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PromAP - Formation des associations féminines sur la conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région d'Agadez
Dans le cadre de ses activités, le PromAP a décidé de soutenir les associations féminines des productrices à travers une session de formation sur les techniques de conservation/transformation des produits maraichers notamment l’oignon ; la pomme de terre ; la tomate ; le chou et le moringa.
Le présent rapport s’articule au tour des 5 principaux points suivants :
1-- Introduction
2 -- Rappel des objectifs et des résultats attendus
3 -- Organisation de la formation
4 -- Contenu et progression de la formation
5 -- Conclusion/Recommandations -
PromAP -- Formation des OP des femmes et jeunes adultes en conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région de Tahoua
Le présent rapport rend compte du déroulement et de l’évaluation d'une mission de formation , par le Cabinet Agri-Bilan pour l’animation d’une formation sur la transformation et la conservation des produits maraichers. L’a formation a regroupé les associations féminines de 13 groupements féminins de la région de Tahoua sur les innovations et les problèmes liés aux techniques de conservation et transformation de l’oignon, tomate, chou et pomme de terre récoltés sur leur exploitations . -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Ce manuel a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation.
Il est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des compétences des producteurs dans le domaine de la PI. Il donne aux fmateurs des références théoriques et pratiques pour mettre en oeuvre des actions de formations. LE MANUEL Structuré autour des dix module dont (6 sur les maladies , les ravageurs et les actions de lutte; et 4 autres sur :
la gestion des nématodes parasites des cultures . -
Techniques de production des cultures irriguées -- Moringa (cahier du formateur)
Destiné aux prestataires publics et privés chargés du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la petite, ce cahier de formateur qui traite des techniques de production du moringa à savoir:
1 -- Généralités sur la culture de Moringa au Niger;
2 -- Conduite d’une pépinière de culture de Moringa;
3 -- Opérations de conduite de la culture du Moringa;
4 -- Description des techniques de production locale de semences de moringa
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Le moringa Oleifera
Cette fiche présente le Moringa un arbre tropical appelé aussi Mouroungeré, Ben aildé, moringa ailé, benzolive, pois quenique, neverdié Famille MORIN GACEAE
la fiche traite des caractéristiques, de l’intérêt alimentaire et de quelques vertus. -
Fiche technique A.S.E. N° 10 moringa oleifera « l'arbre de vie »
Cette fiche technique présente l'importance de la production et de la transformation des produits du moringa. Le choix pour planter le Moringa oleifera est double :
1) une multitude de ses produits peut assurer aux femmes des revenus pendant toute l'année.
2) quelques vertus ont des qualités dans le domaine de la propreté et de la santé. -
Ferme agropastorale Gorou-Bi
La ferme agropastorale Gorou-Bi commercialise divers produits biologiques tels que le moringa. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger.
Le développement des cultures irriguées, à la fois en termes d’espaces mais également en termes de périodes de production, entraine une augmentation de la pression des ravageurs et maladies. A cela s’ajoute l’apparition de nouveaux ravageurs. Le manque de connaissances des producteurs maraîchers sur les ravageurs et maladies des cultures, ainsi que sur les différentes méthodes de lutte, entraine des pertes très importantes et une utilisation abusive et/ou inappropriée des pesticides chimiques. Quand un producteur voit sa parcelle, et donc son gagne-mil (adaptation de l’expression gagne-pain) se faire rapidement dévorer et détruire par des ravageurs, il prend la décision la plus facile ou rapide et court acheter un « médicament », un flacon, une boite ou un sachet de pesticides chimiques auprès d’un vendeur de proximité. C’est souvent trop tard et pas très efficace. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger -- Document technique : la protection de la tomate
La gestion intégrée des ravageurs et maladies est un système de lutte économique qui emploie toutes les techniques et méthodes appropriées pour maintenir la population des ravageurs à des niveaux limitant les dommages : utilisation de variétés résistantes/tolérantes, pratiques de culture appropriées et l’application rationnelle de pesticides (en mettant l’accent sur les pesticides biologiques). La tomate est une des cultures les plus répandues à travers le monde. La tomate est cultivée partout au Niger pendant les trois saisons : saison sèche fraiche, saison sèche chaude et saison hivernale. La production principale se situe pendant la saison sèche fraiche. La tomate est un légume fruit de la famille des solanacées, c'est-à-dire de la même famille que le poivron, la pomme de terre, l’aubergine ou le piment. Cela signifie que certains ravageurs seront communs à ces plantes de la même famille et surtout qu’il ne faut pas qu’elles se succèdent dans la rotation. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger La protection du moringa
Il est Indispensable de savoir reconnaître les ravageurs et maladies et de BIEN connaître son ennemi pour le combattre. Tout n’est pas marqué dans les livres et chaque producteur et technicien doit être capable d’observer On ne peut pas lutter contre les ravageurs avec une seule mesure, les producteurs doivent comprendre l’ensemble des mesures à mettre en place. Les ravageurs et maladies n’étant pas bien connus, les producteurs et animateurs doivent apporter leur contribution pour mieux les maîtriser. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : préparation et application des bio pesticides
L’objectif de ce module de formation est de sensibiliser les producteurs aux méfaits des pesticides sur la santé de l’homme et de l’environnement, connaitre les plantes à vertus pesticides sur les quels des travaux de recherche ont permis de voir leur efficacité, apprendre à fabriquer eux même les produits à base de ces plantes, les intégrer dans un programme de lutte intégrée sur leur parcelle. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : La protection du chou
Le chou appartient à la famille des crucifères (Bracicaceae). Il est la seule culture de la famille qui a une importance économique au Niger ; il en existe deux sortes : chou pommé (le plus cultivé et chou-fleur). Autre crucifère cultivé au Niger : le Navet et la radis (la production est négligeable). A la fin de la formation, les producteurs doivent: Connaitre l’importance de des ravageurs et maladies de la culture, Savoir reconnaître les ravageurs et maladies et comprendre l’ensemble des mesures à mettre en place pour combattre ces ennemis de la cultures. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : Les mouches des fruits
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les mouches des fruits. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Les nématodes parasites des cultures maraîchères
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les nématodes parasites des cultures maraîchères au Niger -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’oignon
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture d'oignons. Cette lutte passe par l'identification des principaux ennemis de cette culture. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Connaissance et utilisation des pesticides
Ce module de formation traite de l'utilisation des pesticides. Cette utilisation passe par la connaissance de la typologie des pesticides au Niger. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger La protection du poivron et du piment
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture du poivron et du piment. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale
Cette fiche technique porte sur les techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale -
Fiche technique Moringa
Fiche technique du moringa -
Fiche technique de la poudre de Feuilles de Moringa
Cette fiche technique explique comment réaliser et utiliser la poudre de feuilles de Moringa -
Culture et entretien du moringa
Cette fiche porte sur la culture et l'entretien du moringa -
Culture et entretien du moringa
Le moringa (Moringa oleifera Lam), connu à Maurice comme le « mouroum », est un arbre originaire de l’Inde. Autrefois cultivé en arrière-cour pour ses feuilles et ses gousses afin de subvenir aux besoins alimentaires de la famille, le moringa connait aujourd’hui un intérêt grandissant au niveau mondial, en raison de ses vertus exceptionnelles environnementales, médicinales, industrielles et nutritionnelles.
Le moringa est considéré comme un super aliment car il est très riche en protéine, calcium, fer, potassium et en vitamines A et C. Une comparaison de ses valeurs nutritives avec d’autres aliments est présentée dans le
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Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Le présent manuel est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui du PromAP à travers sa composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
Scénario du film : Utilisation des Pesticides – Alphabétisation fonctionnelle – annexe curriculum gestion intégrée des ennemis des cultures (Version française)
Le présent document s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du PSRCA-PI. -
Techniques de production de feuilles de Moringa en exploitation agricole familiale
Cette fiche d'information présente les conditions générales de culture du moringa (semis, espacement, irrigation, fertilisation, sarclage, taille, lutte contre les ravageurs, récolte , production de graines ) -
Moringa : prévention des maladies chroniques dégénératives
On l’appelle le Moringa, c’est un arbre qui pousse dans les zones tropicales. On le connaît bien en Inde et en Afrique.
Aujourd’hui, on va vous le vendre comme plante miracle.
Qu’en est-il exactement ?
Voici mon point de vue sur le sujet, comme toujours ancré dans la science et la tradition plutôt que dans le marketing gonflé à l’hélium.
www.altheaprovence.com/moringa-prevention-maladies-chroniques-degeneratives/ -
Exploitation de moringa à Tafotakin Azel (Tchirozérin Agadez)
Le moringa (Moringa oleifera) est un arbre de la famille des moringaceae, poussant originellement au nord de l’Inde et du Pakistan, aujourd’hui présent dans toutes les régions tropicales et sub-tropicales. Résistant à la sécheresse, sa croissance est extrêmement rapide, et il peut atteindre jusqu’à 12 mètres de haut.
Le moringa originaire d’Inde est un arbre très résistant , aujourd’hui cultivé dans de nombreux pays tropicaux d’Asie et d’Afrique. S’il existe 13 espèces de moringa, c’est généralement le moringa oleifera qui est cultivé et consommé. Le moringa est un arbre à la croissance rapide, il faut généralement 3 à 6 mois pour récolter ses premières feuilles et un an et demi pour la première récolte de fruits. -
Production et transformation du moringa
Ce guide porte sur la production et transformation du moringa -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Ce présent document porte sur les méthodes pour lutter contre les ravageurs du chou
en maraîchage biologique -
Gestion intégrée de la production et des déprédateurs du
coton : Guide du facilitateur pour les Champs écoles des producteursL’objectif du guide est de fournir aux facilitateurs un document de référence qui présente l’approche de conduite des CEP dans le cas spécifique du coton en mettant l’accent sur les pratiques culturales et les options de gestion des ravageurs, des maladies et des adventices du coton suivant les principes de la gestion intégrée de la production et des déprédateurs. Il s'agit aussi de promouvoir le partage des connaissances générées, depuis 2001, par le programme sous-régional en Gestion intégrée de la production et des déprédateurs. -
Noorda blitealis Walker, un ravageur majeur du Moringa au Niger (Lepidoptera, Crambidae)
La pyrale défoliatrice qui constitue au Niger, le principal ravageur du Moringa, a pu être identifiée, pour la première fois, comme Noorda blitealis Walker. Des observations originales ont été faites sur la biologie de cet insecte, permettant d'envisager des méthodes de gestion durable des plantations de moringa. -
Growing and processing moringa leaves
Guide technique pour la culture du moringa -
Ravageurs des planches maraîchères de Moringa oleifera dans la région du centre (Burkina Faso)
Etude ayant comme objectif l'identification et la caractérisation des ravageurs des feuilles de moringa oleifera, ainsi que la détermination de l'ampleur de la défoliation sur les jeunes plants en culture maraîchère -
Recueil de quatorze fiches techniques du domaine Agro-Sylvo-Pastoral
Le présent recueil comprend quatorze (14) fiches techniques :
- Production du fourrage de Medicago sativa (Luzerne) au Niger
- Production d’Echinochloa stagnina (Bourgou) au Niger
- Amélioration de la disponibilité du fourrage par la culture de Dolichos lablab (dolique)
- Amélioration de l’aviculture familiale au Niger
- Mise au point des rations alimentaires pour les ruminants à base des ressources locales au Niger
- Contrôle et valorisation de Sida cordifolia au Niger
- Production de l’oignon d’hivernage : conduite d’une pépinière en saison de pluie avec le Violet de Galmi
- Techniques de production de bulbilles d’oignon Violet de Galmi
- Production de bulbes d’oignon de conservation au Niger
- Production de riz hors aménagement au Niger
- Banque alimentaire à base de Moringa par semis direct au Niger
- Banque alimentaire à base de Adansonia digitata (Baobab) au Niger
- Banque alimentaire à base de jujubier amélioré au Niger
- Conduite de la Régénération Naturelle Assistée (RNA) au Niger
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La gestion de l'eau dans la commune de Dantiandou: Etude de cas des villages de la zone d'intervention de la Fédération des Unions des Groupements Paysans du Niger
Le Niger est un pays de la zone tropicale sèche. Il s'étend sur une superficie de 1267000 km2 et se situe entre 11°33' et 23°33' de latitude nord ; 0°37' et 16°37' de longitude Est. C'est un pays continental et aride dont les 3/4 sont désertiques. Il a connu des sécheresses répétitives notamment en 1973-74, 1984-85, 1997-98 et en 2004-05. Selon une étude menée par SIVAKUMAR M.V.K (1993) les isohyètes se sont déplacées de 100 à 150 km après I960 et la pluviométrie moyenne annuelle a considérablement diminué. Les statistiques actuellement disponibles font ressortir que la superficie du territoire national recevant une pluviométrie annuelle supérieure à 200 mm/an ne dépasse guère 17,2 % de la superficie totale du pays, soit environ 354000 km2 (ISSA S, 2005). La température moyenne annuelle est de 29,5°C. Les hautes températures combinées avec l'augmentation du rayonnement solaire pendant la saison des pluies entraînent un accroissement de l'évapotranspiration potentielle (ETP) dont les valeurs moyennes mensuelles les plus élevées du pays sont enregistrées en zone sahélienne. L'ETP annuelle moyenne varie entre 1950 mm dans la zone soudanienne et plus de 2700 mm dans la zone saharienne (ISSA.I 2004). -
Etude documentaire sur la gestion de l’eau en Afrique sub-saharienne et région Caraïbes
L’Afrique sub-saharienne est traversée par de graves crises et des profondes mutations au niveau de ses systèmes irrigués. Elle devra résoudre la fois des questions de connaissances de la ressource, d’aménagement et de réhabilitation, d’amélioration des performances et d’adaptation aux ouvertures des frontières, de désengagement de I’Etat et de transfert de gestion, de décentralisation et de participation, et de des conflits dont l’accès à l’eau est souvent la source. Les enjeux et les responsabilités des gestionnaires de l’eau sur le continent sont énormes. -
Cahier du formateur
« gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères »
Le présent manuel est élaboré dans le cadre de la mise en œuvre du plan Stratégique de renforcement des Compétences des Acteurs de la Petite Irrigation (PSRCA-PI) initié par le Ministère de l’Agriculture avec l’appui du PromAP à travers sa composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d’améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection du moringa
Au Niger le moringa est sujet aux attaques de deux ravageurs et d'une maladie -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : préparation et application des biopesticides
La méthode de lutte la plus utilisée est l'utilisation des pesticides de synthèse,l’inconvénient des pesticides est toxicité pour l'homme et pour l'environnement -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : mouches des fruits
Plusieurs ont été rencontrées dans les vergers avec la prédominance de bactrocera invadens, espèces exotique qui a rapidement colonisé tous les milieux -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection d'oignon
L'oignon est une culture avec un nombre réduit d'ennemis comparé aux solanacées tomate,poivron pomme de terre et aubergine -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : connaissance et utilisation des pesticides
Le pesticide , substance utilisée pour combattre les ennemis des cultures animale,insecte ou plante. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection du poivron et du piment
Les maladies de plante c'est comme la paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu'on est très malade -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection de l'aubergine et de la pomme de terre
Les maladies de plantes c'est comme le paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu’on est très malade -
Gestion intégrée des principaux ravageurs des cultures maraîchères au Niger : protection de la tomate
Les maladies de plantes c'est comme le paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu'on est très malade -
Fiche technique pour la culture du moringa
Le moringa aime les sols bien drainés. Le sol ne doit pas s’engorger car le moringa est sensible à une présence de l’eau au niveau des racines. On pense que l’excès d’eau favorise le développement de maladies du moringa.
Il faut utiliser une matière organique bien décomposée, obtenue par un compostage à chaud. -
Gestion intégrée des nuisibles en production maraîchère : Guide pour les agents de vulgarisation en Afrique de l’Ouest
Très souvent, les agents de vulgarisation ne connaissent pas la cause des problèmes communs des nuisibles dans les cultures. Les problèmes de nuisibles surgissent généralement quand les processus biologiques, écologiques et sociologiques qui soutiennent l’agriculture sont perturbés.
Ce guide aide à pallier ce manque d’information. Il s’agit là de l’une des nombreuses mesures de l’Institut international d’agriculture tropicale (IITA) pour permettre aux agents de vulgarisation de développer et d’utiliser les technologies. Ce guide porte avant tout sur l’identification correcte et sur la meilleure compréhension de la biodiversité dans le développement et dans l’application des options de gestion intégrée des nuisibles (GIN) contre les nuisibles des légumes. La GIN est une approche à forte concentration de savoir qui a pour but d’augmenter la profitabilité des systèmes agricoles tout en réduisant au minimum les menaces pour la santé humaine et l’environnement.
Les exemples spécifiques dans ce guide portent sur le Bénin, mais les méthodologies et les informations générales s’appliquent à d’autres sites de production maraîchère en Afrique de l’Ouest. -
Evolution des prix de gros du moringa sur les 5 dernières années sur le marché de Djémadjé / Niamey
Cette note présente l’évolution des prix moringa sur le marché de Djémadjé (Niamey) depuis avril 2015 (semaine 17) à mars 2020 (semaine 10) et une comparaison des prix sur les cinq périodes de Ramadan.
Les prix sont fournis par des « informateurs » qui sont des professionnels de la commercialisation des produits maraîchers et travaillent depuis plusieurs années avec le RECA.
Le moringa commercialisé sur les marchés de Niamey est produit principalement dans la ceinture maraîchère de Niamey (Région de Niamey et Région de Tillabéri), dont une grande partie sur la rive droite du fleuve. Il n’y a pas d’importations des pays voisins. -
Manuel populaire des directives pour la gouvernance des terres, pêches et forêts
Cette publication a pour objet de soutenir la mise en œuvre des Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forets dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale. Elle ne saurait contredire les termes des Directives telles qu'elles ont été approuvé par le Comité de la Sécurité Alimentaire mondiale le 11 mai 2012,ni mettre en question le rôle des États dans leurs mise en œuvre. -
Manuel sur la gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères
Le présent document est élaboré dans le cadre des activités du Programme de Promotion de l'Agriculture Productive (PromAp) financé par la cCoopération Allemande. Il s'inscrit dans les activités de la composante 2 : Renforcement des capacités des prestataires de services pour la petite irrigation qui a pour objectif d'améliorer les services rendus par les prestataires étatiques et privés dans le domaine de la petite irrigation. -
La culture du moringa oleifera, un outil de développement local : cas de la Commune rurale de Liboré/Niger
La culture du moringa peut-elle contribuer au développement ? Cette question de recherche est secondée par l’hypothèse selon laquelle le moringa est un moyen d’intégration sociale pour les exploitants. L’objectif de cet article est de démontrer l’importance du moringa dans le développement de la commune de Liboré. L’étude a été réalisée sur trois sites de la commune (Yaboni, Galbal et Gonzaré). L’enquête s’est effectuée entre juillet et octobre 2016. Elle a étudié 72 acteurs dont, 42 producteurs et 30 ouvriers. La collecte des données a été facilitée par un guide d’entretien qui est adressé aux différents sujets étudiés. Cette a également été suivie par une recherche documentaire dans les bibliothèques de l’Institut de recherche en sciences humaines (IRSH) de Niamey et du ministère de l’agriculture et de l’élevage du Niger. -
Protection intégrée de la tomate en Guyane
Nous détaillons ici les techniques de production de la tomate en pleine terre. Les techniques de production hors-sol sont complexes et ne seront pas détaillées ici. Par la suite, les problématiques phytosanitaires et les méthodes de lutte seront traitées. Production des plants en pépinière. Le semis est réalisé au préalable en terrine ou en mini-motte dans un terreau sain. Les graines germent en 3 jours avec une température du sol de 20 à 25 °C. Après 12 jours, les plantules sont repiquées dans des mottes de terreau de 7 cm ou en godet.En cas d’ensoleillement intense, une ombrière peut être installée pour protéger les plantules. -
Analyse structurelle des systèmes agroforestiers à base de Moringa oleifera Lam. dans les vallées du fleuve Niger et du Goulbi de Maradi (Niger)
Les structures des systèmes agroforestiers à base de Moringa oleifera ont fait l’objet de suivi et d’analyses approfondies sur les sites de la vallée du fleuve Niger et du Goulbi de Maradi. Le suivi a porté sur la détermination des cultures maraîchères associées au M. oleifera, la durée ainsi que l’arrangement spatial des composantes de cette association. Les données ont été collectées à l’aide d’une fiche qui renseigne sur les paramètres à étudier. Aussi, des interviews semi-structurées ont été organisées avec les exploitants pour appréhender les motivations qui sous-tendent leur choix d’associer telle ou telle culture au M. oleifera. Il ressort de cette étude que sur les deux (2) sites, l’agrosylviculture domine avec plusieurs formes d’association du M. oleifera avec les cultures maraichères notamment Solanum melongena (24% des cultures associées au M. oleifera dans la vallée du fleuve) et Lycopersicon lycopersicum L (50% des cultures associées au M. oleifera dans le Goulbi de Maradi). Les raisons avancées par les exploitants pour choisir les cultures associées au M. oleifera sont d’ordre édaphique ou socioéconomique. Les superficies moyennes exploitées représentent 0,1915 ± 0,1707 ha/exploitant et 0,185 ± 0,0766 ha/exploitant respectivement dans la vallée du fleuve Niger et le Goulbi de Maradi. -
Guide pratique de formation de brigadiers phytosanitaires sur la gestion intégrée des ennemis des cultures
Dans la région de Tillabéri, beaucoup de brigadiers phytosanitaires ont reçu dans les années antérieures des formations. Ces brigadiers phytosanitaires exercent leur métier dans des conditions dangereuses souvent ne disposant pas d’équipements nécessaires pour mener à bien les activités de traitements phytosanitaires et ils ne maitrisent pas tous les paramètres de traitement. Ils ont très peu de connaissances sur les ravageurs et maladies des cultures maraîchères (identification, stades critiques, différenciation des symptômes sur les plantes etc.) et aussi sur les produits homologués et leur utilisation. -
Moringa oleifera dans la résilience et la sécurité alimentaire des populations de la commune urbaine de Tibiri Gobir au Niger
L’objectif de notre travail est d’identifier les combinaisons alimentaires à base de Moringa, leurs fréquences de consommation journalière ainsi que sa contribution dans la sécurité alimentaire. L’enquête à ainsi permis d’identifier cinq combinaisons alimentaires faites de feuilles cuite du Moringa dans cette zone. Il s’agit de feuilles cuites du Moringa avec du piment, du tourteau, de la farine de manioc, du riz et du couscous. -
Le moringa, en plus des feuilles, les graines et l’huile sont de plus en plus demandées
Le RECA a reçu la visite de Monsieur Philippe Arnold, Secrétaire Général de la Fondation Dreyer, une ONG allemande installée au Burkina Faso. Il était en visite au Niger pour rencontrer des structures ou personnes ayant des informations ou des connaissances sur le moringa et sur son marché au Niger. Cette note est écrite pour partager les informations et échanges que le RECA a eu avec ce visiteur. -
Le moringa, une demande forte, une offre insuffisante
Le moringa c’est el maka en haoussa et windi boundou en djerma. En ce mois de septembre, il faut voir les véhicules chargés de sacs de feuilles de moringa pris d’assaut par les détaillantes sur les marchés de Niamey. Pourtant c’est la saison des pluies, la pleine saison de production. Il faut dire que les habitants de Niamey sont de très gros consommateurs de cette feuille riche en vitamines, fer et autres éléments minéraux, et aussi en protéines. Ils ont raison, car 100 grammes de feuilles fraîches de Moringa apportent autant de protéines qu’un œuf, autant de calcium qu’un grand verre de lait et autant de fer qu’un morceau de viande. Et 100 grammes de feuilles de moringa ce n’est pas beaucoup. Fin août 2010 un tas de feuille fraiche de moringa se vend à 400 F.CFA au petit marché de Niamey, un tas qui pèse… 2,5 kg environ. Cela en fait des œufs et des verres de lait ! -
La protection phytosanitaire du Moringa / Quels conseils aux producteurs ?
Le moringa (el maka en Haoussa et windi boundou en Zarma) est une culture très importante au Niger avec deux grands bassins de production, autour de Niamey et dans la région de Maradi. La production du moringa a augmenté régulièrement ces dernières années. Les visites et échanges avec des producteurs des différents sites de production, autour de Niamey, indiquent une pression parasitaire de plus en plus forte avec des pertes de production importantes. Les producteurs se plaignent particulièrement d’un ravageur qui mange les feuilles. Celles-ci peuvent entièrement disparaitre de l’arbuste laissant les branches nues. Sur la photo ci- dessous, le vert des feuilles a été mangé et il ne reste que le « squelette » blanc. -
Étude sur le mode de gestion des retenues d'eau réalisées par le projet dans les régions de Dosso, Maradi et Tillabéri
BETICO-Mali (SARL) est une société de droit malien crée en septembre 1994 en tant que société d’ingénieurs-conseils Indépendants. Ses activités englobent tous les secteurs du développement des zones rurales et urbaines. BETICO-Mali (SARL) intervient essentiellement au Mali et dans les pays de la sous-région (Niger, Burkina Faso, etc). -
Étude de mobilisation des eaux dans la région de Maradi - rapport définitif
Le contexte actuel au Niger est marqué par la difficulté des conditions naturelles qui confinent la grande majorité des 12 millions d'habitants, essentiellement des ruraux, dans une bande de 1.500 km de long et 150 km de large situé au Sud du pays. Même si quelques potentialités d'exportation (bétail, oignon, niébé) ou de développement de l'irrigation existent, l'agriculture reste essentiellement vivrière et plus et pluviale et donc vulnérable aux risques de sécheresse. -
La gestion de l'eau en Algérie
La gestion de l'eau en Algérie pose un problème épineux aux autorités. Les ressources disponibles sont en deçà des besoins. La vétusté des réseaux d'adduction et la capacité de stockage déficiente entravent la bonne distribution de l'eau aux consommateurs. La dotation journalière par habitant reste faible par rapport aux normes internationales. Les instruments de gestion de l'eau ne sont pas efficaces. -
Logique floue appliquée à la gestion à long terme des ressources en eau
La gestion optimale des opérations d'un système de stockage/transfert/distribution d'eau (STDE) est une tâche complexe depuis que l'agriculture irriguée est devenue une activité très importante pour les sociétés humaines. C'est pourquoi ces sociétés ont déployé des efforts et de l'ingéniosité, grâce à l'évolution des techniques du génie civil et l'avènement de l'ère informatique, pour maîtriser les ressources en eau. -
Risque et décisions en gestion de l'eau. Essai d'analyse de la rationalité du dialogue entre hydrologue et gestionnaire
Le concept de risque, trop souvent imprécis, est analysé et un essai de définition rationnelle est tenté pour tenir compte à la fois des aspects de probabilité et de conséquences dommageables. On montre que toute analyse de risque en sciences de l'eau doit résulter d'un dialogue entre hydrologue et gestionnaire qui doit respecter des critères de clarté, d'efficacité et de cohérence. On insiste particulièrement sur la nécessaire prise en compte par l'hydrologue d'une expression, même simplifiée, des conséquences dommageables réelles pour le gestionnaire ou les membres de la cible du risque. -
Guide de formation : l'agroécologie pour sortir des pesticides - Diagnostics participatifs préalables : Module 1
Ces diagnostics peuvent être réalisés par des paysans lettrés utilisant des canevas d’enquêtes conçus avec des techniciens. Comme réalisé à Kita en 2017 en partenariat avec l’UR-CUMA de Kita, des équipes de 2 ou 3 paysans lettrés peuvent prendre en charge chacun des 3 thèmes ci-dessous. Nous suggérons que des femmes participent à ces enquêtes, voire prennent en charge certaines d’entre elles, car l’expérience montre qu’elles ont souvent plus conscience que les hommes des impacts sur la santé humaine des pesticides. L’annexe 2 propose des guides d’enquêtes villageois sur les pesticides et alternatives. -
Gestion de l'eau et décentralisation au Niger : cas de la mare de Tashi (Bonkoukou et Filingué)
La gestion de ressources limitées d’eau mais d’accès libre, telles que les mares, offre sans aucun doute les cas d’exemples de plus forts cumuls de problèmes de gouvernance territoriale en milieux semi-arides sahéliens. C’est que par la forte attraction qu’ils y exercent, les plans d’eau de surface (mares, retenues, lacs, etc.) polarisent plusieurs territoires enchâssés et à géométries variables selon les saisons. Leur exploitation met ainsi en compétition des groupes d’origines diverses et de statuts bien différents. La gestion de l’eau au Sahel est de ce fait un défi permanent auquel il faut faire face par des dispositifs adaptés à chaque territoire. -
Fiche technico-économique pour la culture du Moringa en saison sèche : Région de Dosso
Le Moringa est la 5 e culture irriguée pratiquée dans la région de Dosso avec 2 700 ha de superficie (MAG / Direction des Statistiques 2021). Appelé localement (« TAMAKA » ou encore « ITCHE MAI ALBARKA » en Haoussa ou « WINDI BOUNDOU » en Zarma, il est cultivé aussi bien en campagne sèche qu’en hivernage au niveau de tous les bassins de production de la région. -
Guide des plantes de pépinière et d'ornement : culture et lutte intégrée
La publication 841F du MAAO intitulée Guide des plantes de pépinière et d’ornement, culture et lutte intégrée, renferme des renseignements détaillés sur la lutte contre les ravageurs et les maladies, la nutrition et la qualité de l’eau. Elle se veut le complément de la publication 840F. Guide de protection des cultures de pépinière et d’ornement, qui contient la liste des produits homologués pour une utilisation sur les plantes de pépinière et d’ornement. Ensemble, ces guides remplacent la publication 383F, Plantes de pépinière et d’ornement, culture et lutte intégrée, du MAAO. -
L'arbre moringa
Le Moringa est l'un des plantes plus utiles et les plus polyvalents qui existe. En raison de sa richesse en vitamines, minéraux et protéines de Moringa est une riche source d'éléments nutritifs. Par gramme, les feuilles fraîches de Moringa contiennent 7 fois la vitamine C des oranges, 4 fois le calcium de lait, 4 fois la vitamine A de la carotte, le potassium 3 fois de bananes, 3 fois fer de l'épinard et autant de protéines que dans des oeufs. -
Analyse des Potentialités de l’Exploitation du Moringa en Haïti
Le Moringa, un arbre à usages multiples, est passé en une décennie du statut de plante marginale, voire inconnue, à celui de nouvelle ressource alimentaire et économique. En effet, chaque partie de l’arbre de Moringa possède un énorme potentiel et a des propriétés bénéfiques pour l’humanité. Il est très riche en éléments nutritifs (vitamines, minéraux et protéines). Il a des vertus diététiques, agronomiques et médicinales et peut servir à la purification de l’eau pour la rendre potable. Les médecins utilisent l’arbre Moringa pour traiter le diabète et l’hypertension ; il est également efficace contre les infections de la peau. Il peut aider à reconstruire les os fragiles, combattre les anémies et la malnutrition, et permettre à une mère d’allaiter son nourrisson. Le Moringa sert également de fourrage pour les animaux et elle produit également une huile de haute qualité. De plus, le Moringa peut assurer la protection du sol quand il est produit dans des zones de pente. -
Gestion sociale et diagnostic des infrastructures de distribution de l'eau sur le périmètre rizicole de Saga
Ce document, présente la situation actuelle de l’état des infrastructures hydrauliques et la gestion de l’eau sur le périmètre irrigué de Saga. L’étude a été basée sur des données collectées sur le terrain, et sur quelques rapports techniques faits sur ce périmètre. Cette étude révèle un périmètre confronté à un problème d’ensablement du chenal d’amenée, au vieillissement des pompes composant la station principale de pompage et de la station ainsi que celles de la station de drainage, des ouvrages hydrauliques peu entretenus et une gestion sociale de l’eau qui ne répond pas au respect du tour d’eau dans certains Groupements Mutuels de Production (GMP). -
Banque alimentaire à base de moringa et production continue de moringa
Les banques alimentaires à base de moringa sont des plantations en bloc avec la seule espèce. Ce concept est conçu parce que de nos jours, les espèces ligneuses alimentaires constituent un important apport alimentaire notamment aux populations sahéliennes. -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : fiche sur le moringa
Le moringa est l'un des arbres vivaces à croissance rapide, à feuilles caduques de taille moyenne d'environ 10 m à 12 m de hauteur. L'écorce a une couleur gris blanchâtre et est entourée de liège épais. Les jeunes tiges ont une écorce violacée ou blanc verdâtre. Les fleurs sont blanc crème jaunâtre et odorantes. Le fruit mûr est une capsule pendante de 20 à 45 cm contenant 15 à 20 graines globuleuses brun foncé de 1 à 1,2 cm de diamètre (voir Mallenakuppe et al. 2019). -
Analyse approfondie de la chaine de valeur moringa au Niger
Le Moringa est un arbre assez exceptionnel, résistant à la sécheresse mais de croissance très rapide sous pluie en saison (les feuilles tombent en saison sèche) et sous irrigation toute l’année. Il est très riche en éléments nutritifs essentiels (protéines et acides aminés, vitamines, sels minéraux) dans toutes ses parties (feuilles, graines, racines, branchettes et écorce), et est utilisé comme légume (consommable cru ou cuit), complément alimentaire (poudre, épice) ou sous forme de thé / infusion. De plus, une huile fine est extractible de l’amande de la graine et a des vertus officinales et cosmétiques reconnues et recherchées. -
Document du formateur : la protection de la tomate
La gestion intégrée des ravageurs et maladies est un système de lutte qui emploie toutes les techniques et méthodes appropriées pour maintenir la population des ravageurs à des niveaux limitant les dommages : utilisation de variétés résistantes/tolérantes, pratiques de culture appropriées et application rationnelle de pesticides (en mettant l’accent sur les pesticides biologiques). -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraichères au Niger : protection de la tomate (module de formation)
Le développement des cultures irriguées à la fois en termes d’espaces mais également en termes de périodes de production entraine une augmentation de la pression des ravageurs et maladies. A cela s’ajoute l’apparition de nouveaux ravageurs. Le manque de connaissances des producteurs maraîchers sur les ravageurs et maladies des cultures ainsi que sur les différentes méthodes de lutte entraine des pertes très importantes et une utilisation abusive et/ou inappropriée des pesticides chimiques. -
Gestion de l'eau en agro-écologie
L’eau étant un élément « vital » pour l’agriculture, une meilleure gestion de l’eau est cruciale à une production alimentaire durable. La gestion durable de l’eau agricole est l’un des principes sur lesquels l’agro-écologie base ses fondamentaux. La gestion de l’eau en agro-écologie se réfère à un usage durable des ressources en eau au champ, par une meilleure gestion du système sol-eau-plante à travers un usage optimisé des sources d’eau : eau de pluie, d’irrigation ainsi que la réduction des pertes d’eau (dues par exemple au ruissellement et à l’évapotranspiration). -
Gestion intégrée de Noorda blitealis Walker (Lepidoptera : Crambidae), chenille défoliatrice du Moringa au Niger
Cette Fiche technique est un outil d'aide à la décision mise au point à la suite des investigations scientifiques. Elle décrit en premier lieu, la biologie de la chenille défoliatrice du Moringa Noorda blitealis Walker ( Lepidoptera: Crambidae) ainsi que la dynamique de ses infestations au cours de temps et les dégâts associés. En second lieu, un calendrier des pratiques phytosanitaires pour lutter efficacement contre ce ravageur a été établi dans le contexte climatique et météorologique du Niger. Cette fiche s'adresse aux techniciens, aux chercheurs, aux vulgarisateurs, aux conseillers agricoles et même aux producteurs qui œuvrent dans la protection intégrée des cultures. -
Évaluation de la gouvernance de l'eau au Niger
L’utilisation et la protection des ressources en eau au Niger sont réglementées par la loi 98-41 du 07 décembre 1998 portant régime de l’eau et son décret d’application (Décret n°97-368 / PRN/MHE du 2 octobre 1997). Comme indiqué dans les fiches de renseignements, il existe beaucoup de textes qui font directement ou indirectement référence à la gestion des ressources en eau. Cependant, l’analyse du cadre juridique et réglementaire laisse apparaître des problèmes de plusieurs ordres : la non application des textes juridiques, l’insuffisance voire même la quasi-inexistence des textes complémentaires d’application au niveau de certaines lois et la méconnaissance de la législation par la plupart des acteurs. -
Facteurs influençant l’adoption des techniques de conservation des eaux et des sols : Cas des cordons pierreux et du zaï dans les exploitations agricoles du cercle de Bankass au Mali
Les mauvaises pratiques pour la gestion durable des terres constituent l’un des principaux facteurs de l’instabilité des récoltes dans les bassins de production des céréales sèches au Mali. L’intensification de la production agricole dans un contexte de semi-aridité du climat et de dégradation avancée des terres, suggère non seulement des recherches mais aussi une application effective des mesures conservatoires et antiérosives. L’objectif de notre étude était de déterminer les facteurs susceptibles d’influencer l’adoption des techniques de conservation des eaux et des sols dans le cercle de Bankass. -
Bonnes pratiques de conservation des eaux et des sols
La présente étude a pour but de présenter les bonnes pratiques en matière de conservation des eaux et des sols (CES) et de défense et restauration des sols (DRS) du point de vue de leur contribution à la réduction de la vulnérabilité des populations et à l’accroissement de la résilience des systèmes agro-sylvo-pastoraux1. Elle a été réalisée à la suite à une initiative du groupe de travail Gouvernance des ressources naturelles du réseau sectoriel de développement rural en Afrique (Sector Network Rural Development Africa - SNRD) et a été financée par différents projets sectoriels2 de la GIZ. -
Méthodes et outils pour faciliter l’échange de savoir entre spécialistes de conservation des eaux et sols et agriculteurs sur la gestion durable des sols au Niger, Afrique de l’Ouest
Nettement étonné étaient les paysans à chaque fois que j’enlevais un sachet plein de terre de leur champ, au nom de la science. Pour un but très abstrait je porte un tas de sable vers la ville. La terre qui est toujours là. Le vent le jette dans les visages des femmes qui cherchent du bois. La terre où on met le pied dessus, elle est emportée dans un laboratoire. La recherche de la notion des sols chez les paysans et paysannes du Niger est un voyage dans les cosmologies des différentes ethnies liées étroitement à leurs activités de subsistance. Les agriculteurs gagnent leur vie avec les sols, leur fonctionnement est essentiel pour eux. La conservation des sols ne peut être qu’un sujet de grande importance de leur point de vue. En même temps ce sont aussi les agriculteurs les meilleurs connaisseurs de leurs terres. Personne n’a vue et senti aussi précisément les réactions des sols dans chaque situation hydrologique et chaque période d’une culture. De ce point de vue un spécialiste consultant dans la matière de la gestion des sols souligne en vain l’importance des technologies de conservation. Mais pourtant je suis convaincu que le travail des spécialistes dans les villages peut contribuera la conservation des sols - il s’agit seulement de réviser les questions dans lesquelles leur conseil peut être utile et reconsidérer la façon dans laquelle le savoir est généré, communiqué et mise en valeur. -
Déterminants de l’adoption des techniques de conservation des eaux et des sols par les producteurs dans les régions du Centre et du Plateau Central au Burkina Faso
Les techniques de Conservation des Eaux et des Sols / Défense et Restauration des Sols (CES/DRS) permettent d’accroitre les rendements et les revenus des producteurs. Au Burkina Faso, plusieurs facteurs permettent d’expliquer l’utilisation de ces facteurs, parmi lesquels des facteurs socioéconomiques et institutionnels. L’objectif de cette recherche était de déterminer les effets des facteurs socioéconomiques et institutionnels sur la probabilité d’adoption des techniques de CES/DRS par les producteurs dans les régions du Centre et du Plateau Central au Burkina Faso. Pour y parvenir, l’approche méthodologique utilisée a privilégié les données d’enquête collectées auprès de 265 producteurs et une modélisation du type Probit. Les résultats ont montré que le sexe du producteur, l’appartenance à une organisation paysanne, la pratique de l’élevage des caprins, le type d’activité principale, le fait d’être propriétaire terrien jouent positivement sur la probabilité d’adoption des techniques de CES/DRS. -
Les techniques traditionnelles de conservation des eaux et des sols sur le plateau Dogon
Situé dans la partie orientale du Mali, le plateau Dogon couvre environ 10.000 km². Les longitudes ouest 3' et 4' et les latitudes 14' et 15' du nord sont ses bornes géographiques. -
Les techniques de conservations des eaux et des sols dans les pays du Sahel
Le présent rapport est le résultat de plusieurs années de collecte de données par le Comité Interafricain d’Études Hydrauliques (C1EH), et l'Université Agronomique de Wageningen (UAW, Pays-Bas). Dans le cadre d'un programme de collaboration qui a débuté en 1987, cette Université avait mis à la disposition du CIEH Monsieur J.C. J. Vlaar, qui avait pour tâche de réaliser, entre autres cette étude. -
Mieux gérer l’eau par des pratiques agricoles innovantes : quelles perspectives dans les pays en développement ?
L’objectif de cette étude est donc de faire un point sur les connaissances disponibles sur le potentiel de ces techniques pour une meilleure gestion de l’eau, tout en s’attachant aux contextes locaux de diffusion et d’adoption dans les pays en développement. Quatre techniques sont considérées : le zaï, le semis direct sur couverture végétale (SCV), le système de riziculture intensive (SRI) et l’irrigation au goutte-à-goutte. L’étude ne représente pas de façon exhaustive l’ensemble des expériences, recherches et rapports touchant à ces pratiques, ni l’ensemble des régions dans lesquelles ces techniques sont mises en œuvre. Ce rapport est centré sur les exploitations familiales petites et moyennes dans les pays en développement et plus particulièrement sur le continent africain. -
Loi portant le régime de l'eau (haoussa)
Ce document fait état de la loi portant le régime de l'eau. -
Étude du cadre juridique et institutionnel relatif aux unités de gestion des eaux
Au Niger, « Etat le plus sahélien des pays du Sahel », les ressources en eau constituent un facteur primordial de développement socio-économique. On observe que les consommations et les pollutions augmentent et les précipitations se réduisent. Les potentialités en eau de surface sont estimées à quelque 32 milliards de m3, tandis que les réserves en eau souterraines sont-elles évaluées à environ 2000 milliards de m3. -
Techniques de production du moringa
Moringa oleifera est une plante originaire du sous-continent indien. De là, il s’est propagé dans toutes les zones tropicales et subtropicales du monde. Il s’agit d’un arbre à usages multiples qui attire de plus en plus l’attention des populations tant rurales que citadines. En effet, toutes ses parties sont utilisées pour leurs propriétés nutritionnelles et pharmacologiques. Il peut aussi être utilisé dans l’artisanat et pour la purification de l’eau de boisson. Le moringa peut également jouer un rôle important dans la conservation des sols et de l'eau et dans l'atténuation des effets du changement climatique. Il génère des revenus importants pour les producteurs et sa commercialisation à grande échelle lui fait jouer un rôle économique croissant (Bibata et al., 2023). -
Effets de modèle de fertilisation bio sur la croissance de deux cultivars de Moringa oleifera Lam.
La culture de Moringa oleifera au Niger constitue une activité d’appoint à l’agriculture pluviale caractérisée par une baisse des rendements due à la dégradation du sol. L’étude a été conduite dans la Commune de Kanembakaché avec l’objectif d’évaluer les effets des modèles de bio-fertilisation sur la performance agronomique et foliaire de deux variétés de M. oleifera.