorie les principaux ennemis de cultures au Sahel et en propose une méthode de contrôle et de lutte en fonction de la phénologie de la culture. -
Gestion agro écologique des cultures fruitières et maraîchères
Aujourd'hui, les systèmes horticoles doivent évoluer pour à la fois augmenter leur productivité et prévenir les risques pour la santé humaine et l’environnement. la maîtrise des bio-agresseurs sans recours aux pesticides de synthèses, constitue une voie privilégiée pour la mise au point des systèmes horticoles de demain. l'augmentation de la diversité des plantes cultivées et sub-spontanée dans les systèmes de culture, en favorisant notamment le développement des organismes axillaires ( prédateurs, pollinisateurs, parasitoïdes ... ), permet de contrôler plus durablement les populations de ravageurs. -
Fiche technique : les pucerons du poivron
Les agents responsables des principales attaques sur les cultures de poivrons sont des insectes phytophages (qui se nourrissent des plantes), des acariens, les nématodes et des virus. Une lutte efficace contre ces ennemis des cultures implique la connaissance de leur biologie (mode de vie, caractéristiques naturelles, …). -
La maladie du rabougrissement de l’arachide : observations sur champ
En Afrique deux maladies virales peuvent entrainer une baisse de production, il s'agit du rabougrissement de l'arachide et de la rosette de l'arachide. -
Guide de bonnes pratiques phytosanitaires pour la production de tubercules et de feuilles de manioc (Manihot esculenta) en pays ACP
Le document « Guide de Bonnes Pratiques Phytosanitaires » (fruit ou légume) détaille toutes les pratiques phytosanitaires liées au (fruit ou légume) et propose essentiellement des substances actives soutenues par les fabricants des pesticides dans le cadre de la Directive Européenne 91/414 et devant respecter les normes Européennes en matière de résidus des pesticides. Au stade actuel ces substances actives n’ont pas été testées en pays ACP par le PIP pour vérifier la conformité avec les LMR européennes.Les informations données sur les substances actives proposée est donc et sera adaptée en continu selon les nouvelles informations que rassemblera le PIP. Il est évidemment entendu que seules les formulations légalement homologuées dans leur pays d’application sont autorisées à l’usage. Chaque planteur aura donc le devoir de vérifier auprès de ses autorités réglementaires locales si le produit qu’il souhaite utiliser figure bien sur la liste des produits homologués. -
La mosaïque africaine du manioc, une maladie ignorée des producteurs au Niger
Le manioc (Manihot esculenta Crantz) est cultivé dans près d’une quarantaine de pays d’Afrique. En 2012, la production au Niger se chiffre à plus de 100 000 tonnes obtenues sur environ 7 000 hectares. Cette production représente près de 45 482 tonnes en équivalents céréaliers (Rép. Niger, 2012). Au vu de cette importance dans l’alimentation des Nigériens, toute menace sur la production doit être considérée comme une atteinte à la sécurité alimentaire, et de ce fait être sérieusement combattue. La plus grande contrainte biotique1 à la production de manioc au Niger est sans contexte la Mosaïque Africaine du Manioc (ou African cassava mosaic disease, ACMD), maladie qui sévit dans toutes régions productrices de notre pays. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger.
Le développement des cultures irriguées, à la fois en termes d’espaces mais également en termes de périodes de production, entraine une augmentation de la pression des ravageurs et maladies. A cela s’ajoute l’apparition de nouveaux ravageurs. Le manque de connaissances des producteurs maraîchers sur les ravageurs et maladies des cultures, ainsi que sur les différentes méthodes de lutte, entraine des pertes très importantes et une utilisation abusive et/ou inappropriée des pesticides chimiques. Quand un producteur voit sa parcelle, et donc son gagne-mil (adaptation de l’expression gagne-pain) se faire rapidement dévorer et détruire par des ravageurs, il prend la décision la plus facile ou rapide et court acheter un « médicament », un flacon, une boite ou un sachet de pesticides chimiques auprès d’un vendeur de proximité. C’est souvent trop tard et pas très efficace. -
Fiche technique : préparation d’une solution aqueuse de neem contre les ravageurs des cultures maraîchères
Cette fiche a été réalisée à partir des documents de l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) et d’un support vidéo de l’Association des Professionnels de l’Irrigation Privée et des Activités Connexes (APIPAC, Burkina Faso). -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon
Les Chambres d’agriculture du Niger ont été créées par la Loi 2000-15 du 21 août 2000, complétée par le décret d’application du 18 mai 2001. Il y a huit Chambre Régionale d’Agriculture (CRA), une par région, et le Réseau National des Chambres d’Agriculture (RECA). Les CRA sont dirigés par des responsables professionnelles agricoles élus tous les 4 ans. La loi a confié aux Chambres d’Agriculture des missions d’intérêt général : représentation des agriculteurs, éleveurs, pêcheurs, exploitants forestiers, appui conseil / vulgarisation, formation, information des professionnels agricoles. L’oignon est une plante avec un nombre réduit d’ennemis comparé aux autres plantes maraîchères. Malgré tout, des ennemis peuvent réduire le rendement de manière significative. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs du poivron et du piment
L’objectif de ce module de formation est d’être capable de reconnaître les ravageurs des cultures du poivron ou piment au Niger, d’être capable de faire des observations sur les ravageurs et les cultures et être capable de proposer et d’expliquer aux producteurs et productrices des mesures de lutte à mettre en place (lutte intégrée) en fonction des situations. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
La noctuelle de la tomate est un petit papillon de nuit, c’est à dire qu’il se déplace et se nourrit au crépuscule et la nuit. Ces papillons sont le plus souvent de couleur grise. Cette note présente sa chenille qui est un des principaux ravageurs de la tomate, surtout en saison sèche, mais s’attaque également à d’autres légumes fruits comme le poivron et le gombo, mais aussi au coton et au maïs. Cette chenille est le principal ravageur de la tomate en saison sèche. On la trouve dans toutes les régions du Niger. -
Niébé et arachide à Zinder : une année à chenille poilue
En ce début de saison des pluies, l’arachide, le niébé mais également le mil, le sésame ou la pastèque subissent des dégâts importants à cause de la chenille poilue dont le nom scientifique est Amsacta moloneyi. C’est une chenille polyphage, c'est-à-dire qu’elle peut se nourrir de nombreuses plantes cultivées ou non. Il a été observé des dégâts jugés sévères de la chenille poilue dans des localités des départements de Matameye mais aussi de Mirriah et de Magaria Les chenilles peuvent atteindre 4 cm de long. Elles sont de couleurs vives (jaune, orange, brun) et surtout portent de longs poils serrés. En début de saison, la chenille poilue d’Amsacta moloneyi s’attaque principalement aux plantules du niébé. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs de l’oignon.
Le présent atelier de formation s'adresse aux producteurs et animateurs des structures d'appui conseil sur les maladies et ravageurs de l'oignon. l'objectif de l'atelier est de renforcer les connaissances et ces acteurs. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : La protection du chou
Le chou appartient à la famille des crucifères (Bracicaceae). Il est la seule culture de la famille qui a une importance économique au Niger ; il en existe deux sortes : chou pommé (le plus cultivé et chou-fleur). Autre crucifère cultivé au Niger : le Navet et la radis (la production est négligeable). A la fin de la formation, les producteurs doivent: Connaitre l’importance de des ravageurs et maladies de la culture, Savoir reconnaître les ravageurs et maladies et comprendre l’ensemble des mesures à mettre en place pour combattre ces ennemis de la cultures. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : Les mouches des fruits
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les mouches des fruits. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Les nématodes parasites des cultures maraîchères
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les nématodes parasites des cultures maraîchères au Niger -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’oignon
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture d'oignons. Cette lutte passe par l'identification des principaux ennemis de cette culture. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger La protection du poivron et du piment
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture du poivron et du piment. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’aubergine et de la pomme de terre
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture de l'aubergine et de la pomme de terre. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Tomato noonizo kan se i gane “TUTA”
A te alwati kan iri Niger laabu alfarey i go gadi sanday tomato farmo do zaama noonize fono goono kan ga tomato fuunu fuunu. A to jiiri hinza kan noonize tagi fo banguay noonizo din ga kaina gumo;amma halla ga ka sohon alfarey mana fahame ase; hasarawo booba kan agate se, nga no nan alfari foyan na tomato farmo gaayi. -
Jan tauttau ko lalaba da turawa ke cema : acarien rouge
Yau zamu baku labarin wata karamar hallita aman ana iya ganinta ido da ido,wanan hallita ita ce jan tattau ko lalaba. Manoma sun san wanan tsutsar tunda tana saka gidan tane saman ganyen shipkokin gapta ko aubergine,tumati,tattasey,tashi da dankalin turawa. Wannan tsutsar na boyewa kalkashin ganyen shipkoki,manoma sun santa sosai domin a cikin lokaci kalilan take hallaka gona ga baki daya musaman ma in shipkokin dake cikin gonar sun danganta da wanda muka zana can sama. -
Tsutsar tumati : TUTA
Manoman kasar Nijar sun jima suna fama da wata tsutsa dake fu fude diyan tumati ; aman yau da hekaru uku (3), wata karamar tsutsa ta bullo,wanda har yanzu manoma basu gane ta ba,wanan sabuwar tsusta kankanuwa ce aman banar da takeyi nasa manoma asara diyawa wanda har ta kai gasa manoman kin noman na tumati ; wanan tsutsa ita ce ake cema TUTA. -
Dadara kira kan se ngane annasara ciine ga : acarien rouge
Hunkuna day iri ga salan aran se no nda anwarize kaynafo kan booro ga hini ga diya moga kan zi gane dadara kira. Alfarey ga bay zama a ga nga fuwo ciina dumizey koptey ga wana wana wana obergino tomato tattasey,tonko,nda pommpi terro. dabayan a ga lanba ga nga fuwo ciina dumizey koptey bandey ga alfarey ga bay zama aga hini ga dumizey me a me hasara wane wane dumizey kanyan iri ki za bene. -
Yadda tsutsar tumati Noctuelle da ake cema Helicoverpa a turance take
Tsutsar tumati da ake cema Noctuelle wani dan karamin malan batata ne yake futowa da dare yana neman abincin shi. Wanan malan batatan nada launi toka toka. Wanan hoton na nuna karamar tutsar da irin bannar da take hadasa wa a cikin diyan tumati musaman ma a lokacin zahi,haka zalika jinjirara tsutar na apkama ma sauran albarkatun noma kamar su tattasai da miyar kubewa da kuma kada da masara, wanan tsutar ita ce tafi bata tumati a lokacin rani,ana samun ta a cikin jahohin kasa ga baki daya. -
Tomaato nooniizo (Helicoverpa armigera) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Tomaato nooniizo wo ciini alfaga caw-caw no, zama a si fatta kala za wayna kaù kala mo ma bo. Da ba yaù, alfaga caw-caw wone hari boosa boosa no fatey ga ga. Tira wo, tomaato nooniizo bon no a ga salaù zama nga no ga ti tomaato aùùwaara i kulu ilaala, waana waana hayni waate. Tomaato nooniizo ga tuurize boobo digsa sanda tattaasa, la wala binde haabu wala mo kolkoti. Tomaato nooniizo ga ti, hayni ra, tomaatey aùùwaara laala. Niizer jarjarey kulu ra no a ga diya. -
Kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance
Yau zamu muku hira kan wani mungun kwari dake banna cikin garake kuma manoma sun sanshi kwarai da gaske,wannan kwarin shine ake cema kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance. In manoma sun san irin bannar da wannan kananan kwarin farfaru keyin saman tattasey da tomati da tonka,abincin su kenan, to har yanzu basu gano irin cutitikan da suke iya hadasama wanan shipkoki ba. -
Mouche blanche : Zarma : Hamniize kwaara kaù se i gane faransi ciine ga mouche blanche (Bemisia tabaci) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Hunkuna, iri ga salaù araù se nda jaw-kali goyey aùùwaara fo kaù ga hasaraw te hala manti mooso, kaù alfarey nda kurkey ga bay ga boori, nga ga ti « hamniize kwaara ». Ba da alfarey ga hasarawey kaù hamniize kwaara wo ga te bay, i si bay doorey kaù a ga hin ga kande ga daù tuurey ga. -
Yadda tsutsar chou ko plutella take
Zamu muku hira kan wani mungun tsutsar chou da ake cema teigne du chou a turance. Tsutsar chou da ake cema plutela da turance wani karamin malan batata ne(wanda yafi sabro girma,photo na 1) tsutsar shi ce tafi yawan banna ga chou a kasar Nijar. Wanan kwarin ana samun shi koda yaushe tsawon dukan shekara a fadin kasar Nijar aman yafi yawa a lokacin zahi tsakanin watan mars da mai,yana iya bata illahirin gonar chou. -
Suwo nooniizo kaù se i ga na fransi cine ra « teigne » tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Su nooniizo kaù se i ga ne faransi ciine ga « teigne » : alfaga caw-caw kayniyaw fo no ga a hay (A si beeri ga ba soboro, Foto 1) Niger fi azulmata ra no a go, su aùùwaara i kulu ilaala no. Amma a si laala kala dungay waate annasaara handu hinzanta ga koy iguwanta. A ga hin ga su fari kulu alandaaba. -
DANGER / Tuta absoluta, un nouveau ravageur de la tomate identifié au Niger
Le village de Bourbourkabé est situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. C’est une zone de production maraîchère isolée (loin de la route) où les producteurs sont spécialisés depuis des années sur la culture de la tomate. Au cours d’une visite des techniciens du RECA, le 20 février 2013, les producteurs ont signalé des attaques très importantes de leurs tomates. Effectivement, la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) était fortement présente. Mais les producteurs ont déclaré qu’il y avait une seconde chenille, apparue cette année pour la première fois, qui cause beaucoup plus de dégâts. Ils ont pu montrer la chenille sur feuille et sur fruit, ainsi que son papillon. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
Cette note présente le contenu d’une émission radio préparée par des agents du RECA, de la DGPV et de l’INRAN puis enregistrée en Zarma et en Haoussa avec la radio Jeunesse de Goudel pour être diffusée sur l’ensemble des régions du Niger. -
Maitrise de la pression parasitaire à travers le conseil de gestion à l’exploitation agricole et les formations
Cette note a été rédigée sur la base des résultats de l’analyse des données collectées par les conseillers de la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) dans le cadre du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) au niveau du département de Doutchi, et d’entretiens complémentaires avec des producteurs et productrices. Compte tenu de la dynamique du dispositif CGEF dans ce département, qui se fait selon les campagnes avec ou sans techniciens d’organisations de producteurs OP, les données sont établies à partir de 43 producteurs (dont 20 suivis en CGEF et 23 sous forme d’entretiens complémentaires). Il faut également noter que les données collectées au cours des deux premières campagnes de conseil de gestion n’ont pas été prises en compte car non exploitables et que les résultats intègrent uniquement les données de 2017 et 2018. -
ALERTE Spodoptera frugiperda une nouvelle chenille, ravageur du maïs
Cette chenille originaire d’Amérique a été observée pour la première fois en Afrique de l’Ouest en janvier 2016, au sud du Nigeria où elle a causé d’importants dégâts. En août 2016, la presse béninoise avance le chiffre de 30.000 à 40.000 ha de maïs détruits dans les régions du Nord Bénin. La chenille a également fait d’importants dégâts au Nigeria et au Togo. Fin novembre 2016, elle est signalée à Torodi (Région de Tillabéri), et également à Dosso. Il s’agit de la larve d’un papillon à moeurs nocturnes de la famille des Noctuidés ou noctuelles. Les insectes de cette famille sont malheureusement bien connus des producteurs car elle comprend les ravageurs les plus dévastateurs des cultures comme par exemple la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera). -
Tuta absoluta (Meyrick) : un ravageur invasif des cultures maraîchères pour l’Afrique sub-saharienne
T. absoluta est un un lépidoptère nocturne de la famille des Gelechiidae, originaire d’Amérique du Sud. Les adultes mesurent 6-7 mm de long et environ 8 à 10 mm d’envergure. Ils sont gris argenté à marrons avec des écailles de couleur brune à noire sur les ailes antérieures (Photo 1). Les mâles sont un peu plus sombres et plus petits que les femelles. Les antennes sont filiformes et mesurent les 5/6èmes des ailes. Les oeufs, de 1 mm environ, sont de forme cylindrique et de couleur crème à jaunâtre (Photos 2 et 3). Les chenilles sont de couleur crème (1er stade) puis deviennent verdâtres et rosâtre au dernier stade (du 2ème au 4ème stade). Elles mesurent de 0,6 à 0,8 mm au 1er stade jusqu’à 7,3 à 8 mm au 4ème stade (Photos 4 et 5). Une caractéristique des chenilles de T. absoluta est la présence au niveau de la tête de 2 étroites bandes noires, une latérale et une ventrale. La chrysalide (4 à 5 mm) initialement de couleur verte devient progressivement brune (Photo 6). -
Lutte biologique contre les ennemis du chou
Explications sur les techniques de lutte biologique données par un horticulteur français -
Comment réaliser un extrait de graines de neem pour lutter contre les ravageurs ?
Cette vidéo montre comment fabriquer et utiliser de l'extrait de graines de neem pour lutter naturellement contre les ravageurs -
Lutter contre la pourriture des racines et de la tige de l'arachide
Cette vidéo présente des techniques de lutte contre la pourriture des racines et de la tige d'arachide
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Préparer une décoction d'ail pour lutter contre les chenille
Fiche technique pour la préparation d'une décoction d'ail -
traitements phytosanitaires naturels : 4 recettes
4 recettes de traitement phytosanitaire biologique -
Mildiou du basilic : Point sur les connaissances actuelles de lutte contre le mildiou
Aujourd’hui, les maraîchers des Alpes-Maritimes rencontrent des difficultés
avec le mildiou du basilic principalement en période d’été ou de changement
climatique.
De plus, le nombre de protections chimiques diminue d’années en années. Pour répondre à la demande des producteurs bio et conventionnels, une expérimentation au CREAT et un suivi chez un producteur en bio ont été réalisés en 2017, à travers le projet Is@m. -
Protection Biologique Intégrée
Ce guide donne des informations sur les techniques de protection biologique intégrée -
Utiliser le papayer comme insecticide et fongicide dans la lutte contre la rouille du caféier
Cette fiche décrit la fabrication et l'utilisation d'insecticides à base de papayer -
Utiliser le piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes
Cette note porte sur la fabrication du piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes -
Réduction des doses de cuivre : Vigne, Pêcher, Pommier-Poirier, Olivier
Le cuivre est largement utilisé en viticulture et arboriculture. Avec le soufre, c’est l’un des rares éléments autorisés en agriculture biologique (AB). Il permet de lutter de façon préventive contre de nombreux pathogènes dont il inhibe la germination des spores. Cependant, du fait de son accumulation dans le sol, il peut devenir toxique pour certains organismes qui y vivent. -
Utiliser le tabac pour lutter contre les mouches blanches ainsi que la rouille du haricot et du blé
Cet article porte sur la fabrication d'insecticide à base de Tabac contre les pucerons mineuses des feuilles, les charançons, la mouche blanche, les chenilles, la rouille du haricot et du blé -
Utiliser les feuilles et tiges de tomate contre la piéride du chou et la teigne
Cette note montre comment fabriquer des insecticides / répellents naturels à base de feuilles et tiges de tomate -
Traitement phytosanitaire naturel
Cette fiche présente des traitements phytosanitaires naturels -
Fiche maraîchage : lutte contre le flétrissement bactérien
Le flétrissement bactérien (Ralstonia solanacearum) est une bactérie du sol, pathogène des végétaux. Elle est particulièrement virulente dans les régions tropicales et subtropicales et colonise le xylème. Elle cause une pourriture bactérienne ou bactériose vasculaire chez de nombreuses plantes-hôtes. -
Fiche maraîchage n°5 : filets de protection
Le filet de protection permet de protéger les cultures des agressions extérieures telles que les insectes nuisibles et les oiseaux. Grâce à celui-ci, les traitements insecticides sont supprimés ou diminués. -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Ce présent document porte sur les méthodes pour lutter contre les ravageurs du chou
en maraîchage biologique -
Les auxiliaires entomophages
Les insectes nuisibles sont régulés par leurs ennemis naturels (prédateurs, parasitoïdes et pathogènes) appelés auxiliaires des cultures. Le préfixe « entomo - » désigne les insectes, les auxiliaires sont donc qualifiés d’entomophages s’ils consomment les insectes (araignées, insectes prédateurs et parasitoïdes), ou d’entomopathogènes s’ils les rendent malades (micro-organismes). -
la lutte biologique par conservation
Les insectes prédateurs et parasitoïdes, les araignées et les champignons entomopathogènes s’installent spontanément et durablement dans les milieux qui leur sont favorables et contribuent naturellement au contrôle des insectes ravageurs : ainsi s’opère la lutte biologique par conservation. Trois conditions sont essentielles pour favoriser les auxiliaires... -
La lutte contre les insectes ravageurs - exemples de méthodes par piégeage
Cette fiche rassemble quelques techniques utiles afin de lutter contre certains insectes nuisibles des cultures. Ces méthodes simples à réaliser utilisent des systèmes par attractif alimentaire ou piège dit mécanique. -
Les préparations naturelles peu préoccupantes
En agriculture et encore davantage en agroécologie, il est intéressant de valoriser certaines substances naturelles pour les cultures. C’est le cas notamment des substances contenues dans les Préparations Naturelles Peu Préoccupantes (PNPP) définies par la Loi d’Avenir Agricole. -
Insectes ravageurs au champ : guide d'identification
Ce guide pratique permet d'identifier les principaux ravageurs du maïs. -
Guide technique sur les nuisibles de la banane plantain, le maïs, le manioc et la tomate.
Une bonne connaissance des nuisibles des cultures est nécessaire pour permettre une meilleure gestion de leurs effets néfastes. La maîtrise des nuisibles nécessite par ailleurs la mise en place d’une stratégie de protection
intégrée et d’utilisation rationnelle des pesticides, afin de préserver l’environnement et de réduire les cas d’intoxication des utilisateurs et des consommateurs. -
La Production et Protection Intégrées appliquée aux cultures maraîchères en Afrique soudano-sahélienne
Ce document est destiné aux ingénieurs agronomes et aux vulgarisateurs. Il propose une stratégie pour la production de légumes « sains » afin de les guider vers la constitution de protocoles de cultures ou de référentiels techniques qui permettraient de donner aux maraîchers les connaissances pour produire des légumes bénéficiant d’un label assurant des produits de qualité. -
Guide des ravageurs de sol en grandes cultures
Ce présent document porte sur des ravageurs de sol en grandes cultures -
Guide de gestion des nuisibles du sorgho à l’usage des coopérateurs
Ce document porte sur la gestion des nuisibles du sorgho à l’usage des coopérateurs -
Synthèse par culture des méthodes de lutte disponibles
Ce document constitue un recensement des méthodes de lutte applicables immédiatement (I) et des méthodes de lutte potentielles (P). Pour chaque méthode de lutte, il est indiqué le pays ou l’organisme où l’on peut obtenir de plus amples informations. -
Gestion intégrée de la chenille légionnaire d’automne sur le maïs : Un guide pour les champs-écoles des producteurs en Afrique
La chenille légionnaire d’automne (Spodoptera frugiperda), CLA, est un insecte originaire des régions tropicales et subtropicales des Amériques. Les larves de la CLA (photo) se nourrissent sur plus de 80 espèces de plantes, dont le maïs, le sorgho, le millet, la canne à sucre, les cultures maraîchères et le coton. La CLA peut entraîner d’importantes pertes de rendement si elle n’est pas bien gérée.
Elle peut avoir plusieurs générations par an et la noctuelle peut parcourir
jusqu’à 100 km par nuit. -
Lutte raisonnée contre les ravageurs et les maladies de la pomme de terre
Ce guide porte sur la lutte raisonnée contre les ravageurs et les maladies de la pomme de terre -
Le citrus greening : détection et moyens de lutte envisageables
Le Citrus Greening ou Huanglongbing est causé par Candidatus Liberibacter, une 'bactérie' du Phloème. La maladie fut détectée pour la première fois en Guadeloupe en avril 2012. Cette maladie est mortelle pour les agrumes et aucun traitement n’existe. Elle est transmise par un insecte vecteur, le psylle (Diaphorinia citri) qui s’attaque aux jeunes pousses. -
Fiches descriptives des maladies et ravageurs de la pomme de terre
Ce guide inclut un ensemble de fiches descriptives permettant de reconnaître et lutter contre les maladies et ravageurs de la pomme de terre -
Fiche technique : Reconnaissance des ravageurs du maïs en culture au Bénin et méthodes de lutte
Cette fiche technique montre comment reconnaître et lutter contre les principaux ravageurs du maïs -
Efficacité des huiles essentielles contre la tavelure: Point d'étape du projet Casdar
Ce document porte sur l'efficacité des huiles essentielles contre la tavelure du pommier. -
La cochenille farineuse des racines
Cette fiche technique montre comment reconnaître et lutter contre les cochenilles farineuses des racines -
Mouche du chou
La mouche du chou a été introduite en Amérique du Nord probablement au début des années 1800 et elle est maintenant retrouvée partout au Canada. Cette espèce produit de 3 à 4 générations par année. Au Québec, les adultes provenant des pupes hibernantes émergent du sol de la fin avril à la mi-mai. Ceux-ci peuvent parcourir plusieurs centaines de mètres par jour pour trouver une plante-hôte. Au moment de la ponte, les œufs sont généralement déposés dans le sol à proximité de leurs plantes-hôtes, sur la tige de celles-ci ou sur le sol directement -
Lutte biologique contre les insectes floricoles
Le Projet de promotion de l’initiative locale pour le développement à Aguié (PPILDA) a été remplacé depuis longtemps par ses grands frères sur financement du FIDA, actuellement le ProDAF. Les fiches techniques simples et pratiques de ce projet restent toujours d’actualités et peuvent être utiles aux conseillers agricoles.
Celle-ci présente l’utilisation des feuilles Piliostigma reticulatum, appelé Kalgo en Haoussa et Kossey en Zarma, pour lutter contre les insectes floricoles (qui s’attaquent aux fleurs lors de la floraison, mais aussi au grain à l’épiaison), essentiellement les différentes espèces de punaises et cantharides. -
Ravageurs des planches maraîchères de Moringa oleifera dans la région du centre (Burkina Faso)
Etude ayant comme objectif l'identification et la caractérisation des ravageurs des feuilles de moringa oleifera, ainsi que la détermination de l'ampleur de la défoliation sur les jeunes plants en culture maraîchère -
Rapport de l'atelier de formation des encadreurs de la zone d'intervention de promovare en protection des cultures, itinéraire tecnique des cultures et en vie associative tenu du 17 au 21 décembre 2016 à konni
La population du Niger est estimée à 17 138 7 07 habitants (RGPH, 2012). Une population à plus de 80% rurale avec comme principale source de subsistance les activités agro-sylvo-pastorales. Avec le taux d’accroissement actuel de (3,9%), cette population atteindra 55 millions en 2050. Et le secteur agricole considéré comme le principal pilier pour l’alimentation et source d’emploi de cette population a une contribution en deçà du potentiel existant pour diverses raisons dont entre autres les risques climatiques, écologiques, la pression parasitaire et même sociaux et parfois l’insuffisance dans les politiques et stratégies mises en place pour accompagner les producteurs. -
Lutte biologique
Les différentes méthodes de lutter contre les ennemies des cultures -
Comprendre quelques fonctionnements écologiques dans une parcelle cultivée pour prévenir le puceron de la salade
L'agrosystème, partie cultivée de l'écosystéme, est simplifié au profit d'une ou quelques plantes cultivées. -
Les principaux ennemis des cultures maraîchères au Sénégal
La production des légumes au Sénégal 1976-1977 est d'environ 100.000 T d'après la Direction Générale de la production Agricole. Celle-ci espère atteindre en 1981-1982 environ 140.000 T -
Maladies et ravageurs de l'arachide: identification et moyen de lutte
La culture de l'arachide a connu ces dernières années une extension importante les régions du Loukkos et du Gharb. -
Ravageurs et maladies du maïs sucré
Depuis le début des années 1980, la culture du maïs sucré a connu un essor important grâce au développement variété mieux adaptées à nos conditions climatiques à une grande amélioration de la maitrise des méthodes culturales -
Projet de lutte biologique contre la mineuse de l’épi (heliocheilus albipunctella de joannis), important ravageur du mil au Niger
La mineuse de l’épi du mil (MEM), heliocheilus albipunctella de joannis (Lepidoptera, Noctuidae) et un ravageur sérieux du mil en zone sahélienne. les attaques sont fréquentes sur le mil semé précocement. -
Rapport annuel de la direction des études biologiques. campagne 2016
Dans l’exécution de ce projet, les organisations paysannes sont chargées de la production des sacs de lâcher, les services techniques (DGPV et lNRAN) accompagnent ces OP dans la multiplication du parasitoïde, le suivi des zones sujettes aux attaques de la mineuse de l’épi et l’appui conseil et méthodologique au cours du lâcher. -
Impact de la surveillance humaine sur les dégâts d’oiseaux en
riziculture pluvialeLa production rizicole locale en Côte d’Ivoire est déficitaire de plus 900 000 tonnes de riz blanchi à ce jour. Aussi, l’Etat importe depuis plusieurs années du riz afin de satisfaire la demande sociale. Les dégâts d’oiseaux constituent l’une des contraintes biotiques majeures à la base de cette faible productivité en riziculture. Traditionnellement, la surveillance humaine des rizières en début de maturation est le moyen de lutte anti aviaire utilisé par les riziculteurs. Mais cette pratique, souvent mal assurée, ne produit pas les résultats escomptés. Un essai a été conduit à la station de recherche de Man, en riziculture pluviale, dans le but de rendre plus efficace le gardiennage humain contre les oiseaux pendant la phase de maturation du riz. Quatre modalités de surveillance humaine contre les oiseaux ont été comparées, dans un dispositif matérialisé par quatre parcelles distantes les unes des autres de 50 m. Les variables analysées sont : le nombre total de talles émises à la maturité technologique, le nombre de talles fertiles à la maturité technologique, le poids sec de la paille et le poids de paddy après séchage et vannage. -
Conseiller en maraîchage - Fusariose sur laitue / Visites des sites de Kirkissoye, Saga et Nogaré
Les maraichers ont appelé le Centre d’Appels à partir de plusieurs sites de production : Kirkissoye, Saga et Nogaré. Ils n’ont pas observé de ravageur mais un dessèchement des plants, le type de symptôme qu’il est impossible à interpréter pour un conseiller à distance même avec des photos. Des séries de visites ont été entreprises sur ces sites pour mieux identifier le problème. Etant la meilleure plante pour les maraichers urbains, la laitue se vend seulement 21 jours après le repiquage et procure donc des revenus mensuels. En plus, elle se transporte difficilement ce qui empêche la concurrence extérieure et limite celle des autres régions. Mais voilà, depuis 3 ans est apparue sur plusieurs sites de production une « maladie » qui a pris beaucoup d’ampleur cette année -
Manuel sur la gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger
Le présent document est élaboré dans le cadre des activités du Programme de Promotion de l'Agriculture Productive (PromAP) financé par la Coopération Allemande. Il s'inscrit dans les activités de la composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d'améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
Projet NER : "Systèmes de Surveillance et d'Avertissement des Principaux Ennemis des Cultures"
Dans le cadre de la réalisation de l'objectif prioritaire de recherche de l'autosuffisance alimentaire, fixé par le Gouvernement, le projet vise à renforcer la capacité de la Direction de la Protection des Végétaux à entreprendre une lutte préventive contre les principaux ravageurs des cultures fondée sur une évaluation préalable du risque phytosanitaire. -
Rapport annuel d'activités 2016 et programmation 2017 de la DRP/SE
Les activités conduites par la Direction de la Réglementation Phytosanitaire et du Suivi Environnemental ont porté sur : la réglementation phytosanitaire;le suivi des pesticides et denrées stockées; le suivi environnemental et sanitaire; autres activités. -
Rapport d'activités 2014 et plan d'actions 2015
La Direction de Règlementation Phytosanitaire et du Suivi Environnemental (DRP/SE) a élaboré le bilan annuel de ses activités de 2014 et procédé à la répartition aux différentes divisions des activités retenues dans le plan d'action 2015 de la Direction Générale de Protection des Végétaux (DGPV). -
Lutte biologique contre Sida cordifolia par Hibiscus sabdariffa au niveau des espaces agropastoraux des cinq communes de la région de Dosso (Douméga, Zabori, Dioundiou, Kara-Kara et Falwel)
La présente étude expérimentale sur la lutte Biologique contre Sida cordifolia par Hibiscus sabdadiriffa a été initiée, après deux essais, afin de libérer les aires de pâturage de cette plante envahissante à travers des expérimentations au niveau de cinq (5) communes échantillons de la Région de Dosso (Douméga, Zabori, Dioundiou, Kara-Kara et Falwel).
Cette expérimentation est cofinancée par le Programme d’Appui au Secteur de l’Elevage Phase 7 (PASEL 7) et la Coopération Luxembourgeoise (NIG 025) avec la collaboration du Conseil Régional, des mairies, la supervision technique de l’Université de Dosso, de la Direction Régionale de l’Elevage et de la Coordination Régionale I3N.
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Fiche technique de lutte biologique contre Sida cordifolia par Hibiscus sabdariffa au niveau des espaces agropastoraux
Accords sociaux, préparation du terrain, semences, traitement -
Lutte biologique contre la MEM
General objective: to determine the level of millet resistance varieties to millet head miner damage. For this purpose, 25 varieties of millet were tested to assess their behavior to the pest. The study was in Burkina Faso, Mali and Niger. He infestation varied from 10.20 to 86.98% with an average of51.37%. -
Guide pratique de gestion des ennemis des cultures pour la formation des animateurs endogènes et producteurs pilotes
Le guide est destiné aux animateurs endogène dans le cadre de la formation des producteur sur le terrain afin de mieux prévenir les attaques des ravageurs sur les cultures maraîchères. -
Yaki da kwaro mai tsotse ruwan shibkoki
Le puceron est un insecte ravageur qui affaiblit les plantes en s'attaquant surtout aux feuilles et aux fleurs. Sur cette affiche, il relève des images qui illustrent de l'attaque de l'insecte sur les plantes et les méthodes de lutte appropriée contre cet insecte. -
Yaki da tsutsa mai bata sayyun shibka
L'affiche fait cas des nematodes qui s'attaquent aux racines des plantes comme le piment vert, la tomate...et propose des méthodes pour empêcher aux ravageurs de s'attaquer aux cultures. -
Yaki da farin kuda
La mouche blanche est un insecte qui s'attaque aux feuilles des plantes. Cette affiche dans un un premier temps, décrit son cycle de reproduction, ensuite l'impact sur les cultures et propose en fin les moyens de lutte par l'emploie des pesticides et biopesticides sur les plantes. -
Yaki da buzuzu mai bata diyan itace
La présente affiche décrit l'action de l'insecte ravageur appelé la cétoine sur certaines cultures et les méthodes de riposte à son encontre. -
Yaki da cuta mai rubar da amfanin noma
Cette affiche nous donne des informations sur l'attaque de fusariose sur l'oignon. "Elle est due à un champignon microscopique, donc invisible à l’œil nu, qui est présent dans le sol. C’est une maladie « fongique », c’est le mot employé pour dire qu’un champignon en est responsable. Les produits de traitement sont appelés « fongicides »". (Extrait de la note RECA, la fusariose de l'oignon; 2020). -
Yakin da jan tautau
L'araignée rouge est un ravageur qui s'attaque à la fois aux plantes, aux arbustes et même aux arbres. Cette affiche nous montre quelques plantes parasitées par l'espèce et propose des solutions pour éviter ses dégâts. -
Yaki da tsutsa mai bata albasa
L'alternariose, ou brûlure alternarienne, est le nom générique d'une série de maladies fongiques dues à diverses espèces de champignons des genres Alternaria ou Ulocladium. La tache pourpre est une maladie des climats chauds et humides. C’est une maladie commune de l’oignon qui peut être très destructive. -
La protection phytosanitaire du Moringa / Quels conseils aux producteurs ?
Le moringa (el maka en Haoussa et windi boundou en Zarma) est une culture très importante au Niger avec deux grands bassins de production, autour de Niamey et dans la région de Maradi. La production du moringa a augmenté régulièrement ces dernières années. Les visites et échanges avec des producteurs des différents sites de production, autour de Niamey, indiquent une pression parasitaire de plus en plus forte avec des pertes de production importantes. Les producteurs se plaignent particulièrement d’un ravageur qui mange les feuilles. Celles-ci peuvent entièrement disparaitre de l’arbuste laissant les branches nues. Sur la photo ci- dessous, le vert des feuilles a été mangé et il ne reste que le « squelette » blanc. -
Plan de travail et budget annuels
Le plan de travail et budget annuels (PTBA) exercice 2006 du Projet de Lutte d'Urgence contre le Criquet Pèlerin couvre la période allant du 1er janvier au 31 décembre 2006. Il est issu d'une mise à jour du premier plan de travail 2005/2006 et présente toutes les activités programmées e, 2006 par la cellule nationale de coordination (CNC) dont la mise en oeuvre se fera avec la participation des différents partenaires : les services de l'Etat, les instituts de recherches ou de formation, les ONG; etc... qui ont en charge l'exécution d'une partie des activités du projet. -
Guide de formation : l'agroécologie pour sortir des pesticides - Promotion d'alternatives au pesticides : Module 3
L’objectif de ce module est de permettre de développer la lutte biologique et une meilleure connaissance des ravageurs et auxiliaires afin de mettre en place une stratégie de protection des cultures sans pesticides. Concernant les principes globaux, la pyramide ci-dessous présente les différents outils et méthodes pouvant être mis en œuvre par les paysans afin de leur permettre d’éviter au maximum l’utilisation de pesticides. Pour obtenir des cultures les plus saines possibles, les principes de base de l’agroécologie se situent en socle avec une diversité de pratiques, de systèmes de culture et de paysages. Ensuite interviennent les observations, étape déterminante pour établir le bon diagnostic et choisir la stratégie. -
Influence de la rotation culturale avec apport de matières organiques exogènes et d’une fertilisation minérale sur les nématodes phytoparasites en culture du sorgho au Centre Ouest du Burkina Faso
L’infestation du sol et des racines du sorgho (sorghum bicolor (L.) Moench) par les nématodes phytoparasites a été étudiée en 2008 sur un essai agricole à l’Ouest du Burkina Faso. Cet essai agricole est représentatif de la production du sorgho avec utilisation de différentes pratiques agricoles incluant la rotation culturale, l’apport de matières organiques exogènes et une fertilisation minérale. L’objectif était de déterminer l’effet de ces pratiques sur les taux d’infestation du sol et des racines par les nématodes. Les nématodes du sol ont été extraits selon la méthode de « l’élutriateur » de Seinhorst et ceux des racines selon la méthode de « l’asperseur » de Seinhorst. Le sol et les racines du sorgho ont été plus infestés par les nématodes dans la monoculture de sorgho par rapport aux rotations sorgho – niébé et sorgho – coton. -
Combattre les criquets du mieux possible : les pesticides dans la lutte contre le criquet pèlerin : Peser le pour et le contre
Cette brochure présente les activités du Centre d'intervention antiacridien d'urgence (ECLO) de la FAO dans le domaine de la santé humaine et de l’environnement. -
Les solutions alternatives préventives et curatives aux pesticides chimiques de synthèse
Le présent livret technique a pour vocation d’aider les facilitateurs des CEP dans leurs tâches pour faire diminuer l’usage de pesticides chimiques de synthèse qui présentent un danger pour la santé publique et l’environnement. Les facilitateurs des CEP sont des agents de la vulgarisation ou des producteurs relais. A ce titre, ils doivent mieux connaître les alternatives éprouvées qui sont utilisées dans la sous-région ou ailleurs au niveau des cultures maraîchères et des cultures pluviales. -
Défrichement amélioré
Cette technologie agroforestière traditionnelle consiste à protéger les espèces ligneuses poussant naturellement afin d’éviter leur destruction pendant les travaux champêtres et le pâturage et de favoriser leur croissance. -
Lutte biologie et protection intégrée
L’agriculture biologique, considérée comme une des approches de l’agriculture durable, se base sur le respect des écosystèmes naturels. Elle implique une inspection et une certification. -
Rhinyptia infuscuta scarabaeidae coléoptère
Ces colèoptères peuvent etre détruits en allumant des feux le soir pour les attirer. Les traitements chimiques ne sont pas rentables si la floraison est avancée. Les feux de fumée sont traditionnellement utilisés. -
Lutte biologique : le Sida cordifolia a un ennemi sur les plateaux de l’Ouest (Région de Tillabéri – Niamey)
Sida cordifolia, la plante envahissante par excellence, qui peut couvrir des terroirs entiers, à perte de vue… L’espèce Sida cordifolia était présente dans la végétation naturelle du Niger, avec une répartition spécifique faible. Depuis plus d’une décennie, cette herbacée, peu consommée par les animaux, colonise les jachères, les aires de pâturage en voie de dégradation et les couloirs de passage dans les zones agricoles et agropastorales. -
Effet des feuilles sèches de neem et de ricin sur les nématodes à galles (Meloidogyne javanica) de la tomate au champ
Les feuilles sèches de neem (Azadrichta indica A. Juss) et de ricin (Ricinus communis L.) ont été utilisées en incorporation au sol, en comparaison au produit nématicide, Nemacur (fénamiphos), pour le contrôle au champ des nématodes à galles Meloidogyne javanica de la tomate. Ces deux espèces végétales à effet nématicide, incorporées sous forme de fragments de feuilles séchées, à la dose de 10 tonnes/ha, ont permis de réduire les populations des nématodes à galles et d’améliorer la croissance et le rendement de la tomate. Le taux d’accroissement du rendement par rapport au témoin a été de 25,71 % pour le neem et de 73,79 % pour le ricin. De plus, le ricin a eu un effet nématotoxique comparable à celui du fénamiphos dansla réduction de l’indice de galles. -
Lutte biologique et biocontrôle : un besoin de clarification
La lutte biologique et le biocontrôle sont des concepts de protection des cultures qui ont des points communs mais qui ont également leurs spécificités. La première est connue depuis les années 1880, alors que le second est apparu dans les années 2010 dans le paysage français. Depuis quelques années, on constate régulièrement une confusion dans les termes et dans les interprétations de ces concepts qui ne sont pas de même nature : la lutte biologique est définie par des stratégies et le biocontrôle par des produits. Ce papier vise donc à répondre à un besoin de clarification : il contribue à distinguer les périmètres et les contenus de ces concepts, à pointer certains rapprochements abusifs et à proposer des clarifications sémantiques. Il passe en revue les termes anglophones et francophones relatifs à la lutte biologique et au biocontrôle à l’échelle européenne. Le papier discute enfin du rôle et de la pertinence des deux concepts dans la protection agroécologique des cultures. La lutte biologique par conservation y occupe une place centrale, car elle relève d’une approche systémique et préventive des risques liés aux bioagresseurs des cultures. Si certains produits de biocontrôle sont prometteurs pour la prévention des risques liés aux bioagresseurs, beaucoup d’autres s’inscrivent dans une démarche curative, similaire à celle de l’utilisation des pesticides chimiques de synthèse, avec les mêmes types de retombées commerciales pour l’agro-industrie. -
Étude de cas sur l'agroécologie : combattre les insectes ravageurs et les mauvaises herbes en Afrique
Les plantes agissant comme des pesticides, aussi appelés pesticides d’origine végétale, ont été utilisées depuis des siècles contre les insectes ravageurs. Leur usage dans le domaine de l’agriculture remonte aux empires grecs, romains et égyptiens. Leur usage
était la principale pratique dans la protection des plantes ou cultures à cet époque contemporaine, jusqu’à l’avènement de pesticide de synthèse en milieu du XXème siècle. Les pesticides de synthèses ont été conçus pour surmonter la plupart des problèmes liés à la culture des plantes naturelles, c’est-à-dire la stabilité, la résistance et la dégradation causées par les rayons solaires et l’action rapide. Bien que les pesticides de synthèse soient très efficaces, leurs utilisations fréquente et abusive en entrainent des dégâts considérables sur le bien-être environnemental et humain. Voilà bien une situation qui rend obligatoire la découverte d’alternatives et pratiques durables basée sur des principes agroécologiques dans la lutte contre les insectes ou ravageurs. -
Lutter sans pesticides contre les pucerons sur le gombo, comment favoriser les auxiliaires ?
Les pucerons sont des ravageurs pouvant faire de gros dégâts sur le gombo, ils font partie des bioagresseurs des plantes. Les pucerons ont des ennemis naturels que l’on nomme « auxiliaires ». Les auxiliaires sont des organismes utiles aux plantes cultivées, soit en tant que prédateur ou parasite des bioagresseurs des cultures, soit en tant que pollinisateur indispensable à la fécondation de nombreuses espèces de plantes. -
Les possibles utilisations de Tithonia diversifolia (Tournesol mexicain) comme biopesticides et biofertilisants
Le Tithonia fait l’objet d’expérimentation par la recherche dans plusieurs pays de la sous-région (Nigeria, Cameroun, Côte d’Ivoire, Togo, etc.) à la fois pour une utilisation comme pesticide bio et surtout comme fertilisant organique. Cependant, cette plante n’est pas connue au Niger même si elle a été introduite par des producteurs passionnés d’agriculture biologique. Nous l’avons rencontré chez Mahamadou à Guidan Ider (photo ci-contre). -
Agents potentiels de lutte biologique contre la Chenille Légionnaire d’Automne (CLA), Spodoptera frugiperda (J.E Smith) à l’aide des parasitoïdes oophages au Niger "à chaque ravageur, son ennemi naturel"
Deux parasitoïdes oophages, Telenomus remus et Trichogrammatoidea sp. parasitant les œufs de la CLA dans les champs de sorgho et maïs, ont été observés au Niger depuis 2017-2018. Ces parasitoïdes sont actuellement en élevage de masse au laboratoire d’entomologie de l’ICRISAT Sadoré dans une perspective de lutte biologique contre la CLA. Des tests ont montré que Telenomus remus a été plus efficace avec un taux de parasitisme supérieur à 75% des œufs de la CLA au laboratoire et environ 70% au champ en station. -
Le bouillon de chaux soufré
Le bouillon de chaux soufré est aussi appelé « bouillon
révolutionnaire » en Amérique du Sud. Il s’agit d’un fongicide (polysulfure de calcium) qui permet de lutter potentiellement contre une cinquantaine de maladies cryptogamiques dues aux champignons. -
Le Super Magro liquide
Le Super Magro constitue un bon amendement du sol. -
Le bouillon à chaud de cendres
Il s’agit d’un bio insecticide qui permet de lutter contre la chenille légionnaire du maïs et la mouche blanche. -
Le purin de papaye en maraichage
Le papayer est un fruit bien connu des habitants du pacifique. Habituellement consommé pour ses feuilles ou ses fruits, il contient une substance (la papaïne) réputée insecicide.