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Système National de Conseil Agricole
Le présent document, a pour but de : 1 -- Fédérer les dispositifs disparates de Conseil Agricole sous le pilotage de l’état, 2 -- Renforcer les nouveaux acteurs du Conseil Agricole, 3 -- Fournir des orientations pertinentes pour que le Conseil soit complet et réponde à l’ensemble des besoins des acteurs des chaînes de valeur dans toute leur diversité et, 4 -- Régionaliser et adapter les interventions aux spécificité locales. Ce modèle nigérien est différent des autres de la sous région -
Concepts and practices in agricultural extension in developing countries: A source book
This source book, a joint effort of ILRI and IFPRI/ISNAR, compiles available and recent literature on developments in the agricultural extension approaches and practice, mainly focusing on developing countries. This will help both practitioners and students of extension to access knowledge regarding various changes in various parts of the world and help learning from these experiences. -
Le conseil aux irrigants en Afrique de l'Ouest
Ce document constitue une base de travail pour les ateliers de lancement du projet APPIA. Il est établi à partir d’entretiens et de documents recueillis dans les 5 pays de la zone d’étude (Burkina Faso, Niger, Mali, Mauritanie, Sénégal).
Il se propose :
-- D’établir une typologie des systèmes existants d’appui conseil aux irrigants,
-- De décrire l’évolution des besoins en appui conseil des irrigants depuis 30 ans,
-- D’envisager, sur la base des expériences acquises, les perspectives du conseil aux irrigants. -
Techniques de coaching
Ce document est destiné aux prestataires de services en charge du renforcement des capacités des producteurs et de leur organisation dans le domaine de la PI . Il donne aux formateurs des références théoriques et pratiques pour mettre en oeuvre des actions de formations destinées aux producteurs et leurs organisations. Ce manuel est complété par un support pédagogique et un cahier de formateur. -
Guide et recommandations pour la réalisation d'un bon diaporama Powerpoint
Cette présentation borde les techniques de réalisation et de présentation d'un bon diaporama. -
Aménagement et préparation du terrain en maraîchage. Pratiques paysannes au Niger
Cette note présente les explications du choix des planches de 10 m2 et fait un tour des pratiques paysannes que l’on rencontre au Niger. Ces pratiques peuvent s’expliquer, dans la majorité des cas, par les contraintes que rencontrent les producteurs et productrices et donc des choix raisonnés pour s’adapter. -
RECA-Niger
Site institutionnel du Réseau National des Chambres d'Agriculture du Niger (RECA) -
CSAN Niger
CSAN Niger rassemble un pool pluridisciplinaire d’experts travaillant dans divers domaines, notamment l’agroécologie, les chaines de valeur agricoles, la gestion durable des sols et de l’eau, la protection des cultures et le numérique.
Grace à notre base de données d’experts et de consultants, nous vous mettons en relation avec des personnes qualifiées, selon le profil et/ou le domaine d’activité -
Analyse des impacts des investissements dans la gestion des ressources naturelles sur le secteur élevage dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry au Niger
L’étude est conduite au Niger par une équipe pluridisciplinaire composée d’experts nigériens sous la coordination scientifique du Centre Régional d’Enseignement Spécialisé en Agriculture (CRESA) de l’Université Abdou Moumouni de Niamey. Le fondement méthodologique le plus important de l’étude est de comparer la situation avec et sans intervention. A partir d’une comparaison de la situation avec et sans investissement, il faut, si possible, connaître la situation avant (baseline data) et après intervention. Il est important de calculer les impacts sur les sites où les investissements ont eu lieu, mais il faut aussi capturer les impacts hors site (on-site and off-site). Afin de pouvoir calculer les impacts économiques des investissements par des projets de gestion des ressources naturelles (GRN), il est important d’avoir une idée des effets cumulatifs.
Plusieurs thématiques de recherche ont été identifiées dont entre autres celle relative aux ressources pastorales.
La finalité de cette étude est de contribuer à la quantification des impacts des investissements dans la GRN dans les sites retenus afin d’aboutir à une évaluation économique. -
Le mouton Koundoum au Niger
Le mouton Koundoum représente le principal mouton à laine du Niger. Il est élevé sur les bords du fleuve Niger et dans les îles qui jalonnent le fleuve, depuis la frontière du Mali jusqu’à Kollo. C’est un mouton de petite taille (60 cm de hauteur et 30 kg de poids pour le mâle). La couleur noire est la plus fréquente. La viande est réputée de qualité car ce mouton produit une viande « maigre » c’est-à-dire sans graisse et très tendre. -
Conseiller en maraîchage / visite du site de Tabalak (Région de Tahoua)
Du 12 au 16 avril 2016, une équipe composée de deux chercheurs de l’INRAN et d’un ingénieur du RECA a effectué une mission de suivi pour la surveillance de la mineuse de la tomate (Tuta absoluta) à Tabalak, Tahoua ville, Konni et Doguéraoua dans la région de Tahoua, et Gaya dans la région de Dosso (activité menée sur financement du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest / PPAAO).
La mission a rédigé le compte rendu des visites des sites maraîchers en trois parties : (1) une note spécifique présentant les observations réalisées sur la présence de Tuta absoluta, objet principal de cette mission, (2) une note « conseiller en maraîchage » pour les sites d’Agagar et Tabalak et (3) une note « conseiller en maraîchage » pour le site de Tadis / Tahoua et Doguéraoua). Les notes de la série « conseiller en maraîchage » présentent les observations réalisées sur le terrain et les entretiens avec les acteurs rencontrés, ainsi que des analyses et commentaires de l’équipe réalisant le suivi. -
Conseiller en maraîchage / des cas pratiques (3) Gérer les résidus de culture
Au Niger de nombreux maraîchers abusent des pesticides pour faire face aux multiples attaques des ravageurs. Cependant, tout le monde est unanime, il faut utiliser moins de pesticides pour la protection des cultures et faire recours à la « lutte intégrée ». Mais comment faire ? -
Savoirs locaux et gestion des écosystèmes sahéliens
La notion de savoir local s’est imposée dans la recherche scientifique et l’aménagement du territoire depuis plus de deux décennies, à la suite de la sonnette d’alarme tirée par de nombreux auteurs (Blanc-Pamard, 1986 ; Roose, 1988 ; Bouzou, 1988 ; Luxereau, 1994 ; Fairhead et Leach, 1994 ; Luxereau et Roussel, 1997 ; Garba et al., 1997 ; Jouve, 1997…) pour un changement de cap, suite aux échecs relatifs des projets de développement en Afrique afin d’asseoir les bases d’un véritable développement durable. Il était reproché aux projets de développement et à leurs concepteurs leur approche techniciste et l’absence de participation des populations et de partenariat. -
Référentiels des métiers connexes - compétences dans les corps de métiers connexes à la petite irrigation
Le présent document s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du PSRCA-PI. Conformément aux orientations de la SPIN, le PromAP a appuyé le Ministère de l’Agriculture à développer une démarche stratégique de la formation des prestataires de service étatiques et privés sur la base des analyses de besoins des acteurs dans le cadre de la petite irrigation à tous les niveaux. -
Conservation farming
La formation aux techniques de Conservation Farming s’adresse aux producteurs adultes qui ont acquis un savoir et un savoir-faire agricole traditionnel. Ces producteurs ne viennent pas à la formation avec zéro connaissance. Il sera alors utile d’être très modeste et de parler de la technique sans trop entrer dans les détails technico-techniques qui, souvent, sont bien maîtrisés par les producteurs. La formation sur le Conservation Farming se veut très pratique et non théorique. C’est pourquoi elle sera autant que possible séquentielle, principalement pour des auditeurs producteurs amenés à mettre en œuvre le CF : c’est-à-dire découpée en petits modules de quelques heures répartis sur la saison (des modules peuvent être regroupés et dispensés à la suite). Le présent guide se veut un outil de formation des producteurs : il propose de façon simple ces modules pour leur déroulement auprès des producteurs. -
L’insémination artificielle et la gestion de troupeaux de sélection
Ce petit manuel de formation à l’insémination artificielle (I.A.) a été préparé dans le but de donner les connaissances essentielles pour les personnes débutant dans ce domaine. On donnera d’abord des rappels d’anatomie et de physiologie de l’appareil reproducteur, ensuite on décrira comment collecter et conserver la semence et enfin comment inséminer artificiellement les femelles. Par ailleurs, on voudrait également atteindre un autre objectif : la sensibilisation des personnes travaillant dans ce domaine et dans celui de l’élevage au sujet des avantages de l’I.A., en vue de favoriser l’amélioration du cheptel animal en milieu tropical et subtropical. L’amélioration du rendement et de l’efficience reproductrice sont certainement les deux objectifs principaux de l’insémination artificielle. -
Prévision climatique saisonnière pour une meilleure planification de la campagne agro-pastorale
Situé dans la zone sahélo-saharienne de l’Afrique de l’Ouest, Le Niger a une économie largement tributaire de l’agriculture et de l’élevage qui malheureusement dépendent essentiellement de la pluviométrie qui connait une forte variabilité spatio-temporelle. Cette variabilité déjà préoccupante est exacerbée par le changement de son climat dû au réchauffement climatique quasi-constant de ces dernières décennies engendrant l’occurrence de plus en plus fréquente des phénomènes hydro- climatiques extrêmes. La prise en compte de l’information climatique dans les décisions de production est fondamentale dans ce contexte de variabilité et de changement climatique. De ce fait, le partage des prévisions climatiques saisonnières avec les producteurs revêt un caractère prioritaire pour l’adaptation des communautés aux effets néfastes du climat et le renforcement de leur résilience. CARE Niger et AREN sont les deux partenaires du consortium qui mettent en œuvre cette composante avec l’appui de la DMN et du CRA. Ils ont conçu ce pagivolte pour faciliter l’accès et la compréhension des informations climatiques pertinentes relatives aux prévisions de la qualité des saisons des pluies et des paramètres agro-météorologiques permettant de cerner le profil de la saison pour une meilleure prise de décision dans la planification des activités de la saison des pluies pour les agriculteurs et les éleveurs. -
Résultats du conseil de gestion à l’exploitation agricole pour la culture de l’oignon / campagne 2015 -2016
L’oignon est une des principales cultures irriguées de la région de Maradi avec la tomate, la pastèque et le moringa. Il est produit sur la majorité des sites d’irrigation de la région. Les données du Ministère de l’Agriculture pour la campagne 2011-2012 annoncent 780 ha pour une production de 24.150 tonnes d’oignon, soit un rendement de 30 tonnes par ha. Cela mettrait la région de Maradi en 5ème position pour la production d’oignon, juste devant Diffa, Niamey et Agadez (surprenant dernier). Celles pour la campagne de 2012-2013 annoncent 954 ha pour une production de 26.700 tonnes soit un rendement de 28 tonnes par ha. Le classement est identique. -
Les champs écoles des producteurs pour les petits éleveurs
Le secteur de l’élevage représente environ un tiers du produit intérieur brut (PIB) agricole mondial et croît plus vite que la plupart des autres secteurs agricoles. Son expansion a été principalement stimulée par une combinaison de croissance démographique, d’urbanisation et de hausse des revenus dans de nombreux pays en développement, ce qui a accru la demande en viande, lait et oeufs. La consommation de produits de l’élevage devrait encore augmenter au cours des prochaines décennies, offrant des opportunités pour le développement du secteur et permettant la réduction de la pauvreté et l’amélioration de la sécurité alimentaire. Cependant, le rythme rapide de ces changements risque de marginaliser les petits éleveurs. Les risques pour les ressources naturelles et la santé humaine doivent également être abordés afin d’assurer un développement durable. Dans ce cadre, la FAO a intégré, au cours des deux dernières décennies, des Champs-écoles des producteurs (CEP) axées sur l’élevage dans plusieurs projets et programmes, et a contribué à renforcer les capacités de nombreuses parties prenantes au développement (ONGI, ONG, instituts de recherche, etc.) concernant l’approche CEP au profit des petits éleveurs dans les régions en développement. -
Transfert de technologies dans un contexte des moyens d’existence
Le projet PICS a été mis en œuvre dans le cadre Livelihoods, qui est partie intégrante de la stratégie nationale de différents pays World Vision pour le bien-être des enfants, à travers la sécurisation des ménages. Ce document traite des leçons tirées de la mise en œuvre et l'utilisation hermétique des triples sacs plastiques en Afrique de l'Ouest par World Vision International -
Evolution des paysages Sahéliens au cours des six dernières décennies dans la région de Niamey : de la disparition la de brousse tigrée à l'encroûtement de surface des sols.
Au Sahel, l’explosion démographique de ces dernières décennies et les variations climatiques ont provoqué d’importants changements environnementaux. L’objectif de ce travail, est de mesurer les impacts de la pression anthropique sur les écosystèmes dans la région de Niamey au cours des six dernières décennies. L’étude est fondée sur une cartographie diachronique d’une aire de 100 km2 près de Niamey au moyen de photographies aériennes (1950 et 1975) et relevés au GPS (2009). Il est apparu ainsi qu’entre 1950 et 2009, la végétation de la brousse tigrée a été complètement déboisée. Dans les vallées sableuses, les surfaces cultivées ont connu une extension passant de 20.7 % à 69.4 % entre 1950 et 1975. Ceci a favorisé l’emprise des érosions éolienne et hydrique qui ont abouti à une dégradation des terres par encroutements des sols. Celui-ci est à l’origine de la baisse des surfaces cultivées entre 1975 et 2009 (de 69.4 % à 54.4 %). Dans les bas-fonds, la tendance est au comblement du fait d’un taux de sédimentations de plus de 4 cm par an. -
Pratique et Gestion de la Régénération Naturelle Assistée
Ce travail a été rendu possible grâce à la subvention d’assistance technique du FIDA accordée au World Agroforestry Centre (ICRAF TAG 1225) en collaboration avec les Instituts Nationaux de Recherches Agronomiques du Burkina Faso (INERA), du Mali (IER) et du Niger (INRAN), dans le cadre de la mise en oeuvre du Projet « Les Arbres des Parcs Agro forestiers et les Moyens de Subsistance : Adaptations aux Changements Climatiques dans le Sahel Ouest Africain ». Au cours des cinquante dernières années, le Sahel a connu des changements dans le régime des précipitations qui se sont traduits par une répartition irrégulière, de graves sécheresses se sont succédées, les conséquences pour les précipitations et la végétation devraient être brusque et rapide (Foley et al. 2003, Wang et Eltahir 2000), avec des implications énormes pour la productivité, les moyens de subsistance et la vulnérabilité socio-écologique. La plupart des espèces d’arbres ont l’aptitude de régénérer à partir des souches et des racines après une coupe à ras du sol. Ce sont des millions d’hectares de champs et d’aires de pâturages qui renferment des souches d’arbres vivantes avec une aptitude de fournir de nouveaux rejets. Beaucoup des espèces d’arbres ont aussi une capacité de régénérer à partir des stocks de semences qui sont dans le sol. -
Rapport annuel 2017 : les statistiques du secteur de l’élevage
Le Ministère de l’Élevage est le Ministère chargé de la conception, de l’élaboration, de la mise en oeuvre du suivi et de l’évaluation de la politique nationale en matière de développement de l’élevage, conformément aux orientations définies par le gouvernement. Le Ministère de l’Élevage emploie environ 1500 agents tous grades confondus, répartis dans les différents services aussi bien à Niamey qu’à l’intérieur du pays. -
Conseiller en maraîchage - Site de Falki
La mare de Falki se situe à 4 km au Sud-Est de la ville de Mirriah. Cette mare est un site important de cultures irriguées. -
Conseiller en maraîchage / des cas pratiques (2)
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers et animateurs maraîchers (OP, services techniques, GSC, GIE, projets …). Il s’agit d’une ferme installée dans le dallol Bosso à l’entrée de Birni Ngaouré (Région de Dosso), avec un système d’irrigation goutte à goutte pour les cultures de tomate, poivron, piment et melon principalement. Le 6 février, date de la visite, il y avait des parcelles de tomates en production et des parcelles de poivron en floraison. -
Conseiller en maraîchage - Visite site de Gafati
Gafati est une commune rurale située à 15 km à l’Est de la ville de Zinder. Ce 12 février 2016, les producteurs de Gafati signalent des attaques fortes des plants de piment, jeunes et adultes, se traduisant par des déformations, des décolorations ou chlorose des feuilles (principalement des jeunes feuilles mais aussi des feuilles adultes) et un rabougrissement des plants. On dénombre 40 à 50% de plants attaqués alors que la production n’a pas encore commencé. -
Conseiller en maraîchage / Cas pratiques (4) Attaques sur tomates
Cette note est un cas pratique de visite sur un site maraîcher. Elle est destinée aux conseillers maraîchers (OP, services techniques, GSC, …). Il s’agit d’une visite auprès des producteurs de tomate de Bourboukabé à 15 km au nord de Niamey. Dans ce village, les producteurs pratiquent la culture de la tomate depuis plus de 25 ans, avec différents cycles de production adaptés aux différents terrains disponibles. Le premier cycle de production correspond à des semis en pépinière au début du mois d’août et une récolte qui commence en octobre alors que les prix sur le marché de Niamey sont encore élevés (15.000 à 18.000 F le panier de 32 kg). C’est une production économiquement importante pour ces producteurs. La production se fait sur des sols sableux de chaque côté de la vallée qui est encore inondée. -
Formation maraîchage : la pépinière Conseiller en maraîchage
Cette note a été rédigée par l’équipe technique de la Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso avec l’appui du RECA. Cette note est produite à l’intention des conseillers et animateurs maraîchers des dispositifs d’appui conseil (OP, ONG, GSC, STD), notamment dans le cadre du programme de formation de jeunes agriculteurs et agricultrices. -
Conseil en maraîchage - Site maraîcher de Gourdjia (Maradi)
Les 4 et 21 mars 2016, une équipe technique composée de la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi et du RECA a rendu visite à l’Union des producteurs de Gourdjia sur le site de production maraîchère de Darto. Gourdjia est une vallée où la culture principale est le poivron. En 2014, les producteurs de Gourdjia Darto ont bénéficié d’un champ école paysan du PPI Ruwanmu sur la culture de l’oignon. Les producteurs participant au CEP ne pratiquaient pas cette culture. -
Initiative Prospective agricole et rurale (IPAR)
L’IPAR est un espace de réflexion, de dialogue et de proposition pour des politiques agricoles et rurales concertées au Sénégal et dans la région ouest-africaine. L’initiative a été suscitée par des spécialistes de l’agriculture et du monde rural qui appuyaient déjà les organisations paysannes et qui étaient intéressés par la création d’espaces permanents de réflexion prospective et stratégique. -
Atelier de validation des « fiches conseil » pour les matières actives utilisées au Niger
Cet atelier à pour objectif d’échanger entre les équipes techniques du RECA et des CRA afin de valider les différents TDR et les activités à conduire par ces equipes. -
Almaney biiri ga neera goyo tira sogonanta kaù i te araajiya ma ga
Sooro boobo kulu no RECA ce yaù nango kaù se i ga ne Issalan ga du hayaù almaney biiri yaùey bon. Iri Niizeer laabu, alfarey nda kurkey kulu no ga almaney biiri ga neera fondey bay. Wo-din si ganji, iri ga sanni yaù filla kaù ga naù biiriyano ma boori. Sintina jina, iri ga borey fongandi kaù almaney biiri ga neera goy no kaù ga arzaka boriyandi. Almano kaù boro ga suuban, alman no kaù mana je, a gonda sanda jiiri hinka deedandi, da feeji gaaru no wala binde hincini jindi no. Da boro na almano suuban, ni ga a naasandi no, hay kaù ga naù a ma te nooru. Da boro ga ba biiri ga neeraa ma te nafa, boro mana hima ga almano biiri ga ba handu hinza (3). Da biiriyaù alwaato bisa ya-din, da boro laasabu, goyo sinda albarka kulu. -
Système national de conseil agricole (SNCA)
Ce rapport propose une stratégie de relance du conseil agricole au Niger -
Stratégie de développement durable de l’élevage
Ce rapport port sur la stratégie de développement durable de l'élevage au Niger -
Gestion et sécurisation des ressources naturelles Module de formation pour les producteurs ruraux membres des Commissions foncières
Les groupes cibles pour ce module de formation sont : les producteurs ruraux, agriculteurs, éleveurs, femmes et jeunes, membres des Cofocom. L’Objectif pédagogique est de donner aux producteurs ruraux les bases nécessaires pour jouer leur rôle dans les Cofocom. -
Résultats du Conseil de Gestion à l’Exploitation Familiale pour la culture du riz hors aménagement / Campagne 2016 Partie (1)
Dans la région de Diffa, la production du riz hors aménagement se fait le long de la vallée de la Komadougou et autour des mares permanentes. C’est l’une des productions irriguées majeures de la région après le poivron. Elle compte environ 700 ha en hors aménagement (ONAHA, 2015) grâce au développement des forages PVC et aux ouvrages de contrôle des mares semi permanentes. Le riz est une culture qui nécessite une bonne maîtrise des techniques mais également une réelle capacité de gestion. En effet, un hectare de cette culture demande d’investir entre 200.000 et 350.000 de F.CFA. -
Effets du conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) sur la production et les rendements des cultures de pomme de terre, oignon blanc de Soucoucoutane, et oignon Violet de Galmi au niveau des exploitations maraichère de 5 sites de production.
La Chambre Régionale d’Agriculture de Dosso s’est engagée dans le conseil de gestion à l’exploitation familiale (CGEF) depuis 2014 avec l’appui du Programme d’Appui à la Petite Irrigation (PAPI) financé par la Coopération Suisse. Au démarrage de cette activité des conventions étaient signées entre la CRA et les unions d’organisation de producteurs (OP) / faitières de la région avec un dispositif mixte comprenant à la fois des conseillers de la CRA et des animateurs endogènes des OPs qui avait reçu une formation par le cabinet CORADE. Malheureusement, après 2 années d’activités le dispositif n’arrivait pas à donner les résultats escomptés (questionnaire trop complexe, producteurs non alphabétisés, animateurs des OP ayant d’autres tâches). Vu cet état de fait, la CRA n’a pas renouvelé les conventions avec les OPs et a réfléchi sur un nouveau dispositif basé uniquement sur ses conseillers agricoles et des animateurs endogènes de certaines OPs qui vont s’engager volontairement dans le CGEF. A nos jours, suite aux suivis faits de 2017 à 2019 des résultats ont été produits. -
Le sabara (Guiera senegalensis), espèce oubliée des programmes de revégétalisation des plateaux et glacis ?
L’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) a publié des fiches techniques de production de plants de plusieurs espèces locales d’arbres et arbustes. C’est une occasion pour évoquer l’une de ces espèces locales qui porte le même nom en Haoussa et Djerma, le sabara, dont le nom scientifique est Guiera senegalensis – Peul : Gelohi, leleko ; Tamachek : assubara. Si vous cherchez la description de cette plante sur internet vous trouverez quasiment la même description sur la plupart des sites. C’est donc un arbuste de 1 à 5 m de haut, facilement reconnaissable à ses petites feuilles, vert clair, plus ou moins grises ou bleutées. -
Premiers résultats de l’analyse des données du conseil de gestion a l’exploitation familiale (CGEF) sur Maradi
Au cours de la campagne maraîchère 2014 / 2015, la Chambre Régionale d’Agriculture de Maradi a suivi 20 producteurs maraîchers des sites de Tarna et Soumarana (Goulbi Maradi) en conseil de gestion à l’exploitation familiale. Cette note présente les premiers résultats obtenus. Attention, le nombre limité de producteurs suivis pour cette première expérience ne permet pas de tirer des conclusions généralisables de ces premiers enregistrements. De plus, le lecteur s’apercevra à la lecture de cette note qu’il y a plus de questions que de réponses pour cette première année. Mais pour les équipes de la CRA, et de la FCMN Niya qui est associée à ce travail, c’est un apprentissage de la lecture des résultats et performances d’une exploitation maraîchère. -
Agence de Vulgarisation et de Formation Agricole de la Tunisie
Site web de l'agence Tunisienne de conseil agricole -
Agence de Promotion du Conseil Agricole
L’APCA accompagne les dispositifs de terrain du conseil à s’engager dans un processus d’amélioration de leur offre du Conseil Agricole et à la mise en place de mécanismes de financement vertueux du conseil (pour un coût moindre à des bénéfices substantiels aux producteurs). Autant des raisons pour que l’aide publique et privé accompagne les efforts de cette initiative. -
Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS)
L’APESS travaille dans le domaine du Développement Rural en général et le secteur de l’élevage traditionnel en particulier. L’APESS offre donc ses services aux éleveurs et agriculteurs, mais aussi aux responsables et acteurs de différents projets de développement rural. -
Etude sur les réalisations des activités d’assistance alimentaire pour la création d’actifs productifs appuyés par le PAM et production d’un recueil des normes techniques et financières Partie 1 : Observations et réflexions sur des aménagements de restauration des sols
Ce rapport est un peu long, mais des fiches courtes et synthétiques sur les différents types d’ouvrages de restauration des sols existent déjà en grand nombre. Ce rapport est centré sur ce qui ne va pas, sur des résultats insuffisants, car c’est un document pour améliorer ; on améliore ce qui ne marche pas. Ce qui marche sert de référence pour ce que l’on veut améliorer. Mais pour cela il faut arriver à mieux comprendre les éléments à répliquer pour obtenir les résultats escomptés et les facteurs dont il faut tenir compte. Comme nous ne pouvons, en aucun cas, partir de l’hypothèse que les échecs rencontrés viennent des capacités des opérateurs, cela nous fait avancer l’hypothèse que d’autres facteurs rentrent en jeu. La restauration et la revégétalisation des sols … c’est technique et pas si facile que cela, autrement les résultats seraient nettement meilleurs. -
Techniques CES et DONNEES WOCAT au NIGER
Le Niger est peuplé de près de 10 millions d'habitants très inégalement répartis sur l'ensemble du territoire avec les ¾ concentrés au Sud du 16eme parallèle. La densité moyenne est de 6 habitants / km² avec une forte majorité rurale (84% en 2001) et un taux d’accroissement de la population estimé à 3,3% par an. Cette croissance démographique entraîne une pression sur les terres disponibles avec pour conséquence une accélération de la dégradation des sols et une extension des zones de cultures sur la zone pastorale (source de conflit). Cette problématique n'est pas seulement présente au Niger mais également dans la plupart des pays en voie de développement. Pour enrayer ce processus dans ces pays et plus précisément ceux de la sous-région, l'ensemble des acteurs a focalisé leurs actions sur la recherche, les tests et la vulgarisation des techniques et approches en vue de freiner la dégradation du milieu. Par-là il est également visé au travers de l'augmentation de l'infiltration en limitant l'érosion hydrique de minimiser les impacts des contraintes climatiques sur les productions. Toutefois, force est de constater que l'adoption de ces techniques par les producteurs reste faible et généralement incomplète (non-application des mesures d'accompagnement aux techniques CES/DRS). Les causes sont nombreuses mais elles révèlent souvent un manque d‘information sur les différentes techniques existantes, un manque de soutien auprès des paysans de la part des promoteurs de ces techniques, ceci est allié malheureusement à des approches Top-down mal adaptées et à une mauvaise maîtrise des techniques par les agents d'encadrement et une absence des outils de vulgarisation appropriée. -
Le dispositif d’appui conseil mis en place pour accompagner les producteurs de niébé sur les aspects technico-économiques de leur production : formations et suivi technique des producteurs
Le projet de développement de la filière niébé dans la province du Sanmatenga au Burkina Faso a été mis en oeuvre par Fert et Accir de juillet 2008 à juin 2011 et s’inscrit dans le cadre d’un partenariat de long terme entre Fert, Accir et les Unions départementales de Producteurs de niébé de Pissila, Dablo et Pensa. La capitalisation des actions mises en oeuvre depuis 2004 a permis de réaliser ce livret sur la démarche d’appui conseil technico économique. Il est à destination des organismes d’appui aux organisations paysannes et aux organisations elles-mêmes (appuyées ou non par Fert et Accir). La démarche générale de l’appui conseil technico-économique de Fert et Accir se base sur un dispositif de recherche-développement et de diffusion des technologies au profit des producteurs et sur l’amélioration de leur capacité d’analyse des activités de la campagne. En termes de ressources humaines, des producteurs et productrices sont aptes à fournir des services à tous les groupements : le réseau comprend une centaine de producteurs pilotes (PP), des producteurs recenseurs et ceux formés pour le traitement des cultures. L’appui conseil se fait également avec les animateurs terrain salariés qui accompagnent d’une part ces personnes ressources dans leurs tâches, et qui apportent d’autre part un appui conseil technico-économique aux producteurs dans les groupements et l’assistance technique aux bureaux des unions. -
Etude diagnostique des potentialités du Conseil Agricole en Petite Irrigation dans les 3 régions d’intervention du PromAP : Tillabéri, Tahoua et Agadez
Dans le cadre de la Stratégie de Développement Rural (SDR), stratégie sectorielle nationale de référence entre 2002 et 2012, une tentative a été entreprise pour mettre en place un dispositif national d’appui conseil. Sur la base d’une étude diagnostic appuyée par la FAO, ce dispositif intègre l’ensemble des évolutions contextuelles, en proposant un appui conseil à la demande, fourni par des prestataires de service, à travers une coordination par les services de l’Etat et un cofinancement des bénéficiaires de l’appui-conseil, selon leur capacité économique (notamment par rapport aux filières portées sur le marché). Compte tenu des évolutions institutionnelles dans la période, ce dispositif bien qu’approuvé en 2011, n’a jamais été mis en oeuvre. Il contient cependant des éléments pertinents, qui sont d’actualité et qui pourraient constituer le socle du nouveau dispositif à mettre en place. A l’absence d’un dispositif structuré de conseil fourni par l’Etat, les projets de développement mettent en oeuvre des actions ponctuelles de conseil agricole, en s’appuyant souvent sur les services techniques de l’Etat. Bien que celles-ci ne s’inscrivent pas tout à fait dans une approche d’émergence durable des services de conseil, ils ont comme mérite de développer et de tester des nouvelles approches. Il convient notamment de citer l’approche « Champ école », dont les principaux promoteurs sont la FAO et le FIDA. -
Élevage et marché régional au Sahel et en Afrique de l’Ouest Potentialités et défis
Le but de cette initiative conjointe de la Commission de la CEDEAO et du Secrétariat du Club du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest (CSAO/OCDE), est de voir en quoi l’élevage peut-il être un des moteurs de dynamisation du marché ouest-africain de produits agricoles et alimentaires, en renforçant d’une part la sécurité alimentaire et nutritionnelle, et en contribuant d’autre part à la réduction de la pauvreté. Cette analyse est une
contribution à la mise en œuvre de la Politique agricole de la CEDEAO (ECOWAP)adoptée le 19 janvier 2005, -
État des Ressources Génétiques Animales dans le Monde : rapport national
Le Comité Consultatif National sur les Ressources Zoogénétiques a eu pour mandat l’élaboration d’un plan national de Gestion des Ressources Génétiques des animaux d’Elevage, le suivi et l’évaluation de la mise en œuvre des programmes portant sur entre autres l’inventaire et la caractérisation de toutes les espèces et races animales domestiques, la capitalisation des expériences en matière de promotion des races animales et l’élaboration des plans nationaux et des stratégies en matière de Gestion des ressources Génétiques Animales d’élevage. -
Revue du secteur de l'élevage au Niger
Le sous-secteur de l’élevage représente donc un atout majeur pour le pays pour contribuer davantage à la lutte contre la pauvreté, l’insécurité alimentaire à travers notamment l’augmentation des revenus et la création d’emplois en faveur des jeunes scolarisés ou non actuellement sans perspectives. Toutefois, pour tirer parti des opportunités actuelles du marché, il est nécessaire de
comprendre la gamme de facteurs (économiques, institutionnels, commerciaux, législatifs, technologiques et sociaux) qui affectent le secteur de l’élevage au Niger. -
Élevage au Niger : comment faire de l’élevage un moteur du développement ?
L’élevage a des avantages comparatifs par rapport aux autres systèmes agricoles. Le monde
entier reconnait que le Niger a un cheptel assez important, assez varié, dont la viande est
appréciée partout. Mais il existe des petits problèmes qui font que le pays ne profite pas suffisamment de ces avantages’’ -
Bâche élevage Niger 2015
Activité principale ou secondaire, l’élevage occupe 87¨% des populations du Niger. Plus de 41millions de tètes toutes espèces confondues soit: 3451 milliards de capital bétail. L’élevage contribue à hauteur de 11% du PIB du pays et 24% au PIB agricole 1er rang des recettes totales d’exportation des produits Agro sylvo pastoraux (22%)
2ème source de revenu d’exportation du pays, juste après les ressources minières. -
Document cadre pour l' amélioration de la résilience de l'élevage face à la variabilité et au changement climatique
au Niger.La variabilité et les changements climatiques (CC) constituent une menace importante pour le développement économique et risquent de compromettre les chances de relever les défis de réduction de la pauvreté. Or, l’intégration des CC au processus de planification du développement représente encore un défi pour les pays de l’Afrique au Sud du Sahara. -
La pratique de la vulgarisation pour l’adaptation agricole
Ce présent guide porte sur la pratique de la vulgarisation pour l’adaptation agricole -
Améliorer la gestion des ressources naturelles pour la sécurité alimentaire en Afrique
Cet ouvrage porte sur l'amélioration de la gestion des ressources naturelles pour la sécurité alimentaire en Afrique -
Viabilité de l’élevage pastoral au Sahel : étude de quelques paramètres démographiques des élevages de Hombori (Mali)
L’élevage pastoral représente la principale activité économique de nombreux ménages au nord du Sahel. Malgré la qualité des pâturages au cours de la saison des pluies, cet élevage est soumis à de nombreuses contraintes liées à l’irrégularité de la disponibilité fourragère, aux difficultés d’accès aux compléments alimentaires et aux soins vétérinaires qui rendent précaires les productions animales. Or la demande en produits d’origine animale est en forte augmentation du fait de la croissance démographique soutenue et de la rapide urbanisation au Sahel et dans les pays côtiers. Cette étude à pour objectif de documenter les paramètres démographiques des troupeaux et la production fourragère des parcours utilisés par l’élevage pastoral de la commune de Hombori située au nord-est du Sahel malien. -
Elevage transhumant et mobilité transfrontière dans la vallée du Niger. Cas de la frontière Bénin-Niger
Le présent document porte sur l'élevage transhumant et la mobilité transfrontière dans la vallée du Niger. Il traite comme exemple le cas de la frontière Bénin-Niger. -
Eleveurs et élevage le long du fleuve Niger dans le département de Dosso (Niger)
Dans un ensemble soudano-sahélien, la double crue annuelle et les vastes étendues inondées en
saison sèche dotent la vallée du fleuve Niger, dans le département de Dosso, d'un riche potentiel
naturel. Celui-ci a attiré depuis longtemps de nombreux éleveurs peul dont certains, grâce à
l'importance des troupeaux, mènent encore aujourd'hui une vie nomade. Tous les éleveurs pratiquent
des déplacements entre le fleuve, deux vallées fossiles et les plateaux afin de procurer toute l'année
du fourrage vert au bétail. La qualité des animaux et le voisinage de pays déficitaires en viande
développent une commercialisation profitable. -
Enjeux et contraintes de l’élevage urbain et périurbain des petits ruminants à Maradi au Niger : quel avenir ?
Une étude a été menée à Maradi (Niger) pour déterminer les caractéristiques socio-économiques et les contraintes techniques de l’élevage urbain et périurbain de petits ruminants. Elle a montré que 60,9 p. 100 des ménages urbains et 81,1 p. 100 des ménages périurbains pratiquaient cet élevage. L’insécurité alimentaire dans les ménages, les vols, le manque d’intérêt et l’aspect contraignant de l’activité ont été les raisons évoquées par ceux qui ne le pratiquaient pas. -
Fonctionnement des élevages camelins de la zone périurbaine d’Agadez au Niger : enquête typologique
Le cheptel camelin est tributaire des ressources fourragères des parcours naturels dont le développement est soumis aux aléas de la pluviométrie, très mal répartie dans le temps et l’espace. Pour exploiter ces parcours, l’une des stratégies adoptée par les éleveurs est la mobilité. Cependant, depuis un certain temps, les mutations climatiques, socio-économiques et les conditions d’une urbanisation accélérée imposent de plus en plus des changements dans la règle de gestion des élevages. -
Caractérisation de la race ovine Balami au Niger par analyse descriptive et multivariée des paramètres morpho-quantitatifs
L’objectif principal visé par cette étude est d’établir les caractéristiques phénotypiques quantitatives du mouton Balami au Niger. Elle a pris pour cible la zone de prédilection de la race, notamment la Région de Maradi (commune d’Azagor, Bermo, Dakoro) et celle de Tahoua (commune de Madaoua). Dix-sept paramètres morpho-biométriques quantitatifs ont été mesurés sur 311 Balamis
appartenant à 99 exploitations sur 10 sites choisis au hasard, en fonction de l’adhésion volontaire des éleveurs. -
Elevage camelin au Niger : référentiel zootechnique et sanitaire
Ce guide présente les résultats issus d'un suivi des troupeaux camelins au Niger durant plusieurs années -
Guide technique de l’élevage : le développement pastoral efficace passe par la production d'herbe
L'élevage dans le Sahel se fait aujourd'hui fondamentalement selon un type usurpateur des terres en utilisant de la végétation qui y pousse naturellement. Afin de mettre un frein à la progression de la désertification et de passer à un élevage durable du bétail, il importe d'abandonner ce type d'élevage par usurpation des terres et de le remplacer par un type d'élevage qui, étant fondé sur le travail actif des terres, en assure la conservation et en élève la productivité selon un type d'utilisation cyclique. De plus, il importe de passer à un élevage plus productif (de type semi-intensif) (ce terme étant utilisé ici en opposition à l'élevage extensif) qui, ne fut-il que légèrement plus efficace, permette une bonne coexistence de l'agriculture et de la sylviculture, et permette d'obtenir davantage d'une surface et d'une quantité de bétail données. -
L'élevage au Niger.
L'élevage au Niger est pratiqué sur 650 000 km2 environ , soit plus de la moitié de la superficie totale du pays. Il constitue avec l'agriculture, l'activité économique de base, car il représente le revenu essentiel et souvent unique de couches importantes de la population et un élément primordial du commerce extérieur. Le cheptel croît lentement et régulièrement, sauf sécheresses exceptionnelles. -
Guide d'élevage sur l'embouche ovine pour la Tabaski - module 1 - généralités
Ce premier module est destiné à répondre aux préoccupations d’ordre général sur l’opération d’embouche ovine à savoir les différents types d’embouche ovine, ses intérêts pour l’entrepreneur et le consommateur, etc. -
Projet de Charte de la Qualité de la CAR
Cette présente charte de la qualité du CAR s'inscrit dès lors dans le sillage de la mise en place concerté et négociée d'un certains nombre d'outils normatif et méthodologique du CAR, pour aider à l'élargissement démocratique du CAR, à l'harmonisation des interventions dans le champs du CAR et à la transparence dans la régulation du marché de CAR -
Manuel des Procédures de Contrôle et de Certification de la Qualité des prestations de Conseil agricole et rural au Sénégal
Les procédures qui déterminent l'aptitude et certifie un prestataire comme capable à fournir du conseil agricole et rural -
Ethical Code of Conduct for Agricultural Extension and Advisory Services Providers
En 2016, le ministère de l'agriculture, de l'industrie animale et de la pêche, a formulé le programme national de développement agricole.
La politique d'extension (NAEP) qui a été approuvée par le Cabinet le 26 octobre 2016 et lancée le 6 Décembre de la même année. La politique envisage un système de prestation pluraliste avec de multiples fournisseurs.
Pour garantir que le large éventail de prestataires de services de vulgarisation agricole offre un service de qualité aux agriculteurs et autres bénéficiaires, le PNEA prévoyait l'élaboration des lignes directrices, y compris un code de conduite éthique pour guider la conduite des prestataires de l'AEAS dans l'exercice de leurs fonctions, et est considéré comme un code de conduite recommandé, auquel des ajouts ou des modifications peuvent être apportés en tant le besoin s'en fait sentir.
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Extension guidelines and standards
En 2016, le ministère de l'agriculture, de l'industrie animale et de la pêche, a formulé la politique nationale de vulgarisation agricole (NAEP) qui a été approuvé par le Cabinet le 26 octobre 2016 et lancé le 6 décembre de la même année. -
Contribution à l’étude de la dynamique de l’élevage pastoral au Niger : cas de la région de Diffa
Dans les pays du Sahel où se pratique un élevage pastoral du type extensif, l’élevage joue un rôle essentiel dans la vie socio-économique et l’équilibre alimentaire des ménages. Cependant, à travers les littératures, un certain nombre d’études pointent du doigt cette activité, notamment sa contribution à la dégradation de l’environnement ; l’émission de gaz à effet de serre ; sa faible performance économique ; etc. Par contre d’autres études ont fait relever l’importance et l’efficience de la pratique pastorale dans un milieu naturel à équilibre instable comme le Niger, grand pays d’élevage au coeur du Sahel, avec un cheptel de plus de 37 millions d’animaux. Et dans ce cadre, cette recherche a essayé de repositionner le débat en soulignant le rôle et l’importance de l’élevage pastoral dans les pays sahéliens en général, au Niger en particulier et de manière spécifique dans la région de Diffa. -
Consultation internationale pour la réalisation d’une étude de mise en place d’un système de suivi des mouvements et stratégies d’adaptation spatiale des éleveurs transhumants en zone sahélienne (Niger)
L’étude de mise en place d’un système de suivi des mouvements et stratégies d’adaptation spatiale des éleveurs transhumants dans la zone d’intervention de la phase pilote au Niger du projet de surveillance pastorale en Afrique subsaharienne (Départements d’Abala, de Banibangou et de Filingué) a été exécutée dans un contexte particulier caractérisé par des conditions climatiques et environnementales peu favorables au développement, une précarité notoire des institutions administratives et des organisations communautaires, une absence des infrastructures socio-économiques dans la zone pastorale, la non maitrise du volume et des flux des ressources animales, une authenticité affichée des cultures des populations pastorales, et des conditions sécuritaires critiques qui pénalisent fortement les éleveurs transhumants. -
Front local environnemental pour une union verte fleuve: Pays Niger
L'objectif général du projet fleuve est: Intégration de la gestion durable des ressources naturelles, des terres et des risques écosystémiques dans les plans de développement locaux et leur mise en oeuvre à travers le montage de partenariats
novateurs et multi-acteurs incluant les secteurs publics et privés, dans le cadre d’une contribution à la mise en œuvre de l’initiative de la grande muraille verte au Sahara et au Sahel. -
Mémento "Bien-être de l'animal d'élevage"
Mémento sur le bien-être des animaux d'élevage, permettant une amélioration de la production. -
Impacts des investissements dans la gestion des ressources naturelles sur les systèmes de production dans les régions de Maradi, Tahoua et Tillabéry au Niger
Depuis les années 80-90, pratiquement dans tout le pays, ont vu le jour des projets du type gestion de ressources naturelles avec parfois des spécificités selon l’agence d’exécution et les zones d’intervention. Ces projets dits de GRN ont eu chacun un objectif prioritaire, celui de l’amélioration de la productivité agricole et les revenus des populations à travers divers types actions. La présente étude analyse les impacts sur les systèmes de productions, en particulier les productions végétales. -
Le conseil aux irrigants en Afrique de l’Ouest sahélienne
Le projet APPIA, à travers sa composante 2, propose de mobiliser les professionnels de
l’irrigation sur la question de la mise en place de nouvelles formes d'appui-conseil aux
irrigants, rendues nécessaires par les évolutions du secteur irrigué depuis une trentaine
d’années.
Le document suivant constitue une base de travail pour les ateliers de lancement du projet APPIA. Il est établi à partir d’entretiens et de documents recueillis dans les 5 pays de la zone d’étude (Burkina Faso, Niger, Mali, Mauritanie, Sénégal). -
Rapport de la mission de l’état de lieu du dispositif d’appui conseil agricole dans la zone d’intervention du promovare
La population du Niger est estimée à plus de 17 129 076 habitants (RGPH, 2012). Une population à plus de 80% rurale avec comme principale source de subsistance les activités agrosylvopastorales. Avec le taux d’accroissement actuel de (3,9%), cette population atteindra 55 millions en 2050. -
Rapport de la mission de l'état de lieu du dispositif d'appui conseil agricole dans la zone d'intervention du promovare
La population du Niger est estimée à plus de 17 129 076 habitants (RGPH, 2012). Une population à plus de 80% rurale avec comme principale source de subsistance les activités agrosylvopastorales. Avec le taux d’accroissement actuel de (3,9%), cette population atteindra 55 millions en 2050. Et le secteur agricole considéré comme le principal pilier pour l’alimentation et source d’emploi de cette population a une contribution en deçà du potentiel existant pour diverses raisons dont entre autres les risques climatiques, écologiques, et même sociaux et parfois l’insuffisance dans les politiques et stratégies mises en place pour accompagner les producteurs. -
Cahier du formateur Formation sur les « rôles et compétences d’un conseil »
Le Niger est un pays à forte potentialité pour l’agriculture irriguée, qui dispose d’un potentiel irrigable de 270.000 ha dont seulement 30% sont jusqu’ici exploités (MAG, 2012). De plus, les cultures irriguées occupent une place de choix dans la production agricole du pays. La valeur monétaire des cultures irriguées est estimée à plus de 354 milliards de francs CFA en 2013 (MAG, 2013) soit environ 9,7 % du PIB et 24% du PIB agricole du Niger en 2013. C’est dire d’une part que les cultures irriguées ont une importance capitale dans l’économie du pays et d’autre part qu’il existe encore un grand potentiel irrigable. Fort de ce grand potentiel irrigable encore existant et de l’importance économique des cultures irriguées, il est important de mener des actions pour le mettre en valeur afin d’augmenter la richesse générée par ce sous-secteur et ainsi sa contribution à la formation du PIB agricole. -
Manuel du formateur Formation sur les « rôles et compétences d’un conseil »
« Le conseil » est un concept à multiples facettes dont la définition varie en fonction du domaine professionnel. Dans la coopération au développement, il n’existe jusqu’à présent pas de définition uniforme.
La coopération au développement sert à l’amélioration de l’efficience des hommes et des organisations. Il s’agit pour l’essentiel de processus de changement chez les partenaires qui sont soutenus par des consultants pendant une durée limitée. Les consultants se différencient des décideurs et des exécutants des organisations avec lesquelles ils travaillent. Dans ce contexte, la définition suivante nous semble appropriée : -
Rapport annuel des activités de la CRA de Zinder dans le cadre du partenariat avec le PASEC
Ce rapport présente les activités menées par la CRA de Zinder du mois de mars au mois de décembre 2018 dans le cadre de son partenariat avec le Projet d’Appui à l’Agriculture sensible aux risques Climatiques (PASEC).
Il est composé des points suivants : situation des semences améliorées, diffusion des émissions radios, conseils aux producteurs sur les traitements phytosanitaires, enrôlement des producteurs, situation du Centre d’appels sur le financement, participation au CRAP / Ateliers / missions, autres activités (production du bourgou, inventaire motopompes, suivi des sites de récupération des terres, capitalisation des pratiques de haies vives, publications Facebook et notes rédigées). -
Note sur la visite des parcs d’élevage « Garké » de la ville de Zinder
La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) et le Collectif des Associations Pastorales du Niger (CAPAN) de Zinder ont effectué les 25 et 26 juillet 2018, la visite de 5 Garké dans la commune urbaine de Zinder (carte ci-dessous) afin de comprendre leur mode de fonctionnement et d’évaluer leur disponible en lait cru en vue d’une mise en relation avec la laiterie Darido qui va démarrer ses activités. Les Garké, ou parcs, sont des espaces mis à la disposition des associations d’éleveurs des quartiers de Zinder par la mairie pour y abriter les bovins des riverains notamment les vaches laitières. Les animaux sont surveillés, conduits aux pâturages et traits par quelques éleveurs couramment appelés « Makiyayi ». Les Makiyayi sont rémunérés selon des modalités bien définies avec les propriétaires d’animaux du parc. La mairie, quant à elle, ne perçoit aucune taxe au niveau des Garké. -
Conseiller en maraîchage - Cas pratiques - Visite site de Tchingal Bangou
Cette note est rédigée suite à la visite d’un site maraîcher dont certains producteurs ont bénéficié d’une formation sur la protection phytosanitaire organisée par la Chambre Régionale d’Agriculture de Niamey et réalisée par le RECA dans le cadre du contrat de performance entre l’État et les Chambres d’Agriculture.
La visite a permis un suivi de la formation reçu, de voir avec les producteurs les problèmes qu’ils rencontrent sur les cultures maraichères et de donner des conseils ou propositions de solutions. Au total, les entretiens ont concerné 16 producteurs. -
Résultats du Conseil de Gestion à l’Exploitation Familiale pour la culture du riz hors aménagement / Campagne 2016 Partie (2)
Cette note est la suite d’une première note qui présente le dispositif mis en place pour le conseil de gestion puis les résultats concernant les surfaces, les rendements et les charges opérationnelles.
Cette seconde partie présente une analyse des coûts de revient et des marges brutes des producteurs pour leur culture de poivron. -
Conseiller en maraîchage - Visite du site de Yaowaré
Le site maraicher à Yaowaré est situé dans le 5ème arrondissement de la ville de Niamey. En saison sèche, les producteurs font du chou et du moringa, plus un peu d’aubergine et d’oignon. En saison sèche, dans leur grande majorité, les producteurs font du chou et du moringa, plus un peu d’aubergine et d’oignon. On trouve quelques parcelles de chou en culture pure (photo ci-contre), mais le chou est surtout cultivé en association avec le moringa. Les producteurs cultivent une seule variété, le chou Oxylus. -
Note d'information sur le PGRN/EA/Doutchi à l'intention des équipes d'évaluation à mi parcours
La présente note d'informations, élaborée dans le cadre des préparatifs de la revue à mi parcours du projet, vise à faire l'état des lieux de ces investissements à travers l'examen des différents acquis enregistrés au cours des deux années d'exercice du projet. -
Plan annuel de travail dans le cadre du projet de gestion des ressources naturelles
Le Plan annuel de travail 2000 consacre la quatrième année d'exécution de la première phase pilote du Projet de Gestion des Ressources Nalurelles (PGRN -
De la dune fixée à la cuvette retrouvée
La cuvette oasienne peut se définir comme une unité géomorphologique spécifique, dépressionnaire, inter dunaire, de taille réduite (quelques ares à quelques hectares), à sols argileux. Elle présente une nappe d’eau provenant du lac Tchad, pratiquement affleurante ou proche et un écosystème caractérisé par deux à trois étages de végétation (dattiers, autres fruitiers et cultures annuelles par endroit). La présence de natron en son centre reste plus ou moins variable mais sans être systématique. Enfin on peut distinguer les cuvettes principalement agricoles et fruitières, les cuvettes pastorales et sylvicoles et les cuvettes de natron (présence de sol salé). Ces cuvettes sont menacées par l’ensablement. L’ensablement est un phénomène lourd de conséquences au Sahel : menace sur l’habitation et sur le maintien de la vie rurale, réduction de la capacité de production, contraintes fortes sur l’économie domestique, exode rural, etc. Ce document présente les réponses opérationnelles et sociales face à l’ensablement et les enseignements des activités de l’ONG Karkara à l’Est du Niger. -
Appui conseil agricole paysan (ACAP)
L’appui-conseil agricole paysan est l’un des outils de vulgarisation agricole participative mis en œuvre par le PPILDA. En particulier, il s’agit de l’outil destiné à assurer la pérennité du dispositif de vulgarisation agricole du projet. L’ACAP agit sur plusieurs contraintes qui caractérisent la zone d’intervention du PPILDA : d’un côté des contraintes liées au milieu naturel, comme la pluviométrie aléatoire et la basse fertilité des sols ; de l’autre des contraintes sociodémographiques, dont la principale est la forte pression foncière qui limite l’accès à la terre pour les catégories les plus vulnérables : les femmes et les jeunes. -
Rapport annuel du programme E-Extension - Année 2020
Dans le cadre du Projet d’appui à l’agriculture sensible aux risques climatiques (PASEC), le Réseau National des Chambres d’Agriculture du Niger et les Chambres Régionales d’Agriculture du Niger ont été chargés de développer un dispositif e-Extension d’informations et de conseils agricoles en direction des producteurs et productrices. Ce programme a démarré en septembre 2017 avec la mise en place du Centre d’Appels pour un conseil agricole. Ce rapport présente les activités et les résultats de la troisième année du programme. -
Note de capitalisation l’approche champs école pastoral : quelles opportunités pour les pays du PRAPS ?
Dans le cadre de ses missions de capitalisation et diffusion des bonnes pratiques et des innovations pertinentes pour améliorer la durabilité, la résilience et la productivité des systèmes pastoraux sahéliens, l’URC/PRAPS a entrepris de capitaliser les expériences de champs écoles pastoraux ou agro-pastoraux (CEAP) dans les pays du Sahel et en Afrique de l’Est. L’objectif de la capitalisation était de faire une analyse critique des premières expériences de champs écoles pastoraux ou agro-pastoraux (CEAP) dans les pays du Sahel, mais aussi de tirer des enseignements des CEAP en Afrique de l’Est y compris dans la Corne de l’Afrique, afin de juger de la pertinence de l’approche avant que le PRAPS en fasse la promotion auprès des pasteurs et agro-pasteurs dans sa zone d’intervention.
Les champs écoles agro-pastoraux sont une adaptation de l’approche Champs Ecole Producteurs (CEP) développée par la FAO dans les années 80. Les CEAP sont une approche novatrice de vulgarisation auprès des pasteurs et agro-pasteurs qui, se basent sur la pratique et un apprentissage axé sur les problèmes diagnostiqués au sein des systèmes de production agricoles de la localité. L’approche CEAP est relativement récente au Sahel et en Afrique de l’Ouest. Elle a été introduite à partir des années 2010. -
Evaluation des dispositifs (CEP/ACAP/CEPM) de renforcement des capacités des producteurs dans l’amélioration de la productivité et de la production agricole dans le cadre du ProDAF
Conscient que l’agriculture familiale est au coeur de la production de subsistance des ménages vulnérables face aux changements climatiques, le ProDAF a accordé une place de choix au renforcement des capacités des acteurs à travers les approches les Champs Ecoles Paysans (CEP) pour les cultures pluviales, Champs Ecoles Paysans Maraichers (CEPM), l’Appui Conseil Agricoles (ACAP) pour booster la productivité et les productions agricoles.
Après quatre ans de mise en œuvre des approches de renforcements de capacités des producteurs à travers les CEP, CEPM, ACAP, avec les partenaires comme les Groupements de Services conseils (GSC) et les Groupements d’Appui Conseil (GACAP), plusieurs réalisations ont été enregistrées.
Ainsi, dans le cadre de la préparation de la revue à mi-parcours du programme, il s’avère nécessaire de procéder à l’évaluation de ces approches pour bien apprécier la pertinence, l’efficacité, l’efficience et la durabilité du dispositif. C’est dans ce cadre que l’étude, objet du présent rapport a été initiée. -
Étude sur la mise en place d’un dispositif intégré d’appui conseil pour le développement rural au Niger : Décembre 2010
Le Niger a adopté en janvier 2002 une Stratégie de Réduction de la Pauvreté (SRP) précisée pour le secteur rural par une Stratégie de Développement Rural (SDR) qui a été adoptée en novembre 2003. La SRP a été révisée en 2007 et a été rebaptisée SDRP (Stratégie de Développement accéléré et de Réduction de la Pauvreté). Au cours de cette révision, huit (8) priorités de l’action publique dans le domaine du développement rural pour la période 2007-2009 ont été dégagées, parmi lesquelles, la mise en place d’un dispositif intégré d’appui conseil pour le développement rural. En effet, le dispositif actuel d’appui conseil au développement rural au Niger, essentiellement composé par des structures étatiques dominantes du point de vue de l’occupation de l’espace et des ONG et Privés, est très peu fonctionnel du fait de plusieurs contraintes. -
Manuel du formateur: Formation sur « Supervision de Qualité »
Ce Manuel sur « Supervision de qualité » a été conçu et élaboré par ALIDOU Moussiliou, consultant en Développement organisationnel à la demande d’Eco-Consult. Il est rédigé après un diagnostic de la pratique sur terrain dans le cadre du Programme de Promotion de l’Agriculture Productive (PromAP). La littérature tirée de diverses sources est mentionnée en bibliographie à la fin du Manuel. -
Proposition de Système National de Conseil Agricole
L’analyse historique du conseil Agricole au Niger montre qu’après une longue période de forte mobilisation de l’Etat de 1960 à 1998, culminant avec la mise en oeuvre du Programme de Renforcement des Services d’Appui à l’Agriculture, les pouvoirs publics se sont partielle-ment désengagés du conseil Agricole et les services techniques se sont repositionnés de fait sur leurs fonctions régaliennes. -
Étude sur l’expérience du conseil agricole dans les périmètres nouveaux (Kandadji, Famalé et Gabou) et anciens (Namardé Goungou et Konni) au Niger
Au Niger, l’ONAHA, Etablissement Public à Caractère Industriel et Commercial (EPIC), placé sous la tutelle du Ministère chargé de l’Agriculture, est un outil de développement contribuant à la réalisation, au développement, à la gestion durable des Aménagement hydro-agricoles et à la promotion de l’agriculture irriguée au Niger [ONAHA, 2015]. Cet office a sollicité l’appui de la Global Water Initiative (GWI), qui a une expérience régionale en matière d’accompagnement des dispositifs de Conseil Agricole dans la grande irrigation, afin d’examiner comment rendre plus performantes les exploitations agricoles familiales sur les AHA.
Dans le souci d’améliorer les dispositifs de conseil agricole sur les AHA, la présente étude est menée à travers un diagnostic sur six aménagements hydroagricoles (Konni 1, Konni 2, Namardé Goungou, Famalé, Gabou et Kandadji) afin d’identifier les forces et les faiblesses dans la mise en oeuvre du CA et de la gestion de l’eau selon l’âge (ancien, nouveau) et les types de productions (riziculture, polyculture) des AHA. -
Auto-évaluation du programme d’appui au secteur de l’élevage (PASEL - Phase 6 : 2010-2013)
La présente auto évaluation, située à six mois de la clôture du programme PASEL-phase 6 se déroulant de 2010 à 2013-, sur financement de la Coopération Suisse, a permis de recueillir les avis et les appréciations des différents acteurs sur les actions développées dans les régions de Dosso, Tillabéry (Filingué) et Maradi (Centre-Ouest du Niger).
L’exercice a consisté à solliciter les débats aux échelles locales, communales, régionales et centrales sur les effets directs et induits des actions de développement promues par le programme. Sur ce constat, couplé à diverses observations d’expertise, la mission a formulé des pistes d’orientations pour une éventuelle perspective de poursuite de la coopération entre la Suisse (DDC) et le Niger. -
Rapport du voyage d’étude sur le conseil agricole et le transfert de technologies au Maroc
Dans le cadre du plan d’activités du Programme de Productivité Agricole en Afrique de l’Ouest
(PPAAO-Niger), le RECA a organisé un voyage d’étude sur la diffusion et le transfert des technologies au Maroc.
Le Maroc est un pays qui présente une avancée significative dans le domaine de l’innovation technologique, de la formation, du transfert de technologies au service d’une agriculture irriguée tournée, en partie, vers l’exportation à destination de l’Europe. C’est un pays qui peut nous servir d’exemple pour améliorer le dispositif et les contenus en matière de conseil agricole. Ce pays est dans une nouvelle phase dynamique de conseil agricole. Le conseil agricole type Maroc est différent du modèle traditionnel que l’on trouve en Afrique de l’Ouest.
Ce rapport est long pour essayer de partager un maximum des rencontres instructives faites par l’équipe. Il comprend trois parties : la première partie (paragraphe 3) présente le dispositif de conseil agricole au Maroc, la seconde partie (paragraphe 4 à 10) présente les différentes structures visitées lors de la mission en essayant de mettre en avant les innovations qui ont été vues (innovations par rapport aux pratiques et expériences du Niger) et la troisième partie (paragraphe 11 et 12) répond aux termes de référence pour présenter la synthèse des visites qui ont été faites dans l’optique de comprendre l’organisation du conseil agricole au Maroc, et les recommandations de la mission.
Pour que le lecteur puisse visualiser certaines descriptions, l’équipe de rédaction a inclus des photos, certaines prises lors de la mission et d’autres « empruntées » sur Internet. -
Offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local en Afrique de l’Ouest - Document de Stratégie
L’initiative « offensive régionale pour la promotion des chaines de valeur du lait local » participe de l’ensemble des stratégies visant à opérationnaliser, non seulement la politique agricole de la CEDEAO, mais surtout à mettre en œuvre le Plan Régional d’investissement Agricole, de sécurité alimentaire et nutritionnelle. Elle se veut un cadre et un instrument qui fédèrent, coordonnent et accompagnent toutes les initiatives en cours dans l’espace communautaire, en matière de développement des chaines de valeur du lait local.
L’offensive a pour objectif spécifique d’accompagner toutes les initiatives et stratégies de développement des chaines de valeur du lait local, afin de : Augmenter de façon substantielle la production locale du lait frais en améliorant la productivité du cheptel ; Améliorer l’approvisionnement de l’industrie laitière régionale au moyen de la collecte d’au moins 25 % de la production régionale de lait local à l’horizon 2025 ; Promouvoir un environnement incitatif au développement des chaines de valeur du lait local. -
Améliorer l’accès des éleveurs à une alimentation du bétail de qualité pour augmenter la production laitière dans les Pays sahéliens d’Afrique de l’Ouest
Réfléchir aux possibles voies d’amélioration de l’alimentation du bétail dans les pays sahéliens implique de dépasser des visions technicistes simplistes et d’étudier les systèmes d’élevage dans la complexité de leurs relations à l’environnement et aux autres systèmes de production. Au-delà de politiques agricoles favorables à une artificialisation des conditions d’élevage peu adaptées aux caractéristiques de ces milieux, l’enjeu se situe dans une meilleure compréhension et reconnaissance de la place de l’élevage dans les territoires et dans l’identification des leviers à actionner pour valoriser une diversité de ressources locales dans l’alimentation animale. -
Pour une politique commerciale et des politiques fiscales favorables au développement de la filière lait local en Afrique de l’Ouest
Note de position de la campagne « Mon lait est local ». La production et la commercialisation du lait local font partie intégrante de l’économie nationale et du mode de vie des familles d’éleveurs ruraux de l’Afrique de l’Ouest. Malgré son apport non négligeable à l’économie des pays de l’Afrique de l’Ouest, la filière lait local fait face à d’énormes défi s. Ces défi s se manifestent au niveau de la production laitière (alimentation du bétail notamment) et de la collecte, mais aussi au niveau de la transformation et de la consommation, avec notamment la concurrence de matières premières de la transformation et de produits de consommation importés. Dans ce contexte, les organisations de la campagne « Mon lait est local » plaident notamment pour la mise en œuvre de politiques publiques favorables au développement de la filière lait local dans les pays de la région. -
Dynamique de l’occupation des terres et structure de la végétation dans la commune rurale de Garhanga (Tahoua)
Le présent travail a pour objectif principal de fournir les informations qualitatives et quantitatives sur l’évolution des ressources naturelles (temps et espace) dans la commune rurale de Garhanga et évaluer le poids de l’anthropisation et des facteurs environnementaux dans le façonnement du couvert végétal. -
Enquête épidémiologique sur la sensibilité des tiques aux acaricides au Niger : (Cas des tiques du genre hyalomma koch 1844)
Les productions animales occupent une place importante dans les activités socio-économiques des pays sahéliens. Au Niger,elles constituent la deuxième source de revenus à l'exportation après les ressources extractives (uranium) et contribuent de beaucoup à une augmentation notable du produit intérieur brut (P.I.B) et à l'autosuffisance alimentaire, préoccupation majeure des autorités gouvernementales. -
Plan d'aménagement de la doumeraie du Goulbi N'Kaba (Mayahi)
La vallée du Goulbi N'kaba traverse le département de Mayahi (Région de Maradi) sur une distance de 70 km et couvre une superficie d'environ 31.500 hectares.
Les effets conjugués des sécheresses et d'une pression anthropique croissante ont modifié un peu plus de deux décennies la structure et la composition de cette palmeraie à Hyphaene thebaica (palmier doum) autrefois très dense. Les doums adultes ont fortement régressé pour laisser la place à des taches de rejets au niveau des souches exploitées. La reconstitution du peuplement n'a pu se faire ni par voie végétative, ni par voie générative à cause des pratiques liées à l'exploitation intensive des feuilles pour l'artisanat et à la récolte des fruits. Le peuplement ligneux accompagnant le doum a subi aussi de fortes pressions pour satisfaire aux besoins en bois de feu et de service des populations riveraines. Il est aujourd'hui principalement constitué de tiges d'avenir.
Après une phase d'études relatives aux filières des produits du doum et du bois, au foncier et à l'inventaire des ressources forestières et pastorales, des consultations locales ont été engagées pour mettre en place un plan d'aménagement intégré, basé sur la régénération d'un peuplement adulte de doums et d'essences ligneuses accompagnatrices. -
Étude pour l'harmonisation des schémas et plans d’aménagement et de gestion des ressources naturelles, en soutien à la gestion durable des terres au Niger
Pour s'assurer d'une meilleure développement de la politique de développement rural, les autorités du Niger se sont engagées dans un processus d'harmonisation des interventions en faveurs du secteur rural et de mise en cohérence des appuis apportés à ce secteur par ses partenaires techniques et financiers. La SDR est le cadre opérationnel unique et global qui a été retenu pour la mise en oeuvre des actions, afin de prendre en compte l'ensemble des missions et les avantages comparatifs de chacun des acteurs. -
Étude sur l'expérience du conseil agricole dans les périmètres nouveaux (Kandadji, Famalé et Gabou) et anciens (Namardé goungou et Konni) au Niger
Au Niger, l’ONAHA, Établissement Public à Caractère Industriel et Commercial (EPIC), placé sous la tutelle du Ministère chargé de l’Agriculture, est un outil de développement contribuant à la réalisation au développement, à la gestion durable des Aménagement hydro-agricoles et à la promotion de l’agriculture irriguée au Niger [ONAHA, 2015]. Cet office a sollicité l’appui de la Global Water Initiative (GWI), qui a une expérience régionale en matière d’accompagnement des dispositifs de Conseil Agricole dans la grande irrigation, afin d’examiner comment rendre plus performantes les exploitations agricoles familiales sur les AHA. -
Guide sur les méthodes de planification pour la gestion et la conservation des ressources naturelles
Ce guide a pour objectif de lutter contre la dégradation des terres en milieu rural, qui s'accentue sous l'effet des activités de production agricoles usurpatrices de ressources, notamment le surpâturage et la surexploitation des terres. Ainsi, il va permettre une gestion adéquate des ressources naturelles à l'initiative des populations en mettant en application des techniques destinées à assurer une production agricole durable en fonction des spécificités naturelles et sociales de la région. -
Caractérisation morpho-biométrique du zébu Djelli du Niger
Le zébu peul (zébu Djelli) est l’une des races bovines qui constitue les cinq groupes (5) du cheptel bovin du Niger. Il est très apprécié de par ses aptitudes zootechniques, mais son élevage est plus localisé dans les départements et communes riveraines du fleuve Niger, notamment dans la région de Tillabéry. Ce travail vise l’étude des caractères phénotypiques de cette race du fait que dans le contexte nigérien, le zébu peul a bénéficié de peu d’étude à l’image des autres races du pays. A cet effet, des données morphobiométriques ont été collectées en 2017 dans quatre (4) départements de la région de Tillabéry et dans la zone péri-urbaine de Niamey sur 289 bovins adultes (254 femelles et 35 mâles) âgés de 3 à 19 ans. -
Diversité et conditionnement des résidus de culture commercialisés comme alimentation des animaux dans la communauté urbaine de Niamey
Les résidus de culture jouent un rôle important dans l’alimentation des ruminants, et leur commercialisation prend de plus en plus de l’ampleur dans la communauté urbaine de Niamey. Cependant, ces résidus de culture sont diverses et présentés sous différentes formes de conditionnement. Pour évaluer la disponibilité et les caractéristiques physiques des résidus de cultures utilisées en alimentation des ruminants domestiques à Niamey, un échantillon de 93 acteurs dont 33 grossistes/semi grossistes ; 41 vendeurs revendeurs et 19 vendeurs ambulants a été enquêté et suivi selon les saisons.
Il ressort de ce travail que le type, le prix, le poids et la disponibilité des produits sont fonctions des acteurs et des saisons. Il serait donc important de sensibiliser les éleveurs sur les lieux d’approvisionnement en fonction des périodes de l’année. Ceci permettra une meilleure rentabilité de l’activité. -
Rapport des études de référence sur des Champs Ecole Paysans pluviaux et Maraichers (CEP/CEPM) dans les trois Unités Régionales de Gestion du Programme (URGP)
Financé par le FIDA (Fonds International de Développement Agricole et l’Etat du Niger, Le Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF), intervient dans trois régions du Niger à savoir Maradi, Zinder et Tahoua. La zone d’intervention du ProDAF est répartie dans 21 Pôles de Développement Economique (PDE), qui est l’unité géographique et échelle d’intervention du programme.
La mise à la l’échelle des bonnes pratiques des projets précédents financés par le FIDA (PASADEM et PPI Ruwanmu) dans le cadre du ProDAF passe par l’intensification des champs école paysans (pluvial et maraîcher) qui permettront d’accroitre le nombre de paysans formés à cet effet et à même de diffuser les meilleures pratiques auprès de leurs pairs.
Ainsi pour le passage à l’échelle du dispositif de vulgarisation agricole à travers les Champs Ecole Paysan, une étude pour l’établissement d’une situation de référence a été conduite au niveau des trois URGP Maradi, Tahoua et Zinder pour capitaliser les acquis des anciens CEP et CEPM.
Le présent rapport consolidé donne le déroulement de l’étude et les principaux résultats obtenus. -
L’expérience du PASADEM en matière de vulgarisation agricole – Note de capitalisation
Maradi est une région vulnérable, au centre des enjeux de sécurité alimentaire où l’agriculture souffre d’un certain nombre de contraintes liées surtout à l’insuffisance de l’encadrement au profit des producteurs et aux aléas climatiques. Le PASADEM a développé dans sa stratégie d’intervention, l’extension et la diffusion à large échelle des acquis du projet de promotion de l’initiative locale pour le développement à Aguié (PPILDA) et ayant démontré leur efficacité en matière de vulgarisation agricole (les Champs Écoles Paysans (CEP), l’appui conseil agricole paysan (ACAP)). -
Les Démonstration d’initiatives paysannes en élevage (DIPE) dans la zone d’intervention du PASADEM : un outil de renforcement des capacités des agro éleveurs– Note de capitalisation
Faible capacité technique des agro éleveurs dans la conduite de l’élevage, qui se traduit par des hécatombes fréquentes liées aux épizooties, la fréquence des avortements, le retard de croissance des jeunes animaux et le faible gain pondéral chez les adultes, la faible prolificité à cause des espacements entre les mises bas, etc. Toutes ces contraintes impactent négativement les revenus du petit élevage, en particulier dans les ménages vulnérables d’où la nécessité de la mise en œuvre de ce dispositif d’encadrement (DIPE). -
Fiche synthèse de bonnes pratiques de résilience - « conventions locales de gestion des ressources naturelles »
Projet : Résilience et Croissance Economique au Sahel - Résilience Renforcée.
Une convention locale (CL) est un ensemble de dispositions, de normes et règles locales déterminant l’accès et l’utilisation des ressources naturelles dans une zone donnée (commune pour le cas de REGIS-ER) ainsi que les sanctions décidées en cas d’abus. Le but est de mieux gérer les ressources naturelles afin d’éviter les conflits liés à leur utilisation et aussi les préserver pour les générations futures. La CL tient compte de l’occupation de l’espace ; elle comprend donc le plan communal d’occupation et d’affectation des sols (PCOAS) et les règles communales de gestion des ressources naturelles (RCGRN). -
Quel accompagnement proposer à une organisation paysanne pour choisir une activité de conseil a l’exploitation familiale (CEF) ?
Ceux qui ont démarré des activités CEF au Sud depuis une quinzaine d’années ont défriché un terrain nouveau, donc rencontré des difficultés inédites et essayé de les résoudre. Les paysans participant à ces activités ont beaucoup apprécié les apports qui leur ont permis d’être plus responsables et ils jugent qu’aujourd’hui « le CEF » est indispensable pour être « professionnel ».
Cependant, un bilan de l’ensemble des démarches fait apparaître une réflexion préalable à leur mise en place insuffisante. Les volumes de travail, les besoins en formation des techniciens et animateurs, la nécessité de l’appui d’un cadre expérimenté… sont sous-estimés, d’où un développement du nombre d’adhérents très inférieur aux prévisions (ou aux espoirs), et des abandons nombreux et mal expliqués.
L’idée d’un guide pour animer les réflexions sur le choix d’une activité CEF répondant aux besoins d’une OP a ainsi vu le jour. Il est utilisable par les OP seules, et par les OP avec l’appui d’un partenaire. Ce document est principalement issu des réflexions des membres du groupe gestion d’Afdi. Il se base sur les nombreuses expériences CEF animées par les OP partenaires des Afdi. -
Tendances du reverdissement et de la dégradation du sol dans l’Ouest du Niger
Ce travail a étudié les évolutions simultanées du reverdissement et de la dégradation des sols dans l’Ouest du Niger entre 1998 et 2017. Il s’est appuyé sur des observations in situ et cartographiques pour analyser les indices de la végétation et de dégradation des sols en milieu cultivé et en zone classée (dépourvue d’actions anthropiques). En zone classée, les résultats montrent une tendance au reverdissement avec une progression d’au moins 500 % d’indice de la végétation. Dans les zones cultivées en revanche, les observations localisées dégagent deux tendances, l’une cohérente montrant le reverdissement et la baisse de la dégradation et l’autre paradoxale montrant le reverdissement et l’extension des sols dégradés. Cette dernière peut s’expliquer par l’effet mémoire des sécheresses des années 1970-1990 mais aussi par les modes de gestion des ressources. Globalement, on conclut sur la tendance au reverdissement et qui met en évidence la résilience des écosystèmes étudiés au choc climatique. -
Caractérisation des pâturages naturels au Niger : Diversité et modes d’exploitation. Synthèse bibliographique
Cette étude vise à caractériser la diversité et les modes d’exploitation des pâturages naturels au Niger. Ces derniers regorgent une diversité d’espèces végétales valorisées principalement dans l’alimentation (humaine et animale), la médecine indigène (pour soigner les maladies humaines et animales) et l’artisanat. Cependant, le changement climatique couplé à des activités anthropiques inappropriées a perturbé de manière drastique le fonctionnement de ces écosystèmes. C’est ce qui a entrainé la baisse de la productivité de ces milieux, la raréfaction voire la disparition de certaines espèces fourragères, et surtout la prolifération des espèces végétales envahissantes tel que Sida cordifolia, Cassia mimosoides, Mitracarpus scaber, Fimbristylis hispidula. Cette synthèse bibliographique présente en premier lieu la typologie de ces pâturages ainsi que la richesse floristique en fonction des compartiments phytogéographiques du pays. Ensuite, elle essaie d’énumérer les espèces végétales menacées de disparition et celles réfutées envahissantes et leurs effets sur les pâturages naturels. -
Sécurisation du foncier pastoral en Afrique de l’Ouest - Des modèles divers et riches d’enseignements
En Afrique de l’Ouest, les systèmes agricoles et pastoraux ont connu depuis le début des années 2000 des reconfigurations importantes entraînant une mise en concurrence autour de l’accès à l’espace foncier, renforcée par la ruée des sociétés multinationales sur les ressources naturelles disponibles dans les espaces pastoraux de la zone sahélienne, ainsi que par l’extension des grandes agglomérations urbaines. Pour faire face à ces défis, des expériences de sécurisation des espaces pastoraux sont actuellement conduites sur le terrain au Burkina Faso (régions du Sahel et de l’Est), au Niger (région de Maradi et département de Niamey) et au Sénégal (département de Podor).
Cette étude, qui combine la réalisation d’une revue documentaire, la conduite d’entretiens avec les divers acteurs impliqués et la réalisation d’enquêtes auprès des éleveurs, vise à établir un bilan critique de ces expériences de sécurisation pastorale, à évaluer leur efficacité et à analyser la stratégie d’implication des organisations d’éleveurs. La capitalisation de ces différents modèles de sécurisation du foncier permettra d’en tirer des enseignements utiles pour un changement d’échelle dans la conduite de telles expériences et un renforcement des stratégies de prévention des conflits liés à l’accès aux ressources naturelles. -
La microassurance bétail pour les éleveurs mobiles en Afrique de l’Ouest : compte-rendu de l’atelier Les Résidences Mamoune, Dakar, 2-3 novembre 2016
L’atelier qui s’est tenu à Dakar les 2 et 3 novembre 2016 s’inscrit dans la mise en œuvre du Projet de Renforcement de la Résilience de l’Économie Familiale grâce à la Productivité de l’Élevage dans le sud et l’est de la Mauritanie, sur financement de l’Union Européenne. De façon plus large – et à travers un mécanisme de cofinancement, le PRREF-Mauritanie s’articule avec le projet déployé depuis janvier 2015 par Acting for Life au sein du programme BRACED de la coopération britannique (UKAid) qui couvre également le Mali, le Niger, le Burkina Faso et le Sénégal. C’est dans le cadre de ces deux interventions qu’une réflexion stratégique et prospective sur les enjeux de la microassurance pour le bétail a été menée depuis début 2015, pour finalement conduire à la tenue du présent atelier. -
Plan national de l'environnement pour un développement durable
L'économie du Niger repose en grande partie sur un capital ressources de plus en plus restreint. Plusieurs études entreprises au cours des vingt dernières années démontrent à cet égard que la base des ressources naturelles du pays est non seulement limitée, mais qu'elle se dégrade de plus en plus au fur et à mesure que les besoins de la population en majorité pauvre s'accroissent. Ce déséquilibre entre les besoins et les ressources handicape le développement du pays. -
Programme minimum d'appui/conseil et d'encadrement agricole 2013-2014
Le potentiel en terres agricoles au Niger est estimé à 15.000.000 ha, représentant le quart de la superficie totale du pays. Les terres cultivées occupent 40% de la superficie agricole totale soit 6.000.000ha; cependant, la production se pratique sur des petites exploitations familiales avec des techniques culturales traditionnelles. En effet, les pratiques paysannes (mauvaises utilisations de la fertilisation minérales,absence d’aménagement des sols, absence d'assolement-rotation, réduction des temps de jachère, utilisation des variétés en dégénérescence, déboisement abusif). -
Projet élevage Amataltal
La mission d'évaluation du projet Élevage à Amataltal s'est déroulée du 17 au 27 Janvier 2001. Elle a visité l'ensemble des et s'est entretenue avec les populations bénéficiaires et les différents partenaires du projet. Les constats réalisés par la mission dans la mise en œuvre des différentes composantes du projet conformément aux objectifs visés. -
Débat informé sur les enjeux du développement et de l'investissement dans l’Élevage et le Pastoralisme dans les pays Sahéliens et côtiers
Pour l'Organisation Mondiale du Commerce, le fait qu'un pays développe son commerce extérieur en valorisant ses avantages comparatifs est considéré comme un facteur de croissance et de prospérité. Selon cette version, en effet tous les états vont maximiser leur profit s'ils commercent entre eux, chacun se spécialisant dans la production de biens pour lesquels ils peuvent produire aux couts les plus bas. -
L’élevage mobile dans la région de Zinder : une recherche socio-anthropologique - Rapport de synthèse
L’élevage mobile dans la région de Zinder : une recherche socio-anthropologique - Rapport de synthèse
Etudes et travaux du LASDEL N°112 : Le programme de recherche du Laboratoire d’études et de recherches sur les dynamiques sociales et le développement local (LASDEL) sur l’élevage mobile dans la région de Zinder concernait deux axes largement imbriqués :
- Les pratiques et stratégies des éleveurs mobiles, concernant leurs activités pastorales au premier chef, mais aussi leurs relations avec les autres éleveurs et les agriculteurs, leurs rapports avec les communes, les services de l’Etat et les projets, ainsi que leurs capacités d’action collective (cf. le « dangol », autrement dit le boycott des marchés par les éleveurs peuls) - Les modes d’interventions institutionnels dans le domaine de l’élevage et les différentes formes de « politique locale de l’élevage », quel que soient les intervenants (communes, services techniques, administration de commandement, commissions foncières et code rural, projets – dont le PSSP bien sûr - et associations d’appui au secteur pastoral).
Un enjeu central est évidemment apparu au sein de ces deux axes : l’accès à l’eau et aux pâturages. Il a été abondamment traité dans les travaux de l’équipe. -
Prévention et gestion des conflits liés à la gouvernance des ressources naturelles en Afrique de l’Ouest : défis et perspectives
Conférence internationale d'échange sur les pratiques de sécurisation foncière, de gestion des aires protégées, de prévention et de gestion des conflits liés à l’extrémisme violent et au djihadisme à l'échelle nationale et sous régionale en Afrique de l'Ouest. Cette Conférence a été organisée par les programmes GIZ-ZFD et Frexus avec l’appui financier de l'Union Européenne, du ministère allemand de la coopération et le parrainage du gouvernement de la République du Niger à travers la Haute Autorité à la Consolidation de la Paix. -
Gérer ensemble les ressources naturelles du territoire - Guide méthodologique pour promouvoir et consolider une gestion négociée des ressources naturelles en Afrique de l’Ouest
Ce guide résulte d’un travail de construction collective entre le Gret et les différents partenaires du projet Negos-GRN, qui a réuni des ONG de développement (Amedd, Cinesda, Enda) et des laboratoires de recherche (Gersda, Laboratoire Citoyennetés, Ipar) de trois pays d’Afrique sahélienne (Mali, Burkina Faso et Sénégal).
Ce projet a porté sur la promotion de règles négociées de gestion des ressources naturelles, à travers des expérimentations menées dans plusieurs sites, la formalisation de repères méthodologiques et le développement d’un plaidoyer pour des politiques de gestion des ressources naturelles intégrant ces principes. Il a bénéfi cié d’un appui scientifi que de l’IRD (UMR Gred) et de l’Iheid et a associé le Hub rural et le Cirad. Une série de « Notes de politiques » d’études de cas et les actes de deux conférences régionales sont disponibles sur le site du projet : www.negos-grn.org Les sites d’intervention du projet couvrent des territoires aux enjeux variés : (i) au Burkina Faso, les communes de Padema (province du Houet) et de Samoroguan (province de Kénédougou) ; (ii) au Mali, les communes de Koury et de Yorosso (cercle de Yorosso) ; (iii) au Sénégal, la communauté rurale de Dionewar (delta du Saloum), de Ndiebene Gandiole (région de Saint-Louis) et la commune de la Somone (Plateau de Thiès).
Depuis le début des années 90, la décentralisation de la gestion des ressources naturelles est à l’ordre du jour. De nombreuses recherches et expériences de terrain ont montré que les acteurs locaux pouvaient, sous certaines conditions, assurer une gestion durable de leurs ressources bien plus efficace qu’un dispositif extérieur.
De nombreuses expériences de « conventions locales » ont été menées. Elles ont souvent un bilan mitigé. Partant de ce constat, des praticiens de la gestion des ressources naturelles et des chercheurs se sont réunis au sein du projet NEGOS-GRN, pour expérimenter des démarches de diagnostic et d’appui à la négociation et produire des cadres de références en matière d’orientations politiques et de méthodologies d’appui. Élaboré conjointement par l’ensemble des partenaires de Negos-GRN, sous la coordination du Gret, ce guide est issu des analyses et méthodologies développées sur les sept sites du projet Negos-GRN, mais aussi de l’expérience des différents partenaires. -
Critères de sélection des bovins laitiers par les éleveurs autour de Niamey au Niger
Une enquête portant sur 164 éleveurs de bovins laitiers de la communauté urbaine de Niamey (Niger) a été menée pour identifier les paramètres à considérer localement lors de jugement zootechnique. Les interviewés, principalement des hommes (57,0 p. 100), illettrés (81,1 p. 100), appartenaient majoritairement aux ethnies Peul (56,1 p. 100) et Zarma (34,8 p. 100). L’étude a concerné 1 635 zébus dont 26,5 p. 100 étaient des vaches en lactation et 28,8 p. 100 des veaux. A l’achat des animaux, les éleveurs préféraient les vaches en lactation (41,0 p. 100), les génisses (33,5 p. 100), puis les mâles (23,9 p. 100). Le premier critère par les éleveurs pour choisir les bovins était la race : Djelli (66,4 p. 100), Azawak (12,2 p. 100) et Bororo (5,3 p. 100). Par ailleurs, les éleveurs identifiaient d’autres critères secondaires, tels que la robe (50,6 p. 100), la forme des mamelles (34,8 p. 100), l’état corporel de l’animal (8,5 p. 100), les testicules (2,4 p. 100) et les cornes (2,4 p. 100). -
Note de suivi des unités communautaires de fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour bétail dans le département de Mayahi (Région de Maradi)
Pour résoudre le problème crucial de la sous-alimentation et la mortalité d’animaux, des technologies ont été développées dont la fabrication des Blocs Multi Nutritionnels Densifiés (BMND) pour le bétail. C’est une technologie simple mise au point par l’Institut National de la Recherche Agronomique du Niger (INRAN) en collaboration avec le PPAAO-Niger et la FAO. Ces blocs sont fabriqués à base de fourrages locaux, de tiges de mil (entières et broyées), de gousses de Faidherbia albida entière et broyées (gao), de tourteaux de coton broyés, de sons de blé, de minéraux (sels, phosphate, calcaire) et de liants (gomme arabique ou farine de manioc).
Le BMND fournit aux ruminants les nutriments dont ils ont besoin pour leur entretien quotidien. Sa consommation favorise l’assimilation rapide des fourrages grossiers, augmente la consommation d’eau et améliore leur état de santé et leur résistance au stress d’origines diverses. La technologie de fabrication de BMND est de plus en plus maitrisée par les organisations paysannes (OP) notamment grâce à l’appui de projets. En effet, depuis 2014, Sahel Bio vulgarise cette technologie dans le département de Mayahi, grâce au financement de la fondation Suisse HEKS-EPER. La production-vente du BMND est, de nos jours, une source de revenu pour les populations des zones concernées. La Chambre Régionale d’Agriculture (CRA) de Maradi a effectué un suivi au niveau de quatre (4) unités communautaires de fabrication de BMND du département de Mayahi. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (1)
L’offre d’éducation/formation des populations pastorales dans les zones transfrontalières déroulée dans le cadre du PREPP (Programme Régional d’Éducation et formation des Populations Pastorales en zones transfrontalières), depuis fin 2013, est une innovation majeure.
Le présent travail d’ingénierie des référentiels de formation a permis d’élaborer des modules de formation exclusivement conçus pour soutenir la formation accélérée qualifiante (FAQ) des éleveurs pasteurs en zones transfrontalières.
Le choix délibéré est fait de construire des contenus et processus d’enseignement-apprentissage selon la démarche DCTP et l’approche par compétences (APC) afin de « Parvenir à une meilleure intégration sociale, politique et économique des populations pastorales transhumantes des zones transfrontalières par l’éducation et la formation professionnelle ».
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur les productions animales, se focalisent sur le thème de la « Production fourragère » et se déclinent comme suit : 1. les cultures fourragères ; 2. la production du foin ; 3. le traitement de la paille à l’urée. Ces modules d’un volume horaire global de 31 heures sont élaborés selon une organisation pédagogique et andragogique qui privilégie la résolution de situations-problèmes. -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Santé animale
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la santé animale, se focalisent sur le thème de la « vaccination et traitement des animaux (ruminants et volaille). -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (3)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise de laiterie pastorale » et se déclinent comme suit : Production du lait - Transformation du lait (en fromage) - Commercialisation du lait et de ses sous-produits -
Développement des compétences techniques et professionnelles de l'éleveur-pasteur - Modules de formation accélérée qualifiante - Domaine de compétence : Productions animales (4)
La formation accélérée qualifiante (FAQ) est une voie de professionnalisation que l’APESS, à travers son Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières, offre aux nombreux néo-alphabètes sortant de l’éducation de base.
Les FAQ concernent des formations de très courte durée (de 2 à 30heures maximum) débouchant sur une compétence technique et professionnelle utile à l’éleveur-pasteur.
Les modules qui sous-tendent ces FAQ ont été sélectionnés pour répondre aux besoins de formation spécifiques exprimés par les communautés pastorales.
Les présents modules de formation, qui concernent le vaste domaine de compétence sur la production animale, se focalisent sur le thème de la « Entreprise d’embouche en milieu pastoral » et se déclinent comme suit : Embouche bovine - Embouche ovine -Commercialisation des animaux embouchés. -
Référentiels des Métiers et des Compétences pastoraux
Une équipe de travail, sous la facilitation du Bureau EDRIC/Sarl, Burkina Faso, s'est investie pour concevoir et produire ce premier outil de référence pour l'organisation et la conduite des processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) des populations pastorales dans le cadre du Programme Régional Education et formation des Populations Pastorales (PREPP). Ce processus a permis d'analyser la situation de travail de l'éleveur pasteur et d'aboutir à un document de référence sur les métiers et emplois pastoraux.
La définition des référentiels des métiers et des compétences pastoraux fut une étape indispensable pour la mise en œuvre des processus de développement des compétences techniques et professionnelles. Son élaboration a pris en compte la réalité professionnelle tout en permettant d'anticiper sur l'évolution du métier d'éleveur-pasteur dans le contexte d'un pastoralisme transhumant et d'un système socio-économique en pleine mutation. Pour les éleveurs pasteurs, le RMC constitue un consensus sur l'appellation et la description des métiers pastoraux ; ce qui permet d'instituer un code de conduite professionnelle qui clarifie le métier et le met ainsi en valeur. -
Programme modulaire de formation du médiateur social – Livret de l’apprenant
Depuis plusieurs années, des initiatives multiples se développent sous le terme générique de « médiation ». Les démarches répondent à une volonté commune de promouvoir un mode d’intervention dans les relations sociales basé sur la philosophie du dialogue et de la négociation. Elles tendent à s’établir comme un mode spécifique de régulation sociale. Ces initiatives visent à une résolution des conflits de la vie quotidienne ou plus largement à susciter davantage de lien social, à améliorer les relations entre les institutions, les groupes sociaux et les personnes, ainsi que les relations des personnes entre elles.
Ce foisonnement d’expériences faisant appel à l’intervention d’un tiers s’est développé sous l’appellation générique de « médiation sociale ». -
Programme modulaire de formation en entreprenariat pastoral – Module 1 Création d’une entreprise – Module 2 Gestion d’une Exploitation familiale ou d’une entreprise - Livret de l’apprenant
Connaissance du métier d’éleveur pasteur et des créneaux porteurs - Activité : Adopter des comportements et attitudes pour moderniser l’élevage afin d’améliorer leurs conditions de vie.
Connaissance des outils de gestion des exploitations familiales - Activité : Adopter des comportements et attitudes pour mieux gérer son exploitation familiale afin d’améliorer son rendement. -
Programme modulaire de formation du facilitation des centres d’éducation de base (CEB) - Livret de l’apprenant
Le Programme d’Education/formation des populations pastorales en zones transfrontalières (PREPP) est un programme dont une des priorités est de former un vivier de facilitateurs endogènes de centres d’éducation de base en milieu pastoral.
Pour cela, un programme de formation modulaire est conçu pour capaciter des néo alphabètes du milieu au métier d’animation/facilitation en Education Non Formelle, notamment en alphabétisation/formation de base. Le programme modulaire du « Facilitateur endogène » comprend 4 modules que sont : 1. La connaissance du milieu et la mobilisation sociale ; 2. Communication et animation de groupe Andragogie) ; 3. La préparation et la conduite des enseignements/apprentissages, 4. Le suivi et l’évaluation des centres d’éducation de base. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" -Projet pédagogique 1 : les aliments pour bétails - VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Les éleveurs pour assurer une alimentation pérenne au bétail doivent pouvoir : identifier les différents types de pâturage dans son environnement et son terroir ; identifier les principales espèces appétées par les animaux dans sa région ; décrire au moins 10 espèces de plantes appétées et leur utilisation ; expliquer le dynamisme des pâturages ; faire du bon foin. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 2 : Gestion améliorée des troupeaux - VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.3 : les maladies courantes et diverses ; les maladies animales sont causées essentiellement part : des virus ; des bactéries (le terme bactérie est un nom vernaculaire qui désigne certains organismes vivants microscopiques présents dans tous les milieux) ; des parasites.
Module 1.4 : la gestion de la reproduction ; la gestion de la reproduction allant dans les sens d'une amélioration de la productivité du troupeau est une préoccupation majeure des éleveurs transhumants dans nos pays (Burkina, Togo, Bénin). -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 3 : Règlement de la transhumance- VSPA niveau 1 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.5 : les maladies réglementées par la Transhumance - Au cours de la transhumance, l’éleveur-pasteur sera confronté à des contraintes/problèmes plus ou moins différent-e-s selon les administrations et les populations auxquelles il doit faire face. Parmi ces problèmes, on relève la non maîtrise de certaines pathologies réglementées par les textes sur la transhumance (animaux parfois non vaccinés et non déparasités avant le départ en transhumance). L’objectif des exercices qui suivent est donc d’apporter aux apprenants des connaissances pour reconnaître les maladies réglementées par la transhumance à travers leurs symptômes et proposer, en collaboration avec les techniciens, une lutte efficace contre ces dernières. On peut les diviser en deux groupes dont les maladies virales et les maladies bactériennes. Module 1.6 : le protocole sanitaire - Les mouvements incontrôlés du bétail et de la transhumance sont parfois source de nombreux problèmes d'ordre sanitaire, social, juridique, environnemental, économique et politique. Ceux-ci ont nécessité la mise en place de règlements, d’organismes de suivi de ces règlements au sein de chaque pays et dans l’espace CEDEAO. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 1 : Les aliments pour bétail - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 1.1 : Pâturages naturels tropicaux - Le présent document tentera d’apporter des solutions aux préoccupations des éleveurs à travers les points suivants : classer les aliments par rapport à la valeur nutritive (fourrage, concentrés, groupes d'aliments) ; gérer les ressources fourragères (pâturage naturel, résidus de récoltes et fourrages cultivés) ; traiter chimiquement et mécaniquement les fourrages ; traiter la paille à l’urée, faire la fenaison) ; citer d'autres aliments (tels que les gousses et fruits de ligneux) ; répertorier les différentes sources d'eau ; énumérer les contraintes majeures de la gestion des ressources hydriques ; citer les éléments clés d’un contrat d'utilisation des résidus de récolte entre agriculteur et éleveur.
Module 1.2 Compléments alimentaires - En période de sécheresse où les fourrages sont rares et que ceux restant perdent une bonne partie de leurs qualités nutritives, l’apport de compléments alimentaires devient nécessaire pour couvrir les besoins des animaux. Il est donc nécessaire que les éleveurs connaissent une meilleure utilisation de ces compléments.
Le module suivant abordera dans son contenu les points ci-après : l’importance des compléments alimentaires ; la composition de la ration alimentaire ; la fabrication des pierres à lécher et des blocs multi nutritionnel. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 2 : Gestion améliorée des troupeaux - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 2.1 : maladies courantes et diverses - Le premier niveau de la formation du « Vulgarisateur en santé et production animale » a permis aux apprenants de reconnaitre les maladies courantes à travers leurs symptômes. Ce fut également l’occasion pour eux, d’aborder de manière sommaire, les moyens qui permettent de lutter contre ces maladies. Ce deuxième niveau de formation qui vise le renforcement des connaissances et compétences de ces apprenants sur les maladies courantes est axé sur leurs modes de transmission, de contamination et de propagation, sur la prophylaxie médicale de chacune d’elles et sur leurs conséquences négatives.
Module 2.2 : gestion de la reproduction - Dans ce chapitre intitulé gestion de la reproduction certains contenus développé au niveau 1 seront approfondi ou complétés. -
Formation de l'éleveur-pasteur - "vulgarisateur en santé et productions animales" - Projet pédagogique 3 : Règlementation de la transhumance - VSPA niveau 2 - Livret de l’apprenant
Ce programme de formation a été élaboré par l'Association pour la Promotion de l'Elevage au Sahel et en Savane (APESS) dans le cadre de son Programme Education et Formation des Populations Pastorales (PREPP) en zones transfrontalières. Ce document de soutien pédagogique à la mise en œuvre du processus de Développement des Compétences Techniques et Professionnelles (DCTP) est la résultante d'un partenariat dynamique avec des structures techniques déconcentrées des Etats, les Opérateurs en éducation et formation et les personnes ressources aux compétences variées.
Module 3.1 : maladies réglementées par la transhumance - Ce deuxième niveau de formation qui vise le renforcement des connaissances et compétences de ces apprenants sur les maladies réglementées par la transhumance est axé sur leurs modes de transmission, de contamination et de propagation, sur la prophylaxie médicale de chacune d’elles et sur leurs conséquences négatives.
Module 3.2 : prévention et gestion des conflits - L’objectif des exercices qui suivent est donc d’apporter aux apprenants des connaissances leur permettant de définir un conflit, d’expliquer ses différentes phases et ses principales causes. Ils pourront également expliquer les mécanismes de prévention et de résolution d’un conflit. -
Rapport annuel 2015 : Les statistiques du secteur de l'élevage
Le Ministère de l’Élevage a été invité à la deuxième édition du Salon International de l'Agriculture du Maroc (SIAM) à Meknès sur le thème " les Produits de terroir". La délégation du Niger a participé à cette édition dans l'objectif de s'enquérir de l'expérience marocaine dans le cadre de la mise en œuvre du Plan Maroc Vert, Plan similaire à l'Initiative 3N "Les Nigériens Nourrissent les Nigériens". -
Rapport annuel 2016 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité par la grande diversité d'espèce et race élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière deccenie. En 2016, le cheptel est estimé à 44.595.672 tetes toutes espèces confondues soit 17.340.539 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 3.700 milliards de francsFCFA. -
Rapport annuel 2017 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger par la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution variant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2017, le cheptel est estimé à 46.484.539 têtes toutes espèces confondues soit 18.156.652 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 400 milliards de francs CFA. -
Rapport annuel 2018 : Les statistiques du secteur de l'élevage
L'élevage au Niger pour la grande diversité d'espèces et races élevées joue un rôle important dans l'économie nationale avec une contribution vivant de 11 à 14% du PIB au cours de cette dernière décennie. En 2018, le cheptel est estimé à 48.460.804 têtes toutes espèces confondues soit 19.016.316 UBT pour une valeur du capital estimé à plus de 4.100 milliards de francs CFA.