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Défi de l'agriculture africaine et mondiale
Cette analyse dresse un tableau sombre ainsi que de défis et potentiels de l' Agriculture africaine et mondiale.
2.4 milliards de plus de personnes à nourrir à 2050
1.2 milliards de plus d‘Africain dans les villes à 2050
16% des terres africaines sont arables, la plus large réserve du monde
79% de la terre arable africaine reste non cultivée
Les prix d‘engrais ont augmenté de 40% en moyenne
3.5 million de plus de tracteurs sont nécessaires pour mettre l’Afrique au même niveau que les autres régions du monde
Les pertes annuelles céréalières d‘après-récolte en Afrique au Sud du Sahara sont estimées à plus de $4 milliards en moyenne et avoisinent la valeur équivalente d‘importation en céréales de la région. -
25 ans de réhabilitation et de conservation des sols au Sahel
Les gouvernements allemand et nigérien font partie des pays signataires de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CLD) qui engage les pays membres à « lutter contre la désertification et à atténuer les effets de la sécheresse dans les pays gravement touchés par la sécheresse et/ou la désertification en particulier en Afrique ». Ainsi, les gouvernements du Niger et de l’Allemagne ont initié, depuis le début des années 1980, des actions de lutte contre la dégradation des terres et des ressources naturelles notamment dans les régions de Tillabéri-Nord et de Tahoua. Le Projet de développement rural de Tahoua (PDRT) a démarré en 1985 et en 1986, le Projet de protection intégrée des ressources agro-sylvo-pastorales (PASP) a lancé sa phase pilote dans la région de Tillabéri Nord. À partir de 2004 jusqu’à fin 2011, les actions des deux projets initiaux se sont poursuivies dans le cadre du Programme de lutte contre la pauvreté en milieu rural (LUCOP). Financés sur des fonds du ministère allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ), ces actions ont été réalisées par la Coopération technique (GIZ), la Coopération financière (KfW) et le Service Allemand de Développement (DED). En partie, les travaux se poursuivent actuellement. -
Croissance de l'Agriculture en Afrique
L'Afrique abrite la moitié des terres fertiles et non cultivées du monde ; elle possède des ressources hydriques abondantes. A l'échelle mondiale, les agriculteurs africains sont ceux qui produisent le moins à partir de leurs cultures vivrières. les africains importent la moitié du riz qu'ils consomment et payent le prix fort pour cela. -
Bandes antiérosives végétalisées dans un champ agroforestier
Note issue de 2 documents réalisés par l’APAF-Sénégal sur la restauration des sols -
Etude sur les aménagements hydro-agricoles, les sites de culture de contre-saison et les terres restaurées
Cette étude décrit le cadre de mise en valeur des aménagements hydroagricoles pour le maraîchage de contre-saison -
Rapport de mission: supervision des activités du projet d'appui au développement agricole dans la region de zinder-PADAZ
Le gouvernement nigérien a mis en place une politique d'exploitation rationnelle des eaux issues du ruissellement -
Rapport de mission de supervision du projet d'appui au développement agricole dans la région de zinder ( PADAZ) du 10 au 18 juillet 2004
Une mission de supervision du projet d'appui au développement agricole dans la région de Zinder. L'objectif de cette mission est d'apprécier outre les principaux résultats du projet obtenu au cours du premier semestre 2004 -
Enquête de référence sur les organisations des professionnels des filières et les membres de leurs ménages
Le Gouvernement du Niger a obtenu de l’Association Internationale pour le développement (IDA), un prêt pour le financement du Projet de Développement des exportations et des Marchés Agro- Sylvo-Pastoraux (PRODEX) afin de favoriser l’accès des producteurs ruraux aux opportunités économiques pour créer les conditions d’une croissance économique durable en milieu rural. S’inscrivant comme bien d’autres projets de développement dans la logique de la Gestion Axée sur le Résultat (GAR), le PRODEX, pour mieux mesurer l’impact des actions du projet sur les bénéficiaires, en collaboration avec l’Institut National de la Statistique (INS) a organisé du 20 août au 18 septembre 2012 une enquête nationale de référence sur les organisations des professionnelles des filières (OPF) et leurs ménages. Cette enquête a porté sur un échantillon de 499 OPF et 3992 ménages. -
Appui à l'élaboration des DPPD des ministères du secteur Sécurité alimentaire, nutritionnelle et développement agricole durable au Niger
Les DPPD des ministères de l'hydraulique et de l’assainissement, de l'agriculture et de l'élevage, de l'environnement et du développement , du commerce et de la promotion du secteur privé puis du haut-commissariat à l'initiative à l'initiative 3N ont donné lieu en juin-juillet 2016 a un travail de mise au point qui a fait apparaitre des points forts et des limites . L'analyse stratégique et la description du secteur d'intervention est réalisé de manière convaincante par tous ces documents, même si la lecture en est légèrement fastidieuse. La définition des programmes est judicieuse. Les indicateurs généraux sectoriels ne manquent pas. -
Évaluation du niveau d'exécution des recommandations formulées dans le rapport 2001 sur la base aérienne DPV : Mission 1
La présente étude relative à la mission 1 de l'évaluation du niveau d'exécution des recommandations formulées dans le rapport 2001 sur la base aérienne DPV fait partie d'une série de trois missions initiées dans le cadre du projet AFR/014 "Renforcement du Potentiel de Lutte Anti-ancridienne au Niger 1999-2002". -
Le développement du Lac Tchad : Situation actuelle et futurs possibles
Cette étude est née du besoin de clarification liée à l'image brouillée que renvoie le Lac Tchad, qui freine les politiques de développement en sa faveur. Depuis quelques années, le lac Tchad suscite un intérêt international accru. Ce géosymbole ancien, qui fascina géographes arabes du Moyen-Age puis explorateurs européens du XIXe siècle - qui croyaient y trouver les sources du Nil (Krings et Platte, 2004; Bouquet, 2012) - est évoqué dans de nombreuses conférence internationales sur l’environnent, l'eau, le climat et le développement. -
Mission d'examen du Programme Spécial National II, PSN
Le présent aide-mémoire rend compte des conclusions préliminaires de la mission sur le niveau de réalisation des activités prévu dans le cadre du Programme sur la pertinence de l'approche adoptée. Il propose des mesures correctives à mettre en œuvre pour réaliser le niveau de réalisation des activités de développement et des investissements en faveur des communautés et des groupes cibles du Programme. -
Programme d'appui au développement agricole durable dans le région de Dosso
Au Niger, le secteur primaire, dominé par les activités agropastorales, joue un rôle essentiel dans la croissance économique, en particulier, le sous-secteur agricole qui demeure la source presque exclusive des aliments et nutriments consommés par les nigériens. Malheureusement, la forte sensibilité des activités agropastoraux aux risques multiples fait que le pays n'assure pas une alimentation saine et suffisante à l'ensemble de la population. -
Niger 2035 : Un pays et un peuple prospères
Le diagnostique relève que le Niger dispose des atouts significatifs, en particulier, son potentiel humain, ses ressources agro-sylvo-pastorales et halieutiques et minières, la résilience de sa population et la ferme volonté politique qui anime ses élites. Mais il a été également souligné dans ce diagnostique, l'ampleur des contraintes qui pourraient entraver la réalisation des objectifs de développement et la mise en œuvre des reformes qui s'imposent. La vision du Niger à l'horizon 2035 est d’être " un pays moderne, paisible, prospère et fier de ses valeurs culturelles dans une Afrique unie et solidaire". -
Projet d'appui au développement local dans la région de Diffa (PADL-DIFFA)
Ce projet, centré sur la protection et la valorisation des bases productives, a été établi en référence aux principales contraintes et axes de développement discutés consensuellement tout au long de l’étude préparatoire financée par la Banque. La structuration du projet s’inscrit dans le cadre des réformes en cours ; il constituera, pour les communautés de base, un renforcement au processus de la décentralisation. En termes physiques, il permettra la réhabilitation ou la réalisation d’aménagements hydro-agricoles (périmètres irrigués, cuvettes oasiennes, mares, bas-fonds), et la préservation du milieu naturel (fixation de dunes, récupération de terres de glacis, protection des berges de la Komadougou, couloirs de passage). -
Note de présentation du PIP2 antenne de Tahoua à l'occasion de la visite du Ministre de Développement l'Agricole
L'antenne de Tahoua a été officiellement installée en mars 2003. Elle a pour mission de coordonner les activités conduites par les prestataires conformément à la stratégie de "faire faire"du projet. Son personnel restructuré comporte : Un chef d'antenne; un Responsable de Suivi Évaluation; un Comptable; Une Secrétaire; Deux chauffeurs; Un gardien. -
Offre pour le projet de construction du siège de l'Unité Nationale de Lutte Antiacridienne
Le présent document est une réponse émise par l'Entreprise Issoufou Slifou dans le cadre du projet de Construction du siège de l'Unité Nationale de Lutte Antiacridienne. -
Plan d’accélération de la mise en œuvre de l'initiative 3N: 2014-2015
L'initiative 3N (I3N) qui a été adoptée par le Gouvernement en Avril 2012 se fixe comme objectif global de "contribuer à mettre durablement les populations Nigériennes à l'abri de la faim et de la malnutrition et leur garantir les conditions d'une pleine participation à la production nationale et à l’amélioration de leurs revenus". De façon spécifique, il s'agit de "renforcer les capacités nationales de productions alimentaires, d'approvisionnement et de résilience face aux risques alimentaires et aux catastrophes". -
Plan d'actions 2021
Au Niger, le secteur rural occupe 80% de la population. Les trois quart (3/4) de la population vivent sur environ un quart (1/4) de la superficie totale du pays. La zone agricole représente seulement 12% de cette superficie et la zone désertique y compris le désert du Ténéré, représente les deux tiers (2/3). Une telle situation géographique place le Niger en zone écologiquement aride, d’où une anomalie hydro-climatique très prononcée depuis 1968. -
Plan de Développement Économique et Social (PDES) 2012-2015
Les choix stratégiques pour le Niger, tels qu’exprimés par les plus hautes autorités nationales, visent à concilier les impératifs de court terme consistant en la recherche de solutions aux préoccupations urgentes et la nécessité d’adopter une stratégie à long terme permettant d’optimiser les ressources naturelles et humaines en vue de promouvoir un développement économique et social durable et une croissance inclusive. -
Plan de Développement Économique et Social (PDES) : 2012-2015
Le choix stratégique pour le Niger tels qu'exprimés par les hautes autorités nationales visent à concilier les impératifs de court termes consistant en la recherche de solutions aux préoccupations urgentes et la nécessité d'adopter une stratégie à long terme permettant d'optimiser les ressources naturelles et humaines en vue de promouvoir un développement économique et social durable et une croissance inclusive. -
Plan de travail et budget annuel 2017 consolidé des unités de gestions de gestion (URGP & CENAT) du ProDAF
Le présent Plan de Travail et Budget Annuel (PTBA) 2017 révisé a été élaboré par les équipes du Programme en fin Juillet, à l’issue du bilan du premier semestre 2017 qui a mis davantage en lumière la nécessité de réviser les prévisions physique des cibles ainsi que les les budgets y afférents prévus par les trois unités régionales de Gestion du Programme et la Cellule Nationale d'Assistance technique en vue d'une meilleure performance en matière de réalisation physique et de décaissement. -
Plan d'investissement PNIA/SDR Niger
A l'instar de tous les pays de la sous région, le Niger s'est engagé depuis Octobre 2016 dans le processus de mise en œuvre de l'agenda de Programme Détaillé du Développement de l'Agriculture Africaine (PDDAA) et de la Politique Agricole de la CEDEAO (ECOWAP), comme faisant parti des efforts nationaux de promotion du développement du secteur agricole et de la croissance économique. Ce processus s'est inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie de Développement Rural (SDR). -
Programme d'appui au développement agricole durable dans la région de Dosso - Phase II
Le programme s'inscrit dans un des secteurs de concentration du Programme indicatif de Coopération III (2016-2020) à savoir le développement rural. L'objectif global du NIG/025 est celui de l'Initiative 3N (I3N) qui vise à mettre les populations nigériennes à l'abri des famines récurrentes, lui garantir les conditions d'une pleine participation à la productivité nationale et améliorer son niveau. -
Programme d'appui au développement agricole durable dans la région de Dosso
Au Niger, le secteur primaire dominé par les activités agropastorales, joue un rôle des essentiel dans la croissance économique, en particulier, le sous-secteur agricole qui demeure la source la source presque exclusive des aliments et nutriments consommés par les nigériens. Malheureusement, la forte sensibilité des activités agropastoraux aux risques multiples fait que le pays n'assure pas une alimentation saine et suffisante à l'ensemble de la population. -
Programme d'appui au développement agricole durable dans la région de Dosso
Au Niger, le secteur primaire dominé par les activités agropastorales, joue un rôle des essentiel dans la croissance économique, en particulier, le sous-secteur agricole qui demeure la source la source presque exclusive des aliments et nutriments consommés par les nigériens. Malheureusement, la forte sensibilité des activités agropastoraux aux risques multiples fait que le pays n'assure pas une alimentation saine et suffisante à l'ensemble de la population. -
Programme d'appui au développement agricole durable dans la région de Dosso
Au Niger, le secteur primaire dominé par les activités agropastorales, joue un rôle des essentiel dans la croissance économique, en particulier, le sous-secteur agricole qui demeure la source la source presque exclusive des aliments et nutriments consommés par les nigériens. Malheureusement, la forte sensibilité des activités agropastoraux aux risques multiples fait que le pays n'assure pas une alimentation saine et suffisante à l'ensemble de la population. -
Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder
Le FIDA intervient au Niger depuis trois décennies dans les zones rurales où la concentration de familles pauvres est la plus importante, par une approche intégrée de développement de bassins versants et de leurs bassins de production, au sein de pôles de développement économique et en collaboration avec les collectivités territoriales. -
Programme de travail et budget annuel (PTBA) révisé : 1er Janvier au 31 Décembre 2015, financement additionnel
Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet de Développement des exportations et des Marchés Agro-Sylvo-pastoraux (PRODEX), le Gouvernement du Niger a obtenu de la Banque un financement additionnel de 13,8 millions de dollars US pour assurer d'une part la consolidation du projet initial (le renforcement des maillons faibles des filières, l'accès au financement bancaire, la mise en place d'un système de gestion pour les sous projet) et d'autre part pour appuyer la préparation d'un programme national de gestion des risques agricoles pour le pays. -
Projet d'aménagement de la cuvette de Gatawani Dolé dans la région de Dosso
L'aménagement de la cuvette de Gatawani Dolé va permettre de promouvoir, l’intensification des cultures irriguées et l'amélioration des conditions de vie des populations concernées. En effet, sa mise en valeur permettra d'accroitre le rendement du riz paddy à plus de cinq (5) tonnes par ha contre deux (2) tonnes par ha dans les parcelles traditionnelles. -
Projet de budget 2018 du Système CILSS
Le budget 2018 a été préparé conformément aux dispositions du Règlement financier du CILSS et est exprimé en FCFA. -
Projet de réhabilitation de la pépinière fruitière régionale de Birnin N'Gaouré
L'économie nigérienne et le bien être de la population sont très sensibles aux fluctuations pluviométrique en terme de quantité, de répartition dans l'espace et dans le temps. En effet, le secteur prédominant demeure celui de l'agriculture qui représente plus de 50% du produit intérieur brut du pays de 1960 jusqu'au 1974 et 39% en 1996. -
Projet de viabilisation de la filière riz par la confrontation des aménagements hydroagricole et le renforcement des capacités des différents acteurs.
Pays sahélien et enclavé, avec une superficie de 1.267.000 km² et une population de 11 060 291 habitants (RGPH 2001), le Niger fait partie des pays les plus pauvres de la planète. -
Rapport administratif et financier au 31 Décembre 2017
Le système comptable du CILSS se compose d'une comptabilité budgétaire et d'une comptabilité générale. Ces deux comptabilité sont tenues en francs CFA par une année civile allant du 01 Janvier N au 31 décembre N. -
Rapport annuel des activités réalisées en 2020
Au Niger le secteur rural occupe 80% de la population. Les 3/4 de la population vivent sur environ 1/4 de la superficie totale du pays. La zone agricole représente seulement 12% de cette superficie et la zone désertique représente les deux tiers (2/3), si on y ajoute le désert du Ténéré. -
Rapport d'exécution du devis programme n°1 de croisière : Période 14 juillet 2013 au 14 juillet 2014
Dans le cadre de la coopération entre la République du Niger et l'Union Européenne, la convention de financement N° NE/FED/023-065 au Développement du Secteur Rural dans les régions de Dosso et Zinder (PADSR) a été signée par les deux parties en date du 8 mars 2012. -
Bilan d'activités: Période du 1er janvier au 12 décembre 2011
Le Projet de Promotion de l'Initiative Locale pour le Développement à Aguié (PPILDA) couvre l'ensemble du département d'Aguié (4 communes) et les communes limitrophes de Saé Saboua (Département de Guidan Roumdji) et de Jiratawa (département de Madrounfa). Il a été mis en vigueur le 05 mai 2005 pour une période de huit (8) ans. -
Rapport d'activités dans le cadre du devis Programme de démarrage allant du 1er Novembre 2012 au 30 Avril 2013
Dans le cadre de la coopération entre la République du Niger et l'Union Européenne, la convention de financement N° NE/FED/023-065 du Projet d'Appui au Développement du Secteur Rural dans les régions de Dosso et Zinder a été signée par les deux parties en date du 8 mars 2012. -
Rapport d'analyse des offres relatives à l'exécution des travaux de construction des Barrages de Kassama,Toumbala et Bakatchiraba dans la zone d'intervention du PADAZ
Suite à l'ouverture publique des offres relatives à l'exécution des travaux de construction des barrages de Kassama, Toumbala et Bakatchiraba et du périmètre irrigué de Kassama dans la zone d'intervention du PADAZ suivant AOI N°001/AO/2005/PADAZ du 04 Aoùt 2005, le Mardi 01 Novembre 2005, il a été mis en place une sous-mission technique chargée de l'analyse des dites offres. -
Rapport d'avancement de l'exécution physique et financière du PIPA/SA au 31 aoùt 2018
Le Gouvernement de la République du Niger et la Banque Ouest Africaine de Développement ont signé le 18 janvier 2011, l'accord de financement de la mise en oeuvre du Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA). Il est conjointement financé par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), l'Etat du Niger et les populations bénéficiaires pour un montant de 10 milliards 484 millions de fcfa hors taxe et hors douane. -
Rapport d'avancement des activités du PTBA au 31 août 2018
Le Gouvernement de la République du Niger et la Banque Ouest Africaine de Développement ont signé le 18 janvier 2011, l'accord de financement de la mise en oeuvre du Projet d'Intensification des Productions Agricoles pour la Sécurité Alimentaire (PIPA/SA). Il est conjointement financé par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), l'Etat du Niger et les populations bénéficiaires pour un montant de 10 milliards 484 millions de fcfa hors taxe et hors douane. -
Rapport de mission d'appui au recrutement du personnel cadre
Les objectifs visés par la mission sont : Vérifier si les procédures de recrutement du personnel du projet contenues dans le manuel d'exécution du projet ont été appliquées pour le recrutement en cours du personnel cadre; S'assurer que les profils identifiés des candidats sont adaptés aux contraintes des postes en termes de formation et d'expérience; Expertiser les résultats présentés sur les quatre (4) premiers candidats poste par poste sur la base des dossiers. -
Rapport de Suivi Financier (RSF) : 3em trimestre 2007 du 1er juillet au 30 septembre 2007
Les activités réalisées au cours de ce troisième trimestre ont essentiellement concerné la poursuite de la mise en œuvre du plan de gestion environnementale et sociale, le financement des microprojets, l'acquisition des semences améliorées de mil, la préparation de plusieurs dossiers de marchés relatifs aux travaux de génie civil et de renforcement des compétences des agents chargés de l'exécution du Projet. -
Rapport de synthèse des travaux de l'atelier d'évaluation et de programmation des activités NER/92/P02
Les travaux étaient présidé par la Directrice Nationale du Projet, Mdme Diallo Salamatou Adda, qui dans son discours d'ouverture a souhaité à la fois la bienvenue et la bienvenue et la bonne année aux participants. -
Rapport d'étude d'impact environnemental et social du SPIC-AIC dans la commune rurale de Bazaga (Région de Tahoua) : Amenagement de 25 ha de petits périmètre, de la mare de Rouafi et fonçage d'un forage moyen équipe d'exhaure solaire par ha.
Dans le cadre de l'opérationnalisation de l'initiative les « Nigériens Nourrissent les Nigériens » (3N) qui constitue le cadre politique et stratégique qui oriente le développement agricole au Niger, la Banque Mondiale appuie le pays à travers le Projet d’Appui à l’Agriculture Sensible aux risques Climatiques (PASEC) depuis 2015.Dans la région de Tahoua qui fait partie de la zone d’intervention du Projet, la commune de Bazaga qui connait une forte vulnérabilité à l’insécurité alimentaire du fait de la sécheresse fréquente et à la variabilité des précipitations. -
Rapport d'évaluation des offres et recommandation pour l'attribution duu marché
Le comité d'experts indépendants, crée par décision N°14/MAG/EL/SG/DMP/DSP du 16 septembre 2016 s'est réuni du 22 au 29 septembre 2016 en vue de procéder à l'analyse des offres relative aux Acquisition des équipements au profit du laboratoire de production de vaccin i2 au Laboratoire LABOCEL Niamey dans le cadre du PPAO. -
Document technique relatif au financement OFID3 "Programme de Développement de l'Agriculture Familiale - PRODAF"
Le Niger est un pays enclavé d'une superficie de 1.267.000 km² qui fait partie des Pays les Moins Avancés (PMA) et des Pays à Faible Revenu et à Déficit Vivrier. La population nigérienne a été estimée à plus de 17,13 millions de personnes lors du dernier recensement général de la population et de l'habitat de 2012. Les secteurs agricoles et l(élevage au Niger occupent prés de 80% de la population et représentent 41% du PIB du Niger (en 2007). -
Rapport général sur l'atelier de validation du document de formulation du projet d'appui à la promotion des exportations agropastorales
Le projet d'appui à la promotion des exportations agropastorales résulte de la convergence entre les stratégies pour le secteur rural présentées dans le Programme de Relance Économique du Gouvernement nigérien et la stratégie d'assistance de la Banque Mondiale au Niger. -
Réunion annuelle des cadres du Ministère du développement agricole - édition 2005 : Niamey du 12 au 13 Mai 2005
La réunion annuelle des cadres du Ministère du Développement Agricole est un cadre d'échange entre l'ensemble des structures de ce ministère sur la problématique du développement agricole et sur la contribution du ministère au développement socioéconomiques du pays. Compte tenu des nouvelles orientations politiques et stratégiques du gouvernement l'édition 2005 de la réunion annuelle des cadres s'est penché sur l'examen et l'appropriation du programme de travail 2005-2006 du MDA. -
Rapport trimestriel d'activités de Juillet-Aout-Sept 2007
Le programme d'activités trimestrielles 2007 est un programme de lancement et de démarrage du Projet. Il prévoit la réalisation de quelques acquisitions de biens nécessaires à l'installation de la Cellule de gestion, l'identification et les études des seuils et barrage à réhabiliter. -
Situation des projets clôtures : Volume 2
Le projet a financé 104 dossiers de requêtes pour un montant global de pour un montant global de 3.483.574.872 FCFA dont 1.186.014.957 FCFA d'apport des promoteurs et 2.297.559.957 FCFA de subventions du PPEAP. Ces financements ont touchés les différents segments des filières concernées par le Projet, à travers le renforcement des capacités et des investissements physiques. -
Note sur le porte feuille des projets FIDA au Niger
Le Fonds International pour le Développement Agricole (FIDA) est présent au Niger depuis les années 70. Ses activités se sont accrues dans les années 80 suite aux sécheresses des années 73-74 et 84-85, notamment avec le Programme Spécial National (PSN) qui a connu deux phases de 1978 à 2004 et le Projet de
Développement Rural d'Aguié de 1993 à 2000. -
Voyage d'échange entre le Bénin et le Niger sur les organisations paysannes et leurs structures d'appui : Du 04 au 14 décembre 2003
Le Projet de renforcement des organisations professionnelles agropastorales du Niger (PROPAN) est un projet financé par la coopération française qui a démarré en avril 2003 pour 4 ans. En novembre 2003, l'équipe franco-nigérienne chargée de la mise en œuvre du projet est complète et les organisations professionnelles agropastorales (OP A) partenaires du PROPAN sont identifiées. En cette phase de démarrage effectif des activités, il a paru intéressant de s'inspirer de l'expérience d'un autre projet d'appui aux organisations paysannes dans un pays voisin. Le Programme de professionnalisation de l'agriculture au Bénin (PPAB) a donc été sollicité pour proposer un programme de voyage d'échange. -
Assistance technique : Projet basse vallée de la Tarka
La mission d'appui confiée à un consultant national dans le cadre de la mise au point de la méthodologie d'inventaire des terroirs, (depuis le 8 septembre) s'est terminée le,7 octobre. Le consultant a constitué un apport significatif au sein de l'équipe de cadres des SAE, SAGR et SAP de Madaoua et Bouza en terme d'approche des populations ciblées et de conduite des entretiens pour l'élaboration du diagnostic participatif. La démarche vise à inventorier le milieu, à en connaître les caractéristiques physiques, les populations et les problèmes inhérents à l'utilisation des terres, de façon à programmer des activités conformes à la réalité, aux besoins et au potentiel d'organisation communautaire des populations. -
Le développement agricole et la sécurité alimentaire dans les pays membres de la CEN-SAD
Le présent document a été préparé en vue de la Réunion des Ministres de l'agriculture, des ressources en eau et de l'environnement de la Communauté, prévue du 5 au 7 mars 2005 à Bamako. Il vise à servir de base de discussion, dans la perspective d'une future politique agricole et alimentaire commune. L'analyse de la situation agricole et alimentaire des pays membres de la CEN-SAD permet de mettre en évidence que ces pays sont aujourd'hui soumis à des défis similaires: (i) ils sont, dans leur grande majorité, fortement dépendants de l'agriculture mais très soumis aux aléas climatiques; (ii) leur situation alimentaire et agricole a, pour beaucoup d'entre eux, tendance à se dégrader. -
Projet de Promotion des Exportations Agro~Pastorales (PPEAP) huitième mission de supervision
Cette mission fait suite à celle qui s'est déroulée du 10 au 20 Janvier 2005 au cours de laquelle a été établi un plan d'actions pour améliorer la performance du projet. Les objectifs de cette dernière mission avant la fin du projet sont: (i) d'évaluer la mise en œuvre de ce plan d'actions, (ii) d'analyser les résultats obtenus par le projet à date, (iii) d'établir un calendrier de préparation du rapport d'achèvement du projet; (iv) de prévoir les dispositions administratives et techniques à prendre avant la clôture du projet. -
Projet réhabilitation de Gouré
Ce document concerne la période du mois de Juillet au mois de Décembre 1990. En outre, il contient un résumé des activités de chaque domaine d'intervention du projet depuis que celui-ci a été lancé. Le projet est financé par l'U.S.A.I.D. ainsi que-par le gouvernement du Niger; le montant total de la première tranche annuelle de financement s'élevait à 295.700.288 FCFA. -
Rapport d'analyse des offres relatives à "exécution des
travaux de construction des Barrages de KASSAMA, TOUMBALA et BAKATCHIRABA dans la zone
d'intervention du PADAZ (AOI n° 001/2005/PADAZ DU 04 AOUT 2005 Lancé le 04 108/2005, Dépôt le 31/10/05 et Ouvert le 01/11/2005Suite au message poriant non objection de la Banque Africaine de Développement (BAD) en date du 13 Février 2006 (OCAR.1/FX/XB/06/02/0037 du 13 FEV. 2006), celle-ci demandait à la Commission Ad hoc la reprise de l'analyse des offres relatives au Lot n° 2 (Barrage de Toumbala suivant AOI N°001/AOI/2005/PADAZ du 04 AOUT 2005, ouvert le Mardi 01 Novembre 2005 et analysé en novembre/décembre 2005). La sous-commission technique, chargée de l'analyse des dites offres a été convoquée le 20 Février 2006,par le Président de la Commission Ad hoc en vue de la reprise de l'analyse et ce, conformément aux observations de la BAD. -
Rapport de mission de supervision des réalisations du volet barrages du Programme Spécial du Président de la République du Niger dans toutes les régions : Diffa-Zinder-Maradi-Tahoua-Agadez-Dosso-Tillabéry et la Communauté urbaine de Niamey
Le Programme Spécial, initiative propre du Président de la République est un ensemble d'actions visant à améliorer les conditions de vie des populations rurales nigériennes. A ce titre, il cadre bien avec la stratégie de réduction de la pauvreté et la lutte contre l'insécurité alimentaire pour la mise en œuvre de ce Programme, l'exécution du volet petits barrages, aménagement de périmètres irrigués et cases de santé vétérinaire relève de la responsabilité technique des Services des Aménagements et Équipements Ruraux Agricoles. -
Rapport du comité technique de réflexion sur la situation des ex-unions des coopératives, de la centrale d'approvisionnement et des ateliers de fabrication du matériel agricole
Avec l'avènement en avril 1999 du Conseil de Réconciliation Nationale (CRN), le débat sur la dissolution des unions de coopératives du système de l'Union Nationale des Coopératives (UNC) intervenue par décret nO 097-428 PRN/MAG/EL du 11 décembre 1997 a été relancé. Dès la mise en place du Gouvernement de Transition, le Ministre de l'Agriculture et de l’Élevage, chargé de la tutelle des organisations coopératives, a été instruit par le CRN et le Gouvernement de Transition pour proposer des solutions appropriées à ce problème. -
Vulgarisation de la technologie de la traction animale au Niger
Ce rapport, faisant partie d'un deuxième contrat entre le Projet Consu1t et l'ISAID, traite principalement le test et les résultats d'un moulin à traction animale, le Mata. Bien qu'il a été prévu l'installation éventuel d'une pompe à traction animale, le Gueroult, Il nous fait plaisir de faire inclure dans ce rapport les fruits de cette expérience ainsi que ceux du Mata. Nous donnons aussi quelques remarques sur l'effet global des deux contrats de coopération au Niger entre Projet Consult et l'ISAID. -
Formation des techniciens ONG sur les actions de récupération des terres
Activité mise en œuvre : l’information, la sensibilisation et la négociation sociale avec les communautés bénéficiaires. Il s’agit d’organiser dans le village une assemblée générale afin d’expliquer aux populations les enjeux des activités de récupérations de terre.Présentation de l’importance des récupérations des terres dégradées. -
La formation continue des agriculteurs et agricultrices
Ce rapport présente les résultats de l’étude réalisée par l’Institut de Recherches et d’Applications des Méthodes de Développement(IRAM) pour le compte du Réseau international Formation Agricole et Rurale(RIFAR) : « La formation continue des agriculteurs et agricultrices - Éclairages sur les enjeux et nouvelles approches pour l’Afrique subsaharienne ». Le principal objectif de l’étude est de faire le point sur l’évolution de l’offre de formation continue destinée aux agriculteurs et agricultrices en Afrique subsaharienne au cours des quinze dernières années, tout en s’intéressant à des initiatives développées dans d’autres contextes. À travers l’analyse d’une diversité d’expériences, l’étude vise à identifier les éléments clés concourant à la qualité, au changement d’échelle et à la durabilité de l’offre de formation et sur lesquels les professionnels et responsables institutionnels de la formation agricole et rurale (FAR) devront porter une attention particulière dans le développement de futur(e)s politiques et dispositifs de formation continue. -
Les pôles de croissance agricole : la panacée aux maux de l'agriculture africaine?
La promotion des « partenariats public-privé » comme stratégie de financement du secteur agricole en Afrique s’amplifie. Elle répond à la volonté d’une transformation de l’agriculture jugée «traditionnelle» en une agriculture à forte mobilisation de capitaux, capable d’accélérer la croissance agricole et de répondre à la demande alimentaire. Cette orientation vers les investissements privés se matérialise par différentes approches dont celle des pôles de croissance agricole ou agropoles. Bien que ces processus connaissent des avancées différentes selon les pays, ils suscitent déjà plusieurs débats autour du modèle agricole entrepreneurial à grande échelle promu et de sa capacité à répondre aux défis actuels des économies et des sociétés africaines. Quelles sont les réalités autour des agropoles? Favorisent-ils réellement le développement de filières compétitives et inclusives des exploitations familiales ? Quels sont les risques induits par ces approches pour l’agriculture familiale ? Après un rappel du processus d’émergence des pôles de croissance en Afrique, ce bulletin présente un état des lieux de leur mise en œuvre dans deux pays, le Burkina et le Cameroun, et analyse leurs premiers impacts et risques potentiels. -
Décret n°2018-458/PRN du 06 juillet 2018 relatif à l’entrepôt et au warrant
Le présent décret a pour objet de réglementer les entrepôt, les récépissés d’entrepôts et le warrant. -
Les organisations paysannes face aux besoins de financement des agriculteurs
Au Niger, moins de 10 % des producteurs obtiennent des crédits auprès des institutions financières directement ou via leurs organisations, mais un grand nombre de producteurs prennent du crédit auprès des commerçants. Les commerçants sont ainsi la « première banque agricole » du Niger avec une multitude de pratiques qui se sont progressivement développées (lire l’expérience de la FCMN ci-contre). Les banques peinent encore à financer le secteur agricole. Lorsqu’elles le font, c’est principalement en adoptant une position de « grossiste » : elles financent les institutions de microfinance impliquées dans le financement de l’agriculture. C’est le cas notamment d’ECOBANK Niger et de la Banque agricole du Niger (Bagri). -
Revue des initiatives existantes en matière de gestion des risques agricoles au Niger
La plateforme pour la gestion des risques agricole (PARM), mise en place à l’initiative du G8 et du G20 et hébergée par le Fonds international de développement agricole (FIDA), fournit un appui technique aux gouvernements pour la gestion des risques agricoles. Le secrétariat de la plateforme PARM agit sur le continent africain dans le cadre d’un partenariat stratégique avec l’Agence du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) mis en place par l’Union africaine. Ce partenariat consiste principalement à accompagner le NEPAD dans son approche des risques agricoles, notamment en appuyant huit pays d’Afrique sub-saharienne, dont le Niger, dans l’élaboration d’un plan d’action de gestion des risques agricoles, selon une approche méthodologique harmonisée et un programme d’intervention déjà établi. -
Trois mythes sur le développement agricole éléments de synthèse des interventions de Marc Dufumier Mission au Niger du 17 au 20 avril 2012
A partir des années 50, la recherche agronomique a élaboré des variétés « améliorées » des principales céréales. Ces variétés dites « améliorées » sont à haut potentiel génétique de rendement, c’est-à-dire qu’elles sont capables de bien intercepter l’énergie lumineuse pour produire le maximum de calories et de protéines alimentaires à l’hectare. Malheureusement, ces variétés sont très fragiles et elles ont besoin de conditions optimales pour atteindre effectivement ce potentiel de rendement. Cela se traduit bien souvent par la nécessité non seulement de recourir à la fertilisation chimique et à l’épandage de pesticides mais aussi de réaliser des travaux répétés des sols et des infrastructures d’irrigation et de drainage. Si le milieu ne leur convient pas, les rendements peuvent être catastrophiques et, en tout état de cause, inférieurs aux rendements obtenus avec les variétés rustiques des paysans. Les agriculteurs ont donc adaptés leurs écosystèmes aux nouveaux matériels génétiques, en les artificialisant et en les simplifiant, ce qui les a fragilisés. -
Le CEPM, un outil de renforcement des capacités des producteurs qui ambitionnent de faire de leurs exploitations des entreprises agricoles viables
Le PPI RUWANMU est un projet de développement qui fait la promotion d’une agriculture familiale centrée sur la petite irrigation et exploitant de manière rationnelle et durable le potentiel terre et eau. Il s’appuie principalement sur les bonnes pratiques des projets antérieurs et les dispositions de la Stratégie de Petite Irrigation au Niger (SPIN). Financé par le FIDA, le Fonds Fiduciaire Espagnol et l’Etat du Niger, son objectif de développement est d’augmenter le revenu de 65.000 ménages ruraux de 30 communes des régions de
Maradi, Tahoua et Zinder dans le but de contribuer à l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle de la population rurale de ces régions. -
Diagnostic des risques d'inondation et de sécheresse dans les villages administratifs de Garbey Kourou et de Tallé, Commune de Gotheye, Niger
Le diagnostic des risque inondation et sécheresse dans les villages administratifs de Garbey Kourou et Tallé, Commune de Gothèye (Niger) succédant à l’analyse du risque à l’échelle communale conduite par le Projet Anadia-Niger dans la région Tillabéri. Un diagnostic similaire à été développée pour quatre villages de la commune d’Ouro Gueladjio et pour celle de Imanan. Le diagnostic a été développé par une équipe mixte italo-nigérienne composé par fonctionnaires de la commune de Gothèye, de la DMN, chercheurs de l’Ibimet-CNR et du DIST-Politecnico et Université de Turin avec la participation des agriculteurs des deux villages. Garbey Kourou et Tallé sont deux gros villages de la commune (4.600 et 2.600 habitants en 2012) étalées sur la rive gauche de la rivière Sirba prés de sa confluence avec le fleuve Niger. Les deux villages sont ainsi exposés au débordement de la rivière, à inondation pluviale et à sécheresse. -
Comment préserver les nutriments du sol et l'eau?
Pour bien se développer, les plantes et les animaux ont besoin d’eau disponible à tout moment. Le manque d’eau réduit la capacité du sol à fournir des nutriments aux plantes, aussi fertile soit il. -
Le PromAP et les mesures de protection de l’environnement pour une mise en valeur agricole durable du potentiel irrigable Développer le maraîchage irrigué durable : site de Chacott - Région de Tahoua
Le site maraîcher de Chacott (14,02 N - 5,26 E) est situé dans la commune de Kalfou, à 35 km de Tahoua. Accessible par une piste rurale, il dispose d’un potentiel exploitable en petite irrigation estimé à 250 ha. D’occupation agricole ancienne, ce site présente des possibilités d’extension significatives : seulement 120 hectares sont actuellement exploités par 311 producteurs (296 hommes et 15 femmes) regroupés en 3 organisations paysannes, dont un groupement féminin. Protégé par des haies vives, le site de Chacott se compose d’un ensemble de parcelles / casiers maraîchers exploités individuellement. -
Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA)
Dans le cadre de la mise en place du nouveau dispositif du Centre d’Information et d’Accompagnement des Promoteurs Agricoles (CIAPA) dans les régions d’intervention du PromAP1(Régions d’Agadez, Tahoua et Tillabéri), l’approche « visite terrain » a été privilégiée, afin de permettre l’adéquation des services fournis avec les réalités du terrain. Des visites sont réalisées dans la région de Dosso pour élargir les références sur des exploitations / fermes souvent qualifiées de « type agrobusiness » qui ne sont pas des exploitations agricoles familiales classiques. Ces exploitations se caractérisent, en général, par des investissements importants en équipement et matériel et sont dirigées par des personnes ayant ou ayant eu une autre activité que l’activité agricole. Ces visites ont pour but de mettre en lumière les expériences existantes au Niger en matière d’irrigation et de techniques de production innovantes, mais également les besoins pouvant être exprimés par ces exploitants afin de mieux cerner leurs attentes. -
Projet de mobilisation et de valorisation des ressources en eau (PROMOVARE)
L’objectif principal du PROMOVARE est d’améliorer la résilience de la population face à la variabilité et au changement climatique par la maitrise de l’eau pour les différents usages. De façon spécifique, le PROMOVARE vise à (i) augmenter et à intensifier les cultures irriguées et de décrue ; (ii) promouvoir le développement des nouvelles techniques d’irrigation ; (iii) mettre en oeuvre une série d’actions permettant d’améliorer les conditions de vie des populations bénéficiaires et à assurer un meilleur suivi des ressources en eau. Il fait partie des projets du programme stratégique pour la résilience climatique (PSRC). -
Développement durable de l'agriculture urbaine en Afrique francophone : enjeux, concepts et méthodes
L'ouvrage a pour objectif de familiariser le lecteur avec les approches et les outils appliqués aux problèmes posés par le développement de l'agriculture urbaine. Il s'inscrit dans une démarche de recherche-développement : améliorer la rigueur scientifique des diagnostics (recherche) et privilégier les interventions concrètes visant à maintenir ou à transformer les systèmes pour répondre à la demande des acteurs concernés à court, moyen et long terme (développement durable). Il est issu des travaux d'un atelier, qui a été l'occasion à la fois de présentations à caractère didactique et de discussions sur les projets de recherche développement des participants. -
Document introductif à la mise en œuvre d'un programme d'ajustement sectoriel agricole au Niger
Le Niger, comme la plupart des États Sahéliens, reste très fortement soumis aux contraintes des aléas climatiques et à une démographie qui connait une accélération depuis une trentaine d'années. -
Étude de faisabilité d'un projet de développement agro - pastoral dans le département de Diffa
Le département de Diffa au même titre que les autres régions du Sahel est confronté année après année à l'avancée du de la désertification et au phénomène d’semblablement. Il en résulte un déséquilibre écologique qui fragilise. Dans le cadre de l'étude de faisabilité d'un projet de développement agro-pastoral dans le département de Diffa, il est donc impératif de poser un diagnostic de la situation actuelle du volet foret / environnement. Le diagnostic environnemental a été réalisé sur la base de la documentation existante et complété à l'aide de visites sur le terrain et d'entretiens avec les intervenants. -
Forum National sur l'Agriculture
C'est convaincu de l'existence de multiples défis à relever et des enjeux pour le développement du sous secteur que le Ministère de l'Agriculture et de l’Élevage compte organisé un forum sur l'Agriculture. -
Forum National sur l'Agriculture : Novembre 2010
Le présent projet de feuille de route qui sera soumis au forum national sur l'Agriculture a été élaboré à partir des actions prioritaires développées dans le document introductif dudit forum. -
Préparation de la 2èm réunion ministérielle Afrique-Arabe sur le développement Agricole et la sécurité alimentaire
L'Afrique subsaharienne possède assez de terres arable et de main d’œuvre pour parvenir à l'autosuffisance en matière de nourriture. Cependant, la production alimentaire s'y heurte à des obstacles principaux tels que la pénurie d'intrants comme l'eau et les engrais. L'agriculture dans cette région du sud du Sahara dépend des pluies ce qui l'expose aux fluctuations de la pluviométrie et rend difficile l'arrivée à la production maximale. Dans ce contexte, les petits réservoirs d'eau constituent l'une des solutions envisageables pour limiter cette exposition. -
Mesure de conservation des sols à l'aide de sacs de sable plus ciment
Le présent manuel a pour but d'exposer une technique permettant de lutter contre la dégradation des sols dans les zones rurales ou elle progresse sous l'effet des actions prédatrices que mènent les paysans dont : le surpâturage, les mauvaises techniques culturales, les cultures excessives etc. -
Note de synthèse sur l'Agriculture Nigérienne
La détérioration des conditions pluviométriques à nettement favorisé la dégradation du couvert végétal et des dols, et un certain abaissement du niveau des nappes phréatiques se traduisant de matière générale par une perte de productivité du milieu. Les sécheresses ont également incité les agriculteurs à modifier leurs stratégie pour se garantir une certaine sécurité alimentaire. -
Plan de Développement Économique et Social : sous secteur agriculture (2000-2004)
L'agriculture représente la principale activité de plus de 85% de la population active du pays. Sa part au PIB national a représenté, au cours de ces quatre dernières années. -
Programme national de vulgarisation agricole : avant projet pour la première phase
Le projet, dans le cadre de son objectif d'appui aux services de vulgarisation et aux producteurs, aura à mener des actions dans le domaine suivants: La contribution à l'émergence d'un Système National de Vulgarisation Agricole (SNVA) ; réalisation d'étude diagnostic, organisation de concertations régionales et nationales à travers des ateliers de travail reposant sur des notes introductives élaborées par le projet, coordination du processus d'élaboration d'adaptation du SNVA. -
Projet de Promotion de l'Initiative Locale pour le Développement à Aguié (PPILDA) AP N°597-NE et AD N°BG-38-NE
Le PTBA 2008 a été marqué par la mise en œuvre des activités de terrain centrées essentiellement autour des domaines de la sécurité alimentaire, de l'intensification agricole, de la gestion des ressources naturelles, de la santé/nutrition, de renforcement de l'offre paysanne de services, des infrastructures communautaires et de la promotion des organisations rurales. -
La production fourragère dans la gestion des ressources naturelles de la région de Maradi (Niger) : Impacts et méthodologies d’évaluation possibles de la Régénération Naturelle Assistée (RNA)
Le présent article tente de développer une méthodologie et de démontrer le potentiel en fourrage ligneux aérien produit dans les parcelles agricoles grâce à la RNA. L’article décrit une méthodologie originale à partir des résultats de recherche sur la RNA et intègre celle-ci dans le bilan fourrager défini par le ministère de l’élevage. La méthodologie développée pourrait mettre en évidence un accroissement des bilans. Toutefois, nombreuses sont les hypothèses qui ont mené à la réalisation de la méthode de travail. Celles-ci mériteraient d’être explorées et confrontées plus amplement aux réalités du terrain afin de les confirmer ou infirmer. -
Plan d’Action 2021-2025 de l’Initiative 3N « Les Nigériens Nourrissent les Nigériens » Édition 2021 : Stratégie de sécurité alimentaire et nutritionnelle et de développement agricole durable
Le présent Plan d’Action 2021-2025 de l’Initiative 3N est estimé/évalué à un cout de 2 693,942 milliards F CFA. Ce montant inclut les couts de programmes opérationnels relevant directement du secteur SANDAD et du Programme « Modernisation du Monde Rural », à hauteur de 2 048,728 milliards F CFA, conformément au cadrage du Programme de Renaissance Acte III en son chapitre 5 consacré au secteur « Développement rural et sécurité alimentaire et nutritionnelle », qui prévoit un financement de 2 079,35 milliards de francs CFA, soit 15% du montant global du Programme. En raison des enjeux de multisectorialité et des synergies nécessaires entre les besoins de court, moyen et long terme pour assurer un développement durable malgré les différents facteurs de chocs et vulnérabilité, le Plan d’Action de l’Initiative 3N inclut également les couts de programme et sous-programme opérationnels relevant d’autres secteurs, en particulier dans le cadre de l’axe 1 « Capital humain, inclusion et solidarité» du PDES 2022-2026 , notamment le Programme Opérationnel 7 sous maîtrise d’ouvrage du MAHGC (pour 191,383 milliards F CFA) et le Sous-Programme Opérationnel 9.1 sous maîtrise d’ouvrage du Ministère en charge de la Santé et de la nutrition (pour 157,831 milliards F CFA). -
Relever le défi de la Grande Muraille Verte
Dans les années 1980, les exploitants agricoles du Niger ont commencé
à protéger et gérer les arbres qui se régénéraient spontanément sur leurs
terres. Ils ont ainsi restauré 5 millions d’hectares. Je pense que ce qui a
été fondamental, c’est que les producteurs ont pu voir très rapidement
l’intérêt de ces arbres : tout en protégeant l’environnement, ils leur
permettent d’obtenir rapidement des revenus importants, soit en exploitant
les produits issus des arbres comme la gomme arabique, soit en exploitant le
bois lui-même. Par exemple, les producteurs nigériens ont si bien redensifié leurs forêts qu’ils sont même devenus exportateurs de bois au Nigéria ! -
La Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel : Une mosaïque de pratique durables d'utilisation des terres pour renforcer la résilience locale à la dégradation des terres et aux changement climatiques dans 20 pays
Dans la région sahélo-saharienne la vie de millions de personnes dépend de la productivité des terres dans les zones arides. Cette précieuse ressource naturelle est non seulement à la base de la sécurité alimentaire et de la production agricole, mais elle génère aussi de l’emploi et atténue les crises sociales pour les populations vulnérables les plus pauvres de la région. -
Note d'actualité : la Grande Muraille Verte au Niger
Au Niger, la Grande Muraille Verte vise, à l’horizon 2035, le développement des communautés locales à travers une approche novatrice et inclusive consistant à mettre en synergie les actions de lutte contre la désertification, de conservation de la biodiversité, d’atténuation et d’adaptation au changement climatique d’appui à l’amélioration des systèmes de production agro-sylvo-pastorale. La finalité étant de reverdir le Niger et de contribuer à une sécurité alimentaire durable des populations et du cheptel. -
Directives pour la mise en œuvre du PDDAA pays sous la Déclaration de Malabo
La 2ème Assemblée de l’Union Africaine tenue à Maputo, au Mozambique en juillet 2003, a vu la signature d’une déclaration sur l’agriculture et la sécurité alimentaire. Cette Déclaration de Maputo appelait à un programme type panafricain du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD): le Programme détaillé de développement de l’agriculture africaine (PDDAA). Le PDDAA est considéré comme le véhicule à même de stimuler la production et de relever le défi de la sécurité alimentaire au sein des populations du continent. A ce jour, la Déclaration de Maputo est surtout connue pour son engagement à allouer un minimum de 10% du budget national à l’agriculture pour atteindre une croissance de 6% de l’économie agricole. -
Déclaration de Malabo sur la croissance et la transformation accélérées de l'agriculture en Afrique pour une prospérité partagée et de meilleures conditions de vie
Lors de la vingt-troisième session ordinaire de la Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement de l'Union africaine tenue à Malabo en Guinée Équatoriale, des engagements ont été pris pour mieux développer le Secteur agricole du continent. -
Investir dans la gestion responsable des terres
Ce rapport est établi suivant le format proposé dans le Protocole d’accord. Il fournit des informations sur les activités de gestion durable des terres menées par le FEM dans le cadre de son domaine d’intervention«dégradation des terres », précisément pour lutter contre la désertification et le déboisement, pour la période comprise entre juillet 2011 et juin 2013. Conformément aux dispositions du Protocole d’accord, les activités menées dans les autres domaines d’intervention du FEM et les guichets de financement ayant trait à la gestion durable des terres (GDT) sont également présentés. La période faisant l'objet du présent rapport coïncide avec la deuxième et troisième année complète du cinquième cycle de refinancement de l'institution (FEM-5). -
Effet des techniques de récupération des terres dégradées sur les performances agronomiques de culture et la réduction de pertes en terres : cas de Sadoré au Niger
Au Niger, la production agricole a chuté ces dernières décennies. Le pourcentage des terres dégradées augmente et l'insécurité alimentaire s'installe dans tout le pays. C'est pour contribuer à trouver des solutions durables et faciliter l'adoption que la présente étude se propose d'évaluer quelques techniques de récupération de terre. L'étude a été effectuée dans le département de Saye à l'Ouest de Niamey. Elle a concerné une expérimentation sur un terrain dégradé et a abordé l'évaluation du rendement à travers la biomasse, en appréciant les rendements du mil et du niébé selon les traitements, la mesure de ruissellement et la mesure de l'humidité du sol. -
Évaluation des actions menées au Niger dans le domaine de l'environnement (Reboisement, récupération/ restauration de terre) pendant les vingt dernières années 1984-2002
La présente évaluation tente de faire le bilan des actions réalisées, durant les vingt dernières années et de jeter les bases de réflexions pour des améliorations éventuelles futures à apporter. Elle aura pour repères essentiels les atouts et contraintes de développement, les succès et les échecs des politiques et stratégies menées, ainsi que leur implication sur l’amélioration des conditions de vie des populations et la réduction de la pauvreté. L’étude comporte trois parties, mais le présent document traite de l’évaluation des actions environnementales dans le domaine de reboisement et de la récupération des terres. -
Étude de faisabilité des périmètres irrigués dans la vallée de l’Irhazher et la Plaine du Tamesna (PAMPI/VI-PT)
Le Projet de développement du palmier dattier associé aux cultures céréalières et fourragères dans l'Aïr et l'Irhazer rentre dans le cadre du Programme Général de Développement de l'Agriculture dans l''Aïr et l'Irhazer. Il prévoit, en cinq années, d'aménager et de mettre en valeur 2000 hectares, principalement en cultures dattières, céréalières et fourragères. -
Études pour la réalisation des travaux d'aménagement de polders et réalisation des pistes de desserte de polders dans la zone du PADL/Diffa / Phase I Diagnostic
L’étude pour la réalisation des travaux d’aménagement de polders et de pistes de desserte s’effectue dans le cadre du Projet d’appui au développement local dans la région de Diffa (PADL Diffa). En effet, le projet d’aménagement de polders en bordure du lac Tchad pour cultures de décrue, objet de la présente étude, est une activité de la composante A du Projet d’Appui au Développement Local de Diffa (PADL - Diffa) et a été conçu à titre de projet pilote visant à valoriser de manière durable l’immense potentiel que constituent les terres fertiles des abords du lac Tchad. -
Rapport de synthèse de l'analyse diagnostique transfrontalière : partie nigérienne du Bassin du Lac Tchad
Ce document sur les ressources en eau de la portion nigérienne du bassin du Lac Tchad doit contribuer à l’élaboration de la partie consacrée aux Données de Base dans le Bassin Conventionnel, tel que décrit dans les grandes lignes de l’ADT. L’élaboration de l’ADT est un processus participatif impliquant les acteurs locaux, nationaux et régionaux. Aussi, ce rapport a-t-il servi de base de discussions à l’atelier national ADT/PAS auquel ont pris part les membres du Comité National Inter-Ministériel de Pilotage tenu les 28 et 29 juin 2006. -
Étude complémentaire et d’actualisation pour la caractérisation des sites menacés de dégradation et leurs enjeux environnementaux dans les Sept (7) Pôles de Développement Economique (PDE) du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) dans la région de Tahoua
Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF), le renforcement de la résilience des communautés face au changement climatique constitue une des priorités majeures pour l’atteinte des résultats en matière de développement de l’agriculture familiale. A ce titre, le ProDAF s’est assigné objectif global de contribuer à assurer durablement la sécurité alimentaire des ménages ruraux et au renforcement de leurs capacités de résilience aux crises, tout en inscrivant dans la Stratégie de développement durable et de croissance inclusive (SDDCI).. Le programme vise Spécifiquement à accroitre durablement les productions des petits producteurs agro-sylvo-pastoraux, à améliorer les activités de post-production et de commercialisation des productions des petits producteurs agro-sylvo-pastoraux organisés des régions de Maradi, Tahoua et Zinder. -
Transformation de l'Agriculture en Afrique de l'Ouest : défis et opportunités
La présente synthèse est le fruit des résultats des travaux des ateliers, enrichis de données qualitatives issues des documentations complémentaires issues des bases de données nationales et internationales. Elle est soumise à l’examen critique des responsables des projets du FIDA des pays concernés et des experts ayant participé à l’atelier. Ces échanges interactifs ont été organisés et étroitement coordonnés par le Bureau Sous Regional du FIDA afin de présenter les scénarios possibles pour discussion aux groupes de coordination des partenaires techniques et financiers (PTF) dans les pays concernés et pouvoir reviser et améliorer ces premieres versions des études par pays. -
Étude de cas de l'initiative équateur, des solutions locales de développement durable pour les gens, la nature et les communautés résilientes
La Fédération des Unions de Producteurs de Maradi Gaskiya est une initiative axée sur la recherche qui propose des options agro-écologiques aux petits exploitants agricoles. Composée de 17 syndicats, 325 organisations de producteurs et 12 742 membres, son travail comprend la promotion des cultures à haut rendement, la planification participative, la commercialisation des produits et des semences certifiées biologiques, ainsi que la diversification des systèmes de production agricole. Les revenus des agriculteurs se sont améliorés de manière significative, un pourcentage du chiffre d’affaires des syndicats étant investi dans un fonds renouvelable consacré à des projets communautaires. -
Les agriculteurs à l'ère du numérique
Dans les pays ACP, les femmes qui essaient de développer des agroentreprises prospères se heurtent à d’importants obstacles : accès au marché, aux informations sur le marché, aux services financiers et autres… Souvent, elles ne possèdent pas les compétences techniques, de management et de leadership nécessaires à la gestion d’une entreprise dans la durée. L’autonomisation des femmes, qui doit leur donner les moyens de surmonter ces difficultés, ainsi que la promotion de l’entrepreneuriat et de l’emploi des jeunes sont donc des volets clés du travail du CTA. Et les TIC peuvent ici réellement changer la donne en créant un environnement propice aux femmes et aux jeunes et à leur autonomisation. -
Appui portant sur la capitalisation des pratiques de gestion durable des terres au Niger (CAPGDT)
Les discussions avec les différentes directions et services spécialisés des structures visitées (voir liste des structures et personnes rencontrées en annexe 1), lors de la mission du 26 mai au 8 juin 2019 à Niamey des experts base de données et système d'information géographique (SIG) (M. GARBA, Assoumane et M. CAPOCHICHI Alexis), ont permis d’identifier les divers systèmes de bases de données et SIG relatifs aux initiatives de gestion durable des terre (GDT) existants ou les applications /données spécifiques au sein de ces structures.Le recensement (non exhaustif, étant donné le peu de temps disponible) a permis de faire apparaitre, très tôt, l’existence de quelques bases de données sectorielles non opérationnelles et le manque de SIG spécialement
dédié à la GDT. -
Dynamique actuelle impacts socio-économiques du barrage de Kassama dans la région de Zinder au Niger
L’objectif du présent travail est, d’une part, étudié le fonctionnement et le comportement hydrologique du barrage de Kassama et, d’autre part, les impacts socio-économiques de cette retenue. Dans la partie occidentale du Niger, les recherches portées sur le fonctionnement hydrodynamique de plusieurs bassin verssants ont conclu que l’augmentation du ruissellement (malgré la diminution des précipitations) [16] est générée par des modifications des états de surface du sol. Les champs de cultures ou les glacis en général sont le théatre de cette modification. Dans le secteur de Kassama, cette unité géomorphologique (glacis) couvre une superficie de 9 950 ha soit 55 % par rapport aux autres unités géomorphologiques. Les sols de cette unité sont constitués sur le matériau granitique où le ruissellement est important. De ce fait, les unités hydrogéomorphologiques du bassin versant de Kassama s’expliquent par la conjugaison des activités anthropiques et la nature du sol (en général nu) [17]. D’après l’analyse du paysage et les entretiens avec la population locale, les aménagements antiérosifs installés dans le cadre du barrage, ont joué un rôle significatif sur la dynamique hydro-érosive. Autrement dit, ces aménagements ont réduit la ménace d’ensabement du barrage. -
Bilan environnemental et social de la mise en œuvre des activités du Projet de Gestion Intégrée des Écosystèmes entre le Niger et le Nigeria de l’antenne du projet de Birni N’Konni dans la région de Tahoua au Niger
Le présent TFE s’est intéressé au bilan environnemental et social du Projet de Gestion Intégrée des Ecosystèmes entre le Niger et le Nigeria de l’antenne du projet de Birni N’Konni dans la région de Tahoua au Niger. La méthodologie appliquée est axée sur la recherche documentaire et à la collecte de données sur le terrain à travers les entretiens et les visites terrains. Le projet a consisté à réhabiliter 120 ha de terres dégradées, à planter 30.000 plants forestiers, à construire 1.200 foyers améliorés, à installer 300 ml de cordons de pierres et à élaborer 3 plans communautaires de base et de gestion de ressources naturelles. A l’issue de la campagne d’entretiens et observations, nous avons démontré la contribution du projet à l’amélioration de conditions de vie dans les villages et la ré-végétalisation de l’environnement de la zone de Birni N’Konni. L’analyse de résultat fait montrer que le projet a enregistré des impacts plus positifs que négatifs (la végétalisation de plateaux ; l’amélioration de condition de vie des bénéficiaires, la réduction de consommation de bois énergie;). Les impacts négatifs sont liés aux activités de faucardages de mares où le résultat enregistré a été non satisfaisant et les personnes blessées identifiées. -
Développement communautaire et gestion des connaissances pour l'initiative Satoyama au Niger
L’objectif principal du programme est de développer une bonne gestion durable de la biodiversité et des activités durables de subsistance avec les communautés locales dans les paysages de production socio-écologique pour maintenir, reconstruire et revitaliser les paysages, en conformité avec les cinq perspectives suivantes de l’Initiative Satoyama à savoir : (i) l’utilisation des ressources dans les limites de la capacité de charge et de la résilience de l’environnement ; (ii) l’utilisation cyclique des ressources naturelles ; (iii) la reconnaissance de la valeur et de l’importance des traditions et des cultures locales ; (iv) le gestion des ressources naturelles par les différentes entités participantes et coopérantes et (v) les contributions aux activités socio-économiques locales. -
Impacts des banquettes et demi-lunes forestières sur les caractéristiques physico-chimiques du sol et la diversité végétale spontanée dans l’Ouest nigérien
Les techniques de banquettes et demi-lunes forestières associées aux plantations d’espèces ligneuses sont couramment utilisées au Niger pour restaurer les terres dégradées. Pour évaluer les impacts de ces ouvrages antiérosifs sur les caractéristiques physico-chimiques du sol et la diversité végétale, une étude expérimentale a été conduite dans la commune rurale de Simiri sur un site de plateau aménagé avec des banquettes forestières et un site de glacis avec des demi-lunes forestières. Une zone témoin non aménagée a été considérée pour chaque site en restauration. L’humidité du sol au niveau des ouvrages a été régulièrement enregistrée durant 30 mois. Des échantillons de sols sous houppier des plants plantés ont été prélevés puis analysés au laboratoire. Un inventaire floristique des espèces spontanées a été réalisé sur les sites en restauration et les zones témoins. Enfin, la biomasse herbacée a été évaluée. Il ressort de cette expérimentation que les banquettes et demi-lunes forestières améliorent significativement l’humidité et la texture du sol ainsi que le carbone organique sous houppier des plants plantés. Ces conditions ont permis le développement d’une diversité végétale spontanée. Ces résultats mettent en évidence l’efficacité des banquettes et demi-lunes forestières dans la restauration des terres dégradées de plateaux et de glacis. -
Projets d’aménagements hydro agricoles avec des pratiques d’agriculture intelligente résilientes au changement climatique - cadre de gestion environnementale et sociale
L'objectif global du projet est de contribuer à l'augmentation de la production agricole nationale en renforçant la résilience des populations aux effets néfastes du changement climatique. Les objectifs spécifiques du projet sont : (i) intensifier la production agricole de manière durable en améliorant les rendements des cultures grâce à des aménagements hydro-agricoles conçus avec des systèmes innovants d'irrigation et de pompage solaire; (ii) protéger le capital productif contre les menaces des effets du changement climatique (ensablement, inondations, etc.); (iii) assurer le fonctionnement et la pérennité des infrastructures par le renforcement des capacités techniques et organisationnelles des opérateurs et des services techniques. -
La régénération naturelle assistée (RNA) pour lutter contre la désertification
L’avancée du désert depuis les années 70 combinée à la forte croissance démographique (103 habitants au km2 à Aguié et Gazaoua) accentuent la pression foncière. -
Impacts d’une technique de restauration de terre
dégradée sur la survie et la croissance des plants de
quatre espèces de Combretaceae en zone Sahélienne du Nigerbanquettes sylvopastorales constituent l’une des techniques les plus utilisées au Niger pour restaurer les terres dégradées de plateaux. La présente expérimentation a été réalisée sur un plateau dégradé de Simiri dans l’Ouest nigérien où des banquettes sylvopastorales ont été installées. L’objectif est d’évaluer la survie et la croissance des plants de quatre essences locales de Combretaceae, Combretum glutinosum, Combretum micranthum, Combretum nigricans et Guiera senegalensis. Les méthodes utilisées ont consisté d’abord à délimiter un espace sur le plateau dégradé où 40 banquettes sont confectionnées et un autre espace sans banquette pour servir de témoin. Dans les banquettes, 200 plants de chaque espèce ont été plantés à raison de 20 plants/banquette. -
Perception Paysanne des Techniques de Conservation des Eaux et des Sols et de Défense et Restauration des sols (CES/DRS) en Afrique de l’Ouest : cas du Burkina Faso et du Niger
L’Afrique sahélienne connait une baisse de la capacité productive de la ressource sol depuis les années 1970. Pour y faire face, des ouvrages de conservation des eaux et des sols et de défense et restauration des sols (CES/DRS), sont diffusés auprès des producteurs. Cette étude vise à déterminer les ouvrages les plus importants en matière de production agricole selon la perception des producteurs. La méthode a consisté à une collecte de données auprès de 194 exploitations agricoles (EA) dont 134 EA au Niger et 60 EA au Burkina Faso, à travers des questionnaires et des entretiens. -
Revue stratégique nationale faim zéro du Niger
A l’instar de plusieurs autres pays membres des Nations Unies, le Niger, avec l’appui du PAM, s’est également lancé dans la revue de sa stratégie nationale « Faim Zéro » pour l’atteinte de l’ODD2 : « Eliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable ». La revue a été placée sous l’égide du Ministre d’État, Ministre de l’Agriculture et de l’Élevage qui est appuyé par un Comité Interministériel de Pilotage et un Comité Technique. -
Revue synthétique des résultats 2009-2020 , Niger renforcer la résilience
La présente revue synthétique des résultats au Niger examine les progrès de développement du pays au cours des dix dernières années et la manière dont la Banque a contribué à ces résultats. Le rapport s’intéresse en particulier aux cinq priorités de l’Institution, les High 5, à savoir : « Éclairer et fournir de l’énergie à l’Afrique », « Nourrir l’Afrique », « Industrialiser l’Afrique », « Intégrer l’Afrique », et « Améliorer la qualité de vie des populations africaines ». Le présent rapport passe en revue la réalisation de ces cinq priorités dans le contexte du Niger, en se basant sur une série d’indicateurs extraits du Cadre de mesure des résultats de la Banque. Le chapitre introductif donne une vue d’ensemble de la situation économique du Niger et s’intéresse à l’appui de la Banque dans les domaines transversaux et stratégiques. Les cinq chapitres suivants examinent consécutivement les High 5, tant au niveau des progrès du Niger qu’au niveau de l’appui de la Banque. Enfin, le chapitre 6 analyse l’efficacité avec laquelle la Banque gère ses opérations au Niger. -
Réserve naturelle national de l'Aïr et du Ténéré
La Réserve Naturelle Nationale de l’Aïr et du Ténéré (RNNAT) de la République du Niger a été inscrite sur la Liste du Patrimoine mondial en 1991, sur la base des critères naturels (vii) (ix) et (x). En 1992, elle est inscrite sur la liste du patrimoine mondial en péril lors de la seizième session du Comité du patrimoine mondial suite à l’éclatement de la rébellion armée dans la région d’Agadez. Du 03 au 12 mai 2005, sur demande de l’Etat Partie Nigérien, une mission de suivi réactif de la RNNAT a été réalisée par l’UICN pour évaluer l’état de conservation de sa valeur universelle exceptionnelle. L’état de mise en œuvre des mesures correctives issues de cette première mission de suivi réactif de 2005 a été analysé par la présente mission. -
Soutenir et valoriser le patrimoine de cultures locales au Burkina Faso et au Niger pour améliorer les conditions de vie et les écosystèmes : Rapport sur le processus de sélection des NUS et des zones cibles
Dans ce document, nous présentons les résultats de l'activité A1.1 de la première année du projet SUSTLIVES, c'est-à-dire l'activité consacrée au choix des espèces sur lesquelles concentrer les activités du projet et les zones où les mettre en œuvre. L'activité s'est déroulée sur une période d'environ six mois, au cours de laquelle de nombreuses réunions ont eu lieu entre les partenaires du projet, des missions dans les deux pays, et la construction d'une base solide d'acteurs clés qui donnent plus de souffle et de durabilité future aux objectifs du projet. -
Développement des organisations professionnelles agricoles : Approches de la GIZ
Le présent rapport contient les résultats d’une étude menée entre le 5 octobre et le 13 novembre 2015 à travers l’outil d’enquête en ligne askallo.org. Les représentants de 26 programmes de la GIZ, pour la plupart des programmes bilatéraux et régionaux basés en Afrique et en Asie, ont participé à cette étude. L’objectif principal de l’étude et de ce rapport est de créer une base pour un partage fructueux des leçons apprises, des bonnes pratiques, des stratégies et des instruments pour une promotion effective et efficiente des organisations professionnelles agricoles (OPA) entre les programmes GIZ, et de jeter les bases du développement d’une boîte à outils. Réalisée par le groupe de travail Agribusiness and Food Security (ABFS) du Réseau de développement rural en Afrique (SNRD), cette étude a été saluée par tous les répondants, qui ont souligné le besoin d’échanges accrus sur leurs approches et expériences. La version consolidée de ce rapport a été compilée après des discussions inspirantes lors de la rencontre du SNRD ABFS à Lomé en Mars 2016. -
Projet d’appui à la promotion des filières agricoles
(PAPFA)Contexte et justification. Le Gouvernement du Burkina Faso et le FIDA, tirant les leçons des performances des projets antérieurs, privilégient la conception d’une nouvelle opération, le Projet d’appui à la promotion des filières agricoles (PAPFA), qui ambitionne à consolider et mettre à l’échelle les acquis du Projet d’appui aux filières agricoles (PROFIL) et du Projet d’appui au secteur privé en milieu rural (PASPRU), financés par le FIDA et clôturés en juin 2017. À travers le développement de quatre filières agricoles, que sont le riz, le maraîchage, le sésame et le niébé, le PAPFA contribuera à la réalisation des objectifs stratégiques du Plan national de développement économique et social (PNDES) 2016-2020, dont en particulier l’amélioration de la productivité agricole, de la valorisation des productions agricoles et de la promotion de l'entreprenariat pour faire face au faible taux de croissance en milieu rural. -
Proposition d'actions pour le développement des de chaines de valeurs et de micro-entreprises agroalimentaires au Niger
Ce document est le dernier volet d’une étude réalisée en 2021-2022 dont l’objectif a été de sélectionner puis d’étudier en profondeur six Chaînes de Valeur (CDV) Agro Alimentaires prometteuses en vue d’appuyer leur développement durant les 5 à 10 années à venir. En conclusion de ces études, le présent document présente les diverses interventions réalisables pour développer ces six Chaînes de Valeur. 21 Chaînes de Valeur ont d’abord été présélectionnées, puis analysées selon de nombreux critères pour déterminer lesquelles étaient les plus à-même de pouvoir se développer rapidement dans un proche futur, une fois leurs contraintes courantes levées par la mise en œuvre d’interventions ciblées. Ce processus de sélection a fait intervenir un panel de spécialistes nigériens de toutes origines, afin d’en valider les résultats, avant de débuter les analyses approfondies. -
L’introduction d’acacias australiens pour réhabiliter des écosystèmes dégradés est-elle dépourvue de risques environnementaux ?
L’utilisation d’essences forestières exotiques et plus particulièrement des arbres à croissance rapide (acacias, pins ou eucalyptus) a été fréquemment recommandée pour réhabiliter et restaurer à brève échéance des milieux dégradés suite à des événements naturels ou à des activités anthropiques. L’incidence sur l’environnement de l’introduction de ces espèces, parfois envahissantes, est surtout évaluée pour leur impact sur la biodiversité végétale et les caractéristiques physico-chimiques des sols, mais rarement en ce qui concerne la composition de la microflore. Les micro-organismes, et plus particulièrement les champignons mycorhiziens, jouent un rôle clé vis-à-vis des mécanismes biologiques régissant la fertilité chimique des sols et leur productivité, facteurs de stabilité des écosystèmes terrestres. L’approche retenue a été de décrire l’incidence de l’introduction d’essences exotiques sur les caractéristiques biologiques des sols, ainsi que les conséquences sur la reconstruction d’un couvert végétal composé par des espèces natives du milieu d’origine. -
Appui aux chaines de valeurs agricoles dans les régions de Zinder et Diffa
La stratégie « le droit à une vie meilleure », adoptée par le Parlement danois en mai 2012, place la croissance verte comme l’une des quatre priorités de l'engagement international du Danemark. En adéquation avec cette stratégie et les politiques nationales Nigériennes, le nouveau programme (Programme de Promotion de l’Emploi et de la Croissance Economique basé sur l’Agriculture, PECEA, 2014-2019) se propose d’aller davantage vers la stimulation du secteur privé impliqué dans la transformation / commercialisation des produits Agricoles. Les initiatives et les capacités des acteurs des chaînes de valeurs (CdV) seront renforcées pour développer la production de valeur ajoutée créatrice de croissance et d’emplois. Cette phase de formulation du PECEA succède à une phase préparatoire d’études dites préalables1. Le présent document concerne la composante « Appui aux chaînes de valeur ». Son élaboration a privilégié une forte participation des acteurs clefs du secteur privé agricole ainsi que des PTF. Cette approche a été concrétisée par des ateliers (avril et juin 2013) permettant le partage des documents. -
Rôle des dynamiques démographiques et migratoires sur l'évolution des écosystèmes sahéliens : cas d'un terroir villageois reverdi et non reverdi du département de Mirriah dans la région de Zinder au Niger
Notre projet se propose d’étudier le « Rôle des dynamiques démographiques et migratoires sur l’évolution des écosystèmes sahéliens ». L’étude se déroule dans deux terroirs du département de Mirriah, Région de Zinder au Niger. Il s’agit de : Guluské, terroir villageois considéré comme reverdi, situé dans la commune urbaine de Mirriah. Garin Tsangaya, terroir villageois non reverdi, situé aussi dans la commune rurale de Zermou. Des diagnostics socio-économiques et écologiques ont été effectués sur un échantillon de 30 et 55% d’exploitations respectivement à Guluské et à Garin Tsangaya repartie en quatre groupes : migrants ayant une charrette, migrants n’ayant pas une charrette, non migrants ayant une charrette, non migrant n’ayant pas une charrette. -
Génération agroécologie : démarches multi-acteurs pour le développement de l'agroécologie en Afrique de l'Ouest
Les journées multi-acteurs pour le développement de l'agroécologie en Afrique de l'Ouest ont été organisées par la Task Force multi-acteurs pour la promotion de l'Agroécologie au Sénégal (TaFAé), sous l'impulsion de la plateforme de recherche SREC et de la PFONGUE et avec le soutien de l'IRD, de l'UE et de la FAO. -
Étude de viabilité d'un projet de développement de filière agricole en Amérique Andine
Dans un environnement où l’insécurité alimentaire dans le monde est critique, avec 870 millions de personnes, soit 12.5% de la population mondiale, souffrant de sous-alimentation chronique entre 2010 et 2012 (Fonds Belge pour la Sécurité Alimentaire (FBSA), 2013), de nombreuses ONG sont actives dans le développement de projets visant à réduire l’insécurité alimentaire. On retrouve parmi les acteurs impliqués dans cette thématique Louvain Coopération, une ONG belge qui soutient des projets partout dans le monde autour de trois axes : la qualité des soins de santé (dispensaires, hôpitaux), l’accès aux soins de santé (mutuelles) et le développement de la sécurité alimentaire et économique. Dans le cadre de cette troisième approche, l’ONG a développé un partenariat avec les organisations El Taller et Ceder, il y a maintenant une dizaine d’années, afin de lancer un programme développement de filières agricoles dans les régions d’Arequipa et de Moquegua au sud du Pérou. L’objectif stratégique de ce type de projet est de réduire la pauvreté en renforçant la stabilité économique des populations, notamment en permettant aux populations locales d’accumuler des réserves, de développer des moyens de productions plus performants, d’augmenter leurs revenus et de créer des réseaux de solidarité plus fiables (Henin, 2013). -
Élevage bovin et environnement : les chiffres clés
Dans les exploitations d’élevages bovins, les ateliers "végétal" et "animal" sont étroitement liés. Le premier fournit la majorité des fourrages consommés par les animaux (autonomie alimentaire en matière sèche fourrage de 98 %, pour l’ensemble des systèmes bovins nationaux), ainsi qu’une partie non négligeable des aliments concentrés ingérés (autonomie massique de 28 % en moyenne) (source : CIV). L’atelier animal produit des déjections valorisées sur ces surfaces, soit directement sur les prairies lors du pâturage, soit par épandage. Sur l’ensemble des élevages bovins français, plus de 60 % des apports azotés sur les surfaces exploitées sont de nature organique et proviennent majoritairement de l’exploitation elle-même. -
Distribution et perspectives pour les produits maraîchères au Niger
Le Niger, le pays le plus sahélien des pays du Sahel, doit faire face à un déficit alimentaire chronique qui devient de plus en plus aigu. L’accroissement rapide de la population (3,2 % par an) et les sécheresses des deux dernières décennies sont à l’origine de ce déficit. La production agricole stagne depuis plusieurs années. La situation est d’autant plus préoccupante que les productions sont principalement des productions céréalières pluviales (mil, sorgho) et que les ressources naturelles (sol, eau, couvert végétal) sont menacées de dégradation. Une des mesures prises par le Gouvernement pour surmonter cette situation est l’intensification et la diversification des productions agricoles, en particulier par la production de cultures irriguées de contre-saison et plus particulièrement de cultures maraîchères (oignon, ail, chou, laitue, tomate et haricot vert). -
États généraux du foncier rural au Niger
Au Niger, les terres et les ressources naturelles se dégradent et subissent des pressions croissantes. Cette situation engendre un problème d'accès et provoque souvent des conflits violents surtout entre agriculteurs et éleveurs. Pour faire face à cette situation, le gouvernement a adopté à partir des années 1990, une ordonnance fixant les «Principes d'Orientation du Code Rural». -
Plan de Gestion des Pestes et des Pesticides (PGPP)
Le Gouvernement de la République du Niger, par le biais du Ministère du Plan, avec l’implication du Ministère de l’Environnement et de la Lutte contre la Désertification (MER/LCD) agence d’exécution du Projet, est tenu à préparer un Plan de Gestion des Pestes et des Pesticides (PGPP), qui, comme tous les autres outils de sauvegardes environnementale et sociale, doit comporter des mesures permettant au projet, pendant toute sa durée de vie, de se conforme aux lois et réglementations nationales en vigueur et aux prescriptions des normes environnementales et sociales de la Banque mondiale, en générale, et de la NES 3, en particulier. -
Rapport de l'enquete de base pour l'évaluation de l'impact du programme de résilience de PAM-FAO-FIDA dans les régions de Maradi et Zinder
Ce rapport a pour objectif d’analyser la différence entre la capacité de résilience des ménages bénéficiaires et non bénéficiaires du projet face aux risques d’insécurité alimentaire. L’estimation de la capacité de résilience des ménages a été faite à l’aide du modèle de mesure et d’analyse de l’indice de résilience (RIMA) (voir annexe 1 pour les détails sur la méthodologie). Il est important
de noter qu’un certain nombre d’interventions ont débuté bien avant la collecte de données de l’étude de référence. Dans les deux communes bénéficiaires, plusieurs distributions mensuelles de transfert monétaire dans le cadre des activités de création d’actifs productifs, accompagnées d’une supplémentation nutritionnelle de prévention de la malnutrition (Super céréale) ont été réalisées: à Chadakori, trois vagues de distribution avaient déjà été faites, et à Dogo le nombre variaient entre une distribution et trois en fonction des sites. Ces interventions ont un impact sur l’indice de la capacité de résilience des ménages, en particulier sur le pilier accès aux filets de protection sociale. -
Récupération des sols par les membres des banques céréalières du nord de l'arrondissement de Tanout
Suite à son succès remarquable en ce qui concerne la création des Banques Céréalières autogérées, en milieu paysan Nigérien (voir l'Annexe 1) • notamment dans le Nord de l'arrondissement de Tanout - le projet BIT/Zinder (voir liste des abréviations) était confronté avec une demande des Comités de Gestion des Banques performantes qui adressaient d'autres aspects de la filière céréalière, plus particulièrement concernant la base productrice même de la production des céréales. Ces comités s'inquiétaient de la baisse continue des productions céréalières à cause de la dégradation des champs (érosion, appauvrissement). -
La gestion des déchets solides ménagères à Niamey au Niger : essai pour une stratégie de gestion durable
Après avoir observé le phénomène et analysé le contexte général de la gestion des déchets à Niamey, qui comme dans toutes les villes sahéliennes en Afrique de l’Ouest, constitue une préoccupation majeure pour les responsables de la ville comme pour les citadins, nous avions constaté la cohabitation de deux systèmes de gestion, à savoir : - l’un « moderne » (formel), à l’identique des pays industriellement développés, c’est à dire une collecte fortement mécanisée, réalisée tant bien que mal par la municipalité; - et l’autre « communautaire » qui se définit comme un système pris en charge par les usagers. La singulière mise en évidence de deux systèmes qui cohabitent, met en lumière les problèmes rencontrés dans la maîtrise de la croissance de la ville et surtout des problèmes financiers qu’a connu et que continue de connaître la municipalité. -
Évaluation des besoins en technologies d'atténuation des émissions des gaz à effets de serre
Il est désormais bien établi que les émissions des Gaz à Effet de Serre (GES) provenant des activités humaines sont à l’origine du réchauffement climatique qui affecte l’écosystème planétaire et provoque des variations extrêmes du climat. Les risques du changement climatique représentent ainsi un des plus importants défis du 21ème siècle post-industriel au développement de l’humanité, voire même à l’avenir de la planète. Pour faire face à cette situation, la communauté internationale s’est mobilisée, dès 1992 lors de la conférence de Rio, en adoptant la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), véritable cadre de discussions permanent totalisant 196 parties et auquel 168 pays du monde ont aujourd’hui adhéré. -
Stratégie nationale d’adaptation face aux changements climatiques dans le secteur agricole (SPN2A-2035) : Plan d'Action 2022-2026 Version finale 2023
Ce plan d’action a été élaboré en suivant une démarche concertée et itérative mobilisant une série de rencontres avec les acteurs des institutions et services techniques de l’État, incluant en particulier les Directions des Études et de la Programmation des Ministères sectoriels. La définition des cibles d’activité et le dimensionnement des budgets correspondants ont été alignés sur les stratégies nationales et sectorielles existantes. -
Stratégie pour la protection de l’environnement
L'importance de la protection des cultures pour l'atteinte de la sécurité alimentaire au Niger n'est plus à démontrer. Sous la responsabilité de la Direction de la Protection des Végétaux, celle-ci se fait surtout par l'application de produits chimiques. Mal utilisés ces produits peuvent avoir des effets néfastes tant sur la population que sur le milieu naturel. Plusieurs actions visant à protéger l'environnement ou à limiter les effets négatifs liés à la manipulation des pesticides ont été et sont encore menées par les services de la PV du Niger. Les projets Nigéro-Canadien (ACDI) et Nigéro-Allemand (GTZ), USAID-Niger et d'autres bailleurs de fonds y contribuent depuis plusieurs années. Cependant, l'absence d'une ligne directrice dans ce domaine entraîne parfois une mauvaise coordination des efforts et limite la portée de ces actions. C'est dans ce contexte qu'une stratégie pour la protection de l'environnement dans le cadre des activités de protection des végétaux a été élaborée. -
Agronomie Générale : synthèse des résultats campagne 1986
Cette réunion était une occasion pour les chercheurs de la Section Agronomie Générale (A.G.) et leurs collaborateurs dans d'autres sections ou départements de discuter les résultats préliminaires de 1986 et le programme de recherches pour la campagne en cours. Elle a aussi permis aux participants de réfléchir sur les moyens de coordonner les recherches en agronomie générale afin d'en tirer le maximum de bénéfice tout en évitant la duplication d'efforts. -
Fiche 4 : Accords au sein des OIP
Une des principales missions « revendiquées » par les acteurs au sein des OIP et généralement affichées au niveau des cadres réglementaires nationaux sur les OIP en Afrique de l’Ouest est la promotion et la gestion d’accords entre les différentes familles professionnelles. En effet, les OIP constitueraient un des « cadres privilégiés » pour le développement de l’agriculture contractuelle. Pour certains acteurs des OIP, les accords interprofessionnels constitueraient la raison d’être des OIP1. Toutefois, la plupart des OIP rencontrées dans la sous-région semblent avoir du mal à établir des accords interprofessionnels entre les familles d’acteurs, ou dans d’autres cas, à en assurer la mise en œuvre effective. Il existe toutefois des exceptions dans quelques filières, mais les exemples d’aboutissement de ces accords commerciaux sont trop peu nombreux au regard de leur importance. Cette fiche sur les « Accords au sein des OIP » abordera la question autour de plusieurs points : la définition et l’intérêt de l’établissement d’accords interprofessionnels, le rôle des OIP dans l’élaboration et le suivi de ces accords, les conditions d’amélioration de l’exercice de cette mission par l’OIP. -
Restauration des terres arides de l'Afrique
Cette compilation de connaissances sur la restauration des terres arides se concentre sur le Sahel et la Grande Corne de l'Afrique où les niveaux de pauvreté, de dégradation des terres et d'émigration sont très élevés. Elle rassemble 36 contributions, y compris des entretiens avec des experts éminents, et de nombreux exemples de succès et d'espoir. Celles-ci comprennent des analyses à long terme des augmentations remarquables du couvert arboré et des rendements agricoles améliorés sur de vastes zones du Burkina Faso, du Mali, du Niger et du Sénégal qui n'ont jamais été publiées auparavant, des exemples de restauration du paysage en Éthiopie et des expériences connexes du Cameroun, Djibouti, Ghana, Kenya, Somalie, Soudan et Ouganda. -
Cultivons la Grande Muraille Verte
Pour atteindre l'objectif de la Grande Muraille Verte de restaurer 100 millions d'hectares d'ici 2030 (avec seulement 18 millions d'hectares restaurés à ce jour1), les niveaux de restauration doivent passer de 1 à 8 millions d'hectares chaque année… Cette note présente des actions que chaque pays GMV devrait intégrer dans des plans concrets de restauration de terres pour réaliser une forte expansion à partir de 2022. -
Le conseil en agroécologie en Afrique de l’Ouest : constats et leviers stratégiques pour son développement
En Afrique de l’Ouest, des efforts croissants sont engagés pour promouvoir l’agroécologie comme alternative au modèle agricole de la révolution verte. Les résultats obtenus sont encore mitigés et les transitions agroécologiques à grande échelle sont encore rares, fragiles et incertaines. Cette situation est en grande partie liée à la difficulté actuelle du conseil Agricole à jouer son rôle de facilitateur d’innovation en agriculture. Ce rôle mérite d’être mieux reconnu et pris en compte lors de la planification des investissements pour la promotion de l’agroécologie. Mais, il est surtout important d’identifier et de mettre en œuvre des mesures adaptées qui permettraient de libérer le potentiel du conseil en agroécologie. Cette préoccupation est au centre de la présente note d’orientation politique. Les connaissances et préconisations exposées dans ce document sont issues d’une étude régionale sur la sensibilité du conseil Agricole à l’agroécologie et d’une série de dialogues stratégiques à travers trois webinaires internationaux organisés par le projet ACOTAF. -
Présentation du Projet Protection Intégrée des Ressources Agro-sylvo-pastorales dans le département de Tillabéri-Nord
Le Projet Protection des Ressources Agro-Sylvo-Pastorales dans le département de Tillabéri-Nord/PASP, se réfère à un accord Nigero-Allemand de 1980; mais il n'a effectivement démarré qu'en 1986 sous forme de projet d'appui institutionnel aux services techniques dans les quatre (4) arrondissements septentrionaux du département de Tillabéri à savoir: Filingué, Ouallam Téra et Tillabéri courant une superficie d'environ 70.000 Km2 et une population estimée à environ 1.200.000 d'habitants repartie dans 2.899 villages et hameaux. -
Évaluation finale du Projet d'Appui au Développement du Nord Niger phase 2 (PADNN2)
Ce rapport développe les constats et propose des recommandations plus détaillées. Il intègre également, dans la mesure du possible, les remarques jugés recevables qui ont été formulées lors de la restitution provisoire, tant au siège de l’ONG Tilat à la fin de la mission de terrain, que dans le cadre de la formation en suivi-évaluation de projet de développement à Niamey. -
Guide d'entretien des bâtiments en construction sans bois : à l'usage des propriétaires et des maçons
L'entretien des bâtiments est une tâche essentielle. Pour les bâtiments en Construction Sans Bois le travail n'est pas compliqué et peu coûteux dans la majorité des cas mais il est important d'intervenir avant que les problèmes n'arrivent ou aussitôt qu'ils apparaissent. -
Manuel de l'auxiliaire de l'environnement
Le «Manuel de l'Auxiliaire d'Environnement» est réalisé par la Direction de l'organisation pastorale (DOP) et plus particulièrement par l'équipe de la Division de l'alimentation, de l'aménagement pastoral et hydraulique (DAAPH) qui a reçu le concours des cadres de la Direction de l'enseignement, de la formation et de la recherche vétérinaire et zootechnique (DEFRVZ) et du Laboratoire de recherche vétérinaire et zootechnique (LRVZ) de Farcha. Ce document didactique est destiné aux auxiliaires d'environnement et leur est remis lors de leur formation initiale . -
Projet de restauration et de gestion des terres dégradées pour une amélioration durable de la production agro-sylvo-pastorale dans les communes de Alléla et Sabon Guida
A travers la récupération des terres et végétations dégradées et une gestion concertée et suivie ce projet a comme objectif de contribuer à une gestion durable et adapte aux changements climatiques des espaces agro-sylvo pastoraux afin que ceux-ci augmentent leur production et contribuent de manière accrue à l’amélioration de la sécurité alimentaire durable des populations des communes concernées. Afin d’atteindre cette objectif les communes avec l’appui du Programme de coopération décentralisée vont mettre en œuvre ce projet ensemble avec les services techniques des domaines concernées, les Comités de gestion des espaces environnementaux, l’implication des Commissions foncières, les commissions spécialisées et les groupes socioprofessionnels concernés. -
Utilisation de guiera segalensis j.f. gmel dans les aménagements anti-erosifs : applications pratiques de l’aptitude au marcottage
Le marcottage de G. senegalensis ne nécessite pas de précautions particulières : pas de substrat particulier, pas d’incision annulaire, pas d’utilisation d’hormones pour activer la rhizogenèse. Il suffit tout simplement d’enterrer les parties jeunes des tiges pour que des racines s’y développent. Deux semaines après l’enterrement suffisent pour observer des racines s’il n’y a pas une poche de sécheresse de plus d’une semaine. -
La gestion durable des ressources naturelles au niveau communal : l'intégration des secteurs agriculture, élevage et foresterie dans les planifications et actions communales - une comparaison des expériences de la Coopération allemande au Bénin, Mali, Niger, Sénégal et à Madagascar
Les programmes de la Coopération technique allemande (GTZ) œuvrant dans les domaines de la gestion des ressources naturelles et de la décentralisation accompagnent le processus de mise en place des communes depuis son démarrage et ont gagné énormément d’expérience dans l’appui aux communes. L’appui à l’intégration pratique de la gestion des ressources naturelles dans les activités communales touche deux aspects nouveaux pour ces programmes qui, depuis les années 90, ont surtout travaillé au niveau villageois : d’une part la relation des communes comme administration territoriale locale par rapport aux aspirations de la population dispersée dans les villages, et d’autre part la relation entre la gestion des ressources naturelles et la promotion de l’économie rurale à un niveau élevé. Le groupe de travail francophone du réseau SNRD (Sector Network Rural Development) a commandité cette étude pour collecter et analyser les expériences des programmes dans cette problématique et fournir des recommandations pour la future orientation des programmes dans le processus continu de la décentralisation. -
Etat des lieux des sites récupérés en CES/DRSavec l’appui du Projet « Dosso Ma za’ada » Campagnes 2006-2008 Département de Dosso
Le Projet Appui au Développement Territorial dans le département de Dosso « Dosso Ma Za’ada » a prévu dans le cadre de la mise en œuvre du résultat 3 relatif à l’accès des ruraux aux opportunités de développement, l’appui aux initiatives privées, communautaires et communales pour la restauration et l’amélioration des systèmes de production agro-sylvo-pastorales. A cet effet le projet a planifié la restauration de 1.200 ha de terres dégradées sur les quatre années de la phase du projet soit en moyenne 300 hectares par an. Ainsi, de 2006 à 2008 le projet a récupéré 858 ha de terres dégradées par la confection des ouvrages anti-érosifs divers réalisés en fonction de l’état de dégradation des espaces soumis au traitement. Le traitement biologique des espaces récupérés a nécessité la plantation d’environ 385 863 plants forestiers. -
Situation de référence des sites de suivi des paramètres de l’ensablement et de la dégradation des terres (Végétation herbacées et états de surface) et mise en place du dispositif de suivi de Leptadenia pyrotechnica
Le présent rapport a pour objet de compléter l’état de référence de la végétation initié par la collecte des données sur les herbacées et leur biomasse au niveau des parcelles où les ligneux ont été caractérisés et au niveau des sites de fixation des dunes du secteur environnant d’une part et d’autre part mettre en place un dispositif de suivi de Leptadenia pyrotechnica.
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Programme d’Appui au Développement Agricole Durable dans la région de Dosso
Inscrit dans la mise en œuvre de l’I3N qui vise à renforcer les capacités nationales de productions alimentaires, d’approvisionnement et de résilience face aux crises alimentaires et aux catastrophes naturelles, le programme s’est concentré dans les domaines de compétences du MAG/EL, en particulier sur les deux premiers axes de la stratégie de l’I3N. Malgré la difficulté de mesurer le niveau d’impact du programme, notamment en raison de l’insuffisance du système de suivi/évaluation sectoriel, les interventions menées ont contribué significativement au développement des cultures irriguées et des filières agricoles. Par ailleurs, on note que certaines innovations sur le foncier ou l’aide financière à l’installation des jeunes agriculteurs, stimulées par le programme, seront rapidement mises à l’échelle. Comme le relève le rapport d’évaluation finale, l’intervention du programme a contribué significativement au développement agricole durable dans la Région de Dosso. -
Suivi des activités de la CRA dans le cadre du Projet Pôles Ruraux
La mission s’est déroulée du 13 au 20 décembre 2021 avec deux agents du RECA et les conseillers de la Chambre Régionale d’Agriculture d’Agadez. La mission a visité 7 sites de formation de jeunes agriculteurs et agricultrices, 6 sites de conseil de gestion à l’exploitation agricole (CGEF) et un site de démonstration oignon. Elle s’est entretenue avec les conseillers agricoles de la CRA, les formateurs et animateurs des structures privées partenaires (ONG ou GSC) et des producteurs ou productrices. -
Projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement des filières agricoles dans les régions d’Agadez et de Tahoua au Niger (2017–2023)
Le projet d’appui au développement d’activités rurales et au financement des filières agricoles dans les régions de Tahoua et d’Agadez communément appelé Projet Pôles Ruraux (PPR) s’est clôturé en juin 2023 après près de six années de mise en œuvre entre 2017 et 2023, dans les régions d’Agadez et de Tahoua au Niger. Au regard des résultats atteints par le projet et des dynamiques enclenchées sur ces deux territoires, l’ensemble des parties prenantes du projet et particulièrement son maître d’ouvrage, le ministère en charge de l’Agriculture et ses bailleurs de fonds (l’Agence française de développement et l’Union européenne), se sont accordés sur l’intérêt de programmer un exercice de capitalisation des processus et des démarches à l’œuvre dans le cadre du projet afin d’en tirer les enseignements pour l’avenir, tant en termes de conduite de projets et programmes sur les mêmes thématiques que de mise en œuvre des politiques publiques.