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Techniques de production des cultures irriguées -- Carottes
Le présent document s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du PSRCA. Il traite des techniques de production des cultures maraîchères (Carotte). Le manuel aborde cette culture dans sa généralité, dans la conduite de la culture, la production des semences etc... -
Techniques de production des cultures irriguées -- Poivron et piment
Ce document sert de guide aux formateurs afin de parfaire leurs compétences professionnelles en terme pédagogiques. il traite des techniques de production des cultures irriguées"poivron et piment à travers les séquences ci-dessous:
1 -- Généralités sur la culture du poivron et du piment au Niger.
2 -- installation d’une pépinière de culture de piment ou de poivron.
3 -- Opérations d’entretien d’une culture de poivron et du piment.
4 -- Techniques de production locale de semences;
5 -- Evaluer les apprentissages -
Cahier du formateur : Techniques de production maraîchère -- Oignon
Ce manuel est destiné aux prestataires publics et privés en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la PI. Il explique les techniques de production de l'oignon selon les étapes ci-dessous:
1 -- Description des généralités sur la culture de l’oignon au Niger;
2 -- Description de la conduite d’une pépinière de culture d’oignon;
3 -- Opérations d’entretien d’une culture d’oignon;
4 -- Techniques de production locale de semences;
5 -- Evaluation des apprentissages. -
Etude socio-économique des mares permanentes dans l’arrondissement de Gaya
Ce projet de recherche, a pour objectif d’analyser les conflits liés à l’exploitation de l’eau et les potentialités dans l’arrondissement de Gaya, au sud du Niger. Le présent rapport est le fruit d’un séjour de trois mois, entre novembre 2002 et février 2003 au Niger. -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce document décrit la tomate (Lycopersicon esculentum), les itinéraires techniques de sa production et conditionnement au Sénégal et la gestion des ennemis de cette cultures -
Culture et entretien de la nigelle (Nigella)
La nigelle cultivée (Nigella sativa L. 1753) ou cumin noir est une plante annuelle de la famille des Renonculacées originaire du sud-ouest de l'Asie. Les graines sont utilisées comme remède traditionnel ou comme épice dans de nombreux pays du monde (particulièrement dans le monde musulman). -
Etude de l’impact de la production et de la commercialisation du poivron dans la région de Diffa au Niger
L’étude réalisée à la fin de l’année 2005 porte sur l’impact de la production et de la commercialisation du poivron sur les revenus des ménages de producteurs le long de la Komadougou Yobè (région de Diffa, Niger) et de son poids dans l’atteinte de la sécurité alimentaire locale. Le rapport décrit l’organisation de la filière poivron et son fonctionnement, présente la rentabilité de la culture du poivron et indique de quelle manière les revenus de la culture du poivron permettent aux producteurs d’assurer leur sécurité alimentaire. Le recueil des informations primaires a été effectué au moyen d’interviews des acteurs dont un échantillon représentatif n’a pu être constitué en l’absence de base de sondage disponible. Les données obtenues apparaissent cependant réalistes et cohérentes, notamment ave la documentation disponible. -
Fiche technico-économique pour la culture de la canne à sucre
La canne à sucre est une plante cultivée principalement pour ses tiges qui contiennent un jus sucré d’où on tire le sucre. Elle appartient à la famille des graminées comme le mil, le sorgho ou le maïs. Au Niger, elle est surtout utilisée en consommation directe, comme canne de bouche. La canne à sucre est cultivée comme plante annuelle avec une récolte 8 à 10 mois après la plantation. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
L’oignon est une des principales cultures irriguées dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis (Goulbi Maradi et Goulbi Kaba) et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données de 2015 du Ministère de l’Agriculture, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34.200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. La surface moyenne par producteurs est d’environ 1.200 m2 et le rendement moyen est évalué à 20 tonnes/ha (conseil de gestion aux exploitations 2017). -
Fiche technico-économique pour la culture de laitue
La laitue en Houassa Salati, est une culture de courte durée qui se cultive sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder. Sur les sites de Tiss et Middick en périphérie de la ville de Zinder, la laitue se cultive toute l’année, tandis que sur les autres sites elle reste encore une culture de saison sèche froide. Les superficies exploitées varient de 250 à 2500 m2 en saison sèche froide. -
Le poivron rouge de Diffa
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatassaye », est cultivé en irrigué dans la vallée de la rivière Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria. C’est la production irriguée majeure de la vallée de la Komadougou. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 8.000 à 10.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron est la culture « locomotive » de la vallée de la Koumadougou avec environ 6.000 producteurs. -
Note de présentation du microprojet d’équipement du groupement féminin Kila Kil de Diffa pour la transformation du poivron - perspectives d’appui et d’accompagnement
Le document du microprojet commence par la phrase « la transformation du poivron est une activité prometteuse ». C’est sans doute vrai car c’est écrit dans tous les rapports sur la filière poivron de la région de Diffa… depuis des années. Il est également régulièrement signalé que la transformation en poudre reste marginale, la majorité du poivron produit chaque année dans la région est vendue séchée (5.000 à 8.000 tonnes de poivron sec suivant les sources) et la plus grande partie prend la direction du Nigeria pour y être transformée… en poudre. Cette part modeste de poivron transformé en poudre ravitaille le marché local de Diffa et aussi les villes de l’ouest jusqu’à Niamey. -
Etude économique de la culture du poivron dans les exploitations agricoles familiales de la région de Diffa, cas du village de Kayowa.
La présente étude économique de la culture du poivron dans la région de Diffa a duré 6 mois de Juillet 2012 à Janvier 2013. Elle a pour objectif de déterminer les avantages et les coûts occasionnés la culture afin d’en déduire la rentabilité au plan économique, cela par l’analyse et la comparaison des comptes d’exploitation de différents types des producteurs choisi au hasard selon la méthode de tirage aléatoire. Ainsi au total 30 producteurs sont concernés. Les informations collectées à l’aide des questionnaires sont analysées avec le classeur EXCEL et logiciel Arc-view. Les résultats issus de cette étude montrent que les producteurs du village de Kayowa sont classés en trois (3) catégories : Petits producteurs, ceux qui exploitent moins de 2 ha (67%), producteurs moyens, qui exploitent entre 2 et 3 ha (23%) et grands producteurs qui exploitent plus de 3 ha (10%). La superficie totale exploitée par l’ensemble des producteurs enquêtés est de 53,43 ha. Les dépenses culturales sont liées à la réalisation des moyens d’exhaure et achat des matériels de captage d’eau, aux travaux d’entretiens et achat des matériels agricoles, aux intrants agricoles, aux carburants et à la main d’œuvre. -
Fiche technique : Le repiquage du Poivron
Cette fiche technique a été réalisée dans le cadre du Projet d’appui à la Mutuelle N’Gada (Diffa). Elle sera progressivement améliorée à partir des travaux avec la recherche, les structures d’appui conseil et les producteurs. -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate
La tomate est l’une des principales cultures de la région de Maradi. Elle est produite en culture irriguée et en décrue le long des Goulbis Maradi et Kabba. Le cycle de production dure entre 90 et 120 jours. Les superficies exploitées varient entre 200 et 3.000 m² par producteur. Avec une superficie moyenne de 500 m², on peut obtenir un rendement de 1 tonne soit un produit de 76.000 F.CFA pour 33.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 43.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre fait partie des cultures maraichères les plus pratiquées dans la région de Maradi. Elle est cultivée sur presque tous les sites situés le long des Goulbi Maradi et Goulbi Kaba, principalement sur le site de Mafalia situé à l’extrémité ouest de la ville de Maradi. Sa production se fait en une campagne, en saison sèche froide, avec un cycle variant entre 70 à 120 jours selon les variétés. En moyenne, une production d’environ 1 000 kg pour 1 000 m2 permet de dégager un produit de 200 000 F.CFA pour 91 000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 109 000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon
Dans la région de Maradi, l’oignon est principalement cultivé dans les zones traversées par le Goulbi Maradi et le Goulbi Kaba, et au niveau des bas-fonds. L’oignon est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Selon les données du Ministère de l’Agriculture de 2015, la production d’oignon de la région de Maradi est estimée à 34 200 tonnes. Le cycle de l’oignon dans la région est de 90 à 120 jours. Le rendement obtenu est évalué entre 15 à 50 tonnes/ha. En moyenne, pour 1000 m², une production de 3 tonnes (rendement de 30 tonnes/ha) permet de dégager des revenus de 200 000 F.CFA pour 52 000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 148 000 FCFA et un ratio produits/charges supérieur à 2 -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds. Il est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou est de 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 2.215 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un produit de 155.000 FCFA pour 77.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 78.000 F.CFA. -
Le poivron, chaine de valeur principale de la région, un accompagnement continu de la CRA de Diffa
La Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa a commencé à fonctionner en 2008. Depuis cette date, elle a été impliquée dans les différents programmes qui ont concerné l’appui à la filière poivron. Cette note fait le point des différentes actions mises en place depuis 2006 dans la région de Diffa qui ont concerné la production de poivron. Le poivron rouge est la culture « locomotive » de la vallée de la Komadougou (150 km de long de Tam au Lac Tchad) avec plus de 6.000 producteurs et apporte des revenus pour environ 40.000 personnes. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 8 à 10.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron rouge de Diffa est une épice. Il se consomme en poudre principalement comme condiment. Il s’agit en fait d’un poivron piquant ou d’un piment doux, un « paprika ». C’est une culture récente, introduite vers 1956 du Nigeria et qui s’est réellement développé que dans les années 90. -
Fiche technico-économique sésame
Le sésame est une culture en expansion dans la région de Diffa. Ces 5 dernières années, les superficies emblavées en sésame pendant la saison des pluies prennent de plus en plus d’ampleur particulièrement dans les Départements de Goudoumaria, Mainé Soroa et Diffa. Selon les Services Départementaux de l’Agriculture, la culture du sésame occupe environ 1 500 ha. Le sésame est produit en culture pure ou en association avec d’autres cultures comme l’arachide, le sorgho et le mil. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria. Les femmes transforment des petites quantités en gâteaux vendus à 20 Nairas /unité soit environ 25 F.CFA pour la consommation locale. -
Manuel de production du sésame conventionnel et biologique
Le sésame est l’une des plantes oléagineuses les plus anciennes au monde, les plus connues et les plus utilisées au monde. L’Inde et la Chine sont les plus grands producteurs au monde suivi par la Birmanie, le Soudan, le Mexique, le Nigeria, le Venezuela, la Turquie, l’Ouganda et l’Ethiopie. Dans la sous-région Ouest africaine, le Burkina Faso occupe la deuxième place après le Nigeria avec une production de 25 000 tonnes pour la campagne 2006/2007. Quatre variétés de sésames sont cultivées au Burkina Faso. Ce sont : la S.42 (90 jours), la Cross nº3 (90 jours), la Yendev 55 (100 jours) et la S38-1-7 (95 jours). -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche froide
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. Dans la région de Dosso, la principale zone de production est le Dallol Maouri, Département de Tibiri, avec des surfaces cultivées variant de 0,05 ha à 1 ha par producteur. Elle est souvent cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 9,24 tonnes (42 korya) de pastèque permet de dégager des revenus de 840.000 F.CFA pour 230.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 610.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour l’oignon rouge
L’oignon rouge de Sokoto ou encore appelé Dan Yaouri en haoussa est une des principales cultures irriguées de la commune de Gaya. Cet oignon a un cycle de 90 à 115 jours du repiquage à la récolte. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 0,1 ha et 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 7 tonnes permet de dégager des revenus de 788.000 F.CFA pour 158.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 630.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de l'oignon blanc
L’oignon blanc appelé « albassa koiraye » en Djerma ou « faral albassa » en Haoussa est cultivé principalement dans la Commune rurale de Soucoucoutane, département de Doutchi. Cela reste une variété peu connue, avec une production limitée, mais qui pourrait trouver une meilleure place sur les marchés dans les années à venir (diversification). Le cycle de la culture varie entre 90 à 120 jours quand les bulbes produits sont destinés à la vente directe sur le marché, et entre 120 et 150 jours quand il s’agit des bulbes de conservation. En moyenne, pour 1000 m², on obtient une production d’environ 3.640 kg qui permet de dégager un produit de 448.000 F.CFA pour 130.000 F.CFA de charges et donc une marge brute d’environ 318.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture de la laitue
La laitue ou « salati » en haoussa est l’une des principales cultures irriguées du département de Doutchi (région de Dosso). Les bassins de production sont Matankari, Kiéché et Doutchi. Au cours de l’année, un producteur peut effectuer 5 à 6 cycles de production. Les superficies moyennes exploitées par producteur varient entre 500 à 1 500 m2. En moyenne pour une surface de 1000 m² on obtient une production de 1 650 kg (64 planches de 10 m²) qui permet de dégager par cycle de production 272 000 F.CFA pour 23 410 F de charges opérationnelles et une marge brute de 248 590 F. -
Fiche technico-économique pour la culture de la carotte
La carotte est une production très cultivée sur le site de Soumarana situé à 5 km de Maradi. La production se fait en une campagne en saison sèche froide. La variété la plus cultivée est la carotte « Touchon » en provenance du Nigeria. Elle est vendue sur le site et acheminée par les acheteurs sur les marchés de Maradi pour sa commercialisation. Le cycle de la carotte varie de 90 à 120 jours avec un rendement de 19 à 49 tonnes à l’hectare, soit près de 290 planches de 3 m2. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 3,5 tonnes permet de dégager des revenus de 159.500 F.CFA pour 89.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 70.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds autour des puits et forages. Les principales zones de production sont : Mafalia (Maradi), Garin Daouré (Tibiri), Gourjia et Laouni (Gazaoua). Le chou est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou dure 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 1.680 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un revenu de 118.600 F.CFA pour 39.100 F.CFA de charges et donc une marge brute de 79.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour le piment vert
Le piment appelé Tonka en Haoussa comme en Zarma, est une culture que l’on pratique sur presque tous les sites maraîchers du département de Gaya. Les superficies exploitées se situent entre 0,25 ha et 0,75 ha. Un cycle de production de piment vert dure 5 à 6 mois. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 4 tonnes permet de dégager un produit brut de 650.000 F.CFA pour 72.000 FCFA de charges et donc une marge brute de 578.000 F.CFA et un ratio produits/charges de 9. Ce résultat est obtenu par les exploitations agricoles employant principalement de la main d’oeuvre familiale -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre
La pomme de terre communément appelée « dankali tourawa » en haoussa est l’une des principales spéculations maraîchères de la région de Dosso. Elle est cultivée au niveau du département de Doutchi et de Tibiri et dans une moindre mesure dans la commune de Harikanassou. Selon la variété le cycle de la pomme de terre varie de 70 à 120 jours. Les surfaces mises en valeur varient de 200 à plus de 6.500 m² selon les localités de production. En moyenne, pour 0,5 ha on obtient une production d’environ 6.328 kg qui permettent de dégager 1.582.000 FCFA pour 558.250 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.023.750 FCFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du poivron
Le poivron est la culture principale pratiquée le long du Goulbi Kaba situé au Sud du chef-lieu du département de Gazaoua dans la région de Maradi. Selon une estimation de la CRA réalisée en 2014, plus de 12.000 tonnes de poivron frais sont produits par an dans la région. Le poivron a un cycle de 120 à 150 jours avec 5 à 8 récoltes par campagne pour un rendement évalué entre 10 et 15 tonnes/ha. En moyenne, pour 1.000 m², une production de 1,5 tonne permet de dégager des revenus de 284.000 F.CFA pour 93.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute d’environ 190.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pastèque en saison sèche chaude
La pastèque ou Kankana en Haoussa (Citrullus lanatus) est une Cucurbitacée cultivée principalement pour sa chaire sucrée et très hydratante. La principale zone de production concernée est le Dallol Maouri département de Tibiri avec des surfaces cultivées variant de 0,05 à 1 ha par producteur. Elle est principalement cultivée en association avec le Moringa. En moyenne, pour 1 ha, une production de 11 tonnes permet de dégager un produit brut de 1.785.000 F.CFA pour 235.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 1.550.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 2. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon feuilles
L’oignon-feuilles, encore appelé en haoussa Albassa mai gangné ou shafa, est une des principales cultures irriguées de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Damagaram Takaya, Kantché, Magaria, Doungass et Gouré. L’oignon-feuilles a un cycle de 90 à 110 jours du repiquage à la récolte. Les surfaces cultivées sont disparates et varient souvent de 0,1 à 1 ha. En moyenne, pour 0,5 ha, une production de 9 tonnes permet de dégager des revenus de 1.700.000 F.CFA pour 250.000 FCFA de charges et donc une marge brute d’environ 1.450.000 F.CFA et un ratio produits/charges supérieur à 6. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est l’une des cultures principales du département de Tibiri qui constitue l’un des plus grands bassins de production de la zone. Les superficies moyennes cultivées par producteur varient de 100 m² à 5.000 m2. Une production moyenne de 2500 m2 permet de générer des revenus de 275.000 F.CFA pour 77.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 198.000 F.CFA et un ratio (produits/charges opérationnelles) supérieur à 2. -
Fiche technico-économique du poivron rouge
Le poivron rouge de Diffa, communément appelé « Tatasay », est cultivé en irrigué dans la vallée de la Komadougou Yobé et le bassin du Lac Tchad. Il est principalement commercialisé séché et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Rendement : meilleurs producteurs 1.800 kg par ha de poivron sec, producteurs moyens 1.300 kg par ha de poivron sec. En année normale, les superficies emblavées en poivron sont estimées à environ 7.000 ha pour une production de poivron sec de 8 à 11.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron rouge est la culture « locomotive » de la vallée de la Komadougou avec environ 5.000 producteurs. -
Fiche technico-économique pour la culture pure de l’arachide
En quelques mots : L’arachide appelée en haoussa Guiada ou Gougia est l’une des principales cultures de rente de la région de Zinder. Les principales zones de production sont les départements de Mirriah, Kantché et Magaria. Elle est cultivée sur des sols sableux pauvres en matière organique, le plus souvent en association avec plusieurs autres cultures (mil, sorgho, sésame, niébé) dans la logique de garantir des récoltes minimums pour les producteurs. La présente fiche technico-économique porte sur la culture de l’arachide en culture pure. En quelques chiffres : Selon les résultats de la campagne agricole 2015 du MAG/EL, la production d’arachide de la région de Zinder est estimée à plus de 120.000 tonnes avec un rendement de l’ordre de 670 kg à l’hectare. L’arachide produite est commercialisée vers le Nigeria mais aussi, transformée par les groupements de femmes en huile, tourteaux et pâte. Une femme transformatrice peut transformer jusqu’à 300 kg d’arachide par mois (données du conseil de gestion aux transformatrices d’arachide 2016 - 2017 de la CRA de Zinder). -
Conseiller en maraîchage - Site de Falki
La mare de Falki se situe à 4 km au Sud-Est de la ville de Mirriah. Cette mare est un site important de cultures irriguées. -
Formation des producteurs et des animateurs des structures d’appui conseil sur les maladies et ravageurs du poivron et du piment
L’objectif de ce module de formation est d’être capable de reconnaître les ravageurs des cultures du poivron ou piment au Niger, d’être capable de faire des observations sur les ravageurs et les cultures et être capable de proposer et d’expliquer aux producteurs et productrices des mesures de lutte à mettre en place (lutte intégrée) en fonction des situations. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger La protection du poivron et du piment
Ce module de formation traite des moyens de lutte contre les ennemis de la culture du poivron et du piment. Cette lutte passe par la connaissance des principaux ennemis de ces cultures. -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate Région d’Agadez
La tomate est l’une des principales cultures maraichères pratiquées dans la région d’Agadez. Elle est produite toute l’année. Le cycle de production par campagne dure entre 100 et 120 jours. Les superficies exploitées par producteur varient entre 160 et 6.700 m²1. Le rendement moyen est près de 11 tonnes à l’hectare (variant entre 2 et 29 T/ha). Avec une superficie moyenne de 1.000 m², on obtient un produit de 210.000 F.CFA pour 47.400 F.CFA de charges opérationnelles, soit une marge brute de 162.600 F.CFA. -
Evolution du prix de poivron rouge de 2015-2018 sur le marché de Diffa
Le suivi du marché de poivron rouge de Diffa a commencé en août 2015. Le marché de Diffa est hebdomadaire et se tient tous les mardis. Le suivi du marché consiste à relever le prix du sac de poivron sec (17 kg), la quantité commercialisée, la provenance et la destination. Les résultats présentés dans cette note vont de l’année d’août 2015 jusqu’à la semaine 22 (fin mai) de l’année 2018. -
Guide pratique sur la culture du niébé pour le Burkina Faso
L’Institut international d'agriculture tropicale (IITA) est le principal acteur de la recherche en Afrique pour la résolution de la faim et de la pauvreté. Notre recherche pour le développement (R4D) s’intéresse aux besoins de développement des pays tropicaux. Nous travaillons avec nos partenaires pour améliorer la qualité, la productivité des cultures et réduire les risques afin de générer des richesses venant de l’agriculture à la fois pour les consommateurs et les producteurs. L’IITA est une organisation à but non lucratif fondée en 1967, dirigée par un conseil d’administration et financée par plusieurs pays. L'IITA est membre du consortium CGIAR. -
Astuces pour cultiver le poivron 1/2 : Morphologie et exigences pédoclimatiques
Morphologie et exigences pédoclimatiques de laculture du poivron -
Itinéraire technique de la papaye "Carica papaya"
Le PIP est un programme de coopération européen géré par le COLEACP. Il est fi nancé par l’Union européenne et a été mis en œuvre à la demande du Groupe des Etats ACP (Afrique, Caraïbes et Pacifi que).
En accord avec les Objectifs du Millénaire, l’Objectif global du PIP est de « Préserver et, si possible, accroître la contribution de l’horticulture d’exportation à la réduction de la pauvreté dans les pays ACP ». -
Prendre soin du gombo
Vidéo illustrant les techniques de production du gombo
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Astuces pour cultiver le poivron 2/2 : gestion de la culture
Techniques de culture du poivron -
# Dossier photographique : la culture du piment et du poivron à Kolkoli (Tahoua)
Monsieur Abdou Alio est producteur de piment et poivron du village de Kolkoli commune de Bambey ,Tahoua . Nous sommes 8 chefs de ménages à exploiter ce site d'environ 2ha. La culture du piment et de poivron est très bénéfique; nous a-t-il confié ; par exemple nous avons gagner plus de 600 000 F CFA la campagne passée ; c'est la raison pour laquelle , nous continuons d'en produire même en saison de pluies ... -
Le méteil (mélange fourrager) : un itinéraire technique simple
Cette fiche propose un itinéraire technique pour la culture d'un mélange fourrager -
Le poivron - Capsicum annuum L.
Ce guide porte sur le poivron (Capsicum annuum L.), qui est une plante de la famille des Solanacées, il est de la même espèce que le piment cultivé mais est issu de la sélection de variétés dites "douces". -
Mangue : itinéraires techniques
Ce guide technique très complet aborde l'ensemble des aspects de la culture de mangues -
La culture des agrumes au Sénégal
Description d'itinéraires techniques pour la culture des agrumes au Sénégal -
Oignon
Fiche technique de base destinées aux techniciens agricoles portant sur la culture de l'oignon -
Au Niger : Kawara-Débé, village de mares
Cette étude présente les caractéristiques géomorphologiques et sociales du terroir Kawara-Débé, village de mares -
Choix des mares pour une étude approfondie
Le nombre de mares diffère selon les sources à cause la divergence des critères pris en compte. Géoconseil citant le plan de développement économique et social de la région de Dosso annonce 91 mares alors que le rapport de Kader dresse une liste de quarante sept (47) mares. Tout laisse à croire que dans le premier cas il sʼagit dʼun inventaire des mares et dans le second de celui des terroirs disposant de mares.
Lʼun dans lʼautre, lʼimportance quantitative des mares et la diversité de celles-ci sur le plan physique et humain commandent un échantillonnage pour une étude beaucoup plus détaillée visant à faire ressortir de façon représentative les facteurs de mise en valeur pour mieux orienter les interventions. -
La place des femmes au sein des comités villageois de gestion et autour de l'exploitation des mares dans l’Arrondissement de Gaya
Au Niger, comme dans la plupart des pays où l'économie paysanne est dominante, les femmes occupent une place primordiale au sein des structures familiales et villageoises.
Elles représentent en quelque sorte le noyau dur autours duquel s'articule l'ensemble des systèmes économiques et sociaux de production et de reproduction de chaque communauté.
Une analyse portant sur l'organisation en comité des différents acteurs économiques d'un espace donné doit nécessairement prendre en compte le rôle que jouent les femmes dans cette économie. Elle doit identifier leur mode d'accès aux ressources vitales et l'importance qui leur est consacrée dans les instances de décisions et de régulations des conflits liés à l'usage même de ces ressources.
Nous éviterons ici d'aborder ce thème dans un discours féministe ou misérabiliste qui tend à considérer les femmes comme unique victime d’une société dominée par le pouvoir des hommes et où la solidarité entre les sexes est inexistante, nombreux sont les exemples qui contredisent ce point de vu. Cependant il faut bien reconnaître que la plupart des structures juridictionnelles, économiques et politiques locales et nationales sont majoritairement gérées par les hommes et que les femmes y occupent une place secondaire. -
Rapport d’étude hydraulique et hydrologique pour la réalisation et la réhabilitation de neuf (14) seuils d’épandage, l’aménagement de deux (02) mares et le sur creusage d’une mare dans la Région de Maradi.
La région de Maradi se trouve au centre Sud du Niger, elle couvre une superficie de 41 796 Km2. La population est de 3 404 645 (RGPH 2012)avec une densité de 81h/Km2.
L’étude hydrologique a pour but, l’estimation des caractéristiques hydrologiques (apports interannuels et débits projet) nécessaires pour définir le schéma d’aménagement et le calage et le dimensionnement des ouvrages.
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Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladie des cultures maraîchères au Niger : protection du poivron et du piment
Les maladies de plante c'est comme la paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu'on est très malade -
A quoi sert une association d’usagers de l’eau (AUE) ? Exemple de l’AUE Hadin Kaï autour de la mare de Falki
La mare de Falki se situe dans le département de Mirriah à 4 km au sud de cette localité. Elle a une surface de plus de 100 ha dans sa plus forte extension. Cette mare est utilisée par les populations riveraines pour l’irrigation d’environ 300 ha de cultures maraîchères en saison sèche, pour l’abreuvement des animaux, la pêche mais aussi des usages domestiques (lessive, fabrication de briques, etc.). Toutes ces activités peuvent avoir des répercussions sur la ressource en eau et nécessitent une gestion concertée, de plus en plus indispensable compte tenu des changements climatiques et de l’augmentation des besoins des différentes familles d’usagers. Pour lancer la concertation de tous les usagers sur la gestion de cette ressource, les programmes du FIDA et la Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder ont lancé une concertation avec les populations des villages autour de la mare de Falki. A la suite de cette concertation, les populations ont choisi de se réunir en association d’usagers de l’eau (AUE). Cette association réunit les différentes familles d’usagers de l’eau qui ont été identifiées dans des réunions préalables : les maraîchers, les pêcheurs, les éleveurs, les usagers domestiques. -
Suivi du marché de poivron rouge de Diffa : Evolution et perspectives de l’or rouge du Manga
La région de Diffa est située à l’extrême Est du Niger, à 1360 km de Niamey. Le poivron rouge, appelé « tatassaye », est cultivé en irrigué dans la vallée de la rivière Komadougou et le bassin du Lac Tchad. La production est principalement commercialisée séchée et sert d’épices pour la préparation de différents plats. Il est en grande partie commercialisé au Nigeria et, dans une moindre mesure, vers les grandes villes du Niger. Cette épice est appelée « paprika » dans d’autres pays. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 10.000 à 11.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron est la culture « locomotive » de la vallée de la Koumadougou avec environ 6.000 producteurs. Depuis cette date, la production et la commercialisation du poivron de Diffa ont été impactées directement par les problèmes sécuritaires dont la région est victime. -
Observations sur les pratiques des producteurs en matière de protection phytosanitaire du poivron
Cette note rassemble les observations ponctuelles, effectuées par les techniciens et des élus de la Chambre d’Agriculture de Diffa au cours de visites des parcelles de poivron et d’entretiens avec des producteurs. Il ne s’agit donc pas d’une enquête exhaustive. Le contenu de cette note devra être confirmé et complété. Le poivron doit représenter 80% des cultures irriguées de la vallée de la Komadougou qui traverse 5 communes de la région de Diffa. La situation des producteurs de poivron est inquiétante. Les pertes enregistrées pour la campagne 2011 – 2012, à cause des ravageurs et maladies, sont très importantes : des producteurs réalisent une seule récolte, et un grand nombre s’arrête à trois alors qu’ils devraient avoir 5 à 6 récoltes. Ces pertes semblent en augmentation et les traitements phytosanitaires peu efficaces, malgré le nombre élevé de traitements que réalisent certains producteurs. -
Syntèse d'inventaires et de calcul de bilans hydriques de barrages et mares d'infiltration au Niger
Ce document constitue le rapport provisoire de l'étude.Après avoir donné dans la première partie un aperçu de la situation hydrographique et hydrogéologique -
Apres la récolte du poivron
Sèchement du poivron rouge -
Itinéraires techniques de production de niébé de qualité
Le raccourcissement de la saison pluvieuse et la mauvaise répartition des pluies au Niger dû aux manifestations des changements climatiques, exigent que les pratiques agricoles soient revues et adaptées à ces nouvelles conditions afin d’assurer une résilience des agriculteurs. Ces pratiques d’adaptation peuvent se faire à travers une bonne maîtrise des itinéraires techniques des principales cultures (mil, sorgho, niébé, etc…). C’est dans ce cadre que cette fiche a été élaborée pour décrire ainsi les itinéraires techniques à suivre par les producteurs pour une production de niébé de qualité au Niger. -
Fiche technico-économique pour la culture de la pomme de terre - Région de Tillabéri
Les éléments techniques et économiques suivants découlent du conseil de gestion aux exploitations familiales (CGEF) réalisé par la Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Tillabéri au niveau de 19 producteurs de pomme de terre issus de deux bassins de production dans la commune d’Imanan. Selon les résultats du conseil de gestion, dans la commune d’Imanan, les superficies exploitées sont comprises entre 150 et 10.100 m2 avec une moyenne par exploitation agricole (EA) de 1700 m2. Avec des charges opérationnelles de 370.000 F.CFA/EA, on obtient une production de 4.528 kg/EA. Ce qui permet d’avoir un produit brut de 1.130.000 F.CFA/EA pour une marge brute 760.000 F.CFA/EA. Pour une superficie de 1000 m2, la production de pomme de terre est de 2.664 kg (26,64T/ha). Ce qui permet de générer des produits bruts de 666.000 FCFA pour 216.500 de charges opérationnelles, soit une marge brute de 449.500 FCFA et un ratio (Produits/ charges opérationnelles) de 3,08. Autrement dit, chaque franc investi dans la production de pomme de terre permet de générer trois (3) francs. -
Schéma d’aménagement de la mare de Tabalak - Région de Tahoua – Rapport final
L’étude du schéma d’aménagement des terres, dans le bassin versant de la mare de Tabalak, a été demandée par l’URGP ProDAF -Tahoua au profit du PDE de la commune de Tabalak, dans le but d’asseoir les bases d’un développement économique durable dont les différents axes sont en harmonie avec les ressources naturelles et humaines de cette localité.
Le diagnostic mené à travers cette étude révèle que le bassin versant de la mare couvre une superficie de 2238 km2 s’étalant essentiellement sur trois (3) communes, notamment, la commune de Tabalak, de Keita et de Kalfou. -
Fiche technico-économique pour la culture de l’oignon en hivernage / Région d’Agadez
L’oignon est l’une des principales cultures maraichères pratiquées dans la région d’Agadez. Il est produit deux fois dans l’année. Toutefois, dans la région d’Agadez, la grande production est réalisée pendant la saison d’hivernage.
Il ressort des résultats issus du suivi des producteurs en conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) par la CRA dans les communes de Dabaga, Tabélot et Tchirozérine pendant les trois campagnes d’hivernage 2018, 2019 et 2020, que les superficies exploitées variant entre 500 m² et 21 000 m² par producteur avec une moyenne cultivée de 3 370 m2 par exploitation agricole (EA) pour une production moyenne de 140 sacs /EA. A l’issue de ces trois années de suivi CGEF, le rendement moyen est évalué à près de 21T/ha pour la région d’Agadez. Ainsi, pour une superficie de 2.500 m², on obtient une production de 113 sacs (5 200 kg, soit 5,2 tonnes). Cette production correspond à un produit de 1 380 000 F.CFA pour 576 800 F.CFA de charges opérationnelles, soit une marge brute de 779 000 F.CFA. -
Evolution du prix du poivron pendant quatre ans sur les marchés de gros de Niamey
Si en 2015, pendant quelques semaines, du poivron du Nigeria s’est vendu sur le marché de Djémadjé à Niamey, cela n’a plus été le cas à partir de 2016. De 2016 à 2019, les poivrons vendus à Niamey viennent du Niger, essentiellement des sites de production autour de Niamey ou du Burkina Faso. Le poivron du Niger était présent 30 semaines sur 52 au cours de l’année 2016, en début d’année jusqu’au mois de mai puis à partir d’octobre jusqu’à la fin de l’année. Il était absent du marché de juin à mi-octobre. En 2017 et 2018, le poivron du Niger était présent pendant 35 semaines sur 52, de janvier à juillet, puis à partir de novembre. En 2019, le poivron du Niger est présent pendant les 7 premiers mois de l’année et ne réapparait pas novembre. Il faudra attendre janvier 2020 pour qu’il revienne sur le marché. Il n’aura été présent que 28 semaines en 2019. -
Fiche technique des bonnes pratiques de production d’oignon dans la zone des Niayes au Sénégal
Cette fiche technique capitalise les résultats du Centre pour le Développement de l’Horticulture (CDH) de l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA) de la pépinière à la récolte. -
Guide de bonnes pratiques de production de l’oignon au Mali - Vol.2 Conduite de la culture
Contrairement à l’échalote, la culture de l’oignon est récente au Mali. Fort de l’expérience acquise au cours des premières sessions de formation, le Projet d’Appui aux Filières Agricoles (PAFA) a décidé de capitaliser les acquis sous la forme de guides et d’affiches couvrant différents maillons critiques dans la production de l’oignon au Mali que sont la conduite de la pépinière, la conduite de la culture et la conservation. Ces outils didactiques visent à compléter le dispositif de formation existant avec des supports voués à une large diffusion, et accessibles aux producteurs et productrices peu ou pas alphabétisés.
Richement illustré, ce guide fait suite à celui consacré à la conduite d’une pépinière d’oignon au Mali. Il fournit des conseils sur les bonnes pratiques à adopter dans la conduite de la culture de l’oignon. Les bonnes pratiques y sont abordées et traitées comme une série d’opérations consécutives (étapes).
Le deuxième volume du guide (VOL. 2) publié dans la même série
s’attache quant à lui à véhiculer des informations et des
recommandations importantes sur les pratiques à adopter dans
la conduite de la culture de l’oignon au Mali (étapes 6 à 9). Il
s’agit précisément des étapes allant de la préparation du sol au
champ à la récolte en passant par le repiquage, l’entretien de la
culture, le ressuyage et la récolte des bulbes de consommation
ou des bulbes mère selon l’objectif de production. -
Guide de bonnes pratiques de production de l’oignon au Mali - Vol.1 Conduite de la pépinière
Contrairement à l’échalote, la culture de l’oignon est récente au Mali. Fort de l’expérience acquise au cours des premières sessions de formation, le Projet d’Appui aux Filières Agricoles (PAFA) a décidé de capitaliser les acquis sous la forme de guides et d’affiches couvrant différents maillons critiques dans la production de l’oignon au Mali que sont la conduite de la pépinière, la conduite de la culture et la conservation. Ces outils didactiques visent à compléter le dispositif de formation existant avec des supports voués à une large diffusion, et accessibles aux producteurs et productrices peu ou pas alphabétisés. Richement illustré, ce guide fait suite à celui consacré à la conduite d’une pépinière d’oignon au Mali. Il fournit des conseils sur les bonnes pratiques à adopter dans la conduite de la culture de l’oignon. Les bonnes pratiques y sont abordées et traitées comme une série d’opérations consécutives (étapes). Le premier volume du guide sur les bonnes pratiques de production de l’oignon au Mali (VOL. 1) couvre en 5 étapes les aspects critiques à la réussite de la mise en place et de la conduite d’une pépinière. Il s’agit des étapes liées aux prises de décisions et choix agronomiques, à la préparation des planches et du sol, au semis et à l’entretien de la pépinière. La dernière étape (étape 5) couvre les pratiques d’arrachage, de transport et d’habillage au champ des jeunes plantules. -
Note explicative sur la construction des infrastructures de stockage et de conservation du niébé, de l'oignon et du poivron
L'oignon, le niébé et le poivron constituent trois principales cultures de rente au Niger. Cependant, la conservation de ces trois produits est difficile; le niébé doit être conservé dans un milieu anaérobie, l'oignon se conserve dans un milieu moyennement aéré tandis que le poivron frais se conserve dans des chambres froides appropriées. Compte tenu de l'importance de la production, il important de trouver une solution permettant aux producteurs de tirer le maximum de profit. La construction des infrastructures de stockage et de conservation répond parfaitement à cette préoccupation. -
Zizyphus mauritiana : jujubier
Ce dépliant met en évidence le potentiel nutritionnel et socio-économique du jujubier et fournit des informations visant à aider les acteurs impliqués dans sa gestion. Il met l’accent sur la conservation de la diversité génétique et sur la promotion de l’utilisation durable du jujubier. Il présente une synthèse des connaissances actuelles relatives à cette espèce. Les recommandations faites doivent être considérées comme un point de départ : elles seront affinées par la suite en fonction des conditions locales ou régionales. Les directives seront actualisées au gré des nouvelles informations obtenues. -
Catalogue Nationale des Espèces et Variétés Végétales : Techniques culturales, manioc
Le manioc préfère les sols riches et profonds Avant la plantation, il est recommandé de bien labourer le terrain. De préférence billonner avant de planter sur les billons. -
La production d'oignon au Sénégal
L’oignon est une plante bisanuelle appartenant à la famille des alliacées. Au Sénégal, il est cultivé au niveau de la Vallée du Fleuve Sénégal, essentiellement à Podor et dans les Niayes. Ces zones éco-géographiques présentent des conditions culturales favorables à une meilleure conduite de la culture. Cette culture peut être faite en contre saison froide (CSF) et en contre saison chaude (CSC) avec des variétés adaptées. -
Dossier d'Appel d'Offre National N° 001/2008/TRV/PADL-Diffa pour la réalisation de sept (7) ouvrages de contrôle de mares dans la région de Diffa
Le Gouvernement de la République du Niger a obtenu un pret du Fonds Africain de Développement pour financer le Projet d'Appui au Développement local dans la région de Diffa (PADL-Diffa) et envisage d'utiliser une partie des fonds pour les couvrir les paiements éligible au titre du marché pour la résilience de sept (7) ouvrages de contrôle de mares dans la zone d'intervention PADL-Diffa. -
Fiche technique : itinéraire technique de l'arachide
L’arachide, originaire d’Amérique du Sud et centrale (Arachis hypogaea L.) donne des grains oléagineux. Il est surtout cultivé dans plusieurs pays mais particulièrement en Asie et en Afrique notamment au Nigéria, au Sénégal, en République du Congo Démocratique et au Bénin. L’arachide est une plante d’avantages multiples et usages divers. L’amélioration de la productivité agricole et de la compétitivité nécessite l’adoption de bonnes pratiques agricoles. C’est pour répondre à cette nécessité que la présente fiche est proposée pour servir d’élément de support de formation des producteurs et des productrices. -
Le sésame au Burkina Faso : état des lieux 2013 fiches technique de production du sésame, livret 3
Le sésame est une des productions annuelles les plus attractives pour les producteurs et productrices individuels car la mise en culture se situe après toutes les autres cultures (céréales, coton, niébé, arachides). Les coûts de production sont peu élevés comparés aux autres cultures et sa commercialisation est rapide. -
Manuel de formation participative sur la production de mangue biologique à travers les vergers-écoles au Burkina Faso
Ce manuel est un outil destiné aux techniciens ou producteurs facilitateurs chargés de la formation de producteurs à travers les vergers écoles, mais aussi à toute personne désireuse d’acquérir les techniques de base de la production de mangue de façon générale et de celles de la production de mangue biologique de façon particulière. Cet outil a été préparé dans le cadre du projet « d’accroissement des revenus et de la sécurité alimentaire de petits producteurs d’Afrique de l’ouest à travers les exportations de produits tropicaux certifiés commerce équitable » (GCP/404/GER). Ce projet dont la tutelle technique est assurée par le Ministère en charge du commerce, est exécuté par la FAO. -
Itinéraire Technique Mangue
Le document « Itinéraire Technique » Mangue détaille toutes les pratiques culturales liées à la mangue. Il propose essentiellement des substances actives soutenues par les fabricants des Produits de Protection des Plantes dans le cadre du Règlement 1107/2009, et devant respecter les normes en matière de résidus des Produits de Protection des Plantes. La majorité de ces substances actives a été testée dans le cadre d'un programme d'essais en champs, et le niveau de résidus de chaque substance active a été mesuré. Le contrôle des ravageurs et des maladies proposées est dynamique et sera adapté de façon continue en intégrant toutes les informations rassemblées par le PIP. -
Céleri branche
Culture préférant les sols riches en matière organique et bien drainés. Le céleri craint la sécheresse et les carences en élément minéraux (magnésium et bore). Plante sensible à l'excès de calcaire.- pH entre 6,4 et 6,8. -
Fiche technique : Courgette
Semis direct en poquet de 2 à 3 graines, puis éclaircir à 1 plant par poquet. En pépinière : semis en mottes de terreau (4 x 4 cm) à raison d’une graine par motte, de préférence avec des semences certifiées ou s’approvisionner en plants auprès d’un pépiniériste. -
Guide pratique : papaye
Ce guide présente les techniques de culture sur le papayer (préparation du sol, pré-germination et production de plants, application d'engrais, récolte et post-récolte, utilisation des pesticides). -
Manuel de culture des agrumes
Les agrumes représentent le groupe de fruits le plus cultivé au niveau mondial. Ils sont essentiellement cultivés pour leurs fruits destinés à la consommation en frais ou à la transformation : extraction du jus principalement (oranges, pomelos, mandarines, citrons). La richesse en vitamines A, B et C, la teneur en jus et en fibres équilibrent la ration alimentaire de base. On peut également élaborer des confitures ou des fruits confits à partir des fruits. Dans les régions les plus arides, les agrumes (souvent des citrons) sont séchés pour être conservés avant d’accommoder les plats cuisinés. Les fleurs et feuilles des variétés les plus aromatiques sont distillées et les huiles essentielles utilisées par l’industrie de la parfumerie. Les tourteaux, sous produits de la transformation, peuvent être utilisés en alimentation animale. Les agrumes sont originaires du Sud-Est asiatique. Leur diversification a eu lieu dans une vaste zone comprenant les piémonts de l’Himalaya, la Birmanie, l’Indonésie, la péninsule Indochinoise, le sud de la Chine. Les conditions climatiques y sont variées, allant du tropical humide à des climats plus contrastés avec une saison fraîche marquée. -
Manuel de culture de l' ail
C’est une plante vivace de la famille des Liliacées -Légume bulbeux. 10 têtes d'ail pèsent en moyenne un demi-kilo (500 gr). Chacune se compose d'une dizaine de caïeux bons à planter. Il faut prévoir une cinquantaine de caïeux, soit 5 têtes d'ail, afin de planter un mètre carré (1 m2). Le cycle de la culture d'ail est d'environ 5 mois. La durée varie en fonction de la date de plantation et des conditions climatiques. -
Impacts des facteurs climatiques et anthropiques sur les ressources et la qualité des eaux de la mare de Tabalak
Au Niger, les facteurs climatiques et anthropiques influencent les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche et la qualité des eaux de surface. Cette étude a pour objectif d’identifier les impacts des aléas climatiques et de l’action de l’homme sur les ressources et la qualité de l’eau de la mare de Tabalak. A terme, cette étude devrait permettre de poser les jalons pour des actions, afin de réduire les risques liés à l’exploitation des ressources de cette zone humide. Pour réaliser cette étude, des enquêtes, des visites de terrain et des prélèvements d’échantillons d’eau ont été effectuées. Ces derniers ont été analysés au laboratoire. L’analyse des données météorologiques et des perceptions de la population sur la variabilité climatique indiquent une tendance à la baisse des précipitations contre une hausse des températures et de la force des vents. En ce qui concerne la dynamique d’occupation des sols, toutes les unités ont subi des transformations. Selon 80% des personnes enquêtées, cette tendance est causée par des facteurs climatiques et anthropiques. Les impacts de ces aléas sont : une perturbation dans le déroulement des saisons, une baisse de la productivité, une perte des terres par ravinement ; la formation de dunes vives ; l’ensablement et l’assèchement fréquent de la mare, la pression parasitaire et la persistance des épizooties. Les résultats sur la qualité des eaux montrent que les paramètres physico-chimiques étudiés se situent dans les normes requises. -
Niger : Lac de Guidimouni
Le lac de Guidimouni est situé dans la région de Zinder, département de Damagaram-Takaya, plus précisement dans la Commune rurale de Guidimouni. Il parcourt le long de la RN2 dans les environs de 2000 m sur sa rive droite. Le lac de Guidimouni est situé en zone sahélienne et reçoit en moyenne 300 à 400mm de pluie par an, ce qui fait de lui une zone aux contraintes climatiques moyennes. Il couvre une superficie de 338, 39 ha et forme une dépression endoréique allongée (SW-NE) sur près de 3 km de long et large de 700 m. Le plan d’eau est formé par deux grands étangs dont la profondeur moyenne dépasse rarement 1,5 m. Le lac évolue sur une plaine sableuse légèrement ondulée avec des altitudes variantes entre 390 et 395 m. Il est entouré de collines dont la hauteur maximum dépasse 590 m. Ce Lac, qui a une caractéristique morphologique d’une dépression accentuée, est alimenté de façon permanente par l’eau superficielle et de nappe à travers diverses sources dont la plus importante est la source de ʺGouzgourouʺ. Il a un haut potentiel de mise en valeur. -
Fiche technico-économique pour la culture du poivron : région de Maradi
Le poivron est la culture principale pratiquée le long du Goulbi Kaba situé au Sud du chef-lieu du département de Gazaoua dans la région de Maradi. -
Note de préparation de l'émission radio : Plantation et entretien des manguiers au Niger
Quand on plante un manguier c’est pour 20 ans ou plus. Si l’arbre a été mal planté il sera plus sensible aux maladies ou il donnera moins de fruits, c’est dommage car on ne peut pas le remplacer comme un pied de moringa. -
Élevage de la pintade de chair
Ce guide est le fruit d'une étude menée par l’École Nationale Vétérinaire de Toulouse sur l'élevage de la pintade de chair. Le document nous présente les espèces des pintades, les objectifs zootechniques, le contrôle, les techniques d'élevage adéquat à respecter. -
Multiplication des semences de lignées de Piment / Poivron
Les procédures décrites dans la présente fiche permettent de reproduire des semences pures et de haute qualité de n'importe quelle lignée de piment ou de poivron (Capsicum spp. ). -
Le sésame au Burkina Faso état des lieux 2013 : généralités sur le sésame au Burkina Faso , livret 1
Ce livret fait partie de la collection comprenant des livrets de capitalisation sur les différents segments de la filière. Cette collection se destine aux différents acteurs de la filière et entend contribuer à son essor. Ce livret correspond à une introduction à la filière sésame au Burkina. -
Un territoire de mare au Sahel : Ossolo (Niger occidental)
La mare d'Ossolo est située sur le territoire de la République du Niger, par 14° 04 de latitude nord et 00 0 34 de longitude est. Elle se localise dans l'arrondissement de Tera qui, avec celui de Say, forme l'ouest nigérien ; territoire allonge entre le fleuve Niger a l'est et la frontière voltaïque a l'ouest. Ces deux unités administratives nigériennes, qui relèvent du département de Niamey, constituent l’extrémité orientale de la plaine du Liptako nigero-voltaique. L'arrondissement de Tera presente la forme d'un quadrilatère oriente NO-SE de 200 km de long sur 100 km de large environ. Il est limité au nord par la frontière malienne, a l'ouest par la frontière voltaïque. A 'est, le fleuve Niger le sépare de l'arrondissement de Tillabery et au sud, la rivière Sirba de l'arrondissement de Say.