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Niébé et arachide à Zinder : une année à chenille poilue
En ce début de saison des pluies, l’arachide, le niébé mais également le mil, le sésame ou la pastèque subissent des dégâts importants à cause de la chenille poilue dont le nom scientifique est Amsacta moloneyi. C’est une chenille polyphage, c'est-à-dire qu’elle peut se nourrir de nombreuses plantes cultivées ou non. Il a été observé des dégâts jugés sévères de la chenille poilue dans des localités des départements de Matameye mais aussi de Mirriah et de Magaria Les chenilles peuvent atteindre 4 cm de long. Elles sont de couleurs vives (jaune, orange, brun) et surtout portent de longs poils serrés. En début de saison, la chenille poilue d’Amsacta moloneyi s’attaque principalement aux plantules du niébé. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : La protection de l’oignon
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture d'oignons. Cette lutte passe par l'identification des principaux ennemis de cette culture. -
Yadda tsutsar chou ko plutella take
Zamu muku hira kan wani mungun tsutsar chou da ake cema teigne du chou a turance. Tsutsar chou da ake cema plutela da turance wani karamin malan batata ne(wanda yafi sabro girma,photo na 1) tsutsar shi ce tafi yawan banna ga chou a kasar Nijar. Wanan kwarin ana samun shi koda yaushe tsawon dukan shekara a fadin kasar Nijar aman yafi yawa a lokacin zahi tsakanin watan mars da mai,yana iya bata illahirin gonar chou. -
Suwo nooniizo kaù se i ga na fransi cine ra « teigne » tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Su nooniizo kaù se i ga ne faransi ciine ga « teigne » : alfaga caw-caw kayniyaw fo no ga a hay (A si beeri ga ba soboro, Foto 1) Niger fi azulmata ra no a go, su aùùwaara i kulu ilaala no. Amma a si laala kala dungay waate annasaara handu hinzanta ga koy iguwanta. A ga hin ga su fari kulu alandaaba. -
La CDV « Datte » du Manga
Au Niger, les zones sahariennes et pré-sahariennes où le palmier est cultivé depuis plusieurs siècles : oasis du Djado, du Kawar, de l’Agram au Nord-est, et les vallées de l’Aïr (Centre-Nord). La zone sahélienne comprenant les cuvettes Damagaram et du Manga : sud de la Région de Zinder, l’Ouest de la Région de Diffa. La variété la plus appréciée lors des cérémonies est la datte claire d’Algérie, variété Tergal. Les dattes du Nord Niger (Kawar, Djado, Dagram) sont plus commercialisées dans l’Est du pays. -
Utiliser le piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes
Cette note porte sur la fabrication du piment contre les fourmis, pucerons, chenilles, insectes -
Utiliser les feuilles et tiges de tomate contre la piéride du chou et la teigne
Cette note montre comment fabriquer des insecticides / répellents naturels à base de feuilles et tiges de tomate -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Ce présent document porte sur les méthodes pour lutter contre les ravageurs du chou
en maraîchage biologique -
Mouche du chou
La mouche du chou a été introduite en Amérique du Nord probablement au début des années 1800 et elle est maintenant retrouvée partout au Canada. Cette espèce produit de 3 à 4 générations par année. Au Québec, les adultes provenant des pupes hibernantes émergent du sol de la fin avril à la mi-mai. Ceux-ci peuvent parcourir plusieurs centaines de mètres par jour pour trouver une plante-hôte. Au moment de la ponte, les œufs sont généralement déposés dans le sol à proximité de leurs plantes-hôtes, sur la tige de celles-ci ou sur le sol directement -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Les larves de la mouche du chou et les chenilles de divers papillons provoquent les principaux dégâts d’insectes en
culture biologique de chou, et peuvent être responsables d’importantes pertes économiques. Cependant, une vigilance accrue et divers moyens de lutte permettent de limiter ou éviter ces dégâts. Les altises, pucerons et aleurodes peuvent également demander une attention particulière. Vous trouverez dans cette fiche quelques points de vigilance concernant les principaux ravageurs du chou. -
# Dossier photographique : Dégâts de la teigne sur un champ de chou
L’importance des dégâts causés au Niger ?
La teigne des choux est un sérieux problème pour l’économie et la sécurité alimentaire au Niger. Ainsi, elle peut occasionner des pertes totales de la production. Ce phénomène oblige, dans beaucoup de localités au Niger, les petits producteurs maraîchers à abandonner leurs cultures.
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Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : protection du chou
Le chou appartient à la famille de crucifères,il a une importance économique -
Projet d'Appui à la Gestion des Ressources Naturelles : l'étude des filières de commercialisation des produits agricoles et forestiers dans le cadre du PAGRN : cas de la datte et de la gomme arabique
Le palmier dattier appartient au genre Phoenix de la tribu des Phoenicea. Aucun vestige de phoenix n’a été trouvé jusqu’à présent dans les zones actuelles de palmiers dattiers, alors qu’un dattier fossile datant du début de l’ère quaternaire fut trouvé en Europe. Ainsi, le continent européen serait considéré comme le centre d’origine du dattier. Les plus anciens documents écrits sur le palmier dattier se trouvent à Babylone et datent de 4000 ans avant JC. Cette plante était le symbole de la fertilité pour les Egyptiens, de la paix pour les chrétiens. Aux Etats-Unis, le palmier fut introduit par les conquêtes espagnoles (NIXON, 1978). A l’heure actuelle on trouve des palmiers dattiers jusqu’aux zones sahéliennes, tels les cas du Manga et du Damagaram au Niger. -
Enquête filières de commercialisation des dattes et oignon
Les différentes études économiques réalisées au niveau de l’arrondissement de Maïné-Soroa, surtout dans sa partie nord-ouest ont démontré que dans le temps la principale activité commerciale était la production et l’exportation du sel et du natron. Cette partie de l’arrondissement était surnommée « Mandaram » la saline de Maïné. Aujourd’hui, les paysans voient de plus en plus la nécessité de trouver d’autres produits de substitution au sel et au natron. Cela s’explique par le fait que les recettes tirées de l’exportation du sel diminuent de plus en plus ; diminution due à la baisse du prix, à la mévente et à la fluctuation de la monnaie Nigériane. Ce constat et la succession des mauvaises campagnes hivernales ont amorcé le processus d’une mise en valeur agricole des cuvettes.