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PromAP - Formation des associations féminines sur la conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région d'Agadez
Dans le cadre de ses activités, le PromAP a décidé de soutenir les associations féminines des productrices à travers une session de formation sur les techniques de conservation/transformation des produits maraichers notamment l’oignon ; la pomme de terre ; la tomate ; le chou et le moringa.
Le présent rapport s’articule au tour des 5 principaux points suivants :
1-- Introduction
2 -- Rappel des objectifs et des résultats attendus
3 -- Organisation de la formation
4 -- Contenu et progression de la formation
5 -- Conclusion/Recommandations -
PromAP -- Formation des OP des femmes et jeunes adultes en conservation et transformation de cinq spéculations maraîchères : l’oignon, la tomate, le chou, le Moringa et la pomme de terre dans la région de Tahoua
Le présent rapport rend compte du déroulement et de l’évaluation d'une mission de formation , par le Cabinet Agri-Bilan pour l’animation d’une formation sur la transformation et la conservation des produits maraichers. L’a formation a regroupé les associations féminines de 13 groupements féminins de la région de Tahoua sur les innovations et les problèmes liés aux techniques de conservation et transformation de l’oignon, tomate, chou et pomme de terre récoltés sur leur exploitations . -
Production de la tomate dans les zaї en hivernage
La culture de la tomate dans les Zaï en hivernage est une innovation endogène initiée en 2016 par Mr Tahirou Sabo, natif de village de Magou, département de Torodi.
La période propice est la saison sèche fraiche ; l'itinéraire technique décrit pas à pas les différentes étapes de cette technique. -
Pratiques améliorées d’élevage des poules indigènes
Fiche technique pour l'élevage de poules -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce document décrit la tomate (Lycopersicon esculentum), les itinéraires techniques de sa production et conditionnement au Sénégal et la gestion des ennemis de cette cultures -
La lutte contre le flétrissement de la tomate : Ralstonia solanacearum
Ralstonia solanacearum est une bactérie tellurique Gram - ; elle est présente surtout dans les régions tropicales, semi-tropicales et tempérées chaudes. Comme son nom l'indique, Ralstonia solanacearum conduit au flétrissement rapide des jeunes feuilles aux moments les plus chauds de la journée, souvent réversible durant la nuit dans un premier temps. Par la suite, les flétrissements se manifestent soudainement et deviennent permanents. Il faut noter l'absence totale de symptômes sur fruits. Assez rapidement, les tissus affectés se nécrosent et se dessèchent, et de nombreuses plantes finissent par mourir. -
Tomates locales « El Sittin »
Tomates locales de très grandes tailles pouvant peser entre 1,5 et 2 kg dénommées « El Sittin » en Haoussa par les producteurs ce qui signifie 60 jours, soit le nombre de jours entre le repiquage et la récolte -
La tomate au Niger
Au Niger, la tomate est produite dans les régions du fleuve Niger, l'Ader-Doutchi-Magia, le Goulbi de Maradi, la Korama et autour des mares et autres retenues d'eau. Elle est produite principalement pendant 6 mois au maximum (Janvier à Juin). Le Niger importe de la tomate fraîche du Burkina Faso (principalement) du Nigeria, du Bénin, du Ghana et depuis 2015 du Maroc. Le Niger exporte aussi vers le Bénin et le Nigeria. Le Niger achète également du concentré (plus de 10.000 tonnes par an) sur le marché international. -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate
La tomate est l’une des principales cultures de la région de Maradi. Elle est produite en culture irriguée et en décrue le long des Goulbis Maradi et Kabba. Le cycle de production dure entre 90 et 120 jours. Les superficies exploitées varient entre 200 et 3.000 m² par producteur. Avec une superficie moyenne de 500 m², on peut obtenir un rendement de 1 tonne soit un produit de 76.000 F.CFA pour 33.000 F.CFA de charges opérationnelles et donc une marge brute de 43.000 F.CFA. -
Conseiller en maraîchage - Site de Falki
La mare de Falki se situe à 4 km au Sud-Est de la ville de Mirriah. Cette mare est un site important de cultures irriguées. -
Conseiller en maraîchage / des cas pratiques (2)
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers et animateurs maraîchers (OP, services techniques, GSC, GIE, projets …). Il s’agit d’une ferme installée dans le dallol Bosso à l’entrée de Birni Ngaouré (Région de Dosso), avec un système d’irrigation goutte à goutte pour les cultures de tomate, poivron, piment et melon principalement. Le 6 février, date de la visite, il y avait des parcelles de tomates en production et des parcelles de poivron en floraison. -
Conseiller en maraîchage / Cas pratiques (4) Attaques sur tomates
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers maraîchers (OP, services techniques, GSC, …). Il s’agit d’une visite auprès des producteurs de tomate de Bourboukabé à 15 km au nord de Niamey. Dans ce village, les producteurs pratiquent la culture de la tomate depuis plus de 25 ans, avec différents cycles de production adaptés aux différents terrains disponibles. Le premier cycle de production correspond à des semis en pépinière au début du mois d’août et une récolte qui commence en octobre alors que les prix sur le marché de Niamey sont encore élevés (15.000 à 18.000 F le panier de 32 kg). C’est une production économiquement importante pour ces producteurs. La production se fait sur des sols sableux de chaque côté de la vallée qui est encore inondée. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies des cultures maraîchères au Niger -- Document technique : la protection de la tomate
La gestion intégrée des ravageurs et maladies est un système de lutte économique qui emploie toutes les techniques et méthodes appropriées pour maintenir la population des ravageurs à des niveaux limitant les dommages : utilisation de variétés résistantes/tolérantes, pratiques de culture appropriées et l’application rationnelle de pesticides (en mettant l’accent sur les pesticides biologiques). La tomate est une des cultures les plus répandues à travers le monde. La tomate est cultivée partout au Niger pendant les trois saisons : saison sèche fraiche, saison sèche chaude et saison hivernale. La production principale se situe pendant la saison sèche fraiche. La tomate est un légume fruit de la famille des solanacées, c'est-à-dire de la même famille que le poivron, la pomme de terre, l’aubergine ou le piment. Cela signifie que certains ravageurs seront communs à ces plantes de la même famille et surtout qu’il ne faut pas qu’elles se succèdent dans la rotation. -
Techniques de production de semences de tomate au Sénégal
Ce guide liste les techniques mobilisables pour la production de semences de tomates de qualité -
Tomato noonizo kan se i gane “TUTA”
A te alwati kan iri Niger laabu alfarey i go gadi sanday tomato farmo do zaama noonize fono goono kan ga tomato fuunu fuunu. A to jiiri hinza kan noonize tagi fo banguay noonizo din ga kaina gumo;amma halla ga ka sohon alfarey mana fahame ase; hasarawo booba kan agate se, nga no nan alfari foyan na tomato farmo gaayi. -
Yadda tsutsar tumati Noctuelle da ake cema Helicoverpa a turance take
Tsutsar tumati da ake cema Noctuelle wani dan karamin malan batata ne yake futowa da dare yana neman abincin shi. Wanan malan batatan nada launi toka toka. Wanan hoton na nuna karamar tutsar da irin bannar da take hadasa wa a cikin diyan tumati musaman ma a lokacin zahi,haka zalika jinjirara tsutar na apkama ma sauran albarkatun noma kamar su tattasai da miyar kubewa da kuma kada da masara, wanan tsutar ita ce tafi bata tumati a lokacin rani,ana samun ta a cikin jahohin kasa ga baki daya. -
Tomaato nooniizo (Helicoverpa armigera) boù tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Tomaato nooniizo wo ciini alfaga caw-caw no, zama a si fatta kala za wayna kaù kala mo ma bo. Da ba yaù, alfaga caw-caw wone hari boosa boosa no fatey ga ga. Tira wo, tomaato nooniizo bon no a ga salaù zama nga no ga ti tomaato aùùwaara i kulu ilaala, waana waana hayni waate. Tomaato nooniizo ga tuurize boobo digsa sanda tattaasa, la wala binde haabu wala mo kolkoti. Tomaato nooniizo ga ti, hayni ra, tomaatey aùùwaara laala. Niizer jarjarey kulu ra no a ga diya. -
DANGER / Tuta absoluta, un nouveau ravageur de la tomate identifié au Niger
Le village de Bourbourkabé est situé à 12 km au nord de la ville de Niamey. C’est une zone de production maraîchère isolée (loin de la route) où les producteurs sont spécialisés depuis des années sur la culture de la tomate. Au cours d’une visite des techniciens du RECA, le 20 février 2013, les producteurs ont signalé des attaques très importantes de leurs tomates. Effectivement, la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) était fortement présente. Mais les producteurs ont déclaré qu’il y avait une seconde chenille, apparue cette année pour la première fois, qui cause beaucoup plus de dégâts. Ils ont pu montrer la chenille sur feuille et sur fruit, ainsi que son papillon. -
Unité de production de tomates séchées
Ce rapport présente une unité de production de tomates séchées -
Séchage de la tomate (Lycopersicon esculentum) : une autre alternative pour sa valorisation au Bénin
Cette étude valorise la tomate sous forme séchée. Huit lots de 115 g de tomate var. Akikon ont été soumis chacun à un prétraitement spécifique (T1 à T8) mettant en exergue simultanément les mécanismes de blanchiment et de déshydratation osmotique avec différents solutés. Les tomates ont été séchées à l’étuve à 45°C pendant 16 h. Des essais de reconstitution dans l’eau chaude (1) à 100°C et dans l’eau à la température ambiante (2) ont été conduits. -
Fiche technico-économique pour la culture de la tomate Région d’Agadez
La tomate est l’une des principales cultures maraichères pratiquées dans la région d’Agadez. Elle est produite toute l’année. Le cycle de production par campagne dure entre 100 et 120 jours. Les superficies exploitées par producteur varient entre 160 et 6.700 m²1. Le rendement moyen est près de 11 tonnes à l’hectare (variant entre 2 et 29 T/ha). Avec une superficie moyenne de 1.000 m², on obtient un produit de 210.000 F.CFA pour 47.400 F.CFA de charges opérationnelles, soit une marge brute de 162.600 F.CFA. -
Note sur la noctuelle de la tomate (Helicoverpa armigera) pour la radio
Cette note présente le contenu d’une émission radio préparée par des agents du RECA, de la DGPV et de l’INRAN puis enregistrée en Zarma et en Haoussa avec la radio Jeunesse de Goudel pour être diffusée sur l’ensemble des régions du Niger. -
Agrodok 17 : La culture de la tomate : production, transformation et commercialisation
Ce guide technique du CTA montre comment cultiver, transformer et commercialiser la tomate -
Comment tailler les tomates ?
Conseil d'un horticulteur pépiniériste sur la taille des tomates -
Alimentation des poulets améliorés
Vidéo présentant les aliments adaptés pour l'élevage des poulets améliorés.
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
La tomate au Niger
les variétés de tomates par région du Niger. études de rentabilités économiques de la tomate. Les problèmes et contraintes de production -
Comment bien manipuler les tomates
Cette vidéo montre comment réduire les pertes post-récoltes liées à une mauvaise manipulation des tomates
Cette vidéo est issue de la plate-forme Access Agriculture. Visitez la plateforme Access Agriculture pour regarder et télécharger cette vidéo d'apprentissage et bien d'autres encore -
Site de production de tomate de Doguéraoua Tahoua
Le site de Doguéraoua fait parie de la vallée de la maggia qui constitue un grand bassin de productions maraichères. -
Première note sur le centre de collecte de la tomate de Doguéraoua
Située à 5 km de Malbaza, sur la route de Madaoua, Doguéraoua est une commune à bonnes potentialités pour les cultures irriguées (terre et eaux) car traversée par la vallée de la Maggia sur près de 40 km. Les populations produisent des tomates, des oignons, des courges, des choux, etc. Selon les estimations des membres du Hadingwiwa (mis en place par la CRA Tahoua et le PPIRuwanmu), il est produit et commercialisé plusieurs milliers de tonnes de tomate à Doguéraoua chaque année. Il est à noter qu’un nombre important de producteurs a commencé à produire de la tomate « sous pluie », c’est-à-dire en hivernage. -
Alimentation des poulets et entretien des poulaillers
Notes prises à partir de la vidéo https://youtu.be/Zn1OXW79eXQ (Vidéo tournée au Centre Régional de Songhaï Porto-Novo au Bénin) -
Guide technique sur les nuisibles de la banane plantain, le maïs, le manioc et la tomate.
Une bonne connaissance des nuisibles des cultures est nécessaire pour permettre une meilleure gestion de leurs effets néfastes. La maîtrise des nuisibles nécessite par ailleurs la mise en place d’une stratégie de protection
intégrée et d’utilisation rationnelle des pesticides, afin de préserver l’environnement et de réduire les cas d’intoxication des utilisateurs et des consommateurs. -
Synthèse des résultats pluriannuels sur la fertilisation de la tomate
Résultats d'essais conduits au Mali sur la fertilisation de la tomate -
Étude diagnostique de la réduction des pertes après récolte de trois cultures : manioc, tomate et pomme de terre
Ce présent rapport porte sur l'étude diagnostique de la réduction des pertes après récolte de trois cultures: Manioc, tomate et pomme de terre -
Assurer la bonne santé des volailles de chair en élevages biologiques
Ce document a été rédigé à partir des informations recueillies en 2014 lors de 18 entretiens socio-techniques d’éleveurs de volailles de chair biologiques en filières longues (8 éleveurs) et courtes (10 éleveurs), en Bretagne, Pays de la Loire et Drôme. L’objectif de ces enquêtes, sans être représentatifs des types d’élevage, était de montrer la diversité des situations et des pratiques autour de l’élevage de volailles de chair biologiques. -
# Dossier photographique : Noctuelle de la tomate-e-phytia
La Noctuelle de la tomate ou l'Armigère, Helicoverpa armigera est un petit papillon de nuit, c’est à dire qu’il se déplace et se nourrit la nuit. Ce papillon est le plus souvent de couleur grise. Sa larve (chenille) qui est un des principaux ravageurs de la tomate, surtout en saison sèche, s’attaque également à d’autres légumes et fruits comme le poivron et le gombo, mais aussi au coton et au maïs. Cette chenille peut se nourrir sur des feuilles ou consommer l'intérieur de fruits, de gousses, d'épis. -
# Dossier photographique : Production de tomate en hivernage
Le site de production de tomate de Tolkoboye est situé à une dizaine de kilomètres de la ville de Ouallam, Plus de 700 femmes exploitent . Elles proviennent des villages et hameaux environnants et sont toutes membres d'une OP.
La production de tomate au mois d'aout procure plus de revenu à ces femmes (période de pénurie de ce produit) -
Les semences de tomate disponibles au Niger
Au Niger, la tomate est cultivée dans toutes les régions. Cependant, les productions demeurent beaucoup plus faibles pendant la période de saison sèche chaude et la période d’hivernage. En général, les sachets ou boites de semences ne donnent pas d’informations sur la variété proposée : période de culture, caractéristiques, techniques à suivre et surtout résistance* 1 ou tolérance* à certaines maladies présentes au Niger. De plus, si la photo du sachet donne la forme de la tomate, elle ne permet pas de juger de la taille des fruits, ce qui trompe souvent les producteurs. Cette liste a pour objectif de permettre aux productrices et producteurs de mieux choisir la ou les variétés à mettre en culture en fonction de la période, de la taille des fruits, des maladies pouvant être présentes dans leurs parcelles. -
Production en aviculture familiale
Manuel sur la production avicole familiale -
Recueil de quatorze fiches techniques du domaine Agro-Sylvo-Pastoral
Le présent recueil comprend quatorze (14) fiches techniques :
- Production du fourrage de Medicago sativa (Luzerne) au Niger
- Production d’Echinochloa stagnina (Bourgou) au Niger
- Amélioration de la disponibilité du fourrage par la culture de Dolichos lablab (dolique)
- Amélioration de l’aviculture familiale au Niger
- Mise au point des rations alimentaires pour les ruminants à base des ressources locales au Niger
- Contrôle et valorisation de Sida cordifolia au Niger
- Production de l’oignon d’hivernage : conduite d’une pépinière en saison de pluie avec le Violet de Galmi
- Techniques de production de bulbilles d’oignon Violet de Galmi
- Production de bulbes d’oignon de conservation au Niger
- Production de riz hors aménagement au Niger
- Banque alimentaire à base de Moringa par semis direct au Niger
- Banque alimentaire à base de Adansonia digitata (Baobab) au Niger
- Banque alimentaire à base de jujubier amélioré au Niger
- Conduite de la Régénération Naturelle Assistée (RNA) au Niger
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Gestion intégrée des principaux ravageurs des cultures maraîchères au Niger : protection de la tomate
Les maladies de plantes c'est comme le paludisme.souvent,on ne s’intéresse au paludisme que lorsqu'on est très malade -
Évaluation des Outils pour le Contrôle des Aleurodes en Europe
La tomate est une des cultures les plus répandues au monde. En 2005, l’Union Européenne (EU) était le deuxième plus grand producteur (derrière la Chine) avec une
production annuelle de 17 millions de tonnes (FAOSTAT, 2007). En 2005, les Européens ont consommé 15 millions de tonnes de tomates fraîches, dont 90% produites dans l’UE. En 2004, les données publiées dans un rapport Européen sur les
résidus de pesticides dans les fruits et légumes ont montré que 1% des échantillons
de tomates dépassent les Limites Maximales de Résidus (LMR). Le processus de
biodégradation des pesticides est plus long au niveau du sol qu’au niveau des cultures. -
Référentiel Technico-Economique sur la filière avicole
L’aviculture est l’une des filières d’élevage qui contribue à l’amélioration de la sécurité alimentaire des ménages surtout en milieu rural. Ce référentiel technico-économique est composé de 4 parties : Aviculture traditionnelle améliorée de la poule locale ; Élevage moderne des poulets de chair ; Élevage moderne des poules pondeuses ; Aviculture traditionnelle améliorée de la pintade locale. Chaque partie comprend une description technique et une analyse économique/financière de l’activité. -
Conseiller en maraîchage - Cas pratiques - Visite site de Neini Goungou
Cette note est rédigée suite à la visite d’un site maraîcher dont certains producteurs ont bénéficié d’une formation sur la protection phytosanitaire organisée par la Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey et la Fédération des Coopératives Maraichères du Niger dans le cadre du contrat de performance entre l’Etat et les Chambres d’Agriculture. La visite a permis un suivi de la formation reçue, de voir avec les producteurs les problèmes qu’ils rencontrent sur les cultures maraichères et de donner des conseils ou propositions de solutions. Au total, les entretiens ont concerné 15 producteurs. -
Efficacité de l’huile de neem (Azadirachta indica) et de Bacillus thuringiensis (Biobit 2X) sur la dynamique de la population de Bemisia tabaci (Gennadius 1889) et Helicoverpa armigera (Hubner, 1808) dans une plantation de tomate au Niger
Dans un champ école paysans à Dogaraoua, zone de production de tomate au Niger, lors d’une séance de réunion hebdomadaire, un facilitateur et son groupe de 25 producteurs apprenants décident de mettre en place un essai GIPP (Gestion Intégrée Protection Production) de la tomate sous la supervision d’un entomologiste.
Les résultats obtenus montrent que l’huile de neem permet de contrôler Bemisia tabaci à 70% et le biobit réduit l’infestation de Helicoverpa armigera de 50% par rapport au témoin non traité. Les producteurs peuvent utiliser l’huile de neem pour contrôler la mouche blanche afin de réduire à 80% le cas d’attaque du TYLC et le biobit dans le contrôle de la noctuelle de la tomate. -
Note d’information - La production de tomate sur billon
En décembre 2017, la Chambre Régionale d’Agriculture avait écrit une note sur les tomates de Téra : « Des tomates, de belles tomates en quantité au bord du barrage de Téra. »
Le chef d’exploitation de ces parcelles était Burkinabé. Cela avait fait des remous… Certains avaient parlé « d’accaparement des terres ». Si ces producteurs du Burkina Faso avaient lancé la production de tomate à Téra, ils avaient simplement loué des terres pour la saison de culture (pas d’achats). La main d’œuvre pour la culture, l’arrosage et la récolte, était locale, donc une initiative créatrice d’emplois. D’après l’animateur de la Fédération Mooriben, cette expérience commençait d’ailleurs à être imitée. Le côté intéressant de l’initiative était un possible « transfert de technologies ».
C’est bien ce qui s’est passé et des producteurs locaux (principalement d’anciens exodants) ont adopté les techniques des producteurs burkinabé, notamment la « culture sur billon ». Cette technique de production a la particularité de permettre aux producteurs de se passer de tuteurs. En culture tuteurée, avec une densité de 50 cm entre les plants, une parcelle de 500 m2 de tomate nécessite 2 000 tuteurs soit 40 000 tuteurs par ha. C’est une quantité difficile à trouver dans un pays sahélien et pour plusieurs dizaines d’hectares les prélèvements de bois provoqueraient une déforestation importante. L’achat de ces tuteurs représenterait également des charges élevées. -
Evolution des prix de gros de la tomate et du piment pendant la période du Ramadan sur le marché Djémadjé (Niamey)
La période du Ramadan peut être considérée comme une période de « prix sensibles ». Les augmentations des prix des denrées alimentaires sont mal vécues par les consommateurs et les commerçants spéculateurs montrés du doigt. Cette année 2017, comme les autres années, la tomate a défrayé la chronique. Les réseaux sociaux ont débordé de plaintes des consommateurs sur une tomate difficilement accessible. Cette note fait le point sur les prix de gros de la tomate et du piment et leurs provenances sur le marché de Djémadjé au cours des trois dernières périodes de Ramadan. -
Guide de l'aviculteur au Niger
Le Niger est un pays d'élevage par excellence, cette activités est pratiquée par près de 87% de la population active. Le poulet représente 54,5% des volailles élevés au Niger en 2007 avec une prédominance de races locales qui représente 54,7% du cheptel. L'aviculture intensive concerne 2,8% des effectifs, le poulet de chair représente 1,6% du cheptel avicole et les poules pondeuses 1,2%. Avant le recensement, les services d’élevages considéraient que le poulet constituait 70% des volailles élevées au Niger (RGAC, 2008). -
Effets de la fertilisation à base de la biomasse du Sida cordifolia L. sur les performances agronomiques et la rentabilité économique de la tomate (Lycopersicum esculentum Mill.) en culture irriguée
Publication scientifique, sur l'effet de la fertilisation organique de type "engrais vert" sur la culture des tomates en irrigué. -
Plan national de développement de la filière aviculture (PNDF Aviculture)
La promotion de l'aviculture au Niger date des années 60 avec la création des stations avicoles des régions de Maradi et de Mirriah, suivie par celle de Niamey-Téra (1981) et de Dosso (1982). L'engagement politique du gouvernement pour la filière avicole a été poursuivi et renforcé par sa politique de promotion et de développement du sous-secteur de l'élevage à travers la mise en œuvre de diverses stratégie. -
Aviculture : 5 microprojets innovants en difficulté
Les commissions départementales de sélection des microprojets sur Fonds d’Appui régional (FAR/PASR) de Diffa et Mainé ont sélectionné en novembre 2011 cinq (5) dossiers de microprojets aviculture. Il s’agit d’élevage de poules pondeuses en bâtiments avec apport de l’alimentation.
Aucun des bâtiments proposés et démarrés ne pourra donner satisfaction pour l’élevage des volailles. Des modifications sont possibles pour les bâtiments en dur. Une reprise complète doit être envisagée pour les bâtiments en banco. Les budgets de ces MP ont été trop réduits sans tenir compte des besoins.
Les porteurs n’ont pas été informés ou ne se sont pas appropriés des charges auxquelles ils devront faire face pour l’alimentation et le soin de leur cheptel. -
Revue du secteur avicole Niger
Le risque d’apparition d’épizooties telles que l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène à H5N1 (IAHP) nécessite une surveillance efficace et une capacité de réponse active et rapide à un niveau national, régional et international. La crise de l’IAHP a dû et doit encore être combattue à travers le monde à sa source, c’est-à-dire au sein de la population avicole.
Une bonne compréhension des différentes filières de production et commercialisation permet de développer des mesures de contrôles des maladies qui soient appropriées et efficaces. -
Amélioration de l'élevage de jeune poussins et pintadeaux en aviculture traditionnelle ou villageoise
Les jeunes sujets représentent la base de réussite d'un élevage avicole. Cependant, ils sont confrontés à des nombreux aléas qui limitent ainsi la productivité d'un élevage de basse-cour en milieu villageois. Les caractéristiques d'un tel élevage sont notamment: Exposition aux intempéries et prédateurs ; Faible couverture sanitaire; Mortalité très élevé après éclosion; Faible performance de croissance. Ceci suppose qu'il y a nécessité d'adopter un plan rigoureux de soins intensifs d'hygiène et de prophylaxie. -
Protection intégrée de la tomate en Guyane
Nous détaillons ici les techniques de production de la tomate en pleine terre. Les techniques de production hors-sol sont complexes et ne seront pas détaillées ici. Par la suite, les problématiques phytosanitaires et les méthodes de lutte seront traitées. Production des plants en pépinière. Le semis est réalisé au préalable en terrine ou en mini-motte dans un terreau sain. Les graines germent en 3 jours avec une température du sol de 20 à 25 °C. Après 12 jours, les plantules sont repiquées dans des mottes de terreau de 7 cm ou en godet.En cas d’ensoleillement intense, une ombrière peut être installée pour protéger les plantules. -
Identification des pôles de production de tomate dans les régions de Tahoua, Dosso et Tillabéri
Cette note a été rédigée suite à une mission effectuée en deux étapes du 19 au 22 juin et du 10 au 12 juillet 2015 par une équipe du RECA et de l’Institut National de Recherches Agronomiques du Niger (INRAN) pour identifier les principaux pôles de production de la tomate dans les régions de Tahoua et Dosso et interroger les producteurs sur une éventuelle présence de la mineuse de la tomate Tuta absoluta 1. Les visites ont été facilitées au niveau de chaque région par la Chambre régionale d’Agriculture (CRA) à travers ses animateurs de terrain et ses membres consulaires. Au total, 10 sites ont été visités dont 3 à Tahoua, 2 à Dosso et 5 à Tillabéri. Cette mission fait partie d’un programme collaboratif réunissant l’INRAN, le RECA et la DGPV pour lutter contre la mineuse de la tomate sur financement du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest (PPAAO Niger). -
Etude de l’amélioration de l’aviculture villageoise : bilan critique des interventions du projet APELDA dans la région de Dosso.
Ce mémoire de fin de cycle de Licence porte sur le thème «Amélioration de l’aviculture villageoise: Bilan critique des interventions du projet APELDA dans la région de Dosso». L’accent est mis sur l’indentification des différents obstacles à la pérennisation des actions menées par le projet APELDA en aviculture villageoise. -
Évolution du prix de gros de la tomate sur la période 2018 à 2021 sur le marché de Niamey (Djémadjé)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015. Les informations présentées dans cette note concernent les quatre dernières années (2018-2021). Les prix sont fournis par des « informateurs » qui sont des professionnels de la commercialisation des produits maraîchers, des grossistes ou des collecteurs. Le prix relevé est un prix de vente en gros sur les marchés de Niamey. C’est donc le prix d’achat au producteur + le transport + la marge du collecteur plus la marge du grossiste. -
Informations parues dans la presse sur la transformation de tomate en Afrique de l’Ouest
Au Nigeria, le marché de la tomate et de ses produits dérivés est parmi l’un des plus importants en Afrique. Selon les estimations, le pays importe environ 150 000 tonnes de concentrés de tomate par an. Par ailleurs, selon un rapport du cabinet d’audit PricewaterhouseCoopers (PwC), la valeur des achats a atteint en moyenne 360 millions $ en 2017 [RECA : environ 180 milliards F.CFA] contre 200 millions $ en 2013. -
Développement de l’aviculture rurale au Sénégal : adoption de la volaille de race améliorée dans les ménages du Ferlo
Au Ferlo, vaste territoire dédié à l’élevage extensif mobile, l’aviculture villageois y est devenue de plus en plus répandue avec la sédentarisation croissante des ménages pastoraux. Cependant, ce mode d’élevage a une faible productivité et une faible rentabilité (faible capacité de ponte, poids ne dépassant pas 2,5kg pour les sujets adultes). A cela, s’ajoute un taux de mortalité élevé avec le manque d’abris qui expose les volailles à la prédation. Pour apporter des solutions durables efficaces à ces difficultés, AVSF à travers le « Projet de lutte contre la désertification par l’appui au pastoralisme (Projet Ega Egga) » a appuyé les familles vulnérables et les groupements de femmes du Ferlo à améliorer l’élevage avicole villageois, avec le double objectif d’augmenter le revenu et d’améliorer la sécurité alimentaire (consommation des œufs et de la chair). Le projet a, entre autre, facilité l’accès à des coqs de race pour améliorer la productivité de la volaille locale. -
Visite d’une ferme aviculture – pisciculture – horticulture avec de très bon résultats dans la Région de Tillabéri
Cette note présente la ferme « pluriactivités » d’un ancien fonctionnaire qui s’est lancé dans l’agrobusiness avant même de revenir au pays après une longue carrière professionnelle à l’international. Elle décrit le modèle conçu par le promoteur lui-même avec la collaboration des techniciens qu’il a choisi pour son accompagnement dès le démarrage de son activité.
Ce modèle est duplicable par les futurs promoteurs, et où les promoteurs désireux d’améliorer leurs fermes en vue d’une rentabilisation à court et à moyen terme. -
Influence du chauffage des serres sur le cycle cultural du melon et de la tomate dans le sud et le centre de la Tunisie
Les cultures de primeur ou d'arrière saison cultivée sous abri-serre plastique no chauffée subissent un développement ralenti dès l'arrivée de la période froide (fin novembre-début mars). L’allongement du cycle de développement, en plus des problèmes de fructification et en particulier de nouaison dues aux températures nocturnes trop basses expliquent les faibles rendements obtenus sous serre (7 à 8 kg/m² pour la tomate, 3à 4 kg/m² pour le melon et 2,5 à 3 kg/m² pour le piment fort - Mogou, 1985) -
L'huile des graines de neem, un fongicide alternatif à l'oxyde de cuivre dans la lutte contre la pourriture brune des cabosses de cacaoyer en Côte d'Ivoire
L’huile des graines de neem a un effet positif dans la lutte contre la pourriture brune des cabosses de cacaoyer. Son efficacité croît avec l’augmentation des doses entre 10 et 15 L/ha avant de se stabiliser, si bien qu’à partir de la dernière une augmentation de dose n’apporte aucun effet supplémentaire. -
Le mil et le sorgho, une alternative de l'utilisation du maïs dans les aliments des poules pondeuses au Niger, Afrique de l'Ouest
L’objectif de l’étude était de déterminer les effets des aliments contenant le maïs, le mil ou le sorgho sur les performances de production et la qualité des œufs des poules pondeuses. 120 poules de souche Harco âgées de 19 semaines ont été utilisées pendant trois mois de ponte. Les poules ont été réparties dans 20 lots avec 6 poules par lot à la ferme avicole Guidan Gona de Maradi. L’aliment témoin était à base de maïs comme source d’énergie. La farine de poisson et le tourteau d’arachide ont été les principales sources de protéine. Le mil et le sorgho ont été utilisés pour remplacer uniquement le maïs sur la base kg/kg dans les aliments. Les traitements étaient ainsi : 1) Témoin (100% maïs) ; 2) 50% maïs + 50% mil; 3) 50% maïs +50% sorgho; 4) 100% mil et 5) 100% sorgho. Les 5 aliments (traitements) ont été répartis de manière aléatoire dans les 20 lots avec 4 répétitions par aliment. Les paramètres suivis étaient le taux de ponte, l’ingestion alimentaire, l’indice de consommation, le coût des aliments, le poids des œufs et la coloration du jaune d’œufs. Les résultats ont montré que le taux de ponte n’a pas été statistiquement influencé (P > 5%) par le type de céréale ou leur combinaison. Les autres paramètres ont été statistiquement influencés (P <5%). -
Caractérisation des poulets locaux au Niger : étude biométrique et phanéroptique des poulets Kolonto en station
Cette étude est le fruit de la collaboration et du travail de nombreuses personnes. De ce fait, je tiens ici à exprimer ma profonde reconnaissance au Docteur Salissou Issa pour m’avoir proposé ce sujet combien intéressant et d’avoir accepté d’encadrer mon travail et pour sa disponibilité constante. Je tiens ici à lui exprimer toute ma gratitude pour sa rigueur et ses conseils scientifiques judicieux. -
Enjeux des exploitations avicoles modernes et semimodernes de la ville de Niamey au Niger : caractéristiques, innovations et projet d’introduction des asticots dans l’alimentation des poulets
Ce travail prospectif et de synthèse vient donc offrir un regard socioéconomique, socio-anthropologique et entomologique sur les enjeux de ces exploitations avicoles et sur le projet d’introduction des asticots dans l’alimentation de la volaille. L’activité avicole de la région est caractérisée par deux grands types d’élevages ; le traditionnel et le moderne. Le premier type combine l’aviculture traditionnelle pure et l’aviculture traditionnelle améliorée. Le second est composé d’exploitations modernes et semi-modernes. Le secteur avicole de la région est en plein essor. Il a connu des innovations profondes et légères qui sont tellement ancrées dans les pratiques quotidiennes des aviculteurs qu’elles apparaissent comme de simples progrès. Parmi ces derniers il est question d’une amélioration des techniques en conduite d’élevage, de complémentation avec des insectes et une quête permanente de meilleurs rendements. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions irriguées 2020-2021
Le présent document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2020-2021. L’engouement suscité cette année encore par la campagne irriguée, en particulier à travers les différents projets et programmes intervenant dans la promotion des cultures irriguées dont les objectifs et résultats attendus, renforce notre conviction et notre volonté sans cesse grandissante que l’évaluation de ladite campagne est importante à plus d’un titre : mesures des performances, contribution à la résorption des déficits alimentaires, exportations et revenus, etc. les attentes des utilisateurs des résultats de cette opération sont donc multiples et diverses mais elles ne lui enlèvent rien de sa valeur scientifique et statistique. Que ceux-ci (les utilisateurs) veuillent bien nous excuser des insuffisances qu’ils pourront constater et ne retenir que l’essentiel : les résultats qu’ils peuvent désormais utiliser comme outils de travail, d’analyse et de prospectives. -
Phenotypic Characterization of Local Chickens in West Africa : Systematic Review
This review analyzes the processes of phenotypic and morpho-biometric characterization of West African local chicken. Data were collected on a set of 44 articles, and other reference documents were used to analyze and discuss the data collected. Existing studies on the phenotypic and molecular characterization of local chicken populations in West Africa indicate the presence of a wide variety of plumage colors and conformations, and intra-population genetic diversity. However, none of these studies have been able to identify the existence of a differentiated subpopulation that can be assimilated into a distinct race. -
Agrodok 4 : L'aviculture à petite échelle dans les zones tropicales
Ce guide constitue un outil d'autoformation pour la mise en place d'un petit élevage avicole -
Elevage de la poule locale et de son hybride (croisé avec un mâle une femelle exotique) en Coté d'Ivoire
L'élevage de volailles à l'échelle de la famille est très peu pris en compte dans les politiques publiques des pays en développement. La poule locale traditionnelle ou <<poulet bicyclette>> n'a malheureusement pas pu s'imposer à l'élevage de grande échelle, en raison de sa faible productivité, d'une vitesse de croissance lente et d'une rentabilité jugée insuffisante. -
Contribution à la réflexion sur la Recherche avicole au Niger
A l'heure actuelle où le Niger cherche à atteindre l'autosuffisance alimentaire d'une part, et à endiguer l'exode des
ruraux vers les centres urbains d'autre part, l'aviculture,
source d'excellentes protéines et activité lucrative sédentaire,
peut apporter une grande contribution. -
Analyse des données de l’enquête pour l'élaboration d'un programme de relance de l'aviculture dans la zone de Guidan-Djibo
Cette étude a été réalisée sous forme d'enquête menée par les chercheurs de l' INRAN, à la demande du Projet Basse Vallée de la Tarka. -
Résistances phénotypique et génotypique des Escherichia coli isolés des élevages de volailles dans la région des plateaux au sud Togo
L'utilisation des antibiotiques en tant que médicaments chez l'homme et l'animal a véritablement commencé au courant des années 1950, et elle est considérée comme l’un des progrès majeurs de la médecine car elle a permis de réduire de manière spectaculaire la morbidité et la mortalité due à de nombreuses maladies infectieuses d'étiologie bactérienne. Cependant, les antibiotiques sont des médicaments très particuliers du fait de la diversité de leurs cibles sur les bactéries et de la capacité évolutive de ces dernières vers la résistance (SANDERS, 2011). L’augmentation de la prévalence des bactéries résistantes aux antibiotiques est devenue un problème majeur de santé publique dans le monde entier. De plus, de nombreux facteurs sont impliqués dans l'émergence de souches résistantes ; parmi lesquels l'usage abusif des antibiotiques chez les humains et les animaux (THAI et al, 2012). -
Poulet local « Kolonto » et sécurité alimentaire à Gaya
Cette étude a été initiée pour caractériser la rentabilité économique de l'élevage du poulet local « Kolonto » dans le département de Gaya. Une enquête a été menée dans 15 localités des 6 communes du département de Gaya. Les résultats ont montré que 29 % des éleveurs de poulets locaux « Kolonto » sont des femmes. Le prix du poulet local « Kolonto » varie entre 4 à 8 USD selon 50% des producteurs. Ce gain économique, lié à la vente du poulet local, permet aux producteurs de faire face aux dépenses familiales et de répondre à leurs besoins en matière de soins de santé. Ainsi, l’élevage du poulet local « Kolonto » contribue grandement à la sécurité alimentaire des ménages et à la résilience des communautés. Cependant, l'élevage de l'écotype de poulet « Kolonto » se situe entre de nombreuses contraintes dont la principale est celle des maladies (59,3%). Il est clair que le
développement de la filière passe nécessairement par un renforcement de la surveillance des maladies aviaires, combiné au suivi vétérinaire et à l'encadrement des producteurs. -
Elevage des oies
Les oies appartiennent à un groupe d’oiseaux de la famille des anatidés dans lequel on trouve aussi les cygnes et les canards. L’oie est un oiseau de basse-cour dont le mâle se nomme « jars » et le petit « oison ». Les oies peuvent vivre pendant 25 ans. -
Maladie de la variole aviaire (audio zarma)
La variole aviaire est une maladie virale fréquente des oiseaux domestiques (poulets, dindons, pigeons). Elle est nommée Ziguawan en Zarma et Waké en Haussa. Il s’agit d’une maladie se propageant lentement qui est caractérisée par la formation de lésions cutanées sur les parties non couvertes de plumes tels que la tête, le cou, les pattes et les pieds (formes cutanées) et/ou de lésions de la partie supérieure de l’appareil respiratoire. Cette maladie est due à un virus du genre Avipoxvirus. -
Maladie de la variole aviaire : comment reconnaitre la maladie et la prévenir? (audio zarma)
La forme cutanée : (de la peau) reste la plus répandue et la plus rencontrée dans les élevages de volailles notamment chez les poulets, pigeons et dindes.
La forme diphtérique : es symptômes varient en fonction de la sévérité des lésions
Comment la prévenir ?
La clé de la lutte contre la variole aviaire c’est la prévention et la vaccination pour maîtriser la
maladie et empêcher sa propagation :
• Le maintien d’une hygiène irréprochable dans un poulailler est essentiel : nettoyage régulier
et désinfection ;
• Programme de biosécurité pour empêcher le personnel et l'équipement contaminés de
l'extérieur de pénétrer dans les poulaillers ;
• Contrôler le cannibalisme en réduisant l'intensité lumineuse de l'environnement ;
• Eviter de mélanger des volailles de différents âges ;
• Les volailles infectées doivent être mis en quarantaine ou abattues ;
• Il est conseillé de donner des anti-stress après chaque vaccination qu’elle soit dans l’eau de
boisson ou injectable. -
Maladie de la variole aviaire : la vaccination (audio zarma)
La vaccination existe pour les poules pondeuses et les reproducteurs. Elle se réalise avec deux injections, la primovaccination au 26ème jour et le rappel à la neuvième semaine de vie. La vaccination doit avoir lieu avant l'exposition au virus. Il faut s’adresser aux vétérinaires (SVPP) ou à leurs auxiliaires d’élevage. Les produits sont disponibles à leur niveau mais les flacons sont de 500 ou 1000 doses en général selon les fabricants. -
L'élevage de canards
Dans cet Agrodok, nous traiterons un certain nombre de sujets concernant l’élevage des canards. Chacun d’entre eux décrit un aspect de ce que l’on doit savoir pour élever des canards. Il vous est destiné ainsi qu’aux gens qui travaillent avec vous dans votre communauté ou votre lieu de travail. L’objectif de cette brochure est de donner des conseils pratiques à ceux qui sont concernés par l’élevage des canards. Le cadre théorique permettra aux lecteurs de développer les techniques les mieux adaptées à leur situation particulière.