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Rapport annuel 2017 : les statistiques du secteur de l’élevage
Le Ministère de l’Élevage est le Ministère chargé de la conception, de l’élaboration, de la mise en oeuvre du suivi et de l’évaluation de la politique nationale en matière de développement de l’élevage, conformément aux orientations définies par le gouvernement. Le Ministère de l’Élevage emploie environ 1500 agents tous grades confondus, répartis dans les différents services aussi bien à Niamey qu’à l’intérieur du pays. -
Filière oignon au Niger : processus intégré de conservation et de warrantage. Expérience de la SNV dans la zone de production de Saouna gomma, Tamaske et Sabon Guida
Le principal objectif de ce projet est de : Instaurer le système de warrantage sur l’oignon à travers une relation quadripartite (SNV, producteurs, SFD, LCB) avec l’introduction d’un système d’abris de conservation adapté et accessible aux producteurs d’oignon afin de réduire les pertes importantes et de réussir définitivement le warrantage qui permets de créer des emplois rémunérateurs et durables et de générer des ressources additionnelles aux producteurs. -
Analyse de la Chaine de Valeurs d’oignon (Allium Cepa L.) Blanc de Soucoucoutane au Niger
La production d’oignon est une activité très rependue au Niger avec une diversité de variétés. Ce travail s’intéresse à l’oignon blanc « El Soucoucoutane », une variété peu connue. L’objectif de cette étude est de mettre en évidence les principaux acteurs ainsi que leurs activités à travers l’approche chaîne de valeurs. Pour évaluer les contraintes et les opportunités de cette filière oignon, la méthode SWOT a été utilisée. -
La filière oignon du Niger - Analyse des capacités des petits agriculteurs familiaux et identification des stratégies qui leur permettent de capter plus de valeur ajoutée
La présente étude concerne la filière oignon du Niger et est structurée en 3 chapitres :
• Le premier chapitre propose une « Présentation de la filière de l’oignon du Niger »;
• Le deuxième chapitre vise « Les différents types de marchés agricoles et les caractéristiques des marchés importants pour la commercialisation de l’oignon » ;
• Le troisième concerne une « Evaluation des capacités des petits agriculteurs familiaux engagés dans la production de l’oignon et de la part de la valeur ajoutée qu’ils captent »
ainsi que l’« Identification des stratégies qui leur permettent d’obtenir une meilleure part de la valeur ajoutée ». -
Analyse du prix au poids vif de bovins de l'opération vente au poids : cas de marché à bétail pilote de Gothèye (Tillabéri) au Niger
L'étude sur l'analyse de la vente au poids de bovin : cas de marché à bétail pilote de Gothèye Tillabéri au Niger a pour objectif de déterminer et d'analyser le référentiel de prix de kg de poids vif de l’espèce bovine sous l'influence de certains facteurs -
Atelier preparatoire pour la mise en place d'un observatoire regional de la filière oignon en Afrique de l'Ouest et du Centre
Il m'est particulièrement agréable, de présider ce jour , la cérémonie d'ouverture de l'atelier pour la mise en place d'un observatoire de la filière oignon en afrique de l'ouest et du centre -
Les 25 Résolutions de Konni! - Rapport de l’atelier « Éplucher l’oignon » Birni N’Konni, Niger, 30 Novembre – Décembre, 2010
Le Niger est le plus grand exportateur de l’oignon en Afrique de l’ouest. Plus de 100.000 paysans nigériens cultivent l’oignon. Pour eux et tous les autres opérateurs de la chaîne (intermédiaires, commerçants, transporteurs), l’oignon est une source importante de revenus. La SNV Niger et le Wageningen UR Centre for Development Innovation (CDI) des Pays*Bas, en collaboration avec la FCMN Niya et Agri-Bilan, ont initié une recherche action intitulée « Eplucher l’oignon » depuis 1 année. Le but des activités de recherche*action est d’identifier des possibilités d’action collective pour tous les acteurs dans la chaîne de valeur d’oignon. Le focus est sur des ‘leviers’ pour induire des changements qui rendent la filière oignon à la fois plus compétitive, inclusive et durable. Après cette phase terrain, nous avons partagé nos résultats lors de cet atelier participatif à Birni N’Konni dans la région de Tahoua. De plus on a stimulé le dialogue entre les différents acteurs autour de la chaine de valeur d’oignon pour arriver aux 25 résolutions de Konni ! Ce rapport est le résultat de cet atelier et dialogue. -
Annuaire statistique régional 2011 - 2015
La Direction Régionale de la Statistique (DR/INS) de Niamey a le plaisir de vous présenter la quatrième (4ème) édition de l’annuaire statistique régional. Ce document qui présente les principales données socio-économiques de la région de Niamey sur la période 2011-2015, comporte 18 chapitres qui portent notamment sur les informations générales de la région, la climatologie, l’hydraulique, la démographie, l’emploi, la santé, l’éducation, l’agriculture, l’élevage, l’environnement, l’énergie, le transport, le tourisme et l’hôtellerie, les prix, la justice, la jeunesse et le sport, la gouvernance et le développement local. Il a été élaboré à partir des données collectées auprès de différentes structures de l’administration publique et para-publique, de celles produites par l’Institut National de la Statistique (INS) et la Direction Régionale de l’INS. Les informations publiées dans ce document les sont à un niveau agrégé. Le lecteur désireux d'avoir plus de précisions par rapport à un domaine spécifique, peut s'adresser à la Direction Régionale de l’INS ou à la source des données indiquées en bas des tableaux. Aussi, accueillerons-nous, bien volontiers, vos observations, remarques et suggestions pour l’amélioration de nos prochaines éditions. Nous adressons enfin, nos plus vifs remerciements aux autorités régionales pour leur engagement personnel dans la promotion des activités statistiques, à toutes les administrations, services publics, parapublics et organismes qui nous ont apporté leur précieux concours pour l'élaboration du présent document, et les encourageons à persévérer davantage dans les efforts, en vue de rendre disponibles et fiables les données statistiques au niveau de la région de Niamey. -
Filières oignon en Afrique de l'Ouest : étude comparée des filières nigérienne et béninoise
Afin de comprendre la relation entre les filières nigérienne et béninoise et les mécanismes permettant à l’oignon nigérien d’être vendu sur les marchés côtiers à un prix concurrentiel par rapport à l’oignon local, l’étude propose une analyse comparée des aspects liés à la production et à la commercialisation de ces deux filières, a` partir des pôles de production de Keita (Niger) et Malanville (Bénin) qui approvisionnent le marché de Dantokpa à Cotonou (Bénin). L’étude montre que les deux filières sont à la fois concurrentielles et complémentaires et que la filière nigérienne a un avantage comparatif net au niveau de la production, avec des coûts inférieurs et un bénéfice au producteur supérieur. -
Evolution des prix de l’oignon pendant un an sur les marchés de Niamey
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-
24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 33 (mois d’août) de l’année
2016. Sur les 60 semaines de cette période, 4 semaines n’ont pas fait l’objet de relevés, aussi les informations présentées portent sur 56 semaines.
Ce suivi de l’oignon concerne les deux marchés de gros qui reçoivent de l’oignon : en premier le marché de Katako (le plus important pour les volumes) en second le marché de Djémadjé. -
Exportations d’oignons des pays de l’Union européenne vers les pays de la CEDEAO en 2012
Présentation des données commerciales en provenance d’EurostatCe tableau présente l’ensemble des exportations d’oignons au départ de l’Europe vers les pays de la CEDEAO (donc sans la Mauritanie). Les Pays Bas (le plus souvent appelés Hollande) représentent 99,2% des volumes exportés, c’est pourquoi il est mentionné les « exportations hollandaises ».
Les chiffres présentés dans cette note sont tirés de la base de données Eurostat, qui présente les statistiques commerciales de l’Union européenne. Ces chiffres ont été traités (tableaux et graphes) par David Ivanovic, expert en commerce agricole (david.ivanovic1@gmail.com). Les commentaires sont du RECA. -
Evolution du prix de gros du chou pendant trois ans sur le marché de Niamey (Djémadjé)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 7 (février) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur 143 semaines suivies. Ce suivi du prix de vente en gros du chou concerne le marché de Djémadjé qui est le marché de gros de la capitale pour ce produit.
Le chou le plus fréquent sur le marché de Djémadjé est celui de Madaoua qui arrive de façon continue et en grande quantité. En période de forte chaleur, où le chou du Niger est absent sur le marché, on assiste à une grande importation de choux du Nigeria. Le chou et le moringa sont des légumes feuilles de base dans l’alimentation au Niger. -
Evolution du prix de gros du piment sur trois ans au marché de Niamey Djémadjé
Le suivi des prix de gros des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en avril 2015 (la semaine 17). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 49 (décembre) de l’année 2018. Les informations présentées portent sur trois ans et demi.
Globalement, la production de piment du Niger est présente sur les marchés de Niamey pendant la saison sèche froide (à partir de décembre) et pendant la saison sèche chaude jusqu’à la saison des pluies (mi-juillet).
Toutes les quatre années présentent des profils assez semblables avec des prix bas de septembre à décembre (autour de 10.000 F le sac), une légère augmentation pendant la période de janvier à avril (15.000 à 20.000 F par sac), puis une forte augmentation progressive pour atteindre un pic autour de 70.000 F le sac entre mi-juin et fin juillet suivant les années. Le prix diminue ensuite jusqu’en septembre où se il retrouve au plus bas. -
Evolution du prix de gros de l’oignon pendant quatre ans sur les marchés de Niamey
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 34 (mois d’août) de l’année 2019. Ce suivi de l’oignon concerne les deux marchés de gros qui reçoivent de l’oignon : en premier le marché de Katako (le plus important pour les volumes), en second le marché de Djémadjé 2.
Le Niger est le premier exportateur d’oignon dans la CEDEAO et pourtant, à certaines périodes, des oignons sont importés sur le marché de Niamey. Cette situation peut étonner plus d’un observateur. -
Evolution du prix du poivron pendant quatre ans sur les marchés de gros de Niamey
Si en 2015, pendant quelques semaines, du poivron du Nigeria s’est vendu sur le marché de Djémadjé à Niamey, cela n’a plus été le cas à partir de 2016. De 2016 à 2019, les poivrons vendus à Niamey viennent du Niger, essentiellement des sites de production autour de Niamey ou du Burkina Faso. Le poivron du Niger était présent 30 semaines sur 52 au cours de l’année 2016, en début d’année jusqu’au mois de mai puis à partir d’octobre jusqu’à la fin de l’année. Il était absent du marché de juin à mi-octobre. En 2017 et 2018, le poivron du Niger était présent pendant 35 semaines sur 52, de janvier à juillet, puis à partir de novembre. En 2019, le poivron du Niger est présent pendant les 7 premiers mois de l’année et ne réapparait pas novembre. Il faudra attendre janvier 2020 pour qu’il revienne sur le marché. Il n’aura été présent que 28 semaines en 2019. -
Evolution des prix de gros du moringa sur les 5 dernières années sur le marché de Djémadjé / Niamey
Cette note présente l’évolution des prix moringa sur le marché de Djémadjé (Niamey) depuis avril 2015 (semaine 17) à mars 2020 (semaine 10) et une comparaison des prix sur les cinq périodes de Ramadan.
Les prix sont fournis par des « informateurs » qui sont des professionnels de la commercialisation des produits maraîchers et travaillent depuis plusieurs années avec le RECA.
Le moringa commercialisé sur les marchés de Niamey est produit principalement dans la ceinture maraîchère de Niamey (Région de Niamey et Région de Tillabéri), dont une grande partie sur la rive droite du fleuve. Il n’y a pas d’importations des pays voisins. -
Evolution des prix de gros de la tomate et du piment pendant la période du Ramadan sur le marché Djémadjé (Niamey)
La période du Ramadan peut être considérée comme une période de « prix sensibles ». Les augmentations des prix des denrées alimentaires sont mal vécues par les consommateurs et les commerçants spéculateurs montrés du doigt. Cette année 2017, comme les autres années, la tomate a défrayé la chronique. Les réseaux sociaux ont débordé de plaintes des consommateurs sur une tomate difficilement accessible. Cette note fait le point sur les prix de gros de la tomate et du piment et leurs provenances sur le marché de Djémadjé au cours des trois dernières périodes de Ramadan. -
Evolution du prix de gros de l’aubergine pendant trois ans sur les marchés de Niamey (Djémadjé, Harobanda)
Le suivi des produits maraîchers sur les marchés de Niamey a commencé en 2015, la semaine 17 (18-24 avril). Les résultats présentés dans cette note vont jusqu’à la semaine 45 (début novembre) de l’année 2017. Les informations présentées portent sur 135 semaines suivies.
Ce suivi de l’aubergine concerne les marchés de Djémadjé et Harobanda qui sont les marchés de gros de Niamey pour ce produit. L’aubergine commercialisée sur les marchés de Niamey est produite dans la ceinture maraîchère de Niamey, principalement sur la rive droite du fleuve et dans la région de Tillabéri (Toulouaré Boulandjam, Bitinkodji et Kobadjé). A partir de la rive droite, l’aubergine arrive directement sur le marché de Harobanda, puis une partie est acheminée vers le marché de Djémadjé. -
Étude de faisabilité d'un observatoire régional de la filière oignon en Afrique de l'ouest et d'un observatoire de la filière racines de tubercules en Afrique centrale
Les développements récents intervenus dans le domaine des technologies de la communication offrent aux opérateurs agricoles un accès immédiat à l'information de marché et aux connaissances sur les nouvelles techniques de production et de commercialisation des produits agricoles. Si, dans ce contexte, les observatoires de filière font partie intégrante de notre environnement, les avantages qu'ils offrent aux utilisateurs restent souvent mal perçus par les acteurs du développement agricole en Afrique. -
Évaluation des productions d'oignon et élaboration des stratégies de commercialisation: Galmi
Le Niger est un pays dont l'économie repose essentiellement sur l'agriculture vivrière et les cultures de rente. pour preuve, le secteur agricole contribue pour près de 36% du PIB réel, fournit environ 85% de l'emploi et 41% des recettes d'exportation. C'est à l'évidence un facteur déterminant de la croissance économique de notre pays. -
Plan d'action opérationnel de la filière oignon du Niger
La filière oignon est devenue aujourd’hui un enjeu essentiel non seulement pour le Niger, mais pour toute la région de l’Afrique de l’Ouest. En effet, le Niger est le premier pays producteur d’oignon de l’Afrique de l’Ouest. L'oignon constitue la principale spéculation agricole pour laquelle le Niger possède un réel avantage comparatif par rapport aux autres pays de la sous région, et sa compétitivité sur ces marchés sous régionaux lui confère une place importante dans les cercles familiaux et dans l'économie nationale. -
Rapport annuel 2018 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger pour la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution vivant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2018, le cheptel est estimé à 48.460.804 têtes toutes espèces confondues soit 19.016.316 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 4.100 milliards de francs CFA. -
Rapport annuel 2019 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2019, le cheptel est estimé à 50.528.787 têtes toutes espèces confondues soit 19.921.981 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 400 milliards de francs CFA. -
Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS)
La mise en place du Système Statistique National remonte au début des années 1960 avec la création, au sein du Commissariat Général au Plan, rattaché à la Présidence de la la République, d'un service de la statistique. C'est ce service qui s'est transformé progressivement pour devenir aujourd'hui l'Institut National de la Statistique (INS). -
Les statistiques sur l'élevage au Niger : Situation et perspectives; 28 au 30 octobre 2013, Hôtel Terminus Niamey, Niger
Du 28 au 30 octobre 2013 s’est tenu à l’Hôtel Terminus à Niamey au Niger, l’atelier sur "Les Statistiques de l'Elevage au Niger: Situation et perspectives''. Ont pris part à cet atelier, les délégués du Burkina Faso, du Mali et de la Mauritanie mais aussi les représentants des Coopérations Belge (CTB) et Suisse, et les représentants d’organisations internationales ou centres étrangers de recherche tels que : l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), la Banque Africaine de Développement (BAD), la Banque Mondiale, l’Observatoire Economique et Statistique d’Afrique Subsaharienne(AFRISTAT), le Fonds des Nations Unies pour l’Agriculture et l’alimentation (FAO), Vétérinaires Sans Frontière (VSF), le Centre National français de la Recherche Scientifique (CNRS). -
L’importance de l’oignon dans la vie socioéconomique du Niger : contexte et agendas d’action
Depuis l’Indépendance, la production et la valeur marchande de l’oignon nigérien ont connu une croissance impressionnante. La production nationale tend vers le cap de 500.000 tonnes1. Le chiffre d’affaires des producteurs est autour de 47 milliards FCFA. C’est pourquoi on l’appelle l’or violet nigérien : il a conquis le marché sous-régional et constitue un des piliers économiques les plus importants du pays. D’une manière directe et indirecte, la filière procure des revenus importants pour une multitude acteurs. La filière contribue ainsi à l’emploi et au cadre de vie de plus d’un million de personnes, dont les producteurs sont les plus nombreux. Bien que les évolutions économiques soient impressionnantes, la filière se trouve toutefois devant de multiples d’enjeux qui requièrent des actions concertées de l’ensemble des parties prenantes. -
La filière oignon au Niger / Les axes d’amélioration proposés dans l’Étude diagnostique sur l’intégration commerciale
L'histoire de la production et de la commercialisation de l‟oignon remonte au lointain passé du Niger, bien avant la colonisation. On pense que des oignons du Niger étaient expédiés par les routes commerciales transsahariennes dès le VIIIe ou IXe siècle. On estime que le Niger, lors de l‟indépendance en 1960, produisait de 25 à 30 mille tonnes d‟oignon par an. Au cours des 10 dernières années (1996-2005) la production a été en moyenne d‟environ 270.000 tonnes1. Ceci représente une multiplication par 10 en 45 ans. -
Évaluation sous-régionale de la chaine de valeurs oignon/échalote en Afrique de l'Ouest
La présente étude de la chaîne de valeurs commanditée par le Projet Agribusiness and Trade Promotion (ATP), aborde essentiellement le commerce de l'oignon et de l’échalote en Afrique de l’Ouest. Le but de l'étude a été de : 1) identifier les principaux acteurs qui interviennent dans la chaîne et la nature de leurs activités ; 2) évaluer les principales contraintes et opportunités ; et sur la base de cette évaluation, 3) proposer les investissements ciblés que le projet ATP pourrait effectuer à court terme en vue d’éliminer efficacement les principales contraintes tout en maximisant les opportunités, et de manière à assurer le développement cohérent et mesurable de la chaîne de valeurs. -
Dégringolade du prix de l’oignon sur les principaux bassins de production
De nombreux responsables d’organisations de producteurs et des Chambres régionales d’Agriculture ont signalé la très forte augmentation des surfaces pour la culture de l’oignon dans la plupart des régions du Niger cette année. Pour de nombreux professionnels, un risque de très forte baisse des prix de vente à la récolte est à craindre… cela semble se confirmer.
La récolte des oignons a démarré dans les principales zones de production du Niger. Habituellement, les prix de l’oignon sur les marchés sont au plus bas au mois de mars et mi-avril mais cette année les prix affichent une baisse inquiétante dès ce début d’année, à la fin du mois de janvier, sur les marchés des principaux bassins de production. -
L’histoire de l’oignon- témoignage de deux pionniers de la filière
La culture d’oignon remonte aux années 1950. Les origines se trouvent dans la zone de Sabon Guida. Le village de Kumasa, à 15 minutes de marche de Sabon Guida, est mentionné comme la source de l’oignon violet qui est réputé aujourd’hui. Les noms des premiers cultivateurs étaient Arzeka, Alhou, Danyashi et Tanahou, le dernier étant le chef de village de Kumasa. Ces pionniers de la culture d’oignon sont les pères et grand-pères des responsables de la filière oignons aujourd’hui, qui sont eux aussi âgés maintenant. Au début, les oignons étaient échangés contre des vivres ou contre l’arachide et le coton, les produits commerciaux de l’époque. Les oignons étaient transportés par dos d’âne. L’unité de mesure était le mangala, une sorte de container fabriqué avec des nattes tressées avec des feuilles de palmier doum. -
Stockage des oignons : l’expérience de l’Union des producteurs d’oignon de Madaoua
Cette note est tirée du rapport du voyage d’étude effectué par la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN Niya) avec l’appui du Projet de lutte contre l’insécurité alimentaire par le développement de l’irrigation dans la région de Tillaberi (PDIT), du 09 au 16 décembre 2009. -
Techniques de production, stockage et conservation des bulbes d’oignon pour améliorer les performances de la filière oignon
Suite aux besoins des clients exprimés dans les dossiers de structuration des activités des OP, les constats lors de l’analyse des systèmes de conservation des produits et de l’évaluation des chaînes de valeurs des produits (oignon et pomme de terre), pour appuyer l’effort de ses clients axé sur le marché afin de tirer le maximum de profit. Le présent manuel s’inscrit dans le cadre de la formation des représentants des OP dans les techniques poste-récolte, de conditionnement et de conservation des bulbes d’oignon afin de minimiser les taux de perte mais, augmenter la qualité et valeur des produits. Cette formation portera sur le renforcement des capacités des membres des OP aussi bien en techniques de conservation des bulbes destinés à la conservation qu’en production des semences de qualité afin de prendre en compte dans la phase poste récolte, toutes les insuffisances capables d’affecter négativement le volume et valeurs des récoltes des produits ciblés. -
Prix de l’oignon dans une grande surface d’une ville française (Narbonne) en mai 2012
Voici une présentation des oignons qui étaient en vente dans une grande surface française (magasin) au mois de mai 2012, avec leurs provenances et leurs prix. -
Pratique de stockage et conservation : conseils techniques pour perdre moins
La campagne de la saison sèche fraîche est la plus importante. Sa récolte coïncide avec l’abondance d’oignons sur le marché. Si les producteurs vendent à la récolte, ils trouvent généralement des prix bas. Pour avoir des sacs, ils doivent souvent aussi casser le prix. Dans ces conditions, il est rentable de stocker pour vendre les oignons après quelques mois. -
Violet de Galmi : des semences du monde entier dans les boutiques du Niger
Suite à la révision en 1999 de l’Accord de Bangui, notamment par l’ajout de l’annexe X consacrée à la protection des obtentions végétales, les États membres de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), dont le Niger, ont été appelés à bénéficier des dispositions transitoires en enregistrant leurs variétés anciennes via des Certificats d’obtentions végétales (COV), permettant ainsi la reconnaissance du droit de propriété au pays qui l’abrite. -
Combien d’oignons sont produits au Niger… c’est (très) difficile à savoir !
Dans les « résultats définitifs » de la campagne agricole 2009 – 2010 (Ministère du Développement agricole – Direction des statistiques) paru en février 2010, il est donné une production de 384.309 tonnes d’oignon. Les pertes et semences sont évaluées à 76.862 tonnes et les exportations à 100.000 tonnes. Il s’agit cependant de la campagne oignon 2008 – 2009. Sur cette base la consommation des nigériens se monterait à 207.447 tonnes, soit 14 kg par habitant et par an. -
La culture hivernale d’oignon sur billon en zone sahélienne et soudano-sahélienne
Il est conseillé de solariser le sol de la pépinière avant le semis. Par ce traitement on chauffe bien le sol afin d'éliminer les champignons qui causent la pourriture des jeunes plants. Méthode : 2 à 3 semaines avant le semis bien labourer et irriguer le sol de la pépinière. Ne pas encore amender le fumier. Puis couvrir le sol avec du plastique polythène transparent et solide. Fixer le plastique à l’aide de grandes pierres au pourtour pour éviter que la chaleur s’échappe. Cette chaleur se forme à cause du rayonnement solaire et tue les champignons nuisibles. Laisser le plastique durant au moins une semaine. -
Étude sur la chaîne de valeur oignon au Niger
La filière oignon au Niger a une longue histoire, qui remonte au XVIIe siècle. Compte tenu du contexte du pays, qui est majoritairement agricole, la production d’oignons est devenue une activité traditionnelle dont les pratiques, y compris la production de semences, sont transmises de génération en génération. Ainsi, la chaîne de valeur comporte également un aspect socioculturel important, avec un rôle prépondérant joué par de grands et puissants commerçants. Le Niger est le premier exportateur d’oignons d’Afrique de l’Ouest, oignons particulièrement appréciés pour leur goût piquant et leurs qualités culinaires. Des routes commerciales ont été établies au fil des ans, grâce à des réseaux sociaux et des contacts solides. Néanmoins, les exportations du Niger sont éclipsées par celles des Pays-Bas, qui sont de 7 à 10 fois plus élevées selon les données officielles disponibles. -
Liste des notes et documents sur la filière oignon sur le site du RECA (32)
Cette liste fournie les liens des ressources sur la filière oignon mises en ligne sur le site du RECA. -
Techniques de production de bulbilles d'oignon violet de Galmi
Les légumes sont importants pour l'équilibre alimentaire des populations et leurs productions constituent aussi une source de revenu non négligeable. Au Niger, les cultures les plus rentables sont l'oignon, la tomate, le chou et la pomme de terre. Les revenus tirés de ces cultures en hivernage sont en moyenne cinq fois supérieurs aux revenus de contre saison du fait de la rareté de ces produits en cette période. -
Note sur la variation du prix du Moringa à Maradi
Le marché de Maradi est le plus grand marché de Moringa séché et précuit au Niger. Le Moringa séché provient d’une part du bassin de production de Maradi, constitué de la vallée du «Goulbi Maradi» et des 512 ha d’aménagements hydro agricoles, et d’autre part du Nigeria. La production de Maradi est importante. Elle est destinée à la commercialisation et à la consommation locale. Le Moringa est commercialisé sous deux formes : le « séché » et le « précuit ». Cette note ne traite que du Moringa séché, produit et commercialisé dans le bassin de production de Maradi. -
Enquête sur la vulnérabilité à l'insécurité alimentaire des ménages (Décembre 2007)
L'objectif principal de cette enquête est d'évaluer et de caractériser la vulnérabilité à l'insécurité alimentaire des ménages afin de mieux asseoir le diagnostic dans un contexte post récolte et de dégager les perspectives pour les prochains mois. -
Filière oignon : diagnostic et proposition de programme d'intervention
L'approche de cet atelier se situe délibérément dans le cadre d'une participation et responsabilisation accrue des producteurs et d'une redéfinition du rôle de l’État... reposant sur l’émergence d'opérateur économique privé et la structuration du milieu rural autours des groupement d'associations et coopératives bâties sur des intérêts communs économiques. -
Inventaire des documents disponibles au service analyse des politiques et coordinations des statistiques au 1er Avril 2002
Le présent document est un inventaire disponible au service analyse des politiques et coordination des statistiques. L'inventaire documentaire concerne les secteurs des Statistiques Agricoles, du Secteur privé, de la Sécurité alimentaire, de la Pauvreté, de l'Irrigation, de l'Environnement, de l’Éducation et Santé, des Politiques Agricoles, des Politiques Économiques, de l'UEMOA. -
Recensement Général de la population et de l'habitat 2012
L'objectif de ce rapport est d'étudier les caractéristiques sociodémographiques des ménages nigériens. Ceux-ci ont connu un taux d’accroissement annuel moyen de 3,7% entre le RGPH de 2001 et celui de 2012, passant de 1 632 344 à 2 430 440 ménages au cours de la période intercensitaire. Les ménages ordinaires représentent 99,6% de l’ensemble des ménages dénombrés. -
Présentation des résultats préliminaires du quatrième (4ième) Recensement Général de la Population et de l'Habitat (RGP/H) 2012
L’Institut National de la Statistique (INS) a réalisé le dénombrement général du Quatrième (4ème) Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH) 2012, du 10 au 24 décembre 2012. -
Rapport définitif de l’enquête sur les productions irriguées 2020-2021
Le présent document rappelle les grandes caractéristiques de l’enquête horticole avant de donner une analyse synthétique des résultats obtenus en 2020-2021. L’engouement suscité cette année encore par la campagne irriguée, en particulier à travers les différents projets et programmes intervenant dans la promotion des cultures irriguées dont les objectifs et résultats attendus, renforce notre conviction et notre volonté sans cesse grandissante que l’évaluation de ladite campagne est importante à plus d’un titre : mesures des performances, contribution à la résorption des déficits alimentaires, exportations et revenus, etc. les attentes des utilisateurs des résultats de cette opération sont donc multiples et diverses mais elles ne lui enlèvent rien de sa valeur scientifique et statistique. Que ceux-ci (les utilisateurs) veuillent bien nous excuser des insuffisances qu’ils pourront constater et ne retenir que l’essentiel : les résultats qu’ils peuvent désormais utiliser comme outils de travail, d’analyse et de prospectives. -
Recensement Général de la population et de l'habitat 2012 (Décret N° 2011-059/PCSRD/ME/F DU 27 Janvier 2011) : monographie régionale de Zinder
Le présent document présente la monographie des populations de la région de Zinder. Les données utilisées sont celles du quatrième (4ième) Recensement Général de la Population et de l’Habitat du Niger réalisé en 2012. Elle a pour but de donner la photographie de la situation des populations vivant dans la région de Zinder. Il s’agit spécifiquement d’avoir la répartition de l’effectif des populations de la région par âge, sexe et niveau géographique. A cela s’ajoute les informations relatives à l’éducation, à la nuptialité, à la fécondité, à la mortalité, à la participation économique des populations et à la situation de l’habitat ; ce qui permet de mettre à la disposition des utilisateurs des données (gouvernement, ONG,…etc.), des indicateurs de suivi des politiques et programmes spécifiques à cette frange de la population. -
Rapport général du module maraichage
Le présent rapport fait partie d’une série de publications sur les résultats des six modules de la deuxième phase de l’opération. Il s’agit des cultures pluviales, l’arboriculture fruitière, les cultures irriguées, le tronc commun, l’élevage et la pêche. -
Stratégie de recherche - formation - innovation pour l'agriculture sur le moyen et long terme au Niger
La production végétale au Niger est une la plus grande source de revenus et d’aliments pour les populations rurales et apporte une contribution significative à l’économie nationale. Dans ce pays où la croissance démographique continue à un rythme supérieur à 3% par an, l’augmentation de la production agricole est un facteur déterminant du maintien, si ce n’est de la progression de l’approvisionnement alimentaire des populations. -
Chaine de valeur oignon : commercialisation des oignons en Afrique de l'Ouest, analyser les chiffres
De nombreuses institutions font réaliser des études sur les chaines de valeur. Les experts chargés de ces études utilisent des données en citant les sources. Il nous semble important de croiser autant que possible les données disponibles et surtout de les commenter pour évaluer leur crédibilité car les variations entre les sources peuvent être considérables. Cette note sur la filière oignon rassemble différentes informations par rapport à la commercialisation de ce produit dans la partie Est de l’Afrique de l’Ouest dont le Niger est un des acteurs majeurs. -
Analyse approfondie de la chaine de valeur oignon au Niger 2021-2030
La CDV Oignon est devenue aujourd’hui un enjeu essentiel non seulement pour le Niger, mais pour toute la région de l’Afrique de l’Ouest. En effet, l'oignon constitue la principale spéculation agricole pour laquelle le Niger possède un réel avantage comparatif par rapport aux autres pays de la sous-région, et sa compétitivité sur ces marchés sous régionaux lui confère une place importante dans les cercles familiaux et dans l'économie nationale. Le Niger est classé parmi les premiers pays producteurs d’oignons de l’Afrique de l’Ouest et est le plus grand exportateur d’oignons de la région. Sa culture, qui a une longue histoire au Niger, devient de plus en plus importante comme un produit de rente et joue un rôle important dans le système alimentaire du pays. Mais les défis et goulots d’étranglement ne manquent pas dans la filière. -
Bulletin des statistiques du commerce extérieur : données définitives 2017-2021
Dans le cadre de l’amélioration des statistiques produites, l’Institut National de la Statistique (INS) a mené, en décembre 2019, des travaux sur la base de données du commerce extérieur. L’objectif est de s’aligner davantage sur les recommandations des Nations des Unies en matière de commerce international des marchandises. Ces travaux s’inscrivent dans la ligne directrice que l’INS s’est fixée qui consiste à produire et fournir aux utilisateurs des statistiques fiables, aussi exhaustives que possible et de meilleure qualité. Ainsi, à l’issue des travaux, des corrections ont été apportées aux données. Par conséquent, les flux d’exportation et d’importation ont diminué sur l’ensemble de la période couverte par la base des données (1996 à 2019). En effet, les importations des ambassades et grandes organisations internationales ont été exclues des statistiques conformément aux recommandations du manuel des statistiques du commerce international des marchandises dans son édition 2010 (SCIM2010). -
Site Institutionnel de l'Institut National de la Statistique (INS)
Site nigérien d'information sur la statistique crée par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 portant sur l’organisation de l’activité statistique et créant l’Institut National de la Statistique (INS), modifiée et complétée par la loi N°2014-66 du 05 novembre 2014. Ce site web vous donne accès aux différentes publications du SSN, ainsi que plus de quarante (40) bases de données anonymisées à travers les Archives Nationales des Données (ANADO). Vous y trouverez également la plateforme des projections démographiques 2012-2024, les résultats des recensements de la population, les rapports d’enquêtes et certaines études approfondies, etc. -
Niger : décorticage des chiffres du riz
A la lecture de cette étude, des questions habituelles sur la cohérence de certains chiffres se posent, ce qui est normal car c’est le cas pour la plupart des filières / chaines de valeur. Mais pour la chaine de valeur riz, l’actualisation des chiffres d’importations fournies par l’Institut National des Statistiques (INS) pour les années postérieures à 2018 a apporté des interrogations. En 2018, le Nigera importé 526 000 tonnes de riz. En 2021, les importations étaient de 825 000 tonnes (INS) soit 300 000 tonnes de plus, une augmentation de 57% en trois ans. Quelle peut être la destination de ces 300 000 tonnes supplémentaires de riz importé, une augmentation de la consommation ou des réexportations ? Cette note tente de rechercher l’explication à partir de l’étude sur la chaine de valeur riz. -
Onion cultivation system and spatial distribution centers in Tahoua/Niger
Onion farming is the main irrigated crop that contributes to the economy of the Tahoua region, Niger. There are two factors that promote the outstanding potentialities of onion cultivation in Niger: the best productive variety “Violet Galmi”, and it is well adapted to storage. It is produced during both growing seasons which creates a permanent local supply of onions all year. Much of the producing areas are not accessible by road, which inhibits the marketing network. Farmers are in need of an improved transportation system in order to further develop onion production. The Violet of Galmi is grown by all the onion producers of Niger. This onion has a major importance in the socio-economic life of the Nigerien population. The consumers appreciate its cooking qualities and spicy taste. It also has a commercial advantage in the local and the sub-regional markets. -
Développement des petites exploitations d’élevage : note sur la transposition à plus grande échelle
D’après les estimations, il faudra accroître de 50 à 70% la productivité alimentaire mondiale pour nourrir neuf milliards de personnes à l’horizon 20501. L’élevage fournit environ 26% des protéines consommées par l’homme et 13% du total des calories. On estime que la demande de produits animaux devrait plus que doubler au cours des 20 prochaines années, en raison de l’urbanisation, de la croissance économique et des changements des modes de consommation dans les pays en développement2. Le secteur de l’élevage représente près d’un milliard de petits éleveurs dans les pays en développement, contribue au PIB agricole à hauteur de 40% et assure de 2% à plus de 33% du revenu des ménages3. -
Fixation du prix de vente des engrais
Cette fiche s'adresse aux gestionnaires d'une boutique d'i intrants (gérant ou gérante et membres du comité de gestion). Elle détaille le mode de calcul du prix de vente des engrais aux utilisateurs et utilisatrices de la boutique d'intrants -
Étude sur les filières agro-alimentaires au Niger : bétail - viande -oignon - niébé
Au Niger, le secteur rural demeure l'un des plus importants secteurs de l'économie, il assure l'emploie de plus de 80% de la population active et représente environ 40% du Produit Intérieur Brut (PIB). -
RAPPORT ANNUEL DES STATISTIQUES DE L’ELEVAGE
1.1. SITUATION DU PERSONNEL
1.2. INFRASTRUCTURES SANITAIRES ET MATERIEL DE FROID
1.3. SITUATION DU PARC AUTOMOBILE AU 31 Décembre 2011
1.4. SITUATION DU PARC MOTOS AU 31 Décembre 2011
ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL
2.1. ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR DEPARTEMENT
2.2. ESTIMATION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR REGION
2.3. EVOLUTION DES EFFECTIFS DU CHEPTEL PAR ANNEE DE 1970 à 2011 -
Deuxième Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS II) 2014-2018
La mise en œuvre de la première(1ère) Stratégie Nationale de Développent de la Statistique (SNDS I) du Niger est arrivée à terme en 2012. En conséquence, et sur la base des nouvelles orientations politiques de développement du pays notamment : le Plan de Développement Economique et Social (PDES) 2012-2015, l’initiative 3N : « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens », le Niger s’est engagé dans le processus d’élaboration de sa deuxième(2ème) Stratégie Nationale de Développement de la Statistique (SNDS II) pour la période 2014-2018. Cette élaboration est basée sur l’approche de la Gestion Axée sur les Résultats (GAR) et la méthode d’analyse des Forces, Faiblesses, Opportunités et Menaces. Les étapes de ce processus sont les suivantes : (i) travaux préparatoires, (ii) élaboration du diagnostic, (iii) élaboration du document provisoire et (iv) production du document final. -
Stratégie mondiale pour l'amélioration des statistiques agricoles et rurales
Les décideurs politiques et les responsables du développement chargés de développer des stratégies d’investissement pour promouvoir la croissance économique doivent faire face à de nombreux défis de mutations et de changements qui affectent l’agriculture du XXIe siècle. L’agriculture, en plus de son rôle productif de fournir des aliments, des vêtements, du carburant et des logements pour répondre aux besoins de la population mondiale sans cesse croissante, joue d’autres rôles essentiels dont l’importance est de plus en plus reconnue. En plus de son rôle clé au niveau de la sécurité alimentaire, le développement agricole est perçu comme une source vitale ayant un impact important sur la réduction de la pauvreté. Cependant, l’agriculture est également vue comme une source qui génère des problèmes environnementaux et contribue au réchauffement climatique, à la rareté de l’eau, la pollution et la dégradation de la terre. Son potentiel en tant que fournisseur de services environnementaux doit donc être défini, suivi et évalué. La majeure partie des problèmes et des développements que connaît le secteur agricole transcende les frontières nationales. -
L'amelioration de l'oignon (Allium cepa L.) au Niger
L'oignon est la culture maraîchère la plus importante au Niger. Alors que, de 1970 à 1974, la production annuelle se situait autour de 30.500 t/an pour une superficie de 1.750 ha (soit un rendement moyen de 17,5 t/ha), elle s'élève actuellement de 124.500 t pour une superficie de 4.400 ha (soit un rendement moyen de 28,3 t/ha). Une bonne partie (30 %) de cette production est exportée en frais vers les pays côtiers de la sous-région, soit 37.000 t/an environ. -
Manuel de formation statistique sur les engrais en Afrique
En juin 2006, les dirigeants Africains se sont réunis à Abuja dans le cadre du Sommet Africain sur les fertilisants avec pour objectif de souligner l'importance des engrais pour réaliser une révolution verte Africaine. -
Rapport final de la 3ème édition de la journée nationale de l’oignon : Comment assurer une stratégie de production des semences d’oignon au Niger en qualité et quantité ?
Cette rencontre a regroupé les représentants des organisations de producteurs, ceux des Chambres Régionales d’Agriculture (CRA), des Points d’information villageois (PIV), des services techniques et administratifs de l’Etat, des institutions de recherche agronomique (INRAN, ICRISAT, UAM), des opérateurs économiques et des partenaires au développement (liste en annexe). -
Synthèse de suivi des prix des aliments bétail : marché de Diffa d'avril à octobre 2023
Le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture (CRA) ont été
chargés de faire un suivi des fournisseurs d'intrants servant pour
l’alimentation des animaux dans le cadre du Programme sur la
résilience du système alimentaire (PRSA/FSRP) dans les régions de
Tillabéri, Tahoua, Zinder et Diffa.
Le suivi des intrants consiste a enregistré le prix, la quantité et la
provenance des intrants (aliment bétail) toutes les deux semaines
auprès des vendeurs d’intrants. Les aliments bétails qui font l’objet de
suivi sont :
− le son de céréales (blé, maïs, mil),
− le tourteau de coton,
- les fanes d’arachide,
- les coques de niébé -
Suivi des prix des aliments pour bétail sur les marchés dans la Région de Tahoua de mai à octobre 2023
Le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture (CRA) ont été chargés de faire un suivi des fournisseurs d'intrants servant pour l’alimentation des animaux dans le cadre du Programme sur la résilience du système alimentaire (PRSA/FSRP) et du Projet de Renforcement de l’Entreprenariat en Elevage « REEL Mahita » dans les régions de Tillabéri, Dosso, Tahoua, Zinder et Diffa. Ce suivi comprend l’identification des fournisseurs et aussi le suivi des prix et de la disponibilité en aliments pour bétail. -
Annuaire des statistiques 2009-2019
Le Système Statistique National (SSN) est régi par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 qui organise les activités de production, de traitement, d’édition, de diffusion et d’utilisation des statistiques au Niger. Elle consacre l’indépendance scientifique dans la production et la diffusion des statistiques et fait obligation au secret professionnel, à la neutralité, à l’objectivité, à l’impartialité et à l’anonymat des fournisseurs des informations primaires ou des répondants aux questionnaires. Elle impose également le principe de transparence : accès égal pour tous aux données et compréhension partagée des objectifs et des résultats attendus -
Les brèves du RECA : engrais 2024 / n°1
Cette note présente les relevés de prix des engrais effectués par les conseillers agricoles des Chambres Régionales d’Agriculture dans des communes des différentes régions du Niger au cours de la semaine 19, soit du 6 au 11 mai 2024. Ces relevés ont été effectués auprès de vendeurs d’engrais (boutiques ou marchés). -
Évolution du prix du sac de son de blé de 50 kg sur 12 mois dans la Région de Tahoua / Mai 2023 – Avril 2024
Le RECA et les Chambres Régionales d’Agriculture (CRA) ont été chargés de faire un suivi des fournisseurs d'intrants servant pour l’alimentation des animaux dans le cadre du Programme sur la résilience du système alimentaire (PRSA/FSRP) et du Projet de Renforcement de l’Entreprenariat en Elevage « REEL Mahita » dans les régions de Tillabéri, Dosso, Tahoua, Zinder et Diffa. Le suivi des prix est effectué sur 5 marchés de la Région de Tahoua. -
Annuaire des statistiques - 2020
Le Système Statistique National (SSN) est régi par la loi N°2004-011 du 30 mars 2004 qui organise les activités de production, de traitement, d’édition, de diffusion et d’utilisation des statistiques au Niger. Elle consacre l’indépendance scientifique dans la production et la diffusion des statistiques et fait obligation au secret professionnel, à la neutralité, à l’objectivité, à l’impartialité et à l’anonymat des fournisseurs des informations primaires ou des répondants aux questionnaires. Elle impose également le principe de transparence : accès égal pour tous aux données et compréhension partagée des objectifs et des résultats attendus.