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Protégeons nos enfants des pesticides -- Guide visuel d’animation
Ce guide visuel présente comment réduire l’exposition des enfants aux pesticides; comment identifierque les enfants sont exposés aux pesticides, la description des effets négatifs des pesticides sur la santé et pourquoi les enfants sont plus exposés; il aborde aussi ce qu'il faut faire pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides .
Il aide à partager l’information au sein de la communauté pour réduire l’exposition des enfants aux pesticides. -
Gommose sur tronc du pamplemoussier à Timia
La gommose est l’une des maladies répandues sur les agrumes à Timia. C’est une maladie due à un champignon Phytophthora. Elle se caractérise au niveau du collet par une pourriture de l’écorce et du cambium. Secondairement, il y a une forte exsudation de gomme sur le tronc et les branche. Ultérieurement l’écorce nécrosée se fend longitudinalement et laisse apparaitre des lésions brunes sous le bois. -
Biopesticides - Pourquoi le produit ? Haoussa Document 1
Biopesticides ou pesticides naturels (éléments vocaux en langue Haoussa).
Ces éléments vocaux ont été préparés pour une diffusion via WhatsApp. Ils sont tirés d’une émission radio qui a été diffusée en langue Haoussa et en langue Zarma via les radios locales dans plusieurs régions.
Aujourd’hui, les producteurs au Niger utilisent beaucoup trop de pesticides chimiques. Ce sont des produits dangereux pour la santé des producteurs et de leur famille mais aussi des consommateurs qui achètent les produits maraîchers. De plus, les règles d’utilisation de ces pesticides ne sont pas souvent respectées.
Pour protéger leurs cultures et diminuer l’utilisation des pesticides chimiques, les producteurs ou les productrices peuvent utiliser des pesticides naturels, faits avec des plantes, que l’on appelle biopesticides.
Les éléments en langue Haoussa :
- 1. Pourquoi le produit ?
- 2. C’est quoi ce nouveau produit ?
- 3. Quels sont les ingrédients et matériels utilisés ?
- 4. Que faire avec le résidu ?
- 5. Comment appliquer le biopesticide ?
- 6. Quels sont les avantages ?
- 7. Est-ce que les composants du produit peuvent être utilisés séparément ?
Les fichiers des émissions radio en langue Haoussa et Zarma sont disponibles au RECA ou dans les Chambres Régionales d’Agriculture. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : Connaissance et utilisation des pesticides
Ce module de formation traite de l'utilisation des pesticides. Cette utilisation passe par la connaissance de la typologie des pesticides au Niger. -
Les étiquettes des pesticides ne donnent pas satisfaction : il faut les remplacer par des fiches techniques adaptées aux utilisateurs
Les premières investigations et notes du RECA indiquent que les pratiques des agriculteurs pour la protection des cultures irriguées et l’utilisation des pesticides ne sont globalement pas bonnes, au détriment des producteurs eux-mêmes (santé et revenus) et des consommateurs. Ceci est confirmé par la plupart des partenaires intervenant en appui aux producteurs. -
Renforcement des capacités des maraîchers des Communes de Adjohoun, Bopa, Aplahoué, Ouaké, Malanville, Sô-Ava sur la protection phytosanitaire aux fins de l’adaptation aux changements climatiques
Au Bénin comme dans d’autres pays de la région Ouest-africaine, la production maraîchère est devenue depuis quelques années une activité en pleine expansion, en particulier dans les sites urbains et périurbains. En dépit de son importance vitale pour la production vivrière et de sa contribution non négligeable en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle, la filière maraîchère reste confrontée à de nombreux défis au nombre desquels figurent la non maîtrise des dégâts des nuisibles (insectes et ravageurs), la méconnaissance des techniques de gestion intégrée des ravageurs et les effets induits par la variabilité et les changements climatiques. -
Utilisation des Pesticides – alphabétisation fonctionnelle – annexe curriculum gestion intégrée des ennemis des cultures (Version française)
Ce module de formation des producteurs sur l’utilisation des pesticides est un support essentiellement adressé aux producteurs analphabètes. C’est un module qui donne les pistes d’une bonne utilisation des pesticides dans la vie courante des producteurs. Malgré toutes les sensibilisations menées jusque-là, les contaminations par les pesticides et les risques de mauvaises pratiques persistent. L’une de nos préoccupations majeures est de tendre vers les bonnes réponses aux questions que se posent tous les acteurs agricoles en général et les maraichers en particulier suite aux risques énormes auxquels s’exposent les manipulateurs des pesticides. -
Les pesticides : composition, utilisation et risques
Définition, classification et application effective des pesticides. Risque et utilisation effective des produits -
Comment fabriquer une décoction d'ail pour éloigner les pucerons et lutter contre l'Oidium ?
Conseils d'un horticulteur pour fabriquer une décoction d'ail pour éloigner les pucerons et lutter naturellement contre l'oidium et le mildiou -
Comment réaliser un extrait de graines de neem pour lutter contre les ravageurs ?
Cette vidéo montre comment fabriquer et utiliser de l'extrait de graines de neem pour lutter naturellement contre les ravageurs -
La gestion des maladies de l'oignon
Cette vidéo montre comment lutter contre les principales maladies de l'oignon
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Pratiques phytosanitaires et niveau d’exposition aux pesticides des producteurs de coton du nord du Bénin
Au Bénin, les écosystèmes terrestres sont pollués par la présence généralisée de résidus de pesticides due à une utilisation intensive de produits phytosanitaires en agriculture, principalement sur la culture du coton. Afin d’évaluer le niveau d’exposition des producteurs aux pesticides et d’estimer l’impact potentiel de ceux-ci sur la santé humaine, des enquêtes semi-structurées couplées à des observations sur les pratiques locales ont été effectuées auprès de 150 producteurs de coton des communes de Gogounou, Kandi et Banikoara, principales zones de production cotonnière du pays. -
Guide du Jardinage Ecologique : Alternatives aux Pesticides pour les Particuliers
Pesticides, on peut faire autrement ! Le présent guide propose des alternatives à l'utilisation de pesticides pour les particuliers -
Liste globale des pesticides autorisés par le Comité Sahélien des Pesticides Version de Novembre 2019
La Liste des pesticides autorisés par le Comité Sahélien des Pesticides -
Fiche maraîchage : lutte contre le flétrissement bactérien
Le flétrissement bactérien (Ralstonia solanacearum) est une bactérie du sol, pathogène des végétaux. Elle est particulièrement virulente dans les régions tropicales et subtropicales et colonise le xylème. Elle cause une pourriture bactérienne ou bactériose vasculaire chez de nombreuses plantes-hôtes. -
la lutte biologique par conservation
Les insectes prédateurs et parasitoïdes, les araignées et les champignons entomopathogènes s’installent spontanément et durablement dans les milieux qui leur sont favorables et contribuent naturellement au contrôle des insectes ravageurs : ainsi s’opère la lutte biologique par conservation. Trois conditions sont essentielles pour favoriser les auxiliaires... -
La lutte contre les insectes ravageurs - exemples de méthodes par piégeage
Cette fiche rassemble quelques techniques utiles afin de lutter contre certains insectes nuisibles des cultures. Ces méthodes simples à réaliser utilisent des systèmes par attractif alimentaire ou piège dit mécanique. -
Lutte contre la fourmi manioc
Les fourmis manioc appartiennent aux genres Atta et Acromyrmex, elles sont qualifiées de fourmis coupeuses-de-feuilles ou champignonnistes. Elles se nourrissent du champignon Leucoagaricus gongylophorus qu’elles cultivent sur un substrat de feuilles en décomposition (compost). Ces fourmis sont bien connues des agriculteurs pour les dégâts causés au feuillage des arbres (surtout la nuit). -
Les plantes assainissantes
Les plantes assainissantes ont un pouvoir de désinfection du sol contre certaines maladies du sol telles que le flétrissement bactérien ou certains ravageurs tels que les nématodes ou les symphyles. On parle alors de biodésinfection du sol.
Certaines d’entre elles sécrètent des molécules gazeuses qui suppriment ou ralentissent la propagation des nuisibles : elles sont appelées plantes biofumigantes. Ces gaz se développent soit sur plantes vivantes par les racines, soit sur plantes mortes lors de leur décomposition. Les plus connues sont les plantes appartenant aux familles des Alliacées, Astéracées et Brassicacées. -
Insect atlas : Facts and figures about friends and foes in farming
Ce guide porte sur les insectes, leur utilité et leurs impacts -
Analyse des risques liés à l’emploi des pesticides et mesure de la performance de la lutte intégrée en culture de tomate au Burkina Faso
Diakalia SON (2018) Analyse des risques liés à l’emploi des pesticides et mesure de la performance de la lutte intégrée en culture de tomate au Burkina Faso (Thèse de doctorat). Université de Liège -
Des plantes saines pour une planète en bonne santé : cahier d'activités
Ce livret a été conçu, rédigé et illustré pour aider les éducateurs
et les gardiens à sensibiliser les enfants et les jeunes à la protection des végétaux, la science qui s’intéresse à la santé des végétaux. Bien qu’il s’adresse à une tranche d’âge comprise entre 8 et 12 ans, il peut également être utile pour les adolescents -
Ceratitis capitata
ressource technique sur la reconnaissance et la lutte contre ceratitis capitata. -
Citrus greening : gestion de la maladie
Cette fiche technique indique comment identifier et lutter contre le citrus greening en production d'agrumes -
Caractéristiques des ravageurs des palmiers africains
Planche de reconnaissance des ravageurs du palmier -
Rapport National sur la situation des Pesticides Extrêmement Dangereux (PED) au Niger
Au Niger les pesticides fournis par l’Etat sont homologués par le Comité Sahélien des Pesticides (CSP) du CILSS. Or, la majorité des produits pesticides en vente sur le territoire nigérien, et utilisés par les producteurs maraîchers sont principalement importés du Nigeria et du Ghana, pays non membres du CILSS et qui sont de grands producteurs. Les produis non homologués sont les plus dangereux et interdits d’utilisation, même la vente se fait de façon frauduleuse. -
Formation des brigades phytosanitaires des régions de Maradi, Tillaberi et Zinder Campagne des cultures irriguées 2017
Financement regis-er
Les cultures maraîchères sont attaquées par de nombreux ennemis qui occasionnent des pertes de récolte, souvent très importantes. L’ampleur des dégâts et des pertes sont plus significatives dans les pays ayant un écosystème fragile caractérisé par des sols pauvres et une insécurité climatique marquée par des pluies insuffisantes et irrégulièrement réparties dans le temps et dans l’espace. Dans ces zones les capacités de surveillance et de lutte contre ces ennemis de cultures sont limitées. -
Cahier du formateur « utilisation des pesticides – alphabétisation fonctionnelle – annexe curriculum gestion intégrée des ennemis des cultures »
(Version française)Le guide est un support privilégié du formateur pour la mise en œuvre du plan de déroulement de la formation. Il présente des manières d’aborder les objectifs et de développer un enseignement spécifiques aux producteurs/trices. -
Formation des paysans dogo de la protection des végétaux
Apprendre aux paysans comment combattre la chenille mineuse de l'épi du mil telle est le but de cette formation -
Rapport de mission d'appui à la protection des végétaux
En étroite en collaboration avec l'administration nigérienne et en particulier la direction de la protection des végétaux et la délégation l'union européenne en république du Niger, le consultant antiacridien sera responsable de quelques tâches -
Protections des végétaux
La présente loi a pour objet la protection des végétaux et des produits végétaux par la prévention et la lutte contre les organismes nuisibles dans le respect de l'environnement -
Rapport technique sur le projet Leptospirose humaine au Niger
Les rongeurs commensaux sont à la fois des réservoirs de virus et des transmetteurs de maladies pour l'homme et certains animaux. La transmission s'effectue par l'intermédiaire de leurs déjections, de leurs morsures et des parasites qu'ils hébergent.
En 2015 une étude conduite par une équipe composée du CBGP, (UMR IRD-INRA-CIRAD-SupAgro Montpellier), de l’Institut Pasteur, de la Direction Générale de la Protection des Végétaux, de l’OMS (Gauthier et al., 2015) a permis d’identifier deux (2) nouveaux serovars de Leptospira kirschmeri sur des rongeurs du genre Arvicanthis et Cricetomys dans la ville de Niamey notamment au niveau des quartiers Lamordé et Yantala. Suite à ces travaux de recherche, le CERMES a jugé nécessaire de mener une exploration de la séroprévalence de Leptospirose chez l'homme, en ciblant ces quartiers riverains du fleuve où les maraîchers travaillent dans les jardins où les serovars ont été découverts (ex. Lamordé, jardins et habitations riveraines).
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Rapport technique sur le projet Leptospirose humaine au Niger
Les rongeurs commensaux sont à la fois des réservoirs de virus et des transmetteurs de maladies pour l'homme et certains animaux. La transmission s'effectue par l'intermédiaire de leurs déjections, de leurs morsures et des parasites qu'ils hébergent. -
Rapport annuel des activités phytosanitaires de la direction des études biologiques
Parmi ces insectes ravageurs de mil au Niger, la chenille mineuse de l’épi (Heliocheilus albipunctella) reste l’un des plus redoutables ravageurs, car ses attaques interviennent à un moment critique, au stade de la grenaison. Aussi, des pertes de rendements pouvant atteindre 85% sont observées localement en cas d’attaques sévères contribuant ainsi à compromettre l’objectif de la sécurité alimentaire et de réduction de la pauvreté en milieu rural. -
Rapport annuel 2017
La direction de la logistique et des équipements phytosanitaires a assuré la réception et la ventilation des pesticides et autres matériels en début et au cours de cette campagne. Le suivi de la gestion dans les régions a été assuré par des missions menées à l’intérieur du pays et la réception régulière des documents de gestion. -
Principes directeurs pour l’achat de pesticides utilisés en santé publique
L’acquisition de pesticides est une activité hautement spécialisée et complexe qui suppose une expertise afin de garantir la rapidité, l’efficacité et la rentabilité de l’achat de pesticides de qualité appropriée, d’une manière équitable et transparente. Elle doit également être encadrée par des politiques nationales et des principes directeurs comportant des procédures claires et transparentes, s’appuyant sur des dispositions juridiques et sur des contrôles. De grandes quantités de pesticides sont achetées chaque année dans le cadre d’appels d’offres nationaux et internationaux. On estime qu’en moyenne 4429 tonnes de substance active de la famille des organochlorés, 1375 tonnes d’organophosphorés, 30 tonnes de carbamates et 414 tonnes de pyréthrinoïdes ont été utilisées chaque année pour lutter contre des vecteurs de maladies d’importance mondiale durant la période 2000–2009 dans les six régions de l’OMS (1). Les programmes de pulvérisation intradomiciliaire à effet rémanent pour lutter contre les vecteurs du paludisme en Afrique ont pris une ampleur significative ces dernières années : le nombre de personnes protégées en Afrique sub-saharienne est passé de 13 millions en 2005 à 75 millions en 2009. Par ailleurs, à la fi n 2010, près de 298 millions de moustiquaires à imprégnation durable ont été distribuées dans la Région africaine pour prévenir le paludisme. -
Note de suivi de trois unités de production de biopesticide à base des graines de neem au niveau des villages de Danja, Sarkin Hatsi et Garin Maiganga (Région de Maradi)
Pour contrôler ces ennemis de culture, la majorité des producteurs font recours aux pesticides chimiques de synthèse. L’utilisation excessive de ces produits, souvent non homologués, n’est pas sans effets néfastes sur la santé humaine et animale. Cette pratique contribue aussi à la dégradation de l’environnement en polluant les sols exploités et les nappes phréatiques. La promotion des biopesticides à base des plantes est une solution alternative durable surtout à l’endroit des producteurs à faible revenu.
C’est dans ce cadre que le projet « Legume1 System Research LSR Inn-Lab / INRAN Feed the future » financé par USAID intervient pour appuyer trois groupements féminins pour l’entreprenariat agricole sur la production de biopesticide à base des graines de Neem ‘‘Neem tea bag’’ ou ‘’Farine de graines de neem ensachée’’. Le neem est un merveilleux insecticide 100% naturel, inoffensif pour l'homme et les animaux, actif contre plus de 200 insectes, les acariens, les nématodes, les champignons et les bactéries (Vallet, 2006). La méthode de lutte avec le ‘‘Neem tea bag’’ est l’une des technologies AIC (Agriculture Intelligente face au Climat) car elle préserve l’environnement et permet une augmentation des rendements de culture. Ces unités de production et de vente du « Neem tea bag » ont été mises en place par l’équipe du Laboratoire d’entomologie de l’INRAN-Maradi. -
Appui au renforcement du potentiel de lutte anti-acridienne au Niger pour 1999-2002
Le projet a pour but de contribuer aux efforts du gouvernement nigérien visant à assurer l'autosuffisance et la sécurité alimentaire des populations par la maitrise de la menace acridienne et ce,dans le respect de l'environnement. A cette fin,l'assistance luxembourgeoise continuera à renforcer la capacité technique et humaine d'intervention de protection des végétaux alors que les agents et les bénéficiaires de lutte anti-acridienne seront sensibilisés aux aspects écologiques et sanitaires de l’utilisation des pesticides. Ainsi,la D.P.V sera doté de moyens d'intervention terrestres et aériens opérationnels. La recherche sur les méthodes de lutte non-chimique est engagé. Enfin, les stocks de produits toxiques périmés seront dépollués, reconditionnés, ou détruits. L'optique est la en place d'un cadre technique,financier et institutionnel devant permettre l'instauration d'un système permanent de lutte préventive au bénéfice de l’ensemble de la population approvisionnée en vivre. -
Bilan des activités réalisées en 2011 adopté par le conseil d'administration du 30 Novembre 2011
Le Niger, à l'instar des trois pays de la ligne de front de Criquet pèlerin de la Région Occidentale s'est doté d'un Centre National de Lutte Anti-acridienne (CNLA) qui a pour mission 1) d'organiser et conduire en période de rémission les opérations de surveillance régulières et de lutte préventive contre le Criquet pèlerin dans ses aires de grégarisation et reproduction (Aîr et Tamesna) et le Sahel des pâturages; 2) préparer les plans d'actions,coordonner et évaluer les opérations de lutte,en collaboration, avec la Direction Générale de la Protection des Végétaux et les autres structures concernées; 3) collecter, traiter, diffuser et échanger les informations relatives au Criquets pèlerin, avec les Institutions nationales,régionales et internationales. -
Brochure des textes de la CEDEAO sur les pesticides
La Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) est un instrument d'intégration par excéllence pour les 15 pays de la région. Elle a été créée en 1975 par la volonté des chefs d'états. Dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique régionale, la CEDEAO a élaboré et fait adopter par ses États membres en Mai 2008, deux réglements que sont: le règlement C/REG.4/05/2008 portant harmonisation des règles régissant le contrôle de qualité, la certification et la commercialisation des semences végétales et plants dans l'espace CEDEAO et le règleemnt C/REG.3/05/2008 portant harmonisation des règles régissant l'homologation des pesticides dans l'espace CEDEAO. -
Plan d'action 2012
Le Niger à l'instar des trois autres pays (Tchad,Mali et Mauritanie) de la ligne de front de Criquet pèlerin de la région occidentale s'est doté d'un Centre National de Lutte Antiacridienne (CNLA) qui a pour mission i) d'organiser et conduire en période de rémission les opérations de surveillance régulière et de lutte préventive contre le Criquet pèlerin dans ses aires de grégarisation et de reproduction (Air et Tamesna) et dans le Sahel des pâturages; ii) préparer les plans d'actions, coordonner et évaluer les opérations de lutte, en collaboration avec la Direction Générale de la Protection des Végétaux et les autres structures concernées; et iii) collecter, traiter, diffuser les information relative au Criquet pèlerin, avec les institutions nationales, régionales et internationales. -
Plan de gestion des pestes et pesticides
Le Gouvernement du Niger avec l’appui de la Banque mondiale a mis en œuvre depuis octobre 2011,le Projet Filets Sociaux (PFS) dans les cinq (5) régions considérées du pays abritant plus de 94% des ménages les plus vulnérables à savoir Tillabéry, Dosso, Tahoua, Maradi et Zinder. L’objectif du projet PFS était de permettre l’accès des pauvres dans les cinq régions les plus pauvres du pays, à un système de filets sociaux permanent de transfert en espèces et de
travaux communautaires afin de les protéger de l’impact des chocs et réduire leur niveau d’insécurité alimentaire -
Pratiques paysannes d'utilisation des pesticides sur les cultures maraichères dans le département de Madaoua, Niger
Etude portant sur l’analyse des connaissances et des pratiques de producteurs maraîchers par rapport à l’utilisation des pesticides au Niger, et réalisée dans trois communes du département de Madaoua -
Rapport provisoire de l'évaluation à mi parcours du projet de renforcement des moyens de protection des végétaux et des denrées stockées dans la région du Liptako-Kourma (PRM-PV)
Une mission d'évaluation à mi-parcours du Projet de Renforcement des Moyens de Protection des Végétaux et des Denrées Stockées du Liptako-Gourma (PRM-PV) s'est déroulée du 24 Octobre 2011 au 12 Janvier 2012 dans les Etats membres du Liptako-Gourma, bénéficiaire du dudit projet (Burkina Faso, Mai, Niger). -
Stratégie globale en protection des végétaux
L'agriculture nigérienne est soumise depuis quelques décennies à de fortes variabilité de production dues à des sècheresses répétées et à des pressions parasitaires quasi permanentes. La politique agricole nationale ayant pour priorité l'autosuffisance alimentaire, la défense des cultures devient alors une des préoccupations majeures de cette politique. -
Forum national sur la problématique de la protection des végétaux au Niger
Au Niger, si la climatologie conditionne l'existence même de la production agricole, les ennemis des cultures sont les principaux facteurs de sa réduction, voire même de Sa destruction totale. Leurs pullulations rendent aléatoire la recherche de la sécurité alimentaire prônée par le gouvernement, aidé par ses partenaires au développement. Pour lutter contre ce fléau, d'importantes quantités de produits chimiques sont utilisées chaque année, ce qui n'est pas sans danger pour l'Homme et l'environnement et à un coût que l’État seul ne peut supporter. -
Habrobracon
La Formation des Chefs de District Agricole des départements de Filingué et de Illéla du 13 au 17 juin 2011 au Centre Régional AGRHYMET; en prélude à la campagne agricole 2013, la DGPV a démarré l’élevage du parasitoïde (Habrobracon hebetor) et de son hôte de substitution (Corcyracephalonica) au laboratoire; en 2015 et 2016, une démarche de lutte biologique de grande envergure a été initiée par des lâchers du parasitoïde Habrobracon dans les cinq régions du Niger; 2017, la Direction Générale de la Protection des Végétaux a commandé environ 3000 sacs auprès des unités privées. -
Lutte biologique contre la MEM
General objective: to determine the level of millet resistance varieties to millet head miner damage. For this purpose, 25 varieties of millet were tested to assess their behavior to the pest. The study was in Burkina Faso, Mali and Niger. He infestation varied from 10.20 to 86.98% with an average of51.37%. -
Évaluation de la contamination des eaux souterraines par les résidus de pesticides dans les jardins maraichers, département de Madaoua –Niger (extraits)
Dans le département de Madaoua-Niger, l’intensification du maraîchage et l’utilisation incontrôlée de pesticides non homologués dans la majorité des cas sont des sources de pollution des ressources en eau qui sont également utilisées pour la consommation humaine, l’arrosage des animaux et les besoins des ménages. L’objectif de cette étude est de quantifier les résidus de pesticides dans l’eau du maraîchage afin de montrer leur niveau de contamination par ses résidus et les risques pour la santé associés à sa consommation. Quinze (15) échantillons d’eau provenant de forages maraîchers ont été prélevés à la fin de la saison sèche 2019 et analysés selon la méthode QuEChERS. -
Exposer, s'exposer, être exposé aux pesticides : l'exposition au prisme des SHS
La notion d’exposition est centrale dans le domaine de l’utilisation des pesticides et des risques associés. Elle permet de comprendre les effets délétères des pesticides sur la santé. Elle a été appréhendée par les épidémiologistes et les toxicologues dans le domaine de l’hygiène industrielle puis de la santé publique (Galey, 2019). Elle tend également à l’être par les écologues au sein de ce qu’on appelle aujourd’hui « une seule santé » ou « One health » qui appréhende les interrelations entre santé humaine, animale et environnementale. -
Des pesticides chimiques en vente en plein milieu du marché d'une commune quelque part au Niger
Au premier plan des pesticides chimiques (dont certains interdits) juste à côté du niébé en grain au second plan, et de farine de manioc au troisième plan. Donc il va falloir faire une petite note sur la question de la place des pesticides dans un marché à destination des collectivités locales qui gèrent les marchés. Les deux autres photos ont été prises sur deux autres marchés avec la même proximité entre pesticides et produits alimentaires. Des actions d'informations et sensibilisation sont à mettre en place pour corriger ces situations -
Des pesticides en poudre destinés à des utilisations domestiques sont utilisés sur les cultures maraîchères
Cette note a été rédigée à partir des observations du RECA et d’un mémoire de master : Dynamiques de l’irrigation à petite échelle dans un contexte de fortes contraintes / Le cas du Dallol Bosso au Niger - Institut de Hautes Études Internationales et du Développement / Genève - Laurent Savary, 2010. Ces notes sur les thèmes liées à la protection des cultures doivent permettre aux différents acteurs de mieux connaître les ravageurs, les méthodes de lutte, les produits disponibles au Niger, afin d’améliorer leurs pratiques dans l’optique d’une gestion intégrée de la production et des déprédateurs. -
Programme sous-régional de formation en gestion intégrée de la production, des déprédateurs et de la pollution (GIPD/GEF) à travers le champ école paysan quatrième réunion du comité technique national de pilotage
Le présent rapport fait la situation de l'ensemble des activités réalisées par le projet pendant l'année 2012. Il s'agit principalement des activités de formation des producteurs sur le riz et les cultures maraichères, le suivi et la supervision des CEP et enfin les activités relatives au projet << d'Amélioration de la Production du Riz en Afrique de l'Ouest>> (APRAO) et autres diverses activités réalisées dans le même cadre. -
Guide de formation : l'agroécologie pour sortir des pesticides - Prévention des risques des pesticides : Module 2
Le terme pesticide comprend le suffixe -cide qui vient du latin cida signifiant tuer et de l’anglais pest signifiant nuisible (NB : en latin, pestis signifie maladie contagieuse). Les pesticides sont donc par définition des produits toxiques pour certains organismes vivants. Ils détruisent des organismes considérés comme nuisibles que ce soit dans les champs, les jardins, les élevages, les lieux de stockage des récoltes et les maisons. Selon les organismes tués, on distingue les insecticides, les fongicides, les herbicides, les molluscicides, nématicides, bactéricides, rodenticides, virucides, etc… Certains pesticides utilisés contre les insectes des cultures sont aussi utilisés chez les animaux domestiques et les humains (C’est, par exemple, le cas de plusieurs insecticides utilisés pour tuer les poux). -
Guide de formation : l'agroécologie pour sortir des pesticides - Promotion d'alternatives au pesticides : Module 3
L’objectif de ce module est de permettre de développer la lutte biologique et une meilleure connaissance des ravageurs et auxiliaires afin de mettre en place une stratégie de protection des cultures sans pesticides. Concernant les principes globaux, la pyramide ci-dessous présente les différents outils et méthodes pouvant être mis en œuvre par les paysans afin de leur permettre d’éviter au maximum l’utilisation de pesticides. Pour obtenir des cultures les plus saines possibles, les principes de base de l’agroécologie se situent en socle avec une diversité de pratiques, de systèmes de culture et de paysages. Ensuite interviennent les observations, étape déterminante pour établir le bon diagnostic et choisir la stratégie. -
La gestion des mauvaises herbes en agriculture biologique
Les agriculteurs biologiques accordent la priorité absolue à la prévention de l’introduction et de la multiplication des mauvaises herbes. Les pratiques de gestion visent à garder la population de mauvaises herbes à un niveau qui n’entraîne pas une perte économique de la culture et ne nuit pas à sa qualité. Le but n’est pas de complètement éradiquer toutes les mauvaises herbes, car elles ont également un rôle à jouer à la ferme. -
Guide de formation en lutte participative contre le striga dans le système de culture à base de sorgho
Le présent guide de formation est élaboré dans le cadre du projet : « Promotion des variétés de sorgho résistantes au Striga pour réduire les crises alimentaires dans la zone sahélienne Burkina Faso, Mali, Niger, Sénégal», projet financé sous l’Initiative pour la Réponse Globale à la Sécurité Alimentaire (IRGSA). Une initiative spéciale du gouvernement américain à travers USAID, destiné à aborder la question de la sécurité alimentaire dans la sous-région. Ce projet est géré par le CORAF/WECARD et coordonné par l’Institut d’Economie Rurale (IER) au MALI. Le manuel vise donc l’adoption par les producteurs du sorgho, des technologies améliorées de lutte contre le Striga pour faire face aux crises alimentaires que connaît actuellement l'Afrique de l’ouest et du centre. -
Efficacité des fongicides Mancozèbe 80 WP et Chlorothalonil-Carbendazime 65 SC contre Colletotrichum gloeosporioides agent causal de l’anthracnose de l’anacardier au Bénin
L’anthracnose causée par Colletotrichum gloeosporioides est la maladie la plus redoutable de l’anacardier au Bénin. L’objectif de cette étude est de tester l’efficacité des fongicides Mancozèbe 80 WP et Chlorothalonil-Carbendazime 65 SC contre l’anthracnose de l’anacardier. Au laboratoire, les milieux PDA sans fongicide, additionnés de Mancozèbe 80 WP et additionnés de Chlorothalonil-Carbendazime 65 SC ensemencés et rangés dans un dispositif complètement aléatoire à trois répétitions étaient utilisés. Au champ, les trois variantes suivantes : arbres témoins non traités, arbres traités avec Mancozèbe 80 WP et arbres traités avec Chlorothalonil-Carbendazime 65 SC étaient installées à Zounguè et à Gomé (Centre Bénin) dans un dispositif de bloc aléatoire complet à trois répétitions. -
Promouvoir une année internationale de la Protection des Végétaux
En 2018, l’Assemblée générale des Nations Unies vote une résolution pour proclamer 2020 Année Internationale de la Protection des Végétaux. Il s’agit d’une occasion unique de sensibiliser le monde sur la manière dont la protection des végétaux peut contribuer à éradiquer la faim, à réduire la pauvreté, à protéger l’environnement et à stimuler le développement économique, et souligner l’importance des organisations phytosanitaires internationales, régionales et nationales. -
Les solutions alternatives préventives et curatives aux pesticides chimiques de synthèse
Le présent livret technique a pour vocation d’aider les facilitateurs des CEP dans leurs tâches pour faire diminuer l’usage de pesticides chimiques de synthèse qui présentent un danger pour la santé publique et l’environnement. Les facilitateurs des CEP sont des agents de la vulgarisation ou des producteurs relais. A ce titre, ils doivent mieux connaître les alternatives éprouvées qui sont utilisées dans la sous-région ou ailleurs au niveau des cultures maraîchères et des cultures pluviales. -
Classification OMS recommandée des pesticides en fonction des dangers qu’ils présentent et Lignes directrices pour la classification 2019
En 1973, le Conseil exécutif de l’OMS a demandé au Directeur général de l’OMS de prendre des mesures pour élaborer une classification provisoire des pesticides qui ferait la distinction entre les formes les plus et les moins dangereuses de chaque pesticide. Une proposition de classification OMS recommandée des pesticides en fonction des dangers qu’ils présentent a donc été élaborée, en tenant compte des avis des membres du Comité d’experts des insecticides de l’OMS et d’autres groupes consultatifs d’experts ayant des compétences et intérêts particuliers dans le domaine des technologies pesticides, ainsi que des commentaires de États membres de l’OMS et de deux institutions internationales. Cette proposition a été adoptée par la Vingt-Huitième Assemblée mondiale de la Santé, qui a recommandé l’utilisation de la classification par les États Membres, les institutions internationales et les organismes régionaux. -
Zéro pesticide : un nouveau paradigme de recherche pour une agriculture durable
Le Programme Prioritaire de Recherche (PPR) « Cultiver et Protéger Autrement » se situe dans une perspective originale, en posant le scénario extrême d’une agriculture « sans pesticides », non prescriptif, mais qui oblige à explorer de nouvelles voies de recherche. Scénario non prescriptif, car le PPR ne donne pas, a priori, le chemin à suivre aux agriculteurs, chemin qui devrait être mis en débat avec les agriculteurs et la société au regard des connaissances disponibles aujourd’hui. L’objectif est d’entreprendre des recherches dans ce cadre « sans pesticides » afin d’explorer de nouveaux fronts de science et de développer des connaissances et des solutions disponibles à la fois pour une réduction significative de l’usage des pesticides à court terme et pour des innovations futures. À plus long terme, et grâce à ces innovations, l’objectif est bien de développer une agriculture sans pesticides, pour toutes les productions et sur tous les territoires. Se fixer un tel cap permet ainsi à la fois d’ouvrir des fronts nouveaux de recherche et de produire dès aujourd’hui des connaissances pour construire demain l’ensemble des solutions permettant de répondre à la demande sociétale d’une agriculture sans pesticides. -
La lutte contre la cetoine : Pachnoda interrupta
Cette affiche montre comment lutter contre la cétoine -
La lutte contre la fonte de semis : Pythium, Phytophthora spp., Fusarium, Rhizoctonia
Ce poster montre comment reconnaître et éviter la fonte des semis liée à divers ravageurs -
Lutte contre la pourriture blanche (fusariose)
Ce poster montre comment reconnaître et lutter contre la fusariose -
La lutte contre la mouche blanche: Bemisia tabaci
Ce poster montre comment reconnaître et éviter les attaques de mouches blanches -
La lutte contre les pucerons
Ce poster montre comment reconnaître et éviter les attaques de pucerons -
La lutte contre la mineuse de la tomate: Tuta absoluta Meyrick
Ce poster propose de reconnaître et lutter contre la mineuse de la tomates, un ravageur présent au Niger -
La lutte contre la noctuelle de la tomate : Helicoverpa armigera
Ce poster propose de reconnaître et lutter contre la noctuelle de la tomate -
Plan de gestion des pestes et des pesticides
La Banque Africaine de Développement (BAD) en collaboration avec le Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) a initié depuis 2014 le financement et la mise en œuvre du Programme régional de résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2RS) au profit de sept (7) pays membres du CILSS dont le Niger. En effet, une solution durable à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel nécessite l’amélioration de la résilience au changement climatique, le financement à long terme du secteur agricole et le développement du commerce et l’intégration régionale. C’est dans ce cadre que le Programme de Renforcement de la Résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2RS) a été conçu. L’objectif sectoriel du programme est de contribuer à la réduction de la pauvreté et à l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel. Son objectif spécifique est d’accroître, sur une base durable, la productivité et les productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques au Sahel. -
Effets comparés de quelques biopesticides et d’un pesticide chimique (cyperméthrine 10 EC) sur les insectes ravageurs et maladies parasitaires du Niébé, Vigna unguiculata (L.) Walp (Fabaceae)
La présente étude, menée à Adébour à l’est du Niger, a porté sur les effets de quelques biopesticides et d’un pesticide chimique (cyperméthrine 10 EC) sur les insectes ravageurs et maladies parasitaires du Niébé. L’objectif de cette étude est de comparer l’effet insecticide et ou répulsif des biopesticides et chimique sur les ravageurs et les maladies parasitaires du Niébé. Au total 6 traitements ont été employés. Les données ont été collectées par parcelle et par traitement et ont porté sur les paramètres nombre de feuilles, d’inflorescences et de gousses attaquées par les ravageurs du niébé d’une part et le nombre de feuilles, d’inflorescences avortées et de gousses malades, d’autre part. En plus, les observations ont porté sur les rendements en gousses et en grains. -
Plan de Gestion des Pestes et des Pesticides (PGPP)
Le Gouvernement de la République du Niger, par le biais du Ministère du Plan, avec l’implication du Ministère de l’Environnement et de la Lutte contre la Désertification (MER/LCD) agence d’exécution du Projet, est tenu à préparer un Plan de Gestion des Pestes et des Pesticides (PGPP), qui, comme tous les autres outils de sauvegardes environnementale et sociale, doit comporter des mesures permettant au projet, pendant toute sa durée de vie, de se conforme aux lois et réglementations nationales en vigueur et aux prescriptions des normes environnementales et sociales de la Banque mondiale, en générale, et de la NES 3, en particulier. -
Formation et renforcement des capacités des acteurs de la chaîne de valeur
Un pesticide est toute substance ou association de substances qui est destinée à repousser, détruire, ou combattre les organismes nuisibles. On distingue plusieurs pesticides qui sont fonction de la cible à combattre. -
Réduire l’usage des pesticides au Togo et au Mali par l’adoption de démarches participatives et l’intégration des savoirs locaux
Dans les systèmes agraires des zones soudano-sahéliennes d’Afrique de l’Ouest, les enjeux de gestion durable des ressources naturelles et de la biodiversité font émerger des défis de conception et d’adaptation de systèmes agroécologiques par les exploitations agricoles familiales. Quelles démarches d’agronomes sont pertinentes dans ces contextes pour accompagner les agriculteurs dans cette transition et en particulier la gestion agroécologique des ravageurs des cultures ? Quels outils des démarches cliniques en agronomie peuvent être mobilisés et adaptés pour l’écoute et l’accompagnement des paysans et paysannes non seulement au niveau individuel mais aussi à l’échelle des territoires ? Pour répondre à ces questions, nous présentons une étude de cas issue de l’expérience d’AVSF pour l’intégration des savoirs locaux dans une démarche de réduction de l’utilisation de pesticides : la Région des Savanes au Togo, ainsi que la mise en perspective dans une autre expérience : le Cercle de Kita au Mali. -
Identification des dégâts causés aux cultures : par les maladies, les animaux nuisibles et les carences minérales
L’objet de ce fascicule est d’aider les agriculteurs/-trices de zones isolées à prévenir et enrayer les maladies et les plaies qui peuvent affliger leurs cultures. Ces agriculteurs/-trices n’ont peut être pas accès aux conseillers agricoles ou à d’autres experts qui pourraient diagnostiquer la cause des dégâts causés aux cultures et pourraient proposer des mesures immédiates pour stopper les ravages ou conseiller sur les moyens de prévention à prendre à l’avenir. -
Protocoles de diagnostic pour les organismes nuisibles réglementés
Les phytoplasmes sont présents dans le monde entier. La répartition géographique et l’incidence des maladies dues aux phytoplasmes dépendent de la gamme de plantes hôtes du phytoplasme considéré ainsi que de la présence et du comportement alimentaire de l’insecte vecteur. Certains phytoplasmes touchent beaucoup d’hôtes différents et sont transmis par des vecteurs polyphages, ce qui leur assure une large présence. D’autres, en revanche, n’infectent qu’une gamme de plantes restreinte et sont
transmis par des insectes oligophages ou monophages; leur répartition géographique est donc plus limitée. La question de la répartition géographique des principaux groupes taxonomiques de phytoplasmes a été étudiée par Foissac et Wilson (2010). -
Les phytoplasmes
Les phytoplasmes sont des microorganismes que l’on retrouve partout dans le monde, et ils infectent environ 1 millier d’espèces de plantes. S’ils ont longtemps été considérés comme des virus, avec qui ils partagent quelques propriétés biologiques, les phytoplasmes sont en fait de véritables bactéries. Avec néanmoins quelques différences. -
Phytoplasmes et phytoplasmoses
Les récents progrès concernant la connaissance de la fraction 16S et de l’espaceur 16S-23S de l’ADN ribosomique ont mis en évidence les particularités des micro-organismes anciennement désignés sous l’appellation «Mycoplasma-like organisms : MLOs» et justifié la nouvelle dénomination «phytoplasmes» choisie par le Comité de taxonomie des mollicutes de l’«International Organization for Mycoplasmology (IOM)». Les principaux caractères des phytoplasmes permettant leur classification au sein des bactéries et des virus sont décrits. La méthode PAUP (Phylogenetic analysis using parcimony) a été appliquée à la fraction 16S et à l’espaceur intergénique 16S-23S de l’ADN ribosomique afin d’établir la position phylogénétique des phytoplasmes parmi les bactéries. Ultérieurement, des tentatives de classification des différentes maladies à phytoplasmes ont été entreprises d’abord en utilisant le polymorphisme des fragments de l’ADN ribosomique amplifiés par des amorces universelles de phytoplasmes. Puis, la connaissance des séquences de la fraction 16S et de l’espaceur intergénique 16S-23S a permis d’établir un arbre phy logénétique des phytoplasmes en utilisant la méthode PAUP. -
L'hémiparasite facultatif rhamphicarpa fistulosa (Hochst.) Benth. : état des lieux dans des sites rizicoles de l'Ouest du Burkina Faso et comportement de quatre (04) variétés de riz
La mauvaise herbe Rhamphicarpa fistu/osa (Hochst.) Benth. est un hémiparasite facultatif dont la présence a été signalée au Burkina Faso depuis 1992. De récents rapports insistent sur l'importance des dégâts du Rhamphicarpafistu/osa sur le riz au Burkina Faso et dans plusieurs pays de l'Afrique de l'Ouest notamment au Benin où ces dégâts peuvent atteindre 40% à 100% (Ptlug, 2013). Dans l'optique de pouvoir bien suivre l'évolution de la distribution et les densités de populations de Rhamphicarpa fistu/osa depuis la dernière investigation, une prospection suivie d'enquête est faite dans des sites rizicoles de l'Ouest du Burkina Faso. Les sites retenus à cet effet sont ceux de Banfora, de Karfiguéla, de Banzon, de Niéna-Dionkélé et de la Vallée du Kou. L'étude exploratoire a révélé la présence de la mauvaise herbe dans le bas-fond de Banfora et dans les plaines de Karfiguéla et de Niéna Dionkélé. Les densités maximales sur 0,25 m2 sont de 27 pour le site de Niéna-Dionkélé, 16 pour celui de Karfiguéla et 5 pour celui de Banfora.