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Le poivron, chaine de valeur principale de la région, un accompagnement continu de la CRA de Diffa
La Chambre Régionale d’Agriculture de Diffa a commencé à fonctionner en 2008. Depuis cette date, elle a été impliquée dans les différents programmes qui ont concerné l’appui à la filière poivron. Cette note fait le point des différentes actions mises en place depuis 2006 dans la région de Diffa qui ont concerné la production de poivron. Le poivron rouge est la culture « locomotive » de la vallée de la Komadougou (150 km de long de Tam au Lac Tchad) avec plus de 6.000 producteurs et apporte des revenus pour environ 40.000 personnes. Avant 2014, les surfaces en poivron étaient estimées à 8.000 ha pour une production de poivron sec de 8 à 10.000 tonnes et une valeur de 7 à 10 milliards de F.CFA. Le poivron rouge de Diffa est une épice. Il se consomme en poudre principalement comme condiment. Il s’agit en fait d’un poivron piquant ou d’un piment doux, un « paprika ». C’est une culture récente, introduite vers 1956 du Nigeria et qui s’est réellement développé que dans les années 90. -
Commod Africa
Cours des matières premières agricoles en Afrique de l'Ouest
Ressources sur les différentes filières -
Enquête d'évaluation de l'impact du renforcement des capacités des associations des producteurs sur la compétitivité des filières
Le Niger est un pays sahélien marqué par de fortes instabilités sur le plan climatique et par une très haute vulnérabilité du point de vue économique et alimentaire. Avec une superficie de 1 267 000 Km², il est l’un des pays les plus vastes de l’Afrique de l’ouest. Mais seulement 12% de cette superficie sont favorables à une agriculture de subsistance qui occupe pourtant 85% de sa population. -
Étude sur le financement des filières agricoles dans les pays membres de l'UEMOA
Au cours des dix dernières années les résultats économiques du Niger ont été peu satisfaisants malgré l'adoption de plusieurs programmes d'ajustement structurels. En terme réel le PIB a diminué de 0,5% par an depuis 1990. De1960 à 1973, le secteur rural a fourni l'essentiel des besoins financiers de l’État, la priorité étant accordée aux produits d'exportation : L'arachide, le coton et le bétail. -
Développement de la chaîne de valeur agricole : menace ou opportunité pour l’emploi des femmes ?
Les chaînes de valeur agricoles modernes se développent et deviennent plus perfectionnées à mesure que les pays s’industrialisent et renforcent leur position sur les marchés mondiaux. Bien que de telles chaînes de valeur fassent évoluer la structure sexospécifique de l’emploi et que des femmes mieux instruites rivalisent souvent fort bien avec les hommes pour obtenir des emplois de qualité, on note la persistance des stéréotypes liés au sexe confinant les femmes pauvres et qui n’ont pas fait d’études à des travaux faiblement rémunérés, moins qualifiés et plus précaires au sein de la chaîne de valeur. Le défi à relever est d’assurer l’égalité entre les sexes à travers la chaîne de valeur et d’éviter la répétition des modèles traditionnels de discrimination sexiste. -
Micro-entrepreneurship in Niger : Factors affecting the success of women street food vendors
Micro-entrepreneurship in the informal sector plays a vital role in generating employment and income in West Africa. In this article, the authors examine business success factors for micro-entrepreneurs involved in the production and sale of street foods in Niger, drawing on the resource-based view theory. Business success was measured by size of firm and vendor’s perception of enterprise growth. Their results indicate that business experience is an important success factor, while the need for cash is a constraint for business success. A rare resource, limited access to financial assets translates into limited opportunities for growth of these informal micro-enterprises into viable businesses.
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Etude de référence sur la filière niébé dans la région de Zinder (SNV Zinder)
Le niébé, Vigna unguiculata (L.) Walp., est une plante morphologiquement proche du haricot, et appartient comme celui-ci à la famille des légumineuses. C’est une plante annuelle à port variable buissonnant, érigé, prostré, rampant, voire volubile et à croissance déterminée ou indéterminée. Sa hauteur atteint 30 à 60 cm avec une tige pouvant être à section circulaire, grêles, parfois légèrement cannelées, glabre. Les feuilles sont trifoliolées et les inflorescences en grappes axillaires, souvent une seule paire donne des gousses. Les fleurs peuvent être de couleur blanche, jaunâtre, bleu pâle, rose, violet. Les gousses du niébé sont dressées par paire, formant un V, non déhiscentes de dimension allant de 8,5-30 cm x 0,5-1,2 cm selon les variétés. Les graines de tégument blanc, blanc-rosé, brun, rosé sont au nombre de 8 à 20 par gousse (Maisonneuve et Larose, 1989). -
Étude sur la compétitivité de l'économie nigérienne : le secteur agro-pastoral
Le secteur agropastoral, composante principale de l'économie nigérienne, représente environ 42% du PIB et emploie presque 80 % de la population active. En dépit d’énormes efforts fournis en matière de politiques de développement agricole, ce secteur peine encore à trouver un équilibre qui lui permette d’être compétitif sur les marchés national et international. Pour cause, l’Agriculture nigérienne se heurte à des graves insuffisances qui l'empêchent d'atteindre un niveau comparable à celui des plusieurs pays de la sous-région. Or, le développement de la capacité productive du secteur agropastoral constitue un élément fondamental dans la promotion de la croissance économique. Ainsi, dans ce contexte de création d’un marché commun, il s’avère impératif d’identifier les causes profondes qui sous-tendent les difficultés du secteur à fournir des produits compétitifs sur les marchés national et international. La présente étude a permis d’analyser la compétitivité du secteur agropastoral nigérien. Elle a pour objectif d’apprécier l’avantage comparatif et la compétitivité des produits agropastoraux nigériens pour fournir aux décideurs politiques des éléments d’aide à la décision surtout dans ce contexte de Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAf). Les produits qui ont été ciblés par l’étude sont : le niébé, l’arachide, le sésame, le souchet, la pomme de terre, le manioc, le moringa, l’oignon et la filière bétail/cuir/peaux. La démarche méthodologique consiste à faire une analyse des indicateurs macroéconomiques et une analyse filière (ou microéconomique). La présente étude a permis d’analyser la compétitivité du secteur agropastoral nigérien. -
Se réinventer pour survivre, l'avenir des transformatrices de poisson au Sénégal
Surexploitation des ressources, raréfaction des ressources, accès aux ressources, conflictualité des systèmes d’usages des ressources, application de la réglementation sur les ressources, émigration des jeunes pêcheurs, amplification de l’économie bleue avec les projets pétro-gaziers, autant de défis et d’enjeux pour l’avenir des systèmes halieutiques artisanaux (SHA) au Sénégal. S’alarment aux côtés des pêcheurs, les transformatrices de poissons, fidèles partenaires de ces derniers. Elles s’approvisionnent en matières premières (essentiellement pélagiques), transforment ces matières en produits dérivés et garantissent une certaine durabilité aux systèmes économiques et alimentaires locaux et nationaux. Mais le resserrement du volume des captures et la demande de plus en plus forte en poissons frais réduisent leur accès aux matières premières. -
Étude de marché et de débouchés pour les produits dont les filières seront appuyées dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet P2RS
Le présent document présente les activités agro-pastorales des communes d'Aderbissinat et Mainé Soroa. -
Approvisionnement de Niamey en fruits et légumes : Acteurs de production et commercialisation
Quelle est la place de la femme dans l’approvisionnement de fruits et légumes à Niamey ? Cette question de recherche est secondée par l’hypothèse selon laquelle l’enclavement du Niger est un obstacle pour le développement du commerce de produits frais. L’objectif principal de cette étude est de démontrer l’implication de la femme dans la filière fruits et légumes de Niamey. -
Étude sur L’état des lieux et documentation sur les importations et dons de riz, utilisation des fonds des recettes pour la promotion de la filière riz et l'application du quota du riz local sur les importations
L’étude comporte une analyse de l’environnement institutionnel et ses implications sur la filière riz en général et sur la commercialisation de la production locale en particulier. Elle comporte également une appréciation du cadre d’application des mesures non tarifaires d’appui à la filière riz, du cadre d’affectation des ressources générées par la monétisation des dons en riz. Enfin, elle propose des actions en vue de la promotion du riz local. -
Filière poivron à Diffa, un vrai pôle économique, un potentiel de croissance, mais quoi et qui appuyer ?
Le Programme d’Appui au Secteur Rural (PASR) est le troisième financement de la Coopération danoise dans les régions de Diffa et Zinder. Cette communication n’a pas pour objet de vous raconter l’histoire de ces interventions mais d’aborder les problèmes de « mémoire », de capitalisation et d’appropriation de ces interventions. La nouvelle corde se tisse sur l’ancienne dit un proverbe, encore faut-il que quelqu’un ait pris soin de garder l’ancienne corde. -
Le GAFSP permet-il de toucher les petits producteurs agricoles du Niger?
Au Niger, le GAFSP soutient le Projet de Mobilisation des Eaux pour le Renforcement de la Sécurité Alimentaire dans les Régions de Maradi, Tahoua et Zinder (PMERSA-MTZ). Ce projet a pour objectif le renforcement de la sécurité alimentaire par l’augmentation, de façon durable, de la production et de la productivité agricole à travers la mobilisation des eaux de surface et souterraine. Il cible 213 000 producteurs partenaires directs et 460 000 producteurs partenaires indirects des régions de Maradi, Tahoua et Zinder, où vivent près de 60% de la population du Niger. Les trois régions sélectionnées présentent des taux particulièrement élevés de malnutrition, de pauvreté et d’insécurité alimentaire par rapport à l’ensemble du Niger. -
Impact de la dynamique foncière dans la lutte contre l'insécurité foncière et la pauvreté des femmes de la région de Tahoua au Niger
Au Niger, la question foncière reste au centre des préoccupations de tous les acteurs du monde rural. Les sécheresses cycliques de ces dernières décennies et l’accroissement rapide de la population en sont les facteurs déterminants de dégradation des terres de culture avec comme conséquence l’insécurité foncière et alimentaire des ménages notamment dans la région de Tahoua. Malgré les efforts consentis par l’Etat et ses partenaires à travers les programmes de gestion des terroirs villageois et de régénération naturelle, les difficultés d’accès au foncier persistent particulièrement pour les ménages femmes. -
Impacts de la crise sécuritaire et de l’inondation sur la production du poivron dans la Commune Urbaine de Diffa
Cette présente étude porte sur les impacts de la crise sécuritaire et de l’inondation sur la production du poivron dans la Commune Urbaine de Diffa. Les effets de la crise sécuritaire constituent de véritables drames pour les populations en générale et les producteurs en particulier. Les dégâts et les dommages qu’elles génèrent sont considérables sur l’économie de la région. L’objectif global de l’étude est de montrer les impacts de la crise sécuritaire et de l’inondation sur la production du poivron dans la Commune Urbaine de Diffa. Les outils méthodologiques utilisés sont constitués de la recherche documentaire, de l’observation directe du terrain, de la collecte des données à travers des enquêtes quantitative et qualitative et enfin du traitement et analyse des données recueillies. Les résultats obtenus montrent que la crise sécuritaire et les récurrentes inondations ont eu des impacts négatifs sur la filière poivron dans la commune urbaine de Diffa. Tout d’abord, 45% des producteurs enquêtés ont arrêté la production du poivron à cause de l’insécurité Boko Haram et 32% ont abandonné leurs terres de production à cause des inondations répétitives. -
Analyse genre sur l'exploitation du lait : sites encadrés par le PSEAU
Le Projet PSEAU, a pour objectif de contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire de la population de Niamey et à la réduction des importations de produits alimentaires. A l’issue d’un re-profilage en 2006, le projet a recentré ses activités sur les filières laitières et maraîchères. Les activités sont concentrées au niveau d’un centre de collecte placé à Hamdallaye, à une trentaine de kilomètre de Niamey. Pour cette phase, l’objectif intermédiaire est d’accroître l’approvisionnement de la ville de Niamey en produits laitiers de haute qualité grâce à la maîtrise du circuit d’approvisionnement de lait frais de la commune de Hamdallaye et la promotion de la filière en amont et en aval. -
Guide méthodologique : création d'emploi au travers de projets à Haute Intensité de Main d'Oeuvre (HIMO)
Ce guide méthodologique a pour objet de présenter les leçons apprises par le Programme des Nations Unies pour le Développement au Niger, dans la mise en œuvre d’activités à haute intensité de main d’œuvre conçues en faveur des jeunes à risque. Il se base sur l’expérience acquise en 2012 et en 2013 durant la mise en œuvre du projet de contribution à la consolidation de la paix dans le nord du Niger, financé par l’Union européenne, le Royaume du Danemark et le PNUD. -
Prospection, Enquête et Collectes des Accessions de Poivron (Capsicum annuum L.) Cultivés dans la Région de Diffa, Niger
Au Niger, particulièrement dans la région de Diffa, le poivron est la spéculation la plus cultivée et la plus commercialisée, représentant ainsi le poumon économique de la région. Pour accroitre la production et prévenir toute érosion génétique, des connaissances sur la diversité génétique et les pratiques paysannes de la gestion du poivron sont nécessaires. C’est ainsi qu’une prospection suivie de collecte de graines a été effectuées dans toute la région de Diffa. -
Fiche 3 : Composition et structuration des OIP
Le schéma organisationnel des acteurs impliqués dans les filières agricoles présente plusieurs types d’organisations. Si pour les organisations professionnelles que constituent les groupements, associations paysannes, coopératives, organisations de producteurs (OP) etc., le problème semble ne pas se poser en ce qui concerne la compréhension de leur composition parce qu’elles regroupent des acteurs d’une même fonction (regroupement horizontal) ; ce n’est pas le cas pour les organisations interprofessionnelles (OIP) dont le type de regroupement des acteurs est vertical. Qui peut être membre d’une OIP ? Comment sont identifiés les acteurs pouvant constituer une OIP ? De façon globale, cette fiche « Composition et structuration des OIP » vise à clarifier la question de la composition et de la structuration des OIP. Spécifiquement, elle mettra l’accent sur les catégories d’acteurs rencontrées dans les OIP, la structuration des OIP ainsi que les rôles et responsabilités des organes et des membres. -
Fiche 4 : Accords au sein des OIP
Une des principales missions « revendiquées » par les acteurs au sein des OIP et généralement affichées au niveau des cadres réglementaires nationaux sur les OIP en Afrique de l’Ouest est la promotion et la gestion d’accords entre les différentes familles professionnelles. En effet, les OIP constitueraient un des « cadres privilégiés » pour le développement de l’agriculture contractuelle. Pour certains acteurs des OIP, les accords interprofessionnels constitueraient la raison d’être des OIP1. Toutefois, la plupart des OIP rencontrées dans la sous-région semblent avoir du mal à établir des accords interprofessionnels entre les familles d’acteurs, ou dans d’autres cas, à en assurer la mise en œuvre effective. Il existe toutefois des exceptions dans quelques filières, mais les exemples d’aboutissement de ces accords commerciaux sont trop peu nombreux au regard de leur importance. Cette fiche sur les « Accords au sein des OIP » abordera la question autour de plusieurs points : la définition et l’intérêt de l’établissement d’accords interprofessionnels, le rôle des OIP dans l’élaboration et le suivi de ces accords, les conditions d’amélioration de l’exercice de cette mission par l’OIP. -
Dynamique associatives et processus d'affirmation des femmes de Garbey-Kourou (Ouest du Niger) autour d'activités agricoles
Dans la Sirba, les femmes de Garbey-Kourou revendiquent d’être à l’origine d’initiatives collectives ayant conduit aux groupements de projets. Plusieurs facteurs semblent impulser ces initiatives. Il s’agit, d’abord du contexte sociopolitique et économique qui a entraîné en Afrique au cours des décennies 1980 et surtout 1990 un mouvement général de mobilisation des sociétés civiles et qui ont favorisé l’émergence des organisations collectives. Ce nouveau phénomène associatif plus présent en ville s’est répandu en milieu rural notamment à travers l’avènement du multipartisme et de la démocratisation qui a réaffirmé et a réorganisé les échanges et les liens entre les parents de la ville et ceux du village. -
Étude sur les filières et les systèmes de production de la Komadougou
Le cadre de cette mission se situe en début d’exécution du Projet d’Appui aux Producteurs de la Komadougou (PAPAK), défini comme sous projet du Projet d’Appui Danois au développement Rural dans les régions de Zinder et de Diffa (ADDR, phase II, 2003-2007), financé par la Coopération Danoise. La présente étude est essentiellement à finalité d’appui méthodologique à l’équipe du PAPAK, en conformité aux termes de référence : L’objectif principal du volet de l’étude relatif aux filières de commercialisation et d’approvisionnement est recentré sur l’appui méthodologique que la mission apportera à l’équipe projet. Il a été reformulé dans les termes suivant : Avoir créé toutes les conditions (démarche et outils) de la maîtrise par l’équipe du projet, sur la base d’une pratique de l’analyse économique et organisationnelle concertée avec les acteurs, appliquée à un nombre limité de filières. L’objectif du volet de l’étude des systèmes de production a été reformulé dans les termes suivants : Avoir défini avec l’équipe du projet une approche méthodologique centrée sur l’analyse et le conseil en gestion des exploitations. -
Évaluation de la campagne maraichère 2007/2008 : étude sur la production maraîchère sur des sites féminin dans la vallée du Dallol Bosso
L’objectif du PIP2 est « l’augmentation de la production et la rentabilité des cultures à haute valeur ajoutée par les petits producteurs grâce à l’utilisation de technologies simples à moindre coût ». Le PIP2 a engagé une enquête agricole pour l’évaluation de la campagne d’irrigation 2007-2008 concernant le niveau de mise en valeur, la production, les rendements et les revenus. La mise en œuvre de cette activité s’est basée sur le dispositif des GSC répartis dans les zones de concentration de l’irrigation. L’objectif de l’enquête est de collecter les données pour mesurer les indicateurs agroéconomiques des exploitations appuyées par le PIP2 dans la région de Dosso, afin d’apprécier leur évolution. L’appui méthodologique pour la réalisation de cette enquête a été assuré par l’INRAN. L’enquête s’est a concerné la campagne d’irrigation 2007-2008 et a couvert les différentes zones de concentration de l’irrigation de la région de Dosso. -
Capitalisation de la recherche action MMD en milieu pastoral
Le système MMD consiste en une tontine « modernisée ». Le groupe peut comprendre jusqu’à 40 femmes, qui, à travers les cotisations périodiques (hebdomadaire, bi hebdomadaire, mensuelle), parviennent à constituer des fonds considérables. Les cotisations varient entre 25Fcfa et 1.000Fcfa selon les groupements et la capacité à épargner. Certains groupements permettent à leurs membres de verser deux fois le montant fixé par le groupe et de bénéficier alors de « deux quote-parts » dans l’épargne. -
Au cœur de la marginalisation des femmes en milieu rural nigérien : l’accès à l’eau agricole
La question des droits économiques des femmes s’inscrit dans le cadre plus large des droits de la personne humaine. Aujourd’hui, un dispositif juridique solide la consacre à l’échelle internationale. Et la plupart des États l’ont inséré dans leur droit positif. Le Niger s’est inscrit dans ce mouvement. Il a ratifié les principaux outils existant en la matière. Les plus importants d’entre eux sont intégrés dans sa Constitution comme pour leur donner un caractère fondamental. Il s’agit principalement de la déclaration universelle des droits de l’homme et de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples. -
Femmes, rapports de genre et agroécologie au Niger : quelles places des femmes dans les transitions agroécologiques ?
Les rapports de genre peuvent-ils expliquer une différence sexo-spécifique de sensibilité à l’agroécologie ? Les femmes sont-elles les premières supportrices de l’agroécologie ? Dès lors, peuvent-elles être le premier levier pour les transitions agroécologiques et pour le développement durable du pays ? Éléments de réflexions et de réponses depuis le modèle de "maraîchage au féminin" où les femmes se révèlent expertes de l’intensification agroécologique. -
Activités génératrices de revenus sensibles au genre au Niger
Ce programme pilote conjoint avait pour objectif de combler les objectifs humanitaires et de développement, en répondant aux besoins alimentaires immédiats tout en améliorant durablement la sécurité alimentaire dans des régions touchées par des crises prolongées et récurrentes, avec une attention particulière portée aux femmes et aux enfants vulnérables.