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Production et vente de la nigelle à Atkaki au Niger
Cette fiche explique l'itinéraire technique sur la culture de la Nigelle. Elle explique les travaux du sol , la qualité des gousses et la facilité à la récolte. le choix des semences, la meilleure période de semis, le type et le dosage d'engrais par hectare, le respecter la fréquence des arrosages. -
Irrigation par goutte à goutte
cette fiche présente une brève description de l’innovation
"’irrigation par goutte-à-goutte "" qui est une est une innovation
exogène introduite en zone de cultures maraîchères par des projets de développement, institutions de recherche et services techniques. C’est un procédé qui consiste à utiliser des microdiffuseurs installés sur les canalisations, très proches du sol. -
Utilisation des séchoirs solaires
Le séchoir solaire utilisé pour le séchage des produits maraichers a été repéré dans les régions d’Agadez et Tahoua par PromAP en 2016.
C‘est une innovation exogène adoptée par des groupements des femmes. En raison de son coût initial. Cette fiche présente le séchoir solaire, ses foncfions et les avantages qui en découlent. -
Utilisation du pompage solaire pour l'irrigation
Cette fiche explique le pompage solaire, qui est une innovation exogène recommandée aux producteurs par des ONG, projets de développement et services techniques au Niger. Elle s’inscrit dans le cadre de l’optimisation du captage et de l’exhaure de l’eau pour la petite irrigation. Mr Sidi Bila, producteur et natif du village d’Alikinkin, commune urbaine d’Agadez, a adopté l’innovation; il explique les différentes étapes à suivre. -
Production et commercialisation du fourrage de la luzerne
La luzerne est une légumineuse pluriannuelle qui résiste à la sécheresse et lutte contre l’érosion des sols.
La présente fiche d'innovation montre les différentes étapes à suivre pour produire la luzerne. Cette culture fut initiée dans le village d’Edouk (Tahoua) par un paysan innovateur, Mr Hachimou Alka, identifié par le PromAP.
La fiche aborde:
- Le choix variétal et le respect
- Les maladies et ennemis de la luzerne.
- Pas besoin de fertilisation azotée etc.. -
Production de l'ail en irrigué
Cette fiche présente l'itinéraire technique de la production de l' ail ; elles explique les dispositions à prendre pour réussir la production de l’ail en culture irriguée
selon Mr Assoumana Moussaproducteur du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. -
Production du gombo en irrigué
Cette fiche d'innovation présente les différentes techniques de production du gombo en irrigué au niveau du village de Chacott, Région de Tahoua. Originaire de l’Ethiopie le gombo est une plante de saison sèche, très exigeante en chaleur, lumière et humidité. Produit en irrigué pour La commercialisation cette culture est une innovation endogène initiée en 2009 par des femmes du village de Guidoma, Région de Tahoua au Niger. -
Production de l'arachide en irrigué à Akoukou au Niger
L’arachide est une plante annuelle herbacée. Elle peut atteindre une hauteur de 20-60 cm. Pour la cultiver, il faut ameublir le sol et faciliter la pénétration de l’eau et des racines. Les travaux du sol influencent la maturité, la qualité des gousses et la facilité à la récolte. Un labour léger (8 à 12 cm), voire scarifiage sont suffisants sur un sol léger. -
Production du niébé à double usage
Cette fiche traite du niébé, une plante herbacée annuelle cultivée pour ses graines mais aussi pour ses feuilles. Il est surtout produit en zone sèche (soudano-sahélienne). Cette technique fait la promotion des productions à double usages qui concerne la production des semences et du fourrage de niébé pour l’alimentation humaine et animale. Elle a été réalisée par M. Salou Oudou, natif de Tadjef, commune de Balleyara, région de Tillabéri. -
Moulin à grain : fiche d'innovation
La présente fiche décrit les étapes d'une session de formation des femmes en techniques de transformation des céréales à Toumgai, Agadez. le document présente un exemple de réussite d'un groupement féminin qui a réussi grâce à l'appui du PromAP. (Recettes de 330 000 FCFA générées de la gestion du moulin à grain obtenu de PromAP. achat et installation à Batarmatas un second moulin à 120 000 FCFA issus des recettes du moulin subventionné par PromAP) -
Hangar amélioré pour la conservation de la pomme de terre
Cette fiche présente les techniques de conservation de la pomme de terre dans un hangar amélioré appelée « Mallam Tanda » . C'est une innovation endogène initiée par Mr Issoufou Hamidou à Shett Fandou, Filingué, région de Tillabéri. on construit un hangar dans un endroit bien aéré et dégagé sur 7 m de longueur, 6 m de largeur et 2 m de hauteur soit un volume de 84 m3. Il utilise des tiges de mil ceinturé de sécko et soutenu par quatre poteaux en terre avec des traverses en bois... -
Production de la tomate dans les zaї en hivernage
La culture de la tomate dans les Zaï en hivernage est une innovation endogène initiée en 2016 par Mr Tahirou Sabo, natif de village de Magou, département de Torodi.
La période propice est la saison sèche fraiche ; l'itinéraire technique décrit pas à pas les différentes étapes de cette technique. -
Irrigation par aspersion à Agadez
Cette fiche d'innovation traite de la technique d’irrigation par aspersion s’adapte à la plupart des types de sol. Elle est une bonne irrigation pour les sols sableux à taux d’infiltration assez fort. L’aspersion est une technique d’irrigation innovante exogène introduite par le GIE AÎR à Gofat Est, Agadez. L’eau est apportée aux plantes sous la forme d’une pluie artificielle. -
Production du mais en irrigué
Cette fiche explique les étapes d' une innovation sur les techniques de production du mais en irrigué par Mr Mallam Hamidou Ahamadou, du village de Kolkoli, commune de Bambaye, un producteur innovateur . Elle s’inscrit dans le cadre de la diversification des cultures irriguées. la technique présente un nombre de producteur par localité avec les différents rendements par superficie emblavée. -
Diagnostic des acteurs et des systèmes d’innovation dans la petite irrigation au Niger
le présent document analyser les dynamiques institutionnelles et organisationnelles des systèmes d’innovation de la petite irrigation au Niger pour créer un environnement propice à l’identification, la validation et la diffusion des innovations de la petite irrigation . Il aborde les systèmes d’innovations dans la PI, dont :
- les rôles des acteurs
- les institutions concernées
- les contraintes, les défis;
- la caractérisation de la « culture d’entreprise des acteurs.
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Étude diagnostique des innovations en petite irrigation dans la région de Tillabéri
Cette étude diagnostique est centrée sur les contraintes des producteurs; elle vise à apprécier la pertinence des innovations agricoles dans le domaine de la petite irrigation dans les trois zones du PromAP, selon les 3 éléments de base :
1- technologique, y compris de nouvelles variétés ou races et les pratiques de gestion des sols ou de l’eau ;
2 - organisationnel, dans le sens d’organiser et de transmettre des connaissances suivant une nouvelle méthode ;
3 - institutionnel, en matière de règles, cultures, valeurs, normes, comportements, politiques et lois. -
Système de Riziculture Intensive (SRI)
Fiche technique montrant comment pratiquer la riziculture intensive -
CTA (Centre Technique de Coopération Agricole et Rurale ACP-UE) CGSpace
La vision du CTA est de faire de l’agriculture de petite échelle une activité dynamique, moderne et durable qui crée de la valeur pour les producteurs, les entrepreneurs, les jeunes et les femmes, et qui produit une nourriture abordable, nutritive et saine pour tous. Le CTA offre de nombreuses ressources libres de droits pour la formation agricole, la vulgarisation et le conseil -
Ferme agropastorale Gorou-Bi
La ferme agropastorale Gorou-Bi commercialise divers produits biologiques tels que le moringa. -
Lutter contre la mineuse de l’épi du mil sans pesticides, c’est possible !
Tous les producteurs du Niger redoutent le ravageur du mil qui est appelé en français la chenille mineuse de l’épi, en Haoussa murzouna et en Zarma guéri-guéri. Cette chenille s’attaque au mil quand les chandelles sont sorties et que les producteurs espèrent une bonne récolte. Elle
est capable de détruire une bonne partie de la récolte ou même de la totalité.
Les années où cette chenille s’attaque au mil, elle peut être présente dans tous les champs d’un terroir et il est impossible de la traiter en utilisant des pesticides. Mais il existe un autre moyen de lutter contre la mineuse de l’épi.
Nous allons partager avec vous l’expérience de l’élevage d’un de ses plus redoutables ennemis qui se nomme Habrobracon. -
Fiche technico-économique pour le riz hors aménagement Région de Diffa
Le riz hors aménagement est cultivé sur les sols de bas-fonds argileux et riches. En irrigué, des casiers sont préparés pour le repiquage des plants de riz issus des pépinières. Le riz est en grande partie utilisé pour la consommation locale. 30% de la production régionale provient des sites hors aménagements selon l’ONAHA de Diffa. C’est l’une des productions irriguées majeures de la région après le poivron. La région compte plus de 700 ha en hors périmètre grâce aux ouvrages de contrôle des mares semi permanentes. -
Production de l’ail sous irrigation
La culture associée de l’ail en irrigué est une innovation endogène initiée en 2002 par Mr Assoumana Moussa. Il est natif du village de Dara, commune de Tamaské, département de Keita. Il est âgé de 47 ans, scolarisé jusqu’en classe de 4ème. L’innovation rentre dans le cadre de la diversification des cultures et de l’amélioration des revenus des ménages -
Stratégies et mesures d’adaptation réussies en Afrique de l’Ouest
Déjà handicapés par une pression foncière croissante et une dégradation continue des terres, les producteurs ouest-africains font face à un défi supplémentaire : adapter leurs pratiques aux changements climatiques. En Afrique de l'Ouest, ces changements devraient se traduire par une augmentation du stress hydrique, l'extension des zones arides et, au bout du compte, une baisse des rendements agricoles (GIEC, 2013). Les rendements en céréales devraient baisser de 10 à 15% d’ici 2025, alors que 20% des populations sont déjà structurellement vulnérables et que les crises alimentaires sont régulières (CILSS, 2013). La situation est difficile, mais des techniques simples et efficaces peuvent être mises en oeuvre pour adapter les pratiques agricoles. -
Manuel de production du sésame conventionnel et biologique
Le sésame est l’une des plantes oléagineuses les plus anciennes au monde, les plus connues et les plus utilisées au monde. L’Inde et la Chine sont les plus grands producteurs au monde suivi par la Birmanie, le Soudan, le Mexique, le Nigeria, le Venezuela, la Turquie, l’Ouganda et l’Ethiopie. Dans la sous-région Ouest africaine, le Burkina Faso occupe la deuxième place après le Nigeria avec une production de 25 000 tonnes pour la campagne 2006/2007. Quatre variétés de sésames sont cultivées au Burkina Faso. Ce sont : la S.42 (90 jours), la Cross nº3 (90 jours), la Yendev 55 (100 jours) et la S38-1-7 (95 jours). -
Module sur l’utilisation des bio pesticides et méthodes de lutte intégrée
Un biopesticide est un pesticide dérivé des matériaux naturels comme les bactéries, les plantes, … Kiota avec une solution d’ail et Djoga (Torodi) avec un mélange feuille de neem + piment + tabac. Les produits à base de neem se vendent aux Etats Unis (homologué en « bio ») ou en Europe. Pas d’arbres de neem dans ces pays Au Niger nous en avons. -
Gestion intégrée des principaux ravageurs et maladies de des cultures maraîchères au Niger : préparation et application des bio pesticides
L’objectif de ce module de formation est de sensibiliser les producteurs aux méfaits des pesticides sur la santé de l’homme et de l’environnement, connaitre les plantes à vertus pesticides sur les quels des travaux de recherche ont permis de voir leur efficacité, apprendre à fabriquer eux même les produits à base de ces plantes, les intégrer dans un programme de lutte intégrée sur leur parcelle. -
Fruits et légumes biologiques des régions tropicales : Information de Marché, Certification et Production pour Producteurs et Sociétés de Commerce Internationales
Ce rapport porte sur la production et principes de base de l’agriculture biologique -
Raisonner sa fertilisation en maraîchage biologique
Cette fiche technique porte sur la fertilisation en maraîchage biologique -
Manuel Technique sur le SRI en Afrique de l’Ouest
Le Système de Riziculture Intensive ou SRI est une méthode agro-écologique et intelligente face au climat qui permet aux agriculteurs de produire plus de céréales en utilisant moins de semences et d'eau, et moins d'intrants achetés. Contrairement à d'autres stratégies agricoles, le SRI ne repose pas sur des projets d'infrastructures, de nouvelles variétés ou d’engrais, d'herbicides ou de pesticides pour augmenter les rendements. Le SRI est plutôt une approche de gestion des cultures basée sur la connaissance conduisant à l'amélioration de la croissance et de la productivité des plantes. Ce résultat est obtenu en augmentant l'expression du potentiel génétique des plants de riz pour une meilleure productivité. -
CNABIO
Le site CNABio, est géré et administré par le Conseil National de l'agriculture Biologique, association pour la promotion de l'agriculture biologique au Burkina Faso. -
Burkinadoc - Mil école
L’association Mil’Ecole souhaite initier des actions de développement dans des villages du Burkina Faso en concertation avec les populations concernées (agriculteurs, enseignants, responsables locaux, etc.). Les actions de 2008 à 2013 présentées sur ce site ont été réalisées notamment par des membres de Mil’École lors de leur participation à l’association Les Puisatiers. Ce site veut montrer nos actions au Burkina Faso sous la forme de leurs cheminements : les blocages, les impasses et parfois des échecs, les réussites. Monter des projets d’aide au développement n’a rien d’un long fleuve tranquille ! -
IED
IED Afrique est une organisation indépendante, à but non lucratif, basée au Sénégal, qui capitalise une quinzaine d’années d’expérience en Afrique de l’Ouest francophone. Elle intervient sur les problématiques de développement durable et de citoyenneté en Afrique en mettant l’accent sur les innovations méthodologiques et participatives. -
Low-tech Lab
Sites de ressources pour construire différents objets, tels que des fours solaires -
Bouse de vache pour la protection et la fertilisation des végétaux
Insecticides – fongicides : des méthodes naturelles pour protéger les plantes contre les ravageurs -
Etat des lieux de la riziculture : Cas du Niger
Afin de déterminer de façon spécifique les activités et le budget du projet de chacun des pays, il est apparu nécessaire de recruter un consultant national pour faire l’état des lieux de la riziculture, dégager les insuffisances au niveau de ce secteur et les axes prioritaires.
Le présent document représente donc l’état des lieux de la riziculture au Niger et s’articule autour de 12 principaux points -
Économie familiale et innovation agricole en Afrique de l'ouest : vers de nouveaux partenariats
L’économie familiale occupe une place prépondérante dans les économies des pays de l’Afrique de l’Ouest et joue un rôle déterminant pour répondre aux besoins de cette population. L'agriculture contribue pour près de 30% du PIB , la plupart des activités agricoles sont organisées et mises en œuvre par les exploitations familiales qui sont la forme de production la plus importante au sein de l’économie familiale en milieu rural. -
Comment fabriquer une décoction d'ail pour éloigner les pucerons et lutter contre l'Oidium ?
Conseils d'un horticulteur pour fabriquer une décoction d'ail pour éloigner les pucerons et lutter naturellement contre l'oidium et le mildiou -
Goutte à goutte au Burkina Faso
Au Burkina Faso, la technique du goutte-à-goutte permet de diminuer de moitié l'eau nécessaire à l'irrigation. -
Pierre Besse : le maraîchage sous mulch
La maîtrise des adventices, une préoccupation majeure pour les maraîchers. Pierre Besse nous explique la combinaison de techniques qu’il utilise et nous fait découvrir l’intérêt du maraîchage sous mulch, sa mise en œuvre pratique ainsi que les points clés de réussite.
Pour tout savoir sur le projet et retrouver les témoignages de ces agriculteurs, et d'autres, sur leurs pratiques, rendez-vous sur osez-agroecologie.org -
Sahel Agro Formation Mali/Niger
De paysan à paysan : la formation endogène, des racines jusqu'aux feuillesTémoignages sur les innovations agricoles -
Comment réaliser un extrait de graines de neem pour lutter contre les ravageurs ?
Cette vidéo montre comment fabriquer et utiliser de l'extrait de graines de neem pour lutter naturellement contre les ravageurs -
# Dossier photographique : site de Démonstration Innovation Formation d'Indoudou (région d'Agadez)
Pour faire face à ces multiples défis qui entravent le développement de la petite irrigation, le PromAP III dans sa vision de promotion d’une agriculture productive, rentable et durable a décidé d’introduire la mise en place d’un site régional de Démonstration -Innovation -Formation (DIF) permettant de créer un cadre opérationnel d’apprentissage et d’échange d’expériences dans le processus de développement des innovations en petite irrigation.
L'objectif visé est de : Contribuer au développement des innovations/ pratiques innovantes en petite irrigation dans les trois régions d’intervention du PromAP.. -
# Dossier photographique : site de Chacot Tahoua
Monsieur SIDI Aboulkadre, est un habitant du village de Chacot commune rurale de Kalfou , Région de Tahoua . Il fait partie des producteurs qui ont été appuyés en semences, dans le cadre d'appui du PromAP aux producteurs innovateurs des bassins de production . Il est aujourd'hui un modèle de réussite. -
# Dossier photographique : Site de démonstration - innovation - formation de Konni
Pour faire face à ces multiples défis qui entravent le développement de la petite irrigation, le PromAP III dans sa vision de promotion d’une agriculture productive, rentable et durable a décidé d’introduire la mise en place d’un site régional de Démonstration -Innovation -Formation (DIF) permettant de créer un cadre opérationnel d’apprentissage et d’échange d’expériences dans le processus de développement des innovations en petite irrigation. L'objectif visé est de :
Contribuer au développement des innovations/ pratiques innovantes en petite irrigation dans les trois régions d’intervention du PromAP..
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Les grandes cultures et fourrages en agriculture biologique
« Combien ça coûte de produire un hectare de blé tendre en bio ? Et un hectare d’abricotier ? De grenache ? ». Tout conseiller ou animateur a entendu au moins une fois ce genre de question, posée à juste titre par tout agriculteur qui se renseigne sur l’agriculture biologique. Nous aurions aimé apporter au travers de ce recueil une réponse unique et définitive, mais elle n’aurait pas tenu compte de la complexité des systèmes régionaux et de leur contexte particulier. Les références technico-économiques proposés ici offrent toutefois un éclairage utile et des bases de réflexion indispensables avant et après une conversion bio. Réflexion qui peut déboucher sur d’autres questions liées à l’organisation de l’exploitation ou à l’assolement ou aux débouchés commerciaux… Ce recueil de fiches de coûts de production est le fruit de l’observation et de l’analyse de cas concrets depuis 2012. Les experts sollicités sont conseillers en Chambres d’agriculture ou référents techniques régionaux.Les données présentées ont fait l’objet d’une validation par des techniciens spécialisés et/ou des agriculteurs pour constituer un outil d’aide à la décision le plus fiable possible. -
Jardin hors-sol en sac
Cette fiche technique présente des techniques de mise en place de jardins hors-sol en sac -
Norme burkinabé en agriculture biologique
Ce guide porte sur l’élaboration des normes de l’agriculture biologique et écologique au Burkina Faso -
Réduction des doses de cuivre : Vigne, Pêcher, Pommier-Poirier, Olivier
Le cuivre est largement utilisé en viticulture et arboriculture. Avec le soufre, c’est l’un des rares éléments autorisés en agriculture biologique (AB). Il permet de lutter de façon préventive contre de nombreux pathogènes dont il inhibe la germination des spores. Cependant, du fait de son accumulation dans le sol, il peut devenir toxique pour certains organismes qui y vivent. -
Rappels Réglementaires
L’utilisation des engrais et amendements organiques en agriculture biologique repose sur le règlement communautaire (CE) n°889/2008 comprenant une liste «positive» dont le principe est que seuls les produits qui y sont listés, sont autorisés, les autres étant par défaut interdits. L’utilisation de ces produits ne doit cependant pas conduire à négliger l’entretien des principales propriétés du sol. -
Utiliser les feuilles et tiges de tomate contre la piéride du chou et la teigne
Cette note montre comment fabriquer des insecticides / répellents naturels à base de feuilles et tiges de tomate -
Traitement phytosanitaire naturel
Cette fiche présente des traitements phytosanitaires naturels -
Les cultures légumières en agriculture biologique
Ces fiches ont pour objectif d’éclairer le maraîcher débutant sur la programmation des mises en culture, puis de l’aider à réaliser les différents travaux d’entretien depuis la fertilisation jusqu’à la vente. Elles peuvent aussi aider l'‘apprenant à élaborer son projet d’installation, en apportant un complément aux connaissances de base acquise par ailleurs. -
Guide du Jardinage Ecologique : Alternatives aux Pesticides pour les Particuliers
Pesticides, on peut faire autrement ! Le présent guide propose des alternatives à l'utilisation de pesticides pour les particuliers -
Conversion à l'agriculture biologique : Défis pour le futur
On appelle conversion à l’agriculture biologique, ou parfois transition, le processus de changement entre la situation initiale d’agriculture dite conventionnelle, et la situation finale d’agriculture biologique certifiée dénommée «agriculture biologique ou écologique ou organique».
Durant cette phase l’agriculteur doit respecter la réglementation de l’agriculture biologique. Le passage à l’agriculture biologique implique un changement de gestion des ressources mais aussi un changement de raisonnement qui considère la ferme dans sa globalité. -
École paysanne en agriculture biologique : approche et expérience Tunisienne
L’école paysanne est une façon de renforcer les capacités des agriculteurs et des communautés rurales afin qu’ils prennent en main les conditions de vie de leur champ et de leur milieu social -
Produire des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique
La présente fiche porte sur la production des semences de luzerne dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences d'oignon dans un itinéraire agrobiologique
Cette présente fiche porte sur la production des semences d'oignon dans un itinéraire agrobiologique -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Ce présent document porte sur les méthodes pour lutter contre les ravageurs du chou
en maraîchage biologique -
Produire des semences de laitue dans un itinéraire agrobiologique
Ce guide porte sur la production des semences de Laitue dans un itinéraire agrobiologique -
Produire des semences fourragères en agriculture biologique : Des techniques en évolution
Ce document porte sur la production des semences fourragères en agriculture biologique -
Agriculture du carbone : Couverts végétaux, Techniques superficielles, Agriculture Biologique et Agroforesterie
Synthèse des deux journées de rencontre et d’échanges entre agriculteurs du Sud-Ouest de la France -
Produire des agrumes en agriculture biologique
Cette fiche technique propose différentes solutions techniques pour produire des agrumes en production biologique -
Accroître durablement la production végétale : la perspective des processus biologiques
Cette synthèse montre les enjeux de la mobilisation de processus biologique pour accroître les rendements -
Cultiver l’oignon de plein champ en agriculture biologique - repères technico-économiques
Cette fiche technique porte sur la culture de l’oignon de plein champ en agriculture biologique -
Produire des semences en agriculture biologique : connaître les principes techniques de base
Ce document présente les principes techniques de base pour la production de semences en agriculture biologique -
Assurer la bonne santé des volailles de chair en élevages biologiques
Ce document a été rédigé à partir des informations recueillies en 2014 lors de 18 entretiens socio-techniques d’éleveurs de volailles de chair biologiques en filières longues (8 éleveurs) et courtes (10 éleveurs), en Bretagne, Pays de la Loire et Drôme. L’objectif de ces enquêtes, sans être représentatifs des types d’élevage, était de montrer la diversité des situations et des pratiques autour de l’élevage de volailles de chair biologiques. -
Caractérisation des produits organiques
Ce présent guide est élaboré lors de la Rencontre Technique Agriculture Biologique fruits pour montrer la caractérisation des produits organiques -
Efficacité des huiles essentielles contre la tavelure: Point d'étape du projet Casdar
Ce document porte sur l'efficacité des huiles essentielles contre la tavelure du pommier. -
La conduite d'un verger en agriculture biologique principes de base
Ce présent document porte sur la conduite d'un verger en agriculture biologique principes de base -
Catalogue des engrais et amendements du sol autorisés en agriculture biologique en Tunisie
Ce catalogue liste les fertilisants autorisés en agriculture biologique en Tunisie. -
Normes techniques et pratiques locales des producteurs dans les périmètres rizicoles irrigués de Toula et de Bonféba au Niger
Au Niger, la riziculture contribue pour beaucoup dans la sécurité alimentaire des populations. Les différents investissements effectués par le pays ont permis de promouvoir la riziculture irriguée dans la vallée du fleuve avec deux récoltes de riz par an et donc d’augmenter significativement les productions. Mais, force et de constater que les normes techniques censées être en application sur les périmètres rizicoles irrigués ont subi des changements au fil des années réduisant, ainsi, les performances espérées de cette riziculture moderne. La présente étude avait pour objectif d’analyser l’évolution des normes techniques de la production du riz et les pratiques locales dans les périmètres irrigués. -
Comment lutter contre les ravageurs du chou en maraîchage biologique ?
Les larves de la mouche du chou et les chenilles de divers papillons provoquent les principaux dégâts d’insectes en
culture biologique de chou, et peuvent être responsables d’importantes pertes économiques. Cependant, une vigilance accrue et divers moyens de lutte permettent de limiter ou éviter ces dégâts. Les altises, pucerons et aleurodes peuvent également demander une attention particulière. Vous trouverez dans cette fiche quelques points de vigilance concernant les principaux ravageurs du chou. -
# Dossier photographique : Système goutte à goutte
L'irrigation au goutte-à-goutte est le système de distribution d'eau et de nutriments le plus efficace pour les cultures en croissance. Il fournit de l'eau et des nutriments directement à la zone des racines de la plante, en quantité suffisante, au bon moment, afin que chaque plante obtienne exactement ce dont elle a besoin pour se développer de manière optimale. Grâce à l'irrigation au goutte-à-goutte, vous pouvez obtenir de meilleurs rendements tout en économisant eau, engrais, énergie et même produits phytosanitaires. -
Rapport de capitalisation des résultats de la deuxième phase du projet iesaII
L’IESAII vise à améliorer la sécurité alimentaire et la résilience aux changements climatiques des populations les plus vulnérables des zones rurales via la maitrise de l’eau et le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des producteurs. Il devrait contribuer également à améliorer durablement les revenus, l’alimentation et la nutrition des groupes cibles via l’intensification, la diversification, la valorisation de la production agricole, et le renforcement des capacités des acteurs. Les activités proposées répondent au souci du Gouvernement du Niger à développer le secteur rural et à soutenir ses efforts en matière de sécurité alimentaire. Les activités s’inscrivent plus particulièrement dans la perspective de l’atteinte de l’objectif global de la stratégie de l’initiative 3N. Le Projet contribue à la réalisation des priorités et produits du document cadre de programmation de pays (CPP) de la FAO. Le projet est aligné aux cinq (5) axes de priorité de la coopération espagnole. -
Note d’analyse sur la filière riz au Niger
La production. La production rizicole au Niger est estimée à 88 000 tonnes en 2013, dont 85% provient des aménagements hydro-agricoles (AHA). La superficie cultivée en riz sur les AHA atteint en année moyenne 7500 ha, sur environ 8 500 ha aménagés et rizicultivables, avec une intensité culturale très proche de 2. Les rendements sont actuellement de 5,4 tonnes/ha en hivernage et de plus de 7 tonnes en contre saison, ce qui constitue à la fois une nette amélioration par rapport aux rendements estimés au cours de la décennie précédente et une excellente performance par comparaison aux autres pays ouest-africains. Cette amélioration serait essentiellement due aux nouvelles variétés à fort rendement récemment introduites. -
Rapport de la troisième revue des programmes et de la gestion de l'association pour le développement de la riziculture de l'Afrique de l'Ouest
Cette revue est la première du genre effectuée depuis que l'ADRAO est devenu membre à part entier du système de GCRAI en 1987, évoluant ainsi de la vielle ADRAO à l'ADRAO nouvelle version -
Le riz une culture de plus en plus pratiquée dans les vallées de la Korama
Avant dans la région de Zinder, la production rizicole était quasi inexistante mais, ces dernières années, il a été constaté dans la bande sud de la région de Zinder (départements de Mirriah, Magaria, Dungass et Kantché avec Dan Borto) de plus en plus de producteurs qui s’engagent dans la production du riz (hors AHA). Cette production n’est pas très bien connue, les données sur la production de la Direction régionale de l’Agriculture lors de l’évaluation de la campagne agricole d’hivernage 2019 estiment à 4 169 tonnes la production de riz dans la région de Zinder en 2019. Cette production ne prend pas en compte le département de Kantché avec le bassin de production de Dan Borto qui compte entre 200 et 300 producteurs (Source : entretien avec les producteurs et autorités locales / Mairie). -
Efficacité de l’huile de neem (Azadirachta indica) et de Bacillus thuringiensis (Biobit 2X) sur la dynamique de la population de Bemisia tabaci (Gennadius 1889) et Helicoverpa armigera (Hubner, 1808) dans une plantation de tomate au Niger
Dans un champ école paysans à Dogaraoua, zone de production de tomate au Niger, lors d’une séance de réunion hebdomadaire, un facilitateur et son groupe de 25 producteurs apprenants décident de mettre en place un essai GIPP (Gestion Intégrée Protection Production) de la tomate sous la supervision d’un entomologiste.
Les résultats obtenus montrent que l’huile de neem permet de contrôler Bemisia tabaci à 70% et le biobit réduit l’infestation de Helicoverpa armigera de 50% par rapport au témoin non traité. Les producteurs peuvent utiliser l’huile de neem pour contrôler la mouche blanche afin de réduire à 80% le cas d’attaque du TYLC et le biobit dans le contrôle de la noctuelle de la tomate. -
Guide de formation à l’agriculture biologique
L'agriculture biologique correspond à un système de gestion intégrée de la production, visant à favoriser la santé des écosystèmes agricoles (ou agro-écosystèmes), y compris de la biodiversité, des cycles biologiques et de l'activité biologique des sols [Commission du Codex Alimentarius, FAO et OMS, 2007]. Ce type d’agriculture met l'accent sur l'utilisation des intrants naturels (minéraux et/ou produits dérivés de plantes), dont l’utilisation est préférable à l’usage d’engrais et de pesticides de synthèse.
La réalisation de ce guide résulte de la collaboration entre la Division du Climat, de l’Énergie et des Régimes Fonciers (NRC) et l’équipe TECA (Technologies et pratiques pour les petits producteurs agricoles) de la Division de la Recherche et de la Vulgarisation (DDNR) du siège de la FAO à Rome (Italie). -
Aliments issus de l'agriculture biologique
Ce manuel a été préparé dans le but de fournir une approche concertée en ce qui concerne les exigences qui étayent la production des denrées alimentaires par des méthodes biologiques ainsi que l'étiquetage et les allégations à leurs sujet. L'agriculture biologique fait partie d'un large éventail de méthodes qui soutiennent l’environnement. Les systèmes de production biologiques reposent sur des normes spécifiques et précises dont l'objectif est de réaliser les agrosystèmes les meilleurs possible qui demeureront durables sur le plan social,écologique et économique. Des termes tels que "biologique" et "écologique" sont également employés pour tenter de définir plus clairement le système biologique. -
Cellule riz
Le présent rapport est établi moins de 3 mois après le dernier rapport semestriel de la Cellule. Chacun des 4 rapports semestriels (juillet 2000, janvier 2001, juillet 2001, résultats dans chacun des domaines d'intervention de la cellule. -
Rapport d’achèvement - Projet amélioration et mise à l’échelle du système de riziculture intensive (SRI) en Afrique de l’Ouest
Le riz est historiquement une denrée alimentaire de base en Afrique de l’Ouest. Actuellement, le taux de consommation du riz augmente plus rapidement que celui de la production. Dans le même temps, la productivité rizicole traduite en termes de rendement demeure encore faible en moyenne et la région est confrontée à d’importantes menaces liées aux changements climatiques. Il y a donc une urgence d’intensifier durablement la riziculture avec comme objectif de renverser cette tendance et que la production dépasse la consommation. Le SRI est une des pratiques permettant rapidement d’atteindre rapidement cet objectif. -
La culture du riz hors aménagement dans le département de Gaya au Niger : innovation et appropriation des techniques d’une riziculture intensive
Au Niger, les besoins annuels nationaux en riz sont estimés à 266 710 tonnes de riz blanc. La production nationale ne couvrant que le tiers de ces besoins le pays est obligé, pour combler ce déficit, d’importer chaque année entre 200 à 300 000 tonnes de riz blanc (Faivre Dupaigre et al., 2006). En dehors du riz produit dans les aménagements hydro-agricoles sous encadrement technique, les autres types de rizicultures, malgré leurs importances, ne sont pas bien connus non seulement du point de vue des quantités produites mais aussi dans leurs pratiques. Pourtant le riz produit en dehors des aménagements hydro-agricoles fournit une bonne partie de la production rizicole nationale (Salifou et al., 2006. Le présent document est une contribution à la connaissance de la pratique du riz produit hors aménagement en saison des pluies dans le département de Gaya au Niger qualifié comme étant un Pôle de développement rizicole de riz pluvial, riz pluvial et irrigué et riz irrigué. -
Appuyer les innovations paysannes - Dialogue avec les producteurs et expérimentations en milieu paysan
Dans toutes les régions du monde, seuls ou avec des appuis extérieurs, les agriculteurs innovent, testent de nouvelles pratiques, font évoluer leurs activités pour tirer un meilleur parti de leur environnement ou s’adapter à ses évolutions. Le rôle du développement agricole est de renforcer ces capacités paysannes d’innovation, d’élargir la gamme des choix possibles, de mettre à la disposition des agriculteurs des références pertinentes validées et des clés pour une meilleure maîtrise de l’environnement économique et institutionnel. Les méthodes et outils utilisés pour l’appui à l’innovation ont fortement évolué au cours des trente dernières années. Ce guide explore les innovations techniques mises en ouvre par les paysans dans leur exploitation. S’appuyant sur des exemples concrets en Asie, en Afrique et en Amérique latine, il propose une démarche et présente différents modes d’action contemporains, leurs intérêts et leurs limites. Cet ouvrage est essentiellement destiné à des opérateurs de terrain directement impliqués dans la conception et la mise en œuvre des actions de développement agricole à la base : techniciens, vulgarisateurs, chercheurs, etc. -
Manuel technique Mini-Rizerie - Référentiel du Chargé de la Transformation
Le présent document est un manuel de références à l’attention des responsables de production de mini-rizeries constituées sur le modèle ESOP (entreprises de services et organisations de producteurs). Il contient toutes les informations essentielles à la bonne réussite de l’activité et il est complété par un ensemble d’outils et de méthodes que le responsable de la transformation doit maîtriser. -
Comment développer la production du riz par le système de riziculture intensive?
Le riz constitue la troisième céréale produite au Niger et représente 2,3% de la production de céréales. Tandis que le potentiel de terres irrigable est estimé à 270 000 ha, les terres exploitables en riziculture représentent 24 000 ha. Ces terre sont surtout localisées dans la vallée du fleuve dans les régions de Tillabéri et Dosso et autours du Lac Tchad. -
Comment réussir la triple culture de riz dans le département de Gaya au Niger
Au Niger les statistiques agricoles montrent que le riz constitue, après le mil et le sorgho, la troisième céréale cultivée (République du Niger, 2013). Dans les aménagements hydro-agricoles, la superficie cultivée en riz est estimée à 14.662 ha avec une production totale de 89.951 tonnes. Dans les sites non aménagés, les superficies sont estimées à 29.000 ha et les productions y afférents à 62.030 t. -
Comment garantir durablement l'accès aux engrais, aux producteurs des périmètres irrigués?
Le mode d'exploitation du riz dans les aménagements hydro-agricoles est caractérisé par la double culture du riz et nécessite, pour les objectifs de rendements recherchés, un approvisionnement régulier d'engrais de bonne qualité. Or, aujourd'hui comme l'indique plusieurs rapports, que ce soit au niveau national ou au niveau des coopératives rizicoles, la demande d'engrais est limitée par son indisponibilité. -
La culture du riz hors aménagement dans le département de Gaya au Niger : innovation et appropriation des techniques d'une culture intensive
Au Niger, les besoins annuels nationaux en riz sont estimés à 266.710 tonnes de riz blanc. La production nationale ne couvrant que le tiers de ces besoins, le pays est obligé, pour combler ce déficit, d'importer chaque année entre 200 à 300.000 de riz blanc ( Faivre Dupaigre et al. 2006). En dehors du riz produit dans les aménagements hydro-agricoles sou encadrement technique, les autres types de rizicultures, malgré leurs importance, ne sont pas bien connus, non seulement du point de vue des qualités produites mais aussi dans leurs pratiques. -
Système de riziculture intensive, une approche pour booster la production du riz au Niger
Le SRI est une nouvelle approche d'augmentation de la productivité de la culture du riz. C'est une innovation qui change les pratiques classiques de production du riz. La méthode est souple et s'adapte à plusieurs environnements. Il suffit simplement de : i) incorporer la matière organique bien décomposée au sol, ii) repiquer des plants de ris plus jeune (12 jours) à un plant/poquet, iii) repiquer plus espacé (25 cm * 25 cm) et iv) contrôler l'alternance d'assec et d'humidification. -
Notes de terrain : Mission à Gaya - février 1997
La région de Gaya exporte du mil et du sorgho : il n'y a pas de problème d'autosuffisance alimentaire 1. Le riz cultivé n'est qu'une spéculation. Il est recherché et cultivé hors aménagements et vendu au Bénin ou au Nigeria pour acheter (ou vendre)du mil,selon le marché. Seul, le riz est rentable sur les aménagements hydroagricoles. Problème : doit-on inclure, dans le calcul de rentabilité, l'amortissement de l'investissement? Ne devrait-on pas
plutôt considérer les aménagements hydroagricoles comme une subvention gratuite à l'agriculture. Sans amortissement, le riz est très rentable et les gens se disputent pour avoir des parcelles sur les aménagements hydroagricoles. En plus des cultures de riz en fond de cuvette, on fait du manioc sur les bords de la dépression. -
Acte constitutif de l'association pour le développement de la riziculture en Afrique de l'ouest
Conscient de l'importance que présente l'amélioration de la production rizicole pour satisfaire aux besoins alimentaires des peuples des pays de l'Afrique de l'Ouest et favoriser le développement économique de ces pays tenant compte de la nécessité d'un effort commun des pays de l'Afrique de l'Ouest,mené en collaboration avec d'autres pays et avec des organisations intergouvernementales et non gouvernementales, afin d'améliorer les méthodes de planification, de production, de stockage et de commercialisation du riz sans perdre de vue l'importance des autres cultures et , li cette fin , d'encourager, de promouvoir et d'organiser la recherche aux plans régional et national. -
Étude de cas sur les innovations et la communication des agriculteurs au Niger
Le Projet de Communication pour un Transfert de Technologie en Agriculture (CTTA) est dirigé et financé en commun par les bureaux de l’Éducation, de l'Agriculture et du Développement Rural du Bureau pour la Science et la Technologie de l'Agence des Etats-Unis pour le Développement International en collaboration avec le personnel technique du bureau régional ainsi que les missions locales USAID concernées. L'Académie pour le Développement de l’Éducation a assuré les services techniques en vertu du contrat No DPE-5826-C-5054-00. -
Irrigation et intensification de la production agricole au
Sahel : perceptions paysannes sur la double riziculture et
les variétés de riz utilisées sur les aménagements hydro -
agricoles au NigerL’étude vise à cerner les perceptions paysannes sur la double riziculture et les variétés utilisées au Niger. Méthodologie et Résultats : Elle a été menée sous forme d’enquête auprès de 345 producteurs de 10 aménagements hydro-agricoles de la vallée du fleuve Niger. Malgré le caractère aléatoire de l’agriculture pluviale, le riz demeure une culture de second rang tandis que la maîtrise de l’eau à tendance à favoriser le non-respect du calendrier cultural engendrant une augmentation des coûts de production et u ne baisse des rendements. La double riziculture se caractérise par une dizaine de goulots d’étranglement (P < 0,01) dont 3 apparaissent majeures : la contrainte de main d’œuvre, l’étiage du fleuve et l’approvisionnement en engrais. Sept sources de fourniture de semences ont été identifiées tandis que près de trente contraintes sont signalées sur les variétés (P<0,001). Les plus importantes sont la faible résistance aux maladies, l’exigence des variétés en engrais et le faible niveau de rendement . -
Évaluation de la gestion de l’eau à partir de l’indice d’équitabilité et du taux de satisfaction en eau d’irrigation : cas du périmètre rizicole de Karaigorou au Niger
il s’agit, à travers cette étude, d’évaluer, à partir des indicateurs d’équité de la distribution de l’eau et du taux de satisfaction des besoins en eau d’irrigation, les performances de l’irrigation sur un périmètre irrigué afin d’identifier des possibilités d’amélioration. Méthodologie et Résultats : cette étude a été menée sur le périmètre rizicole de Karaigorou au Niger. Elle s’est basée, d’une part sur des enquêtes afin de déterminer l’équitabilité de la distribution de l’eau entre les producteurs du périmètre et, d’autre part, sur des mesures et des calculs devant permettre à déterminer les taux de satisfaction des besoins en eau des cultures. Les résultats obtenus montrent qu’il n’y a pas d’équité dans la distribution de l’eau entre les producteurs car l’indice d’équitabilité obtenu pour le périmètre est de 23% ; inférieur à 10% qui est la valeur de référence. -
Analyse de la variabilité des rendements du riz selon les variétés et les pratiques culturales : cas des périmètres irrigués de Toula, Bonféba et de Diomana au Niger
La riziculture (Oryza sativa L.) est une activité très importante au Niger pour sa contribution à l’amélioration dela sécurité alimentaire et des revenus des populations. Cependant, malgré l’existence de plusieurs potentialités(potentiel irrigable, création de plusieurs périmètres irrigués), les nigériens continuent à être dépendants du riz en provenance de l’extérieur . Parmi les difficultés que rencontre la production rizicole, la principale reste la stagnation des rendements. C’est pour comprendre les causes qui sont à la base de cette stagnation que cette étude a été menée. L ’objectif principal visé est de déterminer les facteurs induisant les écarts de rendements entre les variétés de riz selon les pratiques culturales des producteurs. -
Lutte biologique contre la MEM
General objective: to determine the level of millet resistance varieties to millet head miner damage. For this purpose, 25 varieties of millet were tested to assess their behavior to the pest. The study was in Burkina Faso, Mali and Niger. He infestation varied from 10.20 to 86.98% with an average of51.37%. -
Lutte contre la panachure jaune du riz : Identification des sources de résistance chez le riz africain, O. GLABERRIMA
Le virus de la panachure jaune du riz, Rice Yellow Mottle Virus(RYMV), est un pathogène majeur du riz, inféodé au continent Africain. La maladie entraine des pertes de production considérables allant jusqu’à la destruction totale de la rizière. La majorité des variétés cultivées de riz appartiennent à l’espèce asiatique Oryza sativa et sont sensibles au virus. Dans l’optique de mener une lutte durable contre le virus,nous avons recherché de nouvelles sources de résistance chez l’espèce africaine de riz cultivé, Oryza glaberrima domestiquée en Afrique et ayant coévolué avec le virus. Nous avons procédé au criblage pour la résistance d’une collection de 337 accessions de O. glaberrima avec deux souches de RYMV représentatives de la diversité du virus en Afrique de l’Ouest. Cette étude a permis de mettre en évidence une résistance partielle et une résistance élevée au virus chez le riz africain O.glaberrima.Au total, ce sont 29 accessions hautement résistantes, caractérisées par l’absence de symptômes et de charge virale dans les feuilles infectées, qui ont été identifiées chez le riz africain. De telles sources de résistance ouvrent ainsi les perspectives majeures pour l’amélioration du riz O. sativa sensible, néanmoins largement cultivé en Afrique. -
Manuel de commercialisation des produits biologiques
À l’heure actuelle, les changements climatiques ont de graves impacts sur les rendements agricoles de nombreux pays, souvent à faible revenu. C’est le cas du Sénégal, qui a vu sa production agricole chuter au cours des dernières années. Cette situation tend à accroître
la pauvreté et à menacer la sécurité alimentaire du pays. Dans ce contexte, il est urgent de se tourner vers de nouvelles alternatives, comme l’agriculture biologique et la commercialisation de ses produits. En effet, il est démontré qu’un mode de production
biologique permet de mitiger les effets des changements climatiques. -
La culture du riz hors aménagement dans le département de Gaya au Niger : l’appropriation des techniques d’une riziculture intensive
Cette étude est une contribution à la connaissance de la riziculture de bas fonds hors aménagement hydro-agricoles au Niger dans le département de Gaya. Méthodologie et résultats : Le travail s’est basé sur des questionnaires administrés à des producteurs de riz ainsi que sur des mesures aux champs. Il en ressort que dans le département de Gaya, le riz peut se faire en trois campagnes au cours de l’année et que certains producteurs se donnent les moyens pour le pratiquer effectivement. Dans la mise en place de la culture du riz ; de la préparation du sol jusqu’au repiquage, les producteurs tentent, plus ou moins, de respecter les normes prescrites dans les périmètres irrigués où les producteurs bénéficient d’un encadrement rapproché. Pour l’entretien des cultures, la lutte contre les adventices est manuelle mais aussi chimique avec l’utilisation d’herbicide ce qui dénote l’évolution des pratiques dans ce système de riziculture. L’alimentation en eau est pluviale mais complétée par l’eau de forage pompée grâce à des petits groupe-motopompes. -
Guide de formation sur la conduite de la riziculture
Au Niger, le riz constitue la troisième céréale après le mil et le sorgho tant au point de vue superficie que de la production. Toutefois, la production nationale qui est estimée à 70.000 tonnes de paddy, ne couvre que le tiers des besoins de consommation. Les importations (3,3 milliards de FCFA pour l’année 2002) ont tendance à augmenter d’année en année du fait notamment de la forte croissance démographique qui est de 3,1 % par an (institut de la statistique 2001). La consommation annuelle de riz par habitant est passée de 12kg en 1989 à 17,6kg en 2002. Des efforts d’intensification ont déjà été consentis par l’État qui a aménagé plusieurs milliers d’hectares pour la riziculture avec maîtrise totale de l’eau et facilité la vulgarisation des variétés améliorées (D5237, IR1529, DR54, IR8, BG90) dans les années 80. Avec le temps, ces variétés se sont avérées être peu productives et très sensibles aux facteurs biotiques et abiotiques dominants dans la région. En1997, deux autres variétés la WITA 8 et la WITA9 ont été vulgarisées. -
Évaluation des performances à l’étuvage des variétés améliorées de riz dans les pôles rizicoles de Tillabéry et Gaya au Niger
Malgré les efforts consentis par les gouvernements successifs, le développement du riz local et celui de sa commercialisation sur les marchés font face à un certain nombre de contraintes qui conduisent les acheteurs à privilégier le riz importé. Dans le but d’améliorer la situation afin d’obtenir un riz de meilleure qualité après décorticage, une étude a été menée dans les pôles de développement rizicoles de Tillabéry et Gaya. L’étude a évalué les performances de quatre (4) variétés de riz dont deux (2) largement diffusées ( Gambiaka et Saibou Tiba ) et deux (2) variétés améliorées WAB2056-2-FKR2-5-TGR1-B (FKR2 ou ARICA2 ) et FAROX5083-10-FKR3-1-1 ( FKR3 ). La méthode améliorée d’étuvage a été utilisée. Les résultats obtenus indiquent que les variétés FKR3 et Saibou Tiba ont donné des rendements en grains entiers étuvés plus satisfaisants respectivement 65,60 % et 65,04% comparés à ceux obtenus avec les variétés FKR2 (62,40% et gambiaka (61,60%). -
Principaux insectes ravageurs du riz en Afrique et méthodes de lutte non chimiques
En Afrique, les ravageurs de culture posent assez de problèmes pour la production agricole. C'est dans ce cadre que cette étude a été réalisée pour apporter des méthodes de lutte biologique aux insectes qui s'attaquent aux cultures de riz dans certains pays de l'Afrique. -
Qu'est ce que l'agriculture biologique?
En tant qu’agricultrice ou agriculteur en Afrique, vous pouvez faire face à certains défis, par exemple la perte de terres arables, une fertilité diminuée des sols, une sécheresse fréquente et une augmentation des frais de semences, d’engrais, de pesticides ou de médicaments vétérinaires. De tels défis mènent généralement à des difficultés récurrentes lorsqu’il s’agit de produire suffisamment pour nourrir la famille et la communauté. Il est donc important d’établir des méthodes agricoles à bas coûts qui respectent l’environnement et vous permettent d’affronter les problèmes urgents de sécurité alimentaire. -
Comment gérer au mieux la fertilité de mes sols?
Un sol peut être vivant ou mort. Un sol vivant nécessite en permanence suffisamment d’air, d’eau et de matière organique pour offrir aux plantes et aux organismes du sol un bon environnement de croissance. Si on lui fournit ces éléments, même un sol mort peut réussir à revivre. -
Comment augmenter la teneur en matière organique du sol ?
La matière organique du sol est essentielle, car elle permet au sol de retenir l’eau et les nutriments et fournit ces derniers aux plantes quand elles en ont besoin.
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Comment compléter les besoins en nutriments de mes cultures?
Les engrais peuvent être utiles pour répondre aux besoins en nutriments à court terme des cultures et stimuler la croissance des plantes, mais ils doivent être utilisés en dernier recours. -
Gestion de la fertilité des sols
La durabilité à long terme de l’agriculture suscite de plus en plus de préoccupations. Des terres fertiles et de l’eau en quantité suffisante sont indispensables pour maintenir l’agriculture et assurer les moyens d’existence. Toutefois, en Afrique, la productivité a diminué en raison de l’intensification de l’agriculture qui dégrade les terres. Les causes majeures de la dégradation des terres sont les pratiques agricoles non durables telles que l’agriculture sur les pentes raides sans prendre de mesures suffisantes de conservation du sol et de l’eau, la monoculture, le travail excessif du sol, l’abandon de la jachère sans réapprovisionner le sol en nutriments, la culture sur brûlis, la conversion des forêts, des bois et des brousses en zones agricoles permanentes ou leur exploitation excessive en bois de chauffe et de construction, le surpâturage des prairies et le manque de gestion de la matière organique des sols. -
Gestion de la fertilité des sols en agriculture biologique
Cette note d’orientation fournit des conseils pour utiliser le poster dans le cadre d’une formation. Elle détaille les différents éléments du poster, offre des informations pour leur présentation et des suggestions pour leur mise en œuvre didactique. Pour plus d’informations, voir les ressources proposées à la fin de la note. -
Comment faire du compost de qualité?
Cette note d’orientation fournit des conseils pour utiliser le poster dans le cadre d’une formation. Elle détaille les différents éléments du poster, offre des informations pour leur présentation et des suggestions pour leur mise en œuvre didactique. Pour plus d’informations, voir les ressources proposées à la fin de la note. -
Planifier une bonne rotation des légumes
Cette note d’orientation fournit des conseils pour utiliser le poster dans le cadre d’une formation. Elle détaille les différents éléments du poster, offre des informations pour leur présentation et des suggestions pour leur mise en œuvre didactique. Pour plus d’informations, voir les ressources proposées à la fin de la note. -
Pourquoi la matière organique est-elle si importante?
Les pratique agricoles sont diverses et variées. L'agriculture biologique en est une illustration pratiquée par beaucoup de producteurs. Cette technique comporte assez d'avantage pour les producteurs agricoles afin de leurs permettre d'avoir un rendement agricole plus sain et moins coûteux. -
Comment gérer les ravageurs et les maladies de façon naturelle?
Il est important de savoir quels agents pathogènes causent des dégâts dans les champs. L’identification de l’agent pathogène constitue la première étape d’une gestion efficace des ravageurs et des maladies. -
Comment gérer les mauvaises herbes?
Les mauvaises herbes peuvent jouer un rôle crucial dans l’écosystème de la ferme. Mieux vous connaissez leurs caractéristiques, plus elles peuvent contribuer à la réussite de l’exploitation sans devenir nuisibles.
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Comment gérer les ravageurs des stocks de grains?
Une partie considérable des grains est perdue après la récolte en raison d’une mauvaise gestion et de mauvaises pratiques de stockage, qui exposent les grains stockés aux insectes nuisibles et aux maladies. -
Gestion des adventices dans les champs bio
Les adventices sont des mauvaises herbes qui empêchent les cultures de se développer. Cette affiche propose des pratiques simple pour les éliminer et les réutiliser à des fins de composte. -
Influences environnementales sur la santé des plantes
L'agriculture et l'environnement ne font qu'un. Cependant, toutes les terres ne sont pas bonnes pour développer une activité culturale. Il est important de choisir un endroit naturel et sain pour permettre aux planter de mieux pousser. -
Élevage
L’élevage animal bio implique que les animaux soient détenus de manière naturelle et favorisant leur bien-être de même que leur santé. Cela ne signifie pas que les animaux doivent être détenus dans un environnement entièrement naturel, mais qu’il faut leur offrir la possibilité d’exprimer des comportements et un mode de vie naturels. Chaque espèce animale possède des organes spécialisés qui leur donnent des capacités fonctionnelles et des caractéristiques spécifiques ainsi qu’un mode de vie particulier. Ces différences sont intrinsèques, immuables, et il convient de les respecter. -
Comment gérer ma ferme biologique?
La gestion d’une exploitation biologique poursuit le même objectif sous-jacent que toute autre entreprise : elle vise à améliorer les bénéfices de l’agricultrice ou de l’agriculteur et à l’aider à surmonter les principales difficultés. -
Gestion d'une ferme biologique
La gestion d’une ferme biologique poursuit le même objectif sous-jacent que toute autre entreprise : elle vise à augmenter les bénéfices pour l’agriculteur/ agricultrice ou le groupe d’agriculteurs. Cela se fait généralement en suivant deux approches. Premièrement, les agricultrices et agriculteurs biologiques se concentrent sur la réduction des dépenses en optimisant l’utilisation des ressources propres de la ferme. -
Défis typiques de la gestion d’une ferme
La ferme biologique renferme beaucoup pour les paysans. Dans un premier temps, elle leurs procure des revenus financières et permet aussi d'accroitre la valeur des produits agricoles. -
Comment procéder pour vendre des produits biologiques?
Le marketing a pour but d’augmenter les ventes et les revenus d’une
entreprise agricole tout en créant de la valeur pour vos produits. -
Comment prouver que ma production est biologique?
La certification biologique est un outil de marketing. Elle garantit
que tous les membres de la chaîne d’approvisionnement adhèrent aux réglementations bio. Elle instaure la confiance chez le consommateur et protège des fraudes. -
Marketing et marchés
Le marketing est un outil de gestion de toute entreprise visant à augmenter les ventes et les revenus. Le marketing commence par choisir quoi produire en fonction des besoins du marché. Le marché, dans ce contexte, se réfère aux personnes ou aux organisations qui demandent que les produits leur soit fournis pour consommation, revente ou transformation. La connaissance du ou des marchés cibles est un facteur extrêmement important, déterminant pour le succès d’une opération de marketing. -
Autarcie versus agriculture de marché
Le marketing est un moyen pour les agriculteurs de donner de la valeur à leurs produits unique, rendre accessible les produits aux clients et comprendre les opportunités et exigences du marché. -
Effet de la fertilisation azotée et phosphorée sur le développement de la Panachure jaune en riziculture aquatique en Côte d’Ivoire
La crise mondiale du riz survenue en 2008 a montré l’impérative nécessité pour les pays tributaires des importations comme la Côte d’Ivoire, d’assurer leur autosuffisance. La fertilisation minérale figure parmi les cinq axes stratégiques définis pour l’accroissement de la production rizicole en Côte d’Ivoire. Sachant l’effet stimulateur de l’engrais azoté sur le développement de certaines maladies telle que la Pyriculariose du riz, un essai a été conduit dans le but de savoir l’influence d’une application optimale de l’azote sur l’épidémie de la Panachure jaune du riz ou Rice Yellow Mottle Virus (RYMV). L’étude a été réalisée selon un dispositif expérimental en SPLIT-PLOT comportant quatre niveaux d’azote (0 kg N Ha-1, 30 kg N Ha-1, 60 kg N Ha-1, 120 kg N Ha-1), trois niveaux de phosphore (0 kg P Ha-1, 13 kg P Ha-1, 26 kg N Ha-1) et 10 génotypes de riz irrigué. Les résultats ont montré que le phosphore et l’interaction NxP n’ont aucun effet significatif sur l’épidémie de RYMV. A l’opposé, les analyses ont mis en évidence un effet significatif de l’azote sur l’incidence de la Panachure jaune à des doses comprises entre 0 et 30 Kg N Ha-1. -
Présentation des lauréats du concours du SAHEL 2022
Dans le cadre de l'organisation de la septième édition du Salon de l’Agriculture, de l’Hydraulique, de l’Environnement et de l’Elevage (SAHEL-Niger 2022), du 25 février au 02 mars 2022 au Palais du 29 Juillet à Niamey, un jury a été mis en place par arrêté N°0059/MAG/SG/DACPOR du 15 février 2022 portant création, composition, attributions et fonctionnement du Jury chargé de l’organisation des concours dudit Salon. Le Jury est composé de 24 membres et 3 personnes ressources. -
La fertilisation organique des cultures : les bases
L’agriculture biologique se développe depuis plus de 30 ans au Québec. Guidée au départ par des principes relativement théoriques et venus des expériences américaines et européennes de l’agriculture biologique, les pratiques de fertilisation des cultures ont évolué en fonction des réalités du terrain et des résultats obtenus à travers les années par les producteurs d’ici. Grâce aux travaux et expérimentations menés pendant ces 30 ans par les producteurs et productrices, le plus souvent avec très peu de moyens, un certain nombre d’ajustements ont été effectués afin d’améliorer les pratiques de fertilisation en régie biologique. -
Expérimentation conjointe d’une innovation paysanne en fumage de poissons au Niger
Dans les pays du Sahel, les systèmes nationaux de recherches agricoles, malgré leur ouverture aux approches participatives, restent encore, pour la plupart, caractérisés par l’approche « transfert de technologies » où seuls les chercheurs développent les technologies véhiculées passivement par les conseillers agricoles vers les paysans. Cette approche ne stimule pas la créativité des paysans et n’encourage pas non plus leurs initiatives en matière de développement de technologies. -
Innovation rurale : contribution de la pomme de terre à la sécurité alimentaire dans la Commune rurale de l’Imanan
La presse présente généralement les sociétés rurales africaines, en particulier celles de l’Afrique subsaharienne comme étant essentiellement constituées de populations pauvres et vulnérables. Cette approche est largement erronée car, à l’exception des zones de guerres, ces populations subviennent la plupart du temps à leurs besoins essentiels grâce à l’exploitation ingénieuse des ressources disponibles. Elles font preuve de créativité et d’initiatives pour assurer la survie de l’unité familiale, en mettant en œuvre des savoir-faire locaux et de nouvelles pratiques pour s’adapter à la variabilité et la singularité des situations rencontrées. Elles s’adaptent quotidiennement à des milieux changeants. -
Dossier technique pour l'homologation de trois variétés ''NERICA'' au Niger
Le riz est une importante culture vivrière de l'Afrique au Sud du Sahara. Pourtant, la production locale reste insuffisante, les deux espèces cultivées - le riz asiatique (orysa sativa) et le riz africain (orysa glaberrima) - ayant des défauts qui limitent leurs rendement. -
Évaluation des techniques appliquées sur les périmètres rizicoles : volume I
Ce rapport fait suite à un ouvrage précédent ''Essais enquête sur les rendements - Saisons Sèche et Hivernage 1982''. Le présent rapport ne concerne que la saison sèche 1983 et uniquement les aménagements du fleuve. Deux méthodes de travail ont été comparé; le calcul des rendements d'une part et à partir de l'interview des paysans. -
Manuel de formation participative sur la production de mangue biologique à travers les vergers-écoles au Burkina Faso
Ce manuel est un outil destiné aux techniciens ou producteurs facilitateurs chargés de la formation de producteurs à travers les vergers écoles, mais aussi à toute personne désireuse d’acquérir les techniques de base de la production de mangue de façon générale et de celles de la production de mangue biologique de façon particulière. Cet outil a été préparé dans le cadre du projet « d’accroissement des revenus et de la sécurité alimentaire de petits producteurs d’Afrique de l’ouest à travers les exportations de produits tropicaux certifiés commerce équitable » (GCP/404/GER). Ce projet dont la tutelle technique est assurée par le Ministère en charge du commerce, est exécuté par la FAO. -
Projet d'amélioration de la production du riz en Afrique de l'Ouest en réponse à la flambée des prix des denrées alimentaires (GCP/RAF/453/SPA) / Composante Niger : rapport de capitalisation des résultats
Dans le but de contribuer à la lutte contre la flambée des prix des denrées de première nécessité dans les pays de l’Afrique de l’Ouest, le Royaume d’Espagne, à travers la FAO, a accepté de financer pendant trois (3) années (2010-2012), un projet régional pour contribuer à accroître de façon durable la production rizicole nationale dans cinq (5) pays de la région dont le Sénégal, le Mali, le Niger, la Mauritanie et la Cote d’Ivoire, qui font partie des plus touchés par cette crise. -
Les déterminants socioéconomiques de l’adoption des technologies améliorées de production du niébé diffusées par les champs écoles paysans dans les régions de Maradi et Zinder au Niger
Le niébé est une denrée de base en Afrique subsaharienne. Le projet champ école paysan en a introduit des nouvelles technologies améliorées afin d’accroître son rendement dans les régions de Maradi et Zinder. Cette étude qui a concerné un échantillon de 300 producteurs a pour dessein d’identifier les contraintes entomologiques de la culture du niébé et de déterminer les facteurs affectant l’adoption des technologies agricoles. Le modèle de régression LOGIT a été utilisé comme outils d’analyse et les principaux résultats suivants ont été obtenus : 1) la punaise brune (Clavigralla tomensicollis Stall) et le puceron (Aphis craccivora Koch) sont les principaux insectes ravageurs de la culture pour 53 à 61% des répondants ; 2) les taux moyens d’adoption par technologie sont de 74,9% pour les variétés améliorées, 57,2% pour les pesticides chimiques, 20% pour la combinaison fumure organique/NPK ; 21.7% pour l’engrais NPK seul, 7,4% pour les biopesticides à base de graines de Neem et 5,7% pour le respect de la densité de semis. Ces ratios sont 2 à 16 fois plus élevés chez les producteurs formés par rapport aux non formés ; 3) les variables « formations par les champs écoles paysans » et « l’accès au crédit » ont influencé positivement l’adoption des variétés améliorées, des biopesticides et des fertilisants ; 4) le genre a été positivement déterminant dans le respect de la densité de semis et l’utilisation des fertilisants ; 5) l’âge des répondants a eu une influence significative dans le respect des écartements entre les poquets. -
Guide des pratiques agroécologiques : département de Mbour, Sénégal
Ce guide capitalise un ensemble de pratiques agroécologiques mobilisées au Sénégal -
Discussion n°11 « Les systèmes participatifs de garantie en Afrique de l'Ouest » -Synthèse
Les systèmes de garantie participatifs (SPG) sont des systèmes alternatifs de garantie qualité, impliquant des pairs producteurs ainsi que des consommateurs1. En l’absence de label national ou régional dédié à l’agriculture biologique et face à l’inadéquation des certifications étrangères, notamment européennes, la mise en place d’un SPG territorial apparaît comme efficace et peu coûteuse. Les expériences menées concernent majoritairement les fruits et légumes, mais elles ont été élargies à d’autres denrées : riz, jus de fruits ou purée de tomate (Afdi / Hortitechs). Le label burkinabé BioSPG pourrait aussi s’étendre à l’élevage en tenant compte du bien-être animal. -
Vers un conseil agricole qui répond aux besoins des exploitants familiaux
Les grands barrages en Afrique de l’Ouest n’atteignent pas les objectifs qui leur ont été fixés pour réduire les importations de riz dans la région, qui sont d’environ 1 milliard de dollars US par an. Bon nombre d’exploitants familiaux qui cultivent les terres irriguées par les grands barrages peinent à joindre les deux bouts. Le conseil agricole (CA) est censé appuyer ces agriculteurs, pas simplement en leur fournissant un conseil technique, mais en les connectant aussi à d’autres prestataires de services tout au long de la filière. De grands écarts existent toutefois entre les services fournis et ceux dont les exploitants familiaux ont réellement besoin. -
L’agriculture biologique en Afrique : un levier d’innovations pour le développement agricole
En Afrique, l’agriculture biologique est peu recensée dans les statistiques officielles, alors qu’elle est de plus en plus présente sur les marchés locaux et d’exportation. La demande des consommateurs africains s’accélère, offrant un débouché économique dynamique. Aujourd’hui, les apports de l’agriculture biologique au processus de transition agroécologique amorcé sur ce continent sont indéniables. Elle diminue les impacts négatifs de l’agriculture sur l’environnement et sur la santé, notamment parce qu’elle n’utilise pas d’intrants chimiques de synthèse. -
Profil pays Niger sur l'enrichissement des aliments
Ce document donne un aperçu de l’enrichissement des aliments au Niger. Il fait partie d’une série de documents similaires sur l’enrichissement des aliments préparés pour un certain nombre de pays par le « Food Fortification Advisory Services », 2FAS. Ces profils couvrent un large éventail d’approches d’enrichissement des aliments incluant la bio fortification l’enrichissement à domicile, ainsi que des véhicules potentiels pour l’enrichissement. -
Gestion sociale et diagnostic des infrastructures de distribution de l'eau sur le périmètre rizicole de Saga
Ce document, présente la situation actuelle de l’état des infrastructures hydrauliques et la gestion de l’eau sur le périmètre irrigué de Saga. L’étude a été basée sur des données collectées sur le terrain, et sur quelques rapports techniques faits sur ce périmètre. Cette étude révèle un périmètre confronté à un problème d’ensablement du chenal d’amenée, au vieillissement des pompes composant la station principale de pompage et de la station ainsi que celles de la station de drainage, des ouvrages hydrauliques peu entretenus et une gestion sociale de l’eau qui ne répond pas au respect du tour d’eau dans certains Groupements Mutuels de Production (GMP). -
Évaluation pluri-critères de l’agriculture biologique en Afrique subsaharienne par élicitation probabiliste des connaissances d’experts
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d’agriculture potentiellement qualifiables de « biologiques ». Pourtant, la capacité de l’agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L’élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d’experts sur une ou plusieurs quantités d’intérêt, et de décrire les niveaux d’incertitude associés. L’objectif de cette étude est de montrer comment cette approche permet de pallier le manque de données expérimentales quantitatives sur l’agriculture biologique en Afrique. L’élicitation probabiliste a été appliquée au Sénégal, au Burkina Faso et au Cameroun, en mobilisant 17 experts pour comparer les performances des agricultures biologique et conventionnelle sur la sécurité alimentaire locale en Afrique subsaharienne, en considérant plusieurs indicateurs quantitatifs. Les résultats montrent que les rendements des systèmes biologiques sont inférieurs d’environ 41 % à ceux des systèmes conventionnels, tandis que les prix des produits issus de l’agriculture biologique sont supérieurs de 34 % à ceux des produits issus de l’agriculture conventionnelle. -
De nouvelles attaques sur le riz dans les périmètres irrigués le long du fleuve Niger : des vers de terre incriminés
Si pour la majorité des agronomes les vers de terre sont des animaux bénéfiques pour les sols et les plantes, il existe plusieurs espèces de vers de terre qui sont impliquées dans de attaques du riz dans certaines régions du monde comme l’Australie, l’Inde, les Philippines et l’Afrique du Sud. L’espèce la plus impliquée dans ce genre d’attaques appartient au genre Eukerria. Mais il semble que ces vers sont incapables de se nourrir directement sur les plants de riz, car elles n’ont pas de pièces buccales masticatrices. -
Zéro pesticide : un nouveau paradigme de recherche pour une agriculture durable
Le Programme Prioritaire de Recherche (PPR) « Cultiver et Protéger Autrement » se situe dans une perspective originale, en posant le scénario extrême d’une agriculture « sans pesticides », non prescriptif, mais qui oblige à explorer de nouvelles voies de recherche. Scénario non prescriptif, car le PPR ne donne pas, a priori, le chemin à suivre aux agriculteurs, chemin qui devrait être mis en débat avec les agriculteurs et la société au regard des connaissances disponibles aujourd’hui. L’objectif est d’entreprendre des recherches dans ce cadre « sans pesticides » afin d’explorer de nouveaux fronts de science et de développer des connaissances et des solutions disponibles à la fois pour une réduction significative de l’usage des pesticides à court terme et pour des innovations futures. À plus long terme, et grâce à ces innovations, l’objectif est bien de développer une agriculture sans pesticides, pour toutes les productions et sur tous les territoires. Se fixer un tel cap permet ainsi à la fois d’ouvrir des fronts nouveaux de recherche et de produire dès aujourd’hui des connaissances pour construire demain l’ensemble des solutions permettant de répondre à la demande sociétale d’une agriculture sans pesticides.