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La lutte contre le flétrissement de la tomate : Ralstonia solanacearum
Ralstonia solanacearum est une bactérie tellurique Gram - ; elle est présente surtout dans les régions tropicales, semi-tropicales et tempérées chaudes. Comme son nom l'indique, Ralstonia solanacearum conduit au flétrissement rapide des jeunes feuilles aux moments les plus chauds de la journée, souvent réversible durant la nuit dans un premier temps. Par la suite, les flétrissements se manifestent soudainement et deviennent permanents. Il faut noter l'absence totale de symptômes sur fruits. Assez rapidement, les tissus affectés se nécrosent et se dessèchent, et de nombreuses plantes finissent par mourir. -
Conseiller en maraîchage / des cas pratiques (2)
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers et animateurs maraîchers (OP, services techniques, GSC, GIE, projets …). Il s’agit d’une ferme installée dans le dallol Bosso à l’entrée de Birni Ngaouré (Région de Dosso), avec un système d’irrigation goutte à goutte pour les cultures de tomate, poivron, piment et melon principalement. Le 6 février, date de la visite, il y avait des parcelles de tomates en production et des parcelles de poivron en floraison. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Les nématodes parasites des cultures maraîchères
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les nématodes parasites des cultures maraîchères au Niger -
Kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance
Yau zamu muku hira kan wani mungun kwari dake banna cikin garake kuma manoma sun sanshi kwarai da gaske,wannan kwarin shine ake cema kananan kwari farfaru da ake cema mouche blanche a turance. In manoma sun san irin bannar da wannan kananan kwarin farfaru keyin saman tattasey da tomati da tonka,abincin su kenan, to har yanzu basu gano irin cutitikan da suke iya hadasama wanan shipkoki ba. -
Tuta absoluta (Meyrick) : un ravageur invasif des cultures maraîchères pour l’Afrique sub-saharienne
T. absoluta est un un lépidoptère nocturne de la famille des Gelechiidae, originaire d’Amérique du Sud. Les adultes mesurent 6-7 mm de long et environ 8 à 10 mm d’envergure. Ils sont gris argenté à marrons avec des écailles de couleur brune à noire sur les ailes antérieures (Photo 1). Les mâles sont un peu plus sombres et plus petits que les femelles. Les antennes sont filiformes et mesurent les 5/6èmes des ailes. Les oeufs, de 1 mm environ, sont de forme cylindrique et de couleur crème à jaunâtre (Photos 2 et 3). Les chenilles sont de couleur crème (1er stade) puis deviennent verdâtres et rosâtre au dernier stade (du 2ème au 4ème stade). Elles mesurent de 0,6 à 0,8 mm au 1er stade jusqu’à 7,3 à 8 mm au 4ème stade (Photos 4 et 5). Une caractéristique des chenilles de T. absoluta est la présence au niveau de la tête de 2 étroites bandes noires, une latérale et une ventrale. La chrysalide (4 à 5 mm) initialement de couleur verte devient progressivement brune (Photo 6). -
Les nématodes parasites du Moringa dans la zone périurbaine de Niamey (Niger)
Moringa (Moringa oleifera Lam) est une culture qui prend de plus en plus de l’importance au Niger mais très peu d’intérêt a été porté aux problèmes phytosanitaires. L’objectif de l’étude était d’identifier les nématodes parasites qui lui sont associés.
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# Dossier photographique : Mouche blanche-e-phytia
La mouche blanche (Bemisia tabaci), l'aleurode du tabac, appelé aussi aleurode de la patate douce, est un insecte polyphage occasionnant des dégâts directement par succion de la sève phloémienne et excrétion de miellat (qui a pour conséquence une baisse de la valeur marchande des produits et facilite l’implantation de saprophytes sur la plante), et indirectement par transmission de nombreux virus phytopathogènes : Ipomovirus, Begomovirus, comme le virus des feuilles jaunes en cuillère de la tomate (TYLCV, Tomato Yellow Leaf Curl Virus) responsable de pertes chiffrables en millions de dollars, dont il est le vecteur exclusif. -
Guide de reconnaissance des insectes et acariens des cultures maraîchères, fruitières et vivrières de Polynésie française
Ce guide présente les principaux insectes et acariens rencontrés sur les cultures maraîchères, fruitières et vivrières de Polynésie française. Il fournit des informations pour une reconnaissance visuelle des ravageurs ( = nuisibles, qui causent les dégâts) et des auxiliaires ( = utiles, qui tuent les ravageurs) -
# Dossier photographique : Nématodes-e-phytia
Ce dossier montre les dégâts causés par les nématodes sur des pieds de carotte -
Les nématodes parasites des cultures maraîchères
Pour lutte contre les nématodes parasites des cultures maraîchères, il faut aider, diagnostiquer un problème nématologique et donner des notions de base pour le résoudre -
Lutte contre les acariens ravageurs des cultures maraîchères
Dans le cadre de la poursuite de la mise en œuvre de l’Initiative 3N « les nigériens nourrissent les nigériens » en vue d’atteindre l’objectif « faim zéro » d’ici 2021, un accent particulier est mis sur le développement des cultures irriguées. -
Effet de quatre types de fumiers d’animaux domestiques sur le développement de Meloidogyne javanica et la croissance du poivron (Capsicum annuum) sous serre.
Les nématodes à galles du genre Meloidogyne constituent un facteur limitant à la production des cultures maraîchères dont les Solanacées (poivron, tomate, aubergine, etc.). Au Niger, la lutte chimique par utilisation de nématicides de synthèse est la méthode la plus utilisée contre ces ravageurs. Pour trouver un substitut à cette méthode très onéreuse et qui pollue l’environnement, une étude sur l’effet de fumiers d’ovins, de caprins, de bovins et de volaille sur le développement de Meloidogyne javanica et la croissance du poivron a été menée sous serre dans des pots plastiques.
Le plus grand effet dépressif sur ces paramètres nématologiques est obtenu avec la plus grande dose de 20 % de fumier tandis que la croissance du poivron a été améliorée avec un effet plus important à la dose de 10 %.
Conclusion et application : Tous les types de fumier ont eu un effet dépressif sur le développement de Meloidogyne javanica sur le poivron. Ils peuvent donc être utilisés en amendement du sol pour lutter contre cet important ravageur des cultures maraîchères. -
Parasitisme des nématodes à galles des racines (Meloidogyne) à l'égard de différentes plantes au Niger
Les différentes rapports sur la situation nématodologique au Niger indiquent la présence de nombreux nématodes phytoparasites. Parmi ces phytonématodes, ceux du genre Méloidogyne, communément appelés nématodes à galles des racines, attaquent de nombreuses plantes d'importance économique. -
Plant-parasitic nematode communities associated with Moringa tree (Moringa oleifera Lam.) in western Niger
Moringa (Moringa oleifera Lam) is a cropthat is becoming more and more important in Niger, but very little attention has been devoted to its pest problems. Nematode fauna survey was undertaken inthree important Moringa producing sites inwesternNiger. Soil and roots samples were taken fr -30-cm deep. Nematological analysis of these samples revealed the presence of 11 genera of plant-parasitic nematodes among which the most frequent and abundant were Meloidogyne spp., Helicotylenchus spp. and Hoplolaimus spp. The average prominence values of these three nematodeswere 236.69, 105.25 and97.93, respectively. Inroots, Meloidogyne spp. alone represented up to 90% of the plant-parasitic nematode communities. Itsaverage prominent value was591.46. -
Yaki da tsutsa mai bata sayyun shibka
L'affiche fait cas des nematodes qui s'attaquent aux racines des plantes comme le piment vert, la tomate...et propose des méthodes pour empêcher aux ravageurs de s'attaquer aux cultures. -
Guide de formation : l'agroécologie pour sortir des pesticides - Promotion d'alternatives au pesticides : Module 3
L’objectif de ce module est de permettre de développer la lutte biologique et une meilleure connaissance des ravageurs et auxiliaires afin de mettre en place une stratégie de protection des cultures sans pesticides. Concernant les principes globaux, la pyramide ci-dessous présente les différents outils et méthodes pouvant être mis en œuvre par les paysans afin de leur permettre d’éviter au maximum l’utilisation de pesticides. Pour obtenir des cultures les plus saines possibles, les principes de base de l’agroécologie se situent en socle avec une diversité de pratiques, de systèmes de culture et de paysages. Ensuite interviennent les observations, étape déterminante pour établir le bon diagnostic et choisir la stratégie. -
Influence de la rotation culturale avec apport de matières organiques exogènes et d’une fertilisation minérale sur les nématodes phytoparasites en culture du sorgho au Centre Ouest du Burkina Faso
L’infestation du sol et des racines du sorgho (sorghum bicolor (L.) Moench) par les nématodes phytoparasites a été étudiée en 2008 sur un essai agricole à l’Ouest du Burkina Faso. Cet essai agricole est représentatif de la production du sorgho avec utilisation de différentes pratiques agricoles incluant la rotation culturale, l’apport de matières organiques exogènes et une fertilisation minérale. L’objectif était de déterminer l’effet de ces pratiques sur les taux d’infestation du sol et des racines par les nématodes. Les nématodes du sol ont été extraits selon la méthode de « l’élutriateur » de Seinhorst et ceux des racines selon la méthode de « l’asperseur » de Seinhorst. Le sol et les racines du sorgho ont été plus infestés par les nématodes dans la monoculture de sorgho par rapport aux rotations sorgho – niébé et sorgho – coton. -
Influence de la rotation culturale avec apport de matières organiques exogènes et d’une fertilisation minérale sur les nématodes phytoparasites en culture du sorgho au Centre Ouest du Burkina Faso
L’infestation du sol et des racines du sorgho (sorghum bicolor (L.) Moench) par les nématodes phytoparasites a été étudiée en 2008 sur un essai agricole à l’Ouest du Burkina Faso. Cet essai agricole est représentatif de la production du sorgho avec utilisation de différentes pratiques agricoles incluant la rotation culturale, l’apport de matières organiques exogènes et une fertilisation minérale. L’objectif était de déterminer l’effet de ces pratiques sur les taux d’infestation du sol et des racines par les nématodes. Les nématodes du sol ont été extraits selon la méthode de « l’élutriateur » de Seinhorst et ceux des racines selon la méthode de « l’asperseur » de Seinhorst. Le sol et les racines du sorgho ont été plus infestés par les nématodes dans la monoculture de sorgho par rapport aux rotations sorgho – niébé et sorgho – coton. -
Effet du système de riziculture intensive sur les émissions de gaz à effet de serre, la dynamique des populations des nématodes parasites, et la production du riz ( Oryza Sativa L.) sur le périmètre irrigué de Sébéri au Niger
Le riz a pris une place importante dans l’alimentation des pays du Sahel, et en particulier au Niger. Pourtant, la production nationale reste très faible, à cause des nombreuses contraintes liées aux effets du changement climatique, à la pauvreté des sols, aux mauvaises pratiques agricoles, aux ennemis des cultures, etc. Pour pallier ce problème, le système de riziculture intensive (SRI) apparait comme une alternative à la riziculture conventionnelle. L’objectif de cette étude est l’évaluation de l'efficacité du SRI en vue de l’amélioration de la résilience du système de riziculture du Niger. Cette pratique a été comparée à celle de la riziculture conventionnelle à travers un essai en station. L'expérimentation a été conduite sur le périmètre irrigué de Sébéri dans un dispositif en blocs de Fisher à 4 répétitions. Les traitements retenus sont : SRI avec 5 t/ha de compost, SRI avec 10 t/ha de compost, et la pratique conventionnelle (témoin). Les émissions de GES, les populations de nématodes parasites et libres du sol ainsi que les composantes du rendement ont été déterminées. Les résultats montrent une réduction des émissions de GES de -2,43t CO2eq de méthane sur le SRI, comparativement à la pratique conventionnelle dont les émissions ont augmenté de 2,66t CO2eq. L’apport de compost de 5t/ha et 10t/ha a permis une gestion efficace des nématodes parasites exophytes et endophytes, de 4 à 10 individus/250 cm3 et de 7 individus respectivement. Une augmentation de nématodes libres de 8 à 12 individus ; celle du nombre de talles de 85 à 115% ; ainsi qu'une augmentation significative (p≤ 0,05) des rendements paddy de l'ordre de 71,83% à 76,57%. -
Les nématodes parasites du riz irrigué au Niger
Quatre genres de nématodes phytoparasites (Hirschmanniella, Tylenchorhynchus, Longidorus,Dorylaimus) ont été rencontrés sur le riz dans les quatre plus importants périmètres rizicoles de la zone du fleuve Niger. De fortes populations de Hirschmanniella oryzae ont été trouvées sur plusieurs parcelles où la croissance du riz était très faible. La densité de H. oryzae dans les racines des plants infectés dépasse 1000 individus par gramme de racine sèche sur la plupart des plantes affectées. Tylenchorhynchus sp. Et Longidorus sp. étaient aussi très répandues car trouvées respectivement dans 75 et 100 % des sites avec des fréquences toujours supérieures à 40 %. Les nématodes phytoparasites, spécialement H. oryzae, pourraient être considérés comme un facteur majeur affectant la croissance du riz dans les périmètres irrigués du Niger. -
La lutte contre les nématodes
Ce poster montre comment reconnaître et lutter contre les attaques de nématodes -
Integrated Pest Management (IPM) practices for whitefly in tomato, pepper, chili and eggplant crops in Africa
Whitefly causes problems in many crops in sub-Saharan Africa (Fig.1 & 3). There are two major species of whitefly: Bemisia tabaci and Trialeurodes vaporariorum (Fig. 2). Both damage crops, but B. tabaci is more important as a virus vector while T. vaporariorum is a common problem in greenhouses and higher altitude areas. The viruses spread by whiteflies can severely reduce yields and in extreme cases even kill the crops. If infection occurs at seedling or vegetative stages, farmers can experience up to 100% crop loss.