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PromAP - Formation des associations féminines sur la conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région d'Agadez
Dans le cadre de ses activités, le PromAP a décidé de soutenir les associations féminines des productrices à travers une session de formation sur les techniques de conservation/transformation des produits maraichers notamment l’oignon ; la pomme de terre ; la tomate ; le chou et le moringa.
Le présent rapport s’articule au tour des 5 principaux points suivants :
1-- Introduction
2 -- Rappel des objectifs et des résultats attendus
3 -- Organisation de la formation
4 -- Contenu et progression de la formation
5 -- Conclusion/Recommandations -
PromAP -- Formation des OP des femmes et jeunes adultes en conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région de Tahoua
Le présent rapport rend compte du déroulement et de l’évaluation d'une mission de formation , par le Cabinet Agri-Bilan pour l’animation d’une formation sur la transformation et la conservation des produits maraichers. L’a formation a regroupé les associations féminines de 13 groupements féminins de la région de Tahoua sur les innovations et les problèmes liés aux techniques de conservation et transformation de l’oignon, tomate, chou et pomme de terre récoltés sur leur exploitations . -
Cahier du formateur : Techniques de production des cultures maraîchères : chou
Ce document sert de guide aux formateurs afin de parfaire leurs compétences professionnelles en terme pédagogique avec de bonnes bases pour amorcer l’élaboration des activités.
Ce cahier traite en effet, de:
1 -- Description des généralités sur la culture du chou au Niger;
2 -- Description de la conduite d’une pépinière de culture de chou;
3 -- Explication détaillée des opérations de conduite d’une culture de chou;
4 -- Description des techniques de production locale de semences -
Gommose sur tronc du pamplemoussier à Timia
La gommose est l’une des maladies répandues sur les agrumes à Timia. C’est une maladie due à un champignon Phytophthora. Elle se caractérise au niveau du collet par une pourriture de l’écorce et du cambium. Secondairement, il y a une forte exsudation de gomme sur le tronc et les branche. Ultérieurement l’écorce nécrosée se fend longitudinalement et laisse apparaitre des lésions brunes sous le bois. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds. Il est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou est de 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 2.215 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un produit de 155.000 FCFA pour 77.000 F.CFA de charges et donc une marge brute de 78.000 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est une des cultures les plus pratiquées en saison sèche froide dans la région de Maradi. Il est principalement cultivé dans les zones traversées par les Goulbis Maradi et Kaba et au niveau des bas-fonds autour des puits et forages. Les principales zones de production sont : Mafalia (Maradi), Garin Daouré (Tibiri), Gourjia et Laouni (Gazaoua). Le chou est vendu sur les marchés locaux et au Nigeria. Le cycle du chou dure 80 à 90 jours pour un rendement évalué entre 20 à 30 tonnes/ha. Une production moyenne de 1.680 kg de chou pour 1000 m2 permet de dégager un revenu de 118.600 F.CFA pour 39.100 F.CFA de charges et donc une marge brute de 79.500 F.CFA. -
Fiche technico-économique pour la culture du chou
Le chou est l’une des cultures principales du département de Tibiri qui constitue l’un des plus grands bassins de production de la zone. Les superficies moyennes cultivées par producteur varient de 100 m² à 5.000 m2. Une production moyenne de 2500 m2 permet de générer des revenus de 275.000 F.CFA pour 77.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 198.000 F.CFA et un ratio (produits/charges opérationnelles) supérieur à 2. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : La protection du chou
Le chou appartient à la famille des crucifères (Bracicaceae). Il est la seule culture de la famille qui a une importance économique au Niger ; il en existe deux sortes : chou pommé (le plus cultivé et chou-fleur). Autre crucifère cultivé au Niger : le Navet et la radis (la production est négligeable). A la fin de la formation, les producteurs doivent: Connaitre l’importance de des ravageurs et maladies de la culture, Savoir reconnaître les ravageurs et maladies et comprendre l’ensemble des mesures à mettre en place pour combattre ces ennemis de la cultures. -
Yadda tsutsar chou ko plutella take
Zamu muku hira kan wani mungun tsutsar chou da ake cema teigne du chou a turance. Tsutsar chou da ake cema plutela da turance wani karamin malan batata ne(wanda yafi sabro girma,photo na 1) tsutsar shi ce tafi yawan banna ga chou a kasar Nijar. Wanan kwarin ana samun shi koda yaushe tsawon dukan shekara a fadin kasar Nijar aman yafi yawa a lokacin zahi tsakanin watan mars da mai,yana iya bata illahirin gonar chou. -
Suwo nooniizo kaù se i ga na fransi cine ra « teigne » tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Su nooniizo kaù se i ga ne faransi ciine ga « teigne » : alfaga caw-caw kayniyaw fo no ga a hay (A si beeri ga ba soboro, Foto 1) Niger fi azulmata ra no a go, su aùùwaara i kulu ilaala no. Amma a si laala kala dungay waate annasaara handu hinzanta ga koy iguwanta. A ga hin ga su fari kulu alandaaba. -
La taille des agrumes
Conseil d'un horticulteur pépiniériste sur la taille des agrumes -
Le marcottage des agrumes
Conseil d'un horticulteur pépiniériste sur le marcottage des agrumes -
Planter et entretenir un agrume
Conseil d'un horticulteur pépiniériste sur la plantation et l'entretien des agrumes -
Greffage d'un agrume
Conseil d'un horticulteur pépiniériste sur le greffage des agrumes -
Lutte biologique contre les ennemis du chou
Explications sur les techniques de lutte biologique données par un horticulteur français -
Les différentes familles d'agrumes
Présentation par un horticulteur des différentes familles d'agrumes -
Fiche technico-économique pour la culture de chou
Cette fiche aborde plusieurs sujets : comment cultiver le chou, choisir les semences, entretenir une culture de chou, et le commercialiser -
Quelques agrumes sur le site DIF d'Indoudou Agadez
Se distinguant par leur goût délicieux et leur jutosité riche, les agrumes sont une famille de fruits parmi les plus cultivés au monde. Leurs principales caractéristiques sont l'immense capacité à renforcer le système immunitaire, car ils jouent un rôle fondamental dans l'élimination des toxines du corps et aussi l'énorme capacité à faire face à certaines maladies telles que la ... -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Ce présent document porte sur les méthodes pour lutter contre les ravageurs du chou
en maraîchage biologique -
Produire des semences de chou dans un itinéraire agrobiologique
Ce document porte sur la production des semences de choux dans un itinéraire Agrobiologique -
Avocat
Ce présent guide porte sur l'avocat -
Les pépinière d’agrumes, de manguiers et d'avocatiers au Sénégal
La pépinière est le lieu de production des plants qui constitueront le matériel végétal utilisé pour la création des futurs vergers. Du choix de ce matériel, des soins apportés à son développement pendant son séjour en pépinière, de la qualité des plants produits, dépendront en grande partie la longévité et la rentabilité des vergers. Une pépinière ne s’improvise pas et se doit de sortir des plants élite. -
La culture des agrumes au Sénégal
Description d'itinéraires techniques pour la culture des agrumes au Sénégal -
Produire des agrumes en agriculture biologique
Cette fiche technique propose différentes solutions techniques pour produire des agrumes en production biologique -
Le citrus greening : détection et moyens de lutte envisageables
Le Citrus Greening ou Huanglongbing est causé par Candidatus Liberibacter, une 'bactérie' du Phloème. La maladie fut détectée pour la première fois en Guadeloupe en avril 2012. Cette maladie est mortelle pour les agrumes et aucun traitement n’existe. Elle est transmise par un insecte vecteur, le psylle (Diaphorinia citri) qui s’attaque aux jeunes pousses. -
Alternaria alternata
Guide technique de reconnaissance et de lutte contre les ravageurs -
Protection intégrée du chou en Guyane
Ce présent guide porte sur les détails des techniques de production propres au chou pommé celles-ci n’étant guère éloignées de celles employées pour les choux chinois (Pak-choï et Pe-Tsaï). -
Mouche du chou
La mouche du chou a été introduite en Amérique du Nord probablement au début des années 1800 et elle est maintenant retrouvée partout au Canada. Cette espèce produit de 3 à 4 générations par année. Au Québec, les adultes provenant des pupes hibernantes émergent du sol de la fin avril à la mi-mai. Ceux-ci peuvent parcourir plusieurs centaines de mètres par jour pour trouver une plante-hôte. Au moment de la ponte, les œufs sont généralement déposés dans le sol à proximité de leurs plantes-hôtes, sur la tige de celles-ci ou sur le sol directement -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Les larves de la mouche du chou et les chenilles de divers papillons provoquent les principaux dégâts d’insectes en
culture biologique de chou, et peuvent être responsables d’importantes pertes économiques. Cependant, une vigilance accrue et divers moyens de lutte permettent de limiter ou éviter ces dégâts. Les altises, pucerons et aleurodes peuvent également demander une attention particulière. Vous trouverez dans cette fiche quelques points de vigilance concernant les principaux ravageurs du chou. -
# Dossier photographique : oranges de Timia
Ensemble de photographies prises en janvier 2020 dans le cadre de la préparation du SAHEL -
# Dossier photographique : Dégâts de la teigne sur un champ de chou
L’importance des dégâts causés au Niger ?
La teigne des choux est un sérieux problème pour l’économie et la sécurité alimentaire au Niger. Ainsi, elle peut occasionner des pertes totales de la production. Ce phénomène oblige, dans beaucoup de localités au Niger, les petits producteurs maraîchers à abandonner leurs cultures.
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Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger : protection du chou
Le chou appartient à la famille de crucifères,il a une importance économique -
Fiche technico-économique pour la culture de chou / Région de Zinder
Le chou se cultive sur tous les sites de production maraîchère de la région de Zinder. Il est produit sur les sites de Ichirnaoua, Guidimouni, Wacha, Falki, Fotoro, Doungou, sur le long de la Korama et sur le site de Tiss. Il est le plus souvent cultivé en saison sèche froide sur des superficies comprises entre 500 à 2 500 m2.
Sur une superficie de 2 500 m2, il est produit en moyenne 9 tonnes de chou et ce qui permet de générer des produits de 660.000 F.CFA pour 87.000 F de charges opérationnelles soit une marge brute de 573.000 F et un ratio (produits / charges opérationnelles) supérieur à 7.
La main-d’œuvre et la fertilisation (fumures organique et minérale cumulées) sont les principales charges opérationnelles. Ensuite suivent le carburant/entretien GMP et achat des semences, également non moins importants. Les besoins en trésorerie sont surtout concentrés sur le 2ème mois de culture en novembre (voir D. Calendrier). Les coûts de main d’œuvre représentent 28% des charges opérationnelles. Au sein de ces coûts de main d’œuvre, ceux liés au transport (50%), sont les plus importants. -
Conseiller en maraîchage - Cas pratiques - Visite site de Neini Goungou
Cette note est rédigée suite à la visite d’un site maraîcher dont certains producteurs ont bénéficié d’une formation sur la protection phytosanitaire organisée par la Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey et la Fédération des Coopératives Maraichères du Niger dans le cadre du contrat de performance entre l’Etat et les Chambres d’Agriculture. La visite a permis un suivi de la formation reçue, de voir avec les producteurs les problèmes qu’ils rencontrent sur les cultures maraichères et de donner des conseils ou propositions de solutions. Au total, les entretiens ont concerné 15 producteurs. -
Potentiel agrumicole de Timia
Au Niger, quatre régions produisent 95% de la production du pays en agrumes. Il s'agit de la région d'Agadez qui produit 41%, suivie de Zinder, de Maradi et Tillabéry 5% (MDA, 2008).
L’essentiel de la production d’agrume qui place la région d’Agadez première en agrumiculture provient essentiellement des communes de Timia, Tabelot, Dabaga et Tchirozerine.
C’est dans ce cadre que cette étude sur le potentiel de production de Timia et diagnostic de la filière agrumicole, a été initiée par l’ONG HED Tamat et exécuté conjointement par la Direction régionale de l’Agriculture (DRA) d’Agadez et le GIE Tagazt. Elle a pour objectif global de guider les acteurs locaux et nationaux pour la mise en œuvre de politiques efficaces et cohérentes de valorisation des productions d’agrumes de Timia. De façon spécifique, l’étude doit permettre une meilleure connaissance du potentiel productif de la commune et faire le diagnostic de la filière.
Le présent rapport est la synthèse des travaux de recherches documentaires et une enquête terrain réalisés dans les communes dans une dizaine de sites et dans 382 vergers d’agrumes. Il rappelle le contexte de l’étude, la méthodologie de travail et les résultats de l’étude. -
Evolution du prix de gros du chou pendant trois ans sur le marché de Niamey (Djémadjé)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 7 (février) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur 143 semaines suivies. Ce suivi du prix de vente en gros du chou concerne le marché de Djémadjé qui est le marché de gros de la capitale pour ce produit.
Le chou le plus fréquent sur le marché de Djémadjé est celui de Madaoua qui arrive de façon continue et en grande quantité. En période de forte chaleur, où le chou du Niger est absent sur le marché, on assiste à une grande importation de choux du Nigeria. Le chou et le moringa sont des légumes feuilles de base dans l’alimentation au Niger. -
Les semences de chou disponibles au Niger
Cette note présente les caractéristiques des différentes variétés de chou en vente au Niger dans des boutiques ou par des vendeurs ambulants. En français, le mot « chou » désigne plusieurs espèces ou variétés de plantes appartenant généralement à la famille des Brassicaceae. Ce sont souvent des légumes comestibles dont on consomme les feuilles, mais aussi l'inflorescence charnue (chou-fleur) ou la tige renflée (chou-rave). Au Niger, le chou le plus cultivé est le chou commun que l’on appelle également chou pommé ou chou « cabus ». Le nom chou cabus est imprimé sur certains sachets de semences et peut être confondu avec le nom de la variété. -
Manuel de culture des agrumes
Les agrumes représentent le groupe de fruits le plus cultivé au niveau mondial. Ils sont essentiellement cultivés pour leurs fruits destinés à la consommation en frais ou à la transformation : extraction du jus principalement (oranges, pomelos, mandarines, citrons). La richesse en vitamines A, B et C, la teneur en jus et en fibres équilibrent la ration alimentaire de base. On peut également élaborer des confitures ou des fruits confits à partir des fruits. Dans les régions les plus arides, les agrumes (souvent des citrons) sont séchés pour être conservés avant d’accommoder les plats cuisinés. Les fleurs et feuilles des variétés les plus aromatiques sont distillées et les huiles essentielles utilisées par l’industrie de la parfumerie. Les tourteaux, sous produits de la transformation, peuvent être utilisés en alimentation animale. Les agrumes sont originaires du Sud-Est asiatique. Leur diversification a eu lieu dans une vaste zone comprenant les piémonts de l’Himalaya, la Birmanie, l’Indonésie, la péninsule Indochinoise, le sud de la Chine. Les conditions climatiques y sont variées, allant du tropical humide à des climats plus contrastés avec une saison fraîche marquée. -
Étude de marchés pour la conservation, la transformation et la commercialisation des agrumes, pomme de terre et oignon dans la région d’Agadez
La présente étude commanditée par le projet Pôles Ruraux « étude de marché pour la conservation, la transformation et la commercialisation des principales productions agricoles de la région d’Agadez, notamment les agrumes, l’oignon et la pomme de terre ». Elle a pour objectif de faire une analyse détaillée sur les opportunités de marchés relatives aux principales filières agricoles tout en mettant l’accent sur les potentialités, les différents acteurs impliqués, les forces, les faiblesses et les contraintes des systèmes de production des agrumes, l’oignon et la pomme de terre. Elle s’accorde dans une parfaite harmonie avec les politiques et stratégies de développement mis en place par l’État du Niger. -
Comment greffer un agrume en écusson ?
Ce poster montre comment faire le greffage en écusson d'un agrume -
Yaya ake yin auren lemu ta hanyar dan guntun ido reshe ?
(Comment greffer un agrume en écusson ?)Ce poster montre comment faire le greffage en écusson d'un agrume -
Mate kaŋi ga te ga leemey hiijandi ɲda ?
(Comment greffer un agrume en écusson ?)Ce poster montre comment greffer un agrume en écusson -
Le dépérissement des agrumes : Niger
Depuis un certain temps, on constate un dépérissement des agrumes (oranger, tangelo, pamplemoussier) qui entraîne souvent la mort des arbres dans la plupart des vergers au Niger. Les plants d’âge supérieur à 4 ans sont particulièrement affectés. Des visites effectuées dans plusieurs vergers ont permis de noter qu’en moyenne 60 % des vergers sont touchés par la maladie. -
Exigences pour une production dʼagrumes biologiques réussie
Manuel de formation sur les exigences pour une production d’agrumes biologiques réussie. -
MANUEL DE CULTURE DU GOYAVIER
La goyave est l’une des meilleures sources de vitamine C et de fibres alimentaire. La goyave contient presque cinq fois plus de vitamine C que l’orange. La vitamine C contribue à la formation des tissus, à l’absorption du fer par l’organisme et à un certain nombre de réactions physiologiques. Elle accélère la cicatrisation des lésions cutanées et prévient la formation de
furoncles. Les fibres qu’elle contient empêchent la constipation et contribuent à la prévention des
cardiopathies en abaissant le taux de cholestérol sanguin. La goyave contient également d’importantes quantités de vitamine A et présente une teneur adéquate en minéraux, en potassium
et en magnésium. Les goyaves sont plus nutritives que nombre de fruits importés, comme les pommes. La goyave contient des antioxydants qui protègent les cellules et réduisent les risques
des maladies cardio-vasculaires. Les jeunes feuilles fraiches sont utilisées en pharmacopée pour stopper les diarrhées, juste en les mâchant. Bouillies et prises en infusion, elles sont aussi une source importante de vitamine C. il existe deux types de goyaviers, sur la base de pulpe, qui sont
entre autre les goyaves à pulpe blanche (bonnes pour les confitures) et les goyaves à pulpe rouge. -
Manuel de culture de choux
Les sols favorables à la culture du chou doivent être bien drainés et de préférence limoneux avec une profondeur allant de 20 à 60 cm. Un pH voisin de 6 est bénéfique à la culture. Le chou s’épanoui bien à une température optimale de 15 à 20°C, lorsque les pluies sont bien réparties à raison de 250 à 300 mm durant la période de croissance. Le chou requiert une humidité relative minimale de 60 % ; -
Fiche technico-économique culture des agrumes
L’agrumiculture est pratiquée dans les vallées de l’Aïr dont les principaux bassins de production sont dans la commune de Timia. Il s’agit de Timia, Teguert, Abarakan et Tefarawt. La Chambre Régionale d’Agriculture d’Agadez, avec l’appui du RECA, a fait le suivi des producteurs des sites de Timia, Teguert et Abarakan.