Zamu muku hira kan wani mungun tsutsar chou da ake cema teigne du chou a turance. Tsutsar chou da ake cema plutela da turance wani karamin malan batata ne(wanda yafi sabro girma,photo na 1) tsutsar shi ce tafi yawan banna ga chou a kasar Nijar. Wanan kwarin ana samun shi koda yaushe tsawon dukan shekara a fadin kasar Nijar aman yafi yawa a lokacin zahi tsakanin watan mars da mai,yana iya bata illahirin gonar chou.
Globalement, la production locale de pomme de terre - Agadez et Bonkoukou, Région de Tillabéri, principalement - est présente sur le marché de fin décembre à juin. A partir de juin ce sont les pommes de terre d’importations qui se trouvent sur le marché : la pomme de terre du Maroc avec une disponibilité quasi permanente, accompagnée par la pomme de terre du Nigeria.
Cette note présente les techniques traditionnelles de conservation de la pomme de terre des producteurs de la commune d’Imanan, la «pomme de terre de Bonkoukou» comme appelée sur les marchés. Avant cela, les différentes infrastructures (modernes) ayant pour but de stocker la pomme de terre sont présentées.
Cette note présente les caractéristiques des différentes variétés de chou en vente au Niger dans des boutiques ou par des vendeurs ambulants. En français, le mot « chou » désigne plusieurs espèces ou variétés de plantes appartenant généralement à la famille des Brassicaceae. Ce sont souvent des légumes comestibles dont on consomme les feuilles, mais aussi l'inflorescence charnue (chou-fleur) ou la tige renflée (chou-rave). Au Niger, le chou le plus cultivé est le chou commun que l’on appelle également chou pommé ou chou « cabus ». Le nom chou cabus est imprimé sur certains sachets de semences et peut être confondu avec le nom de la variété.
Au Niger la culture de pomme de terre prend de plus en plus de l’ampleur, notamment sur des périmètres où l’eau d’irrigation ne constitue pas une contrainte à la production horticole. En effet, afin d’accompagner les producteurs dans la maitrise de l’itinéraire technique de production, une étude expérimentale axée sur les paramètres ; nombre de tubercules par plant, poids moyen du tubercule, nombre moyen de bourgeons végétatifs par tubercule et du rendement à l’hectare a été conduite. Des résultats obtenus, il ressort que la combinaison de techniques culturales qui assure le meilleur rendement en termes de production pondérale de pomme de terre est la dose d’engrais équivalente à 250-250-250 kg/ha de N-P-K croisée avec la densité de plantation de 20 cm entre plants sur les lignes et 50 cm entre lignes, reflétant un rendement de 62,4 t/ha. C’est aussi la technique recommandable pour les producteurs des semences, en ce sens qu’elle assure un poids moyen du tubercule (62 g) et une grande capacité d’émission de bourgeons végétatifs autours du tubercule (plus de 5 bourgeons végétatifs par tubercule).