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Mise en place de champs écoles et production de compost.
Ce document aborde la question de la fertilité des sols, qui constitue une des préoccupations paysannes. Il est donc urgent de restaurer et de régénérer la la fertilité des sols en mettant un accent particulier à la production de compost pour le maraîchage. -
Analyse des impacts des investissements dans la gestion des ressources naturelles sur le secteur élevage dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry au Niger
L’étude est conduite au Niger par une équipe pluridisciplinaire composée d’experts nigériens sous la coordination scientifique du Centre Régional d’Enseignement Spécialisé en Agriculture (CRESA) de l’Université Abdou Moumouni de Niamey. Le fondement méthodologique le plus important de l’étude est de comparer la situation avec et sans intervention. A partir d’une comparaison de la situation avec et sans investissement, il faut, si possible, connaître la situation avant (baseline data) et après intervention. Il est important de calculer les impacts sur les sites où les investissements ont eu lieu, mais il faut aussi capturer les impacts hors site (on-site and off-site). Afin de pouvoir calculer les impacts économiques des investissements par des projets de gestion des ressources naturelles (GRN), il est important d’avoir une idée des effets cumulatifs.
Plusieurs thématiques de recherche ont été identifiées dont entre autres celle relative aux ressources pastorales.
La finalité de cette étude est de contribuer à la quantification des impacts des investissements dans la GRN dans les sites retenus afin d’aboutir à une évaluation économique. -
Le mouton Koundoum au Niger
Le mouton Koundoum représente le principal mouton à laine du Niger. Il est élevé sur les bords du fleuve Niger et dans les îles qui jalonnent le fleuve, depuis la frontière du Mali jusqu’à Kollo. C’est un mouton de petite taille (60 cm de hauteur et 30 kg de poids pour le mâle). La couleur noire est la plus fréquente. La viande est réputée de qualité car ce mouton produit une viande « maigre » c’est-à-dire sans graisse et très tendre. -
L’insémination artificielle et la gestion de troupeaux de sélection
Ce petit manuel de formation à l’insémination artificielle (I.A.) a été préparé dans le but de donner les connaissances essentielles pour les personnes débutant dans ce domaine. On donnera d’abord des rappels d’anatomie et de physiologie de l’appareil reproducteur, ensuite on décrira comment collecter et conserver la semence et enfin comment inséminer artificiellement les femelles. Par ailleurs, on voudrait également atteindre un autre objectif : la sensibilisation des personnes travaillant dans ce domaine et dans celui de l’élevage au sujet des avantages de l’I.A., en vue de favoriser l’amélioration du cheptel animal en milieu tropical et subtropical. L’amélioration du rendement et de l’efficience reproductrice sont certainement les deux objectifs principaux de l’insémination artificielle. -
Guide pratique du facilitateur champs écoles paysans
Les approches classiques de la vulgarisation agricole se sont révélées au cours des années souvent inefficaces à répondre aux préoccupations essentielles et réelles des agriculteurs. Ces approches ont faiblement impliqué les producteurs ruraux dans les différentes actions à entreprendre. Les champs écoles paysans (CEP) constituent une excellente approche de l’apprentissage participatif sur le terrain. Ils mettent l’accent sur l’observation, la discussion, l’analyse, la prise de décision collective, la présentation et la mise en oeuvre d’actions collectives et individuelles appropriées. Ils prennent leurs racines dans la science de l’écologie et associe les connaissances locales et extérieures pour donner les moyens aux paysans d’identifier les actions à mener. Efficaces et plutôt moins chers, ils encouragent les communautés à valider et à adapter certaines technologies au contexte local, à améliorer la sécurité alimentaire et la génération de revenus et à donner aux paysans les moyens de trouver des solutions à leurs problèmes. -
Les champs écoles des producteurs pour les petits éleveurs
Le secteur de l’élevage représente environ un tiers du produit intérieur brut (PIB) agricole mondial et croît plus vite que la plupart des autres secteurs agricoles. Son expansion a été principalement stimulée par une combinaison de croissance démographique, d’urbanisation et de hausse des revenus dans de nombreux pays en développement, ce qui a accru la demande en viande, lait et oeufs. La consommation de produits de l’élevage devrait encore augmenter au cours des prochaines décennies, offrant des opportunités pour le développement du secteur et permettant la réduction de la pauvreté et l’amélioration de la sécurité alimentaire. Cependant, le rythme rapide de ces changements risque de marginaliser les petits éleveurs. Les risques pour les ressources naturelles et la santé humaine doivent également être abordés afin d’assurer un développement durable. Dans ce cadre, la FAO a intégré, au cours des deux dernières décennies, des Champs-écoles des producteurs (CEP) axées sur l’élevage dans plusieurs projets et programmes, et a contribué à renforcer les capacités de nombreuses parties prenantes au développement (ONGI, ONG, instituts de recherche, etc.) concernant l’approche CEP au profit des petits éleveurs dans les régions en développement. -
Rapport annuel 2017 : les statistiques du secteur de l’élevage
Le Ministère de l’Élevage est le Ministère chargé de la conception, de l’élaboration, de la mise en oeuvre du suivi et de l’évaluation de la politique nationale en matière de développement de l’élevage, conformément aux orientations définies par le gouvernement. Le Ministère de l’Élevage emploie environ 1500 agents tous grades confondus, répartis dans les différents services aussi bien à Niamey qu’à l’intérieur du pays. -
Conseiller en maraîchage - Site de Falki
La mare de Falki se situe à 4 km au Sud-Est de la ville de Mirriah. Cette mare est un site important de cultures irriguées. -
Almaney biiri ga neera goyo tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Sooro boobo kulu no RECA ce yaù nango kaù se i ga ne Issalan ga du hayaù almaney biiri yaùey bon. Iri Niizeer laabu, alfarey nda kurkey kulu no ga almaney biiri ga neera fondey bay. Wo-din si ganji, iri ga sanni yaù filla kaù ga naù biiriyano ma boori. Sintina jina, iri ga borey fongandi kaù almaney biiri ga neera goy no kaù ga arzaka boriyandi. Almano kaù boro ga suuban, alman no kaù mana je, a gonda sanda jiiri hinka deedandi, da feeji gaaru no wala binde hincini jindi no. Da boro na almano suuban, ni ga a naasandi no, hay kaù ga naù a ma te nooru. Da boro ga ba biiri ga neeraa ma te nafa, boro mana hima ga almano biiri ga ba handu hinza (3). Da biiriyaù alwaato bisa ya-din, da boro laasabu, goyo sinda albarka kulu. -
Stratégie de développement durable de l’élevage
Ce rapport port sur la stratégie de développement durable de l'élevage au Niger -
Guide sur la gestion et la conservation des sols et des éléments nutritifs pour les champs-écoles des agriculteurs
Ce document propose des directives de référence pour la conception et la mise en application de l’approche champ-école des agriculteurs. Il est destiné aux facilitateurs de cette formation, pour produire des programmes et des manuels spécifiques locaux ou nationaux sur la vulgarisation agricole, l’agronomie, la science du sol, la nutrition des plantes, la conservation des sols et d’autres domaines de gestion agricole. Il peut être adapté à l’environnement agro-écologique, aux systèmes agricoles/culturaux, aux conditions socio-économiques et au niveau de formation des agriculteurs des régions concernées par les champs-écoles des agriculteurs. -
Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS)
L’APESS travaille dans le domaine du Développement Rural en général et le secteur de l’élevage traditionnel en particulier. L’APESS offre donc ses services aux éleveurs et agriculteurs, mais aussi aux responsables et acteurs de différents projets de développement rural. -
Élevage et marché régional au Sahel et en Afrique de l’Ouest Potentialités et défis
Le but de cette initiative conjointe de la Commission de la CEDEAO et du Secrétariat du Club du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest (CSAO/OCDE), est de voir en quoi l’élevage peut-il être un des moteurs de dynamisation du marché ouest-africain de produits agricoles et alimentaires, en renforçant d’une part la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et en contribuant d’autre part à la réduction de la pauvreté. Cette analyse est une
contribution à la mise en œuvre de la Politique agricole de la CEDEAO (ECOWAP)adoptée le 19 janvier 2005, -
État des Ressources Génétiques Animales dans le Monde : rapport national
Le Comité Consultatif National sur les Ressources Zoogénétiques a eu pour mandat l’élaboration d’un plan national de Gestion des Ressources Génétiques des animaux d’Elevage, le suivi et l’évaluation de la mise en œuvre des programmes portant sur entre autres l’inventaire et la caractérisation de toutes les espèces et races animales domestiques, la capitalisation des expériences en matière de promotion des races animales et l’élaboration des plans nationaux et des stratégies en matière de Gestion des ressources Génétiques Animales d’élevage. -
Revue du secteur de l'élevage au Niger
Le sous-secteur de l’élevage représente donc un atout majeur pour le pays pour contribuer davantage à la lutte contre la pauvreté, l’insécurité alimentaire à travers notamment l’augmentation des revenus et la création d’emplois en faveur des jeunes scolarisés ou non actuellement sans perspectives. Toutefois, pour tirer parti des opportunités actuelles du marché, il est nécessaire de
comprendre la gamme de facteurs (économiques, institutionnels, commerciaux, législatifs, technologiques et sociaux) qui affectent le secteur de l’élevage au Niger. -
Élevage au Niger : comment faire de l’élevage un moteur du développement ?
L’élevage a des avantages comparatifs par rapport aux autres systèmes agricoles. Le monde
entier reconnait que le Niger a un cheptel assez important, assez varié, dont la viande est
appréciée partout. Mais il existe des petits problèmes qui font que le pays ne profite pas suffisamment de ces avantages’’ -
Bâche élevage Niger 2015
Activité principale ou secondaire, l’élevage occupe 87¨% des populations du Niger. Plus de 41millions de tètes toutes espèces confondues soit: 3451 milliards de capital bétail. L’élevage contribue à hauteur de 11% du PIB du pays et 24% au PIB agricole 1er rang des recettes totales d’exportation des produits Agro sylvo pastoraux (22%)
2ème source de revenu d’exportation du pays, juste après les ressources minières. -
Document cadre pour l' amélioration de la résilience de l'élevage face à la variabilité et au changement climatique
au Niger.La variabilité et les changements climatiques (CC) constituent une menace importante pour le développement économique et risquent de compromettre les chances de relever les défis de réduction de la pauvreté. Or, l’intégration des CC au processus de planification du développement représente encore un défi pour les pays de l’Afrique au Sud du Sahara. -
Viabilité de l’élevage pastoral au Sahel : étude de quelques paramètres démographiques des élevages de Hombori (Mali)
L’élevage pastoral représente la principale activité économique de nombreux ménages au nord du Sahel. Malgré la qualité des pâturages au cours de la saison des pluies, cet élevage est soumis à de nombreuses contraintes liées à l’irrégularité de la disponibilité fourragère, aux difficultés d’accès aux compléments alimentaires et aux soins vétérinaires qui rendent précaires les productions animales. Or la demande en produits d’origine animale est en forte augmentation du fait de la croissance démographique soutenue et de la rapide urbanisation au Sahel et dans les pays côtiers. Cette étude à pour objectif de documenter les paramètres démographiques des troupeaux et la production fourragère des parcours utilisés par l’élevage pastoral de la commune de Hombori située au nord-est du Sahel malien. -
Champ école paysan
Présentation du concept de champ-école paysan -
Guide pratique à l'usage des facilitateurs pour les activités champs école paysan (CEP)
Ce guide présente les étapes de création d'un champs école paysan en vue de transférer des technologies adaptées aux besoins des producteurs -
Gestion intégrée de la production et des déprédateurs du
coton : Guide du facilitateur pour les Champs écoles des producteursL’objectif du guide est de fournir aux facilitateurs un document de référence qui présente l’approche de conduite des CEP dans le cas spécifique du coton en mettant l’accent sur les pratiques culturales et les options de gestion des ravageurs, des maladies et des adventices du coton suivant les principes de la gestion intégrée de la production et des déprédateurs. Il s'agit aussi de promouvoir le partage des connaissances générées, depuis 2001, par le programme sous-régional en Gestion intégrée de la production et des déprédateurs. -
Champs écoles paysans : pratiques clés pour les praticiens de la RRC
Le renforcement de la résilience des communautés vulnérables aux menaces et aux catastrophes dans un monde en évolution rapide appelle des approches innovantes et souples pour répondre aux besoins dynamiques et spécifiques de divers systèmes de subsistance. Cependant, la plupart des mécanismes de services existants dans le secteur agricole s’articulent autour de modèles conventionnels de vulgarisation où la communication est à sens unique et qui se fondent sur des recommandations d’ordre général. L‘approche des Champs Ecoles Paysans (CEP) offre une plate-forme flexible et réactive pour répondre aux besoins des agriculteurs et des éleveurs selon leurs contextes. -
Conduire des champs écoles des producteurs : Guide du facilitateur
L’objectif de ce guide est de:
-fournir aux facilitateurs un document de référence rappelant les éléments de base et les étapes pratiques pour la conduite des CEP
- promouvoir le partage des connaissances générées, depuis 2001, par le Programme GIPD, afin de promouvoir des CEP de qualité. -
Les Banques de Semences Communautaires. Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) - Guide de l’animateur
Le but de ce module est de fournir des informations aux formateurs des Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) afin qu’ils soient en mesure de parler des banques de semences communautaires, et en particulier de leur importance en ce qui concerne la sécurité semencière et alimentaire, l’agro-biodiversité et l’agriculture durable. Une série de discussions en petits groupes, de jeux de rôles, de saynètes et d’études de cas permettront de mettre en lumière le sujet des banques de semences communautaires. -
Le changement climatique. Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) – guide de l’animateur
Le but de ce module est de fournir aux animateurs de la JFFLS des informations qui leur permettent d’aborder le sujet du changement climatique, en particulier son impact sur l’agriculture et les actions que les agriculteurs peuvent entreprendre pour réduire leur vulnérabilité à ce changement. -
Elevage transhumant et mobilité transfrontière dans la vallée du Niger. Cas de la frontière Bénin-Niger
Le présent document porte sur l'élevage transhumant et la mobilité transfrontière dans la vallée du Niger. Il traite comme exemple le cas de la frontière Bénin-Niger. -
Eleveurs et élevage le long du fleuve Niger dans le département de Dosso (Niger)
Dans un ensemble soudano-sahélien, la double crue annuelle et les vastes étendues inondées en
saison sèche dotent la vallée du fleuve Niger, dans le département de Dosso, d'un riche potentiel
naturel. Celui-ci a attiré depuis longtemps de nombreux éleveurs peul dont certains, grâce à
l'importance des troupeaux, mènent encore aujourd'hui une vie nomade. Tous les éleveurs pratiquent
des déplacements entre le fleuve, deux vallées fossiles et les plateaux afin de procurer toute l'année
du fourrage vert au bétail. La qualité des animaux et le voisinage de pays déficitaires en viande
développent une commercialisation profitable. -
Enjeux et contraintes de l’élevage urbain et périurbain des petits ruminants à Maradi au Niger : quel avenir ?
Une étude a été menée à Maradi (Niger) pour déterminer les caractéristiques socio-économiques et les contraintes techniques de l’élevage urbain et périurbain de petits ruminants. Elle a montré que 60,9 p. 100 des ménages urbains et 81,1 p. 100 des ménages périurbains pratiquaient cet élevage. L’insécurité alimentaire dans les ménages, les vols, le manque d’intérêt et l’aspect contraignant de l’activité ont été les raisons évoquées par ceux qui ne le pratiquaient pas. -
Fonctionnement des élevages camelins de la zone périurbaine d’Agadez au Niger : enquête typologique
Le cheptel camelin est tributaire des ressources fourragères des parcours naturels dont le développement est soumis aux aléas de la pluviométrie, très mal répartie dans le temps et l’espace. Pour exploiter ces parcours, l’une des stratégies adoptée par les éleveurs est la mobilité. Cependant, depuis un certain temps, les mutations climatiques, socio-économiques et les conditions d’une urbanisation accélérée imposent de plus en plus des changements dans la règle de gestion des élevages. -
Caractérisation de la race ovine Balami au Niger par analyse descriptive et multivariée des paramètres morpho-quantitatifs
L’objectif principal visé par cette étude est d’établir les caractéristiques phénotypiques quantitatives du mouton Balami au Niger. Elle a pris pour cible la zone de prédilection de la race, notamment la Région de Maradi (commune d’Azagor, Bermo, Dakoro) et celle de Tahoua (commune de Madaoua). Dix-sept paramètres morpho-biométriques quantitatifs ont été mesurés sur 311 Balamis
appartenant à 99 exploitations sur 10 sites choisis au hasard, en fonction de l’adhésion volontaire des éleveurs. -
Elevage camelin au Niger : référentiel zootechnique et sanitaire
Ce guide présente les résultats issus d'un suivi des troupeaux camelins au Niger durant plusieurs années -
Guide technique de l’élevage : le développement pastoral efficace passe par la production d'herbe
L'élevage dans le Sahel se fait aujourd'hui fondamentalement selon un type usurpateur des terres en utilisant de la végétation qui y pousse naturellement. Afin de mettre un frein à la progression de la désertification et de passer à un élevage durable du bétail, il importe d'abandonner ce type d'élevage par usurpation des terres et de le remplacer par un type d'élevage qui, étant fondé sur le travail actif des terres, en assure la conservation et en élève la productivité selon un type d'utilisation cyclique. De plus, il importe de passer à un élevage plus productif (de type semi-intensif) (ce terme étant utilisé ici en opposition à l'élevage extensif) qui, ne fut-il que légèrement plus efficace, permette une bonne coexistence de l'agriculture et de la sylviculture, et permette d'obtenir davantage d'une surface et d'une quantité de bétail données. -
L'élevage au Niger.
L'élevage au Niger est pratiqué sur 650 000 km2 environ , soit plus de la moitié de la superficie totale du pays. Il constitue avec l'agriculture, l'activité économique de base, car il représente le revenu essentiel et souvent unique de couches importantes de la population et un élément primordial du commerce extérieur. Le cheptel croît lentement et régulièrement, sauf sécheresses exceptionnelles. -
Guide d'élevage sur l'embouche ovine pour la Tabaski - module 1 - généralités
Ce premier module est destiné à répondre aux préoccupations d’ordre général sur l’opération d’embouche ovine à savoir les différents types d’embouche ovine, ses intérêts pour l’entrepreneur et le consommateur, etc. -
Contribution à l’étude de la dynamique de l’élevage pastoral au Niger : cas de la région de Diffa
Dans les pays du Sahel où se pratique un élevage pastoral du type extensif, l’élevage joue un rôle essentiel dans la vie socio-économique et l’équilibre alimentaire des ménages. Cependant, à travers les littératures, un certain nombre d’études pointent du doigt cette activité, notamment sa contribution à la dégradation de l’environnement ; l’émission de gaz à effet de serre ; sa faible performance économique ; etc. Par contre d’autres études ont fait relever l’importance et l’efficience de la pratique pastorale dans un milieu naturel à équilibre instable comme le Niger, grand pays d’élevage au coeur du Sahel, avec un cheptel de plus de 37 millions d’animaux. Et dans ce cadre, cette recherche a essayé de repositionner le débat en soulignant le rôle et l’importance de l’élevage pastoral dans les pays sahéliens en général, au Niger en particulier et de manière spécifique dans la région de Diffa. -
Consultation internationale pour la réalisation d’une étude de mise en place d’un système de suivi des mouvements et stratégies d’adaptation spatiale des éleveurs transhumants en zone sahélienne (Niger)
L’étude de mise en place d’un système de suivi des mouvements et stratégies d’adaptation spatiale des éleveurs transhumants dans la zone d’intervention de la phase pilote au Niger du projet de surveillance pastorale en Afrique subsaharienne (Départements d’Abala, de Banibangou et de Filingué) a été exécutée dans un contexte particulier caractérisé par des conditions climatiques et environnementales peu favorables au développement, une précarité notoire des institutions administratives et des organisations communautaires, une absence des infrastructures socio-économiques dans la zone pastorale, la non maitrise du volume et des flux des ressources animales, une authenticité affichée des cultures des populations pastorales, et des conditions sécuritaires critiques qui pénalisent fortement les éleveurs transhumants. -
Champs écoles paysans
Les approches classiques de la vulgarisation agricole se sont révélées au cours des années souvent inefficaces à répondre aux préoccupations essentielles et réelles des agriculteurs.
Ces approches ont faiblement impliqué les producteurs ruraux dans les différentes actions à entreprendre. Les champs écoles paysans (CEP) constituent une excellente approche de l’apprentissage participatif sur le terrain. Ils mettent l’accent sur l’observation, la discussion, l’analyse, la prise de décision collective, la présentation et la mise en oeuvre d’actions collectives et individuelles appropriées. Ils prennent leurs racines dans la science de l’écologie et associe les connaissances locales et extérieures pour donner les moyens aux paysans d’identifier les actions à mener. Efficaces et plutôt moins chers, ils encouragent les communautés à valider et à adapter certaines technologies au contexte local, à améliorer la sécurité alimentaire et la génération de revenus et à donner aux paysans les moyens de trouver des solutions à leurs problèmes. -
Champs Ecoles Paysans – CEP
Le Champ école paysans (CEP), une école «sans murs», est un cadre de rencontre et de formation pour un groupe de 20 à 32 producteurs, qui se déroule dans un champ, tout au long d’une saison de culture (de la préparation du sol à la récolte). C’est un lieu d’échange d’expériences et de connaissances où des producteurs qui partagent les mêmes intérêts, recherchent, discutent et prennent des décisions sur la gestion d’un champ en partant de sa situation réelle. -
Mémento "Bien-être de l'animal d'élevage"
Mémento sur le bien-être des animaux d'élevage, permettant une amélioration de la production. -
Note sur la visite des parcs d’élevage « Garké » de la ville de Zinder
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) et le Collectif des Associations Pastorales du Niger (CAPAN) de Zinder ont effectué les 25 et 26 juillet 2018, la visite de 5 Garké dans la commune urbaine de Zinder (carte ci-dessous) afin de comprendre leur mode de fonctionnement et d’évaluer leur disponible en lait cru en vue d’une mise en relation avec la laiterie Darido qui va démarrer ses activités. Les Garké, ou parcs, sont des espaces mis à la disposition des associations d’éleveurs des quartiers de Zinder par la mairie pour y abriter les bovins des riverains notamment les vaches laitières. Les animaux sont surveillés, conduits aux pâturages et traits par quelques éleveurs couramment appelés « Makiyayi ». Les Makiyayi sont rémunérés selon des modalités bien définies avec les propriétaires d’animaux du parc. La mairie, quant à elle, ne perçoit aucune taxe au niveau des Garké. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière bétail-viande / Embouche bovine
L’embouche est une technique d’élevage intensif d’engraissement, conduite par les agriculteurs en fin des récoltes sur des animaux maigres entretenus en semi-liberté ou en stabulation totale dans les concessions et/ou dans des fermes. Les animaux sont le plus souvent sous abris et l’abreuvement se fait à volonté. Elle vise principalement la production de viande dans un temps relativement court.
L’alimentation des animaux est principalement basée sur l’utilisation des résidus de récoltes, la paille de brousse, des aliments concentrés (son de céréales) et des sous-produits agro-industriels (tourteaux de coton…).
Le fumier produit sert à la fertilisation des champs. Il existe plusieurs types d’embouche dont l’embouche commerciale, l’embouche paysanne et l’embouche industrielle. -
Note de capitalisation l’approche champs école pastoral : quelles opportunités pour les pays du PRAPS ?
Dans le cadre de ses missions de capitalisation et diffusion des bonnes pratiques et des innovations pertinentes pour améliorer la durabilité, la résilience et la productivité des systèmes pastoraux sahéliens, l’URC/PRAPS a entrepris de capitaliser les expériences de champs écoles pastoraux ou agro-pastoraux (CEAP) dans les pays du Sahel et en Afrique de l’Est. L’objectif de la capitalisation était de faire une analyse critique des premières expériences de champs écoles pastoraux ou agro-pastoraux (CEAP) dans les pays du Sahel, mais aussi de tirer des enseignements des CEAP en Afrique de l’Est y compris dans la Corne de l’Afrique, afin de juger de la pertinence de l’approche avant que le PRAPS en fasse la promotion auprès des pasteurs et agro-pasteurs dans sa zone d’intervention.
Les champs écoles agro-pastoraux sont une adaptation de l’approche Champs Ecole Producteurs (CEP) développée par la FAO dans les années 80. Les CEAP sont une approche novatrice de vulgarisation auprès des pasteurs et agro-pasteurs qui, se basent sur la pratique et un apprentissage axé sur les problèmes diagnostiqués au sein des systèmes de production agricoles de la localité. L’approche CEAP est relativement récente au Sahel et en Afrique de l’Ouest. Elle a été introduite à partir des années 2010. -
Auto-évaluation du programme d’appui au secteur de l’élevage (PASEL - Phase 6 : 2010-2013)
La présente auto évaluation, située à six mois de la clôture du programme PASEL-phase 6 se déroulant de 2010 à 2013-, sur financement de la Coopération Suisse, a permis de recueillir les avis et les appréciations des différents acteurs sur les actions développées dans les régions de Dosso, Tillabéry (Filingué) et Maradi (Centre-Ouest du Niger).
L’exercice a consisté à solliciter les débats aux échelles locales, communales, régionales et centrales sur les effets directs et induits des actions de développement promues par le programme. Sur ce constat, couplé à diverses observations d’expertise, la mission a formulé des pistes d’orientations pour une éventuelle perspective de poursuite de la coopération entre la Suisse (DDC) et le Niger. -
Offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local en Afrique de l’Ouest - Document de Stratégie
L’initiative « offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local » participe de l’ensemble des stratégies visant à opérationnaliser, non seulement la politique agricole de la CEDEAO, mais surtout à mettre en œuvre le Plan Régional d’investissement Agricole, de sécurité alimentaire et nutritionnelle. Elle se veut un cadre et un instrument qui fédèrent, coordonnent et accompagnent toutes les initiatives en cours dans l’espace communautaire, en matière de développement des chaines de valeur du lait local.
L’offensive a pour objectif spécifique d’accompagner toutes les initiatives et stratégies de développement des chaines de valeur du lait local, afin de : Augmenter de façon substantielle la production locale du lait frais en améliorant la productivité du cheptel ; Améliorer l’approvisionnement de l’industrie laitière régionale au moyen de la collecte d’au moins 25 % de la production régionale de lait local à l’horizon 2025 ; Promouvoir un environnement incitatif au développement des chaines de valeur du lait local. -
Améliorer l’accès des éleveurs à une alimentation du bétail de qualité pour augmenter la production laitière dans les Pays sahéliens d’Afrique de l’Ouest
Réfléchir aux possibles voies d’amélioration de l’alimentation du bétail dans les pays sahéliens implique de dépasser des visions technicistes simplistes et d’étudier les systèmes d’élevage dans la complexité de leurs relations à l’environnement et aux autres systèmes de production. Au-delà de politiques agricoles favorables à une artificialisation des conditions d’élevage peu adaptées aux caractéristiques de ces milieux, l’enjeu se situe dans une meilleure compréhension et reconnaissance de la place de l’élevage dans les territoires et dans l’identification des leviers à actionner pour valoriser une diversité de ressources locales dans l’alimentation animale. -
Pour une politique commerciale et des politiques fiscales favorables au développement de la filière lait local en Afrique de l’Ouest
Note de position de la campagne « Mon lait est local ». La production et la commercialisation du lait local font partie intégrante de l’économie nationale et du mode de vie des familles d’éleveurs ruraux de l’Afrique de l’Ouest. Malgré son apport non négligeable à l’économie des pays de l’Afrique de l’Ouest, la filière lait local fait face à d’énormes défi s. Ces défi s se manifestent au niveau de la production laitière (alimentation du bétail notamment) et de la collecte, mais aussi au niveau de la transformation et de la consommation, avec notamment la concurrence de matières premières de la transformation et de produits de consommation importés. Dans ce contexte, les organisations de la campagne « Mon lait est local » plaident notamment pour la mise en œuvre de politiques publiques favorables au développement de la filière lait local dans les pays de la région. -
Enquête épidémiologique sur la sensibilité des tiques aux acaricides au Niger : (Cas des tiques du genre hyalomma koch 1844)
Les productions animales occupent une place importante dans les activités socio-économiques des pays sahéliens. Au Niger,elles constituent la deuxième source de revenus à l'exportation après les ressources extractives (uranium) et contribuent de beaucoup à une augmentation notable du produit intérieur brut (P.I.B) et à l'autosuffisance alimentaire, préoccupation majeure des autorités gouvernementales. -
Caractérisation morpho-biométrique du zébu Djelli du Niger
Le zébu peul (zébu Djelli) est l’une des races bovines qui constitue les cinq groupes (5) du cheptel bovin du Niger. Il est très apprécié de par ses aptitudes zootechniques, mais son élevage est plus localisé dans les départements et communes riveraines du fleuve Niger, notamment dans la région de Tillabéry. Ce travail vise l’étude des caractères phénotypiques de cette race du fait que dans le contexte nigérien, le zébu peul a bénéficié de peu d’étude à l’image des autres races du pays. A cet effet, des données morphobiométriques ont été collectées en 2017 dans quatre (4) départements de la région de Tillabéry et dans la zone péri-urbaine de Niamey sur 289 bovins adultes (254 femelles et 35 mâles) âgés de 3 à 19 ans. -
Diversité et conditionnement des résidus de culture commercialisés comme alimentation des animaux dans la communauté urbaine de Niamey
Les résidus de culture jouent un rôle important dans l’alimentation des ruminants, et leur commercialisation prend de plus en plus de l’ampleur dans la communauté urbaine de Niamey. Cependant, ces résidus de culture sont diverses et présentés sous différentes formes de conditionnement. Pour évaluer la disponibilité et les caractéristiques physiques des résidus de cultures utilisées en alimentation des ruminants domestiques à Niamey, un échantillon de 93 acteurs dont 33 grossistes/semi grossistes ; 41 vendeurs revendeurs et 19 vendeurs ambulants a été enquêté et suivi selon les saisons.
Il ressort de ce travail que le type, le prix, le poids et la disponibilité des produits sont fonctions des acteurs et des saisons. Il serait donc important de sensibiliser les éleveurs sur les lieux d’approvisionnement en fonction des périodes de l’année. Ceci permettra une meilleure rentabilité de l’activité. -
Les Démonstration d’initiatives paysannes en élevage (DIPE) dans la zone d’intervention du PASADEM : un outil de renforcement des capacités des agro éleveurs– Note de capitalisation
Faible capacité technique des agro éleveurs dans la conduite de l’élevage, qui se traduit par des hécatombes fréquentes liées aux épizooties, la fréquence des avortements, le retard de croissance des jeunes animaux et le faible gain pondéral chez les adultes, la faible prolificité à cause des espacements entre les mises bas, etc. Toutes ces contraintes impactent négativement les revenus du petit élevage, en particulier dans les ménages vulnérables d’où la nécessité de la mise en œuvre de ce dispositif d’encadrement (DIPE). -
Caractérisation des pâturages naturels au Niger : Diversité et modes d’exploitation. Synthèse bibliographique
Cette étude vise à caractériser la diversité et les modes d’exploitation des pâturages naturels au Niger. Ces derniers regorgent une diversité d’espèces végétales valorisées principalement dans l’alimentation (humaine et animale), la médecine indigène (pour soigner les maladies humaines et animales) et l’artisanat. Cependant, le changement climatique couplé à des activités anthropiques inappropriées a perturbé de manière drastique le fonctionnement de ces écosystèmes. C’est ce qui a entrainé la baisse de la productivité de ces milieux, la raréfaction voire la disparition de certaines espèces fourragères, et surtout la prolifération des espèces végétales envahissantes tel que Sida cordifolia, Cassia mimosoides, Mitracarpus scaber, Fimbristylis hispidula. Cette synthèse bibliographique présente en premier lieu la typologie de ces pâturages ainsi que la richesse floristique en fonction des compartiments phytogéographiques du pays. Ensuite, elle essaie d’énumérer les espèces végétales menacées de disparition et celles réfutées envahissantes et leurs effets sur les pâturages naturels. -
Sécurisation du foncier pastoral en Afrique de l’Ouest - Des modèles divers et riches d’enseignements
En Afrique de l’Ouest, les systèmes agricoles et pastoraux ont connu depuis le début des années 2000 des reconfigurations importantes entraînant une mise en concurrence autour de l’accès à l’espace foncier, renforcée par la ruée des sociétés multinationales sur les ressources naturelles disponibles dans les espaces pastoraux de la zone sahélienne, ainsi que par l’extension des grandes agglomérations urbaines. Pour faire face à ces défis, des expériences de sécurisation des espaces pastoraux sont actuellement conduites sur le terrain au Burkina Faso (régions du Sahel et de l’Est), au Niger (région de Maradi et département de Niamey) et au Sénégal (département de Podor).
Cette étude, qui combine la réalisation d’une revue documentaire, la conduite d’entretiens avec les divers acteurs impliqués et la réalisation d’enquêtes auprès des éleveurs, vise à établir un bilan critique de ces expériences de sécurisation pastorale, à évaluer leur efficacité et à analyser la stratégie d’implication des organisations d’éleveurs. La capitalisation de ces différents modèles de sécurisation du foncier permettra d’en tirer des enseignements utiles pour un changement d’échelle dans la conduite de telles expériences et un renforcement des stratégies de prévention des conflits liés à l’accès aux ressources naturelles. -
La microassurance bétail pour les éleveurs mobiles en Afrique de l’Ouest : compte-rendu de l’atelier Les Résidences Mamoune, Dakar, 2-3 novembre 2016
L’atelier qui s’est tenu à Dakar les 2 et 3 novembre 2016 s’inscrit dans la mise en œuvre du Projet de Renforcement de la Résilience de l’Économie Familiale grâce à la Productivité de l’Élevage dans le sud et l’est de la Mauritanie, sur financement de l’Union Européenne. De façon plus large – et à travers un mécanisme de cofinancement, le PRREF-Mauritanie s’articule avec le projet déployé depuis janvier 2015 par Acting for Life au sein du programme BRACED de la coopération britannique (UKAid) qui couvre également le Mali, le Niger, le Burkina Faso et le Sénégal. C’est dans le cadre de ces deux interventions qu’une réflexion stratégique et prospective sur les enjeux de la microassurance pour le bétail a été menée depuis début 2015, pour finalement conduire à la tenue du présent atelier. -
Projet élevage Amataltal
La mission d'évaluation du projet Élevage à Amataltal s'est déroulée du 17 au 27 Janvier 2001. Elle a visité l'ensemble des et s'est entretenue avec les populations bénéficiaires et les différents partenaires du projet. Les constats réalisés par la mission dans la mise en œuvre des différentes composantes du projet conformément aux objectifs visés. -
Débat informé sur les enjeux du développement et de l'investissement dans l’Élevage et le Pastoralisme dans les pays Sahéliens et côtiers
Pour l'Organisation Mondiale du Commerce, le fait qu'un pays développe son commerce extérieur en valorisant ses avantages comparatifs est considéré comme un facteur de croissance et de prospérité. Selon cette version, en effet tous les états vont maximiser leur profit s'ils commercent entre eux, chacun se spécialisant dans la production de biens pour lesquels ils peuvent produire aux couts les plus bas. -
L’élevage mobile dans la région de Zinder : une recherche socio-anthropologique - Rapport de synthèse
L’élevage mobile dans la région de Zinder : une recherche socio-anthropologique - Rapport de synthèse
Etudes et travaux du LASDEL N°112 : Le programme de recherche du Laboratoire d’études et de recherches sur les dynamiques sociales et le développement local (LASDEL) sur l’élevage mobile dans la région de Zinder concernait deux axes largement imbriqués :
- Les pratiques et stratégies des éleveurs mobiles, concernant leurs activités pastorales au premier chef, mais aussi leurs relations avec les autres éleveurs et les agriculteurs, leurs rapports avec les communes, les services de l’Etat et les projets, ainsi que leurs capacités d’action collective (cf. le « dangol », autrement dit le boycott des marchés par les éleveurs peuls) - Les modes d’interventions institutionnels dans le domaine de l’élevage et les différentes formes de « politique locale de l’élevage », quel que soient les intervenants (communes, services techniques, administration de commandement, commissions foncières et code rural, projets – dont le PSSP bien sûr - et associations d’appui au secteur pastoral).
Un enjeu central est évidemment apparu au sein de ces deux axes : l’accès à l’eau et aux pâturages. Il a été abondamment traité dans les travaux de l’équipe. -
Critères de sélection des bovins laitiers par les éleveurs autour de Niamey au Niger
Une enquête portant sur 164 éleveurs de bovins laitiers de la communauté urbaine de Niamey (Niger) a été menée pour identifier les paramètres à considérer localement lors de jugement zootechnique. Les interviewés, principalement des hommes (57,0 p. 100), illettrés (81,1 p. 100), appartenaient majoritairement aux ethnies Peul (56,1 p. 100) et Zarma (34,8 p. 100). L’étude a concerné 1 635 zébus dont 26,5 p. 100 étaient des vaches en lactation et 28,8 p. 100 des veaux. A l’achat des animaux, les éleveurs préféraient les vaches en lactation (41,0 p. 100), les génisses (33,5 p. 100), puis les mâles (23,9 p. 100). Le premier critère par les éleveurs pour choisir les bovins était la race : Djelli (66,4 p. 100), Azawak (12,2 p. 100) et Bororo (5,3 p. 100). Par ailleurs, les éleveurs identifiaient d’autres critères secondaires, tels que la robe (50,6 p. 100), la forme des mamelles (34,8 p. 100), l’état corporel de l’animal (8,5 p. 100), les testicules (2,4 p. 100) et les cornes (2,4 p. 100). -
Note de suivi des unités communautaires de fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour bétail dans le département de Mayahi (Région de Maradi)
Pour résoudre le problème crucial de la sous-alimentation et la mortalité d’animaux, des technologies ont été développées dont la fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour le bétail. C’est une technologie simple mise au point par l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) en collaboration avec le PPAAO-Niger et la FAO. Ces blocs sont fabriqués à base de fourrages locaux, de tiges de mil (entières et broyées), de gousses de Faidherbia albida entière et broyées (gao), de tourteaux de coton broyés, de sons de blé, de minéraux (sels, phosphate, calcaire) et de liants (gomme arabique ou farine de manioc).
Le BMND fournit aux ruminants les nutriments dont ils ont besoin pour leur entretien quotidien. Sa consommation favorise l’assimilation rapide des fourrages grossiers, augmente la consommation d’eau et améliore leur état de santé et leur résistance au stress d’origines diverses. La technologie de fabrication de BMND est de plus en plus maitrisée par les organisations paysannes (OP) notamment grâce à l’appui de projets. En effet, depuis 2014, Sahel Bio vulgarise cette technologie dans le département de Mayahi, grâce au financement de la fondation Suisse HEKS-EPER. La production-vente du BMND est, de nos jours, une source de revenu pour les populations des zones concernées. La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Maradi a effectué un suivi au niveau de quatre (4) unités communautaires de fabrication de BMND du département de Mayahi. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (1)
L’offre d’éducation/formation des populations pastorales dans les zones transfrontalières déroulée dans le cadre du PREPP (Programme Régional d’Éducation et formation des Populations Pastorales en zones transfrontalières), depuis fin 2013, est une innovation majeure.
Le présent travail d’ingénierie des référentiels de formation a permis d’élaborer des modules de formation exclusivement conçus pour soutenir la formation accélérée qualifiante (FAQ) des éleveurs pasteurs en zones transfrontalières.
Le choix délibéré est fait de construire des contenus et processus d’enseignement-apprentissage selon la démarche DCTP et l’approche par compétences (APC) afin de « Parvenir à une meilleure intégration sociale, politique et économique des populations pastorales transhumantes des zones transfrontalières par l’éducation et la formation professionnelle ».
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur les productions animales, se focalisent sur le thème de la « Production fourragère » et se déclinent comme suit : 1. les cultures fourragères ; 2. la production du foin ; 3. le traitement de la paille à l’urée. Ces modules d’un volume horaire global de 31 heures sont élaborés selon une organisation pédagogique et andragogique qui privilégie la résolution de situations-problèmes. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Santé animale
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la santé animale, se focalisent sur le thème de la « vaccination et traitement des animaux (ruminants et volaille). -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (3)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise de laiterie pastorale » et se déclinent comme suit : Production du lait - Transformation du lait (en fromage) - Commercialisation du lait et de ses sous-produits -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (4)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise d’embouche en milieu pastoral » et se déclinent comme suit : Embouche bovine - Embouche ovine -Commercialisation des animaux embouchés. -
Référentiels des Métiers et des Compétences pastoraux
Une équipe de travail, sous la facilitation du Bureau EDRIC/Sarl, Burkina Faso, s'est investie pour concevoir et produire ce premier outil de référence pour l'organisation et la conduite des processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) des populations pastorales dans le cadre du Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP). Ce processus a permis d'analyser la situation de travail de l'éleveur pasteur et d'aboutir à un document de référence sur les métiers et emplois pastoraux.
La définition des référentiels des métiers et des compétences pastoraux fut une étape indispensable pour la mise en œuvre des processus de développement des compétences techniques et professionnelles. Son élaboration a pris en compte la réalité professionnelle tout en permettant d'anticiper sur l'évolution du métier d'éleveur-pasteur dans le contexte d'un pastoralisme transhumant et d'un système socio-économique en pleine mutation. Pour les éleveurs pasteurs, le RMC constitue un consensus sur l'appellation et la description des métiers pastoraux ; ce qui permet d'instituer un code de conduite professionnelle qui clarifie le métier et le met ainsi en valeur. -
Programme modulaire de formation du médiateur social – Livret de l’apprenant
Depuis plusieurs années, des initiatives multiples se développent sous le terme générique de « médiation ». Les démarches répondent à une volonté commune de promouvoir un mode d’intervention dans les relations sociales basé sur la philosophie du dialogue et de la négociation. Elles tendent à s’établir comme un mode spécifique de régulation sociale. Ces initiatives visent à une résolution des conflits de la vie quotidienne ou plus largement à susciter davantage de lien social, à améliorer les relations entre les institutions, les groupes sociaux et les personnes, ainsi que les relations des personnes entre elles.
Ce foisonnement d’expériences faisant appel à l’intervention d’un tiers s’est développé sous l’appellation générique de « médiation sociale ». -
Programme modulaire de formation en entreprenariat pastoral – Module 1 Création d’une entreprise – Module 2 Gestion d’une Exploitation familiale ou d’une entreprise - Livret de l’apprenant
Connaissance du métier d’éleveur pasteur et des créneaux porteurs - Activité : Adopter des comportements et attitudes pour moderniser l’élevage afin d’améliorer leurs conditions de vie.
Connaissance des outils de gestion des exploitations familiales - Activité : Adopter des comportements et attitudes pour mieux gérer son exploitation familiale afin d’améliorer son rendement. -
Programme modulaire de formation du facilitation des centres d’éducation de base (CEB) - Livret de l’apprenant
Le Programme d’Education/formation des populations pastorales en zones transfrontalières (PREPP) est un programme dont une des priorités est de former un vivier de facilitateurs endogènes de centres d’éducation de base en milieu pastoral.
Pour cela, un programme de formation modulaire est conçu pour capaciter des néo alphabètes du milieu au métier d’animation/facilitation en Education Non Formelle, notamment en alphabétisation/formation de base. Le programme modulaire du « Facilitateur endogène » comprend 4 modules que sont : 1. La connaissance du milieu et la mobilisation sociale ; 2. Communication et animation de groupe Andragogie) ; 3. La préparation et la conduite des enseignements/apprentissages, 4. Le suivi et l’évaluation des centres d’éducation de base. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" -Projet pédagogique 1 : les aliments pour bétails - VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Les éleveurs pour assurer une alimentation pérenne au bétail doivent pouvoir : identifier les différents types de pâturage dans son environnement et son terroir ; identifier les principales espèces appétées par les animaux dans sa région ; décrire au moins 10 espèces de plantes appétées et leur utilisation ; expliquer le dynamisme des pâturages ; faire du bon foin. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 2 : Gestion améliorée des troupeaux - VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.3 : les maladies courantes et diverses ; les maladies animales sont causées essentiellement part : des virus ; des bactéries (le terme bactérie est un nom vernaculaire qui désigne certains organismes vivants microscopiques présents dans tous les milieux) ; des parasites.
Module 1.4 : la gestion de la reproduction ; la gestion de la reproduction allant dans les sens d'une amélioration de la productivité du troupeau est une préoccupation majeure des éleveurs transhumants dans nos pays (Burkina, Togo, Bénin). -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 3 : Règlement de la transhumance- VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.5 : les maladies réglementées par la Transhumance - Au cours de la transhumance, l’éleveur-pasteur sera confronté à des contraintes/problèmes plus ou moins différent-e-s selon les administrations et les populations auxquelles il doit faire face. Parmi ces problèmes, on relève la non maîtrise de certaines pathologies réglementées par les textes sur la transhumance (animaux parfois non vaccinés et non déparasités avant le départ en transhumance). L’objectif des exercices qui suivent est donc d’apporter aux apprenants des connaissances pour reconnaître les maladies réglementées par la transhumance à travers leurs symptômes et proposer, en collaboration avec les techniciens, une lutte efficace contre ces dernières. On peut les diviser en deux groupes dont les maladies virales et les maladies bactériennes. Module 1.6 : le protocole sanitaire - Les mouvements incontrôlés du bétail et de la transhumance sont parfois source de nombreux problèmes d'ordre sanitaire, social, juridique, environnemental, économique et politique. Ceux-ci ont nécessité la mise en place de règlements, d’organismes de suivi de ces règlements au sein de chaque pays et dans l’espace CEDEAO. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 1 : Les aliments pour bétail - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.1 : Pâturages naturels tropicaux - Le présent document tentera d’apporter des solutions aux préoccupations des éleveurs à travers les points suivants : classer les aliments par rapport à la valeur nutritive (fourrage, concentrés, groupes d'aliments) ; gérer les ressources fourragères (pâturage naturel, résidus de récoltes et fourrages cultivés) ; traiter chimiquement et mécaniquement les fourrages ; traiter la paille à l’urée, faire la fenaison) ; citer d'autres aliments (tels que les gousses et fruits de ligneux) ; répertorier les différentes sources d'eau ; énumérer les contraintes majeures de la gestion des ressources hydriques ; citer les éléments clés d’un contrat d'utilisation des résidus de récolte entre agriculteur et éleveur.
Module 1.2 Compléments alimentaires - En période de sécheresse où les fourrages sont rares et que ceux restant perdent une bonne partie de leurs qualités nutritives, l’apport de compléments alimentaires devient nécessaire pour couvrir les besoins des animaux. Il est donc nécessaire que les éleveurs connaissent une meilleure utilisation de ces compléments.
Le module suivant abordera dans son contenu les points ci-après : l’importance des compléments alimentaires ; la composition de la ration alimentaire ; la fabrication des pierres à lécher et des blocs multi nutritionnel. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 2 : Gestion améliorée des troupeaux - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 2.1 : maladies courantes et diverses - Le premier niveau de la formation du « Vulgarisateur en santé et production animale » a permis aux apprenants de reconnaitre les maladies courantes à travers leurs symptômes. Ce fut également l’occasion pour eux, d’aborder de manière sommaire, les moyens qui permettent de lutter contre ces maladies. Ce deuxième niveau de formation qui vise le renforcement des connaissances et compétences de ces apprenants sur les maladies courantes est axé sur leurs modes de transmission, de contamination et de propagation, sur la prophylaxie médicale de chacune d’elles et sur leurs conséquences négatives.
Module 2.2 : gestion de la reproduction - Dans ce chapitre intitulé gestion de la reproduction certains contenus développé au niveau 1 seront approfondi ou complétés. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 3 : Règlementation de la transhumance - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 3.1 : maladies réglementées par la transhumance - Ce deuxième niveau de formation qui vise le renforcement des connaissances et compétences de ces apprenants sur les maladies réglementées par la transhumance est axé sur leurs modes de transmission, de contamination et de propagation, sur la prophylaxie médicale de chacune d’elles et sur leurs conséquences négatives.
Module 3.2 : prévention et gestion des conflits - L’objectif des exercices qui suivent est donc d’apporter aux apprenants des connaissances leur permettant de définir un conflit, d’expliquer ses différentes phases et ses principales causes. Ils pourront également expliquer les mécanismes de prévention et de résolution d’un conflit. -
Rapport annuel 2015 : Les statistiques du secteur de l'élevage
Le Ministère de l’Élevage a été invité à la deuxième édition du Salon International de l'Agriculture du Maroc (SIAM) à Meknès sur le thème " les Produits de terroir". La délégation du Niger a participé à cette édition dans l'objectif de s'enquérir de l'expérience marocaine dans le cadre de la mise en œuvre du Plan Maroc Vert, Plan similaire à l'Initiative 3N "Les Nigériens Nourrissent les Nigériens". -
Rapport annuel 2016 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité par la grande diversité d'espèce et race élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière deccenie. En 2016, le cheptel est estimé à 44.595.672 tetes toutes espèces confondues soit 17.340.539 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 3.700 milliards de francsFCFA. -
Rapport annuel 2017 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2017, le cheptel est estimé à 46.484.539 têtes toutes espèces confondues soit 18.156.652 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 400 milliards de francs CFA. -
Rapport annuel 2018 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger pour la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution vivant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2018, le cheptel est estimé à 48.460.804 têtes toutes espèces confondues soit 19.016.316 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 4.100 milliards de francs CFA. -
Rapport annuel 2019 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2019, le cheptel est estimé à 50.528.787 têtes toutes espèces confondues soit 19.921.981 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 400 milliards de francs CFA. -
Référentiel technico-économique de l'embouche bovine : 1er édition 2011
L’embouche bovine est une activité prévue par le PRODEX pour booster la production de viande de qualité et compétitive pour répondre à la forte demande nationale, sous régionale et internationale de viande de bovin d’origine nigérienne.Le potentiel est énorme, puisque le Niger compte en 2009 un important cheptel bovin estimé à 9 261 642 en 2009. -
Stratégie de développement durable de l'élevage (2012-2035)
Le Niger présente des potentialités indéniables en élevage lui permettant d’espérer contribuer significativement à la sécurité alimentaire et nutritionnelle, mais aussi d’envisager des revenus appréciables pour la population. Des stratégies successives ont tenté de valoriser clés potentialités nationales. La SDRP et la SDR ont reconnu au Ministère de l’Élevage un rôle moteur dans l’aménagement et la sécurisation des systèmes pastoraux. De nouvelles visions sont en cours, notamment l’Initiative 3N et les projections axées sur le long terme avec Niger 2035. -
Amélioration de la conduite alimentaire des troupeaux allaitants
L'élevage laitier en dépit de sa proximité de la ville et des dépenses importantes engendrées par l'alimentation, est confronté à un faible niveau de performance de production. Ceci est du à plusieurs raisons, à savoir notamment le bas niveau nutritionnel, le faible potentiel génétique des animaux, la non maitrise de santé animale et le faible niveau technique des éleveurs. -
Rapport annuel AREN 2018
En vingt-cinq (25) ans d’existence, AREN a connu une croissance importante tant par le nombre de ses membres au plan numérique qu’au plan organisationnel. De quelques groupements au départ, AREN compte plus d’un millier de groupements de nos jours. La structuration prévue par les textes fondateurs d’AREN semble ne plus être d’actualité. Cette évolution structurelle est bien la preuve de la vitalité de l’organisation qui a atteint sa pleine maturité dans son cycle de vie. Outre son expertise sur le plan de la défense des droits des éleveurs, de l’humanitaire et de l’urgence, AREN s’est investie pleinement dans la mise en œuvre de projets dont elle est maître d’ouvrage ou maître d’oeuvre. Un plan d’action 2013-2017 a été élaboré et évalué récemment. -
Appui à la sélection, la promotion et le diffusion de la chèvre rousse de Maradi
L'élevage de caprins représente une activité économique de première importance en bordure sahélienne. Le Sud du département de Maradi est à ce titre le berceau de la Chèvre Rousse de Maradi. Cette race se caractérise par une rusticité moyenne à bonne, une excellente prolificité, une bonne production laitière et une exceptionnelle qualité de peau qui lui vaut un label reconnu sur les marchés internationaux.Actuellement, l'élevage de la Chèvre Rousse est en déclin du fait de l'absence de bons boucs reproducteurs en milieu villageois et d'un métissage croissant avec les chèvres sahéliennes. En outre, le mode très extensif de cet élevage ne permet pas l'expression de ses bonnes potentialités productives. -
Les statistiques sur l'élevage au Niger : Situation et perspectives; 28 au 30 octobre 2013, Hôtel Terminus Niamey, Niger
Du 28 au 30 octobre 2013 s’est tenu à l’Hôtel Terminus à Niamey au Niger, l’atelier sur "Les Statistiques de l'Elevage au Niger: Situation et perspectives''. Ont pris part à cet atelier, les délégués du Burkina Faso, du Mali et de la Mauritanie mais aussi les représentants des Coopérations Belge (CTB) et Suisse, et les représentants d’organisations internationales ou centres étrangers de recherche tels que : l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), la Banque Africaine de Développement (BAD), la Banque Mondiale, l’Observatoire Economique et Statistique d’Afrique Subsaharienne(AFRISTAT), le Fonds des Nations Unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO), Vétérinaires Sans Frontière (VSF), le Centre National français de la Recherche Scientifique (CNRS). -
Situation de référence des producteurs suivis dans le dispositif du Conseil de Gestion aux Exploitations Familiales (CGEF) : Campagne 2019-2020
Le CGEF se définit comme une démarche d’accompagnement de l’exploitant par un animateur endogène d’une OP ou un technicien pour réfléchir sur ses besoins et aux évolutions possibles de son activité de production, programmer ses achats, ses cultures, sa récolte et son utilisation, suivre la mise en œuvre de ses activités productives, trouver des solutions techniques aux problèmes rencontrés, enregistrer les données (superficies, quantités et qualités d’intrants, dépenses réalisées, quantités de production) sur ses activités, traiter, analyser et restituer les données et résultats et faire des choix en vue d’améliorer sa situation. -
Élevage
L’élevage animal bio implique que les animaux soient détenus de manière naturelle et favorisant leur bien-être de même que leur santé. Cela ne signifie pas que les animaux doivent être détenus dans un environnement entièrement naturel, mais qu’il faut leur offrir la possibilité d’exprimer des comportements et un mode de vie naturels. Chaque espèce animale possède des organes spécialisés qui leur donnent des capacités fonctionnelles et des caractéristiques spécifiques ainsi qu’un mode de vie particulier. Ces différences sont intrinsèques, immuables, et il convient de les respecter. -
Production animale et cycle des éléments nutritifs
L’élevage animal bio implique que les animaux soient détenus de manière naturelle et favorisant leur bien-être de même que leur santé. Cela ne signifie pas que les animaux doivent être détenus dans un environnement entièrement naturel, mais qu’il faut leur offrir la possibilité d’exprimer des comportements et un mode de vie naturels. Chaque espèce animale possède des organes spécialisés qui leur donnent des capacités fonctionnelles et des caractéristiques spécifiques ainsi qu’un mode de vie particulier. -
Défis typiques de la gestion d’une ferme
La ferme biologique renferme beaucoup pour les paysans. Dans un premier temps, elle leurs procure des revenus financières et permet aussi d'accroitre la valeur des produits agricoles. -
Pratiques et contraintes de l’élevage de la chèvre rousse de Maradi en milieu rural au Niger
Au Niger, l’élevage caprin occupe une place importante dans l’économie des ménages ruraux. Une étude a été conduite dans la région de Maradi afin de caractériser les pratiques de gestion des élevages des chèvres rousses et analyser leurs contraintes. Ainsi, 180 agro-éleveurs répartis dans 12 villages de la région ont été questionnés. Les thèmes abordés au cours des interviews ont porté sur : les caractéristiques du ménage, les objectifs de production, le mode de conduite des animaux, la gestion de l’alimentation, la santé animale ainsi que les contraintes auxquelles les producteurs font face. Les résultats ont révélé que la majorité (72,8%) des propriétaires des caprins sont des femmes. Les caprins sont élevés en priorité comme épargne pour subvenir aux besoins du ménage. Pendant la saison sèche, plus de la moitié (51%) des éleveurs font recours à l’achat du son de blé pour la complémentation des animaux. -
Le conseil agricole a-t-il encore un sens aujourd'hui?
En Afrique, depuis les années 1960, différentes appellations ont été utilisées pour parler du conseil agricole au sens large. Elles témoignent d’une évolution des démarches, depuis un encadrement prescriptif à des démarches plus participatives et co-construites avec les bénéficiaires. Généralement, à l’échelle d’un pays, ces formes de conseil co-existent dans le temps. -
Les déterminants socioéconomiques de l’adoption des technologies améliorées de production du niébé diffusées par les champs écoles paysans dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
Le niébé est une denrée de base en Afrique subsaharienne. Le projet champ école paysan en a introduit des nouvelles technologies améliorées afin d’accroître son rendement dans les régions de Maradi et Zinder. Cette étude qui a concerné un échantillon de 300 producteurs a pour dessein d’identifier les contraintes entomologiques de la culture du niébé et de déterminer les facteurs affectant l’adoption des technologies agricoles. Le modèle de régression LOGIT a été utilisé comme outils d’analyse et les principaux résultats suivants ont été obtenus : 1) la punaise brune (Clavigralla tomensicollis Stall) et le puceron (Aphis craccivora Koch) sont les principaux insectes ravageurs de la culture pour 53 à 61% des répondants ; 2) les taux moyens d’adoption par technologie sont de 74,9% pour les variétés améliorées, 57,2% pour les pesticides chimiques, 20% pour la combinaison fumure organique/NPK ; 21.7% pour l’engrais NPK seul, 7,4% pour les biopesticides à base de graines de Neem et 5,7% pour le respect de la densité de semis. Ces ratios sont 2 à 16 fois plus élevés chez les producteurs formés par rapport aux non formés ; 3) les variables « formations par les champs écoles paysans » et « l’accès au crédit » ont influencé positivement l’adoption des variétés améliorées, des biopesticides et des fertilisants ; 4) le genre a été positivement déterminant dans le respect de la densité de semis et l’utilisation des fertilisants ; 5) l’âge des répondants a eu une influence significative dans le respect des écartements entre les poquets. -
Champ école paysan, une approche participative pour l'amélioration du rendement du Niébé : résultats d'expériences pilotes conduites dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
En vue de favoriser les interactions entre groupes de producteurs pour résoudre les problèmes de production et diffuser les technologies éprouvées, en culture du niébé, trente champs écoles ont été misen place de 2013 à 2014 au centre sud du Niger avec 600 producteurs dans les départements de GuidanRoumdji, Madarounfa, Magarria, Tanout et la commune de Droum. La fumure organique (5tha-1) et l’engrais minéral NPK, 15 - 15 - 15 (60kg ha-1). Et la combinaison des deux ont été appliqués pour améliorer la fertilité des sols. La protection des cultures contre les ravageurs a été assurée par des extraits aqueux de graines de neem (Azadirecta indica) appuyé par certains composés chimiques. Pour les essais variétaux, le rendement moyen en grains le plus important (1074 kg ha-1) a été obtenu avec la variété améliorée IT90K 372 - 1- 2 sur les deux années d’essais. Les génotypes IT99K 573 - 1 - 1 ; IT89KD 374 - 57 ; TN 5 -78 ; IT97 K 499 - 38 ; KVX 30 - 309 - 6G ont donné des rendements moyens (entre 649 et 812 kg ha-1). -
La biosécurité pour les petits élevage de volailles en circuit court et en autarcie
Ce guide s’appuie sur les fiches techniques ITAVI qui ont été validées par la DGA. Il propose un cadre pour la mise en œuvre de pratiques de biosécurité dans les petits élevages avicoles. Il concerne la partie élevage uniquement et non les tueries, qui doivent respecter des normes particulières. -
Conduire des champs écoles des producteurs
Ce guide est destiné aux facilitateurs qui animent les formations participatives en gestion intégrée de la production et des déprédateurs à travers les Champs écoles des producteurs ou Champs écoles paysans (CEP) en Afrique de l’Ouest francophone. Il est une synthèse et une capitalisation des expériences de terrain des facilitateurs après plusieurs années d’animation des CEP au Bénin, au Burkina Faso, en Guinée, au Mali, en Mauritanie, au Niger et au Sénégal. -
Capitalisation champs école paysans : action collective, auto-organisation et rôle des organisations paysannes dans la mise à échelle et l'institutionnalisation des champs écoles paysans
Depuis plus d’une décennie, l’approche de conseil agricole reconnue sous l’appellation Champ École Paysan (CEP) est adoptée dans la grande majorité des projets de développement agricole financés par le FIDA en Afrique subsaharienne. Ce travail de capitalisation s’appuie sur l’expérience de projets financés par le FIDA et par la FAO dans six pays : Burkina Faso, Burundi, Guinée, Madagascar, Mali et Niger. Elle exploite également les résultats d’une étude similaire conduite sur les CEP-élevage au Malawi, Rwanda et Zanzibar. À travers cet exercice nous avons cherché à comprendre dans quelle mesure l’approche CEP avait permis l’émergence de processus collectifs, organisationnels et d’autonomisation des paysans en réponse aux problèmes qui se posaient à eux. Cette capitalisation a également contribué à mieux appréhender le rôle et l’importance des organisations de producteurs (OP) et de leurs faîtières dans ces processus et la place qu’elles pouvaient prendre pour assurer mise à échelle et durabilité des actions dans un contexte d’institutionnalisation de l’approche. Nous avons classé les CEP des projets en fonction du niveau de participation des producteurs et de l’étendue des thèmes abordés. Certains projets analysés utilisent l’approche à travers des CEP « simplifiés » qui visent le transfert de technologies pour augmenter les rendements des cultures prioritaires prédéfinies lors de la conception des projets. -
L'élevage face à l'insécurité civile au Sahel et en Afrique de l'Ouest
Depuis 2012, l’insécurité affecte les zones traditionnelles d’élevage : Conflits politico-militaire, terrorisme, vol de bétail, trafic de tout genre, circulation des armes légères, banditisme et criminalité transfrontalière, etc. Les crises sécuritaires sont devenues de plus en plus complexes et imbriquées, confinant une frange croissante de la population rurale régionale dans la précarité et la vulnérabilité. Plus que tous les autres secteurs d’activités, le secteur de l’élevage et plus particulièrement les systèmes agropastoralisme et pastoral transhumant sont touchés par la crise sécuritaire. -
Comment utiliser la démarche champ-école pour accompagner les transitions agroécologiques des agricultures familiales des pays du Sud?
Un CE est constitué d’un groupe d’agriculteurs et d’agricultrices de la même localité animé par un·e facilitateur·rice (technicien·ne ou paysan·ne animateur·rice) et qui cultivent ensemble une parcelle d’expérimentation et d’observation (voir figure 2). La définition d’une thématique (problème à résoudre sur une ou plusieurs cultures ciblées) amène le groupe à mettre en place des essais sur la parcelle CE. Sur la durée d’un cycle productif2 (de cultures, d’élevage…), le groupe et le facilitateur·rice se réunissent à intervalles réguliers pour réaliser les opérations nécessaires (entretien des cultures, soins des animaux, taille des arbres par exemple), faire des observations de l’agroécosystème et discuter des conduites à tenir pour les différentes parcelles d’essai. -
Recommandations méthodologiques pour mieux évaluer les effets des champs-écoles mobilisés pour accompagner les transitions agroécologiques
Ce document s’articule en 4 parties. Tout d’abord, nous définissons les CE et leurs principes, avant de détailler les méthodes d’évaluation couramment employées pour les CE et les défis que cela pose. Nous présentons ensuite la méthode d’évaluation compréhensive à l’aide d’une étude de cas au Nord Togo. Les perspectives en dernière partie permettent de replacer la méthode proposée dans le processus de construction de l’évaluation pour une intervention mobilisant des CE. -
Champ école agro-pastoral pour une agriculture intelligente face au climat
Ce document « Guide Pratique du facilitateur de Champ Ecole Agro-Pastoral pour une Agriculture Intelligente face au Climat » est un aide-mémoire pour les facilitateurs déjà formés à l’approche champ école qui reflète les innovations et évolutions actuelles des champs écoles au Niger. -
Alimentation animale
L'alimentation des animaux a une répercussion sur la qualité des produits animaux dérivés. Cette alimentation doit répondre aux besoins des animaux pour leur entretien, leur production, leur croissance et leur reproduction. D'une manière générale, les animaux ont des besoins nutritifs en : * Énergie * Protéines * Minéraux * Nutriments essentiels Cependant, il y a lieu de distinguer les ruminants et les monogastriques qui même s'ils ont des besoins semblables diffèrent par les aliments d'où ils puisent leurs besoins. -
Communication participative dans les champs école paysans pour l’amélioration des systèmes de cultures pluviales dans le Département de Diffa au Niger
La présente étude a pour objectif d’évaluer l’efficacité et le rôle de la communication participative dans les champs école paysans (CEP) mis en œuvre par la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Diffa (Niger). La méthodologie utilisée s’est appuyée sur la recherche documentaire, l’observation directe, les enquêtes de terrain auprès des apprenants, des responsables des CEP et des encadreurs (CRA). Au total, 112 personnes, réparties en 96 apprenants, 12 responsables de CEP et 4 encadreurs de CRA, ont été enquêtées sur six sites d’intervention du CRA/Diffa dont trois sites dans la commune urbaine de Diffa, deux sites dans la commune rurale de Gueskerou et un site dans la commune rurale de Chetimari. L’analyse des données a été faite au moyen du logiciel Sphinx V5. Les résultats de l’étude ont montré des taux de l’ordre de 80% à 100% pour le degré de participation au CEP des apprenants, un niveau de connaissance de 100% du thème principal. -
Formation sur les techniques d'embouche bovine / ovine
L’embouche est une activité qui consiste à fournir aux animaux une alimentation suffisante et de bonne qualité afin de mieux les préparer à l’abattage. L’embouche, quel que soit sa forme, permet de mettre, sur une période relativement courte, une quantité appréciable de viande sur des carcasses maigres et d’améliorer de façon sensible la qualité de cette viande. -
Calcul de la rentabilité des fermes
Cette fiche rappelle les principes de base de l’étude de la rentabilité d’une activité agricole. L’analyse économique d’un système d’élevage n’a de sens que dans une situation de forte monétarisation des produits, vers laquelle aspirent ces élevages à orientation commerciale. Elle s’articule autour de quatre chapitres dont les trois premiers se veulent méthodologiques. Ils abordent respectivement le fonctionnement global d’une exploitation agricole, les spécificités du système d’élevage et les principes de base de l’étude de la rentabilité. Le quatrième chapitre donne sous forme d’étude de cas, une comparaison de la rentabilité de deux fermes en cours d’intensification dans la périphérie de Bobo-Dioulasso. -
Les champs écoles paysans (CEP)
Les champs écoles paysans (CEP) sont une approche
d’apprentissage réservée aux adultes qui enseigne à des
groupes d’agriculteurs comment se livrer à des expériences
pour résoudre des problèmes de manière indépendante. Dans
les CEP, que l’on appelle parfois « écoles sans murs », des
groupes de producteurs se rencontrent régulièrement avec
un facilitateur pour observer, discuter, poser des questions et
apprendre ensemble. L’approche des CEP a été mise au point
pour enseigner des techniques de lutte intégrée contre les
ravageurs dans la riziculture, mais elle a aussi été utilisée dans
l’agriculture biologique, l’élevage et dans des activités non
agricoles génératrices de revenu, telles que l’artisanat. -
Champ école paysan
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Gonar gwadi
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Cawkey kunda
Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d’une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d’une parcelle. L’objectif est d’observer toutes les interactions autour de là d’expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l’itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine. Le CEP facilite ainsi l’apprentissage et l’intégration raisonnée de nouvelles techniques de production agricole, tout en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et productrices et des ressources accessibles liées à l’écosystème. -
Gestion intégrée de la production et des déprédateurs des cultures maraichères
Ce guide est destiné aux facilitateurs qui animent la formation participative en gestion intégrée de la production et des déprédateurs des cultures maraîchères à travers les champs écoles des producteurs (GIPD/CEP) en Afrique de l’Ouest. Il est une synthèse et une capitalisation des expériences de terrain des facilitateurs après plusieurs années d’animation des CEP au Bénin, au Burkina Faso, en Guinée, au Mali, en Mauritanie, au Niger et au Sénégal. L’objectif de ce guide est de: ■ fournir aux facilitateurs un document de référence qui présente l’approche de conduite des champs écoles des producteurs dans le cas spécifique des cultures maraîchères en mettant l’accent sur les pratiques culturales et les options de gestion des ravageurs, des maladies et adventices des légumes suivant les principes de la gestion intégrée de la production et des déprédateurs; ■ promouvoir le partage des connaissances générées, depuis 2001, par le programme sous-régional de formation participative en gestion intégrée de la production et des déprédateurs des cultures. L’appropriation de ce document par les facilitateurs apportera une valeur ajoutée qualitative à l’animation des champs écoles des producteurs. -
Note sur la situation économique : renforcer la résilience financière des éleveurs face à la sécheresse
Cette note sur la situation économique du Niger 2023 s’articule en deux chapitres. Le premier chapitre présente les évolutions économiques et de la pauvreté observées dans le pays en 2022 ainsi que les perspectives de 2023 à 2025. Ce chapitre est suivi d’un résumé des analyses d’impact macroéconomique et de pauvreté pour le Niger dans le rapport CCDR du Sahel (2022). Le chapitre 2 propose une analyse approfondie du potentiel du financement des risques de catastrophe et des instruments d’assurance pour réduire les impacts socio-économiques négatifs des chocs climatiques. -
Évaluation des rendements en graines et fanes des variétés améliorées et locales de niébé [VIGNAUNGUICULATA (L.) WALP.] en champ école et en champ de multiplication de semences à Karma (Niger)
Pour résoudre les problèmes de production de niébé, la recherche a mis au point des variétés améliorées. L’objectif de ce travail est d’évaluer les rendements en graines et fanes de deux variétés améliorées et une variété locale de niébé [Vigna unguiculata (L.) Walp.]. Les données ont été collectées au niveau du champ école, du champ de multiplication de semences et du champ témoin à Karma (Niger). Des carrés de rendement ont été posés selon un dispositif en blocs complet randomisés à quatre répétitions. Les données ont fait l’objet d’une analyse de la variance (ANOVA). Les résultats montrent que le rendement en graine tout comme en fane est statistiquement différent entre les trois variétés en champ école paysan. Au niveau du champ de multiplication de semence, le rendement est statistiquement différent d’une part entre la variété locale et la IT98K205 - 8, d’autre part entre IT97K499 - 35 et IT98K205 - 8. Grace à la technologie champ école, le taux d’augmentation du rendement en graines est de 21 % et 25 % pour IT97K - 499 - 35 et IT98K - 205 - 8. En fanes, le taux d’augmentation du rendement est de 17 % et 19 % pour IT97K - 499 - 35 et IT98K - 205 - 8. Ces variétés contribuent à la sécurité alimentaire des producteurs. -
Guide du formateur d’auxiliaire d'élevage
Ce guide a pour objectif de vous aider à animer une session de formation initiale d'Auxiliaires
d’Élevage en vous décrivant les principales étapes de cette session et les méthodes pédagogiques qui s'y rapportent. Les durées mentionnées pour chaque étape sont purement indicatives, elles ne doivent pas empêcher le formateur de s'adapter à son public, néanmoins elles constituent des jalons lui permettant de gérer son temps de façon optimale. Ce document
se réfère au Manuel de l'A.E. et aux boîtes à images mises à votre disposition pour la réalisation de ces formations. -
Vulnérabilités et efforts d’adaptation des familles de pasteurs face aux crises récurrentes, Enseignements tirés de l’analyse de l’activité pastorale dans les trajectoires familiales
Quatre études de cas, localisées dans la communauté rurale de Téssékré du Ferlo au Sénégal, sur la commune de Djougou au Nord-Bénin, sur la commune de Dantiandou à l’Ouest du Niger et sur la commune de Hombori au Mali, ont été conduites dans le cadre du programme ECLiS en 2009 et 2010. Ces analyses ont concerné quarante-six familles d’éleveurs dans leur trajectoire d’évolution sur les cinquante dernières années. Ces trajectoires familiales mettent en évidence la perception qu’ont les éleveurs des crises et des aléas successifs qu’ils ont eu à affronter de manière récurrente : sécheresses, épidémies, insécurité, contraintes liées aux politiques d’aménagement… Face à ces différents facteurs mettant à l’épreuve la vulnérabilité des familles, les éleveurs ont développé des réponses et des stratégies dont l’efficacité est évaluée de manière rétrospective : diversification de la mobilité, accès aux aliments du bétail, développement de la pluriactivité, pratiques nouvelles contre l’insécurité. Ce travail d’études de cas, d’ordre qualitatif, permet une lecture croisée de la vulnérabilité et de l’adaptabilité des éleveurs u pastoralisme face aux aléas divers qu’ils soient directs ou indirects. Il permet d’appréhender les stratégies d’adaptation des pasteurs (tactiques immédiates, stratégies à moyen terme, notamment par la mobilité des hommes et des troupeaux). Il s’agit donc ici de témoignages d’éleveurs situés dans des contextes éloignés, qui nous informent sur leurs vulnérabilités et sur leurs efforts d’adaptation, face aux crises récurrentes et diverses. -
Champs école paysan (CEP)
Le Champ école paysan (CEP) représente un groupe de 20 à 25
personnes se réunissant une fois par semaine pour cultiver une
parcelle de formation tout au long d’une saison de culture et
apprendre ensemble à résoudre des problèmes de production.
• Le principe est de conduire une culture saine, d’observer toutes les interactions autour de la plante, d’identifier les potentialité les contraintes, d’expérimenter des solutions et de choisirl’itinéraire technique le plus prometteur et le plus adapté au contexte du producteur et de la productrice.
• Le CEP facilite l’intégration de techniques en tenant compte à la fois des capacités des producteurs et des productrices, et des ressources naturelles accessibles. Le CEP permet d’apprendre à raisonner. -
Contribution des auxiliaires d'élevage des services privés pour l'amélioration de l'élevage dans la commune rurale d'Issawane
L'élevage est la deuxième activité économique au Niger après l'agriculture. Elle constitue une source de revenus permettant à la population de faire face à certains besoins de la famille notamment les mariages, les baptêmes, la fête de la tabaski, achats nourriture .... etc. Malheureusement l'élevage est confronté à de nombreux problèmes dont entre autres : les maladies provoquant de fortes mortalités. L’insuffisance des aires de pâturage souvent menacées par les espèces peu appétées par les animaux (Sida cordifolia). Le désengagement de l'Etat vis-à-vis de ce secteur. L’insuffisance d'agents sur le terrain Dans le souci de résoudre ces problèmes, l'Etat, les projets( V.S.F ;PAAPSSP) et O. N.G ( A .C.F ;O.N.G karkara et CESAO) exerçant dans le département de Mayahi se sont arrangés pour appuyer le SVPP déjà installé à travers la mise en place d'un réseau d'auxiliaires qui leur serviront de relais et travailleront tous dans le domaine de la santé animale .Ces auxiliaires ont été recrutés chacun dans son village par consensus auprès de la population . lIs ont reçu des formations dans le domaine de la santé animale et production animale et sont équipés par le responsable de SVPP avec qui ils ont signé un engagement. C'est en fait pour savoir les contributions menées par ces auxiliaires à la population de la commune rurale de Issawane pour améliorer le secteur de l'élevage que ce thème de mémoire a été proposé. Le rapport du stage effectué durant trois mois comporte trois grandes parties à savoir :
-Présentation de la zone d'étude
-Revue bibliographique
-Etude du thème
-Enfin la conclusion et les recommandations.
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Programme sous-régional de formation en gestion intégrée de la production, des déprédateurs et de la pollution (GIPD/GEF) à travers le Champs École Paysan
L’objectif global du programme de « Gestion Intégrée de la Production, des Déprédateurs et de la Pollution » (GIPD) est d’améliorer la sécurité alimentaire, la productivité et la rentabilité des exploitations agricoles et protéger les eaux riveraines des bassins des fleuves Niger et Sénégal des contaminations dues à l’utilisation des produits agrochimiques. -
Guide national de mise en place et d'animation de dispositif d'innovations paysanne en élevage (DIPE)
Le dispositif d’appui conseil post indépendance, entièrement exécuté par les services de
l’Etat est essentiellement orienté vers les cultures de rente et le contrôle des épizooties qui ravageaient le cheptel. Le transfert de technologies en direction des producteurs a été assuré par des structures étatiques de formation (centres de perfectionnement technique, centres de promotion rurale, centres de multiplication de bétail). -
Techniques d'élevage de poulets
La poule appartient l’ordre des galliformes. C’est l’ordre des oiseaux aux formes lourdes au bec et aux pattes robustes). Les galliformes forment un des groupes d'oiseaux les plus importants pour la société humaine et la recherche. Ce sont des oiseaux terrestres, non-migrateurs à l’exception des espèces de plus petite taille et capables d’effectuer des vols à courte distance. La taille peut varier de 13 cm chez la caille chinoise à 117 cm chez le paon et le dindon, mais la plupart sont de taille moyenne et semblables à la poule domestique. Les pattes sont robustes avec quatre orteils armés d’ongles solides, le pouce repose au sol, le bec est court et solide, adapté aux régimes alimentaires.
La majorité des espèces présentent un dimorphisme sexuel très marqué, en taille ou en apparence. La volaille est tout oiseau élevé ou chassé pour un but économique. ( Poule, canard, dindon, pintade, oie. -
CORAF et UEMOA rendent les filières coton, maïs, bétail-viande, aviculture et aquaculture plus compétitives
A la suite de l’accord de coopération signé en 2006 entre le Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles (CORAF) et la Commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), des priorités de recherche agricole ont été identifiées et définies dans la zone UEMOA. Sur cette base, les deux institutions ont procédé à la signature d’une convention d’un montant de 1 500 000 000 de francs CFA pour la mise en œuvre d’un programme collaboratif qui cadre avec les objectifs de la Politique Agricole de l’Union (PAU) et avec ceux du deuxième Plan Opérationnel (2014-2018) du CORAF. Ce programme régional d’appui à la recherche agricole, est financé par la Commission de l’UEMOA eu égard au rôle stratégique du secteur agricole dans l’économie des Etats membres à travers l’alimentation des populations, la création d’emplois, la réduction de la pauvreté en milieu rural, la promotion d’une agriculture durable et l’atteinte des objectifs de la PAU. -
Élevages au pâturage et développement durable des territoires méditerranéens et tropicaux : connaissances récentes sur leurs atouts et faiblesses
Les élevages de ruminants sont d’importants fournisseurs de denrées alimentaires. Ils contribuent de manière quasiment exclusive aux 883 millions de tonnes de lait produit (FAOSTAT, 2019), dont 81 % proviennent des bovins et 15 % des buffles. En revanche, les bovins et les buffles ne fournissent que 22 % des 337 millions de tonnes de viande, les plus forts contributeurs étant la volaille (39 %) et le porc (33 %). -
Implication des éleveurs et pasteurs dans l’élaboration
des législations pastoralesDepuis la fin des années 1990, à la faveur des activités de plaidoyer entreprises par la société civile pastorale et ses partenaires, la problématique de la réhabilitation du pastoralisme et celle de l’accès des éleveurs aux ressources naturelles sont inscrites à l’ordre du jour des débats dans la plupart des pays de l’Afrique de l’Ouest. Ainsi, le Burkina Faso, la Guinée Conakry, le Mali, la Mauritanie et le Niger ont élaboré de nouvelles législations pastorales ayant pour finalité de délimiter, de façon plus précise, les droits de jouissance et d’accès des éleveurs aux ressources naturelles. -
Plateforme PRISME Cirad/ENSV-FVI
Notre plateforme est positionnée au sein de l'UMR ASTRE (Animal, Santé, Territoires, Risques et Ecosystèmes), elle travaille en collaboration étroite avec les autres équipes de cette unité. Ce positionnement lui permet notamment de faire le lien entre l'enseignement académique, les partenaires publics/privés qui interviennent dans les Masters et les cadres scientifiques et enseignants chercheurs du Cirad. Elle apporte également un appui de proximité à d’autres unités de recherche dans le domaine de l'élevage et de la santé vétérinaire pour le montage de leurs actions de formation. Réciproquement, ces unités de recherche participent aux enseignements et aux modules de formation continue.